Formations aux TIC en Algérie

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Nouvelles

Aid El Fitr - par chellama le 14/10/2007 11:27

A l'occasion de l'Aid el fitr je vous presente mes meilleurs voeux
Voeux Chaleureux - par ZIDAT le 12/10/2007 20:36

Chers Abonnés musulmans de Avunet , mes vœux chaleureux pour notre Aid et je demande au Dieu de paix et de miséricorde de vous donner à tous une bonne santé, la sérénité et la prospérité. Takabala Allah Mina wa Minkoum.  Amine.
Plate-forme AVUNET - par avunet le 11/10/2007 14:08

Une plate-forme expérimentale de type moodle  sur le site http://avunet.free.fr  est maintenant opérationnele.

Par ce message, je lance un message aux enseignants pour l'expériementer et surtout a proposer des cours en ligne pour les étudiants

Vous pouvez aussi dire a vos collègues de faire pareil.

On pourra utiliser le site comme plate-forme de telechargement de vos publications disponibles sur le web.

Je compte à nouveau sur vous pour l'animation du site http://avunet.info.free.fr

Saha Aidkoum a vous et vos familles et je compte sur vous.

Mahieddine DJOUDI

Fonctions attribuées aux TIC en enseignement universitaire - par ZIDAT le 09/10/2007 16:23

Fonctions attribuées aux TIC en enseignement universitaire k La vision des TIC en tant que simples véhicules d’information serait encore assez répandue chez la majorité des enseignants universitaires algériens. Ils perçoivent à tort les TIC essentiellement, voire exclusivement, comme des moyens de présenter l’information selon des modalités originales par rapport aux « anciens » médias d’apprentissage. Les usages les plus fréquents des TIC concernent l’usage du traitement de texte, de publication assistée par ordinateur et du PowerPoint pour construire du matériel de cours.De ce fait,  ils limitent le potentiel de changement pédagogique que peut favoriser l’usage des TIC en éducation.Les TIC permettent  aux étudiants et aux enseignants  non seulement de présenter et de prendre connaissance d’informations prenant divers formats médiatiques, mais également d’en rechercher, d’en produire, d’en communiquer, d’en analyser et d’en transformer. En ce sens, elles nous invitent à élargir la définition même du « média d’apprentissage ». Celui-ci peut avoir une fonction non seulement de véhicule de messages éducatifs mais également de systèmes symboliques, d’outil cognitif et d’outil de médiation entre des personnes, des objets et des idées. Les TIC appelle à un élargissement de la définition des médias en tant qu’extensions des capacités humaines. Certains auteurs croient qu’elles constituent, de fait, de véritables partenaires intellectuels.  On peut dès lors parler d’une « cognition distribuée » : l’apprenant collabore activement avec le média pour construire le savoir. L’apprentissage avec un média devient une sorte de travail conjoint : les représentations sont construites et les procédures exécutées parfois par l’apprenant, parfois par le média. Norman (1991) utilise l’expression artefact cognitif pour désigner ces dispositifs informatiques qui non seulement transforment les capacités de l’individu mais changent qualitativement la nature de la tâche que la personne accomplit, ainsi que les habiletés humaines.L’usage des TIC en tant que véhicules de messages pédagogiques pourrait expliquer, en bonne partie, la crainte qu’éprouvent certains de voir l’enseignant, considéré ici comme le principal, sinon l’unique, transmetteur de connaissances, remplacé par les TIC au sein de l’acte pédagogique. Il y a encore beaucoup à faire avant que les TIC deviennent pour les enseignants d’université, non pas des remplaçants, mais de véritables « partenaires pédagogiques ». Pour ce faire, ces derniers devront élargir leur vision des TIC en tant qu’outils cognitifs et de médiation de l’acte pédagogique. Ils devront apprendre à exploiter, de la manière la plus appropriée aux objectifs d’apprentissage visés, les fonctions diversifiées qu’elles peuvent assumer au sein de l’acte d’enseignement et d’apprentissage. Les besoins de formation des enseignants en ce domaine semblent pressants.k
La rentrée universitaire 2007/2008 en Algérie - par Behaz le 09/10/2007 11:41

La rentrée universitaire 2007/2008 en Algérie devrait voir plus d’un million d’étudiants rejoindre les bancs des universités algériennes.
Avec plus d’un million d’étudiants inscrits, cette rentrée s’annonce difficile et compliquée tant un malaise diffus règne au sein du corps des enseignants, déçus autant par la nouvelle grille salariale « défavorable et discriminatoire » que par la manière avec laquelle celle-ci a été élaborée. L’ouverture officielle de l’année universitaire 2007-2008 en Algérie aura lieu après le mois du Ramadhan, lorsque les établissements universitaires à travers le pays auront achevé les préparatifs que nécessite la rentrée pour l’accueil des étudiants. Après avoir achevé les examens de rattrapage, la plupart des établissements universitaires ont annoncé la nouvelle rentrée conformément à ce qui a été décidé par le ministère de tutelle, a indiqué, hier, à l’APS le conseiller chargé de l’information au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Djamel Ben Hamouda. Les établissements universitaires accueilleront 1.052.000 étudiants, tous cycles confondus (graduation, post-graduation et université de la formation continue « UFC »), dont 270.285 nouveaux étudiants.

Volet infrastructures, le secteur a réceptionné 72.290 nouvelles places, 5 salles de conférences ainsi que 24 bibliothèques universitaires, fait savoir le même responsable. La capacité d’accueil du secteur s’élève, cette année, à 996.036 places. En matière d’oeuvres universitaires, le secteur a réceptionné 55.500 nouveaux lits et 28 restaurants dont 5 restaurants centraux. La capacité globale d’hébergement a atteint le nombre de 390.150 lits en Algérie. A propos de la préparation pédagogique, les formations du nouveau système ont été élargies à 278 points de formation pour le cycle licence couvrant 13 domaines de formation au niveau de 40 établissements universitaires. Dans le cadre de la réforme globale du système de l’enseignement supérieur entamé il y a 3 ans, il est prévu à cette rentrée universitaire d’entamer la formation en cycle master pour tous les licenciés de la première promotion du système Licence-Master-Doctorat (LMD). Il est programmé, à cet effet, l’ouverture de 184 masters au niveau de 10 établissements universitaires outre les préparatifs concernant l’ouverture de classes préparatoires aux écoles nationales supérieures.

D’après le Quotidien d’Oran
La qualité dans nos universités - par ZIDAT le 07/10/2007 13:12

La qualité dans nos universités d

La qualité peut être définie comme étant l’ensemble des propriétés et caractéristiques d’un produit, d’un service ou d’une entité, qui lui confèrent l’aptitude à satisfaire les besoins et exigences exprimés et/ou implicites des clients et autres parties intéressées. Dans l’acceptation large de la définition de client, ce n’est pas seulement celui ou celle qui achète un service et qui l’utilise directement qui est concerné.
Toute personne ou entité constituée qui a des attentes directes ou indirectes envers un organisme de service peut être considéré comme un client. Depuis plusieurs années, l'Université algérienne est critiquée de toute part en raison de la baisse de la qualité de la formation qu'elle dispense. Le mécontentement quant à son efficacité est déclaré par les pouvoirs publics, les employeurs et les diplômés en exercice. Actuellement cette insatisfaction gagne largement l'opinion publique. La réforme de l’Université algérienne est de nouveau à l’ordre du jour.
En effet, beaucoup se demandent si l’enseignement supérieur ne serait pas un monde à part dans lequel les modèles de gestion en général, et plus particulièrement les principes de la qualité ne seraient pas applicables, du moins tels qu’ils sont employés dans le milieu industriel. Dans l’environnement actuel, la qualité de l’enseignement dans nos universités algériennes est presque entièrement garantie par les compétences des enseignants. En effet, les étudiants  ne sont pas exigeants, ils sont des consommateurs passifs car ils se contentent de subir leur enseignement.
La dégradation des conditions pédagogiques et de l’exercice du métier d’enseignant : amphis et salles de TD surchargés, faiblesse des moyens matériels, suppression des TP, des mémoires de fin d’études et des stages de terrain, vont faire perdre l’équivalence aux diplômes universitaires algériens avec les diplômes européens et américains.
Les compétences des enseignants ne constituent donc plus une garantie suffisante de qualité. Si nous considérons que l’enseignement supérieur propose un service comme les autres, il va donc utiliser des normes et des certifications comme dans les autres secteurs. Il y a les normes internationales de la série ISO 9000. En ce qui concerne l’ISO, elle existe depuis 1946. Elle est une organisation non gouvernementale, mais occupe néanmoins une position privilégiée entre les secteurs privés et publics.
La norme ISO 9001, la plus souvent demandée par le secteur éducatif, concerne le management de la qualité, et plus particulièrement la satisfaction du client. Cette norme internationale spécifie « les exigences à utiliser pour évaluer l’aptitude de l’établissement à répondre aux exigences des clients et aux exigences réglementaires applicables pour traiter de la satisfaction des clients.
Microsoft s’engage en Algérie - par AbdelmalekAMINE le 05/10/2007 15:08

La visite du président de Microsoft en Algérie a été l’occasion pour Steve Ballmer de réaffirmer les ambitions du géant informatique dans le marché algérien.

Les perspectives d’associer Microsoft Corporation à la mise en oeuvre de programmes de transfert technologique et de pôles d’innovation en Algérie ont été soulevées jeudi lors d’un entretien entre le P-DG de cette firme, Steve Ballmer, et le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour. La participation aux activités du cyberparc de Sidi Abdellah, le renforcement du rôle de Microsoft dans l’opération "Ousratic" et l’expertise que pourrait apporter cette compagnie dans les systèmes de paiement de masse de la poste ont été également examinés.

Le président-directeur général de Microsoft, Steve Ballmer, a affirmé mercredi, à Alger, que son entreprise était prête à aider au développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie. "J’ai dit au président que la politique de Microsoft était toujours la même : poursuivre l’aide pour le développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie", a déclaré M. Ballmer à la presse, à l’issue d’une audience que lui a accordée le président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Le président Bouteflika "pense au rôle important des nouvelles technologies, un secteur également important pour Microsoft", a-t-il souligné.
Algérie Télécom lancera un espace Internet à Béjaia - par AbdelmalekAMINE le 05/10/2007 15:06

Le groupe Algérie Télécom prévoit la construction d’un méga espace Internet à Béjaia en partenariat avec la wilaya.

L’entreprise Algérie Télécom et les autorités de la wilaya de Béjaïa se sont entendues pour réaliser en commun un méga-espace Internet de 200 postes.

Algérie Télécom et les autorités de la wilaya de Béjaïa restent, cependant, partagées sur les moyens à mettre en oeuvre pour réaliser le projet, la wilaya ayant opté pour la construction d’une structure neuve, alors que les responsables d’Algérie Télécom optent pour un local qui soit aménageable à cet effet.
L’accès à l’Internet en Algérie coûtera moins cher - par AbdelmalekAMINE le 05/10/2007 15:04

Le prix de l’accès à Internet en Algérie sera revu à la baisse pour permettre aux algériens de profiter de ses avantages.

Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaa Haichour, a annoncé, samedi à Béjaïa, la volonté de son département de procéder, dans les mois à venir, à la baisse des prix d’accès à l’Internet en Algérie et de donner la possibilité au plus grand nombre de pouvoir disposer de cet instrument moderne de communication. "Nous allons casser les prix et démocratiser l’Internet en Algérie en permettant à chaque foyer d’y accéder", a affirmé le ministre en marge d’une visite de travail qu’il effectue dans la wilaya de Béjaïa.


Microsoft affiche ses ambitions en Algérie - par AbdelmalekAMINE le 05/10/2007 00:51

A l’occasion de sa visite en Algérie, le président de Microsoft Steve Ballmer a été accueilli par le président Abdelaziz Bouteflika.

A l’issue de l’audience que lui a accordée le chef de l’Etat, M. Steve Ballmer a affirmé que Microsoft était prête à aider au développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie. « J’ai dit au Président que la politique de Microsoft était toujours la même : poursuivre l’aide pour le développement des nouvelles technologies de l’information en Algérie », a déclaré M. Ballmer. Le président Bouteflika « pense au rôle important des nouvelles technologies, un secteur également important pour Microsoft », a-t-il souligné.

Le PDG de Microsoft a par ailleurs qualifié son entrevue avec le président Bouteflika de « fascinante et intéressante ». Le président Bouteflika « a réalisé des choses remarquables et est en train de réfléchir sur le développement de l’économie et de la société (algériennes). Nous avons eu une conversation passionnante et je suis extrêmement heureux et enthousiaste d’être en Algérie », a-t-il dit. Le PDG de Microsoft a été par la suite reçu par le ministre de l’Education nationale, M. Boubekeur Benbouzid, au siège de son département. L’entretien a porté sur les possibilités de partenariat et d’appui aux réformes du système éducatif entre le ministère de l’Education nationale et la campagne Microsoft visant à développer les technologies de l’information et de la communication en milieu éducatif algérien.
Bill Gates bientôt en Algérie - par Behaz le 03/10/2007 23:49

Haichour l’a annonce a Blida Le P-DG de Microsoft sera très prochainement en Algérie. C’est ce qu’a déclaré le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication , Boudjemaâ Haïchour qui a consacré sa journée de samedi dernier à une visite de travail à travers plusieurs communes de la wilaya de Blida. Le n° 1 du géant de l’ informatique se rendra à Alger dans le cadre d’une tournée maghrébine , qui débutera par le Maroc , pays où est implanté la direction régionale Afrique du Nord de cette firme. Pour rappel, Bill Gates, on ne peut plus connu de la population ne serait-ce que de la part des étudiants en informatique dont il serait l’idole , a déjà eu à s’adresser aux Algériens à l’ occasion du lancement du Windows XP en Algérie. Un message vidéo sur écran grand format avait été alors diffusé en plein jour sur le fronton de l’ immeuble abritant la Grande-Poste à Alger- Centre . Cette visite, lors de laquelle il ne manquera pas d’être reçu par les plus hauts responsables algériens, devra être surtout une opportunité à ne pas manquer par l’ensemble de la communauté des nouvelles technologies.
LA PROBLÉMATIQUE DE L'EAD À L’UNIVERSITÉ ALGERIENNE - par ZIDAT le 03/10/2007 13:27

LA PROBLÉMATIQUE DE L'EAD À L’UNIVERSITÉ ALGERIENNE Par ZIDAT samir L’Enseignement universitaire traditionnel est centré sur  un cours magistral associé à des travaux dirigés et pratiques, le « tableau noir », le support « papier », plus rarement la projection d’images (transparents, vidéoprojection). Les étudiants sont passifs, souvent intellectuellement absents du fait des conditions difficiles imposées par le surnombre.L’absentéisme est important. Pour la société un taux de réussite « réelle » (par rapport aux étudiants inscrits) est inacceptable et un rendement financier excessif. La puissance de l’Enseignement Supérieur à Distance est due à la conjonction de divers facteurs : personnalisation, interactivité, possibilité de bénéficier des meilleurs pédagogues, possibilité de s'inscrire à des formations pointues ou peu répandues, taux de réussite supérieur à celui de l'enseignement présentiel, solution au problème du surnombre, délocalisation du savoir... Dans l’Enseignement Supérieur à Distance, le système traditionnel peut être partiellement conservé à condition que cet « enseignement présentiel » soit rendu plus interactif.Une très grande partie de cet enseignement est sous une forme asynchrone par une utilisation de supports Multimédias. Enfin, le contenu de cet enseignement est découpé en Modules et le Tutorat joue un rôle essentiel.Dans ce contexte, les Technologies de l’Information (numérisation, traitement, conservation et communication de l’information) sont étroitement associées au dispositif de transfert des connaissances (Internet/intranet) dans lequel l’apprenant est plus actif. Conçu pour s’adapter aux contraintes de l’étudiant, il s’agit d’un enseignement personnalisé sur mesure. Malheureusement l’absence de l’adéquation des activités d’enseignant impliqué dans un projet de formation à distance avec son statut «  en cours ou à venir » pose un certain nombre de  problèmes et empêche de concrétiser un réel développement de formation à distance dans nos universités algériennes: Comptabilisation des heures de préparation de cours médiatisés, équivalence de diplômes délivrés, des  problèmes financiers… Le problème fondamental est pédagogique : D’abord au niveau de l'information, de la sensibilisation, de l'initiation, voire de la formation des enseignants  à la problématique générale de l'EAD, aux stratégies possibles, à la conception de produits multimédias, à l'organisation, l'administration et au suivi d'un projet EAD. Ensuite au niveau du contenu de chaque projet d'EAD, la répartition présentiel/autoformation, choix des technologies de communication utilisées, conception de produits pédagogiques (cours/exercices traditionnels/interactifs) et choix des supports, tutorat, correction des exercices, suivi, auto-évaluation, contrôle continu, examens...
Concours d'accés à l’école doctorale d’Informatique 2007/2008 - par ZIDAT le 03/10/2007 10:35

Concours d'accés à l’école doctorale d’Informatique 2007/2008 eL’Université El Hadj Lakhdar-BATNA, organise un concours d’entrée à l’école doctorale nationale en sciences et technologies de l’information et de la communication (STIC) pour l’année universitaire 2007/2008.
  1. Conditions d’accès :

    Etre titulaire du diplôme d’ingéniorat d’état en Informatique (ou d’un diplôme reconnu équivalent).

    Options, Epreuves et Nombre de postes :


    Ingénierie des Systèmes Informatiques (ISI) :  Dix (10) Postes.

    Systèmes d’Exploitation & Réseaux :  Durée de l’épreuve : Trois (03) Heures ; Coefficient : Cinq (05).
Théorie des Langages & Compilation
  1. Durée de l’épreuve : Deux (02) Heures ; Coefficient : Trois (03).
Culture Générale : 
  1. Durée de l’épreuve : Une (01) Heure ; Coefficient : Un (01).

Dates et Lieu du Concours :

  1. Le 23 et 24 octobre 2007. Le concours aura lieu au Département d’Informatique.

Constitution du Dossier :

  1. Demande manuscrite (joindre le numéro de téléphone) ; Un Acte de Naissance ; Copies conformes légalisées du Baccalauréat et du Diplôme d’ingéniorat d’état en Informatique (ou diplôme équivalent) ; Un Enveloppe timbrée libellée à l’adresse du candidat (15 x 22cm) ; Une Photo d’identité.
Important !!!
  1. Les dossiers doivent être déposés au niveau du département d’informatique avant le 20 octobre 2007 ;   Tout dossier incomplet ou non conforme, ne sera pas pris en considération ;

Rentrée Universitaire à Sétif - par avunet le 03/10/2007 07:14

14 000 nouveaux inscrits attendus à Sétif

Le campus de l’université Ferhat Abbès, avec ses différents pôles, s’apprête, dans les prochains jours, à accueillir une importante masse d’étudiants, estimée à plus de 50 000 universitaires, dont 14 000 nouveaux inscrits.

Ce gigantesque flux d’étudiants ne sera, qu’on le veuille ou non, pas facile à gérér, sachant que de nombreuses filières affichent, en matière d’encadrement, des déficits d’autant que le déséquilibre entre inscrits et sortants, au nombre de 5 600, est significatif et exempt donc de tout commentaire. La gestion et la répartition des structures pédagogiques et administratives ne seront, en outre, pas un jeu d’enfant. Les efforts de recrutement, sous diverses formules, n’atténueront que partiellement les manques qui se répercutent inévitablement sur la qualité de l’enseignement dispensé. Certaines filières des sciences sociales sont les plus touchées par ce problème. Les sciences médicales ne sont pas mieux loties. Cette année universitaire sera marquée par la sortie de la première promotion de licenciés en communication (journalistes). La corporation sera prochainement renforcée par du sang neuf qui va, sans nul doute, impulser une nouvelle dynamique à la confrérie. Ayant souffert, des années durant, des mauvaises conditions, les étudiants de la faculté de médecine, qui ont déjà entamé les cours, vont bénéficier de nouvelles structures d’une capacité de 4 000 places pédagogiques situées non loin des futurs centres anticancéreux et de la gériatrie, en réalisation sur le plateau d’El Bez où est implanté le deuxième pôle en pleine expansion, parallèlement au troisième en chantier, à la sortie nord-est de Sétif. Ce nouveau campus comprendra, une fois achevé, sept résidences universitaires avec 14 000 lits, ainsi que des infrastructures pédagogiques de plus de 14 000 places. En attendant ces nouvelles acquisitions, l’université de Sétif, fonctionnant avec 1 145 enseignants, dont 82 professeurs et 148 maîtres de conférences, devra faire face aux déficits de l’hébergement et de la restauration de cette masse, sachant que les capacités d’accueil, qui ont été ces dernières années pourtant renforcées par des milliers de lits et de nombreux restos, auront des difficultés à répondre à une forte demande. La réception prochaine de deux résidences de 4 000lits va, quelque peu, atténuer la tension, sans pour autant régler définitivement le problème. Et pour rapprocher les étudiants résidents des espaces d’enseignement, l’on parle d’une nouvelle organisation qui devra, nous dit-on, aider l’étudiant qui n’a pas manqué, la saison écoulée, de soulever le problème du transport qui demeure l’autre casse-tête des universitaires, obligés de composer avec les dérapages de certains transporteurs qui faisaient, selon de nombreux étudiants, la loi. Ces volets, qui auront des incidences sur le cursus des 50 000 étudiants de la 5e université du pays, seront-ils sérieusement pris en charge, vu que la politique des palliatifs a montré ses limites ?

K. B. EL Watan Edition du 3 octobre 2007


Internet Beaucoup reste à faire - par AbdelmalekAMINE le 02/10/2007 09:51

L’émission hebdomadaire «Portes sur la science», diffusée hier sur les ondes de la chaîne 2 de la radio nationale a été consacrée aux technologies de l’informatique et plus particulièrement au niveau d’intégration d’Internet au sein de la société algérienne.

Ont été conviés au débat plusieurs spécialistes dont le président de l’association algérienne des opérateurs d’accès à Internet.

Ce dernier précise que l’opportunité de la présence du leader américain de l’informatique en Algérie, au même titre que tous les autres pays de l’hémisphère sud, afin de mieux vulgariser l’usage informatique, notamment dans des domaines stratégiques comme l’Education, doit constituer une base de décollage pour un secteur qui accuse un réel retard. L’intervenant dira que si, initialement, l’accès à Internet a été conçu par rapport à des besoins de recherche et de facilitation de la vie quotidienne, en Algérie on est encore au stade d’un moyen de divertissement.

Dans la foulée, le président de l’association abordera le programme «Ousratic» qui tarde à prendre forme en raison de l’absence d’une stratégie globale en matière de développement d’Internet. L’invité de la Chaîne 2 dira que ce dernier nécessite 3 conditions à savoir: un micro, un accès fiable et rapide et enfin un contenu prédéfini. Sur ce point, il dira qu’au Mexique, l’Etat a offert un micro et un accès gratuit à Internet à tous les enseignants. Cela a permis à ces derniers d’améliorer le contenu des cours et le niveau de l’enseignement

L’intervenant abordera l’accessibilité à Internet pour affirmer qu’elle demeure plus chère qu’en France où un micro ne représente qu’1/10 du SMIG, alors qu’en Algérie c’est 3 fois le SNMG. La solution réside dans des actions courageuses pour stimuler l’usage, tout en contrôlant le contenu et en incitant toutes les entreprises et les institutions à créer leurs propres sites web. Cela reste du domaine du possible d’autant que les pouvoirs publics ont affiché une réelle volonté dans le domaine comme l’atteste l’objectif dévoilé par le président de la République à savoir qu’en 2010, 6 millions de familles auront accès à Internet. S’agissant d’ADSL, l’invité de l’émission dira que cette formule est loin d’atteindre l’objectif fixé en septembre 2003 à savoir 3 millions d’abonnés dans la mesure où 4 ans après, seuls 200.000 abonnés ont été inscrits. Pour l’intervenant, la solution n’est pas uniquement de réduire les prix, mais de faire d’Internet, un moyen incontournable dans la quotidienneté de chaque citoyen.
Microsoft contraint de prolonger la durée de vie de Windows XP - par ZIDAT le 01/10/2007 09:19

Microsoft contraint de prolonger la durée de vie de Windows XP
L'éditeur annonce que les constructeurs de PC pourront commercialiser Windows XP cinq mois de plus, à la demande de ses clients. En cause, l'adoption plus lente que prévue de Vista.


Karine Solovieff , 01net., le 28/09/2007 à 18h55

Windows XP va devoir jouer les prolongations pendant cinq mois. Microsoft vient en effet d'annoncer que les fabricants d'ordinateurs pourront commercialiser le système d'exploitation avec des PC neufs jusqu'au 30 juin 2008, au lieu du 30 janvier. A cette date, XP fêtera presque ses sept ans. Un record de longévité pour un système d'exploitation Microsoft, et qui n'est pas forcément bon signe pour l'adoption de Windows Vista.

L'éditeur fournit une explication simple qui ne manque pas d'aplomb à cette décision : « Bien que Windows Vista soit le système d'exploitation qui se vend plus rapidement que tous ses prédécesseurs, certains de nos clients ne sont pas prêts et préfèrent garder XP. » Microsoft avait déjà surpris ses utilisateurs en confirmant cet été, la sortie en 2008 d'un service pack 3 pour son ancien Windows.

Selon le cycle de vie des produits de l'éditeur, un système d'exploitation reste disponible deux ans après la sortie d'une nouvelle version. Pour Windows Vista, Microsoft s'est montré plus optimiste. A tort. « Je pense que nous avons été un brin trop ambitieux de penser que nous pourrions retirer Windows XP du marché seulement un an après l'arrivée de Vista », déclare dans un communiqué Didier Burdinat, directeur de la division Windows de Microsoft France. Les pays émergents, eux, auront même droit à Windows XP jusqu'au 30 juin 2010, avec la version XP Starter Edition, qui leur est réservée.

