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Piratage de logiciels informatiques : Microsoft relance le débat - par elabweb
Microsoft Algérie a organisé une rencontre, mercredi dernier à Alger, avec Aly Harakeh, spécialiste microsoft en droit de la propriété intellectuelle pour la région Afrique du Nord, Moyen-Orient et Pakistan. Une manière de relancer le débat sur le piratage lié à l’industrie du logiciel dans le monde et en Algérie.


Samir Saïd, directeur général de Microsoft Algérie, a déclaré : « Nous voulons aider le développement de l’économie nationale par la mise en place de programmes d’aide aux entreprises, aux universités et au ministère de la poste et des technologies de l’information et de la communication (MPTIC). Les TIC sont essentielles à la création de la richesse. Nous voulons y participer avec le meilleur de la technologie. » Aly Harakeh a fait part de la volonté de la firme américaine à « créer un écosystème qui aide le développement de la créativité et l’innovation des jeunes » et insiste sur « la nécessité d’éduquer les consommateurs, le législateur, les partenaires et les agences qui protègent la propriété intellectuelle ».

Le directeur général de Microsoft Algérie a abondé dans le même sens : « Les gens doivent être éduqués sur le respect et les avantages de la propriété intellectuelle. Il y a des produits de plus en plus sûrs. Au-delà de ces aspects, il faut un travail de collaboration avec des partenaires locaux. La loi doit être respectée. Nous sommes lésés. On perd 20 milliards de dollars par an. Nous devons faire respecter la loi. Il y a une dynamique de légalisation en Algérie, mais il y a encore beaucoup de travail à faire. » Sur le plan juridique, les logiciels sont considérés comme des « œuvres de l’esprit » et sont, à ce titre, protégés par le régime des droits d’auteur. Il est illégal de copier ou d’utiliser des copies sans l’autorisation de l’éditeur (son auteur). Microsoft Algérie souhaite réduire significativement le taux de piratage dans les entreprises. Les modes de vente de licences de l’éditeur sont complexes et il est souvent difficile de bien connaître son parc. Sa communication ne se base néanmoins pas sur la peur du gendarme, mais sur la valeur de la conformité, le support, la responsabilité entrepreneuriale et les mises à jour automatiques. Le plus grand risque réside dans l’installation d’un logiciel non certifié pouvant détériorer ou rendre inexploitable les données de l’entreprise ou de ne pas posséder la dernière version avec les mises à jour de sécurité.

Microsoft s’investit dans le développement et la mise à niveau des petites et moyennes entreprises, une activité en pleine croissance dans des pays en mutation économique, comme l’Algérie. Ce secteur est porteur dans notre pays. Le marché du PC croît de plus de 15% par an. « Le piratage informatique est une faute grave dont il ne faut pas sous-estimer l’importance », est-il écrit sur le site de Microsoft North africa. L’ONDA et BSA ont déjà signé un protocole d’accord de la collaboration mutuelle pour la protection des droits d’auteur appliqués au logiciel et pour la lutte contre le piratage informatique. Les deux partenaires ont élaboré une stratégie commune visant à favoriser « la mise en place d’un environnement sain répondant aussi bien aux besoins de l’utilisateur qu’aux préoccupations de l’éditeur ».




Par Kamel Benelkadi

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Téléphone portable : Android, le mobile selon Google - par elabweb
 

Google entend révolutionner les services d’accès internet sans fil sur mobile à l’image de ce qu’il a réalisé sur PC dans la recherche en ligne, avec le lancement prochain du premier téléphone mobile conçu avec son système d’exploitation Android.



Le géant de la recherche sur internet a déjà commencé à se mesurer à Microsoft sur le marché des logiciels destinés à la productivité avec Google Docs et sur la navigation sur le web avec Google Chrome. Google prévoit à présent de lancer son système d’exploitation pour mobile Android à l’assaut de Windows Mobile de Microsoft, de l’iPhone d’Apple ainsi que de Symbian désormais détenu en intégralité par Nokia. Pour Andy Rubin, le directeur de la plateforme mobile de Google, le succès de ce système d’exploitation dépendra de l’accueil réservé au premier mobile sous Android qui devrait sortir à la fin de ce mois.

« Nous sommes dans la phase finale et avons passé pas mal de nuits blanches », a-t-il dit dans une interview accordée à Reuters. « Nous sommes très contents du résultat », a ajouté Rubin qui a travaillé précédemment chez Apple et dans nombre de jeunes pousses de la Silicon Valley. Selon des sources proches du dossier, T-Mobile USA devrait être le premier opérateur à commercialiser un téléphone sous Android, le 23 septembre prochain à New York.

Après deux ans de spéculation, Google est sous pression pour proposer un produit suffisamment différent de l’iPhone d’Apple et de la myriade de clones apparus depuis le lancement en juin 2007 du combiné de la firme à la pomme. Au lieu de lancer le nouveau système d’exploitation avec une large gamme de combinés issus de différents fabricants de téléphones portables et d’opérateurs télécoms, Google a choisi, selon Rubin, d’ « en mettre plein la vue » afin d’être certain que le premier mobile impressionnera les consommateurs. « Si nous arrivons avec une daube, les gens s’en iront et ce sera une perte de temps », a-t-il déclaré.

Selon Rubin, Google travaille presque exclusivement avec le fabricant taïwanais High Tech Computer Corp (HTC) et l’opérateur télécoms allemand T-Mobile pour le premier téléphone sous Android. « Google veut s’assurer qu’il a suffisamment de contrôle sur le matériel et le logiciel pour qu’ils fonctionnent ensemble », a-t-il expliqué. Apple contrôle étroitement le matériel et le logiciel de l’iPhone. Pour la plupart des observateurs, cette stratégie représente l’avenir du développement des futurs produits.

