Nouvelles
[Aps 22/4/08]
L’option pour Bouteflika de présenter en 2009 sa candidature pour briguer un troisième mandat semble occuper tous les espaces, au point qu’un site Internet a récemment été lancé. En effet, www.bouteflika-troisiememandat.com est le nom du site exclusivement dédié au président de la République et ouvert aux citoyens qui voudraient s’exprimer sur cette option. Le site constitue un espace ouvert à tous les Algériens afin d’exprimer leur avis en toute liberté et transparence vis-à-vis de la candidature du président Abdelaziz Bouteflika pour un troisième mandat. De plus, vous trouvez un espace, forum, pour faire partager vos idées et suggestions concernant ce sujet (le troisième mandat du Président). Ees-vous pour ou contre un troisième mandat ? Dites-le en toute liberté, lit-on dans le préambule de ce tout nouveau site qui se veut par ailleurs un outil de sondage.
Le président de l’ARPT confirme ainsi la déclaration qui l’a précédé émanant cette fois-ci de Boudjemaâ Haïchour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication qui avait déjà donné le ton en soutenant que la possibilité d’allonger le délai n’était pas du tout exclue.
Nabila S.
L’Eepad révolutionne les méthodes d’enseignement
Il s’agit d’une plate-forme pédagogique qui met en réseau l’administration scolaire, les enseignants, les élèves et leurs parents pour une participation active de tout un chacun dans la vie scolaire.
Le fait saillant, qui se dégage de cette nouvelle solution, réside sans nul doute dans la possibilité offerte pour l’élève de poursuivre sa scolarité en dehors des heures officielles de l’enseignement, mais pas seulement. Il permet aux parents d’avoir un droit de regard sur la scolarité de leurs enfants sans avoir à se déplacer.
Une approche qui pourrait se révéler être efficace pour contrecarrer l’enseignement parallèle devenu un véritable fonds de commerce pour des professeurs et instituteurs, pas toujours bien intentionnés qui ne s’embarrassent pas à charger l’élève sans considération aucune.
C’est d’ailleurs là qu’apparaît la pertinence de développer l’école numérique présentée, hier, par l’Eepad lors du Colloque international qui s’est déroulé à l’hôtel El-Aurassi sous le parrainage du ministre de l’ةducation nationale. Le projet de l’ةcole numérique, concrètement, est une solution complète qui repose sur une plate-forme structurée en cinq bureaux virtuels en l’occurrence le bureau de l’académie (ou administrateur principal), celui de l’administration de l’école, le bureau de l’enseignant, de l’élève et celui de ses parents. Cette plate-forme baptisée Tarbiatic augure ainsi le projet de l’école numérique telle que proposée par l’Eepad à travers des écoles couvertes par le réseau Wifi et connectées à Internet via Assila Box, des ordinateurs Zala Core Duo pour l’administration scolaire, des ordinateurs Zala 7 pouces légers pour les élèves (avec abonnement ADSL Assila Box) et des comptes pour accéder à la plate-forme Tarbiatic. Dans son discours inaugural, M. Harzallah, P-DG de l’Eepad a précisé que ce projet expérimental, qui concerne déjà une centaine d’écoles, s’adresse au privé comme au public dont de nombreuses écoles ont exprimé leur intérêt.
Le projet a coûté 100 millions de DA dont une grande partie est supportée par l’Eepad en plus de la contribution d’entreprises publiques et privées pour être proposé à titre gracieux aux écoles afin de promouvoir son utilisation. L’école Ramsys School de Constantine, qui a déjà intégré ce nouveau mode d’enseignement, a apporté son témoignage pour une assistance très attentive à commencer par les représentants du ministère de l’ةducation eux-mêmes. Ces derniers ont reconnu la nécessité d’intégrer au plus vite les nouvelles technologies dans l’enseignement et n’ont pas manqué d’encourager de pareilles initiatives. D’autres responsables d’écoles présentes à cette rencontre d’envergure internationale ont, pour leur part, applaudi l’effort de l’Eepad d’enrichir le contenu pédagogique et leur fournir ainsi les méthodes les plus pratiques pour dispenser les cours.
ہ noter qu’en 2002, il y a eu la mise en œuvre d’une stratégie tendant à généraliser progressivement l’utilisation des nouvelles technologies dans l’enseignement. En 2009, la totalité des collèges devraient être dotés de labos informatiques avec une couverture de 100%, a déclaré Hadj Djilani Mohamed, DG de l’Office national de l’enseignement à distance.
D’autres témoignages de valeur ont émané cette fois de la capitale française, assurés par M. Abdelmadjid Bouabdallah, directeur du laboratoire de recherche de l’université de Compiègne et de Montréal (Canada) assurés par M. Bensaâda et M. Halimi, et ce, en visio-conférence.
Nabila Saïdoun
En inscrivant l'institution de la Journée nationale de l'internet dans le cadre de la vision de la démocratisation de l'accès à la toile, le ministre a qualifié cette nouvelle tarification tant attendue par les utilisateurs parmi les plus bas d'Afrique du Nord et parmi les plus abordables dans le monde. «Cet effort tarifaire sera poursuivi en vue de cibler les bourses les plus modestes, notamment les ménages dans le cadre de l'opération OUSRATIC», a déclaré le ministre qui a fait part par là même de la mise en place prochaine d'un observatoire de la société de l'information. Présenté comme étant un espace de coordination et de concertation pour l'ensemble des parties prenantes de la société de l'information, cet observatoire se chargera également d'évaluer les progrès en matière d'utilisation des Tic et devrait du fait présenter un premier rapport en la matière en 2009.
Après le projet OUSRATIC visant à doter tous les foyers algériens de micro-ordinateurs, le département que chapeaute M. Haïchour annonce, cette fois, sa volonté d'aider les enseignants universitaires à se doter de l'outil informatique. Cette initiative à mener en collaboration avec le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique porte sur un pack comprenant un PC et une connexion internet à un prix symbolique.
Le ministre compte également relancer l'autre initiative portant commercialisation de PC à des prix n'excédant pas les 10.000 dinars qui profitera notamment à la communauté estudiantine.
Par ailleurs, invité à s'exprimer sur d'autres questions qui animent l'actualité nationale des télécoms, le ministre s'est déclaré à partir de l'université de Bab Ezzouar favorable à la prorogation du dernier délai fixé par l'Autorité de régulation à la fin avril pour l'identification de l'ensemble des puces anonymes de la téléphonie mobile.
De par sa position, le ministre apporte ainsi son soutien aux trois opérateurs de ce marché qui cumuleraient près de 5 millions de puces non identifiées. Tous les trois avaient, en effet, émis des réserves quant la possibilité de régulariser tous les clients non identifiés d'ici à la fin avril et demandé un délai supplémentaire, afin d'assainir la situation.
Sur le dossier relatif à l'ouverture du marché national de la 3e génération du mobile, M. Haïchour a indiqué, hier, que le gouvernement a finalement donné son accord pour le lancement, dans les tous prochains jours, d'un avis d'appel d'offres national et international pour l'exploitation de cette technologie.
Hamida B.
Dans le cas de la France, c’est un produit désormais « bien connu » du grand public, qui complète souvent l’achat d’un ordinateur portable, souligne à l’AFP Delphine Péroni, chef de produits à la FNAC. Les fabricants ont tout fait pour gommer l’image austère du début des années 2000 : gammes déclinées en plusieurs couleurs, facilité d’utilisation et campagnes de communication, détaille-t-elle. « Sauvegardez vos données numériques », répètent à l’envi les géants américains du secteur, Western Digital et Seagate, citant à l’appui des études révélant qu’environ 40% des Européens ont déjà connu une défaillance de leur disque dur ou se sont fait voler leur PC. Or « si vous avez toute votre vie sur votre ordinateur, vous ne pourrez jamais la récupérer », avertit Andreas Hasse, directeur des ventes grand public de Seagate en Europe : les consommateurs veulent « une double sauvegarde pour être sûrs de ne pas perdre » des documents précieux. Profitant de cet « ascendant du numérique sur le quotidien », les disques durs externes ont connu une ascension irrésistible depuis deux ans : 1,5 million d’unités vendues en France en 2006, 2,7 millions en 2007 et plus de 4 millions attendus cette année, indique Anselme Laubier, analyste de l’institut GfK. Un essor qui s’explique aussi par le piratage : « Le contenu stocké provient principalement de vidéos empruntées sur Internet », loin devant les données personnelles, avoue Philippe Spruch, P-DG de la société française LaCie. Pour satisfaire ces besoins croissants, les capacités de stockage progressent à une vitesse phénoménale, pour des prix en baisse constante : 113 euros en moyenne en 2007, contre 146 en 2005. Les modèles nomades, sortes de « très grosses clés USB », proposent des volumes se rapprochant doucement des 500 gigaoctets (Go), note M. Laubier. De quoi stocker une centaine de milliers de photos et de chansons MP3 et des dizaines d’heures de vidéo. Et si l’on ne veut pas transporter avec soi un énième appareil high-tech, il est possible de se procurer des disques dits de « réseau », comme le Time Capsule d’Apple, accessibles partout dans le monde et plus sécurisants que la sauvegarde sur des sites internet. Autre segment en plein boom, les disques durs multimédias qui se branchent sur un téléviseur et se pilotent avec une télécommande. Pour l’instant, aux mains de petits acteurs comme le Français Storex qui fait figure de précurseur, ce marché naissant « attire les convoitises », confie Didier Trassaert, directeur de l’activité européenne grand public de Western Digital. Le groupe a d’ailleurs prévu de lancer son premier produit de ce type « à l’automne ». Une arrivée qui risque de fragiliser les sociétés de l’Hexagone, déjà affaiblies par la récente taxe pour copie privée. Cette redevance « a entraîné une augmentation des prix et a très nettement freiné le marché », dénonce Xavier Poncin, directeur marketing de Storex. Pour survivre, les marques françaises se réfugient dans le haut de gamme. M. Spruch a ainsi fait de LaCie le deuxième acteur mondial du disque dur externe en misant sur le design. Après Philippe Starck il y a 15 ans, le groupe fait régulièrement appel à des créateurs de renom comme l’Ecossais, Neil Poulton, l’Anglo-Egyptien, Karim Rashid ou encore le Français, Ora-ïto, qui a conçu récemment un produit en forme de vague dorée, le Golden Disk, et une gamme dite « Brick » s’empilant à la manière des Lego.
(Synthèse S. B. avec AFP)
Offres | Tarif |
128 kbs 60 H/mois | 400 |
128 kbs illimitée | 590 |
256 kbs 60 H/mois | 650 |
256 kbs illimitée | 1 100 |
512 kbs 60 H/mois | 1 250 |
512 kbs illimitée Pack Double Play | 1 500 |
512 kbs illimitée | 1 490 |
1 Mbps illimitée | 1 850 |
1 Mbps illimitée OUSRATIC | 1 300 |
Selon le communique, la certification a été remise par un organisme canadien d’enregistrement des systèmes de management de la qualité QMI pour une durée de 3 ans jusqu’à janvier 2011.
Le certificat IS0 9001 est une référence internationale en matière de management de la qualité. Il est le garant du respect des exigences réglementaires et légales en vigueur, de la satisfaction du client et de la capacité de l’entreprise à répondre à ses demandes .
Sur le plan du management, la certification permet d’améliorer la performance et la compétitivité de l’entreprise sur un marché où la concurrence entre opérateurs est très forte.
13-04-2008
[Aps 16/4/08]
[Aps 17/4/08]
[Aps 18/4/08
[Aps 18/4/08
[Aps 9/4/08]
[Aps 6/4/08]
[Aps 11/4/08]
[Aps 11/4/08]
Comparativement aux pays du Maghreb, l'Algérie est en tête, la Tunisie ayant vendu 1,8 million et le Maroc 3,8 millions. Le marché représente un chiffre d'affaires de 600 millions de dollars, sachant que le prix moyen d'un mobile est passé de 109 dollars en 2006 à 115 dollars en 2007. Au Maroc, le prix de vente est subventionné par les opérateurs, alors qu'en Tunisie et en Algérie, les opérateurs se bornent à vendre leur service.
Ces résultats confirment la position de l'Algérie comme le plus grand marché de la téléphonie mobile vu la forte consommation de la population.
Le marché algérien arrive progressivement à saturation. Au départ, les clients demandaient des modèles entrée de gamme : des téléphones juste pour appeler. En général, le deuxième téléphone n'est plus un téléphone basique, ils cherchent une caméra, de la musique, voire des fonctions supplémentaires.
En une dizaine d'années, le téléphone portable est devenu un véritable phénomène de société.
Boudjemaâ Haïchour, ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, a affirmé que : «L'Algérie, à la faveur de l'ouverture de son marché de la téléphonie à la concurrence, a réalisé des taux de croissance exceptionnels, aussi bien en termes de développement du réseau qu'en termes d'abonnés».
«La téléphonie mobile constitue le segment d'activité qui a connu une profonde métamorphose. En effet, grâce à la concurrence saine et loyale que se livrent les trois opérateurs, sous l'œil vigilant de l'Autorité de régulation, nous enregistrons un taux de pénétration extrêmement important de la téléphonie mobile (de 54 000 abonnés en 2000 à 28 000 000 à fin 2007)», a estimé le ministre.
Source: aai-online.com
Le mois d'avril sera donc le dernier délai accordé aux propriétaires des puces téléphoniques non enregistrées, afin de régulariser leurs situations, avant que leurs lignes ne soient définitivement coupées, 30 jours après cette date.
A la fin du mois de mars, plusieurs personnes se sont présentées auprès des agences de téléphonie mobile, pour régulariser leur situation, avant que les opérateurs ne commencent à couper temporairement leurs lignes téléphoniques, en signe d'avertissement avant de les couper définitivement. Le but de ces coupures temporaires est d'appeler les abonnés à la nécessité de régulariser leur situation.
Par ailleurs, les trois opérateurs de téléphonie mobile Djezzy, Mobilis et Nedjma ont déclaré que mis à part l'annonce du premier responsable de l'Autorité de régulation aux médias indiquant que le mois d'avril sera le dernier délai accordé aux abonnés à la téléphonie mobile pour régulariser leurs situations, ils n'ont reçu aucune correspondance officielle de la part de l'Autorité de régulation.
Source : El-Khabar
«Nous allons vers la généralisation de l'utilisation de la numérisation des actes et registres de l'état civil, avant la fin 2009», a-t-il dit.
Le département de l'Intérieur est décidé à moderniser son administration. «Nous avons engagé, au titre du programme financé par l'Union européenne (UE), trois opérations pilotes à Alger (Hydra et Bab El Oued) et Oran qui ont donné de bons résultats», a affirmé M.Ould Kablia. Cependant, il reconnaît que ce processus est «complexe» parce qu'il s'agira, à travers cette opération d'informatisation, de photographier chaque page du registre et la transcrire sur ordinateur à partir d'un logiciel. Pour alléger la pression sur l'état civil, il a fait savoir que l'acte de naissance n°12 ne sera exigé dorénavant que pour les élèves qui s'inscrivent pour la première fois à l'école. «Nous avons obtenu un accord du ministère de l'Education nationale pour que cet acte ne soit désormais exigé que pour ceux qui s'inscrivent pour la première fois à l'école, soit 300.000 à 350.000 enfants inscrits chaque année en première année primaire», a-t-il ajouté. Par la suite, l'établissement se contente de reconduire les dossiers des élèves dans leurs établissements scolaires respectifs.
A noter qu'à chaque rentrée scolaire, 8 millions d'élèves inscrits dans les établissements d'enseignement sont tenus de fournir l'acte de naissance n°12 (extrait du registre). Au cas où l'élève est transféré vers un autre établissement, son dossier le suit automatiquement. Interrogé sur le renouvellement des registres de l'état civil, le ministre a précisé que sur 39.185 registres où émargent 7149.833 actes d'état civil détériorés, 23.360 registres d'entre eux avec 5543.351 actes d'état civil ont été renouvelés. De nombreux registres ont été également «brûlés ou détruits lors d'attaques visant les sièges des communes et des archives» durant la tragédie nationale. Concernant la prorogation du délai de validité du document d'état civil, il pense que ce délai «est réglementaire et convenable», estimant que sa modification «ôterait toute crédibilité à ces actes». Au sujet de l'introduction d'un droit de timbre sur les imprimés d'état civil, M.Ould Kablia a écarté cette éventualité indiquant que ce projet a été rejeté par l'APN en 1998.
Par: Nadia BENAKLI - L'Expression
« Nous aurons une nouvelle version dans le courant de l’année prochaine à peu près », a répondu le président et co-fondateur du groupe à une question posée lors d’un séminaire sur la philanthropie d’entreprise à l’occasion de la conférence annuelle de la Banque de développement interaméricaine à Miami. Le géant des logiciels a l’intention de sortir plus fréquemment de nouvelles versions de son système d’exploitation, qui fonctionne sur la majorité des ordinateurs personnels dans le monde. Mais les commentaires de Bill Gates suggèrent qu’un successeur à Vista sera commercialisé plus tôt qu’attendu. Microsoft avait dit prévoir de lancer une nouvelle version de Windows environ trois ans après la sortie de Vista, en janvier 2007. Un porte-parole du groupe a déclaré que les déclarations de Bill Gates étaient conformes au cycle de développement puisque des versions tests du logiciel sont généralement publiées avant son lancement officiel. « Je suis très emballé par ce qu’il (le nouveau système) sera capable de faire », a dit Bill Gates, qui devrait cesser en juin de s’occuper des affaires courantes de Microsoft pour se consacrer à sa fondation. Il a annoncé que les nouvelles versions de Windows permettraient de révolutionner les téléphones mobiles et de proposer le « bureau » du futur. L’écran devrait notamment être tactile pour permettre d’appeler les objets avec la main.