Troquer Vista contre XP

En réalité, Microsoft ne fait qu'étendre une offre qu'il avait très discrètement mise en place à la demande des grands constructeurs comme Lenovo, Fujistu-Siemens et Dell entre autres. Depuis plusieurs mois, ces derniers peuvent proposer à leurs clients un programme spécifique de retour à Windows XP. Baptisé Windows Vista Downgrade, il s'adresse principalement aux entreprises ayant des machines livrées avec Windows Vista Business et qui rencontrent des problèmes de compatibilité avec leur parc d'applications existantes. Dans l'esprit de Microsoft, ce retour n'est que temporaire, le temps que les éditeurs sortent des versions compatibles avec Vista.

« En contactant simplement leur service après-vente, ils obtiennent gratuitement une copie de Windows XP Professional ou Tablet PC, confirme une porte-parole de Lenovo. Il s'agit bien d'une version complète, fournie avec tous les pilotes et accessoires nécessaires. » Le programme est également valable pour les possesseurs de Windows Vista Intégral, une édition spéciale qui devait être fournie avec une panoplie d'accessoires supplémentaires, qui tardent à venir. Le grand public, lui, n'a pas cette chance. En dehors de Dell, qui propose encore quelques machines équipées de Windows XP (et depuis peu sous Linux), tous les constructeurs ont adopté Vista. Sans aucune possibilité de retour vers son aîné.


Cyber-criminalité: Des juges d’instruction en formation en Belgique - par AbdelmalekAMINE le 29/09/2007 14:56

Dans le cadre de la coopération algéro-belge et de l’accord bilatéral, signé entre les deux pays dans le domaine de la formation, une délégation de juges d’instruction va suivre entre le 1er septembre et le 20 octobre une formation dans les nouvelles technologies de l’information et de la communication, en vue de renforcer leur connaissances juridiques et judiciaires.

Cette formation consiste en des visites pratiques à l’unité de lutte contre la cyber-criminalité relevant de la Police fédérale, à la banque de données de cette dernière structure et de la sécurité sociale, ainsi que la structure chargée de la protection des personnes, selon un communiqué du ministère de la Justice. Cette formation a pour objectif de «renforcer les connaissances juridiques et judiciaires des magistrats, d’autant plus qu’elle coïncide avec l’élargissement des compétences dans le domaine pénal après la création de pôles judiciaires spécialisés au niveau des cours d’Alger, de Constantine, de Ouargla et d’Oran». Rappelons qu’une autre délégation de magistrats, des juges d’application des peines et des cadres de la Direction générale de l’administration pénitentiaire se trouve depuis le 24 septembre en Suisse pour un stage de formation sur la «gestion du système pénitentiaire». La formation qui s’est déroulée au Centre suisse de formation du personnel pénitentiaire (CSFPP) a pris fin hier.
Algérie Poste introduira le paiement par mobile - par AbdelmalekAMINE le 27/09/2007 11:16

Le groupe Algérie Poste ambitionne d’introduire le paiement par téléphone mobile et la généralisation des cartes à puce magnétique.

Les 9 millions de clients titulaires de comptes courants CCP à travers le territoire national, qui bénéficieront d’ici à 2008 de leurs cartes à puce magnétiques, pourront outre le retrait automatique de leur argent, effectuer des opérations de payement électronique de leurs différents achats avec cette carte. C’est ce qu’a précisé, hier, la directrice générale d’Algérie Poste, Mme Houadria, en marge de la visite d’inspection et de travail du ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (TIC), le Dr Boujemaâ Haïchour, dans les établissements de la poste et des télécommunications de la wilaya de Tipaza. C’est une opération menée selon la directrice de la poste, en collaboration avec le ministère des Finances. L’opération pourrait être généralisée selon le ministre même au niveau des rues « pour que le citoyen ne soit pas obligé ou contraint de se rapprocher de la poste », indiquera-t-il.« L’objectif du secteur de la poste dans le cadre de la monétique est de doter d’ici à 2008 les 9 millions de clients de cartes à puce magnétiques pour le retrait leur argent à partir des Guichets automatiques de banques (GAB) installés à l’entrée des postes. Pour ce faire, on a déployé plus de 400 GAB pour faciliter cette opération », enchaîne la directrice de Algérie Poste. Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication a rassuré les clients de la poste que leur argent est en sécurité. « La poste, étant une Epic, est l’une des plus grandes institutions qui gère et manipule 16 milliards de dinars à ce jour des comptes CCP. C’est comme une banque mais pour le service public. » Le directeur général de Mobilis ajoutera pour sa part qu’il y a une grande innovation entre le secteur de la poste et l’ opérateur téléphonique Mobilis. Ce qui permettra très bientôt d’arriver à effectuer toutes les opérations de payement et d’achat par téléphone portable.
L’Algérie en retard dans Internet: l’Algérie ne compte qu’à peine 5.000 sites web - par AbdelmalekAMINE le 23/09/2007 00:50

Tous les professionnels des Tic en Algérie, réunis hier autour d’une table ronde au forum d’El-Moudjahid, s’accordent à dire que le développement de l’Internet dans notre pays reste tributaire de la production de l’information.Avec un peu plus de 21 millions d’abonnés au téléphone mobile et seulement 2.100.000 internautes, l’utilisateur algérien privilégie de loin la communication orale à celle écrite. L’Algérie, selon le président de Satlinker, Ali Kahlane, ne compte actuellement qu’à peine 5.000 sites web dont la majorité sont statiques alors que le voisin marocain en capitalise pas moins de 16.000 sites web.D’après lui, depuis 2003, une centaine de providers ont été créés. Il n’en reste qu’une trentaine toujours actifs et quelque 4 ou 5 providers qui sont réellement dans l’Internet. Même l’opération Ousratic, un PC par foyer, qui est venue booster tant bien que mal le secteur de l’Internet et le démocratiser, n’a pas atteint ses objectifs, a souligné Younes Grar, président de l’Association des fournisseurs de services Internet (AAFSI).Cette opération a prévu 6 millions de PC, elle n’en a vendu, selon lui, que 200.000 ordinateurs malgré la baisse de la TVA à l’importation de cet outil indispensable, passant de 17 à 7%. Il se demande comment se fait-il que l’on ne dispose pas, jusqu’à aujourd’hui, d’un annuaire officiel de sites web, d’autant plus que l’Algérie en compte quelque 300.000 PME-PMI et plus de 1.500 APC. En matière de haut débit (ADSL), le ministère des PTIC, qui a projeté 3 millions d’abonnés d’ici 2009, n’en a réalisé après quatre années de son introduction que 200.000. De là, le président de l’AAFSI, qui se dit contre les effets d’annonce, propose dans l’immédiat une structure qui va gérer l’Internet. Pour sa part, M. Hamzaoui, membre de l’AAFSI, revendique à cet effet un plan d’urgence et une stratégie bien claire pour faire sortir l’Internet de sa léthargie.Il a appelé notamment à la réduction des coûts en matière d’ADSL, une meilleure régulation du marché de l’Internet, l’émergence d’un autre opérateur pour l’exploitation du réseau filaire et un autre dans la fibre optique -ce qui encouragera la concurrence dans ce domaine-, la création d’un haut conseil des NTIC sous tutelle du président de la République ou du Chef de gouvernement et, enfin, un réseau national de connexion. D’un autre côté, pour Mohand Ibarissen, directeur du programme de télé-enseignement à l’Eepad, le principal enjeu dans le développement de l’Internet en Algérie reste celui des usages qui se réduit actuellement aux opérations de messageries ou de mailing et d’accès aux jeux. « L’EEPAD, tient-il à souligner, est leader dans l’enseignement à distance et met sur le net depuis quelque temps du contenu scolaire pour ses abonnés.Le responsable de l’Eepad se dit par contre en faveur du lancement d’une opération Ousratic pour la production du contenu. Une autre intervenante, qui n’est pas des moindres, Mme Attif, Pdg de Djaweb, filiale d’Algérie Télécoms, a pris tout le monde de court en défendant le secteur de l’Internet en ce qui concerne le volet accès, « en dépit, reconnaît-elle, de la pauvreté du contenu ». Pour elle, le ministère de la PTIC a mis en place en 2000 un backbone national avec un coût de 3 millions de DA par mois pour 2 mégas, celui-ci a été ramené depuis à 500.000 DA. Elle a, au passage, tiré sur quelques ISP qui, selon elle, ne cherchent que le gain facile en passant par la VoIP.Elle a défendu dans la foulée, la plate-forme Djaweb avec ses 48 points d’accès qui a entamé des réductions sur son 15/15 de 120 DA/h à 50 DA/h ainsi que dans ses lignes spécialisées de 700.000 DA à 160.000 DA. S’ajoute d’après elle les plates-formes ADSL de Fawri et de Easy. Elle se demande néanmoins pourquoi toutes ses réductions des tarifs dans l’ADSL ne se répercutent pas sur les utilisateurs finaux au niveau des cybercafés.
International Conference of Web and Information Technology- 21-23 Avril 2008 -Sidi Bel Abbes - par AbdelmalekAMINE le 23/09/2007 00:35

ICWIT'08 est la 1ère édition de la conférence " International Conference of Web and Information Technology"  organisé par le département d'informatique de l'université Djillali  Liabés de Sidi Bel Abbés . La conférence ICWIT se veut un espace convivial et privilégié de rencontres de discussions et d'échanges de résultats, entre chercheurs algériens et étrangers qui a pour objectif de regrouper des chercheurs autour de débats sur thèmes d’actualité en Informatique.

Un autre objectif des journées est de permettre aux jeunes chercheurs du domaine de présenter leurs travaux à l'ensemble de la communauté. Aussi les étudiants en thèse sont encouragés à soumettre leurs travaux en cours; un prix du meilleur papier "jeune chercheur" sera décerné à l'issue de la conférence.Thèmes (liste non limitative): Semantic Web  Web Services Ontologies engineering Data Mining & Web Mining Web intelligent Web  reengineering & Web reverse engineering Data warehouse & Web warehouse Mobile & Wireless  technology Grid computing Geographic information Systems Information Systems and Web pervasif Information Systems Interoperability of information Systems Automatic processing of natural language Multi-Agents Systems E-learning
L’accès à Internet en Algérie reste cher - par AbdelmalekAMINE le 20/09/2007 11:39

Le coût de l’accès à internet en Algérie est jugée élevé pour les professionnels et les particuliers qui sont de plus en plus nombreux à l’utiliser.En dépit d’un développement, dont les résultats demeurent par ailleurs mitigés, l’accès à Internet en Algérie est loin d’être une préoccupation réelle du gouvernement qui hésite encore à lever les verrous sur une législation rigide et opter pour un système souple à même de gagner tout à la fois : récupérer les ressources humaines qui désertent le pays, offrir l’information utile au citoyen, développer plus de domaines Web et réguler un marché qui semble prendre une grave tournure, à savoir le retour à un monopole déguisé, notamment après l’installation de certains fournisseurs étrangers en Algérie. Aux yeux des intervenants, les politique et stratégie du gouvernement ne sont pas visibles. Du coup, ces professionnels, constitués en associations (fournisseurs d’accès à Internet, matériel informatique, développement de logiciels...) ont demandé aux pouvoirs publics, à travers une série de recommandations, un plan d’urgence afin de cerner les véritables contraintes et parer aux retards par rapports aux pays de la région.L’Algérie, qui n’a développé depuis 2000, année durant laquelle le gouvernement, a libéralisé le secteur, que 5 000 sites Internet, avec une moyenne de 2,1 millions d’internautes, demeure loin du compte. En effet, le projet de la e-gouvernement, victime selon les intervenants de la non-gouvernance, tarde à se concrétiser et le citoyen ne retrouve pas l’information utile sur les sites, sinon les biographies de ministres, l’histoire des villes et les activités officielles déjà tenues et rendues publiques par la presse nationale et internationale. Or, l’Internet, à la veille technologique et de l’intelligence économique, se veut un outil didactique, d’information, d’échange d’expériences entre entreprises, entre le citoyen et l’administration et l’interconnexion entre les fournisseurs d’accès censés présenter des plates-formes enrichies de propositions et de services. Car Internet dépasse le cap des e-mails, du chat et des jeux.
L’Algérie se prépare à la téléphonie 3G - par AbdelmalekAMINE le 20/09/2007 11:37

L’Algérie se prépare à l’introduction de la téléphonie mobile de troisième et quatrième génération qui a déjà été lancée en Europe avec un relatif succès.Le ministère de la poste et des technologies de l’information et de la communication a reçu le premier rapport relatif à l’introduction en Algérie de la téléphonie mobile de troisième ou quatrième génération (3G et 4G). Ce dossier a, selon le ministre de la poste et des technologies de l’information et de la communication, Boudjemâa Haïchour, déjà fait l’objet d’une expertise d’un groupe français, spécialisé en communication. Il a toute fois précisé que cette expertise aboutira à une étude technique qui sera remise au ministère, vers le mois de novembre prochain. S’exprimant à l’occasion d’une visite de travail et d’inspection dans les établissements de son secteur, relevant de la wilaya d’Alger, le ministre a déclaré que "Le rapport en question fait état des expériences internationales dans le domaine de l’introduction de la 3G et la 4G et comprend aussi l’étude de marché relative à l’introduction de cette technologie, quelques enseignements que l’Algérie pourra tirer des expériences des autres pays et certaines recommandations quant à la stratégie à adopter pour l’introduction de la 3G ou 4G en Algérie".Le premier rapport élaboré par ce groupe français comprend également une revue du marché de la 3G et 4G, une comparaison des différentes pratiques, une analyse des déploiements technologiques, un examen des commissions réglementaires, le cadre juridique de la 3G aux USA et dans certains pays ayant déjà introduit la 3G. La téléphonie mobile a vécu trois profondes mutations, la 3 G est la dernière d’entre elles. La 3eme génération de téléphones mobiles permet notamment aux utilisateurs de surfer en haut débit sur des pages WEB classiques (plus besoin de WAP) mais surtout de pouvoir visionner de la vidéo en streaming, dans le cadre de diffusion de contenu par les opérateurs et éditeurs, mais aussi pour la Visio conférence entre deux utilisateurs. La téléphonie 3G qui sera bientôt introduite en Algérie, autorise de grandes capacités de stockage permettant de contenir des photos, des vidéos mais aussi des MP3. La proportion de personnes possédant un mobile 3G est encore bien faible. Bien que le nouveau réseau permette des débits suffisamment importants pour permettre par exemple la vidéoconférence, l’engouement suit globalement une logique inverse : plus le nombre de fonctions des téléphones augmente, plus les utilisateurs cherchent avant tout la simplicité. Il faut bien dire que les téléphones portables sont devenus de véritables concentrés de technologies.
Université de Sétif : Ouverture du premier concours africain de l’étudiant en médecine - par AVUNET le 15/09/2007 06:01

Le premier concours africain de l'étudiant en médecine et du jeune médecin a été officiellement lancé, jeudi, à l'université Ferhat-Abbas de Sétif en présence des autorités locales et des membres
du corps médical venus de différentes wilayas du pays. Ce concours, organisé par le club scientifique de la faculté de médecine de Sétif, est un “espace de compétitions ouvert aux étudiants en médecine et aux jeunes médecins dont l'âge ne dépasse pas les 35 ans”.
Un comité de lecture, composé d'éminents professeurs de renommée internationale, aura pour mission, selon ses initiateurs, d'évaluer les travaux présentés en “accordant une priorité aux enquêtes épidémiologiques entreprises sur le terrain”.
Les 10 meilleurs travaux de recherche présentés à l'occasion de ce concours, qui s'étalera du 13 septembre 2007 au 31 mars 2008, feront l'objet d'une publication et seront récompensés par un prix qui “leur sera décerné par le président de la République, le 19 mai prochain, Fête nationale de l'étudiant”, indiquent les organisateurs

Liberte le 15/09/2007


Algérie: Accès au service Internet avec l'offre Anis - Le provider Djaweb lance le très haut débit - par AbdelmalekAMINE le 12/09/2007 14:02

La conquête des accès Internet de très haut débit dans sa toute dernière technologie, l'ADSL 2+, est devenue depuis hier une réalité en Algérie. C'est possible grâce à la nouvelle offre du fournisseur d'accès et de services Internet, en l'occurrence le provider «Djaweb», filiale d'Algérie Télécom.Cette nouvelle offre baptisée «Anis-ADSL» a fait l'objet d'une présentation au siège même de Djaweb. Mme Attif, directrice générale de cette filiale, a dans son exposé mis en exergue les avantages de cette nouvelle solution qui va faire débarquer la vogue du très haut débit dans notre pays. Il est utile de savoir que la mise en service de cette solution d'accès à très haut débit connu sous l'appellation de ADSL 2+ est le fruit d'un partenariat entre Djaweb et le géant mondial dans le domaine, l'équipementier Alcatel-Lucent. GA_googleFillSlot("AllAfrica_Story_Inset");Dans le cadre de ce contrat, Alcatel-Lucent a fourni à Djaweb sa solution ISAM 7302 (Intelligent Services Acces Manager), pour des connexions Internet à haut débit, ainsi que la plate-forme d'administration Alcatel 5523 AWDS (ADSL Work Station), pouvant supporter à la fois un plafond de 300 000 lignes, et l'analyseur de réseau 5530 NA. Un investissement qui a coûté aux caisses de l'Etat la bagatelle de 15,5 millions de dollars US. A faire savoir au passage que l'Asymmetric Digital Subscriber Line 2+ est une nouvelle génération d'accès Internet ADSL haut débit par la ligne téléphonique. Elle offre deux avantages par rapport aux générations précédentes (ADSL et ADSL2) : meilleur débit (jusqu'à 25 Mbps en théorie, mais 10 en pratique) et distance maximale de raccordement plus importante.Quant à la question du déploiement de la solution, la première responsable de Djaweb précisera que «129 192 accès sont déjà opérationnels et dont 119 000 sont prévus en ADSL2+ ; 8 000 accès sont prévus en SHDSL (technologie DSL symétrique) permettant d'obtenir des hauts débits de maximum 2,3 Mbps dans les deux sens de communication. La distance maximale entre l'abonné et le central local ne doit pas dépasser 8 km). Et, enfin, plus de 1 300 accès sont prévus en VDSL dont les débits peuvent atteindre 52 Mbps». Et de faire remarquer : «Les 48 wilayas du pays seront couvertes.» A propos de la facturation que compte appliquer Djaweb, on apprendra de la présentatrice que la connexion sera permanente avec une bonne qualité de service, facturée non pas à la durée de l'accès, mais sur la base d'un forfait mensuel attractif. En outre, le client peut contracter un abonnement mensuel, semestriel ou annuel.En clair, pour un débit de 128 Kbps, la tarification est de 1 199 DA (TTC) par mois, le modem est offert aux particuliers contre un engagement minimum de 6 mois. Pour les professionnels, il est proposé gracieusement au client contre un abonnement annuel tandis que, pour un contrat semestriel, le prix du modem est réduit de 50%.En fin d'exposé, Mme Attif a tenu à faire savoir, d'une part, à l'assistance le saut quantitatif du nombre d'internautes en Algérie qui a atteint à mars 2007 le chiffre de 1 920 000. Et, d'autre part, que sa filiale est le seul fournisseur d'Internet algérien présent sur les 48 wilayas et ce, depuis son lancement en 2001.«Le marché algérien du haut débit affiche une très forte croissance, qui se traduit chez les fournisseurs de services par une extension de l'infrastructure et une augmentation du taux de couverture», explique Slimen Djellal Country Senior Officer d'Alcatel-Lucent. «Grâce à la solution Alcatel-Lucent de bout en bout, ATID [DJAWEB] peut désormais diversifier son offre et mener à bien ses futurs projets dans le domaine des services haut débit centrés sur l'utilisateur.»Avec un taux de pénétration de l'accès Internet haut débit en forte croissance en Algérie, Alcatel-Lucent est prêt à accompagner ATID (DJAWEB) dans ses futurs projets d'extension de réseaux et déployer jusqu'à 22 000 nouvelles lignes dans le pays.
L'université algérienne: S.O.S. le savoir en naufrage - par AbdelmalekAMINE le 16/08/2007 23:22

par Mohammed Guetarni -Docteur ès lettres, Université de Chlef-
 (Le quotidien d'Oran-16/08/2007-)  Le système algérien est-il frigide ou manque-t-il d'intelligence ? Fonctionne-t-il selon un archétype suranné dont il ne peut s'en défaire ou refuse-t-il sciemment de se moderniser ?
Parce que se moderniser, c'est « s'obliger à s'adapter » aux ambitions sociales, particulièrement, à celles de la jeunesse estudiantine désireuse de faire valoir son droit inaliénable: une formation universitaire à la hauteur de ses aspirations. «Le meilleur» exemple en «pis» est, à notre avis, l'université algérienne qui est en train de faire naufrage, doucement mais sûrement et ce, au vu et au su des politiques.
Ces derniers persistent, dangereusement, dans leur indifférence autiste aux doléances motivées et aveugles à la déconfiture, pourtant, patente de l'université. Le système politique prime-t-il sur l'entité universitaire ? La communauté universitaire assiste, impuissante, à ce « lèse-intellectualité » perpétré par des assassins de la culture.
Cette tragédie que vit, aujourd'hui, l'institution universitaire est due à la dévalorisation criminelle de la fonction intellectuelle sans parler, bien sûr, des vides culturel et spirituel abyssaux ainsi que les pesanteurs idéologiques dévoyées.
Les pays occidentaux ont acquis leur actuel niveau de technologie enviable parce qu'ils ont érigé un véritable culte sacral au savoir au point de l'élever au rang d'une seconde religion. C'est, pourtant, au niveau de la fonction intellectuelle, sur laquelle insiste explicitement notre Saint Coran, que se situe toutes les chances de réussite sociale et nationale à la condition sine qua non qu'elle ne soit pas coupée des réalités sociales. Le potentiel intellectuel, qu'on le veuille ou pas, est l'unique assurance de la croissance de la productivité et du développement social, économique et culturel.
Aujourd'hui, l'intelligentsia nationale est exclue sciemment par des opportunistes au pouvoir pour des desseins suspects. Ce qui explique que l'Algérie est devenue un corps sans âme du fait que la dynamique de changement - et donc d'adaptation - reste, pour l'heure, inexistante. Cette situation du statu quo, voulue et maintenue par des forces occultes, périclite le pays dans un irrémédiable que nul ne peut présager ses retombées.
Une stabilité factice n'équivaut en rien une stabilité concrète qui garantit un équilibre et une paix sociaux effectifs. Ces derniers sont établis par consensus car leur dynamique est motivée par des valeurs intrinsèques telles que la justice sociale, l'égalité de tous devant la justice, l'égalité des chances, le mérite... De ce fait, on pourrait dire que la démocratie, en Algérie, est « visiblement en vue ». Il y a, certes aujourd'hui, la classe politique qui jouit de tous les privilèges tels que la considération sociale et un salaire faramineux qui dépasse tout entendement.
Par contre, le système refuse de voir l'élite intellectuelle s'organiser en classe scientifique par crainte de se constituer en force d'opposition dont le contrôle échappe au Pouvoir.
D'ailleurs, comment peut-elle l'être, alors que le statut particulier de l'enseignant-chercheur est bloqué sciemment depuis des lustres sans jamais voir le jour. Il est à rappeler aux décideurs que le système salarial est plus favorable aux opportunistes qui se sont emparés des postes politico-administratifs (chefs de daïra, walis, députés...) souvent par trabendisme, «régionalisme» et/ou «tribalisme», alors que les cadres de pointe se voient relégués aux postes de sous-ordre. Pourtant « L'article 04 du décret exécutif 98.254 du 17 août 1998 définit clairement [...] que l'habilitation universitaire sanctionne en particulier la reconnaissance d'un haut niveau scientifique(1) » (de l'enseignant-chercheur).
L'université algérienne vit, actuellement, un naufrage sans précédent. Autrefois, sanctuaire du savoir, elle est devenue, de nos jours, un parking pour chômeurs diplômés. L'insuffisance de sa qualité de service a favorisé la médiocrité de la formation dont pâtissent nos étudiants, aujourd'hui, avec, pourrait-on dire, la consécration du Pouvoir. Il faut rappeler que l'université est la seule et unique institution qui forme les élites pour la relève.
L'impact de la recherche scientifique sur le développement économique n'est pas à démontrer. Cependant, construire des infrastructures universitaires, allouer des budgets conséquents à la recherche scientifique, c'est bien mais insuffisant si le principal facteur, qu'est le chercheur lui-même, en est exclu. C'est pourquoi, lorsque l'université s'enrhume, toute la société éternue. Toutefois, si son rôle n'est pas très reluisant, nous continuons à croire, bon an mal an, que tout n'est pas complètement noir. L'espoir reste encore permis si certaines conditions, que nous estimons honnêtes, se réunissent:
1°/ Cesser la m
Revalorisation du statut de chercheur en Algérie - par AbdelmalekAMINE le 07/08/2007 00:39