HTC, qui utilise également une licence Windows Mobile de Microsoft sur certains de ses smartphones (combinés multifonctions), espère que ses nouveaux mobiles sous Android lui permettront d’attirer de nouveaux consommateurs, grâce à la popularité des services de Google comme Gmail ou YouTube. Le premier mobile sous Android, dont le nom de code est Dream, dépend aussi de l’enthousiasme des développeurs indépendants qui doivent écrire des centaines, voire des milliers de programmes, comme les logiciels de partage de photos. Selon Google, un concours pour attirer les premiers développeurs a déjà donné lieu à 1759 applications.

« Une fois qu’ils auront quitté le magasin avec l’appareil, ce qui entretiendra leur bonheur, ce sera le logiciel », a-t-il dit. La deuxième version de l’iPhone d’Apple, qui utilise la même stratégie, propose déjà plus de 3000 applications via la section App Store de la boutique en ligne iTunes. Google prévoit d’ouvrir son propre magasin en ligne, baptisé Android Market. « Ce n’est pas nécessairement le système d’exploitation qui fait le lien, mais la place de marché », a déclaré Rubin. Contrairement à Apple, Google n’espère pas dégager des revenus en vendant les applications ou en partageant les revenus générés avec ses partenaires.

« Nous avons pris la décision stratégique de ne pas partager des revenus avec les développeurs. Nous allons simplement nous passer des recettes éventuellement des opérateurs et des développeurs », a précisé Rubin.



Par Reuters

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Développement d’internet en Algérie : L’Eepad se lance dans la bataille du contenu - par elabweb
 

En animant hier une conférence-débat au centre de presse d’El Moudjahid, Nouar Harzallah, PDG de l’Eepad, a réaffirmé clairement son engagement dans la bataille du contenu et du développement des services à valeur ajoutée.



Il a souligné que son entreprise ne veut pas se limiter à faire le business de la bande passante. La stratégie adoptée s’articule sur trois axes : la promotion du contenu local, la connectivité et l’industrialisation des PC. Un mini-portable va être mis sur le marché prochainement à un prix intéressant (29 999 DA). La plateforme Clicforma a permis la mise en relation de bout en bout de l’enseignant à l’élève avec la numérisation du contenu pédagogique.

Le projet Tarbiatic veut mettre sur orbite « l’école numérique » ; il regroupe déjà 100 écoles et a l’ambition de passer à 200 écoles d’ici la fin de l’année. Revenant sur l’opération Ousratic, 1 PC pour chaque famille, il annonce plus de 25 000 packs mobiles vendus par son entreprise avec internet haut débit. M. Harzallah refuse toutefois de parler « d’échec » mais reconnaît « des lenteurs liées à la communication et à une mauvaise compréhension et à un manque de conviction des banques ». L’opération doit être repensée avec un plan média agressif.

Une enquête a été lancée par le ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication pour mieux cerner les causes des lenteurs. Il a présenté le « five-play » comme « une première en Algérie » lancé depuis le 21 juillet dernier et offre aux clients 5 services : internet en illimité jusqu’à 5 mégabits, téléphonie, accès à plus de 50 chaînes TV, la vidéo à la demande, accès aux jeux en réseau et à la musique. Graduellement, une vingtaine de villes seront concernées par ce bouquet de services. Selon le PDG de l’Eepad, le five-play est une manière indirecte de développer le fixe en Algérie.

La balle est mise rapidement dans le camp d’Algérie Télécom, « un partenaire stratégique qui doit faire face à ses responsabilités ». Il y a actuellement 3,5 millions de lignes fixes et 6 millions de foyers. Ainsi, il y a au moins 3 autres millions de lignes à mettre en place. « Les tests ont été effectués et c’est bon dans 90% du réseau filaire », affirme M. Harzallah. Des discussions ont été menées avec les diffuseurs pour avoir en toute légalité les bouquets de services. Il recommande de former les Algériens à l’usage des TIC, d’inciter les foyers et les entreprises à s’équiper, d’instaurer un climat de confiance entre les différents acteurs de « la société de l’information » et de favoriser un environnement adéquat au développement de l’offre d’infrastructure. Cela nécessite une intervention de l’Etat dans certains domaines pour au moins accompagner les chantiers prioritaires.



Par Kamel Benelkadi

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Un micro portable à 29 000 DA de l'Eepad - par elabweb

Variant ses services en s’orientant sur les valeurs ajoutées, celui dont la vocation initiale a été l’enseignement ne s’écarte pas de la ligne conductrice de son activité en apostrophant les élèves, en cette rentrée scolaire, en annonçant la commercialisation, dans quelques jours, du laptop Eepad à 29 000 DA.

Une baisse sensible qui devrait en réjouir plus d’un, notamment les élèves et les étudiants ainsi que tous les ménages à petites bourses, mais pas seulement… C’est du moins ce qui ressort de la rencontre-débat animée hier par Nouar Harzellah, directeur général de l’Eepad au Forum d’El Moudjahid. En retraçant une rétrospective de l’évolution de l’Internet en Algérie, dont il est l’un des pionniers, M. Harzellah se montre très optimiste quant à l’avenir malgré toutes les contraintes qui entravent l’essor qualitatif et quantitatif dont a fait l’objet la téléphonie mobile à titre d’exemple.
“La réduction des coûts de l’équipement peut s’avérer en définitive le meilleur moyen d’encourager l’émergence d’une société de l’information et, de facto, atténuer un tant soit peu la fracture numérique que les pouvoirs publics tentent d’y remédier”, soutient l’orateur en reconnaissant, toutefois, que le chemin pour y arriver n’est pas dépourvu d’embûches