Sur un autre registre, Microsoft a annoncé vendredi dernier qu’un jury américain avait accordé à Alcatel-Lucent 367,4 millions de dollars de dommages et intérêts après avoir établi que l’entreprise avait violé deux brevets liés à l’interface usager de son système d’exploitation Windows. Microsoft, qui compte faire appel du verdict, a dit qu’Alcatel-Lucent avait demandé 1,5 milliard de dollars en relation avec quatre brevets cités dans le dossier. Le géant de l’informatique a ajouté que le jury avait jugé que Microsoft n’avait pas violé un brevet d’Alcatel portant sur une technologie de décodage vidéo. Le quatrième brevet concerné par la plainte était cité pour une violation présumée par Dell, dont le jury a jugé qu’il n’était pas coupable, selon Microsoft.
Lorsque Martin Cooper inventa le téléphone « cellulaire » il y a 35 ans, il avait la vision d’un monde dans lequel l’homme épouserait la technologie mobile au point que les appareils sans fil seraient implantés dans le corps.
La téléphonie mobile a parcouru énormément de chemin depuis ce jour d’avril 1973 où l’ancien chercheur de Motorola a passé le premier appel au monde, sans fil, depuis un coin de rue à New York, mais Cooper, aujourd’hui âgé de 79 ans, est bien forcé de convenir que l’industrie des télécoms n’a pas répondu à ses espoirs. « Notre rêve était qu’un jour plus personne ne passe d’appels avec un téléphone filaire », a expliqué à Reuters l’ingénieur en électronique retraité. Son premier appel sans fil l’avait rendu si enthousiaste qu’à l’époque il aimait imaginer qu’un jour les numéros de téléphone deviendraient incontournables et que, raconte-t-il, « on vous attribuerait un numéro de téléphone à votre naissance et le jour où vous ne répondriez pas à un appel, vous en mourriez ». « L’idée était que le téléphone devienne une part de vous », souligne Cooper, qui attend toujours le jour où il pourra passer un appel automatiquement, simplement en pensant à la personne qu’il souhaite contacter.Aujourd’hui, plus de 3 milliards de personnes possèdent un téléphone portable contre seulement 300 000 en 1984. « Trente-cinq ans plus tard, l’idée de voir les gens communiquer librement lorsqu’ils se déplacent s’est finalement imposée, malheureusement nous n’en sommes qu’à peine au stade de maîtriser cela pour les communications vocales », a souligné Cooper lors d’entretiens téléphoniques depuis la Californie et New York. D’ici 15 à 20 ans, l’ingénieur retraité prédit que le corps humain abritera des appareils sans fil qui aideront à diagnostiquer des maladies et à les soigner. L’implantation physique d’appareils électroniques sans fil pourrait également apporter une solution à la consommation d’énergie des téléphones qui a néanmoins fait d’énormes progrès au cours des trois dernières décennies mais reste une source de frustration, alors que les appareils deviennent de plus en plus complexes et donc gourmands en énergie. Il reste cependant un certain nombre d’obstacles à l’accomplissement de sa vision d’être humain aux fonctions sans fil intégrées, ce qu’il concède. Si l’idée que l’homme utilise son corps pour recharger son téléphone semble être tirée d’un roman de science fiction, Cooper évoque une incrédulité similaire des passants à le voir téléphoner avec un appareil sans fil au coin de la 56e rue et de Lexington Avenue le 3 avril 1973. Il se souvient que le prototype de combiné pesait presque un kilo, avait une autonomie d’à peine vingt minutes et qu’il avait fallu près de trois mois pour l’assembler. Si la compagnie AT&T fut la première à concevoir un téléphone pour voiture dans les années 1940, il a fallu attendre 1978 pour que l’opérateur mette en place un réseau cellulaire commercial. Cinq années encore passèrent avant que Motorola ne mette en vente le premier téléphone portable, surnommé « la brique ». Cooper convient de ce que les appels sans fil sont beaucoup plus fiables aujourd’hui que la technologie et la couverture des réseaux est meilleure. Présent à Las Vegas en avril dernier, pour le Salon mondial du secteur, il n’en a pas moins appelé les industriels américains des télécoms sans fil à simplifier l’utilisation des combinés, qui sont parfois si complexes que les manuels d’utilisation sont plus lourds que l’appareil lui-même.
Samir Ben
Il a révélé le lancement d’un nouveau service au mois de mai prochain, en partenariat avec Algérie Télécom, il s’agit de la télévision par internet, qui permettra de suivre les programmes de toutes les chaînes étrangères et arabes, en plus des chaines nationales.
M. Harzallah, invité hier d’El Khabar, a indiqué que les deux compagnies ont signé plusieurs contrats avec différents propriétaires de chaînes étrangères et arabes, pour qu’ils puissent présenter leurs programmes au citoyen algérien, directement à travers internet. Ce service va présenter notamment les chaînes étrangères très demandées par les Algériens, et qui n’ont cessé de changer leur code, pour empêcher le piratage. L’opération s’effectuera de manière réglementaire et sans interruption ou difficulté, après la signature des contrats de droits de diffusion avec différentes entreprises.
Le programme Ousratic a rencontré de nombreuses difficultés mais il reste d’actualité « Nous avons contribué à baisser le prix du micro-ordinateur portable à 45 000 D.A »
M. Nouar Harzallah, directeur général de Eepad, a considéré que le programme Ousratic est toujours d’actualité, bien qu’il ait rencontré plusieurs obstacles, au vu des réserves des banques et des compagnies d’assurance, ainsi que la concurrence déloyale de certaines compagnies qui ont adopté le programme par imitation et non par conviction, indiquant que la compagnie a réalisé 40 % de ses objectifs, et a contribué à baisser le prix du micro-ordinateur portable de 140 000 D.A à 45 000 D.A. Le même responsable a précisé que l’expérience Ousratic est en elle-même très positive, vu que le modèle a été demandé par de nombreux pays et opérateurs, mais le programme a manqué d’opérations de sensibilisation de l’ensemble des parties, ajoutant que l’objectif premier était de construire la maison digitale, mais come l’opération est commerciale, les banques et les compagnies d’assurance ont émis des réserves, car elles ont besoin que toutes les conditions soient remplies pour une telle opération.
Un partenariat « vitale » avec les Français et les Canadiens au profit de la communauté algérienne
M. Harzallah a révélé la conclusion d’un partenariat « vitale » avec plusieurs opérateurs, qui ont profité à la communauté algérienne, indiquant que le premier accord a été conclu avec le groupe Neuf Cegetel, et c’est un partenariat bénéfique aux deux parties qui a permis, à travers le produit Assilabox, de garantir le contact entre la communauté algérienne et les clients résidant en France, qui peuvent désormais avoir accès gratuit à Internet. Un partenariat a été également conclu avec les Canadiens, qui permet de bénéficier en particulier de l’expérience algérienne résidant au Canada.
3 000 attaques par mois contre les sites électroniques en Algérie
Le P-DG de la compagnie Eepad, Nouar Harzallah, a indiqué que les sites électroniques des institutions de l’Etat sont ciblés à chaque instant par les pirates du net, précisant que le nombre des attaques quotidiennes sur les différents sites électroniques en Algérie a atteint 3000 attaques par mois. Concernant la source des attaques contre les sites électroniques des institutions de souveraineté comme le site de la présidence de la République et la Chefferie du gouvernement, il a précisé que leur provenance n’était pas stable, « mais qu’on peut la situer avec précision, grâce à des investigations qui ont lieu généralement en cas d’attaque ».
Le président-directeur général de l’entreprise Eepad, Nouar Harzallah, a indiqué que les sites électroniques des institutions de l’Etat sont ciblés à chaque instant par les pirates du net, précisant que le nombre d’attaques quotidiennes sur les différents sites électroniques en Algérie atteint 3000 attaques par mois.
Source : El Khabar
La banque pense que ce service séduira ses clients qui cherchent à protéger leurs documents du vol et des catastrophes naturelles et, à la différence des vrais coffres-forts, y accéder de partout via l’internet.
Avec les connexions Internet à haut débit, le concept d’autoroute de l’information est de plus en plus concret. Elles changent de façon considérable la vie des internautes. Les pages s’affichent instantanément et les téléchargements de fichiers volumineux (photographies, vidéos, logiciels) s’effectuent dans des temps records. La patience n’est plus une qualité indispensable pour s’adonner aux joies du surf.
Pour des raisons de coût, les vitesses de connexion haut débit étaient, il n’y a pas si longtemps, réservées aux seules entreprises. Mais le développement des offres ADSL a apporté un confort jusqu’à l’ordinateur domestique des particuliers (Fawri, Easy, Anis, Assila). Le débit d’un modem ADSL est en moyenne 10 fois plus élevé que celui d’un modem classique (512 kilobits par seconde).
De nombreux rapports et études certifient que la démocratisation de l’internet ne pourra être réalisée que lorsque le haut débit sera généralisé, prenant exemple sur le marché de la téléphonie mobile. Ils mettent en évidence que si une partie des internautes est assez motivée pour se contenter des accès à bas débit, la grande majorité n’est pas prête à « galérer » pour se connecter. Les entreprises voient dans les connexions à grande vitesse des gains de productivité potentiels.
En Algérie, l’ADSL progresse, mais force est de constater que le succès de l’internet à haut débit ne se bâtira pas sur une technologie, mais sur des contenus. Les TIC se présentent dans le discours politique comme vecteurs de modernisation de l’Etat (éducation, administration, santé) et de la société.
Elles sont censées créer des opportunités pour les entreprises, améliorer l’accès au savoir et la compétitivité des sociétés et même assurer un « raccourci technologique » permettant à l’Algérie de rattraper son retard sur les nations avancées. La stratégie gouvernementale en matière de TIC est d’ailleurs une thématique essentielle des discours sur la modernisation de l’Etat et de la société en général.
La « fracture numérique » réduit la problématique à des aspects techniques liés à l’accès, à l’équipement et à l’infrastructure. « C’est vrai que sur Internet il y a plein d’informations. Il suffit de taper Google et un flot de réponses nous est fourni. Mais est-ce que ces réponses sont celles qu’on veut ? Nous sommes algériens, nous avons nos spécificités, nous sommes musulmans, arabes et amazighs. Est-ce que lorsque je veux comprendre d’où je viens, Google me donnera la réponse », s’est interrogé, lors d’un entretien, Ali Kahlane, DG de Satlinker. L’internet doit répondre à des besoins : rapidité d’accès à l’information pertinente, réduction des déplacements physique et transversalité des approches dues aux références croisées, à l’indexation automatique et aux hyperliens. Internet représente un lieu de découverte où l’espace et le temps sont condensés. C’est une possibilité offerte de consulter des milliers de pages en ligne.
Les responsables de l’Eepad se disent en faveur du lancement d’une opération pour la production du contenu. Tous les professionnels des TIC en Algérie, réunis en septembre 2007 autour d’une table ronde au forum d’El Moudjahid, se sont, en septembre 2007, accordés à dire que le développement de l’internet dans notre pays reste tributaire de la production de l’information.
Paris, (AAI)- «My Teamwork Office Edition» est le nouveau kit de solutions de communication de bureau que vient de lancer en Algérie Alcatel-Lucent (Euronext Paris et NYSE : ALU), leader des réseaux haut débit fixes, mobiles et convergés.
«Solution logiciel de téléconférence multi-canal et de collaboration adaptée aux petites et moyennes entreprises, cette édition de bureau offre également à l'entreprise la téléphonie, des applications et la technologie de voix sur IP, de LAN et du WiFi», rapportent les médias.
Disponible sous la forme d'un serveur logiciel, hébergé sur une vaste gamme de matériel standard informatique, My Teamwork Office Edition présente, en effet, «des capacités évoluées d'audioconférence et de conférence web, un client par navigateur accessible de n'importe quel lieu ou un navigateur web pour assister n'importe quel dispositif téléphonique et une facilité d'accès à la messagerie instantanée».
Appliquée en combinaison avec le serveur d'appel OmniPCX d'Alcatel-Lucent, la solution s'adapte à toutes les tailles d'entreprises et offre des communications rationalisées en procurant des gains substantiels grâce à la réduction des fréquences de voyages, indique-t-on.
Selon Matthieu Destot, directeur des solutions de PME à Alcatel-Lucent, ce nouveau kit de solutions de communication de bureau est «Une application de collaboration et de téléconférence facile à utiliser, à connecter et à mettre en service, permettant au chef d'entreprise de réaliser de substantielles économies instantanées en complément d'un apport important en termes de productivité des employés».
18-03-2008
Réseaux sociaux
Facebook disponible en français
Après l’espagnol et l’allemand, le site américain Facebook se met au français pour attirer toujours plus d’internautes et profiter de son audience pour engranger des revenus publicitaires.
Véritable phénomène de l’Internet, ce site de socialisation, créé en février 2004 et destiné à l’origine aux étudiants, a vu son audience plus que doubler en moins d’un an. Aujourd’hui, il revendique au niveau mondial quelque 67 millions d’utilisateurs actifs, contre 20 millions en avril 2007. Les inscriptions y sont gratuites. Cet essor considérable lui a valu l’intérêt de Microsoft qui a payé la somme astronomique de 240 millions de dollars pour une participation de 1,6%, valorisant ainsi le site à 15 milliards de dollars.
Ce succès lui permet de grignoter l’avance que détient l’autre grand site communautaire, son principal concurrent, MySpace. Créé en 2003 et racheté deux ans plus tard par le groupe Murdoch, MySpace comptabilise quelque 110 millions utilisateurs. Plus de la majorité des membres de Facebook se trouve hors des Etats-Unis et un tiers en Europe. Le français est la troisième version à paraître après l’espagnol, le 11 février, et l’allemand, le 3 mars.
Les Français représentent la 6e communauté avec 1,4 million d’internautes, derrière les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, la Turquie et l’Australie, selon le classement du groupe. L’enjeu est désormais de rentabiliser ce succès, notamment par la publicité. Le site a recruté récemment une grosse pointure : Sheryl Sandberg qui depuis six ans était l’une des responsables des ventes de publicité du géant américain Google. Elle sera la prochaine directrice générale de Facebook avec pour objectif de doper un chiffre d’affaires qui avait atteint 150 millions de dollars en 2007.
Pour assurer sa traduction, Facebook a mis à contribution quelque 4000 internautes français, choisis en raison de leur grande utilisation du site, le parti pris étant que les utilisateurs seraient les mieux à même de traduire les fonctionnalités qu’ils emploient. « J’ai reçu début janvier un logiciel pour faire la traduction, que j’étais libre d’accepter ou non », explique à l’AFP Alban Marin qui a fait partie de l’équipe des traducteurs. « Déjà à l’époque, il y avait 2000 personnes qui travaillaient sur la version française, le recrutement se faisant par vague pour arriver à quelque 4000 personnes », a ajouté cet « accro » de Facebook de 28 ans qui publie en avril un guide pour utiliser au mieux le site et éviter ses pièges.
Les internautes traducteurs étaient invités à se prononcer sur les milliers de traductions proposées, du simple mot aux phrases complexes. Pour passer à la version française, les internautes disposant déjà d’un profil dans la version anglaise, doivent cliquer à partir de leur page d’accueil sur « account » puis, une fois arrivés sur la nouvelle page, dans « language » et choisir le français. Cette manipulation n’est à faire qu’une seule fois. En revanche, tous les nouveaux inscrits bénéficieront directement de la nouvelle version française.
Cybercriminalité
Les enfants face aux dangers d’Internet
Internet et plus généralement les nouvelles technologies constituent un progrès considérable en termes de communication et d’information : c’est indiscutable.
