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Le premier a réussi haut la main son examen d'entrée. L'iPhone, avec son large écran tactile et son design soigné, s'est vendu à presque 1,5 million d'exemplaires en trois mois aux Etats-Unis (il sera distribué en France par France Télécom à partir de fin novembre). Un succès qui oblige les constructeurs traditionnels de téléphones à reconsidérer l'ergonomie de leurs terminaux haut de gamme. Google, moteur de recherche le plus utilisé de l'Internet et première régie publicitaire en ligne, pourrait également changer la donne. Le géant de Mountain View (dans la Silicon Valley en Californie) a l'ambition de s'imposer sur les écrans des téléphones mobiles comme il a su le faire sur ceux des ordinateurs.
Pas avec un terminal (le "Google Phone") que la rumeur annonçait pourtant avec insistance depuis des mois. Mais avec un système d'exploitation (un logiciel permettant de faire fonctionner des applications) pour terminaux mobiles.
Android - c'est son nom - sera gratuit et construit sur une architecture ouverte et libre, sur le modèle des logiciels Linux. Tous les développeurs informatiques auront ainsi accès à ce programme, ce qui leur permettra d'y greffer facilement leurs applications. Pour les constructeurs et les opérateurs télécoms, Android sera aussi le moyen de lancer des téléphones rapidement et à moindre coût.
Si l'on avait envisagé dès les débuts d'Internet que la publicité serait le mode de financement de la gratuité, Google a trouvé le modèle économique le plus efficient en associant la publicité non à l'accès, mais à la recherche. Car la publicité n'est plus intrusive, mais devient un vrai service dès lors que l'on cherche quelque chose. On voit bien aux Etats-Unis que la publicité sur Internet a pris une part substantielle du marché. Ce modèle qui leur assure une croissance de leurs résultats exceptionnelle, associé à une cotation en Bourse qui leur fournit des moyens financiers considérables, leur donne les moyens de racheter toutes les entreprises de high-tech qui leur paraissent présenter un vrai potentiel de développement. Donc tous les outsiders potentiels. Au point qu'aujourd'hui, les start-up se créent avec l'idée d'être un jour rachetées par Google, comme hier déjà par Microsoft. Ce modèle fonctionne d'autant mieux que Google connaît précisément les centres d'intérêt de ses utilisateurs. Et que la direction de la société fait preuve d'une ouverture d'esprit tout à fait remarquable. En témoigne le lancement prochain d'un système d'exploitation de mobile ouvert, qui prend tout le monde par surprise et menace les systèmes propriétaires que sont Windows et Symbian. En créant cette alliance, Google parie que demain l'accès à Internet se fera par le téléphone mobile, amenant à Internet des milliards d'individus qui aujourd'hui n'ont ni ordinateur personnel ni ligne téléphonique fixe. Cette entrée dans un monde du mobile très contrôlé par les opérateurs est à la fois un aiguillon providentiel de la concurrence, et une étape majeure du développement de Google.
Gérard Pogorel in "La Tribune (Fr) du 08/11/2007".Le différent entre les deux hommes vient de l’évolution du JavaScript. Mozilla soutient la version 4 de l’ECMAScript, tandis que Microsoft met en avant son JScript. Tout allait plus ou moins bien jusque là, quand Chris Wilson a émis un avis qui a mis le feu aux poudres. Selon lui, la version 4 de l’ECMAScript représente trop de changements par rapport à l’actuel JavaScript, et devrait constituer un langage à part afin d'éviter la création de nouvelles fourches dans le code des pages web.
il ajoute : « Notre opinion est qu’une révolution dans l’ECMAScript serait plus facilement atteinte avec un langage entièrement nouveau. Nous pourrions ainsi supporter les utilisateurs actuels tout en libérant le nouveau langage de certaines contraintes (incluant la contrainte de supporter de manière performante les scripts de l’ancien langage dans le nouveau). »
Il regrette apparemment que les suggestions proposées par Microsoft n’aient pas été entendues par le Comité Technique de l’ECMAScript, ce que Brendan Eich réfute totalement. Selon le créateur du JavaScript, Wilson aura été mal informé sur le processus de développement de l’ECMAScript version 4, car le Comité était ouvert aux critiques, alors que Microsoft serait restée plutôt silencieuse.
« Au mieux, nous avons un conflit fondamental de visions et de valeurs techniques entre la majorité et la minorité » indique Eich. Il explique que Microsoft a travaillé durement sur les révisions 1 à 3 de l’ECMAScript mais n’a pratiquement plus rien fait une fois arrivée sur le trône des parts de marché des navigateurs. Aujourd’hui, la révision 4 de l’ECMAScript pointe le bout du nez, et Microsoft se sentirait menacée par une mise en conformité de son JScript laissé à l’abandon depuis huit ans.
Une histoire qui n’est certainement pas terminée.
In "INpactitude : Mégazine Informatique en ligne", 05.11.2007.
Plusieurs pays africains et des institutions internationales ont promis d’investir plus de 55 milliards de dollars pour accélérer l’accès à internet sur le continent.
Ces engagements ont été pris lors d’une conférence internationale sur le développement de l’internet en Afrique, intitulée « Connecter l’Afrique » et qui s’est déroulée les 29 et 30 octobre dernier à Kigali, indique un communiqué de l’UIT publié mercredi. Les participants à la conférence se sont engagés à connecter toutes les capitales africaines et les grandes villes grâce aux infrastructures des technologies de l’information (TIC) et à renforcer les connexions avec le reste du monde d’ici à 2012. « D’ici à 2015, les services des technologies de l’information seront étendus à tous les villages africains », affirme le communiqué. L’Afrique accuse un lourd retard dans le domaine du développement de l’internet. Moins de 4% des Africains ont aujourd’hui un accès à internet, souligne l’UIT. Parmi les donateurs figurent notamment la Commission européenne et la Banque mondiale (BM), qui s’est engagée à doubler son financement en faveur des TIC en Afrique pour atteindre 2 milliards de dollars d’ici à 2012. La Banque africaine de développement (BAD) a également promis de financer des projets dans ce secteur à hauteur de 65 millions de dollars. Outre le Rwanda, six pays africains ont participé à cette conférence : le Mali, le Malawi, le Burkina Faso, le Sénégal, Djibouti et le Burundi. « L’objectif de ce sommet a été de discuter de l’application des stratégies qui vont permettre au continent africain de mettre » les technologies de l’information (TIC) au service du développement, a expliqué à l’AFP le secrétaire général de l’Union internationale des télécommunications (UIT), Hamadoun Toure, partenaire dans l’organisation de cette rencontre. Outre le président rwandais Paul Kagame, six chefs d’état africains, Amadou Touré (Mali), Bingu Wa Mutharika (Malawi), Blaise Compaoré (Burkina Faso), Aboudoulaye Wade (Sénégal), Ismael Omar Guelleh (Djibouti) et Pierre Nkurunziza (Burundi) participent à la conférence « Connecter l’Afrique » qui s’achève mardi. Au moins 300 millions de dollars seront investis dans des projets visant la promotion des TIC dans l’ensemble du continent africain d’ici à l’an 2012, a expliqué M. Touré, en soulignant qu’une telle initiative a besoin de l’implication active du secteur privé.