L’opération Ousratic en perte de vitesse
Lancée en grande pompe en 2005 pour équiper 6 millions de foyers d’ici à 2010, l’opération de charme, parce que c’est tout ce qu’elle a été, n’a pas eu le succès attendu pour diverses raisons. La première copie revue et corrigée (réduction de la TVA et bonification du taux d’intérêt) n’a rien arrangé à cette opération de charme dont le succès n’a duré que le temps d’annonce, succès éphémère alors que des expériences similaires ont donné des résultats probants dans d’autres pays tels que la Tunisie, l’ةgypte, le Brésil, le Canada, l’Espagne, etc.
“La raison est toute simple”, s’accordent à dire les spécialistes du domaine qui ne comprennent pas le désengagement de l’ةtat vis-à-vis d’une politique que les pouvoirs publics eux-mêmes veulent en faveur de l’amorce d’une nouvelle dynamique dans le domaine.
“Devrait-on enterrer une fois pour toute cette opération et opter pour d’autres formules aux fins de “démocratiser l’outil informatique et l’utilisation de l’Internet” ou alors donner un second souffle à Ousratic à travers un véritable soutien et non des discours creux ?”, continuent à s’interroger les uns et les autres à différents niveaux au moment où c’est le privé, encore une fois, qui prend le taureau par les cornes pour réaliser de véritables avancées.
M. Harzellah préfère parler de partenariat public-privé en évoquant le fameux principe de PPP et n’omet pas de saluer, au passage, son partenaire “incontournable” Algérie Télécom.
La solution “FIVE PLAY” pour booster le développement du téléphone fixe
Partant de 10 000 internautes en 1990, l’Algérie enregistre en 2007 pas moins de 4 millions d’internautes avec l’objectif d’atteindre les 5 en 2010. Des statistiques qui dénotent de l’existence d’une réelle attente de la part du consommateur algérien et ce, malgré la pauvreté criarde en termes de contenu local.
L’Eepad, pour sa part, tente le diable et ose lancer la solution “FIVE PLAY” réalisant ainsi une première au Maghreb et dans tout le monde arabe.
“C’est une solution qui repose sur le téléphone fixe pour l’utilisation de l’Internet à haut débit”, dira  M. Harzellah pour présenter sa toute dernière trouvaille soutenant que c’est l’opportunité d’encourager l’utilisation du téléphone fixe dont l’acquisition reste toujours difficile même si la téléphonie mobile a pris le dessus. C’est dire que le téléphone mobile est pratique, mais ne remplace pas le fixe, notamment avec le développement du contenu ce qui devrait inciter Algérie Télécom à revoir sa copie sur ce chapitre.
La solution FIVE PLAY  lancée depuis juillet dernier rencontre un franc succès auprès des consommateurs attestant du fait que l’Algérien est disposé à payer son dû pour peu que le contenu existe.
L’Eepad fait très fort en s’engageant dans la bataille des valeurs ajoutées et offre cinq services  à la fois, à savoir l’Internet en illimité, la téléphonie, plus de
70 chaînes de TV les plus regardées des Algériens dont Canal+,  des films à la demande à raison  de 50 DA seulement, des jeux,  de la musique, de la vidéo à  la demande (VOD) mais surtout  des cours de soutien pour le BEM et le bac.

L’Algérie en 3e position après l’ةgypte et le Maroc en termes de taux de pénétration de l’Internet
Continuer à développer le réseau ADSL pour couvrir les 48 wilayas (40 actuellement), atteindre le million d’abonnés ADSL Assila à l’horizon 2012, faire de Clic Forma une plateforme de télé-enseignement utilisée par 500 000 étudiants et satisfaire, à 2012, un million d’acquéreurs en pack PC portable + ADSL dans le cadre de l’opération Ousratic.
Tels sont les objectifs tracés par Eepad (730 employés) qui plaide pour l’instauration d’un climat de confiance en fixant les règles de jeux pour les différents acteurs de la société de l’information. “Il faut favoriser un environnement adéquat au développement de l’offre d’infrastructures, de contenus et de services via des mesures en faveur de la création d’entreprises”, soutient Harzellah insistant sur le fait qu’il est désormais dépassé de se contenter uniquement d’offrir une simple connexion Internet quel que soit le débit.
Il a rappelé à l’occasion que l’Algérie intervient au 3e rang après l’ةgypte et le Maroc en termes de taux de pénétration de l’Internet réalisant de meilleures performances avec 90% de télédensité en fixe et mobile et compte 4,5 millions d’internautes, 6 000 cybercafés, 30 providers, 3 500 sites web et plus de 300 000 abonnés ADSL dont 100 000 sont des clients de l’Eepad.

Nabila Saدdoun

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HP mise sur la virtualisation - par elabweb
En cette rentrée 2008, l’américain HP mise sur la virtualisation et veut le faire savoir. Pour le géant de l’informatique, la virtualisation - et tous ses à-côtés - serait même l’avenir du PC. On appelle virtualisation l’ensemble des techniques matérielles et/ou logicielles qui permettent de faire fonctionner sur une seule machine plusieurs systèmes d’exploitation et/ou plusieurs applications, séparément les uns des autres, comme s’ils fonctionnaient sur des machines physiques distinctes.




Dans ce cadre, HP El Djazaïr, filiale du leader technologique mondial Hewlett-Packard, organise une conférence de presse le mardi 16 septembre à Alger. Riadh El Mansali, Directeur Général de HP El Djazaïr ainsi que des experts HP présenteront la toute nouvelle solution. L’objectif est de convaincre les entreprises algériennes qui n’ont pas investi dans la virtualisation, de son intérêt en termes techniques, mais aussi métier. Il s’agit de repenser l’optimisation de son infrastructure, comprendre comment les applications peuvent se servir de la virtualisation comme d’un avantage métier et enfin retravailler l’architecture de ses postes clients. C’est une manière de contrecarrer la concurrence et obliger les sociétés à monter en puissance et les prix vont être plus raisonnables pour les clients finaux. Le point fort de HP est son portfolio hyper large. Quand il développe un produit, c’est pour faciliter sa gestion, réduire les coûts et prendre moins de risques. Il amène de la valeur ajoutée. HP a acquis EDS, numéro 2 mondial, dans les services informatiques et Mercury, une compagnie spécialisée dans les solutions d’administration et de gestion.