Mais ils constituent aussi le terrain de nouvelles formes de criminalité dont les enfants et les adolescents sont la cible facile. Parmi les plus graves dérives de ces nouveaux outils figurent la cyberpédocriminalité, les phénomènes d’addiction aux « chats », aux jeux en ligne, la manipulation ou encore la confrontation à des images ou à des propos violents et les problèmes de socialisation qui peuvent en résulter. Dans un article paru dans la revue de la Gendarmerie nationale (février 2008), le constat est fait : l’augmentation du nombre d’auteurs et de victimes de la pédophilie via Internet depuis quelques années est indiscutable. Certains criminels considérés avant comme des pédophiles passifs ont fait le pas vers la pédophilie active. Certaines jeunes filles en quête d’admiration et de reconnaissance n’hésitent pas à offrir, de leur plein gré, des photos d’elles-mêmes particulièrement dévêtues. Ces photos se retrouveront dans des banques de données mondiales d’images pédophiles. Les criminels de l’Internet sont généralement animés par un sentiment d’impunité, car ils se croient à l’abri des lois. Il y a une chance sur trois d’être confronté à des images choquantes sur le Net, que ce soit à partir d’un ordinateur ou d’un téléphone portable, en cherchant un site sur un moteur de recherche, en cliquant sur un lien ou en téléchargeant films et musiques. Le Centre for media freedom in the Middle East and North Africa (CMF MENA), un centre de recherche indépendant sur les médias, situé à Casablanca et à Londres, a publié un rapport sur les crimes via Internet en relation avec l’enfance marocaine, intitulé Les crimes de l’Internet et l’enfance au Maroc : un manuel pour la sensibilisation des enfants, parents et éducateurs. Basé sur une enquête auprès de plus de cent enfants de la ville de Casablanca, âgés de 10 à 17 ans, et des interviews avec des responsables dans le gouvernement et des ONG marocaines, le rapport révèle plusieurs faits. Plus des deux tiers des enfants interviewés déclarent avoir reçu des offres de voyages, de cadeaux ou de mariages par internet (Chat) de la part d’inconnus. Plus du quart des enfants utilisent les Internet cafés malgré l’interdiction des parents. Plus des deux tiers des enfants n’ont jamais entendu parler des crimes de l’Internet. Aucune ONG marocaine n’existe pour travailler sur la sensibilisation des jeunes et des parents sur les dangers de l’Internet à l’instar des centaines qui existent dans plusieurs pays. Le gouvernement marocain ne traite cette question que de manière timide et se concentre plutôt sur l’aspect sécuritaire de l’Internet. Des solutions de protection des enfants des cybercriminels deviennent urgentes. Afin de lutter efficacement contre la cyberpédophilie, il existe des mesures simples : l’activation du contrôle parental, positionner l’ordinateur familial dans une pièce commune de la maison et non dans une chambre et ne jamais laisser les accès internet ouverts.
A cette occasion, l’accent a été mis sur les importantes avancées proposées par ces produits, et a aussi permis aux participants de discuter avec des experts Microsoft, Kevin McCuistion, Group Product Manager, ainsi que de rencontrer les partenaires de Microsoft sur cette opération : HP, IT Algeria et Oasys.
Ibrahim Youssry, Directeur Marketing Régional Serveurs, pour la région Moyen-Orient et Afrique a affirmé que : «Nous mettons à la disposition des entreprises algériennes nos grandes innovations : une plate-forme de virtualisation, une sécurité renforcée, une infrastructure Web très performante, ainsi que la dernière génération de base de donnée intelligente, extrêmement puissante et interopérable, de même que la plate-forme de développement Visual Studio.
Selon lui, « l’ensemble de nos dernières générations Servers va permettre à toutes les entreprises algériennes un fonctionnement optimisé, une réduction notable des coûts et une prise de décision plus rapide».
Au cours de cette rencontre, les professionnels des NTIC ont eu l’occasion d’en apprendre plus sur les innovations apportées par ces solutions en visitant le stand Microsoft, de même que ceux des partenaires HP, IT Algeria et Oasys. L’implication de ces sociétés témoigne d’ailleurs de la force de l’écosystème d’entreprises qui se développe en symbiose avec Microsoft Algérie.
De son coté Abdelouaheb Gaoua, General Manager, IT Algeria a précisé que : «Comme à son habitude, je suis sûr qu’avec la version 2008 de SQL server, Microsoft apportera un lot appréciable d’innovations et de nouveautés en terme de Business Intelligence, pour le grand bonheur des managers et décideurs algériens».
Riadh El Mansali, Directeur général de HP El Djazaïr a indiqué que : « HP, en sa qualité de leader des solutions technologiques destinées aux particuliers, aux entreprises et aux administrations, est fier du partenariat durable qui le lie avec Microsoft à travers le monde» et que «C’est ainsi que nous nous sommes alliés pour la mise en place et le déploiement de Windows Server 2008, solution d’entreprise qui va de pair avec notre nouvelle génération de serveurs Blade, optimisés pour tous les types d'environnements, les centres informatiques automatisés et virtualisés. Nous sommes convaincus du bienfondé de l’existence de ce partenariat et de ses lendemains fructueux et déterminant pour les entreprises algériennes», a-t-il ajouté.
A noter que l’événement a également donné un coup de projecteur sur l’importance du rôle joué par les « Héros » de l’ombre que sont souvent les responsables informatique au sein des entreprises et institutions.
Microsoft est le leader mondial développe et commercialise une large gamme de logiciels, accessoires et services à usage professionnel et domestique. La mission de Microsoft est de mettre son expertise, sa capacité d’innovation et la passion qui l’anime au service des projets, des ambitions et de la créativité de ses clients et partenaires, afin de faire de la technologie leur meilleure alliée dans l’expression de leur potentiel, rappelle-t-on.
Cette multinationale américaine, fondée par Bill Gates et Paul Allen en 1975, emploie environ 76 000 personnes dans 102 pays différents. La société est dirigée depuis le 14 janvier 2000 par Steve Ballmer.
En Europe et dans la zone Moyen Orient et Afrique, Microsoft est présent dans 61 pays et emploie plus de 13 000 personnes.
Parallèlement, Microsoft Algérie investit concrètement dans de nombreuses actions, tels que la formation de 132 ingénieurs en 2006 à travers sa Partner Academy (le même nombre est prévu pour 2007), une participation active au programme OusraTIC, une attention toute spéciale apportée aux étudiants à travers le concours Imagine Cup, un soutien au Gouvernement dans le cadre de la modernisation de ses structures IT, et une aide aux PME innovantes qui utilisent les TIC pour développer leurs affaires.
11-03-2008
80 à 100 participants, essentiellement des personnels d’encadrement spécialisés d’entreprises, de banques, des cadres centraux, des informaticiens et des utilisateurs des technologies de l’information et de la communication, prennent part à ce rendez-vous, selon la presse.
D’autres thèmes portant sur « la numérisation des documents dans l’entreprise : éléments de définition d’un projet » et de la certification des documents numériques en tant que signature électronique, figurent au menu de cette manifestation.
La question pertinente d’archivage des documents fera également l’objet d’une communication. Il en est de même pour les aspects juridiques de la protection des systèmes d’information dans les sociétés.
Enfin, les thèmes relatifs notamment à « l’Univers Open Sources et l’Entreprise » et le GEIDE (gestion électronique de l’information et de la documentation de l’entreprise), seront également débattus.
Écrit par Ali Babès (Quotidien d'Oran) 11-03-2008
Le marché de l'Internet et celui des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC) est en plein essor en Algérie. Jamais auparavant «la toile» n'a suscité autant d'intérêt des pouvoirs publics, alors que le pays était leader dans les années 70-80 dans les nouvelles technologies. Comparativement au Maroc et à la Tunisie, les universités algériennes étaient déjà, dans les années 80, raccordées aux réseaux américains et européens. Le secteur connaîtra un brusque déclin à la fin des années 80 et jusque vers la fin des années 90. C'était la politique de l'époque.
L'Internet reprendra ses droits vers la fin du siècle dernier, mais avec un fossé énorme face à nos voisins, mais surtout aux Européens et Américains. A titre d'illustration, l'Internet Haut débit, ou l'ADSL n'a fait son entrée en Algérie qu'au cours de ces trois dernières années, alors qu'au Maroc, la TV par ADSL a été introduite en 2006 avec la coupe du Monde au profit des internautes marocains. En Algérie, le réseau «Anis» devrait être prolongé par la TV par ADSL mais, le retard dans ce projet ne peut être que constaté, une fois de plus.
L'introduction de l'ADSL en Algérie a, cependant, eu des effets positifs sur la demande et la configuration d'un nouveau marché des TIC. Le terme ADSL signifie Asymmetric Digital Subscriber Line, alors que dans les pays francophones ce terme est parfois remplacé par LNPA qui signifie Ligne Numérique à Paire Asymétrique. Ce système permet de faire coexister sur une même ligne un canal descendant (downstream) de haut débit, un canal montant (upstream) moyen débit ainsi qu'un canal de téléphonie (appelé POTS en télécommunication qui signifie : Plain Old Telephone Service).
La généralisation de l'ADSL2 en Algérie à partir de l'été 2007 - en fait le service «Anis» de Djaweb - va redonner plus de tonus à l'Internet qui va encore renforcer sa présence dans les foyers algériens. Bien sûr, l'ADSL va introduire de nouvelles fonctionnalités et surtout, de nouveaux produits qui vont changer la configuration des télécommunications domestiques. Outre l'aspect didactique, scientifique ou tout simplement culturel de l'Internet, il y a également, et cela a pesé sur le choix des ménages, la voix sur IP (VOIP), qui permet aux Algériens de se parler d'un bout à l'autre de leur ville ou de la planète, sans débourser un «rond», tout en ayant le confort de se regarder via une Webcam.
A n'en pas douter, les efforts techniques et les énormes investissements mis en oeuvre par Algérie Télécom ont indéniablement apporté un plus à la généralisation des TIC et plus particulièrement l'adoption de l'Internet par les ménages algériens. C'est, en soi, une petite révolution dans un pays où le bidon de 5 litres d'huile végétale coûte dorénavant le prix d'un abonnement à l'Internet avec un débit de 128 MégaBytes.
Selon M. Boudjemaa Haïchour, ministre de la Poste et des TIC, l'Algérie a consacré plus de 24 milliards de DA, dans le cadre du Plan de soutien à la relance économique, au développement du secteur des télécommunications. Plus de 16 milliards de DA ont été dégagés pour le développement des infrastructures et 50 milliards de DA pour couvrir l'ensemble des activités du secteur», a précisé dans une de ses sorties sur le terrain le ministre.
En Algérie, le nombre d'abonnés au réseau téléphonique mobile dépasse les 7 millions et celui des internautes est estimé à 1,5 million. Selon le Dr Haïchour, il y a 11.148 établissements scolaires connectés à Internet. En outre, près de 4.045 cybercafés, sur l'ensemble du territoire national, dont 1 700 sont connectés, selon M. Nouar Harzallah P-DG de l'Eepad, à l'Adsl ou l'Internet à haut débit. Selon l'Union internationale des Télécommunications (UIT), il y a près de 11,2 millions d'utilisateurs de l'Internet dans les pays arabes, soit un taux de pénétration de 3,7 %. Cette communauté d'internautes est desservie, selon les spécialistes de l'UIT, par plus de 36 opérateurs de réseaux de communication de données et près de 300 fournisseurs de services internet.
Comparativement aux pays européens, l'Internet dans les pays arabes en général, et en Algérie en particulier, reste encore «balbutiant» dans la mesure où il se limite actuellement à la consultation et, sporadiquement, à des téléconférences scientifiques. Les nouveaux produits de l'Internet, comme le commerce électronique, l'assistance et le téléenseignement, par exemple, restent encore inexplorés, alors que la TV par ADSL reste, comme c'est le cas en Algérie, encore inconnue. Un fait doit être reconnu : même si le Web a fait sa révolution en Algérie, il lui reste encore à remporter des batailles décisives, comme sa généralisation à travers des prix d'abonnement plus attractifs et à la portée de toutes les bourses, et non un produit plus ou moins élitiste comme c'est le cas actuellement. Car le Très haut débit, qui permet des téléchargements importants, particulièrement les ouvrages ou les gros fichiers, reste encore inaccessible pour les familles modestes qui ont fait le choix d'introduire la Toile dans leurs foyers.
Un sacrifice financier important par ces temps de hausses vertigineuses, car sur les 6 millions d'ordinateurs promis dans le cadre de l'opération Ousratic, seulement 200.000 ont été financés par les banques. L'opération marque le pas, au moment où les NTIC «cassent» pratiquement tous les tabous en Algérie. Le nouveau groupement de Providers (fournisseurs d'accès Internet, FAI) est-il en mesure de faire avancer encore plus la révolution du Worldwideweb ?
Source : Quotidien d'Oran.
Composé pour l’heure de 11 ISP, le groupement TOUIZA a mis sur pied un plan d’action qui comporte plusieurs volets à savoir, notamment « la participation active à l’introduction massive de l’ADSL de la fibre optique et du haut débit en général », « la promotion de la création de contenu et d’application Internet », « la valorisation des métiers liés à l’informatique et à l’Internet », « le développement du commerce électronique sous ses diverses formes » ainsi que « la contribution à l’effort national de modernisation multisectoriel par l’utilisation des TIC ».
Le groupement, qui est appelé à s’élargir dans l’avenir, se dit disposé à joindre ses efforts à ceux des autorités, afin de reprendre sa place au secteur dans notre pays qui était leader dans le monde arabe dans les années 1970, et était même en concurrence avec les pays européens, notamment l’Espagne durant cette période.
quotidien d’oran
CUPERTINO, Californie (Reuters) - Apple va prochainement rendre son combiné multimédia iPhone compatible avec les messageries électroniques utilisées en entreprise, signant ainsi son entrée sur un marché largement dominé par le canadien Research In Motion, dont les terminaux Blackberry sont très prisés par les professionnels.
La firme à la pomme a également présenté cette semaine des outils de développement qui permettront aux éditeurs de créer des applications pour l'iPhone, ainsi que la mise en place par la société Kleiner Perkins Caufield Byers d'un fonds de 100 millions de dollars, nommé iFund, destiné à soutenir le développement logiciel sur son combiné.
"Ceci fait passer l'iPhone, qui n'était pas vraiment un produit pour l'entreprise, à un stade professionnel capable de concurrencer sérieusement RIM", a déclaré Van Baker, analyste pour le cabinet d'études Gartner.
Alors que certains analystes commençaient à douter de la capacité d'Apple d'atteindre son objectif de dix millions d'iPhone écoulés d'ici la fin de l'année, en raison du ralentissement économique aux Etats-Unis, ce changement stratégique devrait aider le fabricant de l'iPod à y parvenir plus facilement.
"Apple a apporté une réponse à la majorité des objections soulevées par la plupart des responsables informatiques sur l'utilisation de son combiné en entreprise", a estimé Baker.
Selon Apple, l'iPhone fonctionnera avec les serveurs utilisant le logiciel Exchange de Microsoft, qui gèrent notamment en entreprise la messagerie électronique, les contacts et les calendriers pour synchroniser les données avec les appareils portables.
AMPLIFIER L'INTERET
"Nous rendrons tout cela possible avec la prochaine mise à jour de l'iPhone", a déclaré Phil Schiller, vice-président du marketing mondial d'Apple, au cours d'une conférence au siège de la société. "Je pense que les utilisateurs professionnels vont adorer", a-t-il ajouté.
Le nouveau "kit" de développement logiciel, qui permettra d'exploiter à fond les fonctionnalités de l'iPhone comme l'écran tactile et les capteurs de mouvement, est également perçu comme un bon moyen d'amplifier l'intérêt suscité par l'appareil, qui ne pouvait jusqu'ici accueillir des programmes que par l'intermédiaire du navigateur web.
"A partir d'aujourd'hui, nous ouvrons aux développeurs les interfaces et les outils que nous utilisons pour créer des applications sur l'iPhone, a déclaré Scott Forstall, vice-président en charge du développement logiciel de l'iPhone.
Les applications pour l'iPhone seront uniquement accessibles via le combiné à partir d'un nouveau kiosque en ligne baptisé "Apps store" et sur ordinateur via le logiciel iTunes qui sert permet déjà de télécharger musique et films. Apple percevra 30% des revenus générés par les logiciels mis en ligne par les éditeurs.
Steve Jobs, le directeur général d'Apple, a rejeté les critiques sur le contrôle trop étroit du groupe dans la distribution des logiciels pour l'iPhone.
"En tant que développeur, votre rêve est de voir votre application en tête de chaque iPhone et espérer que l'utilisateur l'adore et l'achète. Cela n'est pas possible aujourd'hui. Même les gros développeurs auraient du mal à s'imposer", a déclaré Jobs.
"Allons-nous apporter des restrictions? Bien entendu. Il y a des applications que nous l'allons pas distribuer comme la pornographie et les programmes malveillants", a-t-il ajouté.
Version française Claude Chendjou
Carrefour par excellence des dernières innovations et solutions technologiques, cette manifestation de cinq jours se tiendra du 11 au 15 mars. Sur une superficie de 5.000 m2, une douzaine d'exposants, ayant déjà confirmé leur participation, viendront vulgariser leurs produits et services. Il s'agit notamment d'opérateurs de la téléphonie mobile, d'opérateurs de satellite, de chaînes de télévision et de radio, de la presse écrite, de fournisseurs de matériels et équipements numériques, de banques, d'assurances, de providers et de fournisseurs d'accès internet.
La partie exposition du Salon sera ainsi dédiée aux équipements des télécommunications, équipements audiovisuels, la téléphonie mobile et ses accessoires, les équipements informatiques et logiciels, l'équipement de protection et sécurité, de réception et de diffusion et de la télésurveillance, l'imagerie numérique, les nouvelles générations d'écran, la TV-hifi-vidéo, l'impression numérique et les supports de publicité, les caméscopes et appareils photos.