La modernisation du statut de chercheur en Algérie permettra de développer la recherche scientifique dans notre pays selon le gouvernement.Le nouveau statut de chercheur en Algérie qui s’applique, notons-le, aux chercheurs qui exercent une activité permanente de recherche au sein des établissements publics à caractère scientifique et technologique, des unités de recherche et des services de recherche, vise, selon ses concepteurs, “à préserver leur liberté d’analyse et d’interprétation scientifique”. En vertu de quoi, les corps des chercheurs, autrement dit, directeur de recherche, maître de recherche, chargé de recherche, attaché de recherche et assistant de recherche, verront leurs salaires mensuels pratiquement doubler. En effet, un directeur de recherche verra, selon la grille proposée, son salaire de base arrêté à 112 500 dinars et peut même espérer atteindre les 150 000 dinars s’il dispose d’un bon échelon indiciaire. Le maître de conférences et le maître de recherche habilités peuvent, eux, prétendre à un salaire de base de 100 000 dinars. Quant au maître-assistant, il percevra un salaire de base de 71 250 dinars, alors que l’attaché de recherche et l’assistant de recherche verront leurs salaires de base respectifs élevés à 60 000 dinars et 38 750 dinars.Ces corps de chercheurs bénéficient, en outre, d’un congé annuel calculé à raison de 3,75 jours par mois de travail sans que la durée légale n’excède 45 jours par année de travail. Selon le projet en question, les directeurs de recherche et les maîtres de recherche disposent, après cinq années d’exercice effectif, d’une période d’activité scientifique d’une année auprès d’institutions ou d’organismes étrangers de recherche et ce, pour contribuer à la promotion de nouvelles activités scientifiques pour la mise en place de nouvelles structures ou services scientifiques ou pour l’acquisition de nouvelles connaissances scientifiques et technologiques au profit de l’Algérie. L’État accorde, lit-on encore dans cet avant-projet, aux chercheurs qui en font la demande, au départ à la retraite, un prêt avec une bonification sur le taux d’intérêt courant, pour la réalisation de projets d’investissement, notamment les projets innovants qui valorisent les activités de la recherche scientifique et du développement technologique ou ceux qui nécessitent l’utilisation de nouvelles connaissances scientifiques et/ou technologiques dans les domaines de la technologie, de l’économie, de l’agriculture, des services, de l’éducation, de la culture et de l’art.
Algérie Télécom fournira 10 000 accès WiMax - par AbdelmalekAMINE le 03/08/2007 19:01

Le leader algérien d’Internet Algérie Télécom annonce que 10 000 accès WiMax seront disponibles à travers le pays dans les prochains mois.En visite à l’Actel de Oued-Smar, Slimane Kherreidine, P-DG d’Algérie Télécom a exposé, au ministre Boudjemaâ Haïchour, l’évolution de ce service. Il s’agit du produit baptisé “Athir” qui est de l’Internet sans fil avec haut débit utilisant la technologie CDMA. Autrement dit, il est question d’un débit conséquent de 384 Kb au lieu des 153 proposé auparavant. L’utilisation se fera par le bais d’un modem pour les ordinateurs de bureau et par carte PCMCIA pour les micros portables et ce, sans frais d’accès avec mobilité dans un rayon jusqu’à 1,5 km et une connexion de 65 heures pour 800 DA (TTC)/mois s’alignant ainsi sur les même coûts pour Djaweb et Easy et Fawri.Avec son partenaire chinois, Algérie Télécom prévoit 500 000 accès ADSL Fawri à la fin du partenariat. Aujourd’hui, la capacité est de 350 000 accès dont seulement 180 000 sont attribués. En attendant, AT a exploité seuls 15% de ses capacités et compte actuellement 431 165 abonnés dont 638 809 pour le WLL. La délégation a bouclé le périple par la visite du siège Arts et Culture à Alger- Centre, actuellement fermé et qui sera érigé dans le cadre d’un partenariat avec Algérie Télécom en méga-cyberespace afin de servir de portes de connaissances, notamment pour les jeunes et les étudiants. Les prix seront alignés sur ceux des cybercafés car il ne s’agit nullement pour les initiateurs de ce projet d’une quelconque intention de concurrence.
Intégration des TIC dans l'enseignement à distance en Algérie - par AbdelmalekAMINE le 17/07/2007 17:32

La 9ème université d'été de formation desformateurs a ouvert ses portes hier à l'Institut national de la Posteet des Technologies de l'information et de la communication desEucalyptus. Quelque 320 enseignants prennent part, jusqu'au 19 juillet,à cette rencontre qui sera axée sur «les situations d'apprentissagedans la formation ouverte à distance» et dont les travaux sont répartisentre 6 ateliers thématiques. GA_googleFillSlot("AllAfrica_Story_Inset"); Parmiles objectifs de la 9ème université d'été figurent le développement dumode pédagogique d'enseignement à distance, la définition de la notionde cours en ligne et la formation des formateurs au e-tutorat. Dans sonallocution d'ouverture, le recteur de l'université de la formationcontinue, le docteur Abdeldjebar Lemnouar, a fait ressortir laparticularité de cette 9ème édition qui «se positionne surl'intégration des technologies de l'information et de la communication[TIC]», dans le but de «favoriser l'utilisation pédagogique de cesoutils dans la formation».
De son côté, le chef de cabinet au ministère del'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique etreprésentant du ministre, M. Brahim Osman, a affirmé que «les TIC ontdonné un nouvel élan à l'enseignement à distance et à la formationcontinue à distance», ajoutant que «le travail collaboratif des campusnumériques supprime l'obstacle de la mobilité physique, donnant lapossibilité aux universités de sortir de leur isolement et de s'insérerdans les réseaux nationaux et internationaux de l'enseignementsupérieur et la recherche scientifique».
Il y a lieu de relever que l'utilisation destechnologies dans la formation ouverte et à distance offre plusieursavantages, dont l'accès à des ressources multimédias, la possibilitéd'échanger à partir de préoccupations pédagogiques et une plus grandeautonomie offerte pour réaliser des apprentissages dans ces espacesnumériques. M. Osman a énuméré un certain nombre d'actions entrant dansla stratégie d'intégration des TIC dans le cadre des réformes engagéespar le secteur.
Il s'agit notamment del'informatisation du secteur en développant un Intranet qui assure ladiffusion de l'information et l'analyse des données, le soutien deprojets intégrant les TIC, la formation continue des formateurs en lienavec les TIC (plus de 1 200 formateurs ont été formés à ce jour).
Ila également mis l'accent sur les nouvelles missions confiées à l'UFCpar la tutelle, telles que la mise en oeuvre de la télévisionuniversitaire du savoir et le développement des formations diplomantesprenant en compte l'adoption de la référence LMD à travers l'offre delicences professionnelles dans un dispositif de formation ouverte et àdistance. Certains modules des cursus LMD seront produits conjointementpar l'UFC et les autres universités et mis en ligne.
Inscriptions universitaires 2007 en Algérie sur le net : orientation.ini.dz, ini.dz ou mesrs.dz - par AbdelmalekAMINE le 03/07/2007 17:54

Inscriptions universitaires 2007 en Algérie se feront sur le internet via les sites : www.orientation.ini.dz, www.ini.dz ou www.mesrs.dzLe ministère de l’Enseignement supérieur ne semble pas attendre les résultats du bac pour prendre les devants pour offrir des conditions d’inscription pour une rentrée universitaire sans gros soucis. Ainsi, ce sont 83.000 places à travers les universités et les centres universitaires du pays ainsi que 60.500 lits.M. Haouchine, chargé des enseignements, a indiqué, en outre, que 132.000 diplômés sont attendus cette année. La rentrée universitaire 2007/2008 verra l’inscription de la première promotion d’étudiants en Master I du système LMD. Au sujet des inscriptions, qui sont l’objet de la conférence animée hier, M. Haouchine indiquera que pour les élèves reçus au bac les pré-inscriptions universitaires débuteront le 10 juillet et se poursuivront jusqu’au 19 au soir.Suivra ensuite la phase de la confirmation des inscriptions et les recours qui auront lieu du 22 juillet au 2 août. La procédure d’inscription étant toujours la même, à savoir que les nouveaux bacheliers devront remplir leur fiche de vœux et s’inscrire sur le Net. La circulaire ministérielle numéro 4, datant du 22 mai 2007, prévoit toutes les modalités d’inscription par Internet. « La pré-inscription, l’orientation et le recours des bacheliers de l’année 2006/2007 se feront exclusivement en ligne », a précisé M. Haouchine. Cette fiche de vœux comporte dix choix classés en fonction de la moyenne obtenue par le bachelier.Elle doit être transmise exclusivement par voie électronique à travers ces sites : http://www.orientation.ini.dz, http://www.ini.dz ou http://mesrs.dz. Signalons que le traitement national informatisé prendra en charge toutes les fiches de vœux des futurs étudiants, saisies et transmises en ligne. Ce traitement se basera sur la combinaison de trois paramètres à savoir : la satisfaction des vœux exprimés du bachelier, le respect de la série et des résultats du bac, ainsi que l’étude de la capacité d’accueil des établissements d’Enseignement supérieur. Cependant, c’est en consultant l’un des sites mentionnés que le bachelier prendra connaissance de son affectation et confirmera son inscription en ligne. L’étudiant doit se présenter à son établissement pour déposer son dossier d’inscription, s’acquitter de ses droits d’inscription, retirer les documents de confirmation et prendre connaissance du programme d’enseignement. Il est à noter que les bacheliers non satisfaits de leur affectation peuvent introduire un recours dans le cas où l’affectation ne figure pas parmi les dix choix exprimés, à partir du 22 jusqu’au 28 juillet.Le représentant du département de Haraoubia a indiqué que le ministère de l’Enseignement supérieur a doté les établissements universitaires de salles d’ordinateurs avec connexion Internet gratuite aux bacheliers, afin de faciliter les inscriptions. Pour mieux informer les lauréats de la présente session, des portes ouvertes seront parallèlement organisées au niveau de tous les réseaux universitaires (universités, centres universitaires, écoles nationales et instituts nationaux), et ce, à travers le territoire national.Même si on ne le dit pas officiellement, les responsables du ministère de l’Enseignement supérieur redoute un taux élevé de réussite au bac (on parle de plus de 50%), car cela risque de poser encore une fois l’épineux problème des places pédagogiques.
La promotion des compétences en Algérie - par AbdelmalekAMINE le 27/06/2007 17:27

La promotion des compétences est essentielle pour l’Algérie qui ambitionne de réformer ses institutions et de renforcer la compétitivité de ses entreprises.C’est pratiquement devenu une coutume que l’on parle d’exode des cerveaux ou de mesures à prendre pour en freiner la tendance, on pense immédiatement aux cadres qui exercent dans le secteur de l’énergie en Algérie. On parle également souvent de la maîtrise des technologies, du savoir-faire, de la recherche développement et là également on pense aux cadres techniques. Cela est si vrai que la Sonatrach a pensé à réévaluer les rémunérations de ses cadres pour interrompre le processus de leur désertion en se faisant embaucher par des entreprises étrangères. Il est vrai que cette situation existe dans le secteur de l’énergie, plus particulièrement dans le Sud, car les cadres techniques algériens sont appréciés et sollicités à la fois pour leurs compétences et pour leur expérience.Tout le monde n’a donc d’yeux que pour les cadres techniques, ce qui bat en brèche quand même les accusations selon lesquelles l’école algérienne ne serait pas performante. La preuve est ainsi donnée que les cadres formés en Algérie ont des compétences reconnues dans le monde. Cette attention portée exclusivement sur les cadres techniques occulte les autres secteurs et les compétences dans d’autres domaines. Ce que vient de corriger le chef du gouvernement qui rappelle que dans la Fonction publique, c’est-à-dire dans les institutions, il y a également des compétences à rémunérer à leur juste valeur, car ce sont elles qui font fonctionner l’Etat et qui œuvrent à ce que se réalisent les missions des institutions. De hauts fonctionnaires remplissent leurs missions, qui sont celles de l’Etat, avec compétence et engagement, et tout ça dans la discrétion la plus totale.
Microsoft Algérie coopère avec l’Education - par AbdelmalekAMINE le 21/06/2007 20:58

Le ministère de l’Education et Microsoft Algérie ont signé un accord pour la réalisation d’une plate-forme informatique destinée à numériser les leçons et les travaux pratiques.Dans son intervention au 2e Forum des enseignants innovants, le ministre de l’Éducation nationale, Boubekeur Benbouzid, a indiqué que la totalité des lycées (soit 1 550) sont dotés d’un atelier d’informatique, avec la perspective pour l’année prochaine, a-t-il précisé, de doter les lycées abritant plus de 1 000 élèves d’un deuxième atelier avec les équipements nécessaires. "Actuellement, 1 000 CEM sur les 4 200 que compte l’Algérie sont dotés de ce genre d’équipement", a-t-il encore indiqué, relevant que vers la fin de l’année prochaine, "l’ensemble des CEM sans exception seront dotés de l’outil informatique", précisant que le volume horaire de l’enseignement de cette matière sera revu à la hausse en perspective de l’introduire comme matière à examen.Par ailleurs, le ministre a annoncé la création d’une commission nationale pour la préparation des CD, contenant les leçons et les travaux pratiques, à l’instar, a-t-il dit, de la commission qui s’est occupée des programmes et manuels scolaires. "D’ici à 6 mois, une plate-forme informatique coûtant 80 milliards de centimes sera opérationnelle", a-t-il encore annoncé, soutenant que "la collaboration avec la société Microsoft Algérie a permis d’aller de l’avant dans ce domaine". M. Benbouzid a remis des prix symboliques aux 10 enseignants lauréats du Forum des enseignants innovants, organisé par le Centre national d’intégration des innovations pédagogiques et de développement des technologies de l’information et de la communication en éducation en collaboration avec la filiale algérienne du géant Microsoft.
Algérie: des sites pour le recrutement et la formation - par AbdelmalekAMINE le 20/06/2007 16:36

Bel exemple de Puls Communication interactive qui se fait mieux connaître en marge de la tenue de la troisième édition du Salon international du recrutement et des ressources humaines en Algérie (SIRHHA), qui s'est tenu à la Safex du 17 au 18 juin derniers.Issue du dispositif ANSEJ (Agence nationale de soutien à l'emploi de jeunes), cette entreprise se retrouve à l'origine du recrutement de milliers de jeunes demandeurs d'emploi avec, en sus, trois qualités qui font d'elle, après une année d'exercice, l'un des leaders sur le marché de l'emploi. Ses atouts ? La rapidité, l'efficacité et la gratuité pour les demandeurs d'emploi.Et pour cause. Les solutions Web et multimédias se révèlent être, à juste titre, un excellent outil dont usent judicieusement les jeunes ingénieux de Puls Communication interactive. Ils sont à l'origine du lancement de deux sites dédiés à l'emploi et à la formation en Algérie. Autrement dit, aux ressources humaines, première richesse d'une nation.Le premier, emploitic.com, consacré aux offres d'emploi et au recrutement, met en relation demandeurs d'emploi et employeurs à la recherche de compétences et des profils bien précis. Le deuxième, formation-dz.com, est un annuaire et moteur de recherche pour la formation en Algérie. L'entreprise ne compte pas s'arrêter là puisqu'elle entend lancer, jeudi prochain, premier jour de l'été, un nouveau site interactif grand public dédié à l'information cultuelle et aux loisirs.Lors d'une conférence de presse organisée hier, M. Djafer Louaï, directeur associé de Puls Communication interactive, a témoigné que «les entreprises peinent à retrouver les compétences répondant à leurs attentes». A notre préoccupation de savoir si à travers le Web, qui ne reconnaît pas de frontières géographiques, il n'y a pas risque de vider le pays de sa ressource humaine et de ses compétences, M. Louaï nous a répondu qu'au contraire les résultats statistiques issus des chiffres fournis par l'hébergeur du site, entre juin 2006 et juin 2007, font ressortir que c'est plutôt le contraire qui est constaté, c'est-à-dire qu'on assiste à un nombre important des demandeurs d'emploi qui répondent et se font recruter par des entreprises établies en Algérie.Pour la plupart, nous dit-il, ce sont des Algériens qui reviennent au pays.» Il est vrai que, comme toute autre matière à valeur marchande dans une économie mondialisée, la ressource et l'intelligence humaine sont soumises à la seule loi de l'offre et de la demande. On ne peut pas convaincre un Algérien de ne pas répondre à une offre séduisante émise par une entreprise étrangère, qu'elle soit établie en Algérie ou à l'étranger, si sa compétence n'est pas considérée à sa juste valeur par une entreprise nationale.C'est aujourd'hui une réalité qu'on ne peut éluder et qui peut à long terme constituer une menace pour l'économie nationale, même si le marché de l'emploi en Algérie est en même temps ouvert au savoir-faire étranger. Le tribun, dans un exposé détaillé et des plus intéressants, nous fait en outre savoir que, côté offres d'emploi, ce sont les postes en marketing et commerce qui sont les plus offerts aux demandeurs d'emploi avec 32% de l'offre totale.Suivent la gestion, la comptabilité et les finances avec 14%, juste avant l'informatique (11%), l'administration et les services généraux (8%). Aussi, depuis le lancement du site créé par cette agence, 936 offres d'emploi ont été diffusées, 2 54 postes ont été ouverts, et il y a eu 853 843 consultations d'offres d'emploi. Bonne chance à Puls Communication interactive. Nous y reviendrons.Source:AllAfrica
Téléphonie mobile : Changement de numérotation à partir du 22 février 2008 - par Elabweb le 16/12/2007 19:53

L’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) a décidé d’introduire un chiffre supplémentaire dans la numérotation du réseau téléphonique mobile. Ce changement, qui interviendra le 22 février 2008, permettra d’augmenter les plages d’abonnement des trois opérateurs.Les vingt-cinq millions d’Algériens abonnés au mobile auront fort à faire avec leur répertoire téléphonique à partir du 22 février prochain.

C’est en effet à partir de cette date que débutera l’opération de changement de la numérotation téléphonique. Les numéros de portables, prépayés ou post-payés, passeront de 9 à 10 chiffres. L’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications a attribué un chiffre supplémentaire à chacun des trois opérateurs téléphoniques : le 5 pour Watanya, le 6 pour Mobilis et le 7 pour Orascom. Prenons un cas concret, le               060 00 00 00        par exemple. En introduisant le chiffre supplémentaire, ce numéro se transformera ainsi :               0660 00 00 00       . Les lignes qui débutent par la série des 090 ( Mobilis et Allo) s’aligneront sur leurs opérateurs respectifs en prenant soit un 6 ou un 7. « Ce changement est devenu obligatoire, le système de numérotation étant arrivé à saturation.

La situation est telle que la série des 090 a été partagée entre Mobilis et Djezzy. Et à l’avenir, les trois opérateurs bénéficieront de plages d’abonnement plus importantes », précise un responsable de l’ARPT qui a requis l’anonymat. Selon lui, l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications a fait appel à un consultant étranger pour réaliser le diagnostic du système. « Les abonnés disposeront de deux semaines pour basculer d’une numérotation à l’autre. Les deux systèmes seront valables durant cette période. Le dernier délai pour passer à la nouvelle numérotation a été fixé au 8 mars à minuit », souligne notre interlocuteur.

L’ARPT et les trois opérateurs de téléphonie mobile devraient lancer une campagne de communication commune dans les prochaines semaines afin d’expliquer au public les modifications qui interviendront dès le 22 février 2008. Mais la tâche s’annonce ardue pour les millions d’abonnés. Ces derniers devront modifier la totalité des numéros de portables nationaux inscrits sur leurs portables. Ils devront également communiquer leurs nouvelles coordonnées à leurs contacts étrangers. Un autre changement de numérotation est également prévu au cours de l’année 2009. Mais celui-ci devrait toucher la téléphonie fixe. D’après notre source, le secteur du fixe devrait rapidement être saturé avec la multiplication de l’offre ADSL.

Rappelons que le dernier changement de numérotation de la téléphonie fixe date de 2001. T. H.Ce qui va changer :• Un chiffre en plus pour les numéros de téléphone mobile.- Wataniya rajouter 5. Exemple : 0550 00 00 00- Mobilis rajouter 6. Exemple : 0660 00 00 00- Djezzy (et Allo) rajouter 7. Exemple :               0770 00 00 00       . • Le processus de changement entrera en vigueur le 22 février pour prendre fin le 8 mars 2008. • Durant cette période, les deux systèmes de numérotation seront valables.

Tarek Hafid  (Le Soir)


Comité arabe de la communication: l'utilisation des caractères arabes dans les adresses URL à l'ordre du jour - par Elabweb le 06/12/2007 10:29

LE CAIRE (Egypte) - Le comité arabe permanent de l'information et de la communication a examiné mardi au siège de la Ligue arabe l'utilisation des caractères arabes dans l'écriture des adresses URL, à travers la signature d'un mémorandum d'entente avec l'Unesco et le suivi de la préparation du sommet arabe socio-économique en matière de communication et de technologies de l'information. [Aps 5/12/07]
L'entreprise algérienne doit intégrer davantage les TIC dans sa gestion - par Elabweb le 06/12/2007 10:28

ALGER - L'intégration des nouvelles technologies de l'information et de la communication (TIC) dans la gestion des entreprises en Algérie est une "nécessité", à l'instar de toutes les économies qui progressent dans le monde, a estimé dimanche le directeur général de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (CACI), Mohamed Chami. Le responsable de la CACI s'exprimait en marge d'un séminaire international de formation consacré aux "nouvelles technologies de l'information et de la communication (TIC) et les nouveaux instruments de gestion dans les entreprises". [Aps 3/12/07]
La France compte plus de 14 millions d'internautes haut débit (ADSL) - par Elabweb le 06/12/2007 10:27

PARIS (France) - La France comptait fin septembre un peu plus de 14 millions d'abonnés à l'Internet haut débit via le téléphone (ADSL), soit une croissance de 25% sur un an, selon les chiffres publiés vendredi par l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep). [Aps 1/12/07]
Des experts arabes recommandent l’implication des pouvoirs publics dans l’utilisation des logiciels libres - par Elabweb le 06/12/2007 10:26

RABAT (Maroc) - Des experts des pays du Maghreb, du Liban et de Palestine dans les Technologies de l’information et de la communication (TIC), réunis à Rabat (Maroc), ont souligné mercredi l’importance d’impliquer les pouvoirs publics dans tout programme visant l’utilisation des logiciels libres et Open Source (LL/OS). A l’issue d’un séminaire de trois jours sur le développement des politiques de promotion de l’accès à l’information publique, organisé par l’Unesco, l’Isesco et ICTDAR (Développement des TIC dans la région arabe (PNUD), les intervenants ont insisté, dans leurs recommandations, sur le rôle moteur que peuvent jouer les pouvoirs publics dans l’utilisation des LL/OS, comme alternative "sérieuse" pour la réduction de la fracture numérique des pays en développement.
Des experts maghrébins insistent sur la mise en place de stratégies nationales pour l'utilisation des logiciels libres - par Elabweb le 06/12/2007 10:26

ABAT - Des experts des pays du Maghreb dans les technologies de l'information et de la communication (TIC), réunis à Rabat (Maroc), ont insisté mardi sur la mise en place par les pouvoirs publics de stratégies nationales pour l'utilisation des logiciels libre et Open Source (LL/OS). Au deuxième jour du séminaire sur le développement des politiques de promotion de l'accès à l'information publique, organisé par l'Unesco, l'Isesco et ICTDAR (Développement des TIC dans la région arabe PNUD), les intervenants ont mis l'accent sur l'absence de stratégies nationales au Maghreb et dans le monde arabe, sur le manque de compétences techniques sur les LL/OS et le manque de plans de migration appropriés pour une éventuelle transition vers des plateformes LL. [Aps 28/11/07]
Des experts maghrébins se penchent à Rabat sur les logiciels libres - par Elabweb le 06/12/2007 10:25

RABAT (Maroc)- Des experts des pays du Maghreb se sont réunis lundi à Rabat (Maroc) pour examiner le développement des politiques de promotion de l'accès à l'information publique et dresser un état des lieux sur l'utilisation des logiciels libres. Organisé par l'Uneso, l'Isesco et ICTDAR (Développement des TIC dans la région arabe - PNUD), le séminaire sous-régional de trois jours a pour objectif de sensibiliser les décideurs de services publics des pays du Maghreb sur les différentes stratégies nationales dans la région en vue de maintenir un patrimoine commun de logiciels libres et utiles pour le service public. [Aps 27/11/07
Un site Web pour lutter contre les violences faites aux femmes - par Elabweb le 06/12/2007 10:25

WASHINGTON (Etats-Unis)- Au lendemain de la Journée des Nations Unies contre les violences faites aux femmes, célébrée le 25 novembre, le Fonds de développement des Nations unies pour la femme (UNIFEM), a lancé, lundi, en présence de son ambassadrice de bonne volonté, l’actrice américaine Nicole Kidman, un site Web "Dites non à la violence" contre les femmes, destiné à recueillir des signatures du monde entier contre ce fléau, indique-t-on lundi au siège de l’Organisation internationale à New York. [Aps 27/11/07]
Un nouveau service intégrant téléphonie, Internet et télévision bientôt commercialisé par AT - par Elabweb le 06/12/2007 10:24

ALGER - Le groupe Algérie Télécom (AT) commercialisera de manière "partielle", à partir du 15 décembre, un nouveau service intégrant la téléphonie, la télévision et Internet à très haut débit, a-t-on appris samedi auprès du groupe. Des explications ont été fournies au sujet de ce nouveau service au ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour, lors de l'inauguration du Salon international des télécom qui se déroule à Alger du 24 au 27 novembre. [Aps 25/11/07]
En 2008, l’Internet ’’haut débit’’ dans toutes les communes du pays - par Elabweb le 24/11/2007 07:54