Par Kamel Benelkadi

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Voici la carte d’embarquement sans papier - par elabweb
A près avoir généralisé le billet d’avion sans papier, les compagnies aériennes commencent à s’attaquer à l’étape suivante : la carte d’embarquement, dont Air France a lancé, jeudi dernier, une version électronique sur téléphone portable.




Tous les passagers des quinze vols quotidiens d’Air France reliant Paris à Amsterdam peuvent désormais accéder à l’avion sans autre document papier qu’une simple pièce d’identité, a annoncé la compagnie française, se targuant d’être la première au monde à offrir cette possibilité sur des vols internationaux aller-retour. Ce service a déjà été mis en place par huit transporteurs aériens de cinq pays (USA, Japon, Canada, Grande-Bretagne et Allemagne) sur des vols intérieurs, mais pas sur des aller/retour vers l’étranger, a indiqué l’Association internationale du transport aérien (Iata) qui représente plus de 240 compagnies aériennes et 94% du trafic international régulier.

Le procédé est sensiblement le même pour tous les transporteurs : après s’être enregistré sur un site internet, le passager peut recevoir sur son téléphone portable sa carte d’embarquement dotée d’un code-barres sécurisé, sous forme de textos ou de MMS (messages multimédias), s’il s’agit d’un téléphone classique, ou par email s’il s’agit d’un téléphone muni d’un accès internet. Cette carte d’embarquement reprend toutes les données d’une carte d’accès à bord traditionnelle (heure d’embarquement, porte d’embarquement, heure de départ, numéro de siège et classe de voyage). Arrivé à l’aéroport, le client montre sa carte d’embarquement affichée sur son téléphone portable pour enregistrer d’éventuels bagages à un comptoir et passe le poste de contrôle en présentant l’écran.

Quand le passager franchit la porte d’embarquement, le code-barres est lu optiquement par un scanner et à son entrée dans l’avion, il montre l’écran au personnel navigant. « Pas besoin d’imprimante et plus aucun billet papier. C’est un gain de temps et davantage de souplesse », s’enthousiasme la compagnie allemande Lufthansa, dont la carte d’embarquement mobile est d’ores et déjà disponible sur tous ses vols intérieurs en Allemagne. « Et si un téléphone ne fonctionne pas ou est en panne de batterie par exemple, le client peut imprimer sa carte d’embarquement sur une borne libre service ou la faire imprimer par un agent d’Air france », précise le transporteur français à destination du voyageur inquiet.

« C’est plus commode pour un quart, un tiers des passagers, ceux qui savent se servir d’un portable, mais pour le reste... », observe néanmoins Robert Espérou, expert français du transport aérien. Grâce à ce nouveau service, les compagnies aériennes espèrent réduire leurs dépenses, tout en préservant les forêts. Des arguments déjà mis en avant par IATA, à propos de l’abandon définitif du billet d’avion en papier le 1er juin dernier : elle avait alors chiffré à trois milliards de dollars par an les économies réalisées par les transporteurs et à 50 000 les arbres sauvés de la scie. Avec la carte d’embarquement électronique, IATA chiffre à 3,58 dollars par passager les économies réalisées, voire 5,34 dollars, si le client ne possède pas de bagage.

EL WATAN Avec AFP

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Facebook DZ : Cybermobilisation contre les attentats en Algérie - par elabweb
Un nouveau moyen de mobilisation contre le actes terroristes en Algérie vient de voir le jour sur Internet : Facebook. La dernière vague d’attentats terroristes qu’a connue l’Algérie la dernière semaine du mois d’août a poussé deux jeunes Algériens à lancer sur Facebook deux groupes : Stop bombe en Algérie et J’en ai marre des attentas en Algérie.




Le premier a été lancé par un jeune artiste algérien de 26 ans, au lendemain des attentats des Issers et de Bouira. L’idée était d’arriver à un nombre important de membres qui permettra une manifestation virtuelle. Son initiateur explique l’interdiction des manifestations à Alger, sauf dans le cas des manifestations de soutien pour un troisième mandat. Le groupe rassemble plus de 2600 membres. Il vise 10 000 membres au minimum. Le deuxième groupe (J’en ai marre des attentas en Algérie), quant à lui, a été lancé dans les mêmes conditions par un jeune étudiant algérois de l’Ecole supérieure de banque.

Ce jeune, originaire de kabylie qui fêtera bientôt ses vingt ans, compte atteindre les 10 000 membres. Il a réussi à mobiliser plus de 3800 membres. Ce groupe utilise le français et l’anglais. Son initiateur a lancé un appel à ses membres pour le traduire en arabe et en tamazight. Il compte arriver à 10 000 membres avant la fin de l’année. « Mon objectif est d’arriver à 100 000 membres. Cela parait énorme et les chances sembles minimes pour l’atteindre. Je vais tout faire pour y arriver. Le chiffre 100 000 est comme un symbole pour moi. Un peu pour rendre hommage aux 100 000 victimes de la décennie noire », nous a-t-il affirmé lors d’échanges sur internet.

Les deux initiateurs ne semblent pas être contre l’idée de fusionner les deux ensembles. Pour rejoindre ces deux groupes, il suffit juste d’avoir un profil sur facebook et de cliquer sur le bouton rejoindre le groupe.