En marge de l'exposition, un séminaire, ayant pour thème principal «La révolution du numérique, nouvel enjeu économique international», traitera du développement des technologies de l'information et de la communication et leur utilisation par les PME/PMI, de la gestion numérique des centres de documentation, des bibliothèques et des centres d'archives et de l'alphabétisation numérique en Algérie.
A noter que l'accès à l'exposition est réservé de 11h à 14h aux professionnels et élargi au grand public de 14h à 18h.
L'unité des jeux de la firme japonaise, qui souhaite rendre plus attractive sa console distancée par la DS de Nintendo, va proposer à partir du 19 mars à ses clients japonais un microphone, vendu 2.500 yen (15,93 euros), qui leur permettra de communiquer grâce au réseau Skype avec d'autres utilisateurs de PSP dotée de cette fonctionnalité ou avec des internautes équipés du logiciel.
Sony avait annoncé le lancement de ce service en janvier sur l'ensemble de ses marchés internationaux.
Reuters.
Ces discussions, qualifiées de "préliminaires", interviennent après que des sources proches du dossier ont déclaré à Reuters la semaine dernière que les grandes maisons de disques avaient eu des discussions semblables avec MySpace, le premier site communautaire mondial, détenu par le groupe de médias News Corp de Rupert Murdoch.
Facebook, qui n'est pas coté en Bourse, et les quatre "majors" du disque Universal Music Group, Sony BMG Music Entertainment, Warner Music Group et EMI n'étaient pas disponibles dans l'immédiat.
Reuters.
Il s’agit réellement d’un certain bond en avant pour l’identification des utilisateurs qui ont un compte Yahoo. Dans la pratique, tous ceux qui possèdent un tel compte pourront l’utiliser pour se connecter sur les sites prenant en charge cette infrastructure.
Prenons un exemple. Si PC INpact choisissait un système d’authentification OpenID, il suffirait que les utilisateurs de Yahoo s’identifient avec une adresse spécifique. Voici comment se déroulent les opérations :
- L’utilisateur crée un compte chez Yahoo
- Il lui sera communiqué une adresse qui aura probablement pour forme, par exemple, xxx.yahoo.com
- Il indique cette adresse sur les sites où il souhaite être connecté
- Le site ciblé interroge alors Yahoo de manière sécurisée
- Pour valider la demande, l’utilisateur est invité à entrer son mot de passe
- Le site accepte l’identification, l’utilisateur est connecté
Il ne s’agit pas d’un système du type « une identification, puis identification automatique » comme les comptes LiveID de Microsoft. La prise en charge de l’OpenID est surtout destinée à simplifier la vie des utilisateurs pour qu’ils n’aient pas à créer de multiples comptes et profils.
Dans le cas de Yahoo, la base de données des utilisateurs servira donc de dépositaire central des informations, qui seront alors exploitées par les sites compatibles. Dans une optique utilisateur, on évite ainsi notamment de fournir les mêmes renseignements à chaque fois, au risque parfois d’avoir des différences entre chaque site.
Peu de sites ont encore adopté ce système d’identification, mais plusieurs poids lourds fournissent déjà des comptes OpenID, comme VeriSign et Orange.
« Actuellement, la population Internet chinoise est inférieure à celle des États-Unis d'environ 5 millions d'internautes, elle est la seconde plus grande de monde » explique le CNNIC. La dernière étude de l'agence annonce que les États-Unis passeront en seconde position dès cette année 2008, alors qu'elle prévoyait jusqu'ici cet événement pour 2009.
Selon les autorités américaines, les États-Unis possèdent 218 millions d'internautes (soit huit millions supplémentaires et non cinq), et garde encore pour un bon moment le taux de connectés sur leur territoire, avec une population totale de 310 millions de personnes.
Le CNNIC observe la plus grande croissance d'internaute chez les moins de 18 ans et les plus de 30 ans, et particulièrement dans les zones rurales qui se connectent de plus en plus. En ligne, les Chinois écoutent surtout de la musique (pour 86,6 % d'entre eux), discutent par messagerie instantanée (81 %), lisent les actualités (72,4 %), tandis que 56,5 % exploitent les emails.
Malgré ces très gros chiffres, la plupart des internautes chinois se connectent dans des cybercafés. Les connexions domestiques sont en pleine croissance, mais sont encore loin d'égaler celles des États-Unis. Le CNNIC précise aussi que les Chinois sont considérés comme internautes dès lors qu'ils se connectent une fois par mois au moins.
Site Libération par Sébastien Delahaye
En janvier, la France comptait 31,5 millions d’internautes, selon la dernière étude de l’institut Médiamétrie. L’enquête, réalisée sur un ensemble de 1000 Français âgés de 11 ans et plus, indique que ce joli chiffre correspond à 60% de la population française. 49,4% des foyers (soit 12,7 millions de foyers, selon une étude qui portait cette fois sur 6000 personnes) ont un accès à Internet à domicile. Un accès qui semble très majoritairement en haut débit (câble, ADSL, WiFi ou autre), puisque Médiamétrie a dénombré 24,4 millions d’internautes (soit 94,1% des internautes français connectés à domicile) connectés à grande vitesse. Des chiffres que l’on pourra s’amuser à croiser avec ceux de l’ARCEP (l’Autorité de régulation des Communications électroniques et des Postes, ancienne ART), qui indiquait en fin de semaine dernière que la France comptait 15,55 millions de connexions au haut débit (dont 14,8 millions d’abonnements ADSL) au 31 décembre 2007. Près du tiers (un peu plus de 5 millions) de ces abonnements seraient en dégroupage (partiel ou total). Et environ 2,2 millions d’accès correspondent à des accès « bitstream », c’est-à-dire à des lignes louées en gros par France Télécom à d’autres fournisseurs d’accès à Internet. L’ARCEP, qui précise que ses chiffres sont encore provisoires, indique également une hausse de 22% des abonnements par rapport à la toute fin 2006. De même, Médiamétrie indique une hausse de 25% des internautes connectés en haut débit. Conséquence : l’accès classique bas débit par ligne téléphonique, le RTC, ne représente plus qu’environ 1,5 million d’internautes. Malgré cette progression écrasante du haut débit, les sites les plus consommateurs de bande-passante, comme les sites de partage de vidéos Youtube et Dailymotion, restent aux portes du top 10 des sites les plus visités par les internautes français en janvier dernier. Youtube est onzième, Dailymotion quatorzième. Le top 10, lui ne se renouvelle guère : on y trouve sans surprise Google, MSN, Orange, Yahoo, Free.fr, Pages Jaunes, le webzine L’Internaute, Ebay, Wikipédia et enfin le site de Microsoft.
Via un adaptateur USB qu’il suffit de le glisser dans son ordinateur, on lance les logiciels de récupération Recovery PRO software et SIM Recovery Pro Reader pour retrouver la prose éradiquée.
Evidemment, le fabricant, brickhousesecurity, ne rougit pas et met uniquement l’accent sur les facultés indiscrètes de son produit. Espionnage de l’épouse, du mari, des enfants, ou de l’employé, sont certains des scénarios mis en avant pour vendre le pack. Cette petite clef peut également servir à transférer des données d’une carte SIM à une autre, ou de sauvegarder ses numéros et SMS sur son PC.
BRUXELLES (AFP) - La Commission européenne a imposé mercredi au géant américain des logiciels Microsoft une nouvelle amende record de 899 millions d'euros, pour ne pas avoir rendu assez vite ses logiciels plus ouverts.
Ce montant, qui correspond à des astreintes journalières pour la période du 21 juin 2006 au 21 octobre 2007, est le plus élevé jamais réclamé à une seule entreprise par les services européens de la concurrence, toutes infractions confondues (abus de position dominante, participation à un cartel, etc...).
Il s'ajoute à une amende initiale de 497 millions d'euros infligée en mars 2004 lorsque la Commission avait condamné une première fois Microsoft pour abus de position dominante. Ce qui porte le montant total de la facture à quelque 1,4 milliard d'euros pour le groupe américain.
Bruxelles avait exigé entre autres à l'époque que le groupe rende ses logiciels plus ouverts en communiquant à ses concurrents les informations techniques nécessaires pour permettre à leurs produits d'interagir avec les siens.
Devant le manque de coopération de Microsoft, Bruxelles avait par la suite ajouté des astreintes journalières.
Après plus de trois ans de bras de fer, la justice européenne a donné raison à la Commission le 17 septembre et Microsoft a fini par plier en annonçant le 22 octobre qu'il acceptait les exigences de Bruxelles.
La Commission avait indiqué à l'époque n'avoir plus de raison d'appliquer des astreintes journalières à partir de cette date, mais toujours pas chiffré jusqu'ici le montant définitif dû par Microsoft.
Dans un document communiqué fin janvier au régulateur boursier américain, la SEC, Microsoft indiquait s'attendre à payer jusqu'à 1,5 milliard d'euros dans le cadre de ce dossier.
"C'est la première fois en 50 ans de politique de concurrence dans l'UE que la Commission a dû infliger une amende pour non-respect d'une décision antitrust", a commenté la commissaire à la Concurrence, Neelie Kroes, dans un communiqué.
"J'espère que la décision d'aujourd'hui clôt un chapitre sombre du dossier de Microsoft relatif au non-respect de la décision de la Commission de mars 2004 et que les principes confirmés par l'arrêt du tribunal de première instance de septembre 2007 dicteront la conduite future de Microsoft", a-t-elle ajouté.
Pour sa part, Microsoft a préféré se tourner vers l'avenir. "Nous examinons la décision de la Commission", a dit le groupe dans un communiqué. "Ces amendes portent sur des problèmes du passé qui ont été résolus" entre-temps, a-t-il ajouté, en soulignant qu'il venait d'annoncer une initiative "pour améliorer" l'interopérabilité de ses produits.
La semaine dernière, le groupe a annoncé une série de mesures destinées à rendre ses logiciels plus ouverts, renonçant au secret entourant depuis toujours ses produits vedettes.
La Commission européenne s'est toutefois montrée sceptique, jugeant que l'annonce ne répondait pas aux accusations sur des incorporations automatiques de logiciels dans son système d'exploitation Windows, qui équipe 90% des PC dans le monde.
Microsoft n'est pas au bout de ses démêlés avec la Commission européenne. Bruxelles a en effet ouvert en janvier deux nouvelles enquêtes sur le groupe, concernant notamment la suite Office (qui contient les logiciels Word, Powerpoint ou Excel) et le navigateur Internet Explorer.
Source APS
L'Expression :11 Février 2008 - Page : 24
Une cyberkheima sera installée au coeur du patio du Palais de la culture et animée par la société Orascom Telecom Algérie (Djezzy).
Le Med-It, ou Salon international d’affaires sur les technologies de l’information, en est déjà à la cinquième édition; il aura lieu, à Alger, les 22 et 23 avril prochain au Palais de la culture Moufdi-Zakaria.
L’événement a, en effet, été annoncé, hier, à la faveur d’une conférence de presse animée par les organisateurs, notamment Sylvie Riforzo et Christophe Stievenard, pour la partie française, et Yasmine Meknache, pour la partie algérienne. Ces derniers ont, à l’occasion, convié à cette rencontre-presse M.Saâd Laïb Mohamed, directeur général, un expert en informatique représentant Didactica de l’Ecole supérieure de management et des technologies de l’information.
Le thème retenu pour cette manifestation est désormais le mobile, le m.payement, la 3G et la convergence.
Et les trois opérateurs de téléphonie mobile sont déjà invités à étaler leurs produits propres en la matière. Mais la principale nouveauté charriée par le présent Med-It est, sans nul doute, le concours des meilleurs sites Internet culturels algériens.
Sous l’intitulé «Trophée Med-It 2008», le concours a pour objet de récompenser les créateurs des meilleurs sites Internet mettant en valeur le patrimoine culturel algérien.
Le but de ce concours est donc de valoriser et de promouvoir l’image de l’Algérie à l’étranger, grâce à la diffusion des contenus sur Internet et d’encourager la créativité technologique dans notre pays. Sylvie Riforzo a rappelé que l’opération est non lucrative et, de ce fait, la participation au concours est gratuite.
«Le concours est réservé aux créateurs de sites Internet culturels algériens et s’adresse à toutes les personnes physiques ou morales pouvant justifier de leur réalisation en la rendant directement accessible au jury par la communication d’une adresse URL. Seules les personnes morales ou les personnes physiques majeures (19 ans) peuvent y participer. Les réalisations proposées devant être exploitées et diffusées sur Internet, peu importe le lieu de création et d’hébergement des sites», est-il rappelé.
Pour participer au concours, il suffit de compléter le formulaire d’inscription en ligne, avant le 31 mars 2008. Le règlement et le formulaire d’inscription sont disponibles sur le site de l’organisateur: www.medit.eu.org/2008/algerie/ concours.htm. A ce titre, l’on prévoit les 1er, 2e et 3e prix pour les meilleurs sites Internet ainsi qu’un prix spécial jury.
Les lauréats bénéficieront d’un mix-prix culturel et technologique. Et le lauréat du 1er prix sera retenu dans la catégorie e-culture du grand concours mondial des World Award Summit dont la prochaine édition aura lieu au Mexique, en mai 2009.
Davantage d’informations sont disponibles sur le site www.wsis-award.org. La remise des prix aura lieu au cours d’une cérémonie officielle au Palais de la culture, le 23 avril à 17 h, en présence de la ministre de la Culture, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, les sponsors, membres du jury et la presse.
Notons qu’outre Mohamed Saâd Laïb, le jury sera présidé par Christine Maxwell, de la Silicon Valley, qui bénéficie d’une expérience de vingt ans dans le domaine du Net. Cette dernière a créé l’un des premiers moteurs de recherche, Magellan, qui référençait et classait les sites Internet en fonction de l’intérêt de leur contenu.
Elle est, aujourd’hui, à la tête d’une Start-Up dans le domaine du mobile. Signalons qu’une cyberkheïma sera installée au coeur du patio du Palais de la culture et animée par la société Orascom Telecom Algérie (Djezzy), qui mettra à la disposition des visiteurs un espace cybercafé avec plusieurs postes informatiques pour se connecter au Web et un espace privilégié de rencontres et de détente avec service de thé traditionnel.
Salim BENALIA
L'Expression :27 Janvier 2008 - Page : 15
Le nouveau service baptisé StakSpak est directement inspiré de la fameuse communication entre l’inspecteur Tahar et son «apprenti».
L’autorité de régulation des postes et télécommunications (Arpt) vient d’accorder à la société Bivision, une homologation lui permettant de proposer son tout nouveau service baptisé StakSpak. Il s’agit d’un service de téléphonie mobile destiné essentiellement aux PME et qui donne la possibilité d’établir des communications à la fois à travers le réseau GSM et en mode walkie-talkie.
Le StakSpak qui exploite l’ensemble des réseaux radio GSM/ Gprs, à l’échelle nationale et internationale, utilise également le réseau IP data sans fil comme support aux communications en mode walkie-talkie. Ce nouveau service offre l’avantage d’être peu coûteux et représente la solution idéale pour les PME.
Bivision est une société spécialisée dans le domaine des systèmes d’information et les nouvelles technologies, de manière générale. Elle est basée aux Etats-Unis et dispose d’une filiale en Algérie. En homologuant le service StakSpak, l’Arpt établi les bases d’une nouvelle ère technologique en Algérie. Désormais, les PME n’auront plus à effectuer des démarches difficiles et fastidieuses pour obtenir des fréquences radio pour leurs communications (agences de taxis, entreprises de transport, etc). Avec la technologie StakSpak, les PME ont la possibilité de disposer des mêmes moyens utilisés par les grandes entreprises à des coûts très réduits.
Grâce à l’homologation dont elle vient de bénéficier, la société Bivision se positionne sur le marché algérien comme le premier opérateur virtuel de téléphonie mobile. La société utilise le réseau Gprs, longtemps non exploité en Algérie, et le réseau Internet, ce qui permet aux utilisateurs d’effectuer des communications téléphoniques à des tarifs invariables quelle que soit la durée des appels ou les distances séparant les correspondants. Bivision qui propose le service StakSpak, en valeur ajoutée, assure la gestion des communications walkie-talkie de groupes privés à travers son réseau global Push-To-talk (gestion des groupes, carnet d’adresse, communication et présence). L’accès des abonnés au système est rendu possible grâce aux cartes SIM existant sur le marché algérien (Mobilis, Djezzy, Nedjma).
Le service Push-To-Talk de Bivision est l’unique service en Algérie permettant d’effectuer des communications entre membres d’un groupe privé, quel que soit l’opérateur téléphonique auquel sont abonnés les membres de ce même groupe. Les personnes formant les groupes privés peuvent choisir l’opérateur téléphonique qui leur convient le mieux, sans avoir à changer de cartes SIM pour les besoins des communications internes. L’identité de l’utilisateur est désormais dans le mobile lui-même, ce qui fait que ce sont les cartes SIM qui deviennent interchangeables. Par ailleurs, les groupes privés peuvent être connectés à un poste de commande centrale grâce à un logiciel dit PC dispach donnant la possibilité d’établir des communications type skype entre des employés activant sur le terrain.