Samir Ben Djafar
Pour toute information consultez le site : http://www.saca-dz.com/index.php?option=com_content&task=view&id=12&Itemid=32
Le deuxième salon du Hi Tec a été une occasion pour la Forem de livrer les résultats de la dernière recherche que ses représentants ont effectuée le mois dernier. L’étude a été rendue publique, notons-le, par le président de la Forem, M. Khiati, lors d’une conférence tenue en marge du Salon. La recherche en question porte sur l’utilisation d’Internet dans le milieu universitaire. Quelque trois mille étudiants inscrits dans plusieurs des universités essentiellement spécialisées dans le domaine des technologies de manière générale ont dû répondre à une série de questions liées à l’utilisation d’Internet, mais aussi de l’outil informatique. Globalement, l’étude a révélé que l’utilisation d’Internet n’est toujours pas à la hauteur des espérances, particulièrement si l’on prend en considération le fait que la plupart des étudiants interrogés suivent des études dans des domaines techniques. A en croire les résultats de l’étude, un tiers des étudiants se connecte à Internet à partir de leurs domiciles au moment où 17 % seulement consultent et naviguent sur Internet à partir de l’université, y compris les étudiants spécialisés dans des domaines tels que l’informatique, par exemple. Paradoxalement, 80 % de ces personnes ont touché l’outil informatique dès l’âge de 16 ans. 34 % d’entre eux possèdent des véhicules ainsi que des téléphones portables (62 %) et fixes (60 %). Il ressort également que les étudiants utilisant régulièrement des ordinateurs s’intéressent à Internet avec un taux de 42 %, au moment où 12 % d’entre eux utilisent l’outil informatique essentiellement pour des opérations de traitement de textes. L’on constate également que de plus en plus de jeunes utilisent l’ordinateur pour visionner des films ou pour écouter de la musique. Il y a lieu de signaler également que plus de 50 % des personnes interrogées ont subi des formations dans le domaine de l’informatique. Dans la plupart des cas, il s’agit de formations de courtes durées. Suivant les conclusions de l’étude, la raison principale à l’origine de l’utilisation très sommaire d’Internet par les étudiants objets de la recherche est le manque de moyens. Beaucoup de jeunes proposent d’ailleurs que les PC soient proposés à « des prix plus raisonnables » et demandent à ce que les connexions soient légèrement réduites. Le président de la Forem a tenu à signaler, en outre, « qu’une vingtaine d’universités ne possède pas, aujourd’hui, de site Internet » avant d’ajouter que « les universités disposant de sites Internet ne les actualisent pas de façon régulière ».
Le programme Ousratic loin des prévisions
Lors d’une conférence organisée en parallèle du salon Hi Tec, qui s’est tenu du 17 au 20 octobre courant, le professeur Khiati, président de la Fondation pour la promotion de la recherche scientifique, a dressé un tableau peu reluisant sur le projet Ousratic, en particulier, et sur la vulgarisation des technologies en Algérie de manière générale. Le conférencier a indiqué que le programme Ousratic, qui vise à doter quelque six millions de foyers algériens en PC vers l’année 2009, n’aboutira jamais à ce chiffre. « Suivant les prévisions les plus optimistes, et en mettant toutes les chances de son côté, le programme Ousratic permettra d’équiper au maximum 2,8 millions de foyers vers l’année 2009, avec une cadence de 700 000 PC livrés chaque année », a-t-il déclaré en s’appuyant sur les déclarations d’un certain nombre d’experts. Il semblerait, à ce propos, que le niveau de vie encore bas d’une grande partie de la population soit l’un des principaux facteurs faisant que l’opération Ousratic n’évolue pas au rythme espéré. D’autre part, l’orateur mettra le doigt sur une autre question, celle du niveau d’instruction, mais aussi de la population. « 75 % de la population algérienne possèdent un niveau d’instruction considéré comme moyen, ce qui représente un élément plus ou moins handicapant pour le développement d’une opération telle que Ousratic », dira-t-il. D’un point de vue plus large, le professeur Khiati a attiré l’attention sur le fait que l’utilisation des nouvelles technologies reste encore un luxe en Algérie. « Aujourd’hui, 0,1% seulement des PME algériennes utilisent Internet, au moment où les PME des pays voisins utilisent cet outil de façon quasi systématique », a-t-il signalé, en précisant que « le taux de pénétration des équipements informatiques au niveau du marché algérien est de seulement 12 % ».
Apple a lancé, vendredi dernier, une nouvelle version de son système d’exploitation Macintosh.
La publication de la mise à jour, appelée Leopard, intervient quelques jours après l’annonce d’Apple selon laquelle ses ventes d’ordinateurs Mac auraient augmenté de 34%. Leopard sera pré-installée sur les nouveaux Mac tandis qu’une version en ligne, pour les clients ayant des ordinateurs plus anciens, sera payante. Annoncée à l’été 2006 pour le printemps 2007, cette nouvelle version de Mac OS X (le système d’exploitation des ordinateurs Apple) a vu son lancement différé en raison de la commercialisation de l’iPhone, qui a « mobilisé les équipes marketing » selon la compagnie. Leopard est le dernier produit d’une série de nouveautés lancées par Apple, dont la nouvelle ligne d’iPod lancée le mois dernier, les nouveaux ordinateurs de bureau Mac lancés cet été, et l’iPhone, le téléphone mobile d’Apple qui a été lancé en Juin. Leopard est la cinquième mise à jour du système d’exploitation d’Apple OS X pour Mac, depuis la version originale lancée en 2001. A l’inverse de Microsoft, qui licencie ses systèmes d’exploitation aux autres compagnies qui l’installent sur un grand nombre de PC, Apple a depuis longtemps favorisé un système fermé dans lequel ses ordinateurs Mac sont les seuls qui supportent son système d’exploitation. Cet arrangement a permis à Apple de garder un rythme soutenu d’innovation dans le secteur des logiciels, tout en évitant un certain nombre de problèmes de sécurité et d’interopérabilité qui ont considérablement nui à Windows Vista par exemple, d’après Van Baker, un analyste de Gartner. De prime abord, l’interface de la sixième version majeure de Mac OS X ressemble comme une goutte d’eau à celle de Tiger, la précédente édition du système d’exploitation de Mac. Mais Leopard présente plus de 300 améliorations. Parmi ces améliorations, on trouve d’abord une machine à remonter le temps baptisée « Time Machine », qui fait une sauvegarde automatique des données contenues dans un ordinateur. Ce programme permet presque instantanément de retrouver une ancienne version d’un document ou de réinstaller l’ensemble du contenu d’un ordinateur. Par ailleurs, les fichiers se feuillettent désormais d’un seul clic. Il est donc possible de faire défiler d’un simple clic les documents, dont les contenus apparaissent grâce au logiciel « Quick Look », sans les ouvrir ni même disposer de l’application ayant été utilisée pour les créer. D’une manière générale, l’ergonomie du bureau de l’ordinateur est augmentée. Avec « Stacks », les documents peuvent être rangés sous forme de piles, qui s’ouvrent en éventail lorsqu’on les appelle. Cette fonction permet également aux utilisateurs un nouveau moyen de classer leurs travaux en créant des espaces personnalisés sur le bureau, ne contenant que les applications ou les documents nécessaires à chaque projet.
Samir Ben Djafar
Pour Slimane Khireddine, PDG du Groupe, l'accord en question procède de la volonté de l'entreprise de poursuivre les projets de modernisation de son réseau, de mettre en place le Réseau National Multiservices, de consolider et d'élargir sa coopération avec Ericsson. Partenaire à la réputation mondiale bien établie, la firme suédoise est une habituée du secteur des télécommunications en Algérie. Elle est connue, en tant que leader mondial dans le domaine des TIC, pour ses connaissances et expertises pointues dans les domaines du planning, de la conception, de la fourniture et de la mise en œuvre d'une modernisation d'un réseau télécom et le support de systèmes et solutions multiservices avancées.
De l'avis de Slimane Khireddine et de la délégation de l'opérateur historique présente au moment de la signature, la coopération avec Ericsson procède de la stratégie du Groupe de moderniser son réseau, de capitaliser sur ses investissements existants et de développer de nouveaux services innovants intégrés pour ses clients, indépendamment du réseau d'accès qu'ils utilisent.
Des sources proches du comité d’organisation estiment que pas moins de 5 000 visiteurs ont été agréablement surpris tant par la qualité de l’accueil et l’originalité du stand d’Algérie Télécom que par les présentations techniques des produits exposés. Des démonstrations portées par la compétence avérée des ingénieurs et des techniciens de l’entreprise qui, affables à souhaits, ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour présenter les produits exposés et aiguiser les curiosités des unes et des autres autour du Call Center, l’EVIDEO, l’ADSL, l’Internet haut débit sans fil, l’accès haut débit Anis, la téléphonie 3G, le double play ou le nouvel annuaire téléphonique mis récemment sur le marché après une décennie d’absence.