Le ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, M. Boudjemaâ Haïchour, a annoncé jeudi dernier à Ghardaïa que l’ensemble des communes du pays seront connectées au début de l’année prochaine au réseau de l’Internet haut débit. Intervenant en marge d’une visite de travail et d’inspection dans la wilaya de Ghardaïa, M. Haïchour a souligné que toutes les communes seront connectées au réseau Internet à haut débit dés le début de l’année 2008. Il a, également, annoncé que les seize stations terriennes du sud, fonctionnant, actuellement, en mode analogique, seront numérisées au même titre que les autres stations du pays. Le ministre a annoncé le lancement à Ghardaïa du troisième opérateur d’Internet ’’ANIS’’ avec 4.000 accès pour permettre à la population d’être au diapason des nouvelles technologies de l’Information et de la communication. M. Boudjemaâ Haïchour a inspecté le centre régional des chèques postaux du sud, alors que le directeur de wilaya a exposé succinctement la situation et les perspectives du secteur dans la wilaya de Ghardaïa. Sept bureaux de postes ont été restauré dans le cadre d’une opération de réhabilitation des services publics et six seront prochainement réhabilités ainsi que l’achèvement de la construction de quatre nouveaux bureaux de postes, a indiqué le responsable du secteur. La wilaya de Ghardaïa compte 34 établissements postaux, un centre de tri postal régional, un centre régional des chèques postaux, 17 bureaux de postes, et 15 recettes de distribution, soit un bureau de poste pour 11.842 habitants et un guichet pour 4.164 habitants, a -t- souligné. Le directeur a également précisé que la wilaya compte 69 terminaux en services et 6 distributeurs automatiques de billets de banque (GAB) qui seront au début de l’année prochaine portés à 12 GAB. La directrice générale d’Algérie Poste a annoncé de son côté que 70.000 cartes magnétiques seront distribuées pour la wilaya de Ghardaïa.
Rendre Internet plus démocratique - par djoudib le 19/11/2007 10:35

EL Watan Edition du 19 novembre 2007 > Multimédia Forum de l’ONU sur la gouvernance d’internet Rendre Internet plus démocratique Lesparticipants au deuxième forum de l’ONU sur la gouvernance del’Internet à Rio ont donné priorité à la protection de l’enfance contrela pédophilie et discuté des moyens de rendre le réseau mondiald’ordinateurs plus démocratique et plus sûr. « S’il y a eu des disparités sur certains sujets tels que l’accès et ladiversité, en matière de protection des enfants il y a un consensus »,a affirmé à l’AFP un délégué aux usages de l’Internet. Plus de 1300représentants des gouvernements, du secteur privé, de la société civileet de la communauté d’Internet de 109 pays ont participé de lundi àjeudi dernier à des dizaines de conférences et séminaires du FGI. Sonobjectif était « d’aider à une meilleure compréhension sur la manièred’utiliser les opportunités qu’Internet nous offre et à en détecter lesrisques et les défis », a estimé le Coréen Sha Zukeang, sous-secrétairegénéral des Nations unies. Le Conseil de l’Europe a lancé dans le cadrede ce forum (FGI) – qui n’a aucun pouvoir de décision ni de négociation– un jeu « Wild Web Woods » (dans les bois inquiétants de la toile)pour apprendre aux petits à naviguer en toute sécurité sur le réseau.La technologie a accru l’exposition des enfants à un niveau inédit maisune bonne coordination policière peut se montrer efficace face auxprédateurs. L’exemple du pédophile arrêté récemment en Thaïlande,identifié à partir d’une photo floutée circulant sur Internet, a étécité. La secrétaire générale adjointe du Conseil de l’Europe, Maud deBoer-Buquicchio, a déclaré que « l’Internet offrait un maximum dedroits aux utilisateurs (liberté d’expression) avec un minimum derestrictions », c’est pourquoi, il fallait créer des mécanismes deprotection contre la cybercriminalité. Elle a « encouragé » tous lespays à voter la convention européenne sur la cybercriminalité et àratifier celle contre l’exploitation des enfants et les abus sexuelsrécemment adoptée. Un autre défi est de réduire l’inégalité d’accèsd’Internet entre pays riches et pauvres alors que la Toile compteactuellement un milliard d’utilisateurs et que cinq milliards n’y ontpas accès. Le Brésilien Augusto Gadelha, qui représentait le ministredes Sciences et Technologies, Sergio Rezende, lors de la cérémonie declôture, a mis en avant le fait qu’Internet devait « être géré pour leprofit de l’humanité toute entière » et qu’il fallait « offrir des prixabordables » pour l’accès à Internet aux pays en développement. Dansces pays où l’on accède à Internet dans les grandes villes mais pasdans les régions reculées, les gouvernements « devraient corriger lesimperfections du marché », a-t-il estimé. Les participants ont insistésur l’importance du maintien des différences culturelles etlinguistiques au sein du réseau. « L’internet doit s’étendre de façon àrefléter – dans ses contenus et systèmes d’adresses – la diversitéculturelle et linguistique existante, ainsi que les différences localeset régionales qui caractérisent la civilisation », a souligné Gadelha.De nombreux participants dont les Européens, le Brésil, la Chine etl’Inde notamment ont réclamé une « plus grande indépendance » del’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN),organisme américain chargé par les Etats-Unis de la gestion des noms,adresses et numéros sur le réseau mondial. Le coordinateur exécutif duFGI, Markus Kummer, a affirmé que la discussion avait « bien avancé »depuis la précédente réunion à Athènes (en 2006) et qu’elle serait« encore approfondie » en 2008 en Inde, probablement à New Dehli. Synthèse S. B.
Salon Algérien des centres d'appels - par CHEBIRA le 02/11/2007 21:50

La première édition du Salon Algérien des centres d'appels se tiendra à Alger les 18 et 19 Novembre 2007 à l'Hôtel Hilton sous la parrainage de Monsieur le Ministre de la Poste, des Technologies de l'information et de la communication.
Pour toute information consultez le site : http://www.saca-dz.com/index.php?option=com_content&task=view&id=12&Itemid=32
Concours de magister en économie à Batna - par djoudi le 21/10/2007 01:09

L’école doctorale « économie appliquée et management des organisations »de la faculté des scienceséconomiques et gestion de l’université deBatna (Algérie), organise un concoursde magister le lundi 10 décembre2007. Il est à noter que cette école doctoralepropose, entre autres, unparcours de formation en :« Economie etmanagement du savoir et des connaissances ».Les postes à pourvoir sont de 52 et sont répartis géographiquementpar structure universitaire comme suit :Condition d’accès et modalité de l’examen : Sujet d’examen : Pour davantage de détails, voir l’annonce sur le site del’université de Batna (www.univ-batna.dz)ou sur le site du directeur de l’école doctorale (http://fares.boubakour.free.fr)
Un nouveau distributeur automatique en Algérie - par CHEBIRA le 27/08/2007 11:54

* INVENTION D’UN NIVEAU DISTRIBUTEUR AUTOMATIQUE EN ALGERIE

It Mag : Tout d’abord, donnez-nous une idée sur les formations que vous
avez suivies. Ont-elles un lien direct avec ce que vous avez réalisé
jusqu’ici ?

Mohamed Darfoul : En fait non. Initialement, j’ai fait des études dans
le domaine du commerce international, mais j’ai toujours été attiré par
tout ce qui est technique. Je ne me suis d’ailleurs pas privé de toucher
à des domaines qui n’ont rien à voir avec les études que j’ai suivies à
l’université. Mon intérêt pour le domaine technique en général a fait
que je me suis formé dans plusieurs domaines, tout en faisant de petits
métiers. Les métiers dans lesquels je me suis justement formé sont ceux
de l’électricité automobile, la réparation d’équipements électroniques,
l’infographie, la conception et la réalisation publicitaire, la
ferronnerie, la menuiserie et la maçonnerie. Aujourd’hui, je peux dire
que je maîtrise ces domaines à différents degrés, et cela m’aide
beaucoup dans la réalisation de mes inventions. D’un autre côté, j’ai
été membre de la Ligue des activités scientifiques de la wilaya de Médéa
et de l’Association nationale des inventeurs algériens (ANIA). Une
manière pour moi de rester à la page et d’être au courant de ce qui se
passe autour de moi.

Vous avez inventé un distributeur automatique intelligent pour cartes de
recharge. Pouvez-vous nous donner plus de détails et combien de temps
vous a-t-il fallu pour mettre au point cet appareil ?

Le distributeur automatique intelligent pour cartes de recharge
téléphoniques a été breveté au niveau de l’Institut national algérien de
propriété industrielle (INAPI) au courant de l’année. Il s’agit d’un
appareil fonctionnant un peu comme un distributeur de boissons.
L’appareil permet d’obtenir des cartes téléphoniques en introduisant une
pièce dans une fente. Ce qui rend ce distributeur particulier, c’est le
fait qu’il puisse avertir l’agent chargé de son entretien lorsqu’il ne
reste plus de cartes ou lorsqu’il en reste quelques-unes seulement.
L’agent reçoit un signal directement sur son téléphone portable. La
machine est programmée de façon à ne pouvoir s’ouvrir qu’à des heures
précises de la journée, ce qui signifie que même si quelqu’un parvient à
voler la clé de la machine, il ne peut voler son contenu. En d’autres
termes, la machine s’ouvre avec une clé mais à des moments précis de la
journée. Dans sa forme actuelle, la machine peut distribuer deux genres
de cartes, puisqu’elle est dotée d’un dispositif lui permettant
d’accueillir deux rangées de cartes de recharge. Les distributeurs de
cartes de recharge ne sont pas supposés être installés dans la rue par
exemple, mais plutôt dans des hôtels ou même au niveau des points de
vente de l’opérateur téléphonique concerné. Pour mettre au point cette
machine, j’ai dû faire appel à mes connaissances dans les domaines de la
mécanique et de l’électronique et des télécommunications.

Avez-vous proposé cette machine à des opérateurs télécom algériens ?

Oui. Le seul qui a répondu est OTA que je remercie d’ailleurs pour
m’avoir répondu au moins. Je signale aussi que j’ai contacté d’autres
opérateurs pour leur proposer mon distributeur automatique. Il s’agit
des opérateurs Nedjma et Mobilis. J’ai également fait des propositions
aux opérateurs Oria et Lacom en ce qui concerne la téléphonie fixe.

Parlez-nous de vos contacts avec Djezzy. Comptez-vous proposer votre
invention à une autre société ?

Les responsables de Djezzy sont actuellement en train d’étudier les
utilisations possibles de mon invention. Nous avons d’ailleurs parlé
d’un autre appareil que je vais mettre au point prochainement.

Vous avez d’autres inventions. Pouvez-vous nous en parler ? Pourquoi ne
sont-elles toujours pas brevetées ?

J’ai effectivement réalisé d’autres inventions avant le distributeur de
cartes de recharge téléphoniques. Il s’agit, entre autres, de la poche
de sérum intelligente qui se bloque automatiquement lorsque le liquide
est consommé, et ce, afin d’éviter le passage de bulles d’air dans
l’organisme du patient. La poche en question attire l’attention des
infirmiers à travers un dispositif particulier. J’ai également mis au
point une canne pour non-voyants dotée d’un dispositif permettant à
leurs propriétaires de détecter avec précision leur emplacement. J’ai en
outre mis au point un système de verrouillage d’ordinateurs en appui au
mot de passe qui peut être surmon
تصنيف شنغهاي و تايمز هاير يسقط الجامعات الجزائرية. - par Djoudi le 16/05/2017 11:49

ابت الجامعات الجزائرية من تصنيف شنغهاي الدولي للجامعات لأفضل 500 جامعة على المستوى العالمي، ويعتمد هذا التصنيف على الأداء الأكاديمي في ما يتعلق بالبحوث العلمية وكذا حجم الدراسات والأبحاث المنشورة في المجلات.

في حين قامت مؤسسة “تايمز هاير إيديوكيشن” البريطانية المتخصصة، بإسقاط جميع الجامعات الجزائرية في تصنيف أفضل 800 جامعة في العالم لشهر ديسمبر الماضي، ويقوم الترتيب على معايير التدريس والبحث ونقل المعرفة. بينما يقيم تصنيف “ويبومتريكس” العالمي للجامعات، الذي يصدر من إسبانيا عن المجلس العالي للبحث العلمي ويغطي 25 ألف جامعة، جامعة جيلالي ليابس بسيدي بلعباس في المرتبة 1733 عالميا و الـ21 عربيا كأفضل ترتيب لجامعة جزائرية وفقا لتنصيف شهر جانفي الماضي، واحتلت جامعة سعد دحلب بالبليدة المركز 3760 عالميا و89 عربيا، فيما جاءت جامعة خنشلة في المرتبة 14393 عالميا والـ 389 على الصعيد العربي.

source : http://www.elkachef.net/?p=18418

13 mai 2017


Un concours national pour accéder au programme de formation résidentielle à l'étranger pour les majors de promotion - par Djoudi le 19/02/2017 17:20

ALGER- Un concours national d'admissibilité au programme de formation résidentielle à l'étranger pour les majors de promotion sera organisé au titre de l'année universitaire 2017/2018, a indiqué dimanche le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRS) dans un communiqué.

"Dans le cadre du programme d'appui à la formation post-graduée, le MESRS informe les étudiants majors de promotion des établissements d'enseignement supérieur de l'organisation d'un concours national pour l'admissibilité au programme de formation résidentielle à l'étranger au titre de l'année universitaire 2017/2018", précise la même source.

Soulignant que "les épreuves écrites de ce concours auront lieu le 20 mars 2017", le ministère invite les étudiants concernés "à se rapprocher de leurs établissements de rattachement afin de prendre connaissance des conditions et critères pédagogiques et scientifiques d'admissibilité au programme de formation résidentielle post-gradué à l'étranger ainsi que les filières retenues".

source : APS Dimanche, 19 Février 2017 16:29

http://www.aps.dz/algerie/53556-un-concours-national-pour-acc%C3%A9der-au-programme-de-formation-r%C3%A9sidentielle-%C3%A0-l-%C3%A9tranger-pour-les-majors-de-promotion


Classement PISA de la qualité de l'enseignement - par Djoudi le 31/12/2016 12:06

Classement PISA

Le programme PISA, plus souvent appelé "classement PISA", doit son acronyme à "Program for International Student Assessment", soit "Programme international pour le suivi des acquis des élèves". Cet ensemble d'études réalisées par l'OCDE, l'Organisation de Coopération et de Développement Économiques, est conçu pour mesurer les performances des systèmes éducatifs au sein des pays, de manière standardisée et à grande échelle. L'enquête est publiée tous les trois ans après avoir été menée auprès de dizaines de milliers adolescents de 15 ans. Elle est réalisée dans les 34 pays membres de l'OCDE, mais aussi dans un grand nombre de pays partenaires. La première enquête PISA date de 2001.
Plus concrètement, PISA mesure les connaissances et compétences acquises de jeunes des quatre coins de la planètes et la performance des systèmes éducatifs des pays tel que l'entend l'OCDE. Avec pour slogan : "Ce que les élèves de 15 ans savent et ce qu'ils peuvent faire avec ce qu'ils savent". 

Pays Score en sciences Score en compréhension de l'écrit Score en mathématiques
1 Singapour 556 535 564
2 Japon 538 516 532
3 Estonie 534 519 520
4 Taipei chinois 532 497 542
5 Finlande 531 526 511
6 Macao (Chine) 529 509 544
7 Canada 528 527 516
8 Viet Nam 525 487 495
9 Hong-Kong (Chine) 523 527 548
10 P-S-J-G (Chine) 518 494 531
11 Corée 516 517 524
12 Nouvelle-Zélande 513 509 495
12 ex. Slovénie 513 505 510
14 Australie 510 503 494
15 Royaume-Uni 509 498 492
15 ex. Allemagne 509 509 506
15 ex. Pays-Bas 509 503 512
18 Suisse 506 492 521
19 Irlande 503 521 504
20 Belgique 502 499 507
20 ex. Danemark 502 500 511
22 Pologne 501 506 504
22 ex. Portugal 501 498 492
24 Norvège 498 513 502
25 États-Unis 496 497 470
26 Autriche 495 485 497
26ex. France 495 499 493
28 Suède 493 500 494
28 ex. République tchèque 493 487 492
28 ex. Espagne 493 496 486
31 Lettonie 490 488 482
32 Russie 487 495 494
33 Luxembourg 483 481 486
34 Italie 481 485 490
35 Hongrie 477 470 477
36 Lituanie 475 472 478
36 ex. Croatie 475 487 464
36 ex. CABA (Argentine) 475 475 456
39 Islande 473 482 488
40 Israël 467 479 470
41 Malte 465 447 479
42 République slovaque 461 453 475
43 Grèce 455 467 454
44 Chili 447 459 423
45 Bulgarie 446 432 441
46 Émirats arabes unis 437 434 427
47 Uruguay 435 437 418
47 ex. Roumanie 435 434 444
49 Chypre1 433 443 437
50 Moldavie 428 416 420
51 Albanie 427 405 413
52 Turquie 425 428 420
52 ex. Trinité-et-Tobago 425 427 417
54 Thaïlande 421 409 415
55 Costa Rica 420 427 400
56 Qatar 418 402 402
57 Colombie 416 425 390
57 ex. Mexique 416 423 408
59 Monténégro 411 427 418
59 ex. Géorgie 411 401 404
61 Jordanie 409 408 380
62 Indonésie 403 397 386
63 Brésil 401 407 377
64 Pérou 397 398 387
65 Liban 386 347 396
65 ex. Tunisie 386 361 367
67 ERYM 384 352 371
68 Kosovo 378 347 362
69 Algérie 376 350 360
70 République dominicaine 332 358 328

L'enquête PISA n'est pas la seule enquête éducative à donner lieu à un classement (à ce sujet, voir notre classement des lycées ou encore le célèbre classement de Shanghai spécial universités). Mais relayée par des médias du monde entier et résultat de tests à grande échelle sur le terrain, elle conserve un impact fort depuis sa création il y a bientôt 20 ans. Ses conclusions sont intensément reprises par la presse nationale, qui n'hésite pas à qualifier les participants mal classés de "cancres" ou à suspecter leurs élèves d'être "des imbéciles". Le classement des pays participants retient aussi l'attention d'enseignants ou spécialistes de l'éducation, partagés entre son utilité et ses potentielles dérives. La part très importante accordée aux sciences dans le classement est par exemple critiquée. Pour autant, la plupart sont au moins d'accord pour reconnaître les effets bénéfiques de l'exposition médiatique du classement PISA : elle incite pouvoirs et opinions publiques à regarder de plus près le fonctionnement de leurs systèmes éducatifs. Et à se poser la question de leur efficacité. : 

Source
Axelle Choffat, Mis à jour le 13/12/16 11:20
http://www.linternaute.com/actualite/education/1310839-pisa-le-classement-2016-devoile-la-france-retrogradee/


Catégorisation des revues scientifiques - par Djoudi le 21/12/2016 22:04

Catégorie exceptionnelle : les revues «  Nature  » et «  Science  » qui permettent

aux  chercheurs  qui  ont  publié  dans  ces  deux  revues  d'admettre  â  candidature

l'établissement  dont  ils  relèvent,  c'est-à-dire  d'être  dans  l'échantillon  pour  le classement de Shanghai.

Catégorie A+: Les revues (articles) scientifiques  indexées dans le Web of Science

(WOS) de Thomson Reuters (avec Impact Factor) qui se trouvent dans le Top 10% des micro-domaines.

Liste des revues A+  

Catégorie A : Les revues (articles) scientifiques indexées dans le Web of Science

(WOS) de Thomson Reuters. C'est la catégorie  minimale qui permet la visibilité des institutions.

Liste des revues Web of Science (WOS) de Thomson Reuters

Pour ces trois premières (03) catégories, il s’agit de la liste du JCR (Journal Citation Report) de Thomson Reuters

Catégorie B : Elles proviennent de bases sélectives telles que (liste non  exhaustive,   vous êtes invités à communiquer d’autres listes à la DGRSDT) :

Bases sélectives

Téléchargement

1

Liste « All databases » de Thomson Reuters (Medline, INSPEC, Biosis...etc),

 

2

Liste de SCOPUS

 

3

(حوليات أثرية عربية - سورية) Les annales archéologiques Arabes-Syriennes

4

Liste de DE GRUYTER

5

Liste actualisée de l'AERES,

 

6

Liste actualisée d'European Reference lndex for the Humanities (ERİ H)

 

7

Liste des revues scientifiques ABDC (Australian Business Deans Council)

 

8

Liste des revues scientifiques CNRS

 

9

Liste des revues scientifiques du Journal Quality List

 

10

Liste des revues scientifiques Financial Times

 

Catégorie C : Les revues (articles) qui répondent à  des critères suivants :

 

Catégorie D: Les revues sans comité de lecture ou les prépublications enregistrées dans les bibliothèques avec des abstracts accessibles sur le net dans les deux cas.

 

Catégorie E: Les revues ou ouvrages de vulgarisation. (Editeurs internationaux).


أفضل 20 جامعة جزائرية حسب تصنيف لسنة 2016 - par Djoudi le 06/11/2016 20:50

لسنة 2016 أفضل 20 جامعة جزائرية حسب تصنيف    

احتلت جامعة أبوبكر بلقايد بتلمسان، صدارة الجامعات الجزائرية وفق تصنيف منظمة TFE Times العالمية لتصنيف الجامعات الجزائرية (02/10/2016).

نشرت المنظمة نتائج أفضل 64 جامعة جزائرية، حيث احتلت المركز الثاني جامعة العلوم و التكنولوجيا هواري بومدين بالجزائر العاصمة.

تلتها جامعة محمد خيضر -بسكرة- في المركز الثالث وجامعة فرحات عباس -سطيف-  في المركز الرابع.

وفيما يلي ترتيب أفضل 20  جامعة جزائرية :

الرقم

الجامعة

الولاية

1

جامعة أبو بكر بلقايد

تلمسان

2

جامعة العلوم و التكنولوجيا هواري بومدين

الجزائر العاصمة

3

جامعة محمد خيضر

بسكرة

4

جامعة فرحات عباس

سطيف

5

جامعة قاصدي مرباح

ورقلة

6

جامعة الحاج لخضر

باتنة

7

جامعة الاخوة منتوري

قسنطينة

8

جامعة حسيبة بن بوعلي

شلف

9

جامعة الجزائر 1

الجزائر العاصمة

10

جامعة عبد الرحمن ميرة

بجاية

11

جامعة عبد الحميد بن باديس

مستغانم

12

جامعة محمد بوضياف

مسيلة

13

جامعة مولود معمري

تيزي وزو

14

جامعة باجي مختار

عنابة

15

جامعة جيلالي اليابس

سيدي بلعباس

16

جامعة العلوم و التكنولوجيا

وهران

17

جامعة محمد صديق بن يحي

جيجل

18

جامعة 8 ماي 1945

قالمة

19

جامعة الدكتور مولاي الطاهر

سعيدة

20

جامعة سعد دحلب

بليدة

لمزيد من التفاصيل يرجى زيارة صفحة “أفضل الجامعات الجزائرية” على موقع المنظمة : الرابط 


قريبا…مرسوم تنفيذي خاص بالتأهيل الجامعي - par Djoudi le 06/11/2016 17:36

رسوم تنفيذي خاص بـ : التأهيل الجامعي خلال الأسبوع المقبل

في اجتماعه مع ممثلي نقابات الأساتذة الجامعيين، أكد وزير التعليم العالي والبحث العلمي الأستاذ طاهر حجار على أن المرسوم تنفيذي الجديد المتعلق بالتأهيل الجامعي سيصدر قريبا خلال الأيام القادمة.

و أوضح الوزير أن المرسوم من شأنه تسهيل المعايير و الإجراءات الخاصة و المتعلقة بالتأهيل الجامعي . حيث سيتم العمل بسلم تنقيط بدل المناقشة.

وذلك بتقديم الأستاذ  ملف  يعتمد  على تقييم الأنشطة البيداغوجية و التي أعطيت لها الأهمية الكبرى ، حسب تصريحات  وزير التعليم العالي و البحث العلمي .  إضافة إلى الأنشطة الإدارية.

من جهة أخرى نوه الوزير إلى عدم إلزامية نشر المقال العلمي لتمكين الأستاذ من التأهيل الجامعي، حيث سيتم احتسابه فقط كمعيار تقيمي وفق نقاط معينة.

  source http://www.nitrosystem.net/


Top 1000 des universités mondiales: L'université Abou Bakr Belkaïd de Tlemcen se fait une petite place - par Djoudi le 06/11/2016 16:47

Le classement mondial des universités (World University Rankings 2016-2017) publié hier classe un seul établissement universitaire algérien parmi les 1000 premières universités du monde.

Il s'agit de l'université Abou Bakr Belkaïd de Tlemcen. Cette dernière n'a toutefois réussi à se classer que 955 e rang. Un classement qui lui permet d'être parmis les 26 universités arabes figurant au classement 2017.

Beaucoup de travail reste à faire aux Algériens qui ambitionnaient en 2011 à figurer dans le top 500 des meilleurs universités au Monde.

La première université arabe à apparaître dans ce classement est celle du Roi Abdelaziz qui a encore gagné des places cette années pour figurer parmi les 220 premières universités dans le monde.

25 autres universités arabes y figurent dont deux tunisiennes et trois marocains. L'Egypte, elle, compte 8 universités figurants dans ce classement.

Le classement 2017 apporte une grande surprise toutefois. Pour la première fois depuis très longtemps, la première université n'est pas américaine. Cette année c'est la prestigieuse université britannique, Oxford, qui trône au sommet du classement. La suprématie anglo-saxone reste scrupuleusement respectée.

Source : http://www.huffpostmaghreb.com/2016/11/06/top-1000-des-universites-mondiales-luniversite-abou-bakr-belkaid-se-fait-une-petite-place_n_12828584.html?ncid=fcbklnkfrhpmg00000008


إجراءات جديدة وصارمة لتوظيف أساتذة الجامعات - par Djoudi le 05/11/2016 14:49

إخضاع جميع الأساتذة الجدد للتكوين ومراقبة أدائهم البيداغوجي

قررت مصالح وزارة التعليم العالي والبحث العلمي، إخضاع جميع الأساتذة الجدد للتكوين ولتقييم صارم مع مراقبة أدائهم البيداغوجي خلال الأشهر الأولى من توظيفهم، وستتولى لجنة وطنية تم إنشاؤها مؤخرا مهمة المتابعة البيداغوجية للأستاذ الباحث، في إطار برنامج تكوين يهدف إلى تكييفهم وفق البرامج الدراسية المحددة من قبل الوزارة.