Par Samir Ben EL WATAN

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TIC : M. Bessalah incite OTA à prendre part au "véritable transfert de savoir faire" que connaît l - par elabweb
Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, M. Hamid Bessalah, a incité l'opérateur de téléphonie mobile Orascom Telecom Algérie (OTA) à prendre part à un "véritable transfert de savoir-faire dans les sphères technique et managériale" en Algérie, indique un communiqué du ministère.
Lors d'une réunion avec le nouveau directeur général d'OTA (Djezzy), M. Tamer El Mahdy, le ministre lui a recommandé, dans le cadre de la mise en œuvre des objectifs stratégiques du gouvernement algérien, d'"être en harmonie avec la législation en vigueur" et de "contribuer dans l'essaimage des TIC (en Algérie) en faisant appel aux petites et moyennes entreprises locales", a ajouté la même source.
M. Bessalah a souligné qu'OTA occupe une position importante dans le secteur des TIC en Algérie, ajoute encore le communiqué.

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Internet : bientôt des noms de domaine à l’infini et dans toutes les langues - par elabweb
Créer l’extension d’adresse web de son choix comme .amour ou .paris, déposer des noms de domaine en chinois ou en arabe : l’Icann, le gestionnaire américain de l’internet, veut ouvrir dès 2009 la Toile à tous les internautes, une libéralisation qui soulève de nombreuses questions.

L’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (Icann) a fait cette annonce à l’occasion de sa 32e réunion internationale, qui s’est ouverte lundi à Paris en présence de 1.500 participants de plus de 70 pays. "Outre les .com, .net ou .org, dès le premier trimestre de 2009, les 1,3 milliard d’internautes pourront acquérir des adresses génériques, en déposant des mots courants comme .amour, .haine ou .ville ou encore des noms propres", a déclaré le président de l’Icann, Paul Twomey, dans une interview au quotidien économique français Les Echos. Actuellement, 162 millions de noms sont recensés, dont plus de la moitié en .net et .com sur un total de quelque 250 extensions. Les acteurs du secteur s’avouent surpris par cette libéralisation totale.

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282 millions d'utilisateurs de téléphone mobile en Afrique - par elabweb

282 millions d'utilisateurs de téléphone mobile en Afrique

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Lancement de Firefox 3 - par elabweb
Si pour naviguer vous devez double-cliquer sur une icône en forme de renard, vous êtes en train de surfer sur Internet en utilisant Firefox, un concurrent de Internet Explorer, au cas où vous ne le saviez pas ! Et si vous ne le savez pas encore, ce navigateur, issu de la communauté Open Source en est à sa troisième version, qui se décline en 50 langues dont l’arabe —la version en tamazight n’est pas encore disponible — ! Donc, la fondation Mozilla a lancé, mardi dernier, sur internet, la nouvelle version de son navigateur Firefox, le principal concurrent du logiciel de navigation internet Explorer de Microsoft, qui a conquis en deux ans près de 20% du marché mondial.




Firefox 3, qui présente 15 000 améliorations par rapport à la version précédente est trois fois plus rapide, a assuré Mozilla dans un communiqué, il a été mis à disposition en téléchargement gratuit, en 50 langues. La nouvelle version s’adapte davantage aux habitudes de ses utilisateurs, un bouton permet d’ajouter un signet en un clic, de nouvelles options de zoom sont disponibles et la sécurité contre les virus et logiciels espions a été renforcée. Autre nouveauté, une barre d’outils suggère des sites ayant un rapport avec ceux consultés. Firefox a été victime de son succès, car le site spécial installé pour le téléchargement a été immédiatement embouteillé et, est resté inaccessible 2 heures après son lancement. Avant que le téléchargement soit possible, il comptait mardi dernier déjà, plus de 1,5 million de promesses de participation. Depuis 2004, date du lancement de ce logiciel libre qui fonctionne avec tous les systèmes d’exploitation (Windows, Mac et Linux), Firefox dit avoir conquis 175 millions d’utilisateurs dans le monde. Selon le cabinet Net Applications, Firefox, qui a progressé notamment en Europe et au Canada, détenait 18,4% du marché mondial en mai dernier, contre 73,8% pour Internet Explorer et 6,3% pour le navigateur Safari d’Apple, qui a vu sa part de marché grimper ces derniers mois grâce à la hausse des ventes d’ordinateurs Macintosh. Mozilla espérait pour ce démarrage établir un « record du monde » des téléchargements en 24 heures. La fondation Mozilla l’avait annoncé clairement : elle comptait, avec le lancement de Firefox 3, entrer dans le livre des records ! Catégorie : le plus grand nombre de téléchargements en 24 heures… L’opération avait pour petit nom « Download Day », elle visait à faire connaître Firefox au grand public et à fédérer la communauté.

Côté chiffres, il semblerait que la mission soit accomplie : plus de 8 millions de personnes (ou plus exactement 8 290 545) ont en effet, téléchargé la nouvelle version du navigateur, en un jour. Un classement a même été effectué, dominé par les Etats-Unis (plus de 2,5 millions de downloads), suivis de l’Allemagne, du Japon, de l’Espagne, de la Grande-Bretagne, de la France, de l’Iran, de l’Italie, du Canada et de la Pologne. Les téléchargements n’ont pas cessé depuis, et Firefox totalisait, samedi dernier, plus de 13 millions de téléchargements

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La version bêta du nouveau Skype est disponible - par elabweb
A la fin du mois d'avril, Skype publiait la version 3.8 finale de son logiciel de téléphonie et de visiophonie sur Internet pour Windows. L'éditeur, qui appartient à eBay, ne chôme pas, puisqu'il diffuse désormais la bêta de la version 4.0, disponible en français. Une sortie plus rapide que prévu. Skype présente cette bêta – susceptible de bugs – comme une évolution importante du produit.

L'interface a été totalement refondue pour en faire un centre multimédia et pouvoir contrôler dans une seule et même fenêtre toutes les conversations en cours (appels, conversations vidéo, SMS, messagerie instantanée…). Plus besoin, donc, de jongler avec plusieurs fenêtres. Les boutons d'appel sont plus volumineux. Et, en un clic, la conversation en vidéo avec un interlocuteur peut basculer en plein écran.