Pour relancer le débat sur cette relation étroite entre ces deux volets, un forum a été organisé, hier, à l'université de l'USTO sur le thème «L'appui à l'innovation technologique des PME». Une rencontre qui a vu la participation d'universitaires et une présence très timide d'opérateurs économiques, premiers concernés, pourtant, par ce rapprochement. Plusieurs communications ont été présentées lors de ce forum qui avait situé la PME dans son contexte scientifique et opérationnel. Pour le chercheur universitaire, M. Aït Habouche, il est important de situer les contours de la gestion d'innovation dans une économie en développement, sachant que l'innovation est devenue une nécessité. Pour définir l'innovation, le même conférencier souligne que des entreprises innovent entre 40 à 50 % dans des biens d'équipements, 25 % dans des biens intermédiaires et entre 20 et 25 % dans des biens de consommation. L'innovation peut donc intervenir dans l'amélioration du produit, la commercialisation la technologie et aussi la constitution de réseau. Intervenant lors de cette rencontre, le représentant du ministère de la PME/PMI a expliqué la manière d'intégrer le secteur dans l'environnement scientifique et technologique. Il a annoncé la création de comité sectoriel permanent de la recherche dans le secteur de la PME. Il a également souligné l'importance de la création de pépinières et la mise en place d'un observatoire d'innovations en plus de la création et confortement des centres techniques et d'un fond de soutien à l'innovation.
C'est la nouvelle stratégie mise en place pour créer cet espace d'échange et de communication entre l'Université et la PME.
Mourad, nous n'oublierons jamais ta bonté de cœur.
- Université de Batna 12 postes ;
- Université de Biskra 10 postes ;
- Université de Guelma 10 postes ;
- Centre universitaire de Khenchela 10 postes ;
- Centre universitaire d’El Oued 10 postes.
- Etretitulaire d’une licence en sciences économiques,gestion ou sciencescommerciales avec une moyenne générale d’au moins 11 /20pour l’ensembledes quatre ans.
- Délai de rigueur de dépôt du dossier de candidature :20 novembre 2007.
- Micro économie : coefficient 2
- Economie et management des connaissances : coefficient 1
L’école doctorale « économieappliquée et management des organisations » de la faculté des scienceséconomiques et gestion de l’université de Batna (Algérie), organise un concoursde magister le lundi 10 décembre 2007. Il est à noter que cette école doctoralepropose, entre autres, un parcours de formation en :« Economie etmanagement du savoir et des connaissances ».Les postes à pourvoir sont de 52 et sont répartis géographiquementpar structure universitaire comme suit :
- Université de Batna 12 postes ;
- Université de Biskra 10 postes ;
- Université de Guelma 10 postes ;
- Centre universitaire de Khenchela 10 postes ;
- Centre universitaire d’El Oued 10 postes.
- Etre titulaire d’une licence en sciences économiques,gestion ou sciences commerciales avec une moyenne générale d’au moins 11 /20pour l’ensemble des quatre ans.
- Délai de rigueur de dépôt du dossier de candidature :20 novembre 2007.
- Micro économie : coefficient 2
- Economie et management des connaissances : coefficient 1
Sabisystems, représentant officiel de Canon en Algérie, veut ainsi profiter de ces nouvelles tendances pour dynamiser ses affaires et aller plus loin dans sa politique d’adaptation et de partage par des contacts de proximité avec le marché. Se rapprocher toujours plus de la clientèle, sur son propre lieu de vie et de travail est une « constance dans notre action commerciale et après-vente » indique, d’autre part, le directeur général de Canon Algérie. Il est certain que les clients que Canon Algérie souhaite toucher, utilisent ou utiliseront plus tard Internet. L’entreprise Canon s’inscrit ainsi dans un mouvement d’anticipation au lieu de réagir dans la précipitation à la concurrence ou subir la loi du marché. Internet est le moyen idéal dans la recherche de nouveaux clients pour un investissement modéré. Cette tendance est de plus en plus lourde dans le monde de l’informatique. L’entre-prise cible autant les produits mass market (grand public) que les solutions d’entreprise.
Le faible taux d’accès à Internet en Algérie est dû, selon eux, à plusieurs facteurs, notamment l’absence d’une vision stratégique globale quant au développement des technologies de l’Internet avec la fixation d’objectifs clairs et le développement des sites Internet à contenu numérique localement accessible. La faible croissance du réseau de téléphonie fixe et le coût encore élevé comparativement au pouvoir d’achat, du matériel informatique constituent également des obstacles pour l’édification de la société de l’information. Les spécialistes insistent sur la nécessité de mettre en place un plan d’action stratégique en mobilisant les ressources humaines et financières nécessaires, si on veut réellement se mettre au diapason des défis imposées par la globalisation avant de rater définitivement le train de l’évolution.
Le site de l’association des compétences algériennes (ACA) a été, tout récemment, activé. Il s’agit du : www.aca-dz.org/default.aspx. Le site en question devra être présenté en version finale très prochainement. Le visiteur de ce site censé être en trois langues (Arabe, Français et Anglais) a la possibilité de connaître la très récente association des compétences algériennes dont les fondements ont été établis à l’issue de la première conférence des compétences algériennes organisée en avril dernier. Une conférence à laquelle, rappelons-le, ont participé des chercheurs, universitaires et autres chefs d’entreprises établis à l’étranger ainsi qu’un certain nombre d’académiciens algériens vivant en Algérie. Le site très acceptable sur le plan technique et esthétique n’est pas encore riche en information en raison du fait que l’ACA ait été créé depuis peu et n’a donc pas beaucoup d’activités à son actif. Le site assure, en outre, des liens vers des institutions et des organisations algériennes et internationales. Le site évoque, dans la rubrique « conférence 2008 », la tenue de la deuxième conférence des compétences algériennes, prévue les 17, 18 et 19 avril à l’hôtel Aurassi à Alger. D’après un document exclusif que nous nous sommes procuré récemment, la deuxième conférence des compétences algériennes sera bien plus riche en terme de sujets et de participants que la première. Le nombre de sponsors a lui aussi augmenté, un certain nombre d’entreprises et d’institutions ayant manifestement pris conscience de l’importance que revêt désormais cet événement. En ce qui concerne la participation, outre les algériens d’Europe et d’Amérique du nord, des cadres vivant dans des pays telles que les Emirats Arabes unis, l’Arabie Saoudite ou encore l’Australie viendront enrichir cette rencontre. La conférence d’avril prochain portera sur six thèmes. Il s’agit de la santé, de l’agriculture et la biotechnologie, les nanotechnologies, l’énergie et l’environnement, le transport et le développement urbain et la sécurité. Il s’agira pour les participants venus de différents pays et horizons de livrer leurs expériences et celles de leurs pays d’accueil en ce qui concerne ces thèmes en vue d’aider les décideurs et autres cadres algériens à avoir une meilleure visibilité sur les avancées technologiques dans plusieurs domaines d’activité. Sur un autre plan, le site de l’ACA permettra de jeter des ponts permanents entre les algériens d’ici et d’ailleurs. Il fera également office de banque de données donnant la possibilité de mieux connaître ce que font les algériens vivant à l’étranger mais surtout ce qu’ils pourront faire pour l’Algérie. Les compétences vivant en Algérie auront quant à elles la possibilité de dialoguer avec d’autres algériens travaillant dans des domaines similaires mais dans des conditions différentes. Il y a lieu de signaler, à ce propos, que le site Internet dédié aux inventeurs algériens vivant à l’étranger et qui devra être lancé prochainement par un algérien vivant aux Etats-Unis, mais aussi le projet de mise au point d’un listing détaillé des cadres algériens par l’agence de valorisation de la recherche scientifique sont autant de pas dans le bon sens, celui du transfert de technologie vers l’Algérie.