وأفرجت الوزارة عن قرار جديد ينظم المرافقة البيداغوجية للأستاذ حديث التوظيف لتمكينه من اكتساب المعارف، لا سيما المتعلقة بالتنظيمات التشريعية المعمول بها في المؤسسات الجامعية والمناهج العلمية من أجل التطوير المهني للأساتذة الباحثين في المرحلة القادمة وقرر الوزير حجار بموجب هدا القرار، إخضاع الأساتذة الجدد إلى تكوين لمراقبة مدى تنفيذهم للبرامج الدراسية.

وحددت الوزارة الوصية من خلال هذا القرار الذي يحمل رقم 1636 المؤرخ في 29 أكتوبر 2016 ، المتضمن إنشاء لجنة وطنية للإشراف ومتابعة تنفيذ برنامج المرافقة البيداغوجية لفائدة الأستاذ الباحث، إلى كيفيات معالجة مشكل النقص في التكوين لدى الأساتذة الجامعيين خاصة الجدد، ومدى انعكاس ذلك، على تكوين الطلبة. علما أن القرار الذي تحوز "البلاد" نسخة منه والذي تم إرساله إلى مختلف المؤسسات الجامعية تضمن عشر مواد حددت مختلف الجوانب الواجب مراعاتها. كما تضمن قرار الوصاية إلزام الجامعات بتقييم أداء مسيريها وأساتذتها مع التحقيق في وجهة أموالها، بالنظر إلى "الاختلالات" المسجلة طيلة السنوات الماضية.

وتتكفل اللجنة بضمان السير الحسن لخلايا متابعة برنامج المرافقة البيداغوجية لفائدة الأستاذ الباحث حديث التوظيف والموضوعة لدى مؤسسات التعليم العالي، للسهر على تنظيم وتأطير ومرافقة الخلايا المكلفة بضمان ومتابعة البرنامج الوطني للتعليم البيداغوجي تماشيا ومبادئ اليقظة البيداغوجية، وتنسيق ومواءمة ومتابعة جميع الأنشطة المتعلقة بالتكوين البيداغوجي للأستاذ الباحث والتقييم الدوري لمنظومة التكوين المستمر للأستاذ الباحث وطالب الدكتوراه الموضوعة لدى مؤسسات التعليم العالي مع تشكيل شبكة وطنية للمكونين من أجل تشجيع عملية تبادل الخبرات في الموارد البشرية وإنشاء أرضية وطنية للتكوين البيداغوجي والاندماج في الشبكة الدولية للبيداغوجيا والاندماج أو تطوير أي نظام تكوين بيداغوجي ذي قيمة مضافة عالية للتعليم العالي.

وتتشكل اللجنة من ممثل عن الوزارة ورؤساء الندوات الجهوية للجامعات ومسؤولين من مختلف الهيئات التابعة للقطاع، إضافة إلى خبراء من القطاع، وتتوج أشغالها بمحاضر تدون في سجل مرقم ومؤشر عليه يوقعه رئيس اللجنة الوطنية ويوضع في أمانة اللجنة.

وكان وزير التعليم العالي، قد انتقد مؤخرا، أداء الأساتذة الجدد وكذا بعض المؤسسات الجامعية التي اتهمها بسوء التسيير على المستوى البيداغوجي وكذا المالي، حيث أمر بتنصيب لجنة اليقظة، لمرافقة عملية تكوين الأساتذة الجدد على مستوى كل مؤسسة جامعية، موازاة مع الشروع في التقييم الذاتي للمؤسسات الجامعية في إطار المرجعية.

http://www.elbilad.net/article/detail?id=62620


20 جامعة جزائرية ضمن أفضل 124 جامعة عربية - par Djoudi le 03/11/2016 20:22

ترتيب الجامعات الجزائرية عربيا

نشر مؤخرا، موقع U.S. News & World Report المتخصص في تصنيف الجامعات على مستوى العالم .

نتائج تصنيف لأفضل 124 جامعة ومؤسسة تعليم عالي بالمنطقة العربية من أكثر من 2000 مؤسسة تعليم عالي على مستوى الوطن العربي لسنة 2016 .

يعتمد تصنيف U.S. News  على البيانات و المعايير البحثية المقدمة من Scopus  (جزء من مؤسسة Elsevier Research Intelligence) .

حيث يتم  التقييم باختيار أفضل الجامعات في الوطن العربي بناء على 11 مؤشرا لقياس إنتاجها و أدائها وسمعتها في مجال البحوث الأكاديمية.

وذلك باستخدام معايير مثل عدد الأوراق البحثية المنشورة في المجلات العالمية للأبحاث وكذا البحوث المقتبسة ونسبتها وعدد الاقتباسات البحثية وتأثيرها .

ولم يقُم التقييم على البرامج التعليمية للطلاب والخريجين.

يرجى مراجعة  المنهج the methodology  للاطلاع على (11) مؤشر التقييم المعتمدة.

وقد أظهرت نتائج هذا التصنيف على مستوى العالم العربي تموقع 20 جامعة جزائرية ضمن أفضل 124  جامعة عربية لسنة 2016

الترتيب على المستوى العربي الترتيب على المستوى الوطني المؤسسة الجامعية
31 1 جامعة العلوم و التكنولوجيا هواري بومدين
50 2 جامعة قسنطينة 1
59 3 جامعة العلوم و التكنولوجيا – وهران
62 4 جامعة سيدي بلعباس
70 5 جامعة بجاية
73 6 المدرسة الوطنية متعددة التقنيات – الجزائر
74 7 جامعة عنابة
75 8 جامعة تلمسان
78 9 جامعة سطيف 1
93 10 جامعة وهران
96 11 جامعة بسكرة
97 12 جامعة تزي وزو
99 13 جامعة بومرداس
105 14 جامعة بليدة
106 15 جامعة جيجل
109 16 جامعة باتنة 1
115 17 جامعة مستغانم
120 18 جامعة معسكر
123 19 جامعة بشار
124 20 جامعة مسيلة

source : http://www.nitrosystem.net/


برنامج التكوين الإقامي لطلبة الدكتوراه والأساتذة الباحثين في2017 - par Djoudi le 18/02/2016 11:21

علنت السفارة الفرنسية بالجزائر، بالتعاون مع وزارة التعليم العالي وبالبحث العلمي عن إطلاق برنامج التكوين الإقامي لطلبة الدكتوراه "بروفاس، بي + PROFAS B"، وسيفتح باب الترشح لطلبة الدكتوراه غير الأجراء، والأساتذة الباحثين الجزائريين، على أن يتم إيداع الملفات في أجل لا يتعدى 31 مارس المقبل.

ويدخل هذا البرنامج "بروفاس بي+" الخاص بالتربصات والمنح لفائدة طلبة الدكتوراه، ضمن إطار اتفاقية التعاون العلمي الجزائري - الفرنسي، ويفتح هذا الأخير المجال للطلبة الجزائريين في إطار الإشراف المشترك، أو في إطار إنجاز أطروحات الدكتوراه، سواء الأساتذة الباحثين أم الطلبة غير الأجراء للاستفادة من منحة دراسية ومرافقة علمية لتمكينهم من إجراء أبحاثهم أو مشاريع الدكتوراه في إطار مخبر علمي بفرنسا  .

وكشف بيان للمركز الفرنسي بالجزائر أمس ـ تحصلت "الشروق" على نسخة منه ـ عن تفاصيل برنامج  "PROFAS B+" لسنة 2017، والموجه لطلبة الدكتوراه، حيث تم فتح باب الترشح منذ 15 فيفري الجاري وإلى غاية 13 مارس، كما تم فتح هذا البرنامج منذ سنة 2014، وخلال سنتين تحصل 180 طالب جزائري على منح دراسية بفرنسا، من خلال القيام ببحوثهم ودراساتهم في أرقى وأحسن مخابر البحث الفرنسي  .

ويقترح برنامج "بروفاس بي +" في إطار برنامج التكوين الإقامي، منحا دراسية من 7 إلى 12 شهرا خلال السنة الجامعية 2016 /2017، لطلبة الدكتوراة الذين يحضرون أطروحاتهم، ومنحا دراسية من 7 إلى 18 شهرا، بالنسبة إلى الطلبة المسجلين في السنة الثالثة دكتوراه وتحت إشراف مشترك، ويمنح البرنامج بالإضافة إلى تكاليف المنحة وتذكرة السفر "ذهاب وإياب"، تكفلا صحيا وتأمينا اجتماعيا في الثلاثة الأشهر الأولى للإقامة، كما يساعد المتحصلين على المنحة في إيجاد سكن والتكفل بالنقل في حال توجيههم إلى مخابر بحث في مدن بعيدة عن العاصمة.

http://www.echoroukonline.com/ara/articles/273480.html


Le Classement Webometrics de Janvier 2016 - par Djoudi le 17/02/2016 11:35

Le Classement Webometrics de Janvier 2016 :
Les établissements algériens de formation supérieure
et de recherche confirment leur progression mondiale

Pr H. Aourag, Pr M. Sellami, M. Hakim Harik, DGRSDT

Février 2016

La publication du classement Webometrics de Janvier 2016, pour les universités et centres de recherche confirme le saut qualitatif et combien encourageant des  institutions algériennes qui se maintiennent en bonne position. Diverses stratégies sont adoptées par les chefs d’établissements afin d’assurer une meilleure visibilité de leur potentiel scientifique et pédagogique. Cette prise de conscience  progressive est partagée par les responsables de facultés, des laboratoires de recherche et des bibliothèques universitaires, qui s’impliquent davantage dans le développement de contenus et dans la diffusion d’informations diverses à destination de la communauté des enseignants et des chercheurs.

Sur quelques 25000 institutions d’enseignement supérieur recensées à travers le monde, l’Algérie place deux universités dans le top 2000 mondial (Université Djilali Liabés et l’USTHB) et trois EPST (CERIST, CDER, CRSTRA) dans le top1000 des centres de recherche, sur 7500 structures classées.

Sur le top20 des universités maghrébines, l’Algérie place 12 institutions, le Maroc 06 et la Tunisie 02 établissements. Enfin, sur le Top100 des universités du Monde Arabe, dominé par l’Arabie Saoudite, l’Algérie place 16 institutions. En Algérie, si les habitués du classement se maintiennent, il est quand même inquiétant de voir l’absence de grandes universités qui sont reléguées aux dernières positions, pourtant ils ont sur qui apprendre et s’inspirer. Nous avions mentionné dans les rapports précédents que nous ambitionnons de classer au moins trois universités algériennes dans le top 500 à l’horizon 2020, il faudra aller dés à présent vers une politique et une stratégie élitistes.  Le monde de l’enseignement supérieur est en proie à des changements rapides, où chacun perçoit la nécessité d'une nouvelle vision qui devrait être centrée sur l’innovation pédagogique, la gouvernance et le renforcement des TIC. Un des moyens de faire progresser la qualité de l'enseignement supérieur est de passer par le classement les établissements d'enseignement supérieur et la publication à travers les médias des résultats pour créer une forte compétitivité.

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قوانين وشروط جديدة لتنظيم مسابقات الدكتوراه والتكوين للموسم المقبل - par Djoudi le 17/02/2016 09:06

وضعت وزارة التعليم العالي والبحث العلمي، شروطا جديدة للتكوين في طور الدكتوراه وتنظيم المسابقات ومناقشة الأطروحات، للموسم الجامعي 2016 / 2017 والتي تلزم فيها المؤسسات الجامعية باحترام جملة من الإجراءات منها عدم فتح أقّل من 3 مناصب في المسابقات وتسقيف الحدّ الأقصى لعدد الأطروحات التي يشرف عليها المؤطّر والتقييم الدوري والدقيق للطلبة طول فترة التكوين وإلى ما بعد مناقشة أطروحاتهم، إضافة إلى فتح المجال للتكوين في دكتوراه المؤسسة

حدّدت   المديرية   العامّة   للتعليم   والتكوين   العاليين   بوزارة   التعليم   العالي   والبحث   العلمي،   إجراءات   جديدة   تخصّ   تنظيم   التكوين  والمسابقات في طور الدكتوراه بنظام "الألمدي"، للموسم الجامعي 2016 ـ 2017، بناء على تقارير لجان التكوين والتأهيل، حيث دعت إلى إيداع ملفات عروض التكوين في الطور الثالث للعام المقبل على مستوى الندوات الجهوية بناء على الشروط الجديدة، أهمّها عدم فتح أقّل من 3 مناصب في كلّ مسابقة، على أن يخضع العدد الإجمالي للمناصب لتقدير اللّجان الجهوية والوطنية، استنادا على التقارير التي تحصي عدد الطلبة الذين يخضعون للتكوين في نفس المشروع أو نفس المؤسسّة، وقدرات الإشراف والتكوين وهياكل البحث المتاحة.

وألزمت مديرية التكوين بالوزارة حسب مراسلة حديثة اطّلعت عليها "الشروق"، أصحاب عروض التكوين بتكييفها لتكون ذات طابع وطني، بحيث تكون متاحة لمشاركة خريّجي الماستر في مختلف المؤسسات الوطنية، وليست حكرا على التخصصات المفتوحة بالمؤسسة التي تقترح المشروع، حتى تكون المسابقة ذات طابع وطني، والسهر على ضمان التجانس في عروض التكوين لتفادي التكرار لها، على أن تحوز مؤسسة التكوين على 5 أساتذة من مصاف الأستاذية في التخصّص على الأقّل، وإسناد المشروع المقترح لمخبر بحث واقتراح مواضيع البحث للطلبة الناجحين في المسابقة مسبقا، إضافة إلى تحديد مواد برنامج التكوين الأساسية خلال السنة الأولى التي تتضمن كقاعدة أساسية منهجية البحث وأخلاقياته وتكنولوجيا الإعلام والاتصال واللّغات الأجنبية.

كما حدّدت الشروط الجديدة، إمكانية الأستاذ المؤطّر في الإشراف على الطلبة بسقف لا يتعدّى 6 أطروحات في العلوم والتكنولوجيا و9 أطروحات في العلوم الإنسانية والاجتماعية للموسم الجامعي المقبل بغضّ النظر عن الرسائل التي يشرف عليها من قبل، مع إلزام المؤطّرين باتخاذ مختلف التدابير للسهر على مناقشة الطلبة في الآجال القانونية، وتقديم حصيلة دقيقة عن مسارهم التكويني ونسب تقدّمهم وأعمالهم العلمية بصفة دورية، مع تحديد وضعيتهم بعد المناقشة، ويخصّ الأمر أيضا دفعات 2013 ـ 2014 الذين يتواجدون في السنة الأخيرة ويتوجّب عليهم مناقشة أطروحاتهم. كما شجّعت مديرية التكوين بوزارة التعليم العالي على التكوين في دكتوراه المؤسسة والذي سيتّم توضيحه بمراسيم خاصّة سيكشف عنها لاحقا.

طلبة مركز عبروق مدني بجامعة باتنة 2 في إضراب مفتوح

شلّ بداية من صباح أول أمس، المكتب الفرعي للتضامن الوطني الطلابي مركز عبروق مدني للعلوم والتكنولوجيا بجامعة باتنة2، وأعلنوا دخولهم في إضراب مفتوح عن الدراسة وذلك بسبب عديد المشاكل والنقائص التي تتواجد فيها الكلية. وفي بيان تحوز " الشروق" على نسخة منه ووفق لائحة من المطالب تؤكد أن المعاملة التعسفية هي أبرز المشاكل، بالإضافة إلى غياب بعض الأساتذة الدائم في بعض المواد رغم أنهم في بداية السداسي الثاني، واستنكروا تأخر الإدارة في إعلان موعد الامتحان الاستدراكي، كما عبر هؤلاء عن استيائهم من الأوضاع التي تتواجد بها الكلية من خلال انعدام النظافة والمرافق الخدماتية، واشتكوا أيضا من انعدام المراجع والكتب على مستوى المكتبة خاصة ما تعلق منها بالكتب الأجنبية.

"المعنى الخفي في الخطاب الصحفي الجزائري" محور ملتقى دولي بجامعة تبسة

نظمت مؤخرا، كلية الآداب واللغات، قسم الأدب واللغة الفرنسية بجامعة تبسة، ملتقى دوليا بعنوان الخطاب الإعلامي في الفرنكوفونية ـ الفعل اللغوي والحركة الاجتماعية ـ بقاعة المحاضرات الكبرى، حضره أساتذة باحثون دوليون وعدد كبير من المشاركين من جامعة تبسة ومختلف جامعات الوطن، بالإضافة إلى طلبة الكلية، وهو أول ملتقى دولي منذ افتتاح القسم، وجاءت مداخلاته بثلاث لغات وهي الفرنسية، العربية والإنجليزية. ويهدف هذا الملتقى حسب رئيس قسم الأدب واللغة الفرنسية ورئيس الملتقى بالنيابة الأستاذ إسماعيل دمان، إلى محاولة البحث عن جملة العناصر التي تجعل من الخطاب الإعلامي ومن بينه الإشهار خطاباً سيميائياً تداولياً بالنظر إلى صوره الثابتة والمتحركة بما تحمله من كفاءة وقوة على التبليغ والتواصل وما يكمن فيها من عناصر جمالية وفنية وفعالية في التأثير على المتلقين وذلك بالتركيز على أنواع الإشهار وعناصره ووظائفه والمقاربات المنهجية الخاصة بتحليله.

وانصبت أغلب المداخلات حول ثلاثة محاور أساسية ارتكزت في مجملها حول الخطاب الإعلامي الإشهاري كلغة إعلامية بحد ذاتها، تداخل اللغات فيما بينها لإنشاء نمط نصي متميز، والإشهار كإبداع لغوي

http://www.echoroukonline.com/ara/articles/273296.html.

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L'Algérie absente du top 15 des universités de la région MENA - par Djoudi le 30/01/2016 22:06

Les universités algériennes absentes du top 100 des meilleures universités du monde, ne font même pas partie des meilleurs universités de la région MENA.

Dans un classement publié le 27 janvier par The Times Higher Education, l'institution britannique s'est penché sur le classement des meilleurs universités du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord.

Aucune université algérienne n'a pu se classer parmi les premières universités de la région. Parmi les meilleurs sont énumérées des universités saoudiennes, libanaises, qataries, émiraties, jordaniennes, égyptiennes et même marocains.

L'Algérie, comme la Tunisie d'ailleurs ne figure pas dans ce top 15. Un autre indice sur la dégradation de l’enseignement dispensé dans ces établissements.

Top 15 des universités de la région MENA

1 King Abdulaziz University (Arabie saoudite)

2 American University of Beirut (Libanon)

3 King Fahd University of Petroleum & Minerals (Arabie saoudite)

4 King Saud University (Arabie saoudite)

5 United Arab Emirates University United Arab Emirates

6 Qatar University (Qatar)

7 Sultan Qaboos University (Oman)

8 American University of Sharjah (Emirats Arabes unies)

9 Jordan University of Science and Technology (Jordanie)

10 Suez Canal University (Egypte)

11 Alexandria University (Egypte)

12 Cairo University (Egypte)

13 The University of Jordan (Jordanie)

14 University of Marrakech Cadi Ayyad (Maroc)

15 Mohammed V University of Rabat (Maroc)

Publication: 

تجميد مسابقات الدكتوراه.. عام إضافي في الماستر وإبقاء المقال العلمي - par Djoudi le 18/01/2016 18:20

كشف مشاركون في الندوة الوطنية لتقييم نظام "الألمدي"، عن جملة المقترحات والتوصيات التي خرجت بها الندوة، والتي ينتظر أن تتحوّل إلى قوانين وتعليمات خلال شهر فيفري المقبل، أهمّها تجميد جميع مسابقات الدكتوراه إلى غاية مناقشة الطلبة المسجّلين، وإضافة عام في الماستر لتحسين تكوين المترشحين للدكتوراه وإلغاء حساب المعدّل السنوي في المسابقات.

وقد أكّد وزير التعليم العالي والبحث العلمي، الطاهر حجّار، خلال أشغال الندوة الوطنية التقييمة لنظام "الألمدي" المنعقدة يومي 12 و13 جانفي، أنّه لا يمكن التراجع عن نظام "الألمدي" والعودة إلى العمل بالنظام الكلاسيكي، مع العمل على إصلاح النظام الجديد وفقا لمقترحات المشاركين في الندوة والتوصيات التي خرجت بها  .

 وحسب ما علمته "الشروق"، فإنّ نقاطا هامّة أثيرت بخصوص أطوار الليسانس والماستر والدكتوراه، والتي أثريت عدّة توصيات بشأنها من المنتظر أن تتحوّل في شكل تعليمات وقوانين في شهر فيفري المقبل حسب ما أكّده حجار، الذي صرّح أنّ لجانا تقنية مكلّفة بإعداد مختلف القوانين الضرورية للإصلاح، ومن أهمّ النقاط المشار إليها، تجميد جميع مسابقات الدكتوراه خلال فترة معيّنة إلى غاية مناقشة نسبة من المسجّلين حاليا بعد تسجيل تأخّر كبير في مناقشة الرسائل، مع عدم منح أيّ فرصة للمتأخّرين مستقبلا، أي أنّ طالب الدكتوراه يسحب منه التسجيل بعد السنة الرابعة في حال عدم مناقشته .

 بينما دعا المشاركون في الندوة إلى تعميق التكوين في طور الماستر من أجل تحسين نوعية المترشّحين لمسابقات الدكتوراه في جميع التخصّصات، وذلك عن طريق إضافة عام ثالث في الدراسة بدلا من عامين، وهو ما يسمح بتأهيل المترشّحين نظرا إلى الانتقادات الموجّهة لطلبة الدكتوراه "ألمدي" من حيث المستوى، مقارنة بطلبة النظام الكلاسيكي.

كما تشير المقترحات إلى إلغاء احتساب المعدّل السنوي في طور الماستر في مسابقات الدكتوراه، والذي يحتسب حاليا بنسبة 25 بالمائة بعدما كان سابقا بنسبة 50 بالمائة، وذلك لتفادي تضخيم النقاط، والاعتماد فقط على نتائج المسابقة.

كما تشير التوصيات إلى عدم إمكانية إلغاء شرط نشر المقال العلمي لمناقشة رسائل الدكتوراه إلاّ في بعض التخصّصات الصعبة، وكذا الشأن بالنسبة إلى التأهيل الجامعي بالنسبة إلى الأساتذة المحاضرين "ب"، كما لا يمكن أن يقبل تسجيل طالب الدكتوراه في السنة الأولى بعد فوزه بالمسابقة إلاّ بعد الموافقة على بحثه وإشكاليته من قبل لجنة علمية مؤهّلة.

 وفي محاور أخرى عدم الزيادة في المنحة لطلبة الدكتوراه المقدّرة حاليا بـ12 ألف دج شهريا لاعتبارات مرتبطة بالوضعية المالية للجزائر في هذه الفترة، مع ضمان حقّ الطالب في الإقامة في الإقامات الجامعية، وتقليص التربصّات للخارج نحو دول المشرق مثل مصر والأردن واقتصارها فقط على الدول الأوروبية باتجاه المؤسسات العلمية التي تتمتّع بمستوى أحسن من مستوى البحث العلمي في المؤسسات الجزائرية.

وتشير التوصيات أيضا إلى الشروع في توحيد مشاريع الماستر وطنيا على غرار ما حدث لمشاريع الليسانس، وتقليص عدد المخابر العلمية ومشاريع البحث غير المنتجة، كما ذكرت ذات المصادر أنّه لا يمكن احتساب عدد سنوات التدريس بالخارج بالنسبة إلى الأساتذة الذين يرتقون إلى درجة الأستاذية أو بروفسور.

وتبقى هذه المقترحات قابلة للتجسيد في شكل قوانين وتعليمات أو التعديل وهو ما ستكشف عنه الوزارة الوصيّة خلال الشهر المقبل، وسط مؤيّد ورافض لهذه التوصيات وجدل وسط الأسرة الجامعية.


Professeurs faussaires - par Djoudi le 21/11/2015 12:19

Pour les besoins de notre enquête, nous nous sommes mis dans la peau d’un faussaire pour prouver l’imposture de ces revues «scientifiques» prédatrices que des institutions officielles font pourtant valoir.

Nous avons réussi à y publier un faux article ! Et il faut avouer qu’une fois notre canular commis, nous avons même ressenti cette jubilation que ces faussaires éprouvent, allègrement parvenus en faisant fi de la morale et de l’éthique.

Notre forfait commis, nous déposons donc notre titre de «faux» professeur en physique avancée et retournons à notre carrière de humble journaliste.

Début de notre enquête sur la quantité, la qualité mais également l’opportunité des thèmes de la recherche scientifique nationale, nous avons passé en revue plus d’un millier d’abstracts et de citations et autant de renvois à des revues internationales : Journal of Cancer Research and Therapy, International Journal of Advanced Research, American Journal of Scientific Research, Journal of Electrical engineering, European Journal of scientific research, etc. Autant d’honorables références au crédit de notre élite nationale dirons d’aucuns.

«Que nenni ! Tout faux», s’exclament les initiés aux sombres arcanes de l’université algérienne. En vérité, il s’avère que ces pseudo revues scientifiques n’ont en réalité, malgré leur appellation faussement savante, aucune rigueur scientifique.

Ces «chiffons» fièrement exhibés sur les sites des universités et des laboratoires de recherche algériens, sont édités. Ils publient moyennant argent «absolument n’importe quoi» et ne distinguent point entre bonne ou mauvaise science ni ne s’encombrent de réviser des contributions, médiocres soit-elles, si ce n’est qu’un honteux plagiat, voire même un pur canular comme nous sommes arrivés à le prouver.