D’autre part, la société Bivision entend s’inscrire dans la durée, sur le marché algérien, en matière d’exploitation des réseaux data, en introduisant d’autres catégories de mobiles spécialisés tels que les mobiles caisse pour les points de vente, les mobiles livres, etc. Il s’agit, globalement, de mobiles liés à un système d’information exploitant le réseau data sans fil disponible tels que le Gprs, 1 Evdo, Wifi, Wimax ou Umts.
Salim BENALIA
L'arrivée en Suisse du gardien de but égyptien Essam El-Hadary pour un transfert au FC Sion (1re div), s'est accompagné d'un flot de messages d'insultes sur le site du club ce qui a mis en panne son serveur, a annoncé lundi dernier le club suisse.
"Suite à l'arrivée d'Essam El-Hadary et à l'immense tapage médiatique que celui-ci a provoqué en Egypte, le site officiel du FC Sion a fait tomber à plusieurs reprises (en panne) le serveur sur lequel il était hébergé" a précisé la même source.
Le club cairote d'Al-Ahly a dénoncé samedi passé la "fuite" de son gardien, considéré comme le meilleur du continent africain. La presse égyptienne a réagi avec virulence au départ du portier de 35 ans, récent vainqueur de la CAN-2008 avec l'Egypte.
Le gardien des Pharaons, qui s'est à nouveau entraîné lundi après-midi au FC Sion (8e du championnat suisse sur 10 équipes après 22 journée), doit être engagé mais il reste à trouver un terrain d'entente financier pour la résiliation de son contrat.
Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Boudjemâa Haichour, a affirmé que le taux de pénétration pondéré des TIC au sein des Petites et moyennes entreprises (PME) algériennes est de 44,66 %. Dans une intervention au Club excellence management, le ministre a indiqué que ce chiffre est le résultat d'une étude non encore achevée par le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD). M. Haïchour a souligné que l'étude a englobé l'utilisation du téléphone fixe et portable, du micro-ordinateur, de l'Internet, de l'accès ADSL, des réseaux intranet et extranet, des sites web et des portails.
Source: aps.dz
Conformément au planning des travaux, Mobilis a ainsi procédé aux opérations de basculement des commutateurs et des différentes plate-formes de services.
Les équipes techniques ont travaillé sans relâche depuis une semaine pour préparer et procéder au basculement.
Mobilis précise que les plate-formes et tous les services (Voix SMS, GPRS, USSD, ) ont été testés avec succès.
Pour rappel, les abonnés Mobilis devront ajouter à leurs numéros un 6 après le 0 et cela comme indiqué sur le tableau suivant :
Offres Postpayée :
Ancienne numérotation : 061 XX XX XX
Nouvelle numérotation : 0661 XX XX XX
Offres Mixtes :
Ancienne numérotation : 060 XX XX XX
Nouvelle numérotation : 0660 XX XX XX
Offres Prépayée :
Ancienne numérotation : 062 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0662 XX XX XX
Ancienne numérotation : 097 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0697 XX XX XX
Ancienne numérotation : 098 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0698 XX XX XX
Ancienne numérotation : 099 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0699 XX XX XX
Mobilis informe que durant les 15 prochains jours, les deux numérotations sont acceptées par le réseau.
Mobilis invite tout de même ses clients à utiliser la nouvelle numérotation.
Source: Communiqué de presse d'ATM Mobilis
Internet dans les pays arabes : Le taux d'utilisateurs est inférieur à 1,8%
Elle le sera, d'autant plus que les sociétés modernes se dirigent résolument vers ce qui est communément appelé «sociétés électroniques», ont souligné les spécialistes en information et communication.
Ainsi, le professeur Rabah Bellatrach, expert en informatique et consultant auprès de la société El-Rachidia, spécialisée dans la conception de sites Internet, a souligné, lors de son intervention sur «l'édition électronique et l'état des lieux dans la région arabe», que la révolution des télécoms a créé des opportunités nouvelles pour les écrivains, journalistes et spécialistes. Il a rappelé le lancement, en 1997, de l'université électronique arabe, la première du genre, destinée aux arabophones via Internet. Celle-ci est venue compléter la bibliothèque électronique arabe qui a édité des livres on line pour les mettre gracieusement à la disposition des internautes et contribuer à la diffusion des sciences. Dans son approche, ce spécialiste a estimé que l'édition électronique a créé une marge de liberté appréciable et a grandement contribué à la levée des contraintes et des facteurs de pression, notamment sur les journalistes et les intellectuels arabes. Abordant la situation socioéconomique dans cette région, il a précisé que la révolution informatique a permis une interconnectivité brillante des services des entreprises et collectivités, donnant naissance au système de commercialisation via Internet.
Le monde arabe n'a pas été en reste des progrès internationaux, ce qui a favorisé l'émergence de nouvelles attitudes sociales, voire une nouvelle «génération Internet». Un autre conférencier, le professeur Hassan Khelifa, web-designer de son état, a indiqué que l'édition électronique offre des avantages en termes de coût, de rapidité, de flexibilité et de facilitation de la recherche. Il a relevé l'existence d'un grand fossé numérique, intellectuel et scientifique entre le monde arabe et l'Occident, un fossé qui ne peut être éliminé que par la généralisation de l'Internet dans nos sociétés. Il a regretté que le nombre d'utilisateurs d'Internet dans le monde arabe ne dépasse pas 1,8%, déplorant l'absence d'une véritable politique de sensibilisation et d'incitation au recours à cette technologie.
Pour rappel, et pour souligner la volonté politique de l'Algérie d'accéder à ces technologies d'avenir, un grand concours sur les meilleurs sites Internet culturels algériens est organisé en 2008. Sous l'intitulé «Trophée Med-It 2008», il récompensera les créateurs des meilleurs sites Internet mettant en valeur le patrimoine culturel algérien.
Par: Abdelkrim AMARNI - L'Expression
Il n’en demeure pas moins que le pays ne connaît pas jusqu’alors d’attaques spectaculaires des systèmes informatiques, de l’aveu du ministre de la Poste, et des Technologies de l’information et de la Communication, Boudjemâa Haïchour. 3 000 incidents ont été recensés, en Algérie, par l’Eepad. Le directeur général de cet organisme a expliqué que ce sont des attaques commises par des amateurs. 80% des pannes techniques que nous avons enregistrées sont dues à de la négligence, a-t-il précisé. Il est d’autant plus difficile de parler de grande menace sur la sécurité informatique puisque l’Algérie n’est pas encore outillée pour l’utilisation, à grande échelle, des cartes d’accès aux comptes bancaires, la cible privilégiée des hackers. Jusqu’à présent, les délits spécifiques, inhérents à la transmission frauduleuse des données, accès indu à un système de traitement d’informations ou suppression de données, n’ont pas réellement le vent en poupe chez nous. Le danger provient plutôt des délits dits traditionnels, qui consistent en la propagation des idées extrémistes, qu’elles soient de nature xénophobe, terroriste ou portent atteinte aux bonnes mœurs.
La nuisance de la nébuleuse Al-Qaïda est accrue par sa capacité à faire l’apologie de son idéologie et de ses attentats et aussi à enrôler de nouvelles recrues via le Net. Les autorités algériennes sont, aujourd’hui, dans l’incapacité de contrer cette menace. M. Henni, directeur de la modernisation de la justice au ministère de tutelle, a affirmé, en marge de la conférence, qu’il est très difficile de bloquer ou simplement de contrôler l’accès aux sites web subversifs à cause de la multiplication des providers. Quelque 71 fournisseurs de services Internet sont agréés en Algérie, même si, dans le fait, uniquement quatre sont actifs. Chacun opère en cavalier seul. Si les providers se mettent d’accord pour bloquer ces sites, ça sera fait, a-t-il ajouté. Il a précisé, néanmoins, que la majorité des sites web de groupes terroristes sont hébergés à l’étranger. Notre interlocuteur a souligné que les groupes terroristes créent des sites juste pour quelques heures, le temps de mener à bien leur propagande, puis ils les annulent. Il devient donc ardu de les identifier ou de les localiser. Le cas échéant, l’Algérie a la possibilité d’introduire une requête auprès des autorités du pays qui héberge ledit site, en vue de le bloquer. Le principal responsable de l’Eepad a recommandé la sensibilisation des internautes sur les risques de la cybercriminalité, en attendant une législation coercitive contre ces crimes d’un genre nouveau.
Le ministre de la Poste, et des Technologies de l’information et de la Communication a soutenu que l’objectif assigné à son secteur est d’instaurer un dispositif juridique visant à renforcer, sur la base d’une synergie intersectorielle, le cadre légal de lutte contre les crimes et délits liés aux systèmes informatiques et aux TIC. Il a rappelé que l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications a engagé, de concert avec les trois opérateurs de la téléphonie mobile, une opération d’assainissement quant au respect des procédures d’identification des acquéreurs de puces, condition exigée par les dispositions des cahiers des charges. Dans la réalité, aucun contrôle n’est procédé systématiquement, puisque des puces se vendent librement, sans aucune contrainte pour l’acheteur, au niveau des marchés informels ou dans les taxiphones. Il en est de même pour l’utilisation de l’Internet, qui n’est point protégée par des garde-fous. Les responsables du secteur des télécommunications souhaitent, à tout prix, réussir le challenge de mettre l’Algérie au diapason des pays investis pleinement dans les nouvelles technologies de l’information et de la communication, pour un meilleur essor de l’économie. Pour cette raison, l’on est, à chaque fois, prompt à livrer des chiffres prouvant le bon fonctionnement du projet Ousratic, c’est-à-dire un PC pour chacune des 6 millions de familles.
L’objectif est loin d’être atteint eu égard aux 3 millions d’ordinateurs fonctionnels en 2006, en y incluant les postes utilisés sur les lieux de travail. 700 000 accès à l’ADSL sont enregistrés en juillet de la même année. Le ministre a pourtant affirmé, hier, que 1 351 communes, sur les 1 541, sont connectées au haut débit.
Souhila H.
Mais c’est la semaine dernière que le sort du HD-DVD semble avoir été définitivement réglé : coup sur coup, le loueur de vidéo Netflix et les chaînes de grande distribution BestBuy et surtout Wal-Mart ont annoncé l’abandon de la distribution de HD-DVD au profit du Blu-Ray. Ce qui, dans les faits, rend pratiquement indisponibles les films au format HD-DVD. Et même Toshiba semble désormais s’interroger sur la pérennité de son format. « Nous avons commencé à préparer notre sortie du marché de la nouvelle génération de DVD », déclarait samedi à Reuters une source interne à Toshiba, ajoutant que la décision officielle arriverait sous peu. Officiellement, toutefois, l’entreprise précise qu’« aucune décision n’a été prise pour le moment, même si Toshiba passe actuellement en revue les stratégies possibles. ». Un conseil d’administration prévu demain chez Toshiba pourrait être l’occasion d’enterrer le HD-DVD.
Un retrait du HD-DVD permettrait à Sony d’officialiser sa victoire, déjà réelle, avec le Blu-Ray. Mais la base de platines Blu-Ray installées et le nombre de films vendus restent encore très faibles par rapport au DVD, qui pourrait continuer à dominer le marché vidéo jusqu’en 2012 au moins, selon une étude de décembre dernier. Sans oublier le téléchargement de films en haute définition (avec des offres de vidéo à la demande qui se multiplient depuis quelques mois sur PC et même sur consoles), qui pourrait également se poser en rival surprise sur la route du Blu-Ray.
Ce site Internet comporte des informations, notamment sur les infrastructures d’accueil à travers le pays, à l’instar de ce qui se fait dans ce domaine de par le monde, a-t-on indiqué auprès du TVA, filiale du Touring club Algérie (TCA). Ce portail devra renseigner également sur les différents sites touristiques, culturels historiques et archéologiques pour faire connaître la destination Algérie. Il proposera de plus, des activités liées au tourisme de santé et de plein air, ainsi que différents sites de camping et randonnées pédestres, a-t-on précisé, soulignant que ce portail informera, en outre, sur les différentes formules proposées pour la Omra et le Hadj. Des liens vers les différents partenaires de TVA sont affichés sur le site tels que ceux des compagnies aériennes, ferroviaires et maritimes ainsi que les tour-opérateurs et les agences de voyages. L’achat de la billetterie ou la réservation des chambres d’hôtels devra se faire à travers ce site, qui sera opérationnel le 22 mars prochain, a-t-on ajouté.
La direction de Yahoo! "a conclu de manière unanime que cette proposition n'est pas dans le meilleur intérêt du groupe ni de celui de nos actionnaires", a affirmé le groupe dans un communiqué. L'offre de Microsoft serait la plus grosse opération de fusion-acquisition jamais réalisée dans le secteur. Et avec un prix de 31 dollars par action, le leader mondial du logiciel offre une prime de 62% par rapport au cours de Bourse de Yahoo! la veille de l'annonce de Microsoft, le 1er février. Le projet aurait marqué l'union historique entre l'icône mondiale de l'informatique et un pilier du web, né en 1994 et resté longtemps le site internet plus populaire du monde, avant d'être dépassé par Google.
A New York, l'action Yahoo! prenait 0,89% à 29,45 dollars et celle de Microsoft perdait 1,93% à 28,00 dollars à 15H35 GMT, tandis que les analystes étudiaient les suites possibles: une offre réévaluée côté Microsoft ou une alliance défensive nouée in extremis entre Yahoo! avec un tiers. Elément penchant en faveur de rebondissements sur ce dossier: le côté évasif de la déclaration de Yahoo!. Le groupe a indiqué "examiner continuellement toutes les options stratégiques dans un contexte de changement rapide de l'environnement de notre industrie".
"Si Yahoo! devait accepter une offre de rachat de la part de Microsoft, cela semble assez improbable que le groupe accepte une offre initiale", relève Jordan Rohan, de RBC Capital, qui parie sur la volonté de Yahoo! de faire monter les prix. Yahoo! refuserait de considérer toute offre inférieure à 40 dollars par action, d'après la presse. Concernant une éventuelle offre améliorée chez Microsoft, rien n'était clair lundi quant à la position de ce dernier. Jusqu'ici, la direction de Microsoft s'est bornée à déclarer que son offre est "généreuse", et a exprimé sa volonté de boucler rapidement un accord avec Yahoo! pour former une entité qui rivaliserait avec le leader mondial de l'internet, Google.
Pour Patrick O'Hare, analyste de Briefing.com, "personne n'imagine que Microsoft tourne les talons à ce stade", et "l'attente d'une offre améliorée est la raison pour laquelle l'action Yahoo! grimpe aujourd'hui". Quant au scénario d'un "chevalier blanc" venant bâtir une alliance défensive avec Yahoo!, le suspens reste entier. Selon le quotidien britannique Times, Yahoo! chercherait à reprendre les discussions avec le portail internet AOL (groupe Time Warner) en vue d'une possible fusion. Les deux groupes avaient dans le passé envisagé un rapprochement, mais les discussions, qui s'étaient tenues dans un tout autre contexte, avaient capoté. Le nom d'AOL vient s'ajouter à d'autres candidats potentiels, après celui du groupe de médias Disney et surtout celui de Google, pour un partenariat. Google s'est déjà insurgé contre l'offre de Microsoft, accusant ce dernier de vouloir étendre sa domination de l'informatique à internet.
Google propose à ses utilisateurs professionnels de souscrire à des services de sécurisation des messageries électroniques. Le moteur de recherche s'appuie sur la technologie développée par Postini, une société qu'il a rachetée en juin 2007 pour 625 millions de dollars.
Ces nouveaux services sont intégrés à la plate-forme payante Google Apps, qui comprend entre autres une messagerie mail (Gmail), une messagerie instantanée (Google Talk), une application tableur et traitement de textes, et une page personnalisée. Ce package vise en priorité les entreprises et les organisations.
Mais Google souligne que les solutions technologiques de Postini peuvent être déployées, même si l'entreprise n'utilise pas Gmail comme client de messagerie.
Le moteur de recherche propose ainsi un service de filtrage de spams et de logiciels malveillants pour 3 dollars par an et par utilisateur ; une solution de filtrage de messages, avec une détection de virus améliorée, un système de gestion des contenus et du support pour empêcher les fuites par e-mail pour 12 dollars par an et par utilisateur.
Contrer les agissements illégaux de certains employés
Enfin, une dernière solution reprend toutes ces fonctionnalités, avec en plus un an d'archivage des données pour permettre aux sociétés de se mettre en conformité avec les législations sur la rétention des données. Une solution facturée 25 dollars par an et par utilisateur.
Cette dernière offre vise en particulier les directeurs informatiques qui s'inquiètent des activités illégales de leurs employés, comme le téléchargement de contenus sous copyright ou la fuite d'informations confidentielles via les e-mails, explique à CNET News.com Sundar Raghavan, directeur produit chez Google.
Selon lui, ces services permettent de retrouver des informations qui sont cachées dans les bases de données des sociétés et dans leurs systèmes d'e-mails, d'agir sur ces informations, et surtout d'en garantir la sécurité.
Contacté par ZDNet.fr, Google France n'a pas été en mesure de nous dire quand et à quel prix ces solutions seront disponibles en Europe.
Source: zdnet.fr
Source: aps.dz
Microsoft veut mettre la main sur Yahoo !