Omar Seddiki, doctorant dans le domaine de la physique résidant au Canada, est sorti tout récemment de l’anonymat en mettant au point une nouvelle combinaison de produits permettant la fabrication d’un télescope à miroir liquide. A travers cette réalisation, l’Algérien Omar Seddiki réussit où beaucoup d’autres chercheurs ont échoué. Le miroir liquide en question est très adapté aux conditions extrêmes caractérisant la surface de la lune. Les travaux menés par M. Seddiki et son équipe ont été subventionnés et suivis par la très célèbre Agence spatiale américaine NASA. L’ancien étudiant de l’USTHB, désormais célèbre pour cette prouesse scientifique, nous parle de son parcours et des conditions à réunir pour permettre à l’Algérie de tirer profit des compétences algériennes établies dans différents pays du monde.It Mag : Tout d’abord, pouvez-vous nous donner une idée sur votre parcours universitaire et que faites-vous exactement en ce moment ? Omar SedikiPhysicien a mis au point le fabrication d’un telescope à miroir liquideM. Omar Seddiki : J’ai obtenu un diplôme d’ingénieur en électronique en 1990 à l’université des sciences et technologies Houari Boumediene de Bab Ezzouar (USTHB). Après la fin de mes études universitaires, j’ai commencé ma carrière professionnelle dans le secteur industriel. J’ai travaillé pendant 12 ans dans l’industrie, dont 6 ans dans la société SMEI. Je me suis installé au Canada à partir de l’année 2003. Une année plus tard, j’intègre le groupe de recherche des miroirs liquides à l’université Laval. En 2006, j’ai obtenu une maîtrise en physique. Actuellement, je prépare un doctorat en physique dans la même université.Pouvez-vous nous parler de votre départ vers le Canada. Dans quelles circonstances avez-vous quitté l’Algérie et quelles étaient vos motivations ?A un moment donné, j’ai senti la nécessité d’enrichir ce que j’avais cumulé en matière d’expérience professionnelle, mais aussi sur le plan intellectuel. Suivant cette logique, il m’a semblé important de faire le nécessaire pour évoluer dans un milieu exigeant où je puisse acquérir une expérience répondant aux normes de travail internationales. C’est ainsi que j’ai quitté mon pays fin janvier 2003 pour le Canada.Vous avez réussi à trouver une combinaison de produits permettant la fabrication d’un télescope à miroir liquide. Pouvez-vous donner une idée plus précise sur cette trouvaille et surtout sur les avantages qu’elle présente ?Notre groupe de recherche a déjà développé des techniques de fabrication de télescope à miroir liquide pour les applications terrestres. Pour le projet de miroir liquide sur la lune, ces techniques ne peuvent pas être utilisées, car les conditions d’utilisation sur la Lune sont très différentes : très basse pression de vide due à l’absence d’atmosphère et très basse température d’utilisation. On a donc opté pour un procédé déjà utilisé pour la métallisation des miroirs de télescope en verre et qui consiste à l’évaporation d’un métal sous vide. La difficulté résidait dans le fait que ce procédé n’a jamais été essayé sur un liquide. Il fallait donc développer un savoir-faire et des techniques pour l’adapter et trouver le liquide qui pouvait convenir aux conditions extrêmes de l’environnement lunaire. Au départ, on procédait par essais et erreurs, et très vite on a pu franchir un premier palier lorsqu’on a pu déposer une couche d’aluminium sur un polymère liquide hydrophile. Puis une autre étape majeure a été franchie un an après nos premières expériences, et cela lorsqu’on a déposé une mince couche d’argent sur un liquide ionique. Ces liquides sont des solvants qui peuvent être conçus avec un ensemble particulier de propriétés. Ils ne s’évaporent quasiment pas et ils restent liquides à des températures très basses. Ce qui fait d’eux les « candidats » les plus sérieux pour le projet d’un miroir liquide sur la Lune.Comment vous êtes-vous retrouvé impliqué dans les travaux relatifs à ce projet ?L’Agence spatiale américaine (NASA), via son Institut pour les concepts innovants (NIAC), a décidé en 2004 de subventionner l’idée de télescope lunaire proposé par le professeur Borra. Ce dernier, qui était mon directeur de recherche, m’a chargé de reprendre des expériences de métallisation sous vide qui ont été abandonnées il y a quelques années faute de résultats probants. J’ai repris les expériences en variant les liquides. J’ai fini par obtenir un premier résultat positif qui a démontré la faisabilité du projet, ce qui nous a permis d’obtenir des financements pour continuer nos recherches.Est-ce que les chercheurs et étudiants algériens résidant au Canada sont en contact (sous forme d’association ou autre) ? Existe-t-il suffisamment d’échanges entre les membres de la communauté scientifique algérienne ?Sur le plan humain, les contacts ent
Source : Horizons (18/10/2007).
Les spécialistes de la question se sont souvent interrogés sur l’aboutissement de ce grand projet numérique, initié, rappelle-t-on, dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations de la e-commission depuis 2004.
Ce système permettra, explique le ministre, de développer les services publics, de moderniser les administrations et les entreprises. Il ne se limite pas seulement, selon lui, à l’introduction des outils informatiques dans les institutions mais aussi à l’amélioration de la gestion interne et des relations avec le citoyen. Ce portail gouvernemental, devant raccorder tous les portails ministériels, sera, de ce fait, à l’usage des citoyens et des entreprises. Il vise, d’après M. Haichour, à l’élimination totale du papier, de façon à mettre fin aux tracasseries bureaucratiques.
Après avoir procédé à l’inauguration de la conférence initiée par le World Trade Center dont le thème a été « l’analphabétisme numérique », le ministre s’est déplacé ensuite au pavillon G où s’est déroulé le salon Hi-Tech 2007. 25 exposants, où Djezzy, Algérie Télécom, Mobilis, Sitel, Sororcom sont présents en vue d’afficher les grandes nouveautés du monde numérique en Algérie.
« Le secteur de la télécommunication est en train d’aller graduellement vers la maîtrise des technologies de l’information et de la communication pour combler à jamais le fossé de l’illettrisme numérique existant entre les pays avancés et ceux en voie de développement », estime le ministre.
Des textes sont en préparation sur la cybercriminalité
M. Haichour indiquera, sur un autre registre, que des textes législatifs sont en préparation en collaboration avec le ministère de la Justice sur la cybercriminalité. Cette démarche s’inscrivant dans le cadre de la cyberlégislation vise, selon lui, à maîtriser au mieux les réseaux et les sites générant des situations de violence. S’agissant de l’opération Ousratic (un PC pour chaque famille), le ministre a déclaré qu’un grand travail est train de se faire à l’échelle nationale en vue de booster ce projet. Tout en se déclarant conscient que le développement économique et local est tributaire du développement des infrastructures numériques, le ministre fera savoir, par ailleurs, que 1600 localités vont bénéficier de réseaux de télécommunication. &n bsp; &n bsp; &n bsp; &n bsp; Source : Horizons (18/10/2007).
Avec plus d’un million d’étudiants inscrits, cette rentrée s’annonce difficile et compliquée tant un malaise diffus règne au sein du corps des enseignants, déçus autant par la nouvelle grille salariale « défavorable et discriminatoire » que par la manière avec laquelle celle-ci a été élaborée. L’ouverture officielle de l’année universitaire 2007-2008 en Algérie aura lieu après le mois du Ramadhan, lorsque les établissements universitaires à travers le pays auront achevé les préparatifs que nécessite la rentrée pour l’accueil des étudiants. Après avoir achevé les examens de rattrapage, la plupart des établissements universitaires ont annoncé la nouvelle rentrée conformément à ce qui a été décidé par le ministère de tutelle, a indiqué, hier, à l’APS le conseiller chargé de l’information au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Djamel Ben Hamouda. Les établissements universitaires accueilleront 1.052.000 étudiants, tous cycles confondus (graduation, post-graduation et université de la formation continue « UFC »), dont 270.285 nouveaux étudiants.