Des fonctions qui manquent encore

C'est d'ailleurs précisément du côté de la visiophonie que Skype annonce des améliorations. Les appels vidéo sont en principe de meilleure qualité, et un espace de messagerie instantanée est accessible directement dans la fenêtre pour joindre l'écrit à l'image en cas de besoin.

Certaines fonctions disponibles sur la version 3.8 ne le sont pas encore sur cette bêta, comme le transfert d'appel ou le rappel automatique. Skype invite ses utilisateurs à télécharger cette bêta et à lui faire part de leurs remarques. L'éditeur ne donne pas de date pour la sortie de la version finale mais indique qu'il y travaillera « tout l'été ».

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YouTube lance son service de diffusion de films - par elabweb
Google enrichit son service de vidéo en ligne d'un nouveau service baptisé YouTube Screening Room. Il autorise les créateurs de contenus à s'affranchir d'une limite importante, puisqu'ils pourront mettre en ligne des vidéos qui dépassent les dix minutes imposées jusqu'à présent pour juguler le piratage. Ce service est présenté officiellement comme « une plate-forme pour permettre aux films de trouver l'audience qu'ils méritent ». Reste toutefois une limite de poids pour chaque fichier, fixée à 1 Go.
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Bien sûr, cette fonctionnalité n'est pas ouverte à tous : il faut s'enregistrer auprès de Google pour faire partie des partenaires qui acceptent de monétiser leurs contenus. YouTube Screening Room s'adresse donc aux producteurs de films ou courts métrages, pas à l'internaute qui voudrait poster ses vidéos de vacances. Pour l'instant, le service propose le visionnage gratuit de quatre courts métrages, dont l'un a déjà remporté un Oscar. Nul doute que la plate-forme permettra à terme de visionner des films en entier.

À côté de chaque vidéo, se trouve un bouton « Achetez maintenant », qui redirige l'internaute soit vers le site du réalisateur ou du film, ou soit vers l'un des webmarchands qui proposent l'achat de l'oeuvre sur DVD ou en format dématérialisé.

Pour en savoir plus : Google demande à YouTube d'être rentable à la fin 2008 TF1 réclame 100 millions d'euros de dommages à YouTube VOD : les utilisateurs plébiscitent la publicité pour faire baisser les prix

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CYBERPARC DE SIDI ABDELLAH : Le profil des entreprises est enfin connu - par elabweb
Un appel à investissement dans la technopole de Sidi Abdellah est lancé par les pouvoirs publics. Notamment via le Master plan réclamé par le ministère de l’Environnement.
Les trois pôles d’excellence de la ville de Sidi Abdellah dont le CyberParc sont concernés par cet appel. Ce dernier met en avant des arguments qui plaident pour un drainage massif de l’investissement. A l’instar du prix du mètre carré qui est à l’heure actuelle à 8000,00D.A. et qui pourrait passer à 15.000,00D.A. en 2009. Et c’est à ce titre que dans une lettre adressée aux investisseurs, le département de Cherif Rahmani exhortait ces derniers à déposer leurs dossiers dans un délai de deux mois, soit avant fin de juillet prochain, afin que leurs requêtes soient traitées dans les délais. En parallèle, l’Agence nationale de promotion et de développement des parcs technologiques qui donne une nomenclature des activités du cyberparc, dresse le profil des futurs occupants de cet espace. Cet éventail d’occupants est décrit comme un ensemble viable, permettant de catalyser les interactions et les innovations tant au sein du cyberparc qu’entre le cyberparc et les institutions et les entreprises Tic situées à l’extérieur. Il est dit que ces dernières peuvent être de statut public ou privé. Locales ou étrangères, leur mission est d’offrir des produits ou services liés aux Tic, ainsi que des plates-formes d’extension d’informatique pour tous secteurs économiques dont les banques, le gaz et le pétrole. Toute entreprise élue aura de facto un rôle de catalyseur; en ce sens qu’elle doit permettre de booster la création et l’expansion des entreprises Tic. L’on cite ici les agences d’aide aux petites entreprises et les incubateurs. La catégorie des entreprises convoitées comprend également tous les prestataires de services professionnels tels que les agences de relations publiques, de marketing et de publicité, les conseils juridiques, les cabinets de conseil en management, les cabinets spécialisés dans la planification financière, les agences bancaires, et les sociétés de capital risque. Et l’Observatoire des Tic pour fournir aux entreprises du secteur des renseignements sur le marché ainsi que le siège d’associations sectorielles. Dans la spécialité recherche et développement (R&D) la frontière entre public et privé est abolie. En outre, sont sollicités les services R&D des universités ou des consortiums ou laboratoires de recherche indépendants. La contribution de la R&D internationale est aussi décisive. Notamment pour permettre un transfert de technologie et une collaboration locale-internationale. En matière de formation et d’enseignement, il est fait appel à des instituts universitaires des écoles supérieures, des universités et des établissements de formation privés et publics qui proposent des cours et des formations dans le domaine des Tic. Enfin, au chapitre loisirs et commerce l’on évoque des équipements de loisirs, des structures récréatives, d’établissements de restauration et de petits commerce de détail.

Salim BENALIA

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TÉLÉPHONIE MOBILE : L’Algérie numéro un au Maghreb - par elabweb
Un appel d’offres international ouvrant le marché national à la troisième génération de téléphonie mobile est enfin lancé.