Le groupe américain Microsoft a présenté une offre de 44,6 milliards de dollars pour racheter le spécialiste de l’internet Yahoo, ce qui leur permettrait de mieux concurrencer Google.
Un tel rapprochement constituerait la plus grosse opération dans le secteur depuis la fusion Time Warner-AOL en 2001, qui a depuis été un échec, notamment pour des raisons de différences de cultures d’entreprises.Yahoo a déclaré que son conseil d’administration allait étudier rapidement cette offre et agir au mieux pour ses actionnaires. Les spéculations allaient bon train depuis au moins un an sur un tel projet de rapprochement, nombre d’investisseurs jugeant logique une alliance Microsoft-Yahoo face à la montée en puissance ininterrompue de Google. Le cabinet spécialisé comScore estime que Google détient 77% du marché des moteurs de recherche sur Internet, contre 16% pour Yahoo et 3,7% pour Microsoft. Mais au-delà des moteurs de recherche, c’est évidemment le marché de la publicité qui motive les grandes manœuvres stratégiques dans le secteur. Microsoft estime lui-même que le chiffre d’affaires de la publicité en ligne devrait atteindre près de 80 milliards de dollars d’ici 2010, contre plus de 40 milliards en 2007. Mais le groupe souligne aussi que ce marché est « de plus en plus dominé par un seul acteur », une référence transparente à Google. Yahoo regroupe plus de 500 millions de visites par mois, avec notamment Yahoo Mail, premier service de courrier électronique grand public mondial. Mais le groupe perd des parts de marché face à Google. Le groupe a annoncé jeudi dernier que son président non-exécutif, Terry Semel, quittait le conseil d’administration, ce qui rompt les liens officiels de Yahoo avec son ancien PDG. Semel, à qui l’on fait crédit d’avoir donné un second souffle au groupe, avant de perdre la main, avait quitté son poste de PDG en juin. Yahoo s’est laissé distancer ces derniers temps dans la publicité par Google et par l’émergence de sites communautaires comme Facebook et MySpace. « Nous avons le plus grand respect pour Yahoo et, ensemble, nous pouvons offrir aux consommateurs, aux éditeurs et aux annonceurs une gamme de solutions encore plus attractive tout en renforçant notre position sur le marché des services en ligne », déclare dans un communiqué Steve Ballmer, le directeur général de Microsoft. Microsoft précise avoir identifié quatre domaines susceptibles de générer des synergies qu’il estime à un milliard de dollars par an au moins pour le nouvel ensemble. Le groupe fondé par Bill Gates se dit prêt à coopérer « étroitement » avec la direction et le conseil d’administration de Yahoo. Il assure que l’opération obtiendra toutes les autorisations réglementaires nécessaires. Paul Mendelsohn, stratège investissement chez Windham Financial Services, estime qu’une telle opération fait sens. « Yahoo a bien du mal à concurrencer Google », explique-t-il. « Pour ce qui est de savoir si le prix proposé est bon, je ne vois personne faire une offre supérieure à celle de Microsoft. » Tim Smalls, chez le courtier Execution LLC, est moins enthousiaste quant aux bénéfices d’un tel rachat : « C’est choquant ! La prime me semble exorbitante dans un secteur en baisse. Je ne vois pas comment les synergies entre Microsoft et Yahoo vont leur permettre de lutter contre Google. » Certains observateurs soulignent aussi les différences entre la culture d’entreprise de Yahoo et celle de Microsoft, et ils font valoir leurs nombreux doublons, notamment dans la messagerie instantanée ou la publicité. « Je ne serai par surpris si cette offre était relevée à l’avenir », estime de son côté Mark May, analyste chez Needham & Co. « Je pense qu’il y a des groupes comme Comcast ou Viacom et d’autres qui doivent encore se positionner face à l’émergence des médias en ligne et qui ne l’ont pas fait. Il y a donc clairement là d’autres sociétés stratégiques. »
La BEA tisse son réseau
La Banque extérieure d’Algérie (BEA) a lancé un nouveau site Internet (www.bea.dz).
Dans un communiqué de presse, il est précisé : « La mise en ligne de ce site s’inscrit dans le cadre du renforcement et de la modernisation de nos outils d’information et de communication en faveur de notre clientèle et du grand public, notamment à travers la rubrique de contact avec la hiérarchie de la banque. » La même source explique qu’à travers ce lancement, la banque « entend s’inscrire pleinement dans la dynamique d’adoption des nouvelles technologies de l’information et de la communication mises au service du client ». Conçu pour être évolutif, le site intègre déjà une banque de données relative à l’ensemble des produits bancaires (destinées aux entreprises et aux particuliers) et aux conditions d’accès à ces derniers. Le site donne également la possibilité de prendre connaissance de l’actualité et des événements internes et externes. Il éclaire sur certaines orientations stratégiques de la BEA qui entend offrir à sa clientèle une qualité de service à la hauteur de ses attentes et demeurer ainsi « une banque de référence orientée au service du développement de l’économie nationale ».
Avec ce site web, la BEA veut proposer un vrai service et non une coquille vide. Nombre de sociétés algériennes foncent tête baissée sur la voie du Web. Pour faire comme les autres. Et n’en tirent parfois aucun bénéfice réel.Un site Web est un projet à part entière qu’il faut mener avec méthode : définir un besoin, estimer un budget, adopter des règles de rédaction du contenu, soigner la clarté des parcours de navigation et trouver un hébergement adapté pour les performances et la sécurité. Le site donne une image de modernité à l’opérateur bancaire. Il ne faut pas perdre de vue que le secteur évolue au rythme des NTIC.
De plus en plus de consommateurs dans le monde ont désormais le réflexe Internet avant de prendre une décision d’achat ou d’investissement. Et le caractère particulièrement impliquant du choix d’un produit bancaire ou financier justifie doublement que les banques soignent leurs informations en ligne. Les banques cherchent à faire d’Internet un canal de distribution à part entière et une source de croissance.
El-Manar, le guide des 48 wilayas
Sous le thème La problématique de développement et ses relations avec l’information et la communication locales, nationales et internationales, le directeur général de l’agence Multimédia, Haarache Maâchou, et son assistante, Bourouis Halima, ont présenté le guide orange des 48 wilayas intitulé El-Manar. Dans sa conférence de présentation qui a eu lieu à l’hôtel Mercure, le directeur a expliqué que c’est par ambition de vulgariser l’information économique locale et la rendre accessible au plus grand nombre. Dans cette perspective El-Manar se présente comme une radioscopie et un instrument de promotion des activités tant économiques que commerciales. Dans un contexte de mondialisation, il participe de la volonté d’offrir à tous les intervenants dans la sphère économique un outil d’information à la mesure des défis imposés par l’économie de marché et la bonne gouvernance prônée par le président de la République.
Dans le style théâtral qu’il affectionne, Steve Jobs a sorti l’ordinateur d’une enveloppe brune de courrier interne et lancé, lors du salon Macworld Expo à San Francisco qui s’est tenu du 14 au 18 janvier : « C’est le notebook (tout petit ordinateur portable) le plus mince du monde. » Il a assuré l’avoir comparé avec tous les portables de faible épaisseur existants. Pour parvenir à ce record de minceur, le numéro un mondial des semi-conducteurs, l’américain Intel a réduit de 60% la taille de son processeur à double noyau (dual core) le plus rapide. « Quand nous avons lancé ce projet, nous ne pensions pas que ce serait possible », a reconnu le PDG d’Intel, Paul Otellini. « Le MacBook Air pourrait doper le marché des ordinateurs ultra-portables », estime Tim Bajarin, analyste chez Creative Strategies, relevant que les portables représentent déjà la moitié des ventes d’ordinateurs Macintosh. « Il pourrait aussi attirer les utilisateurs de PC », selon lui. De son côté, l’association de défense de l’environnement Greenpeace a salué vendredi dernier « les premiers pas vers l’éco-conception » d’Apple, qui sort avec son MacBook Air un ordinateur sans arsenic ni mercure. Greenpeace, qui avait épinglé la marque à la pomme lors de la sortie de l’I-phone, relève qu’avec son dernier-né elle, va « au-delà des exigences de la réglementation européenne » sur les substances dangereuses et « place la barre très haut pour les industries concurrentes », selon un communiqué. L’ONG note également l’absence de retardateurs de flammes bromés et de plastique chloré de type PVC dans le câblage de la carte-mère, « ce qui constitue une grande avancée, même si la marque Sony l’a déjà réalisé sur plusieurs modèles de sa gamme d’ordinateurs portables », rappelle-t-elle. « Apple est sur la bonne voie », estime Yannick Vicaire, responsable des campagnes Toxiques de Greenpeace, cité dans le communiqué. A la suite d’une campagne de 50 000 « cyberactivistes », rappelle Greenpeace, Apple s’était engagé à éliminer de ses produits d’ici à fin 2008, les substances mentionnées nuisibles à l’environnement et à la santé.
Sur le projet de l’e-gouvernance, devant relier les différents départements ministériels et les institutions d’Etat, le ministre informera que l’opération que chapeaute l’e-commission, présidée par le chef du gouvernement, poursuit sa progression et a atteint un taux de maturation appréciable de 80%. L’ouverture du capital d’Algérie Télécom, qui constitue le dernier virage de la série des réformes du secteur engagées depuis l’an 2000, a été également longuement abordée par les journalistes qui se sont interrogés sur la nécessité de la démarche, d’autant que l’entreprise enregistre une embellie financière. Rappelant que le dossier a été relancé, il y a deux mois, sur instruction du chef du gouvernement et devra aboutir durant ce premier semestre 2008, il précisera aussi qu’il ne s’agit pas de privatiser l’entreprise mais de trouver plutôt un partenaire stratégique à même d’apporter au groupe une meilleure maîtrise des technologies et de le rendre plus compétitif. «Dans tous les cas, la majorité du capital d’Algérie Télécom restera en possession de l’Algérie», devra-t-il ajouter. Et c’est dans cette perspective de «booster» les entreprises publiques des TIC et de les rendre plus performantes sur le plan marketing et management que M. Haïchour inscrit le dernier mouvement «tout à fait ordinaire» qui a concerné les dirigeants du groupe et de ses filiales. L’accès haut débit au réseau internet et le déploiement des technologies Wifi et Wimax actuellement en phase d’organisation de la répartition des fréquences constituent l’autre défi du département de M. Haïchour qui aspire à offrir de l’ADSL aux 1.541 communes algériennes durant ce premier trimestre de 2008. A ce sujet, il notera qu’il a recommandé aux providers de faire un effort sur les tarifs d’accès au haut débit. A une question faisant état de l’échec de l’opération Ousratic visant à doter les familles algériennes en micro-ordinateur, le ministre fera savoir que l’opération poursuit normalement son cours et devrait donner de meilleurs résultats d’ici à 2010.
En matière de lutte contre la cybercriminalité, il indiquera qu’une législation est en cours d’élaboration et en parallèle l’Autorité de régulation a instruit les opérateurs de la téléphonie mobile pour procéder à l’identification de leurs clients, afin d’éviter les actes criminels commandés par des téléphone portables. Le Cyberparc de Sidi Abdellah, constituant le village algérien intelligent, devrait livrer, par ailleurs, une partie de ses bâtiments cette année, dont l’incubateur attendu en juin prochain.
Au volet de l’activité postale, le ministre a mis l’accent, hier, sur le renforcement des mesures de contrôle, avec notamment la multiplication du nombre des contrôleurs passé de 70 en 1999 à 400 actuellement, ce qui a réduit, de son avis, de 50% les détournements qui constituent 0,000013% de la totalité des fonds manipulés par la poste.
Plus lion, il ajoutera que grâce aux opérations de contrôle périodique et inopiné plus de 50% de l’argent détourné sont récupérés.
S’agissant du problème de manque de liquidité au niveau de certains bureaux postaux, notamment durant la saison estivale, il dira que la responsabilité n’incombe pas à la poste, mais plutôt à la Banque centrale qui ne fournissait pas les sommes exactes demandées.
L’autre problème lié à la rareté des carnets de chèques que le ministre explique par le souci de vulgariser le système de retrait automatique, il précisera pour les clients encore attachés au retrait traditionnel par chèque qu’un formulaire unique de retrait est disponible dans tous les bureaux de poste.
Pour quel objectif et quelle réalité ?
L’état global du marché mondial au début de ce siècle est marqué par une forte mutation d’une économie d’échelle vers une économie d’envergure caractérisée par une compétition intensive, un marché imprévisible turbulent et segmenté, des produits et des systèmes de production ayant un cycle de vie de plus en plus court et enfin, une valeur ajoutée générée plus par la connaissance que par la matière première.
Dans cet environnement mutant et changeant, la compétitivité de l’entreprise dépend de plus en plus de sa capacité d’anticipation et d’adaptation. L’intelligence économique est de fait une bouée de sauvetage indispensable pour se maintenir permettant à l’entreprise de détecter et d’interpréter des signes d’alerte précoces concernant les changements, les mutations ou tout simplement les ruptures pouvant se produire dans l’évolution de son environnement social, économique, culturel et technologique.
Pour s’insérer dans le marché, les entreprises de production et de services, privées ou publiques, sont appelées à entamer immédiatement, simultanément et en continu l’amélioration de la valeur de leurs produits, de leurs systèmes de production, de leurs services et de leur gestion en vue d’offrir le meilleur rapport qualité/prix dans les meilleurs délais. Les TIC (technologies de l’information et de la communication) sont soutenues par un discours très optimiste quant à leurs potentialités techniques et aux améliorations de gestion qu’elles peuvent procurer aux entreprises. Dans le cadre du développement des PME et l’ouverture du marché algérien à l’international, cette promesse technologique suscite un grand intérêt. Il semblerait en effet possible de combler certaines carences des PME algériennes : difficile connaissance des marchés intérieurs et extérieurs, collecte de l’information onéreuse, mauvaise connaissance en techniques de gestion, impossibilité de se déplacer de façon fréquente sur les marchés intérieurs et extérieurs par manque de moyens humains et financiers. Par ailleurs, les nouvelles technologies de l’information et de la communication de par, le monde ont permis aux entreprises d’entrevoir de nouvelles techniques de gestion et un gain de productivité.
Cependant, même si ce gain de productivité n’est toujours pas facile à mesurer, le paradoxe de Solow disant : « Les outils informatiques sont présents dans toutes les entreprises, mais pas dans les statistiques », comme toute nouvelle technologie, il lui faut un temps d’adaptation et de diffusion pour ensuite pouvoir mesurer son impact sur la productivité marginale de l’entreprise. Les « petites et moyennes entreprises » occupent une place de plus en plus importante au sein du tissu industriel algérien, notamment par le biais de l’élargissement du secteur industriel privé et l’arrivée en masse, ces dernières années, d’entreprises étrangères par le biais des IDE. Cette réalité impose à ces entreprises de se préoccuper davantage de l’utilisation des TIC dans son management quotidien, afin de bénéficier de leurs bienfaits, et surtout s’aligner sur la concurrence nationale et internationale pour une meilleure productivité et réactivité aux changements du marché.
Une avancée considérable menée par les autorités concernées ces dernières années pour la diffusion et la démocratisation des nouvelles technologies sur l’ensemble des activités économiques. A titre d’information, nous pouvons citer quelques exemples sur les projets lancés ces dernières années, 62% investis dans les NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la communication), ce qui représente 6,451 milliards de dinars, 2 520 milliards de dinars dans les technologies, spatiales etc. Cependant, le secteur des TIC en Algérie reste insuffisant, et je dirais même dérisoire par rapport aux besoins du marché, il ne représente que 1% du PIB. Pour atteindre cet objectif, il s’agit, d’une part, d’entreprendre un ensemble d’actions multidimensionnelles relatives au parachèvement du processus de réforme et de restructuration industrielle, l’organisation du marché du libre-échange à la recherche des partenaires économiques étrangers, l’adaptation du cadre intervention des exportateurs aux règles et pratiques du commerce international, à la réhabilitation de l’outil de production et, d’autre part, en recours à des stratégies manufacturières qui assureraient plus de flexibilité, plus de rapidité d’exécution, une plus grande sensibilité aux besoins du marché mondial et plus d’indépendance à l’égard des économies d’échelle.
Ce deuxième aspect ne peut se concrétiser que par une réorganisation des activités de production, en tenant compte des contraintes de flexibilité, de rapidité, de qualité et de sécurité imposées par les conditions du marché. Quel serait l’impact de l’insertion des TIC sur le processus de modernisation et de redynamisation de nos entreprises ? Améliorer les performances : l’introduction des technologies de l’information et de la communication au sein des opérateurs économique, permettrait les échanges rapides d’information. Et, l’utilisation optimale de l’outil informatique dans la gestion de l’entreprise permet de réduire les coûts et les délais de production ou de logistique. Les TIC apporteront donc, un gain de temps et de productivité. Elles permettront d’augmenter la réactivité dans toutes les activités de l’entreprise : commerciale, achats, approvisionnements, services administratifs, fabrication, expédition, études ; s’aligner et rivaliser face à la concurrence ; elles permettent aussi de rivaliser grâce à la connaissance et de ne pas se laisser distancer par la concurrence.