«Voyez-vous, vous êtes journaliste, profane de la recherche en métaux et alliages et vous êtes aisément parvenu à vous faire accepter pour la publication d’un article sur la physique avancée, soit-il encore plus ridicule que faux, et dans plusieurs de ces revues que mes pairs font valoir pour asseoir leur réputation et obtenir des promotions, soutenir des doctorats, habilitations et non moins que l’élévation au grade de professeur», commente, désappointé, un physicien à la lecture de notre article «bidon».

Pour tenter de vérifier l’authenticité de quelques-unes de ces revues scientifiques, nous avons visé une sélection d’éditeurs figurant sur les listes de publication de plusieurs universités et laboratoires nationaux, mais aussi, malencontreusement, blacklistés par les plus prestigieuses universités mondiales, dont Harvard à titre d’exemple. Et afin de recentrer l’approche sur la communauté nationale, nous avons pris contact avec des revues sur lesquels des noms de professeurs algériens figurent sur la liste des comités de lecture.

Nous nous sommes présentés en tant que professeur en physique et chef de laboratoire de recherche. Et, suivant la procédure en vigueur, nous avons soumis à nos éditeurs notre objet de recherche pour relecture et évaluation par des pairs en vue de le publier en «open access» à la communauté scientifique mondiale.


Cher «pro faussaire»

Plagiat pour plagiat, l’objet du délit était en fait un lamentable artifice ; pour attirer l’attention de nos correspondants, nous avons prémédité de reproduire des études de personnalités scientifiques plus ou moins connues : nous avons soumis des extraits d’un article publié par Iman Houda Feraoun (physicienne et actuelle ministre) cosigné avec Hafid Aourag (physicien et actuellement directeur de recherche).

Mais vu que l’intégralité des travaux du duo piraté n’est pas disponible au public mais contre un paiement en devises, nous nous sommes contentés de leur siphonner le titre et le résumé et de développer en bidouillant une étude similaire volée à d’autres physiciens étrangers de renom. L’article est truffé de «chiffons rouges» faisant référence à un ouvrage de psychologie dans la bibliographie.

Et pour pousser l’imposture plus loin, nous citons une vague théorie d’un physicien créé de toutes pièces : Maxwell-Bouteflika Boltzmann ! A peine une vingtaine de jours après, nous recevons les premières acceptations.

«Cher professeur Mohamed Staifi (journaliste d’El Watan, ndlr), après un débat critique par notre comité de lecture et nonobstant une motion de rejet émise par un seul pair, la rédaction a validé votre article à la majorité», nous félicite le rédacteur en chef de l’International Journal of Advanced Research, rejoint par celui de International Journal of Multidisciplinary Research Academy.

Quelques jours plus tard, d’autres éditeurs s’intéressent à nos «travaux» et nous commençons à recevoir des spams, des invitations à participer à des conférences ; puis suivent des sollicitations de plusieurs de ces fausses revues nous proposant cordialement de faire partie de leur comité éditorial.

Par la suite, nous avons appris que les boîtes mail de plusieurs enseignants algériens étaient également inondées de ce genre de sollicitations et que la majorité tombe allègrement dans le piège «par vanité, croyant avoir affaire à une consécration de leur notoriété scientifique ou afin d’étoffer leur CV», nous confie un enseignant de Blida.

Effectivement, ils sont plusieurs centaines dont l’identité est consultable sur internet. Ainsi, moyennant quelque 1500 dollars, nous sommes désormais en mesure de fabriquer un faux CV vérifiable, figurant au même titre que des milliers de scientifiques algériens sur plusieurs bases de données.


La Golden connection

Idéalisé, l’essor fulgurant de l’«open access» dès l’année 2000 — initiative de Budapest — présageait la libération du savoir mondial au grand public sans restriction et son émancipation du monopole des grands éditeurs mercantiles tels que Elsevier et Springer.

Or l’open access dit «gold» – par opposition au «green open access» car payant – fit flairer le filon à la faune de cybercriminels et autres escrocs internationaux. Ils auraient engrangé rien que l’année dernière plus de 75 millions de dollars selon Science Magazine et on y compte plusieurs milliers de fausses contributions scientifiques.

Une constellation de contrefacteurs au service de faux chercheurs et autres «scientifiques» malhonnêtes en quête d’une promotion  conditionnée justement par la publication.

De plus amples investigations sur ces éditeurs sournois s’imposait pour démêler l’écheveau de ces scabreuses affaires et tenter d’en mesurer l’ampleur dans nos institutions universitaires.

Ainsi de correspondances aux rédacteurs en chef — réels et fictifs — de ces revues en appels téléphoniques à des scientifiques étrangers membres de comités de lecture – complices ou abusés — nous avons été impressionnés par l’étendue faramineuse de ces réseaux de faussaires internationaux.

A ce propos, l’exemple de L’American association for Science and Technology qui promeut la science algérienne — tout comme L’American Journal of Scientific Research — n’a d’américain que le nom ; il opère depuis une boîte postale aux îles Seychelles, faisant valoir un comité de lecture fantomatique, à l’image d’autres bandes de pirates savants qui sévissent dans la sphère de la publication scientifique domiciliés aux Etats-Unis, mais opérant depuis l’Egypte, l’Inde, le Pakistan, la Chine ou l’Afrique du Sud.

Beaucoup d’Algériens y participent comme auteurs et membres de comité éditorial, de bonne ou de mauvaise foi. Ces derniers assistent les prédateurs qui sévissent par coordonnées bancaires interposées pour aspirer les dollars de nos universitaires.

«C’est une situation kafkaïenne, comment peut-on faire le tri dans notre communauté scientifique ? Comment distinguer les fourbes scientifiques entre nantis apparatchiks surdiplômés et pauvres enseignants niais, en quête désespérée de publication de leurs travaux ?

Combien sont ces auteurs vraiment savants et bien intentionnés qui ont malencontreusement publié dans un journal frauduleux par ignorance», s’interroge un chercheur de Mostaganem, où le phénomène avait pris des proportions alarmantes, selon lui.

Et d’ajouter : «Pourquoi se tait-on sur cette question ? Ne vaut-il pas mieux en parler devant l’opinion publique, ne serait-ce que pour sensibiliser les étudiants en post- graduation ?»

Un autre enseignant, maître de conférences à Constantine, réplique à son interrogation : «Il n’y a qu’à demander à la commission formée par l’ancien ministre Mebarki en juin, la Commission nationale de validation des revues (CNVR), elle a vite été gelée en catimini.» Et de renchérir : «Les responsables veulent régler ce problème sans faire de vagues car cela dépasse l’université. Il y va de la crédibilité de tout le système politique.»

Iceberg !

Quelle est l’ampleur réelle de ce déplorable phénomène ? Quel enseignement peut-on tirer de ce manque de rigueur flagrant ? Quelle est la part de responsabilité morale des individus impliqués ? Qu’en est-il de celle de l’administration centrale ? Et si les futurs post-graduants n’ont plus l’opportunité de passer par ces sentiers douteux, qu’en sera-t-il de ceux-là mêmes censés les encadrer et dont la réputation s’avère entachée ? Serait-il possible de tous les débusquer sans risquer de décimer notre propre système universitaire ? Dilemme.

«Publish or perish (publier ou périr), c’est la question qui taraude tout scientifique, soit-il mal formé ou mal informé. Nos chercheurs subissent de fortes pressions pour publier en vue d’accéder aux postes supérieurs.

Ils sont harcelés par l’obligation de résultats de recherche et poussés à publier à tout prix, quitte à le faire n’importe où afin de booster les places de nos universités dans les classements webométriques, comme celui de Shanghai ou d’autres métriques purement quantitatifs qui négligent éperdument la qualité et le contexte et encore moins l’opportunité socioéconomique de ces recherches sur les populations», explique un chercheur de Sidi Bel Abbès.

Nous avons été impressionnés par l’étendue faramineuse de ces réseaux de faussaires internationaux, mais nous avons été encore plus ahuris devant la prévalence de leurs citations sur les sites de plusieurs universités nationales. «Ignominieux n’est pas assez explicite pour décrire l’ampleur du scandale», nous a confié, indigné, un enseignant de l’ouest du pays, qui nous a aidés à traquer ses pairs faussaires dans les archives de quelques universités dont celle de Sidi Bel Abbès, Tlemcen, Oran, Mostaganem, Tiaret, Batna.

Le constat est ahurissant ! Sans pouvoir être exhaustif, nous pouvons affirmer que le phénomène s’étend à l’ensemble des universités du pays.

Sans se risquer de diffamer nommément quiconque, nous invitons nos lecteurs, enseignants et étudiants, à mener les mêmes investigations au niveau de leurs universités respectives en se référant à la liste du célèbre bibliothécaire, le Pr Jefrey Beallde de l’université du Colorado (Denver) ou les critères établis par la Harvard Kennedy School.

«La célèbre beall’s list est attaquée par des pays émergents pour discréditer son auteur, mais il suffit de la voir accréditée par Harvard et le ministère de l’Education supérieure sud-africain, entre autres, pour valider sa véracité», commente l’enseignant de l’Ouest. Et d’ajouter : «Notre tutelle devrait organiser des rencontres nationales et régionales pour vulgariser au plus grand nombre ce phénomène et valider cette liste en particulier. Hélas, cela aurait des implications fâcheuses.

Le nombre que vous avez compté n’est rien comparé à la réalité de nos effectifs et de nos responsables impliqués. Mais qui aura le courage de dévoiler la partie immergée de l’iceberg ?» conclut-il, incertain.

Car en outre, ce honteux «faux et usage de faux» est également une voie dorée pour nombre de membres de la nomenclature administrative universitaire — si ce n’est ministérielle —bardés de grades pompeux pour légitimer l’imposture de leur promotion, selon les témoignages anonymes d’enseignants.

«Certes c’est un secret de polichinelle, mais gare à celui qui ose compromettre les plus puissants», confie notre informateur de l’Ouest.

Et d’ajouter : «Mais heureusement que tout cela est vérifiable si le ministère de l’Enseignement supérieur daigne ordonner à toutes les universités du pays de rendre publiques, systématiquement, sur leurs sites internet, les listes de leur personnel et l’intégralité de leurs travaux ainsi que les revues qui les ont publiés.

La liste des faussaires sera certes longue, mais ce serait un premier pas courageux pour réformer le système universitaire», nous confie-t-il secrètement.

Et d’ajouter : «Le savoir ne peut éclore et se développer dans un environnement institutionnel en déliquescence. Quand la gangrène atteint le cœur de l’Etat, elle se propage à l’ensemble des institutions, y compris les institutions de production du savoir.

La situation de l’université publique ne peut être améliorée durablement que si l’Etat est reconstruit, transformé en Etat de droit, faisant régner la bonne gouvernance dans tous les domaines.

C’est à cette condition qu’émergera une université nouvelle, de bonne qualité, débarrassée des scories de l’ancien monde frappé d’infirmité», espère notre ami de l’Ouest, tout en nous rassurant sur l’intégrité de l’élite de notre pays, soit-elle encore marginalisée.

Mohamed Staifi

El Watan le 11.11.15


Salon de l’enseignement supérieur France-Algérie - par Djoudi le 18/11/2015 16:41

Pas moins de 46 établissements d’enseignement supérieur dont 24 algériens et 22 français « accueilleront les étudiants sur leur stand et apporteront des précisions sur toutes les questions d’orientation, de choix de formation ou d’un métier.»

Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche et l’Institut Français d’Algérie organisent, le 21 et le 23 novembre prochain, la 3ème édition du Salon de l’enseignement supérieur France-Algérie, en partenariat avec le Lycée International Alexandre Dumas (LIAD), a-t-on appris aujourd’hui mercredi du conseiller de presse et de communication de l’Ambassade de France en Algérie, M. Marc Didio.

«Cette nouvelle édition se déroulera pour la première fois dans deux villes : le 21 novembre au Palais de la Culture à Alger et le 23 novembre à l’École Nationale Polytechnique d’Oran (ENPO)», a précisée la même source.

Pas moins de 46 établissements d’enseignement supérieur dont 24 algériens et 22 français, ajoute la même source, «accueilleront les étudiants sur leur stand et apporteront des précisions sur toutes les questions d’orientation, de choix de formation ou d’un métier.»

Le salon s'adresse aux élèves et étudiants inscrits dans des établissements scolaires et universitaires algériens ainsi qu’aux élèves du lycée international.

«Un cycle de conférences est organisé afin d’orienter les étudiants dans le choix d’un cursus adapté et de leur expliquer les différentes procédures d’inscription à l’Université, en écoles d’ingénieur, d’art et de commerce», précise Marc Didio dans son communiqué adressé à notre rédaction.

Et d’ajouter que «l’événement offre également l’opportunité d’une rencontre entre établissements et d’échanges autour de la coopération universitaire franco-algérienne.»

 

Abdelouahab Souag

El Watan le 18.11.2015


موقع إلكتروني خاص لتقييم نظام "أل. أم. دي" - par Djoudi le 09/11/2015 09:09

موقع إلكتروني خاص لتقييم نظام "أل. أم. دي"

أنشأت وزارة التعليم العالي والبحث العلمي موقعا إلكترونيا لفائدة الأسرة الجامعية،  بغرض إثراء النقاش تحسبا لعقد الندوة الوطنية التقييمية لنظام ليسانس ـ ماستر ـ دكتوراه المرتقبة  في ديسمبر المقبل.

وحسب بيان لوزارة التعليم العالي، فقد تم وضع بين     أيدي الأساتذة والطلبة ومسؤولي المؤسسات الجامعية وكافة المنظمات والشركاء  الاجتماعيين وفاعلي القطاعات الاجتماعية الاقتصادية والأولياء، موقع إلكتروني http//lmd.mesrs.dz   للمساهمة في إثراء النقاش حول تقييم نظام "أل  أم ديوهذا للمشاركة باقتراحات وكشف كل السلبيات وحتى الإيجابيات  التييحويها النظام والذي تم تطبيقه  في الجزائر منذ سنة 2004.

ودعت الوازارة المعنيين بندوة تقييم "أل أم ديالتي ستعقد في 21 ديسمبر المقبل، إلى  المساهمة في اقتراحاتهم وآرائهم وتفكيرهم من خلال إثراء النقاش حول نظام التعليم  الوطني الحالي من خلال الاستمارةالمنشورة على الموقع.

وتأتي خطوة وزارة التعليم العالي بعدما أعلن الوزير حجار في وقت سابق عن ندوة  وطنية لتقييم نظام أل أمدي ، والذي تم تطبيقه في الجزائر منذ عشر سنوات وعرف عدة  انتقادات واسعة واختلالات في تطبيقه، حيث وصفه البعض بأنه "نظام فاشلفي وقت رفض الوزير الحكم عليه قبل القيام بتقييم  شامل تساهمفيه كل الأسرة الجامعية والمعنيين من  طلبة ومنظمات طلابية وأساتذة ومختصين ورؤساء الجامعات، والذينهم مطالبون من  خلال إجابتهم عن أسئلة الاستبيان والاستمارة التي وضعتها  وزارة التعليم العالي على موقعها بكشف نقاط الخلل والعراقيل التي  اكتنفت تطبيق هذا النظام في الجزائر  وكذا الصعوبات الميدانية التيتواجه حاملي هذه الشهادة والتي لا تزال لا تتناسب وسوق  العمل.

وسيكون هذا الاستبيان بمثابة الانطلاقة الأولى لندوة التقييم، والتي ينتظرها المعنيون في قطاع التعليم العالي بفارغ الصبر لمحاولة ترميم ما يمكن ترميمه في هذا النظام.


"حجّار" يعلن تنصيب اللجنة الوطنية للتقييم لعهدة تدوم 3 سنوا - par Djoudi le 05/11/2015 22:34

كشف، الخميس، وزير التعليم العالي والبحث العلمي، الطاهر حجار، عن توقيعه اتفاقية مع وزارة الداخلية

والجماعات المحلية، حول تأطير التعليم العالي والجامعات الجزائرية

حيث صرح أن وزارة الداخلية، ستشاركهم

وترافقهم في شتى المجالات والقرارات المتخذة من طرفهم، أين ستكون هناك لجنة مشتركة بين الطرفين.

جاء ذلك خلال حفل تنصيب أعضاء اللجنة الوطنيةلتقييم مؤسسات التعليم العالي، في عهدتها الثانية التيستدوم

 لمدة 3 سنوات، حسب ما كشف عنه الوزير،والذي جرت فعالياته بمقر الوزارة بالجزائر العاصمة، وتأتيعملية

 التنصيب هاته، عشية الشروع في مناقشة أهمالمحاور الأساسية في عمل الوزارة للثلاثي الأول

 منالسنة الجامعية الجارية، وأعلن حجار عن مشروع معالبنك العالمي حول تأطير الجامعات الجزائرية،

 وتهيئتها من جميع النواحي.

الوزير، وعلى هامش ندوة صحفية، عقدها بعد الإعلان الرسمي عن تنصيب اللجنة الوطنية لتقييمالمؤسسات

 العمومية، ردّ على سؤال لـ"الشروقحول عملية التوظيف في الجامعات الجزائرية، حيث قال أعرف أن هناك 

نسبة توظيف كبيرة في الجامعات، تتم بشهادات الماجستير،

 لكن الأمر مستقبليا سيصبحبشهادة الدكتوراه.

 كما أضاف أن الجهود لا تزال مستمرة للوصول إلى تحقيق الهدف المبتغى، والمتمثل في أنيكون كل الأساتذة

 الموظفين بالجامعات الجزائرية متحصلين على شهادة الدكتوراه، كما هو معمول به فيالجامعات عبر العالم.

وفي سياق آخر، أصرّ حجار على ضرورة تقييم نظام ليسانس - ماستر- دكتوراه للوقوف على الأشياء

 الايجابيةوالاختلالات المسجلة، بعد عشر سنوات من التطبيق.

أما فيما يتعلق بتنصيب اللجنة الوطنية للتقييم، فقد أوضح الوزير أن عملية التنصيب هاته تندرج في إطار

مواصلة مسار إصلاح منظومة التعليم العالي، بناء على استراتيجية وطنية تهدف إلى رفع كفاءة التأطير

البيداغوجي والعلمي، وتقديم منتوج بمواصفات عالمية، تجنب قطاعات النشاطات المختلفة الاستنجاد

بالخارج، وفقا لما يسمح بوضع الجامعة في المسار الملائم لبلوغ درجة الامتياز.

هذا؛ ودعا الوزير هذه اللجنة إلى الاتسام بالموضوعية والاستقلالية والشفافية، قائلا إنه ينتظر منها القيام

بدور فعال وبارز خلال انعقاد الندوة الوطنية، حول تقييم تطبيق نظام الألمدي، المقررة في أواخر شهر

ديسمبر المقبل، بتقديم كل الدراسات والتحاليل حول ما تم إنجازه في تجسيد هذا النظام منذ اعتماده،

من خلال إبراز نقاط القوة والعمل على تعزيزها، وبالمقابل إبراز الاختلالات وإيجاد حلول لها.


نظام معلوماتي مضاد للسرقات العلمية قريبا بالجامعات الجزائرية - par Djoudi le 27/05/2015 09:04

كشف الطاهر حجار وزير التعليم العالي والبحث العلمي عن نظام جديد سيتم استحداثه على مستوى الجامعات الجزائرية للحد من السرقات العلمية التي تزايدت وتيرتها بشكل ملفت للإنتباه في السنوات الأخيرة، وسيعمم هذا النظام في بداية الأمر على مستوى المؤسسات الجامعية التي تعتمد اللغة الفرنسية في مذكراتها وأطروحاتها، ليشمل بعدا المؤسسات التي تعتمد اللغة العربية .قال الطاهر حجار، إن هذا النظام يمكن أن تعمل به المؤسسات الجامعية قريبا، حيث يتم عرض المذكرة أو الأطروحة عليه، وفي حال تجاوزت «البلاجيا» نسبة معينة سيتم رفض هذه المذكرة آليا. وأضاف الوزير أن هذا النظام من شأنه أن يقضي نهائيا على السرقات العلمية، مهونا في ذات الوقت حول الظاهرة التي لها أبعاد تاريخية، حسبه

source : ennaharonline.com 25/05/2015 

http://www.ennaharonline.com/ar/latestnews/


Le Pr. Mebarki présente le projet de loi d'orientation sur la recherche scientifique à l'APN - par Djoudi le 27/04/2015 16:10

Le Pr. Mohamed Mebarki, Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, a présenté, lundi 20 avril 2015, le projet de  loi d'orientation sur la recherche scientifique et le développement technologique  devant la commission de l'éducation, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique et des affaires religieuses de l'APN.

Le projet de loi sur la recherche scientifique vise "à développer les foncions du système national de recherche en termes de précision et d'efficacité, en ce qui a trait à la programmation, l'évaluation et la valorisation des résultats de la recherche scientifique et technique et du développement technologique", a souligné le Pr. Mebarki

Selon le ministre, le projet de loi propose de "revoir la composante du Conseil national d'évaluation qui doit être essentiellement composé de personnalités scientifiques indépendantes. Il doit également renforcer  les missions des agences thématiques de recherche et leur élargissement à la programmation des activités de recherche et l'évaluation de leurs résultats par le biais de commissions intersectorielles".

Au volet de la programmation, le texte propose "des mécanismes pour le choix des programmes nationaux de recherche selon les priorités, en accordant à tous les départements ministériels la possibilité de proposer les domaines et axes qu'ils jugent prioritaires", a indiqué le ministre.

Au sujet de la valorisation des résultats de la recherche, de l'innovation et du développement technologique, le ministre a souligné l'impératif pour les autorités publiques de soutenir la société innovante à toutes les étapes, ajoutant que les entreprises économiques investissant dans le domaine de la recherche bénéficieront d'affectations financières du budget de la recherche nationale.

Le texte de loi propose la création de centres d'innovation et de transfert technologique pour appuyer et valoriser la recherche, évoquant la possibilité de préparer des thèses de doctorat en milieu professionnel.


الجزائر خارج تصنيف احسن كليات طب في العالم العربي !! - par Djoudi le 09/03/2015 16:34

استطاعت الدُّول الخليجية بما ترصدهُ من ميزانيَّات ضخمة لحقل البحث العلمِي، أنْ تضمن مراتب عدَّة في التصنيف الخاص بكليات الطب في العالم العربي و  الذي كشف عنه وقع "USNews" الأمريكي المختص في الشؤُون العلميَّة والأكاديميَّة، حيثُ كانتْ جامعة الملك سعُود، أفضلَ جامعة عربيَّة يمكنُ للطلبة أنْ يدرسُوا بها الطب في العالم العربِي، حتى أنَّ السعودية دخلت التصنيف بخمس جامعات.
أمَّا ثانِي أفضل جامعة لدراسة الطبِّ بالعالم العربِي، فلمْ تكن سوى الجامعة الأمريكيَّة في بيرُوت، حيثُ دأبت على الدخُول في مراتب أفضل الجامعات العربيَّة، مثل عددٍ من الجامعات الأمريكيَّة التي افتتحتْ لها فروعًا في دول خليجيَّة
الكويت والإمارات عززتا أيضًا حضورهمَا في التصنيف العربِي، حيثُ جاءت جامعة الإمارات العربية المتحدَة في المرتبة السابعة عربيًّا، متبوعةً بجامعة الكويت في المرتبة الثامنة، بينما حلت جامعة السلطان قابوس في عمان في المرتبة السادسة عشرة.

أمَّا على المستوى المغاربِي، فكانت تُونس الأفضل تصنيفًا بولوجهَا إلى التصنِيف من خلال جامعتين؛ هما جامعة المنستير التي حلت في المركز الثالث عشر، وجامعة العاصمة تونس المنار التي حلتْ في المرتبة الثانية والعشرين، بينما احتل المغرب المرتبة الاخيرة في التصنيف من خلال جامعة الرباط للطب
في الوقت الذي لمْ تدخل الجزائر التصنيف بالمرة شأنها في ذلك شأن ليبيا وموريتانيا.  وهو ما يؤشر الى المكانة المخزية التي اصبحت تحتلها جامعاتنا ، التي اصبحت غائبة حتى على التصنيف العربي فما بلك بالتصنيف الدولي ، رغم الاغلفة المالية الكبيرة التي تصرف في هذا المجال، لكن يبدو ان سوء التسيير والتأخر البيداغوجي والعلمي جعل الجزائر في مراتب مخجلة عربيا على المستوى العلمي


Recherche et développement : Vers la création d’une académie des sciences - par Djoudi le 09/03/2015 00:31

 

Maintes fois souhaitées par d’éminents professeurs, l’entrée en vigueur imminente d’une haute autorité scientifique autonome semble désormais réelle en Algérie.

Le gouvernement a enfin donné son feu vert pour la mise en place de l’Académie des sciences et de la technologie. C’est ce qu’a annoncé, hier à Alger, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Mebarki. «Nous nous réjouissons aujourd’hui de l’accord du gouvernement pour la mise en place de l’Académie des sciences et de la technologie, espace autonome et de haute compétence, qui servira de pont avec les autres académies du monde», a-t-il déclaré à l’occasion de l’ouverture des travaux de la Conférence nationale des universités.

Selon le ministre, cette académie, qui comptera de 200 membres, «contribuera, en tant qu’autorité scientifique suprême du pays, au développement des sciences et de leurs applications et conseillera les autorités publiques dans ce domaine».