La démocratisation de l’Internet en Algérie est le principal thème traité dans le magazine Djazaïr.com, publication mensuelle du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, qui en est à son troisième numéro. La baisse de 50% des tarifs de connexion à Internet marque un pas «supplémentaire» dans l’application du programme du président de la République, M.Abdelaziz Bouteflika, est-il souligné dans un article consacré à la première Journée nationale de l’Internet, célébrée le 20 avril dernier. «Grâce à cette baisse, le taux de pénétration de l’Internet qui est de 15% au niveau national, soit 4 millions d’abonnés, devrait atteindre les 50% d’ici la fin de l’année en cours», indique-t-on encore dans ce magazine. Dans ce même numéro, il est également annoncé l’introduction imminente de la téléphonie mobile de 3e génération (3G) alors que l’Algérie est numéro un au Maghreb en matière de téléphonie mobile, compte tenu du bond réalisé en 2007. Rebondissant sur le chapitre Internet, il est rappelé que les trois plates-formes, Easy, Fawri et Anis ont été fusionnées en une seule entité, Djaweb, qui dispose d’un catalogue de services Internet diversifiés. Le dossier de la cybercriminalité, traité dans ce numéro, révèle que l’Algérie est sur le point de se doter d’un «arsenal juridique» pour lutter contre ce fléau, citant le ministre du secteur, M.Boudjemaâ Haïchour, qui a affirmé que «la lutte contre la cybercriminalité nécessite des compétences et c’est pour cela que le volet formation, sensibilisation et responsabilité constitue la clé de voûte de toute démarche pour la mise en place d’une cybersécurité».
Le président-directeur général d’Algérie Telecom satellite (ATS), M.Mahiedine Maâche, a indiqué quant à lui dans un entretien, que plusieurs nouveaux services «fiables et innovants» ont été mis à la disposition des usagers, notamment la vidéoconférence, la téléphonie Voip et la «géolocalisation» par satellite, permettant la gestion de flottes sur de vastes distances. Notre pays qui lance un appel d’offres international pour le marché de la 3 G (téléphonie de troisième génération) continue, néanmoins, à parfaire la couverture du réseau téléphonique.
Au moment où la baisse de moitié du tarif d’abonnement à Internet à haut débit décidée depuis quelques semaines, aura permis de revaloriser le téléphone fixe et d’augmenter le chiffre d’affaires d’Algérie Télécom, selon les propres termes du minis-tre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Ce dernier a également précisé que l’Algérie connaît actuellement «une révolution dans le domaine de la poste et des télécommunications et a accompli des progrès considérables au cours des huit dernières années dans la couverture des 1541 communes du pays par le réseau de fibre optique».

Salim BENALIA

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LE MOBILE EN AFRIQUE DU NORD : Un taux de pénétration de 32% - par elabweb
Selon l’association Gsma, le continent africain va investir plus de 50 milliards de dollars (32,3 milliards d’euros) en Afrique subsaharienne pour couvrir 90% de la population d’ici les cinq prochaines années.
Mais, regrette cette source, des régulations nationales trop rigides et des situations de monopole freinent les progrès du mobile dans le continent noir. Ce dernier qui poursuit sa croissance dans le domaine du mobile, ne dispose, en effet, que de 250 millions d’abonnés. Soit 7,4% du réseau international, le taux le plus faible de la planète. Cependant, l’on précise qu’à la fin de l’année 2007, 282 millions d’Africains possédaient un mobile. Ce qui se traduit par une augmentation de plus de 30% sur un an.
Alors qu’en matière d’infrastructures, près de 66% de la population africaine est actuellement desservie par un relais sans fil, contre 62% en 2007. Toutefois, de grandes inégalités subsistent dans la distribution du mobile entre les différentes régions d’Afrique. L’Egypte, le Kenya, le Rwanda ou l’Ouganda disposent d’une couverture à hauteur de 90% de leurs territoires respectifs. D’autres zones sont au contraire complètement dépourvues de tout réseau. Ainsi, plus de 300 millions de ruraux ne disposent d’aucune couverture réseau. Une topographie qui rejoint presque celle de la téléphonie fixe qui est concentrée à 58,5% dans le nord de l’Afrique.
En gros, les pays d’Afrique du Nord qui représentent 17,2% du total de la population du continent, détiennent un taux de pénétration de téléphonie fixe de 58,5%, de téléphonie mobile de 32,8% et 35% d’internautes.

Salim BENALIA

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AFRIQUE : 58,5% de la téléphonie fixe concentrés dans le Nord - par elabweb
Pour la téléphonie mobile, le continent africain compte 250 millions d’abonnés, soit 7,4% du réseau international, le taux le plus faible au monde. Les pays d’Afrique du Nord qui représentent 17,2% du total de la population du continent, détiennent un taux de pénétration de téléphonie fixe de 58,5%, de téléphonie mobile de 32,8% et 35% d’Internautes. Selon un rapport de la Commission de l’Union africaine (UA), à l’occasion de l’exposition «Africa Télécoms» prévue au Caire, la densité téléphonique en Afrique est de trois lignes pour 100 habitants (la plus faible au monde). Le réseau de téléphonie fixe a enregistré, quant à lui, une croissance de 5,8% de 2001 à 2006, ajoute le document. Pour la téléphonie mobile, le continent africain compte 250 millions d’abonnés, soit 7,4% du réseau international, le taux le plus faible au monde, indique le même rapport qui révèle que 5% des Africains sous-utilisent l’Internet avec 2,5% d’abonnés. La moyenne d’utilisation d’Internet est de 17% dans le monde, 11% en Asie, 35% en Europe et 35,7% dans les deux Amériques, précise le rapport. La Commission de l’UA, lit-on encore dans le document, a mis au point une stratégie à double programme pour le renforcement des secteurs de télécommunications et des technologies de l’information. Le document appelle, par ailleurs, à la création de cadres organisationnels, juridiques et politiques pour réunir les conditions favorables à l’investissement et au développement durable.

Salim BENALIA

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La numérisation des archives nationales - par elabweb
A en croire les protagonistes de ce partenariat, d’importants pans de l’administration algérienne, en dépit de certains «freins culturels», sont favorables à la gestion électronique de leurs documents.