Volet infrastructures, le secteur a réceptionné 72.290 nouvelles places, 5 salles de conférences ainsi que 24 bibliothèques universitaires, fait savoir le même responsable. La capacité d’accueil du secteur s’élève, cette année, à 996.036 places. En matière d’oeuvres universitaires, le secteur a réceptionné 55.500 nouveaux lits et 28 restaurants dont 5 restaurants centraux. La capacité globale d’hébergement a atteint le nombre de 390.150 lits en Algérie. A propos de la préparation pédagogique, les formations du nouveau système ont été élargies à 278 points de formation pour le cycle licence couvrant 13 domaines de formation au niveau de 40 établissements universitaires. Dans le cadre de la réforme globale du système de l’enseignement supérieur entamé il y a 3 ans, il est prévu à cette rentrée universitaire d’entamer la formation en cycle master pour tous les licenciés de la première promotion du système Licence-Master-Doctorat (LMD). Il est programmé, à cet effet, l’ouverture de 184 masters au niveau de 10 établissements universitaires outre les préparatifs concernant l’ouverture de classes préparatoires aux écoles nationales supérieures.
D’après le Quotidien d’Oran
La qualité peut être définie comme étant l’ensemble des propriétés et caractéristiques d’un produit, d’un service ou d’une entité, qui lui confèrent l’aptitude à satisfaire les besoins et exigences exprimés et/ou implicites des clients et autres parties intéressées. Dans l’acceptation large de la définition de client, ce n’est pas seulement celui ou celle qui achète un service et qui l’utilise directement qui est concerné.
Toute personne ou entité constituée qui a des attentes directes ou indirectes envers un organisme de service peut être considéré comme un client. Depuis plusieurs années, l'Université algérienne est critiquée de toute part en raison de la baisse de la qualité de la formation qu'elle dispense. Le mécontentement quant à son efficacité est déclaré par les pouvoirs publics, les employeurs et les diplômés en exercice. Actuellement cette insatisfaction gagne largement l'opinion publique. La réforme de l’Université algérienne est de nouveau à l’ordre du jour.
En effet, beaucoup se demandent si l’enseignement supérieur ne serait pas un monde à part dans lequel les modèles de gestion en général, et plus particulièrement les principes de la qualité ne seraient pas applicables, du moins tels qu’ils sont employés dans le milieu industriel. Dans l’environnement actuel, la qualité de l’enseignement dans nos universités algériennes est presque entièrement garantie par les compétences des enseignants. En effet, les étudiants ne sont pas exigeants, ils sont des consommateurs passifs car ils se contentent de subir leur enseignement.
La dégradation des conditions pédagogiques et de l’exercice du métier d’enseignant : amphis et salles de TD surchargés, faiblesse des moyens matériels, suppression des TP, des mémoires de fin d’études et des stages de terrain, vont faire perdre l’équivalence aux diplômes universitaires algériens avec les diplômes européens et américains.
Les compétences des enseignants ne constituent donc plus une garantie suffisante de qualité. Si nous considérons que l’enseignement supérieur propose un service comme les autres, il va donc utiliser des normes et des certifications comme dans les autres secteurs. Il y a les normes internationales de la série ISO 9000. En ce qui concerne l’ISO, elle existe depuis 1946. Elle est une organisation non gouvernementale, mais occupe néanmoins une position privilégiée entre les secteurs privés et publics.
La norme ISO 9001, la plus souvent demandée par le secteur éducatif, concerne le management de la qualité, et plus particulièrement la satisfaction du client. Cette norme internationale spécifie « les exigences à utiliser pour évaluer l’aptitude de l’établissement à répondre aux exigences des clients et aux exigences réglementaires applicables pour traiter de la satisfaction des clients.
La visite du président de Microsoft en Algérie a été l’occasion pour Steve Ballmer de réaffirmer les ambitions du géant informatique dans le marché algérien.
Les perspectives d’associer Microsoft Corporation à la mise en oeuvre de programmes de transfert technologique et de pôles d’innovation en Algérie ont été soulevées jeudi lors d’un entretien entre le P-DG de cette firme, Steve Ballmer, et le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour. La participation aux activités du cyberparc de Sidi Abdellah, le renforcement du rôle de Microsoft dans l’opération "Ousratic" et l’expertise que pourrait apporter cette compagnie dans les systèmes de paiement de masse de la poste ont été également examinés.
Le président-directeur général de Microsoft, Steve Ballmer, a affirmé mercredi, à Alger, que son entreprise était prête à aider au développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie. "J’ai dit au président que la politique de Microsoft était toujours la même : poursuivre l’aide pour le développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie", a déclaré M. Ballmer à la presse, à l’issue d’une audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le président Bouteflika "pense au rôle important des nouvelles technologies, un secteur également important pour Microsoft", a-t-il souligné.Le groupe Algérie Télécom prévoit la construction d’un méga espace Internet à Béjaia en partenariat avec la wilaya.
L’entreprise Algérie Télécom et les autorités de la wilaya de Béjaïa se sont entendues pour réaliser en commun un méga-espace Internet de 200 postes.
Algérie Télécom et les autorités de la wilaya de Béjaïa restent, cependant, partagées sur les moyens à mettre en oeuvre pour réaliser le projet, la wilaya ayant opté pour la construction d’une structure neuve, alors que les responsables d’Algérie Télécom optent pour un local qui soit aménageable à cet effet.Le prix de l’accès à Internet en Algérie sera revu à la baisse pour permettre aux algériens de profiter de ses avantages.
Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaa Haichour, a annoncé, samedi à Béjaïa, la volonté de son département de procéder, dans les mois à venir, à la baisse des prix d’accès à l’Internet en Algérie et de donner la possibilité au plus grand nombre de pouvoir disposer de cet instrument moderne de communication. "Nous allons casser les prix et démocratiser l’Internet en Algérie en permettant à chaque foyer d’y accéder", a affirmé le ministre en marge d’une visite de travail qu’il effectue dans la wilaya de Béjaïa.
A l’occasion de sa visite en Algérie, le président de Microsoft Steve Ballmer a été accueilli par le président Abdelaziz Bouteflika.
A l’issue de l’audience que lui a accordée le chef de l’Etat, M. Steve Ballmer a affirmé que Microsoft était prête à aider au développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie. « J’ai dit au Président que la politique de Microsoft était toujours la même : poursuivre l’aide pour le développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie », a déclaré M. Ballmer. Le président Bouteflika « pense au rôle important des nouvelles technologies, un secteur également important pour Microsoft », a-t-il souligné.
Le PDG de Microsoft a par ailleurs qualifié son entrevue avec le président Bouteflika de « fascinante et intéressante ». Le président Bouteflika « a réalisé des choses remarquables et est en train de réfléchir sur le développement de l’économie et de la société (algériennes). Nous avons eu une conversation passionnante et je suis extrêmement heureux et enthousiaste d’être en Algérie », a-t-il dit. Le PDG de Microsoft a été par la suite reçu par le ministre de l’Education nationale, M. Boubekeur Benbouzid, au siège de son département. L’entretien a porté sur les possibilités de partenariat et d’appui aux réformes du système éducatif entre le ministère de l’Education nationale et la campagne Microsoft visant à développer les technologies de l’information et de la communication en milieu éducatif algérien.- Conditions d’accès :
Etre titulaire du diplôme d’ingéniorat d’état en Informatique (ou d’un diplôme reconnu équivalent).
Options, Epreuves et Nombre de postes :
Ingénierie des Systèmes Informatiques (ISI) : Dix (10) Postes.
Systèmes d’Exploitation & Réseaux : Durée de l’épreuve : Trois (03) Heures ; Coefficient : Cinq (05).
- Durée de l’épreuve : Deux (02) Heures ; Coefficient : Trois (03).
- Durée de l’épreuve : Une (01) Heure ; Coefficient : Un (01).
- Le 23 et 24 octobre 2007. Le concours aura lieu au Département d’Informatique.
- Demande manuscrite (joindre le numéro de téléphone) ; Un Acte de Naissance ; Copies conformes légalisées du Baccalauréat et du Diplôme d’ingéniorat d’état en Informatique (ou diplôme équivalent) ; Un Enveloppe timbrée libellée à l’adresse du candidat (15 x 22cm) ; Une Photo d’identité.