En effet, les TIC, par l’échange rapide de gros volumes d’informations, permettent de rester toujours bien informées sur ce que fait la concurrence et même de la devancer, grâce, par exemple, à l’améliorations des échanges d’information avec les partenaires extérieurs : c’est le concept de l’entreprise communicante ou étendue. Se faire connaître : je commencerai bien ce point par cette belle expression : « N’attendez pas qu’on vous cherche, faites de telle sorte que l’on vous trouve. »
Les prodiges de ce merveilleux outil qu’est Internet ,en particulier et les TIC, en général, permettent à l’entreprise de se faire connaître et d’opérer même au-delà des frontières du pays. Son image de marque peut en être grandement améliorée. On peut communiquer en temps réel des informations avec le monde entier et, élément non négociable, on peut toucher des clients potentiels que l’on ne pourrait pas atteindre autrement : on augmente la part de marché de l’entreprise, on fidélise les clients et on leur offre de nouveaux services. Cette possibilité et cette capacité virtuelle à être présent sur les marchés mondiaux simultanément et d’une manière interactive ouvrent à l’entreprise algérienne d’autres horizons, une possibilité d’atteindre une clientèle plus importante de par le monde.
Cette vitrine est aussi une possibilité incontournable et inespérée de s’aligner aux côtés des entreprises étrangères de différentes nationalités. La question qui se pose maintenant est : « Sommes-nous en mesure de nous adapter à ces nouvelles réalités citées plus haut ? » Car aujourd’hui, la concurrence ne se fait pas seulement par le rapport qualité/prix, mais par la capacité à capter, analyser et transformer l’information en facteur déterminant dans la productivité. J’ouvre un autre débat pertinent et primordial, celui de l’intelligence économique ! Qu’en est-il en Algérie ?
L’auteur est Chercheur au CREAD, a_nafa2000@yahoo.fr
S’il est vrai que c’est un outil de développement, il n’en demeure pas moins qu’internet est devenu aussi un territoire clé de toutes formes de risques. Des spécialistes de l’internet n’ont pas manqué de soulever, hier au cours d’une table ronde animée au forum d’El Moudjahid, les dangers de la cybercriminalité sur les internautes et l’absence de mesures de sécurité et de législation. D’emblée, ces professionnels de l’internet ont affirmé lors de cette conférence sous le thème « Avancée technologique ou instrument d’atteinte aux libertés ? » leur opposition à « toute sorte d’enfermement », préconisant « la position offensive ». Cela sans omettre de mettre l’accent sur l’amélioration du contenu. « Il y a nécessité d’aller vers la création d’un cadre organisationnel technique et juridique doté de moyens d’action et de réflexion pour assurer la sécurité des sites », préconise Mebarek Bouakba, ingénieur télécoms à Saadnet. Ce fournisseur internet souhaite la révision du dispositif législatif et la mise en place d’un encadrement organisationnel de réflexion permanent. Mais aussi former des juristes et des magistrats internet. A ses yeux, « l’Algérie doit disposer de ses spécialistes dans les domaines de sécurité transactionnelle commerciale ». Un souhait que partagent les autres spécialistes présents à cette table ronde qui n’ont pas manqué de relever la difficulté d’instaurer une supervision gouvernementale sur la gestion des noms de domaine. Le commissaire de police chargé des enquêtes économiques, Abdelkader Mostefaoui, n’ignore pas l’utilisation de l’internet par des réseaux terroristes, mais reconnaît que les enquêteurs sont toujours confrontés à des difficultés de contrôle de cette pratique. Cette difficulté se pose, selon lui, pour la recherche des indices et des traces de ces recruteurs, a-t-il indiqué, précisant que la majorité des sites à caractère terroriste sont hébergés à l’étranger. « Toutes les demandes faites à des pays étrangers concernant ces sites n’ont pas abouti car aucune réglementation ne contraint les hébergeurs à vérifier le contenu des sites », a-t-il affirmé. Pour contrer les dangers de l’internet sur l’individu, notamment sur les jeunes, M. Mostefaoui a souligné l’importance de susciter l’intérêt des parents et des enseignants, dans le cadre de l’école, pour les méthodes éprouvées de protection des mineurs sur internet. Les mêmes spécialistes ont souligné également l’absence de législation réglementant cette activité en Algérie, la méconnaissance de ses risques et l’absence de mesures de sécurité en la matière. « Il faut un cadre juridique auquel tous les acteurs doivent se soumettre », selon M. Mostefaoui. Pour sa part, le président de l’Association algérienne des fournisseurs de services internet, Younès Grar, PDG de General Computing Systems, a insisté sur l’importance de trouver un moyen de gérer les effets négatifs de l’internet en mettant en place le dispositif légal nécessaire. « Il faut penser sérieusement pour contrecarrer cette révolution électronique », a-t-il préconisé. Pour sa part, le PDG de l’Etablissement d’enseignement professionnel à distance (EEPAD), Nouari Harzellah, estime que l’internet en Algérie est mal exploité. Il estime à seulement près de 20% de son contenu qui est utilisé pour des recherches. Pour lui, « c’est le moment d’ouvrir un débat sérieux sur comment encourager l’internet et contrecarrer ses effets négatifs », regrettant que « les hébergements des sites web échappent à tout contrôle ». Mebarek Bouakba regrette par ailleurs la disparition de beaucoup de providers algériens « pour des raisons économiques car nous étions dans une situation de monopole absolu ».
Rabah Beldjenna
Ces portables destinés aux particuliers, présentés mercredi dernier aux Etats-Unis, sont commercialisés sous la marque IdeaPad, dérivée de la marque ThinkPad (gamme de portables issue du rachat d’IBM). Les trois modèles sont dotés de différentes fonctionnalités avancées. Ils peuvent reconnaître le visage de l’utilisateur, lui permettant ainsi d’ouvrir une session et d’utiliser différentes applications sans entrer de mot de passe. Ils sont également dotés d’applications multimédias permettant d’écouter de la musique, de visualiser les photos et les vidéos. Cette nouvelle gamme s’inscrit dans une vaste stratégie du fabricant chinois pour s’affirmer sur le marché des ordinateurs grand public, alors qu’il était jusqu’ici plutôt spécialisé dans les PC destinés aux entreprises. Les nouveaux portables seront aussi vendus en France, en Russie, en Afrique du Sud, en Inde, en Australie, à Singapour et en Malaisie. Lenovo doit faire face à la concurrence du taïwanais Acer qui commercialise des ordinateurs grand public aux Etats-Unis, en Asie et en Europe.Le constructeur taïwanais a notamment racheté l’américain Gateway en octobre de façon à déloger Lenovo de la 3e place mondiale des fabricants de PC. Lenovo, dont le chiffre d’affaires s’est élevé à 4,43 milliards de dollars (3,01 milliard d’euros) au troisième trimestre, commercialise déjà des ordinateurs grand public en Chine, en Inde et à Singapour mais reste cantonné sur le marché des entreprises aux Etats-Unis. Il compte donc, grâce à ces nouveaux produits, conquérir des parts de marché et améliorer la reconnaissance de sa marque. En effet, les portables sont généralement plus chers que des ordinateurs de bureau dotés des mêmes fonctionnalités et leur marge bénéficiaire est supérieure. Ils représentent également le segment du marché qui connaît la plus forte croissance, avec une progression des ventes en volume estimée à 21% en 2007 contre un déclin de 3% des ventes d’ordinateurs de bureau prévu pour la même période, selon le cabinet d’études IDC. Alors que le Consumer Electronics Show (CES) s’ouvrira la semaine prochaine à Las Vegas, Lenovo n’est pas le seul fabricant à lancer de nouveaux portables. Les taïwanais Acer et Asustek Computer présenteront aussi de nouveaux modèles lors de ce salon. Les trois fabricants asiatiques tentent tous d’améliorer la reconnaissance de leur marque face à la suprématie des fabricants de PC américains Hewlett-Packard, Dell et Apple. Asus Computer International, filiale américaine du taïwanais Asustek, présentera à cette occasion un portable grand public doté d’une capacité de stockage de 1 teraoctet, soit 1000 gigaoctets, décrit comme une première par son fabricant. Hewlett-Packard, le premier fabricant mondial de PC, compte lui aussi présenter de nouveaux modèles destinés aux particuliers lors du CES. Figurent notamment sur la liste des nouveautés que HP compte dévoiler lors de ce salon un portable léger doté d’un écran rotatif et un ordinateur de bureau très puissant fonctionnant également comme une télévision.
Google teste actuellement Knol, un nouveau service Internet gratuit, destiné à permettre à quiconque s’estimant expert sur un sujet d’écrire un article de référence dessus. C’est en fait un outil de création de page assez semblable à ce que l’on peut trouver sur Wikipedia avec quelques différences significatives cependant.
L’auteur d’un article, identifié clairement, sera mis en valeur par son article et restera responsable de ses écrits. Il pourra exprimer son opinion sans risque de la voir dénaturée par d’autres comme cela peut exister sur Wikipedia. Les internautes auront la possibilité de commenter l’article et même d’y contribuer sous réserve d’en recevoir l’autorisation de l’auteur. Le modèle économique sera également très différent puisque, contrairement à Wikipedia qui se refuse à introduire toute publicité sur ses pages, Knol permettra aux auteurs qui le désirent d’intégrer des modules Adsense et d’en partager ainsi les revenus avec Google.
Selon Udi Manber, vice-président de Google Engineering, "il existe des millions de personnes possédant des connaissances particulières et qui désirent les partager et des milliards de gens qui pourraient en bénéficier, tâche qu’il est actuellement très difficile de réaliser ». Google pense que les meilleurs articles parviendront rapidement en tête des listes de résultats des moteurs de recherche et qu’à court terme une vaste encyclopédie communautaire de qualité rivalisant avec Wikipedia se mettra en place.
Source : Techno-Science
L’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) a décidé d’introduire un chiffre supplémentaire dans la numérotation du réseau téléphonique mobile. Ce changement, qui interviendra le 22 février 2008, permettra d’augmenter les plages d’abonnement des trois opérateurs.Les vingt-cinq millions d’Algériens abonnés au mobile auront fort à faire avec leur répertoire téléphonique à partir du 22 février prochain.
C’est en effet à partir de cette date que débutera l’opération de changement de la numérotation téléphonique. Les numéros de portables, prépayés ou post-payés, passeront de 9 à 10 chiffres. L’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications a attribué un chiffre supplémentaire à chacun des trois opérateurs téléphoniques : le 5 pour Watanya, le 6 pour Mobilis et le 7 pour Orascom. Prenons un cas concret, le
La situation est telle que la série des 090 a été partagée entre Mobilis et Djezzy. Et à l’avenir, les trois opérateurs bénéficieront de plages d’abonnement plus importantes », précise un responsable de l’ARPT qui a requis l’anonymat. Selon lui, l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications a fait appel à un consultant étranger pour réaliser le diagnostic du système. « Les abonnés disposeront de deux semaines pour basculer d’une numérotation à l’autre. Les deux systèmes seront valables durant cette période. Le dernier délai pour passer à la nouvelle numérotation a été fixé au 8 mars à minuit », souligne notre interlocuteur.
L’ARPT et les trois opérateurs de téléphonie mobile devraient lancer une campagne de communication commune dans les prochaines semaines afin d’expliquer au public les modifications qui interviendront dès le 22 février 2008. Mais la tâche s’annonce ardue pour les millions d’abonnés. Ces derniers devront modifier la totalité des numéros de portables nationaux inscrits sur leurs portables. Ils devront également communiquer leurs nouvelles coordonnées à leurs contacts étrangers. Un autre changement de numérotation est également prévu au cours de l’année 2009. Mais celui-ci devrait toucher la téléphonie fixe. D’après notre source, le secteur du fixe devrait rapidement être saturé avec la multiplication de l’offre ADSL.
Rappelons que le dernier changement de numérotation de la téléphonie fixe date de 2001. T. H.Ce qui va changer : Un chiffre en plus pour les numéros de téléphone mobile.- Wataniya rajouter 5. Exemple : 0550 00 00 00- Mobilis rajouter 6. Exemple : 0660 00 00 00- Djezzy (et Allo) rajouter 7. Exemple :
Tarek Hafid (Le Soir)
Certifier et horodater un PDF est désormais possible. Un des quatre prestataires certifiés par Adobe est le français Keynetics, qui vient de présenter son service, du nom de K.Signer.
, 01net., le 12/12/2007 à 17h05 Difficilement modifiable, plutôt léger et lisible par tous les ordinateurs sans installation coûteuse, le PDF pourrait être le format de choix pour les entreprises dématérialisant complètement leurs échanges numériques. S'il ne manquait pas quelques paramètres pour que ces fichiers aient valeur de preuve légale, comme par exemple une authentification de l'organisme émetteur. C'est ce point que vient corriger le programme « Certified Document Services », tout juste lancé par Adobe. Avec celui-ci, l'éditeur - propriétaire du format PDF - a passé un accord avec quatre autorités de certification : Verisign/Geotrust, GlobalSign, ChosenSecurity et le français Keynetics. Ce dernier a présenté, lors du salon Dématérialiser (les 11 et 12 décembre à Paris-La Défense), sa solution « K.Signer for PDF ». Destinée aux entreprises, elle se présente sous la forme d'un serveur à accoler à son serveur de messagerie. Celui-ci contient les certificats numériques de l'entreprise et ajoute aux documents PDF (propositions commerciales, factures, etc.) une signature ainsi qu'un horodatage électroniques (pour prouver que l'envoi a bien été fait à l'heure et au jour indiqué). Le tout obtenant alors une valeur légale. Un logiciel gratuit pour la lecture Du côté du destinataire, il suffit de télécharger gratuitement la dernière version d'Adobe Reader 8. A l'ouverture du document, une bande bleue apparaît en haut avec toutes les informations permettant d'identifier l'émetteur. Disponible dès ce 12 décembre, le K.Signer for PDF s'intègre dans des environnements hétérogènes Linux et Windows, et coûte entre 30 000 et 80 000 euros pour une plate-forme complète. Pour les petites entreprises, ou celles voulant limiter l'envoi de PDF sécurisés à quelques documents, Keynetics proposera prochainement une version plus légère sous forme d'une clé USB à brancher sur le poste de travail d'où les PDF seront envoyés. Aucun tarif n'a été annoncé, mais le prix moyen d'une telle clé - déjà utilisée dans le cadre de la téléTVA - varie entre 50 et 200 euros, avec des certificats valables de un à trois ans. Lu pour vous parZIDAT Samir
L'institut fête son anniversaire en organisant un forum à Lille. Retour en images sur 40 ans de projets avortés ou aboutis, entre précurseur d'Internet et première machine Unix française.
Gilbert Kallenborn , 01net., le 10/12/2007 à 17h33
Algérie poste opte pour Bull pour moderniser et sécuriser ses systèmes informatiques centraux.
Dans le sillage des réformes entreprises, Algérie Poste (AP) vient de retenir le groupe Bull (l’architecte européen des systèmes d’information) pour l’accompagner dans l’évolution de son système d’information et réussir à conforter sa politique d’innovation au service de ses clients dont les exigences sont en perpétuelle évolution.
> > >
> > > S.V.P. ENVOYEZ CE MESSAGE A TOUTE VOTRE LISTE DE CONTACTS LE PLUS MAUVAIS VIRUS JAMAIS ANNONCÉ.
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> > > Un nouveau virus a été découvert. Il a été classé par Microsoft comme le plus destructeur à ce jour. Ce virus a été découvert hier après-midi par McAffee et aucun vaccin n'a encore été développé. Il détruit simplement le Zéro de Secteur du disque dur où les informations essentielles de son fonctionnement sont stockées.
> > >
> > > Ce virus agit de la façon suivante: Il s'envoie automatiquement à tous les contacts de ta liste avec le titre: 'UNE-CARTE-POUR-VOUS' < B> . Aussitôt ouvert la carte gèle l'ordinateur. Quand les clefs 'Ctrl Alt Suppr' et la commande de redémarrage sont activées, le virus détruit le Zéro du Secteur détruisant ainsi de manière permanente le disque dur.
> > >
> > > Ne pas accepter le contact: 'pti_bout_de_chou@hotmail. Com C'EST UN VIRUS!!!!
> > >
> > > Si tu ne le fais pas passer et que 1 de tes amis le rajoute à ses contacts tu seras toi aussi atteint!
> > >
> > > Envoie ce message à tes contacts. Tes amis préféreraient le recevoir 25 fois que ne pas en avoir été averti.
> > >
> > > S.V.P. Fais suivre !!! ET VITE
Sujet : Alerte virus
Objet : FW: attention mise en > > > >
ATTENTION TRÈS IMPORTANT, je crois que cette fois, il faut vraiment être vigilant, effectivement on m'a coupé ce matin pour me demander d'installer la nouvelle version MSN alors lisez le message qui suit c'est urgent ! Et faites circuler rapidement s'il-vous-plaît.
> > > > > > > > > > > > Si vous recevez un mail qui propose d'actualiser ton MSN en version 8.0 N'ACCEPTES PAS, car c'est UN VIRUS. Si tu reçois un avis comme quoi , il veut additionner ton adresse à son carnet d'adresse MSN, N'ACCEPTES PAS NON PLUS.