Bassim Karkachi, président de la société Bivision Systems qu’il a fondée aux Etats-Unis en 1999, a fait partie de la délégation des chefs d’entreprise américains en visite en Algérie du 5 au 15 avril dernier. Jouant le rôle d’interface entre les sociétés américaines et algériennes, M.Karkachi a évoqué alors, des contrats de partenariat et de solutions que présente son entreprise sur le marché algérien.
Un objectif que semble déjà atteindre ce jeune manager qui propose cette fois, et grâce à un partenariat paraphé avec la société de droit algérien Xerox, de numériser les archives nationales.
Dans ce joint-venture, la société Bivision systems qui est spécialisée dans l’intégration des systèmes d’informations, des systèmes de gestion du savoir, des systèmes de télécommunications ainsi que les méthodes destinées à la modernisation de la productivité des entreprises, offre la solution Capture Doc du nom d’une autre société américaine spécialisée dans le domaine de la gestion électronique des documents (GED).
Forte d’une expérience de dix ans, cette société dispose aujourd’hui des moyens technologiques les plus modernes utilisés dans le domaine de la numérisation des données. Elle offre des solutions de pointe facilitant l’accès à l’information aux entreprises, institutions et organismes en tous genres.
CaptureDoc aide donc les entreprises à mieux contrôler les documents qu’elles produisent, ce qui leur permet de réduire les coûts inhérents à la gestion de leurs documents. Elle propose également des services variés tels que la conversion des documents papier en format digital, la classification automatique des documents, la reconnaissance automatique de l’écriture et des formes, la suppression automatique des données confidentielles, le traitement numérique des images, etc.
Les technologies proposées par Capture Doc sont actuellement utilisées par 5000 entreprises. 25 d’entres elles figurent dans la liste des 500 plus grandes compagnies américaines.
D’ores et déjà, l’on apprend que certaines entreprises et institutions algériennes séduites par ce procédé inédit ont déjà bénéficié de la technologie Bivision et ont modernisé leurs moyens de gestion et système d’information.
Il s’agit là d’une plate-forme avec plusieurs briques modulaires, interface Web, gestion de procédure, système d’information géographique, visualisation support multilingue...le tout déjà pré-intégré, installé et facile à paramétrer.
Notons également que dans le domaine des télécommunications, Bivision Systems propose le téléphone portable fonctionnant en mode talkie-walkie baptisé Stak Spak. Un téléphone destiné essentiellement aux petites et moyennes entreprises éprouvant le besoin de communiquer à distance en groupes fermés.

Salim BENALIA

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Tester la sécurité de votre ordinateur - par elabweb
Pour voir si votre ordinateur serait éventuellement accessible à des pirates, allez sur le site http://check.sdv.fr:3658/. Il scannera les ports (liens avec l'extérieur) de votre ordinateur, et vous donnera votre niveau de sécurité.

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L'aéroport Houari Boumediène se met en ligne - par elabweb
Les horaires d'arrivée et de départ des vols sont accessibles aux voyageurs sur Internet. Un suivi en temps réel des arrivées ou des départs effectifs ou des retards n'est toutefois pas disponible. Le site se décline uniquement en français. Il gagnerait à se décliner, dans une seconde version, en langue arabe.

Il est loin le temps où pour pouvoir connaître l'heure d'arrivée ou de départ d'un vol à partir de l'aéroport Houari Boumediène, il fallait appeler un numéro où l'opératrice vous faisait regretter le jour où vous avez appris à utiliser un téléphone. Et si vous étiez chanceux, un voisin ou un cousin travaillant à Air Algérie vous aurait certainement filé le bon horaire. Dans le pire des cas, il fallait se déplacer à l'aéroport et attendre que la sono daigne vous cracher les horaires ou attendre que les écrans affichent l'information tant recherchée. Mais ceci est de la préhistoire ! Depuis le 1er juin, la veille du début de la saison estivale, l'entreprise qui gère l'aéroport d'Alger Houari Boumediène a lancé un site web – www.aeroportalger.dz – rendant accessible une somme d'informations qui intéressera les voyageurs et toute personne utilisant les services de l'aéroport. Il est clair qu'au top des informations recherchées, les horaires d'arrivée et de départ des vols sont au premier rang. Pour cette première phase, la Société de gestion des services et infrastructures aéroportuaires (SGSIA) a mis en ligne les horaires des vols à partir de et envers le terminal 1 (international). Les dates disponibles vont jusqu'au 25 octobre 2008. Pour les autres terminaux (terminal 2 domestique, terminal 3 pour les vols pèlerinage et charters), l'entreprise n'a pas encore mis en ligne leurs horaires respectifs. Un suivi en temps réel des arrivées ou des départs effectifs et ou des retards n'est toutefois pas disponible. Le site se décline uniquement en français. Il gagnerait à se décliner, dans une seconde version, en langue arabe. Aéroport Houari Boumediène ou aéroport d'Alger ? « Des informations concernant tous les services et commerces disponibles à l'aéroport sont également disponibles sur ce site, tels les moyens d'accès à l'aéroport, les navettes et taxis ainsi que les bureaux de change, banques et hôtels », lit-on dans le communiqué de l'entreprise de gestion de l'aéroport. Le défunt président Houari Boumediène doit se retourner dans sa tombe. L'observateur est tenté de se poser la question du nom de l'aéroport : aucune référence au nom de Houari Boumediène. Est-ce que l'aéroport a été rebaptisé ? Ou, pire encore, on veut le rebaptiser en catimini en tablant sur l'habitude de la nouvelle dénomination ? Car, même le logo du site ne contient que : aéroport d'Alger. A noter que la conception et la réalisation du site a été confiée à Dynamic Pixels, une web agency de Biu Net. Elle a eu à réaliser plusieurs sites algériens dont Cevital (cevital.com), Hamoud Boualem (hamoud-boualem.com), la Poste algérienne (poste.dz) et Nissan (nissan.dz).


Par: Samir Ben - El Watan

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