- Les dossiers doivent être déposés au niveau du département d’informatique avant le 20 octobre 2007 ; Tout dossier incomplet ou non conforme, ne sera pas pris en considération ;
14 000 nouveaux inscrits attendus à Sétif
Le campus de l’université Ferhat Abbès, avec ses différents pôles, s’apprête, dans les prochains jours, à accueillir une importante masse d’étudiants, estimée à plus de 50 000 universitaires, dont 14 000 nouveaux inscrits.
Ce gigantesque flux d’étudiants ne sera, qu’on le veuille ou non, pas facile à gérér, sachant que de nombreuses filières affichent, en matière d’encadrement, des déficits d’autant que le déséquilibre entre inscrits et sortants, au nombre de 5 600, est significatif et exempt donc de tout commentaire. La gestion et la répartition des structures pédagogiques et administratives ne seront, en outre, pas un jeu d’enfant. Les efforts de recrutement, sous diverses formules, n’atténueront que partiellement les manques qui se répercutent inévitablement sur la qualité de l’enseignement dispensé. Certaines filières des sciences sociales sont les plus touchées par ce problème. Les sciences médicales ne sont pas mieux loties. Cette année universitaire sera marquée par la sortie de la première promotion de licenciés en communication (journalistes). La corporation sera prochainement renforcée par du sang neuf qui va, sans nul doute, impulser une nouvelle dynamique à la confrérie. Ayant souffert, des années durant, des mauvaises conditions, les étudiants de la faculté de médecine, qui ont déjà entamé les cours, vont bénéficier de nouvelles structures d’une capacité de 4 000 places pédagogiques situées non loin des futurs centres anticancéreux et de la gériatrie, en réalisation sur le plateau d’El Bez où est implanté le deuxième pôle en pleine expansion, parallèlement au troisième en chantier, à la sortie nord-est de Sétif. Ce nouveau campus comprendra, une fois achevé, sept résidences universitaires avec 14 000 lits, ainsi que des infrastructures pédagogiques de plus de 14 000 places. En attendant ces nouvelles acquisitions, l’université de Sétif, fonctionnant avec 1 145 enseignants, dont 82 professeurs et 148 maîtres de conférences, devra faire face aux déficits de l’hébergement et de la restauration de cette masse, sachant que les capacités d’accueil, qui ont été ces dernières années pourtant renforcées par des milliers de lits et de nombreux restos, auront des difficultés à répondre à une forte demande. La réception prochaine de deux résidences de 4 000lits va, quelque peu, atténuer la tension, sans pour autant régler définitivement le problème. Et pour rapprocher les étudiants résidents des espaces d’enseignement, l’on parle d’une nouvelle organisation qui devra, nous dit-on, aider l’étudiant qui n’a pas manqué, la saison écoulée, de soulever le problème du transport qui demeure l’autre casse-tête des universitaires, obligés de composer avec les dérapages de certains transporteurs qui faisaient, selon de nombreux étudiants, la loi. Ces volets, qui auront des incidences sur le cursus des 50 000 étudiants de la 5e université du pays, seront-ils sérieusement pris en charge, vu que la politique des palliatifs a montré ses limites ?
K. B. EL Watan Edition du 3 octobre 2007
Ont été conviés au débat plusieurs spécialistes dont le président de l’association algérienne des opérateurs d’accès à Internet.
Ce dernier précise que l’opportunité de la présence du leader américain de l’informatique en Algérie, au même titre que tous les autres pays de l’hémisphère sud, afin de mieux vulgariser l’usage informatique, notamment dans des domaines stratégiques comme l’Education, doit constituer une base de décollage pour un secteur qui accuse un réel retard. L’intervenant dira que si, initialement, l’accès à Internet a été conçu par rapport à des besoins de recherche et de facilitation de la vie quotidienne, en Algérie on est encore au stade d’un moyen de divertissement.
Dans la foulée, le président de l’association abordera le programme «Ousratic» qui tarde à prendre forme en raison de l’absence d’une stratégie globale en matière de développement d’Internet. L’invité de la Chaîne 2 dira que ce dernier nécessite 3 conditions à savoir: un micro, un accès fiable et rapide et enfin un contenu prédéfini. Sur ce point, il dira qu’au Mexique, l’Etat a offert un micro et un accès gratuit à Internet à tous les enseignants. Cela a permis à ces derniers d’améliorer le contenu des cours et le niveau de l’enseignement
L’intervenant abordera l’accessibilité à Internet pour affirmer qu’elle demeure plus chère qu’en France où un micro ne représente qu’1/10 du SMIG, alors qu’en Algérie c’est 3 fois le SNMG. La solution réside dans des actions courageuses pour stimuler l’usage, tout en contrôlant le contenu et en incitant toutes les entreprises et les institutions à créer leurs propres sites web. Cela reste du domaine du possible d’autant que les pouvoirs publics ont affiché une réelle volonté dans le domaine comme l’atteste l’objectif dévoilé par le président de la République à savoir qu’en 2010, 6 millions de familles auront accès à Internet. S’agissant d’ADSL, l’invité de l’émission dira que cette formule est loin d’atteindre l’objectif fixé en septembre 2003 à savoir 3 millions d’abonnés dans la mesure où 4 ans après, seuls 200.000 abonnés ont été inscrits. Pour l’intervenant, la solution n’est pas uniquement de réduire les prix, mais de faire d’Internet, un moyen incontournable dans la quotidienneté de chaque citoyen.
L'éditeur annonce que les constructeurs de PC pourront commercialiser Windows XP cinq mois de plus, à la demande de ses clients. En cause, l'adoption plus lente que prévue de Vista.
Karine Solovieff , 01net., le 28/09/2007 à 18h55
Windows XP va devoir jouer les prolongations pendant cinq mois. Microsoft vient en effet d'annoncer que les fabricants d'ordinateurs pourront commercialiser le système d'exploitation avec des PC neufs jusqu'au 30 juin 2008, au lieu du 30 janvier. A cette date, XP fêtera presque ses sept ans. Un record de longévité pour un système d'exploitation Microsoft, et qui n'est pas forcément bon signe pour l'adoption de Windows Vista.
L'éditeur fournit une explication simple qui ne manque pas d'aplomb à cette décision : « Bien que Windows Vista soit le système d'exploitation qui se vend plus rapidement que tous ses prédécesseurs, certains de nos clients ne sont pas prêts et préfèrent garder XP. » Microsoft avait déjà surpris ses utilisateurs en confirmant cet été, la sortie en 2008 d'un service pack 3 pour son ancien Windows.
Selon le cycle de vie des produits de l'éditeur, un système d'exploitation reste disponible deux ans après la sortie d'une nouvelle version. Pour Windows Vista, Microsoft s'est montré plus optimiste. A tort. « Je pense que nous avons été un brin trop ambitieux de penser que nous pourrions retirer Windows XP du marché seulement un an après l'arrivée de Vista », déclare dans un communiqué Didier Burdinat, directeur de la division Windows de Microsoft France. Les pays émergents, eux, auront même droit à Windows XP jusqu'au 30 juin 2010, avec la version XP Starter Edition, qui leur est réservée.
Troquer Vista contre XP
En réalité, Microsoft ne fait qu'étendre une offre qu'il avait très discrètement mise en place à la demande des grands constructeurs comme Lenovo, Fujistu-Siemens et Dell entre autres. Depuis plusieurs mois, ces derniers peuvent proposer à leurs clients un programme spécifique de retour à Windows XP. Baptisé Windows Vista Downgrade, il s'adresse principalement aux entreprises ayant des machines livrées avec Windows Vista Business et qui rencontrent des problèmes de compatibilité avec leur parc d'applications existantes. Dans l'esprit de Microsoft, ce retour n'est que temporaire, le temps que les éditeurs sortent des versions compatibles avec Vista.
« En contactant simplement leur service après-vente, ils obtiennent gratuitement une copie de Windows XP Professional ou Tablet PC, confirme une porte-parole de Lenovo. Il s'agit bien d'une version complète, fournie avec tous les pilotes et accessoires nécessaires. » Le programme est également valable pour les possesseurs de Windows Vista Intégral, une édition spéciale qui devait être fournie avec une panoplie d'accessoires supplémentaires, qui tardent à venir. Le grand public, lui, n'a pas cette chance. En dehors de Dell, qui propose encore quelques machines équipées de Windows XP (et depuis peu sous Linux), tous les constructeurs ont adopté Vista. Sans aucune possibilité de retour vers son aîné.