M. Mebarki a fait savoir que le statut proposé au gouvernement «prévoit, de prime abord, la constitution d’un noyau fondateur composé d’une cinquantaine d’académiciens». Il a dans ce sens indiqué que le comité de suivi «a déjà proposé au gouvernement un statut de l’Académie et une démarche pour sa mise en place». «Je peux vous assurer que tout sera fait avec un maximum de rigueur et de transparence, dès que le statut sera fixé par décret présidentiel», a-t-il assuré.

Quant aux critères d’accès à cette académie, ils sont fixés, selon le ministre, par des membres des académies reconnues mondialement, à l’exemple de celles de la Suède, de la France, de la Grande-Bretagne et des Etats-Unis.

Ces critères, a-t-il fait remarquer, concernent les domaines des mathématiques, de la physique, de la chimie, de l’informatique, des sciences de l’ingénieur, des sciences médicales, des sciences de la nature et de la vie et des sciences de la terre et de l’univers. Il n’est pas sans rappeler que le projet de création d’une telle académie en Algérie remonte à plusieurs années. L’Algérie et la France avaient déjà scellé, en septembre dernier, leur coopération dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et technologique.

Les deux parties s’étaient engagées, dans un document, pour des mesures à entreprendre en partenariat avec les académies françaises pour la finalisation du processus de création de la future académie des sciences et des technologies d’Algérie.

Depuis, une réflexion a été engagée pour la création de cette entité qui servira d’interface entre les académies étrangères et l’autorité décisionnelle concernant l’activité scientifique et technologique de façon générale. Il n’est pas sans savoir que l’académie se consacre aux développements des sciences et conseille les gouvernements dans ce domaine.
Du coup, la création d’une telle autorité en Algérie est plus que vitale pour le dynamisme économique du pays.

Rabah Beldjenna

El Watan


Le ministre de l’enseignement supérieur annonce l'évaluation du système LMD - par Djoudi le 08/03/2015 23:48

Assistons-nous au début de la fin du système LMD (Licence/Master/Doctorat) ? Le discours prononcé samedi par le ministre de l’enseignement supérieur sonne comme une sorte d’oraison funèbre dédié à ce système, censé mettre en phase l’université algérienne avec les besoins de la société algérienne
 
Mais après plusieurs années depuis son entrée en application, ce système est surtout synonyme de contestation, de grève, notamment de la part des étudiants. Sans parler aussi du fait qu’il a contribué à la dégringolade du niveau de étudiants, en comparaison avec ceux qui sont issus du système classique.
 
Évidemment, Mohamed Mebarki évite d’employer le mot « abandonner » en parlant du système LMD, lui préférant le mot « évaluation » . Exactement le même mot que la ministre de l’Éducation Mme Benghebrit utilise pour parler de la réforme Benbouzid.
 
Ainsi donc, le ministre de l’enseignement supérieur a enrobé son annonce dans un discours pompeux dans lequel il a tenté de convaincre que l’Algérie a franchi « une étape que nous devons évaluer à tous les niveaux, pour dégager les correctifs à apporter et poursuivre la mise en œuvre de ce système LMD, en l’adaptant aux réalités algériennes ».
 
Pour lui, cette conférence sur les universités « intervient au moment où la réforme universitaire engagée depuis une dizaine d’années, arrive au terme d’une première étape de généralisation de l’architecture des diplômes Licence-Master-Doctorat (LMD) ».
 
Du coup, une  commission sera prochainement installée et elle aura pour feuille de route  un travail de coordinations avec les établissements et les conférences régionales. Et au final, elle doit proposer les mesures à prendre pour enterrer le LMD, qui est un des aspects du désastre de l’université algérienne.

الحجم الساعي الأسبوعي للأستاذ الجامعي - par Djoudi le 16/02/2015 10:36

تحضّر وزارة التعليم العالي والبحث العلمي لقرار وزاري بخصوص تحديد الحجم الساعي للأستاذ الجامعي من خلال مشروع يتّم عرضه على الأسرة الجامعية، يقتضي بتقليص الحجم الساعي للأستاذ المساعد برتبة "أ" إلى 6 ساعات، وعدم إمكانية تدريس الأستاذ المساعد "ب" للمحاضرات، فيما تشهد مختلف الكليات والأقسام والشعب فوضى في توزيع الأعباء البيداغوجية وخروقات للقوانين منها تدريس طلبة الدكتوراه للمحاضرات.

وعلمت "الشروق"، من مصادر جامعية، أنّ وزارة التعليم العالي والبحث العلمي، تسعى لتدارك النقائص في مختلف المجالات من خلال عدّة تعليمات وقرارات تمّ إطلاقها مؤخّرا، من بينها ما يتعلّق بالحجم الساعي لتدريس الأساتذة أسبوعيا، وحسب المشروع المقترح فإنّ الأستاذ المحاضر برتبة "أ" و"ب" يتعيّن عليه تدريس 6 ساعات أسبوعيا، أمّا الأستاذ المساعد برتبة "أ"، أي الذي لم يناقش أطروحة الدكتوراه ولديه تسجيل ثالث فما فوق، فيتعيّن عليه تدريس 6 ساعات محاضرات أسبوعيا أو 9 ساعات أعمال توجيهية أو تطبيقية، على خلاف ما هو معمول به حاليا والذي يقتضي منه تدريس 9 ساعات في الأسبوع.

وحسب المشروع، فإنه بالنسبة للأستاذ المساعد "ب" الذي يتّم تعيينه حديثا أو الذي لا ترتقي رتبته بعد بعدم بلوغه التسجيل الثالث في الدكتوراه، فإنّه يمنع من تدريس المحاضرات ويتكفّل بحجم ساعي قدره 9 ساعات أعمال توجيهية أو 12 ساعة أعمالا تطبيقية، ولقي هذا المشروع صدى إيجابيا لدى الأسرة الجامعية بحكم تنظيمه للأعباء البيداغوجية التي تبعث بها الإدارة على مستوى الكليات والأقسام والشعب، إذ تشير مصادر "الشروق"، أنّ توزيع الأعباء وساعات التدريس بداية كلّ سنة جامعية يثير صدامات وتشنّجات ما بين الأساتذة والإدارة، نظرا لعدم احترام التخصص في منح المقاييس وهو ما يؤثّر سلبا على نوعية المادّة المقدّمة للطلبة واستيعابهم للبرنامج الذي لا يتحكّم فيه الأستاذ بسبب عدم تخصّصه، إضافة إلى عدم احترام الحجم الساعي واللاعدل ما بين الأساتذة، إذ منهم من يتقاضى أجره كاملا مقابل 4 ساعات أسبوعيا ومن دون إشرافه على تأطير الطلبة أو حضوره للإجتماعات البيداغوجية، إلاّ أنّ المحسوبية والمحاباة وتبادل المصالح غطّت على هذه التجاوزات.

.. والأخطر من ذلك، أنّ طلبة الدكتوراه في السنة 1 و2، يكلّفون بتدريس المحاضرات في طور الليسانس والماستر، في بعض الشعب على الرغم من أنّ القانون يمنح طلبة السنة 2 فقط تدريس تطبيقين، أي ما يعادل 3 ساعات في الأسبوع أعمالا توجيهية.

وحسب ذات المصادر، فإنّ عدّة صدامات تحدث داخل القاعات والمدرّجات بسبب عدم إلمام الطلبة الأساتذة بمحتويات المقاييس وعجزهم عن تقديم الإجابات حول أسئلة الطلبة وتوجّههم نحو تكليفهم بالبحوث وعرض الكتب من دون تقديم أيّ توجيهات، كما يكلّف هؤلاء بتحضير الإمتحانات والحراسة وهو ما يخلّف غالبا مشاحنات مع الطلبة، بسبب محاباتهم في منح النقاط وأحيانا في السماح بالغشّ لأصدقائهم ومقرّبيهم.

وينّص القانون الأساسي لطالب الدكتوراه الصادر في الجريدة الرسمية في 3 أكتوبر 2010، في المادّة 6 على إمكانية المشاركة في تأطير الأعمال التطبيقية أو الأعمال الموجهة في الطور الأول فقط، أي في الليسانس بمعدل 3 ساعات في الأسبوع بحضور أستاذ مكلف بالأعمال الموجهة أو التطبيقية، ويمنع طالب الدكتوراه من التدريس في السنة الأخيرة من التسجيل للتفرغ لإتمام أطروحته. وفي إنتظار تجسيد مشروع الحجم الساعي للأستاذ الجامعي، تأمل الأسرة الجامعية من وزارة التعليم العالي والبحث العلمي أن تحدّد آليات للرقابة والوقوف على ما يحدث من تجاوزات بالجملة على مستوى الكليات والأقسام والشعب، وهو ما يؤثّر على المستوى العلمي للجامعة الجزائرية وينسف جهود الوزارة المنعكسة في قرارات هامّة تمّ إصدارها مؤخّرا.


إجراءات جديدة لإنقاذ مسابقات الدكتواره من البزنسة والتلاعب - par Djoudi le 11/02/2015 11:31

راجعت وزارة التعليم العالي والبحث العلمي، الإجراءات التنظيمية لمسابقات الدكتوراه في الجامعات والمدارس، بغرض استدراك النقائص التي سمحت بظهور تجاوزات بالجملة وتلاعبات تحت الطاولة، مما ألهب الاحتجاجات من قبل الطلبة المشاركين في عدة مؤسسات جامعية هذا الموسم بفعل الفضائح المكشوفة بالأدلة.

وقد تلقت مختلف المؤسسات الجامعية، قبل أيّام تعليمة جديدة من قبل مديرية التكوين في الدكتوراه والتأهيل الجامعي، اطلعت عليها  "الشروق"، توضّح إجراءات صارمة لتنظيم مسابقات الدكتوراه ابتداء من الموسم المقبل، والتي تشرح المراحل الأربع بالتفصيل في كيفية التعامل مع الإعلان عن المسابقة ودراسة الملفات وإجراءات الامتحانات الكتابية ونشر النتائج النهائية وتسجيل الناجحين.

وذلك مع الأخذ بعين الاعتبار القوانين التنظيمية السابقة منها القرار191 المؤرخ في 2012، حيث يتعيّن على المؤسسات الجامعية الإعلان عن المسابقات بشكل موسع عن طريق الجرائد الوطنية والمواقع الإلكترونية والملصقات، مع توضيح جميع التفاصيل حول المسابقة ويتعين على اللجنة المشرفة تسجيل المترشحين إلكترونيا واستقبال الملفات ودراستها ثم ترتيبها حسب درجة الاستحقاق والإعلان عن القائمة المقبولة مفصّلة من حيث المعدّلات في الماستر والمعاملات، مع منح مدّة طعون قانونية تقدّر بـ 7 أيّام، يستغلّها المقصون من المشاركة لسبب من الأسباب، على أن يتّم استدعاء المترشحين عن طريق البريدين الالكتروني والعادي.

 وتشير التعليمة الوزارية إلى ضرورة إجراء امتحان إلى امتحانيين في كلّ مسابقة بمعدّل ساعة ونصف إلى ساعتين، مع اشتراط تقديم ثلاثة مواضيع للاختبار يسحب واحد منها عن طريق القرعة من قبل أحد المترشحين، والشروع في التصحيح في نفس اليوم لثلاث مرات إن اقتضى الأمر، واحترام السرية التامة تحت مراقبة وملاحظة جميع أعضاء اللجان المشرفة، ليتم بعدها المصادقة على النتائج من قبل اللجنة العلمية المؤهلة والإعلان عنها بصفة رسمية، فيما لا تقبل أيّ طعون ويتّم منح مدّة 15 يوما فقط لتسجيل الناجحين، كما تنّص التعليمة على عدم أحقية الفائزين في مسابقات أخرى في التسجيل إلاّ بعد التنازل وفي الآجال القانونية.

وجاءت هذه التعليمة لتضبط تنظيم مسابقات الدكتوراه وتضع حدّا للتلاعبات المسجّلة سنويا بسبب الثغرات في القوانين التي يتّم استغلالها لتمكين أصحاب النفوذ وذوي القرابة من الفوز، منها ما حدث هذه السنة بجامعة عنابة وبـ4 مسابقات بجامعة مستغانم، ممّا انجّر عنه غليان كبير من قبل المقصيين، الأمر الذي دفع وزارة التعليم العالي والبحث العلمي إلى إمطار المؤسسات الجامعية بالتعليمات والقرارات في الفترة الأخيرة لوضع حدّ لمختلف التجاوزات في عدّة مجالات من بينها مسابقات الدكتوراه، كما سبق وأن أصدرت تعليمة تحدّد فيها شروط فتح المسابقات وإعادة تأهيلها

source : http://www.echoroukonline.com/ara/articles/232801.html.

 

Qualité de l’enseignement - par Djoudi le 08/02/2015 00:44

Qualité de l’enseignement : Nouria Benghebrit répond au rapporteur onusien

 

Jeudi, la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, a déclaré que «40% du personnel de l’éducation bénéficieront d’une formation en 2015», notant que ce dispositif  est accompagné d’une amélioration de leurs conditions socioprofessionnelles. La ministre a indiqué qu’en plus des efforts visant à améliorer le rendement interne du système éducatif, le ministère de l’Education nationale a tracé une stratégie pour développer une approche de concertation régulière avec tous les membres représentant la communauté éducative.

L’intervention de Mme Benghebrit lors des travaux de la réunion annuelle des directeurs des bureaux extérieurs de l’Organisation internationale du travail (OIT) pour la région Afrique est en quelque sorte une réponse aux observations du rapporteur spécial onusien sur le droit à l’éducation du Conseil des droits de l’homme, Kishore Singh.

Ce dernier a, pour rappel, souligné lors de sa mission à Alger, «l’impératif» pour l’Algérie de répondre à la qualité de l’éducation, en vue de renforcer les acquis réalisés dans ce domaine. Les observations du rapporteur onusien concernent notamment la qualité de l’éducation «qui est le plus grand défi de l’Algérie». «Le gouvernement doit, en effet, répondre de toute urgence à l’impératif de la qualité de l’éducation. Cela nécessite une refonte de la pertinence et de la qualité de l’enseignement», a souligné M. Singh mardi dernier, lors de la conférence de presse qu’il a animée à l’issue de sa mission en Algérie.

La ministre de l’Education nationale a mis, elle, en exergue les efforts déployés par l’Algérie pour «offrir un enseignement de qualité à sa jeunesse». Mme Benghebrit a rappelé la stratégie menée pour l’amélioration dans la durée de la qualité de la formation des enseignants, les engagements pris pour un enseignement de qualité.

La ministre a indiqué que «l’Etat ne ménage aucun effort pour offrir un enseignement de qualité à la jeunesse, afin d’aspirer à un emploi durable avec toutes les chances de se distinguer dans le domaine de la créativité afin d’aspirer à un emploi durable». Elle a souligné à ce propos que l’amélioration de la qualité de l’enseignement est tributaire du développement d’un système pertinent et efficace de formation du personnel de l’enseignement, qui constitue, en plus des moyens financiers, le défi à relever afin d’amorcer un saut qualitatif.

Ceci, estime la ministre, ne saurait se faire sans «l’élaboration d’une stratégie qui s’harmonise avec les politiques de développement des ressources humaines des métiers et des compétences».

Ce fut également l’occasion pour Mme Benghebrit de revenir sur les efforts menés dans le cadre de la réforme lancée en 2003, «visant l’élévation du niveau de qualification des personnels et la consécration du professionnalisme des différentes fonctions éducatives».

Côté syndical, Nouria Benghebrit estime que le nombre croissant des syndicats autonomes est «un indice révélateur du niveau de démocratie atteint par notre pays», soulignant cependant que «si le droit syndical et le droit de grève sont reconnus par la Loi fondamentale du pays, le droit à l’enseignement est garanti par notre Constitution».
 

Fatima Arab

El Watan, le 08/02/2015

http://www.elwatan.com/actualite/qualite-de-l-enseignement-nouria-benghebrit-repond-au-rapporteur-onusien-07-02-2015-286923_109.php

 


ميثاق الأطروحة الخاص بشهادة الدكتوراه - par Djoudi le 10/01/2015 12:49

أصدرت وزارة التعليم العالي و البحث العلمي "ميثاق الأطروحة" الخاص بشهادة الدكتوراه الذي يهدف إلى تحميل مختلف الشركاء المسؤولية و تحديد حقوق و واجبات كل طرف", كما ورد في منشور من الحجم الصغير تلقت "وأج" نسخة منه اليوم السبت.

وتم التوضيح في مقدمة الوثيقة أن ميثاق الأطروحة يشكل "دليلا مرجعيا,يقنن الإتفاق المبرم ما بين طالب الدكتوراه, و المشرف على الأطروحة و رئيس لجنة التكوين في الدكتوراه و مدير مخبر دعم التكوين". و بعد الشرح بأن هذا الميثاق يوقع من طرف مختلف الشركاء عند التسجيل الأول, أوضحت الوزارة أن الميثاق الذي يتضمن في الملحق دفتر لطالب الدكتوراه, يسمح ب"متابعة و تقييم هذا الأخير (الطالب)".

و حسب مضمون في الوثيقة, يقوم كل من رئيس لجنة التكوين في الدكتوراه والمشرف على الأطروحة, بتسجيل نشاطات الطالب في الدكتوراه (منشورات, مداخلات...الخ) و تدون ملاحظات لجنة متابعة الطالب في الدكتوراه. ويذكر المنشور النصوص التنظيمية في الدكتوراه نظام ليسانس, ماستير, دكتوراه (أل أم دي) و محاور أخرى تتعلق ب"النشاط و التقييم" و"التكوين في الدكتوراه" و"الأطروحة" و"المدة" و"متابعة و تقييم طلبة الدكتوراه" و"المنشورات والمداخلات". كما يتطرق الدليل للجوانب ذات الصلة ب"التسجيلات" و "المناقشة" و "السرية" و "النزاع و الوساطة" و كذا "حقوق و واجبات الشركاء". ويحدد ميثاق الأطروحة أيضا التزامات كل الأطراف بما فيها طالب الدكتوراه و المشرف على الأطروحة و مدير المخبر و رئيس لجنة التكوين في الدكتوراه.

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Le système LMD consacre l’asservissement des diplômés par le patronat - par Djoudi le 21/12/2014 00:51

 

Un débat national a été organisé ce samedi 20 décembre par  le Syndicat national  autonome des étudiants à Alger. On a mis l’accent lors du débat sur l’indéquation de l’université avec la réalité du marché du travail. Pire encore, l’université a failli à sa première mission : celle de  former.

Le système licence, master, doctorat (LMD) pointé de doigt devient un pur asservissement à un patronat en quête du “sur mesure”. « Souvent, on incrimine l’étudiant ou le nouveau diplômé de ne pas savoir parler les langues étrangères, de ne pas avoir un niveau… mais il n’en est pas responsable, ce n’est pas l’étudiant algérien qui a  maintenu Benbouzid au poste de ministre de l’Education pendant 20 ans… » tranche d’emblée Yamina Maghraoui, secrétaire nationale au Syndicat national automne des personnels de l’administration publique (SNAPAP).

Les étudiants représentants de différentes wilayas, eux dépeignent  une université en ruine sous le poids des décombres et qui peinent à se remettre sur  pieds.

Un étudiant de Bejaia  présent à la rencontre propose de « construire un nouveau rapport de force pour remettre l’administration à sa place ». Pour lui si « dans les années 60-70, l’université se voulait avant tout formatrice et avait donné naissance à des cadres qui, au fil des années, se sont bureaucratisés ».

Aujourd’hui, par contre, « les universités répondent à une logique de patronat, c’est-à-dire former un simple travailleur mentalement asservi » se sont entendu à dire les différents intervenants de la rencontre.

Mais il ne s’agit pas seulement de cela, souvent l’université ne permet pas  d’accéder au marché de l’emploi et voue le sort de plusieurs futurs diplômés au chômage.

 « Le LMD, un copié-collé des pays capitalistes, l’Algérie n’a ni les moyens humains, ni matériels pour l’appliquer, elle s’est ainsi engagée sur un terrain trouble qui traine l’étudiant vers l’inconnu» a-t-on encore dit lors de la rencontre.

Au final le système LMD sert à faire gagner de l’argent à l’Etat qui en raccourcissant le nombre d’années d’études, il dépensera moins ».

Un autre étudiant de Tlemcen, ingénieur en équipements industriels qui dit avoir tenté l’émigration clandestine puis refoulé en 2001 d’Espagne, renoue aujourd’hui avec les études, master 3 en langue française, il reconnait que l’étudiant a été asservi car il subit alors que c’est à lui de protester afin de changer les choses.

« Etant donnée qu’une université qui pense représente un danger pour les régimes hémogéniques, on a réduit l’étudiant à une entité spécialisé dans un domaine donné sans voir plus loin »a encore constaté Mouloud, étudiant de Tizi Ouzou.

Ironique, le représentant du comité des chômeurs affilié au SNAPAP témoigne avoir passé par toutes les expériences de « précarité » qui malmène le citoyen Algérien, à savoir « j’ai été étudiant, ensuite, je me suis retrouvé sur le marché de l’emploi  dans un contrat du pré emploi  et enfin chômeur diplômé ».

En marge de la rencontre, nous avons également pu retenir que l’étudiant Algérien, amer et frustré,  se compare à son voisin Tunisien qui lui en partant pour des études universitaires en France, on ne lui réclame pas le fameux test de langue, à savoir le TCF (test de connaissance de français), alors que l’étudiant Algérien est obligé de passer par cette étape.

En fin de journée, la rencontre des étudiants, des pré employés et diplômés chômeurs devra sortir avec des recommandations  afin de mieux agir dans le futur et surtout élaborer une plate-forme de revendications.

Hamida Mechaï

El Watan le 20.12.20114

http://www.elwatan.com/une/universite-le-systeme-lmd-consacre-l-asservissement-des-diplomes-par-le-patronat-20-12-2014-282254_108.php


تصنيف الجامعة الجزائرية في الجداول العالمية غير مطابق للواقع - par Djoudi le 21/11/2014 10:35

وزير التعليم العالي يصرّح من تلمسان
“تصنيف الجامعة الجزائرية في الجداول العالمية غير مطابق للواقع”
تلمسان: ن. بلهواري
 اعتبر وزير التعليم العالي، أمس، في كلمة ألقاها بمناسبة اختتام الاحتفالات المخلّدة للذكرى الأربعين لتأسيس جامعة تلمسان، أن “التصنيفات التي تصدرها بعض الجامعات في العالم، ويتحدّث عنها الكثير، سلبية ونمطية وغير مطابقة للواقع، وغالبا ما ترتكز على الإنتاج العلمي منذ نشأة هذه الجامعات التي لها قرون من النشاط العلمي”. وأضاف محمد مباركي أنه لا يجب أن يغيب عن أذهان الجميع أن معدّل عمر الجامعة الجزائرية لا يتجاوز الثلاثين سنة، ورغم كل هذه الاعتبارات فقد قفزت جامعة تلمسان على سبيل المثال من المرتبة 3500 عالميا إلى المرتبة 2500 عالميا حسب ترتيب “وابومتريك”، والثالث مغاربيا، وتحتل الجزائر المرتبة الثالثة إفريقيا بعد جنوب إفريقيا ومصر، والثالثة عربيا أيضا بعد السعودية ومصر.

وقال مباركي إن الجزائر تسعى لاستكمال بناء الصرح العلمي والتكنولوجي الذي تحتاجه البلاد. وفي هذا الإطار كشف عن إنشاء أكاديمية للعلوم والتكنولوجيا بالعاصمة ستكون بمثابة سلطة عليا تقوم بمرافقة التطور العلمي والتكنولوجي في البلاد، وستكون الأكاديمية هيئة مستقلة للامتياز الوطني، وستعنى بأداء دور الخبرة والاستشارة في مرافقة السلطات العمومية في اتخاذ القرارات ذات الخيارات الإستراتيجية.  

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Rapport du Forum économique mondial - par Djoudi le 26/09/2014 09:08

Le manque d’innovation plombe le classement de l’Algérie

Par : Meziane Rabhi

L’Algérie a réussi à améliorer son classement en matière de compétitivité économique. Elle occupe le 79e rang dans le classement mondial de la compétitivité économique établi tous les ans par le Forum économique mondial et publié mercredi dernier à Genève (Suisse).
L'étude du WEF a été réalisée auprès de 15 000 chefs d’entreprise dans 144 pays et donne un classement mondial des pays les plus compétitifs à partir d'une centaine d'indicateurs économiques. L’Algérie gagne ainsi 21 places par rapport à l’année 2013-2014 où elle occupait le 100e rang. Cette progression est principalement due à l’amélioration de son environnement macroéconomique. Sur cet indice, l’Algérie est classée à la 11e place grâce à un faible endettement et à une meilleure épargne nationale. Le rapport global sur la compétitivité 2014-2015 du Forum économique mondial relève également de faibles améliorations dans d'autres domaines, tels que les institutions et la sécurité. Certains aspects de l'éducation montrent aussi une tendance positive : par exemple, la qualité de l'éducation semble s'améliorer. En matière de santé et d’éducation primaire, notre pays occupe la 81e position, même si des efforts doivent être entrepris concernant la qualité de l'enseignement primaire (121e place). L’Algérie est, par ailleurs, bien positionnée sur le plan de la taille du marché
(47e rang). Si en matière d’environnement macroéconomique des secteurs de la santé et de l’éducation l’Algérie se positionne dans la moitié haute du tableau, elle est à la traîne dans beaucoup de domaines, notamment sur le plan du développement du marché financier, préparation technologique, facteurs d'innovation et de sophistication… Concernant les infrastructures, l'Algérie est classée 106e à l'échelle mondiale, indique le même rapport, notant la mauvaise qualité des routes (107e place), des ports (117e place) et des infrastructures du transport aérien  (128e place). En matière de développement du marché financier, notre pays occupe la 137e position. En termes de disponibilité des services financiers, elle est classée à la 133e place.
Sur le plan de l’accessibilité, notre pays arrive au 135e rang et à la 72e place concernant la facilité d'octroi de crédits. En matière de fiabilité et de confiance du système bancaire, l’Algérie se positionne à la 138e position. Elle est classée à la 133e place en matière de solidité des banques. L'Algérie occupe le 136e rang en matière d'efficacité du marché des biens, selon le rapport qui déplore, à cet égard, la faiblesse d’intensité de la concurrence locale (136e rang) et la complexité des procédures de lancement des projets (139e rang).
 