Cette formation consiste en des visites pratiques à l’unité de lutte contre la cyber-criminalité relevant de la Police fédérale, à la banque de données de cette dernière structure et de la sécurité sociale, ainsi que la structure chargée de la protection des personnes, selon un communiqué du ministère de la Justice. Cette formation a pour objectif de «renforcer les connaissances juridiques et judiciaires des magistrats, d’autant plus qu’elle coïncide avec l’élargissement des compétences dans le domaine pénal après la création de pôles judiciaires spécialisés au niveau des cours d’Alger, de Constantine, de Ouargla et d’Oran». Rappelons qu’une autre délégation de magistrats, des juges d’application des peines et des cadres de la Direction générale de l’administration pénitentiaire se trouve depuis le 24 septembre en Suisse pour un stage de formation sur la «gestion du système pénitentiaire». La formation qui s’est déroulée au Centre suisse de formation du personnel pénitentiaire (CSFPP) a pris fin hier.
Le groupe Algérie Poste ambitionne d’introduire le paiement par téléphone mobile et la généralisation des cartes à puce magnétique.
Les 9 millions de clients titulaires de comptes courants CCP à travers le territoire national, qui bénéficieront d’ici à 2008 de leurs cartes à puce magnétiques, pourront outre le retrait automatique de leur argent, effectuer des opérations de payement électronique de leurs différents achats avec cette carte. C’est ce qu’a précisé, hier, la directrice générale d’Algérie Poste, Mme Houadria, en marge de la visite d’inspection et de travail du ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (TIC), le Dr Boujemaâ Haïchour, dans les établissements de la poste et des télécommunications de la wilaya de Tipaza. C’est une opération menée selon la directrice de la poste, en collaboration avec le ministère des Finances. L’opération pourrait être généralisée selon le ministre même au niveau des rues « pour que le citoyen ne soit pas obligé ou contraint de se rapprocher de la poste », indiquera-t-il.« L’objectif du secteur de la poste dans le cadre de la monétique est de doter d’ici à 2008 les 9 millions de clients de cartes à puce magnétiques pour le retrait leur argent à partir des Guichets automatiques de banques (GAB) installés à l’entrée des postes. Pour ce faire, on a déployé plus de 400 GAB pour faciliter cette opération », enchaîne la directrice de Algérie Poste. Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication a rassuré les clients de la poste que leur argent est en sécurité. « La poste, étant une Epic, est l’une des plus grandes institutions qui gère et manipule 16 milliards de dinars à ce jour des comptes CCP. C’est comme une banque mais pour le service public. » Le directeur général de Mobilis ajoutera pour sa part qu’il y a une grande innovation entre le secteur de la poste et l’ opérateur téléphonique Mobilis. Ce qui permettra très bientôt d’arriver à effectuer toutes les opérations de payement et d’achat par téléphone portable.ICWIT'08 est la 1ère édition de la conférence " International Conference of Web and Information Technology" organisé par le département d'informatique de l'université Djillali Liabés de Sidi Bel Abbés . La conférence ICWIT se veut un espace convivial et privilégié de rencontres de discussions et d'échanges de résultats, entre chercheurs algériens et étrangers qui a pour objectif de regrouper des chercheurs autour de débats sur thèmes d’actualité en Informatique.
Un autre objectif des journées est de permettre aux jeunes chercheurs du domaine de présenter leurs travaux à l'ensemble de la communauté. Aussi les étudiants en thèse sont encouragés à soumettre leurs travaux en cours; un prix du meilleur papier "jeune chercheur" sera décerné à l'issue de la conférence.Thèmes (liste non limitative): Semantic Web Web Services Ontologies engineering Data Mining & Web Mining Web intelligent Web reengineering & Web reverse engineering Data warehouse & Web warehouse Mobile & Wireless technology Grid computing Geographic information Systems Information Systems and Web pervasif Information Systems Interoperability of information Systems Automatic processing of natural language Multi-Agents Systems E-learningLe premier concours africain de l'étudiant en médecine et du jeune médecin a été officiellement lancé, jeudi, à l'université Ferhat-Abbas de Sétif en présence des autorités locales et des membres
du corps médical venus de différentes wilayas du pays. Ce concours, organisé par le club scientifique de la faculté de médecine de Sétif, est un “espace de compétitions ouvert aux étudiants en médecine et aux jeunes médecins dont l'âge ne dépasse pas les 35 ans”.
Un comité de lecture, composé d'éminents professeurs de renommée internationale, aura pour mission, selon ses initiateurs, d'évaluer les travaux présentés en “accordant une priorité aux enquêtes épidémiologiques entreprises sur le terrain”.
Les 10 meilleurs travaux de recherche présentés à l'occasion de ce concours, qui s'étalera du 13 septembre 2007 au 31 mars 2008, feront l'objet d'une publication et seront récompensés par un prix qui “leur sera décerné par le président de la République, le 19 mai prochain, Fête nationale de l'étudiant”, indiquent les organisateurs
Liberte le 15/09/2007
It Mag : Tout d’abord, donnez-nous une idée sur les formations que vous
avez suivies. Ont-elles un lien direct avec ce que vous avez réalisé
jusqu’ici ?
Mohamed Darfoul : En fait non. Initialement, j’ai fait des études dans
le domaine du commerce international, mais j’ai toujours été attiré par
tout ce qui est technique. Je ne me suis d’ailleurs pas privé de toucher
à des domaines qui n’ont rien à voir avec les études que j’ai suivies à
l’université. Mon intérêt pour le domaine technique en général a fait
que je me suis formé dans plusieurs domaines, tout en faisant de petits
métiers. Les métiers dans lesquels je me suis justement formé sont ceux
de l’électricité automobile, la réparation d’équipements électroniques,
l’infographie, la conception et la réalisation publicitaire, la
ferronnerie, la menuiserie et la maçonnerie. Aujourd’hui, je peux dire
que je maîtrise ces domaines à différents degrés, et cela m’aide
beaucoup dans la réalisation de mes inventions. D’un autre côté, j’ai
été membre de la Ligue des activités scientifiques de la wilaya de Médéa
et de l’Association nationale des inventeurs algériens (ANIA). Une
manière pour moi de rester à la page et d’être au courant de ce qui se
passe autour de moi.
Vous avez inventé un distributeur automatique intelligent pour cartes de
recharge. Pouvez-vous nous donner plus de détails et combien de temps
vous a-t-il fallu pour mettre au point cet appareil ?
Le distributeur automatique intelligent pour cartes de recharge
téléphoniques a été breveté au niveau de l’Institut national algérien de
propriété industrielle (INAPI) au courant de l’année. Il s’agit d’un
appareil fonctionnant un peu comme un distributeur de boissons.
L’appareil permet d’obtenir des cartes téléphoniques en introduisant une
pièce dans une fente. Ce qui rend ce distributeur particulier, c’est le
fait qu’il puisse avertir l’agent chargé de son entretien lorsqu’il ne
reste plus de cartes ou lorsqu’il en reste quelques-unes seulement.
L’agent reçoit un signal directement sur son téléphone portable. La
machine est programmée de façon à ne pouvoir s’ouvrir qu’à des heures
précises de la journée, ce qui signifie que même si quelqu’un parvient à
voler la clé de la machine, il ne peut voler son contenu. En d’autres
termes, la machine s’ouvre avec une clé mais à des moments précis de la
journée. Dans sa forme actuelle, la machine peut distribuer deux genres
de cartes, puisqu’elle est dotée d’un dispositif lui permettant
d’accueillir deux rangées de cartes de recharge. Les distributeurs de
cartes de recharge ne sont pas supposés être installés dans la rue par
exemple, mais plutôt dans des hôtels ou même au niveau des points de
vente de l’opérateur téléphonique concerné. Pour mettre au point cette
machine, j’ai dû faire appel à mes connaissances dans les domaines de la
mécanique et de l’électronique et des télécommunications.
Avez-vous proposé cette machine à des opérateurs télécom algériens ?
Oui. Le seul qui a répondu est OTA que je remercie d’ailleurs pour
m’avoir répondu au moins. Je signale aussi que j’ai contacté d’autres
opérateurs pour leur proposer mon distributeur automatique. Il s’agit
des opérateurs Nedjma et Mobilis. J’ai également fait des propositions
aux opérateurs Oria et Lacom en ce qui concerne la téléphonie fixe.
Parlez-nous de vos contacts avec Djezzy. Comptez-vous proposer votre
invention à une autre société ?
Les responsables de Djezzy sont actuellement en train d’étudier les
utilisations possibles de mon invention. Nous avons d’ailleurs parlé
d’un autre appareil que je vais mettre au point prochainement.
Vous avez d’autres inventions. Pouvez-vous nous en parler ? Pourquoi ne
sont-elles toujours pas brevetées ?
J’ai effectivement réalisé d’autres inventions avant le distributeur de
cartes de recharge téléphoniques. Il s’agit, entre autres, de la poche
de sérum intelligente qui se bloque automatiquement lorsque le liquide
est consommé, et ce, afin d’éviter le passage de bulles d’air dans
l’organisme du patient. La poche en question attire l’attention des
infirmiers à travers un dispositif particulier. J’ai également mis au
point une canne pour non-voyants dotée d’un dispositif permettant à
leurs propriétaires de détecter avec précision leur emplacement. J’ai en
outre mis au point un système de verrouillage d’ordinateurs en appui au
mot de passe qui peut être surmon
(Le quotidien d'Oran-16/08/2007-) Le système algérien est-il frigide ou manque-t-il d'intelligence ? Fonctionne-t-il selon un archétype suranné dont il ne peut s'en défaire ou refuse-t-il sciemment de se moderniser ?
Parce que se moderniser, c'est « s'obliger à s'adapter » aux ambitions sociales, particulièrement, à celles de la jeunesse estudiantine désireuse de faire valoir son droit inaliénable: une formation universitaire à la hauteur de ses aspirations. «Le meilleur» exemple en «pis» est, à notre avis, l'université algérienne qui est en train de faire naufrage, doucement mais sûrement et ce, au vu et au su des politiques.
Ces derniers persistent, dangereusement, dans leur indifférence autiste aux doléances motivées et aveugles à la déconfiture, pourtant, patente de l'université. Le système politique prime-t-il sur l'entité universitaire ? La communauté universitaire assiste, impuissante, à ce « lèse-intellectualité » perpétré par des assassins de la culture.
Cette tragédie que vit, aujourd'hui, l'institution universitaire est due à la dévalorisation criminelle de la fonction intellectuelle sans parler, bien sûr, des vides culturel et spirituel abyssaux ainsi que les pesanteurs idéologiques dévoyées.
Les pays occidentaux ont acquis leur actuel niveau de technologie enviable parce qu'ils ont érigé un véritable culte sacral au savoir au point de l'élever au rang d'une seconde religion. C'est, pourtant, au niveau de la fonction intellectuelle, sur laquelle insiste explicitement notre Saint Coran, que se situe toutes les chances de réussite sociale et nationale à la condition sine qua non qu'elle ne soit pas coupée des réalités sociales. Le potentiel intellectuel, qu'on le veuille ou pas, est l'unique assurance de la croissance de la productivité et du développement social, économique et culturel.
Aujourd'hui, l'intelligentsia nationale est exclue sciemment par des opportunistes au pouvoir pour des desseins suspects. Ce qui explique que l'Algérie est devenue un corps sans âme du fait que la dynamique de changement - et donc d'adaptation - reste, pour l'heure, inexistante. Cette situation du statu quo, voulue et maintenue par des forces occultes, périclite le pays dans un irrémédiable que nul ne peut présager ses retombées.
Une stabilité factice n'équivaut en rien une stabilité concrète qui garantit un équilibre et une paix sociaux effectifs. Ces derniers sont établis par consensus car leur dynamique est motivée par des valeurs intrinsèques telles que la justice sociale, l'égalité de tous devant la justice, l'égalité des chances, le mérite... De ce fait, on pourrait dire que la démocratie, en Algérie, est « visiblement en vue ». Il y a, certes aujourd'hui, la classe politique qui jouit de tous les privilèges tels que la considération sociale et un salaire faramineux qui dépasse tout entendement.
Par contre, le système refuse de voir l'élite intellectuelle s'organiser en classe scientifique par crainte de se constituer en force d'opposition dont le contrôle échappe au Pouvoir.
D'ailleurs, comment peut-elle l'être, alors que le statut particulier de l'enseignant-chercheur est bloqué sciemment depuis des lustres sans jamais voir le jour. Il est à rappeler aux décideurs que le système salarial est plus favorable aux opportunistes qui se sont emparés des postes politico-administratifs (chefs de daïra, walis, députés...) souvent par trabendisme, «régionalisme» et/ou «tribalisme», alors que les cadres de pointe se voient relégués aux postes de sous-ordre. Pourtant « L'article 04 du décret exécutif 98.254 du 17 août 1998 définit clairement [...] que l'habilitation universitaire sanctionne en particulier la reconnaissance d'un haut niveau scientifique(1) » (de l'enseignant-chercheur).
L'université algérienne vit, actuellement, un naufrage sans précédent. Autrefois, sanctuaire du savoir, elle est devenue, de nos jours, un parking pour chômeurs diplômés. L'insuffisance de sa qualité de service a favorisé la médiocrité de la formation dont pâtissent nos étudiants, aujourd'hui, avec, pourrait-on dire, la consécration du Pouvoir. Il faut rappeler que l'université est la seule et unique institution qui forme les élites pour la relève.
L'impact de la recherche scientifique sur le développement économique n'est pas à démontrer. Cependant, construire des infrastructures universitaires, allouer des budgets conséquents à la recherche scientifique, c'est bien mais insuffisant si le principal facteur, qu'est le chercheur lui-même, en est exclu. C'est pourquoi, lorsque l'université s'enrhume, toute la société éternue. Toutefois, si son rôle n'est pas très reluisant, nous continuons à croire, bon an mal an, que tout n'est pas complètement noir. L'espoir reste encore permis si certaines conditions, que nous estimons honnêtes, se réunissent:
1°/ Cesser la m
De son côté, le chef de cabinet au ministère del'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique etreprésentant du ministre, M. Brahim Osman, a affirmé que «les TIC ontdonné un nouvel élan à l'enseignement à distance et à la formationcontinue à distance», ajoutant que «le travail collaboratif des campusnumériques supprime l'obstacle de la mobilité physique, donnant lapossibilité aux universités de sortir de leur isolement et de s'insérerdans les réseaux nationaux et internationaux de l'enseignementsupérieur et la recherche scientifique».
Il y a lieu de relever que l'utilisation destechnologies dans la formation ouverte et à distance offre plusieursavantages, dont l'accès à des ressources multimédias, la possibilitéd'échanger à partir de préoccupations pédagogiques et une plus grandeautonomie offerte pour réaliser des apprentissages dans ces espacesnumériques. M. Osman a énuméré un certain nombre d'actions entrant dansla stratégie d'intégration des TIC dans le cadre des réformes engagéespar le secteur.
Il s'agit notamment del'informatisation du secteur en développant un Intranet qui assure ladiffusion de l'information et l'analyse des données, le soutien deprojets intégrant les TIC, la formation continue des formateurs en lienavec les TIC (plus de 1 200 formateurs ont été formés à ce jour).
Ila également mis l'accent sur les nouvelles missions confiées à l'UFCpar la tutelle, telles que la mise en oeuvre de la télévisionuniversitaire du savoir et le développement des formations diplomantesprenant en compte l'adoption de la référence LMD à travers l'offre delicences professionnelles dans un dispositif de formation ouverte et àdistance. Certains modules des cursus LMD seront produits conjointementpar l'UFC et les autres universités et mis en ligne.