Le rapport souligne, également, qu'en dépit de la disponibilité des scientifiques et des ingénieurs (61e place), l'innovation demeure l'un des points négatifs pour l'Algérie qui occupe la 128e place, concernant cet indice. Le jugement est encore plus sévère concernant la capacité d’innovation, l’Algérie arrivant en queue de peloton.
 

En effet, notre pays est classé à la 143e position. “Une refonte du cadre institutionnel et mettre davantage l'accent sur l'efficacité des biens, du travail et en particulier les marchés financiers seront nécessaires pour mettre la croissance de l'Algérie sur une trajectoire plus durable”, estime le rapport. Au niveau des pays du Maghreb, l’Algérie se classe en 2e position devant la Tunisie (87e), la Libye (126e) et la Mauritanie (141e), mais derrière le Maroc classé 72e au niveau mondial. L’Algérie figure dans le top 10 (6e) des pays les plus compétitifs à l’échelle africaine. L’île Maurice est le pays le plus compétitif en Afrique, suivie par l’Afrique du Sud, le Rwanda, le Maroc et le Botswana.

Pour la sixième fois consécutive, la Suisse occupe le premier rang mondial de ce classement. Singapour conserve sa deuxième place et les États-Unis figurent désormais au troisième rang, gagnant 2 places par rapport à 2013. La Finlande (4e) et l'Allemagne (5e) perdent chacune une place. Ils sont suivis par le Japon (6e), les Pays-Bas (8e) et le Royaume-Uni (9e). La Suède (10e) ferme la marche du Top 10.
 

Les économies qui occupent les premières places du classement ont toutes en commun d’excellents résultats en matière de formation, de rétention et d’attraction des talents, ainsi qu’une politique d’investissements encourageant l'innovation. Ces investissements dits “intelligents” et ciblés sont possibles grâce à une approche coordonnée reposant sur une collaboration étroite entre les secteurs public et privé.

http://www.liberte-algerie.com/actualite/le-manque-d-innovation-plombe-le-classement-de-l-algerie-rapport-du-forum-economique-mondial-227912


Coût des études : le classement des pays les plus chers et les plus performants - par Djoudi le 26/09/2014 09:05

L’étude « Value of Education » commandée par HSBC classe 15 pays selon le coût de leurs études et la qualité de l’enseignement qui y est dispensé. 

Si près de 75% des parents de la planète aimeraient envoyer leurs progénitures étudier à l’étranger, c’est pour plusieurs raisons. D’une part l’assimilation d’une langue étrangère, puis la confrontation à l’international et donc l’accès à l’autonomie et à l’indépendance. C’est bien beau, mais ce n’est pas donné à tout le monde. Le classement ci-dessous présente 15 pays qui sont les plus prisés en terme d’études.

Il les classe selon deux indices : le coût et la qualité de l’enseignement. Les Etats-Unis forment avec le Royaume-Uni et l’Australie le trio gagnant en termes de qualité mais aussi en termes de coûts.

La France se situe à la 6ème position avec Singapour, ce qui n’est pas une mauvaise place avec un coût dépassant les 16.000$ pour un cursus.

Pays            Frais scolaires     Classement (qualité)

Australie              42 093           3
Singapour            39 229           6
Etats-Unis            36 564          1
Royaume-Uni      35 045          2
Hong Kong           32 140          7
Canada                  29 947          4
France                   16 777           6
Malaisie                12 941           9
Indonésie             12 905          11
Brésil                     12 627          11
Taïwan                  11 911           10
Turquie                 11 365          11
Chine                    10 729            5
Mexique               9 460            11
Inde                      5 642              8

 

L’Inde remporte la palme des études les moins chères, à hauteur de 5 642$ par cursus, et rafle pourtant la 8ème position en termes de qualité. La Chine est aussi à envisager puisqu’elle se situe au-dessus de la France, à la 5ème place du classement pour un cursus s’élevant à 10 729$.

Et oui, comme tout ce qui est, l’éducation a un prix et il est très élevé.

 

Source : http://www.focusur.fr/actualites/2014/09/11/cout-classement-pays-etudes-superieures


Mohamed Mebarki : « L’enseignement supérieur à 2 systèmes est inadmissible » - par Djoudi le 14/06/2014 15:53

 

« Nous devons mener le système LMD jusqu’au bout, et nous sommes tenus par la suite de faire une évaluation ».

En cette matinée du samedi, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mohamed Mebarki, a ouvert les travaux de la Conférence nationale des chefs des établissements de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, réunis au niveau du centre universitaire de Koléa (Tipasa).  Il a rappelé notamment dans son intervention quelques dysfonctionnements qui exigent des corrections.


« L’enseignement supérieur à deux systèmes dans notre pays est inadmissible. Est-il normal que 10 ans après la décision du gouvernement algérien, notre pays continue à fonctionner avec ces 2 systèmes d’enseignement. « Nous devons mener le système LMD jusqu’au bout, et nous sommes tenus par la suite de faire une évaluation », à déclaré le Mohamed Mebarki. Il indiqué aussi que « l’ouverture vers le master est inéluctable » et  « l’octroie des stages de formations à l’étranger devra être transparent ».

Le ministre a annoncé que 40.000 lits et 62.000 places pédagogiques supplémentaires seront mises à la disposition des étudiants au cours de l’année universitaire 2014/2015.  Le secteur de l’enseignement supérieur disposera d’une capacité d’accueil de 1.250.000 places pédagogiques pour la prochaine rentrée universitaire.

L’ordre du jour de cette conférence nationale des responsables des centres universitaires et de la recherche scientifique s’est articulé autour de la synthèse des travaux des conférences régionales et de la préparation de la rentrée universitaire 2014/2015.

 


مباركي :ضرورة تحسين نوعية التعليم العالي - par Djoudi le 02/04/2014 07:35

شدد وزير التعليم العالي و البحث العلمي السيد محمد مباركي اليوم الثلاثاء بقسنطينة أن تحسين نوعية التعليم العالي يعد "أولوية" بالنسبة لدائرته الوزارية.   و في رده خلال ندوة صحفية نشطها في أعقاب زيارة عمل قام بها إلى ولاية قسنطينة أوضح الوزير أن نوعية التعليم العالي "تمر عبر فتح شعب تراعي معايير خاصة في مجال التأطير و التجهيز و متكيفة مع احتياجات البيئة الاجتماعية-الاقتصادية".
 
   و بعد أن اعتبر جامعات قسنطينة الأربع تشكل "رمزا" لتطور الجامعة الجزائرية رافع السيد مباركي من أجل "انفتاح أكبر للجامعة على القطاع الاقتصادي".   كما سلط الضوء في هذا السياق على الدور الذي يتعين أن تلعبه الجامعة في التنمية الاجتماعية-الاقتصادية  داعيا كافة المؤسسات إلى "وضع الثقة في البحث العلمي الذي يسجل تقدما ملحوظا".
 
   كما طالب الوزير بضرورة العمل من أجل "بروز أقطاب امتياز" بالجامعة الجزائرية و هذا على اعتبار أنه توجد -حسب ما أفاد به- "شبكة من الهياكل الجامعية عالية التأهيل و موزعة بطريقة عادلة عبر التراب الوطني".   و بعد أن جدد التأكيد على التزام وزارته بمرافقة الجامعات في جانبي صيانة و أمن الهياكل الجامعية   حث السيد مباركي رؤساء الجامعات على تركيز جهودهم على "العلم و البيداغوجيا". وأشار في هذا السياق الى أن ال 50 سنة الماضية خصصت أساسا لتطوير قطاع التعليم العالي و البحث العلمي ببلادنا   مذكرا بأنه تم بذل جهود "هائلة" في هذا المجال   مستشهدا ب56 جامعة و مركز جامعي تعمل حاليا عبر الوطن و عن رقم 1,3 مليون طالب جامعي مسجل خلال السنة الجامعية الجارية.
 
  وكان وزير التعليم العالي و البحث العلمي قد استهل زيارته لمدينة الجسور المعلقة بمعاينة المدينة الجامعية (جامعة قسنطينة 3 بعلي منجلي) حيث تعمل 7 كليات من أصل 10 مبرمجة .كما توجه السيد مباركي إلى مركز البحث في البيوتكنولوجيا و إلى جامعة منتوري (جامعة قسنطينة 1)  حيث قدمت له بهذه المواقع عروض حول البرنامج التكميلي للمدينة الجامعية و حول أهم نشاطات الجامعات الثلاث للمدينة. 

 


Algérie - Canada : Partenariat gagnant-gagnant avec les universités canadiennes - par djoudi le 28/02/2014 23:48

Les universités algériennes s’attendent à un partenariat gagnant-gagnant avec les universités canadiennes, a indiqué, hier à Tlemcen, le secrétaire général du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. "Les universités canadiennes sont d’une grande qualité qui les place parmi les plus performantes au monde, notamment dans certains domaines comme l’assurance de la qualité de formation et la gouvernance universitaire", a indiqué M. Mohamed Salah-Eddine Seddiki, en marge du colloque sur le partenariat universitaire algéro-canadien, ouvert, hier, à la faculté de médecine de l’université de Tlemcen.

Cette rencontre, à laquelle prennent part une trentaine d’universitaires canadiens, regroupe de nombreux recteurs et chercheurs algériens, qui auront à s'informer, au sein d’ateliers, des expériences canadiennes réussies et à échanger les leurs.

Des conventions de partenariat seront également paraphées au terme de cette rencontre, dans l’optique, a-t-il dit, de faire bénéficier les universités algériennes de l’expérience canadienne et permettre l'échange de programmes de recherches et la mobilité des enseignants.

Pour sa part, la chef de la délégation canadienne et présidente directrice générale du Bureau canadien de l’éducation internationale (BCEI), Mme Karén Mc bride, a indiqué que cette rencontre permettra de faire connaître le fonctionnement du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique au Canada, de débattre et d’identifier, avec les collègues algériens, des besoins spécifiques de l’université algérienne et d’établir un partenariat dans divers domaines, notamment techniques tels que les énergies, les systèmes d’évaluation et l’environnement.

Les deux responsables cités ont procédé, au cours de cette journée d’ouverture, à la présentation des universités algériennes et canadiennes en détaillant tous les dispositifs pédagogiques, financiers et de fonctionnement des institutions de l’enseignement supérieur des deux pays.

Les travaux de ce colloque se poursuivent en ateliers pour débattre de la mise en œuvre des systèmes d’évaluation et d’assurance de la qualité et les domaines de collaboration possible en enseignement supérieur entre l’Algérie et le Canada. Les ateliers aborderont également les nouveaux modèles de coopération, les programmes et les mécanismes pouvant l’alimenter.

D’autres ateliers s’articuleront autour des relations université du monde professionnel, de l’enseignement des langues, des technologies de l’information et du management. APS


Garantir les meilleures conditions pour l’accueil de 1,7 million d’étudiants à l’horizon 2016 (Mebarki) - par Djoudi le 26/02/2014 09:49

http://www.letempsdz.com/content/view/114354/1/

31-01-2014

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mohamed Mebarki, a affirmé jeudi à Alger que le programme d’action du secteur à court et moyen termes visait à garantir de meilleures conditions pour l’accueil du nombre attendu d’étudiants, estimé à 1,7 million, à l’horizon 2016. Exposant le programme d’action sectoriel à court et moyen termes devant les membres de la commission de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Mebarki a dit que ce programme visait à renforcer les capacités du système de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, dans ses aspects structurels et ceux liés à l’organisation, à la gestion et à la gouvernance en vue d’assurer les meilleures conditions pour l’accueil du nombre attendu d’étudiants, soit 1,7 million, à l’horizon 2016.

Il vise également à engager le système de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique dans une nouvelle ère qualitative "qui réponde aux exigences d’une formation de qualité aux normes internationales", a-t-il dit.

Ce programme concerne le développement et la réforme du secteur ainsi que des mesures de soutien en général, a affirmé le ministre, soulignant que le processus de développement tendait à soutenir et à étendre le réseau universitaire, conformément au plan d’orientation sectoriel pour l’élaboration d’une carte universitaire à l’horizon 2025.

Cette démarche englobe le développement des infrastructures pédagogiques et de recherches ainsi que des infrastructures des œuvres sociales inscrites dans le programme quinquennal de soutien à la croissance 2010-2014, qui englobe l’étude et la réalisation de 322.000 places pédagogiques, 161.500 lits et 13 centres de recherches.

Concernant le soutien de l’encadrement pédagogique et scientifique, "une attention particulière est accordée à la formation des formateurs, à travers la relance de la formation en doctorat, la poursuite de la mise en œuvre du programme de formation à l’étranger au profit des enseignants qui sont en voie de finaliser leur thèse de doctorat et au profit des étudiants lauréats, outre l’implication des compétences scientifiques algériennes établies à l’étranger dans l’effort national de formation et de recherche et la prise en charge de l’équivalence des diplômes pour ceux qui désirent revenir en Algérie", a-t-il expliqué.

Quant au développement de la recherche scientifique et technologique, il s’agit de l’élaboration d’une loi d’orientation et d’un cadre régissant les programmes et les activités de recherches, de façon à permettre au secteur d’"élaborer, de mettre en place et d’actualiser les programmes nationaux de recherche, à travers l’organisation", a indiqué le ministre.

Le programme d’action du secteur englobe également la réforme de l’enseignement supérieur. A cet effet, M. Mebarki a précisé que son ministère entamera la deuxième phase du processus de réforme qui sera consacrée à la finalisation de la mise en place d’un système de garantie de la qualité dans le domaine de la recherche scientifique, à travers l’amélioration continue de la qualité de l’enseignement, l’approfondissement de la culture de l’évaluation et la consécration de l’ouverture de l’université sur son environnement national et international.

Le secteur continuera sur sa lancée pour l’amélioration de la lisibilité des diplômes universitaires et la mise en place d’une base commune des références et des connaissances selon chaque domaine de formation, en vue d’imprégner davantage de cohésion aux offres de formation analogues et de faciliter les mouvements des étudiants entre les filières de formation et les établissements universitaires, a-t-il dit.

La stratégie de réforme comprend également la relance du système de formation de l’élite et le développement du caractère professionnel de l’enseignement supérieur, a-t-il ajouté.

Par ailleurs, le secteur de l’enseignement supérieur poursuit le processus de réforme des œuvres sociales afin de "rationaliser la gestion, d’améliorer la qualité des prestations prodiguées aux étudiants, de renforcer les activités scientifiques, culturelles et sportives, en vue d’assurer un meilleur cadre d’instruction et de vie pour l’étudiant", a-t-il souligné.

Le ministre a évoqué le soutien de la gouvernance visant à améliorer le service public de l’enseignement supérieur, les compétences de gestion, l’activation des instances consultatives et des instances de permanence aux différents niveaux de l’organisation universitaire, insistant sur la "nécessité de réviser les cadres légaux régissant l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, notamment en ce qui concerne l’amendement de la loi 11-98 portant loi programme sur la recherche scientifique et le développement technologique et l’amendement de la loi 05-99 portant loi d’orientation de l’enseignement supérieur".


1er session ordinaire 2014 du CSP - par Djoudi le 20/02/2014 23:03

Nous vous informons que la 1ère session 2014 du CSP aura lieu le 7 et 8 avril 2014 à Ghardaia.

Ordre du jour de la 1er session ordinaire 2014 :
 


Réunion du Comité Sectoriel Permanent (CSP) : 16 – 17 Février 2014 - par Djoudi le 20/02/2014 22:58

Le Comité Sectoriel Permanent (CSP) se réunira le 16 et 17 Février 2014 au Centre de Recherche en Anthropologie Sociale et Culturelle (CRASC), Oran, pour examiner les points figurant à l’Ordre du jour de la 2eme session ordinaire 2013...

Le Comité Sectoriel Permanent (CSP) se réunira le 16 et 17 Février 2014 au Centre de Recherche en Anthropologie Sociale et Culturelle (CRASC), Oran, pour examiner les points figurant à l’Ordre du jour de la 2eme session ordinaire 2013.

Ordre du jour de la 2eme session ordinaire 2013 :


1st International Conference on Model & Data Engineering - par webmaster le 13/01/2011 14:11

The First International Conference on Model & Data Engineering (MEDI) will be held from 28 to 30 September 2011

in Óbidos – Portugal. The main objective of our conference is to provide a forum for the dissemination of research
accomplishments and to promote the interaction and collaboration between the models and data research
communities. MEDI’2011 provides an international platform for the presentation of research on models and data
theory, development of advanced technologies related to models and data and their advanced applications. This
international scientific event, initiated by researchers from Euro‐Mediterranean countries, aims also at promoting
the creation of north‐south scientific networks, projects and faculty/student exchanges.
All accepted papers will be published in Lecture Notes in Computer Science (LNCS) by SpringerVerlag.
Topics of interests include but not limited to:
Models Engineering
Design of General‐purpose Modelling Languages and Related Standards
Model Driven Engineering, Modelling Languages, Meta‐modelling, Model Transformation, Model
Evolution,
Formal Modelling, Verification and Validation, Analysis, Testing
Ontology Based Modelling, Role of Ontologies in Modelling Activities
Model Manipulation
Data Engineering
Data Integration, Interoperability
Distributed, Parallel, Grid, Peer to Peer, Cloud Databases
Data Warehouses and OLAP, Data Mining
Database System Internals, Performance, Self‐tuning Benchmarking and Testing
Database Security, Personalization, Recommendation
Web Databases, Ontology Based Databases, PDMS
Modeling for Data Management
New Models and Architectures for Databases and Data Warehouses
Modeling and Quality of Data
Modeling for Enhancing Sharing Data
Models for Explicit and Implicit Semantics based Data Optimization
Model Reification, Model Repositories
Modeling Non Functional Properties of Systems
Urbanization of Database Applications
Applications and tooling
Industry transfer, case studies, experiences
Data and Model manipulation and tooling
IMPORTANT DATES
Abstract submission: April 10th
Full‐paper submission: April 20th
Acceptance notification: June 15th
Camera ready submission: June 30th
LOCATION
Óbidos is a Medieval walled town where time has passed it by. Within the extensive walls there are narrow cobbled
streets, houses painted white with blue or yellow trim, flower boxes and old lamp lights. There are many churches
and chapels among the houses. The castle is located at the highest point. Once the wedding present of a queen, the
preserved medieval town of Óbidos and the surrounding land was always the property of the queens of Portugal.
Encircled by a ring of medieval walls and crowned by the Moorish castle. Inside the walls, which at sunset take on a
golden coloring, one can sense a cheerful medieval ambience of winding streets, old whitewashed houses bordered
with blue or yellow, Manueline embrasures and windows. Óbidos is located about 80 km north of Lisbon.
Besides its material heritage of the past, Óbidos, a melting pot of historical tradition is still today one of the main
jewels of the country. More information about Óbidos, http://bit.ly/obidos_information. Welcome to Óbidos!
Selected conference hotels are located inside the old fort walls.
Conference sessions will be organized along different municipal buildings inside the medieval wall ring, allowing to
participants to enjoy the villa costumes.

Colloque sur l’assurance qualité et l’évaluation - par Djoudi le 31/12/2013 10:34

COMMISSION NATIONALE D’IMPLEMENTATION D’UN SYSTEME D’ASSURANCE QUALITE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

CIAQES

 

APPEL A CONTRIBUTION

Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS) organise, en partenariat avec le Bureau Canadien de l’Education internationale, un colloque sur la coopération interuniversitaire, du 24 au 26 Février 2014 à l’Université de Tlemcen.

Le premier axe de ce colloque sera consacré à l’assurance qualité et l’évaluation et aura pour thème : « L’Analyse comparative des démarches d’amélioration continue de la qualité dans l’enseignement supérieur »

Le second axe sera consacré aux possibilités de partenariat entre les instituions universitaires et de recherche Canadiennes et Algériennes, à concrétiser par des conventions interuniversitaires dans divers domaines d’intérêt mutuel : la recherche scientifique, l’école doctorale, l’enseignement des langues, la mobilité des universitaires, l’organisation des enseignements en sciences de la santé etc.

Problématique relative au 1er axe

L’intégration progressive de l’économie à l’échelle mondiale a des répercussions directes sur l’enseignement supérieur et la recherche scientifique dont le rôle dans l’édification d’une société fondée sur le savoir, garant du développement, s’est affirmé. La qualité et la reconnaissance des formations et des produits de recherche sont devenues un enjeu essentiel pour les systèmes d’enseignement supérieur qui ont, en grande majorité, adopté des démarches d’assurance qualité avec des degrés différents dans le processus d’implémentation.

Qu’ils répondent à des objectifs d’intégration régionale (Union Européenne avec le processus de Bologne, Alena, Mercosur, ...), de mobilité internationale des universitaires, ou tout simplement de mise à niveau des secteurs d’enseignement supérieur et de recherche, les systèmes d’assurance qualité se sont heurtés dans leur mise en oeuvre à des obstacles qui grèvent fortement leur implémentation. Dans un projet qui exige l’adhésion de tous les acteurs universitaires, le premier obstacle peut être dressé par l’élément humain. La phase d’information, de sensibilisation, de formation et d’implication des acteurs est donc essentielle pour le lancement du processus.

Cet axe proposé par la commission nationale d’implémentation d’un système d’assurance qualité dans l’enseignement supérieur (CIAQES), sous l’égide du MESRS, s’inscrit dans la continuité du travail amorcé à l’issue du premier colloque de juin 2008. Les travaux menés alors ont permis de dégager une feuille de route et de charger la CIAQES à mettre en oeuvre la stratégie d’implémentation dégagée.

Pour cela, la CIAQES s’est appuyée sur les lignes directrices édictées par le processus de Bologne et, donc, sur les expériences menées en Europe en matière de mise en place de systèmes d’assurance qualité de l’enseignement supérieur.

La CIAQES s’est également intéressée à la riche expérience Nord-américaine dans le domaine de l’évaluation de l’enseignement supérieur et de la recherche qui confère une place de choix au plan international au système Canadien qui est cité en exemple en la matière. La commission a saisi l’occasion d’organisation d’un colloque sur la coopération universitaire algéro-canadienne pour inscrire la qualité et l’évaluation comme thème central de cette rencontre.

Il s’agit de présenter les exemples les plus pertinents dans ces deux continents et d’en tirer des enseignements utiles pour notre propre processus en voie d’implémentation.

 

Objectifs du Colloque

Les objectifs de cet évènement scientifique sont essentiellement orientés vers le renforcement des compétences sur les approches d’implémentation de l’assurance qualité dans les institutions universitaires ainsi que les procédures et outils d’évaluation des formations et des institutions de l’enseignement supérieur. La mise en réseau des experts internationaux dans le domaine de l’assurance qualité avec leurs homologues Algériens permettrait un échange fructueux des expériences vécues, du savoir-faire acquis et des bonnes pratiques à disséminer en vue de consolider la démarche qualité en matière d’amélioration continue des formations académiques, des institutions et des standards pour l’accréditation.

 

Résultats attendus

Pour cet axe, le colloque se fixe comme résultats :

1- L’identification des obstacles susceptibles d’entraver le développement de l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur et la capitalisation des expériences à travers le monde, les bonnes pratiques utilisées;

2- L’approfondissement des méthodes et des techniques d’évaluation utilisées dans l’enseignement supérieur afin d’améliorer la qualité des enseignements et les compétences des diplômés ;

3- La revue des référentiels de compétences des formations académiques et professionnelles et des mécanismes utilisés pour l’élaboration des standards d’accréditation;

4- La mise en réseau des établissements et de la communauté universitaires (Responsables d’institutions, Enseignants, Chercheurs, Etudiants) afin de construire un partenariat sur : le renforcement des capacités d’enseignement dans certaines filières, notamment les langues, la codiplômation, la mobilité des étudiants et enseignants, la recherche scientifique, l’école doctorale, l’élaboration de référentiels de formation et de standards d’accréditation et autres.

 

Ateliers

Deux ateliers sont programmés autour des thèmes suivants :

de Bologne/Exposé et débat sur l’expérience Algérienne »

-américaine en matière d’évaluation »

 

Formats des communications

Les propositions de communications (communication orale ou poster) seront adressées au plus tard le 31 Décembre 2013 à minuit. La proposition de communications (un résumé d’une page maximum) est à adresser aux deux courriels suivants :

Courriel 1 : n.mezache@mesrs.dz

Courriel 2 : s.bakouche@mesrs.dz

Le résumé peut être fait en langue arabe, française ou anglaise. Toute proposition de communication/ou poster doit être accompagnée par un résumé dans une autre langue. Veuillez voir plus bas, le modèle de proposition de communication. Les informations indiquées dans le modèle doivent figurer dans la proposition. Après évaluation de la proposition de communication par le comité scientifique du colloque, ce dernier adressera par courriel une notification d’acceptation de communication au plus tard le 31/01/2014.

Le texte final de la communication sera adressé au plus tard le 15/02/2014., de taille 16.

 

Une présentation Power Point est requise par le comité d’organisation au plus tard 5 jours avant la tenue du colloque.

 

Calendrier et date importantes

Dernier délai d’envoi de la proposition de communication

 

 

3 1/12/ 2013

Réponse du comité scientifique

31/01/ 2014

Envoi du texte final de la communication/poster

15/02/2014

Envoi de la présentation Power Point

20/02/2014

Début des travaux du colloque

25/02/2014

 


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