C'est un virus qui efface en trois minutes toutes les données de ton disque dur.
Informe tous tes amis qui ont MSN car si tu fais partie de leur liste de contact, et qu'ils ont le virus, ils peuvent te l'envoyer également.
Transfère ce mail à tous ceux qui ont MSN et Hotmail.
C'est URGENT que tous le sachent au plus vite. Soyez attentifs dans les jours à venir ! N'ouvrez aucun message avec une pièce jointe s'intitulant INVITATION', indépendamment de qui vous l'a envoyé.
C'est un virus qui ouvre une flamme olympique et qui 'brûle' tout le disque dur de ton ordinateur.
Ce message risque de te parvenir d'une personne que tu connais, car tu fais partie de ses contacts...
C'est pour cela que tu dois transférer ce mail. Il vaut mieux que tu reçoives cet avis 25 fois que de recevoir le virus sur ton ordi et l'ouvrir.
Si tu reçois le mail avec la pièce jointe'INVITATION' supprimes-le tout de suite.!!!!!
C'est le pire virus annoncé par La CNN et il a été classifié par Microsoft comme le plus destructeur de tous les virus. Il a été découvert par McKafee et il n'y a pas d'anti-virus.
Le virus détruit le disque dur là où toutes les informations vitales de fonctionnement de ton ordi se trouvent.
> > > > > > > > > > > > *TRANSFÈRE CE MAIL A TOUS TES AMIS*
> > > > > > > > >
Ce marché en devenir est cependant déjà capté indirectement par Google, via son compte Gmail et le logiciel Gmail Drive, qui offre aux internautes plusieurs Go d'espace. Mais il ne s'agit que d'un moyen détourné de stocker des fichiers, et peu apprécié par Google.
Le géant Google devrait donc proposer un réel service de stockage de données, d'ici quelques mois selon le WSJ, sans plus de précision. Le quotidien américain n'a pas non plus pu obtenir plus de détails sur les capacités qui seront proposées par Google, ni par les futurs prix pratiqués par le moteur de recherche pour les très grandes capacités.
Le service de stockage de Google permettra d'entreposer vos documents, vos photos, vos vidéos, etc. Vous pourrez y accéder via un mot de passe, et il vous sera possible de partager vos fichiers avec vos amis. Tout ce qu'il y a de plus classique en somme.
Restera à vérifier le modèle économique qui sera utilisé par Google. Les documents des utilisateurs de Google Drive ou GDrive (nom "non officiel") seront-ils scrutés par Google afin de permettre de la publicité ciblée ? La publicité sera-t-elle intégrée aux documents ? Google osera-t-il proposer une offre gratuite alléchante ? Source : PcInpact (28/11/2007).
Nous avons le plaisir de vous informer que l'appel à candidatures à la
PGS IDE@ "Post-graduation spécialisée : Internet pour le Développementde l'enseignement à distance en Algérie" est ouvert jusqu'au 30
Novembre 2007 à l'adresse suivante : http://pgs-idea.u-strasbg.fr (ou
direcetement à cette adresse
Cette PGS est une formation à distance par Internet, elle s'inspire du
Master Professionnel (UTICEF) : Utilisation des Technologies de
l'Information et de la Communication, délivré par l'Université Louis
Pasteur de Strasbourg (ULP). La formation est sanctionnée par
l'obtention du diplôme de Post-Graduation Spécialisée Ide@ - Internet
pour le Développement de l'Enseignement à distance en Algérie, délivré
par l'un des établissements algériens habilités. Bi-diplômation
possible avec le Master Uticef de l'Université Louis Pasteur de
Strasbourg - France - sous réserve de validation par les instances de tutelle.
La PGS Idea est destinée aux enseignants et gestionnaires du supérieur
de toute spécialité. Elle ne nécessite qu'une maîtrise minimale des
outils bureautiques et du Web. L'objectif est de donner aux
enseignants du supérieur la capacité d'intégrer les Technologies
information et de Communication (TIC) dans leurs pédagogie.
Pour vous inscrire et en savoir plus, nous vous invitons à vous rendre
à l'adresse suivante : http://pgs-idea.u-strasbg.fr. Vous trouverez
aussi, ci-joint, l'appel à candidature pour diffusion.
Cordialement,
Samy Bouchaib
Depuis qu’Internet est accessible à tout le monde, les services et la vitesse n’ont jamais cessé de s’améliorer. Mais pour la première fois, les spécialistes nord-américains annoncent que d’ici deux ou 3 ans, la vitesse va diminuer sur le web, si rien n’est fait.
Cette constatation a été faite par la firme de recherche Nemertes qui conclut que les réseaux des câblodistributeurs et des compagnies de téléphone ne seront plus en mesure de transporter les énormes quantités d’informations requises par les usagers, en raison d’une hausse sans cesse croissante des services offerts et de l’utilisation que les gens en font. L’étude en question estime que les investissements nécessaires s’élèvent à environ 135 milliards de dollars. Or, les investissements prévus ne sont que de l’ordre que de 72 milliards, une différence appréciable. Le problème, c’est que l’utilisation que les gens font d’Internet est beaucoup plus grande que prévu. Par exemple, en mai dernier, 75% des internautes américains ont regardé des extraits vidéo pendant une moyenne de 158 mn et plus de 8 milliards de documents vidéo ont été vus. Les services Internet destinés à l’industrie du sans-fil ne cessent de se développer et certains sites web, qui n’étaient pas connus il y a moins de 3 ans, sont en train carrément de révolutionner la manière dont on utilise Internet. « Il y a 2 ans, personne ne connaissait Youtube. Aujourd’hui, ce site génère 27 millions de gigaoctets de données par mois », explique le président Nemertes, Johna Till Johnson. Les usagers risquent donc de se retrouver avec des services plus lents ou déficients. Il faudra peut-être deux essais pour confirmer une transaction en ligne. Mais le plus grave, c’est qu’Internet deviendra peu à peu une structure inadéquate et engorgée, réduisant ainsi les initiatives en matière d’innovation. A quoi bon lancer un nouveau service, en sachant d’avance que les infrastructures pour le recevoir sont inadéquates.
S. B.
Alors qu’il est de notoriété publique que Google fabrique et conçoit ses propres serveurs, la société semble se lancer dans la conception de commutateurs. La raison est simple : il semble que les modèles commerciaux disponibles ne soient pas adaptés aux exigences de la société, et donc Google a embauché des ingénieurs spécialisés dans les réseaux. Ce sont des commutateurs capables de travailler à 10 gigabits par seconde qui seraient utilisés, pour relier les différents centres de données.Cette nouvelle, même si elle a peu d’impact sur les consommateurs classiques, est problématique pour certains constructeurs. Avec un nombre de serveurs estimés à 500 000, si Google fabrique ses propres commutateurs, c’est un manque à gagner énorme pour les constructeurs de commutateurs. De plus, il faut bien comprendre que Google est une société qui devient de plus en plus menaçante pour certains : elle serait par exemple la plus grosse productrice de serveurs dans le monde, même si la production est destinée entièrement à la société et donc non comptabilisée dans les chiffres de ventes (ils ne sont pas vendus en pratique). La société s’étend dans beaucoup de domaines, et sort vraiment de son activité la plus connue, la recherche sur Internet.Source : Presence PC - Publié le 23/11/2007 -
Cette annonce peut paraître pour le moins étrange pour ne pas dire totalement fantaisiste lorsque l'on sait que Microsoft ne détient actuellement que 9,2% de ce marché et que sa division Internet enregistre une perte annuelle de 1 milliard de dollars.Un objectif fantaisiste ? Peut-être pas après tout. En effet, le seul moyen pour Microsoft d'atteindre cet objectif serait de racheter un concurrent.
Justement, des rumeurs récurrentes parlent d'un possible rachat de Yahoo qui "comme par hasard" détient 19% environ de ce marché.C'est d'ailleurs l'idée que développe Henry Blodget, ancien analyste de Wall Street, sur le blog The Huffington Post. Cet hypothétique rachat permettrait alors à Microsoft de détenir ces fameux 30% du marché, bien loin toutefois derrière Google et ses 67% de parts.
Alors : rumeurs infondées ou possibilité d'un rachat prochain ? Bien entendu, ni Microsoft, ni Yahoo n'ont souhaité confirmer (ou infirmer) ces rumeurs...Source : Presence PC - Publié le 20/11/2007 -
Les universités occidentales sont un vivier de compétences algériennes. Les grands groupes économiques et financiers, nationaux et étrangers ayant des investissements dans notre pays en ont conscience. Sans doute, l’immersion des étudiants algériens à l’étranger très tôt dans l’univers des entreprises est un atout qui les distingue de leurs camarades sur le territoire national. Les étudiants au Royaume-Uni ont un avantage supplémentaire qui consiste dans la maîtrise parfaite de la langue de Shakespeare. Le seul problème peut-être auquel nous sommes confrontés en Algérie est que très peu de gens maîtrisent l’anglais, avoue Philipe Barbe, directeur commercial de la filiale algérienne de la banque britannique HSBC. Samedi dernier, il prenait part à Londres, avec d’autres groupes économiques d’envergure, au premier forum dédié au recrutement de cadres formés en Grande-Bretagne. L’organisation de cette rencontre inédite revient à Interprofils, un cabinet-conseil en ressources humaines. Son représentant en Algérie, M. Khelifi, dit avoir adressé des invitations à beaucoup d’entreprises qui ont accueilli l’initiative très favorablement. Certaines n’ont pas pu envoyer des représentants pour des problèmes de visa. Mais nous allons rééditer cette expérience l’année prochaine et nous ferons en sorte qu’il y ait plus de compagnies, promet le responsable de Interprofils. Un des salons de l’hôtel Marriott où s’est tenue la rencontre s’est avéré très exigu pour contenir les étudiants, les universitaires et de jeunes cadres très nombreux, venus s’enquérir des offres d’emploi. Pour nous, l’idéal est de pouvoir retourner travailler en Algérie, mais au préalable, nous devons connaître quelles sont les perspectives qui nous sont offertes, expliquent trois jeunes cadres dans les secteurs de l’informatique, des finances et du pétrole. Certains des présents sont venus de France. Il y a des profils très intéressants, très pointus, constate Akli Brihi, directeur général de British Petrolum en Algérie. Pendant toute la journée, des CV se sont amassés sur le stand de la compagnie. BP Algérie recherche surtout des personnels techniques, des ingénieurs spécialisés dans les domaines de l’exploration et l’exploitation. Son but étant d’abord économique et vise à remplacer petit à petit la centaine de travailleurs britanniques expatriés. Il n’y a pas mieux que les Algériens pour comprendre la mentalité de leurs compatriotes, ajoute M. Brihi. En outre, il estime qu’il est important d’offrir des opportunités aux jeunes qui veulent apporter quelque chose à leur pays. La directrice des ressources humaines de la filiale Samha, du groupe Cevital, est du même avis. Elle considère qu’il faut aller à la rencontre de la compétence algérienne à l’étranger où elle se trouve. L’occasion était aussi pour Cevital de faire connaître l’ensemble de ses filiales et les opportunités d’emploi qu’elles procurent. Les gens restent concentrés sur la filiale agroalimentaire, alors que le groupe dispose de beaucoup d’autres activités, explique la DRH. À La HSBC, la stratégie de recrutement se base sur l’emploi de personnels locaux. Partout dans le monde, 99% de nos effectifs sont des travailleurs locaux, révèle M. Barbe et de renchérir : Ce n’est pas une gestion décentralisée, mais d’intégration au pays.
Le directeur commercial de la banque britannique a eu à prendre part à un forum similaire à Paris récemment. Outre sa présence au stand, il a animé une des conférences programmées. La dernière était tenue par le Dr Chahid Fourali, du Chartered Institute of Marketing. Ce spécialiste dans l’identification des besoins des entreprises en matière de marketing affirme que cette notion fait souvent défaut aux compagnies algériennes, alors qu’elle est la clé de leur réussite.
LIBERTE Actualité : Lundi 19 Novembre 2007
Cette solution que sont les centres d’appels (Call center), qui existe déjà depuis quelques années dans trois wilayas à savoir, Alger, Constantine et Oran sera disponibles dans les 48 wilayas en 2008, indique le PDG d’Algérie Télécom, Slimane Kheireddine, en précisant que chaque wilaya aura au moins un centre d’appel. Il a ajouté que la convention concernant ce projet devra être signée, en partenariat entre Algérie Télécom et Vorax Technologie demain au Salon des centres d’appel qui aura lieu demain et après-demain. En outre, il a fait savoir que ce projet prévoit 4 000 postes d’emploi pour les jeunes universitaires et spécialistes qui sortent des universités et des grandes écoles algériennes.
Pour plus de détails, M. Kheireddine a précisé que ces centres d’appel permettront aux citoyens d’avoir des informations dans tous les domaines et pourront même bénéficier de conseils psychologiques et juridiques et autres. Il est à savoir qu’il y a des prestations de services gratuites d’utilité publique et d’autres payantes tels les services juridiques, précise le même responsable. Interrogé sur la concrétisation du projet en question, Slimane Kheireddine affirme que la structuration d’Algérie Télécom et la plate forme de Vorax Technologie sont prêtes pour la mise en œuvre de ce projet, premier du genre en Algérie.
Devant desenseignants et cadres de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid aannoncé que de nouvelles formations seront dispensées au profit desenseignants de tous les paliers de l'enseignement. Il évoquera laformation en informatique appelée «AICDI» ou «permis de conduireinformatique» qui consiste en la maîtrise de l'outil informatique etson utilisation dans le cadre de la formation continue.
Le ministre indiquera que l'aval du gouvernement lui est donné pour lancer prochainement cette formation.
L'autre formation dont a parlé le ministre, concerne le «diplômed'agrégation» qui touchera, dans un premier temps, 500 enseignants dusecondaire qui seront choisis par voie de concours. Cette formation estprévue pour décembre prochain.
Ces deux formations viennent«compléter et porter appui» au cycle de formation continue qui acommencé il y a maintenant 3 années et dont les résultats ont été,selon le ministre de l'Education nationale, «satisfaisants».
On annonce la sortie de la première promotion de 4.000 enseignants duprimaire (tous bacheliers) dont le ministère de l'Education nationalebénéficiera en juin 2008. Cette formation permettra, en outre, auxenseignants exerçant dans le primaire d'obtenir des qualifications«valorisantes et ou diplômantes» a affirmé M. Chami, directeur centralde formation à l'Education.
Les doubles objectifs visés parla formation continue, résident dans la formation «académique» desenseignants dans le but d'élever leur niveau dans les matièresenseignées, a affirmé le ministre. «Le problème de l'enseignement, cheznous, est beaucoup plus académique qu'autre», indiquera-t-il. Etd'ajouter «la seule bonne expérience ne suffit pas».
Lesecond objectif de la formation continue, réitéra le ministre, est liéà la promotion de l'enseignant. Elle ne peut se faire que sur la basede la formation et du diplôme obtenus.
Dans le même ordred'idées, le premier responsable de l'Education rappellera que depuis1999 pas moins de 50.000 enseignants licenciés ont rejointl'enseignement dans tous les cycles. Pendant cette même année, 85% desenseignants n'avaient pas le bac alors qu'au Moyen, ils étaient 65% denon bacheliers. Mais la situation a changé et depuis 2001, lerecrutement se fait sur la base de la licence ou d'un diplôme deformation dispensée par des instituts spécialisés.
Parailleurs, il est signalé que dans les 10 années à venir, il est prévula formation de 214.000 enseignants soit 136.000 MEF (maîtred'enseignement fondamental) et de 78.000 PEF (professeursd'enseignement fondamental).
Vousl’avez peut-être remarqué, lorsque vous achetez un disque dur il y atoujours une nette différence entre la capacité promise et celle quevous pouvez réellement utiliser. Un disque dur qui annonce 160 Gb(gigabytes (1) d’espace de stockage n’offre en réalité que 149 Gb pourranger vos fichiers. Dommage, car ces 11 Gb auraient évidemment puservir. Ce différentiel entre la promesse faite par la fiche techniqueet la réalité se ressent d’autant plus lourdement lors de l’achat d’undisque dur de haute capacité : avec un modèleestampillé 750 Gb, ce sont près de 50 Gb qui manquent à l’appel. Celaest dû à la confusion sur les unités utilisées pour mesurer lescapacités. Sur un disque dur, elles s’expriment en gigabytes (Gb) ou engigaoctets (Go) (pour les disques durs, 1 byte équivaut à 1 octet). Or,pour le commun des mortels, un giga correspond à mille mégas. Cetterègle est valable dans le système décimal que nous utilisonsquotidiennement mais, dans le monde informatique, le calcul s’effectueen binaire et non pas en décimal. Un gigabyte vaut donc 1 024 mégabytes(1 Gb = 2 puissance 10 Mb). par Erwan Lecomte, site web de Libération
Il est question d’un riche programme en perspective opérant dans le domaine des formations linguistiques à l’étranger à destination des entreprises, précise-t-on lors de cette rencontre durant laquelle une présentation exhaustive a permis à l’assistance d’avoir une large vue sur la qualité de l’enseignement que propose ce centre de formation en langue anglaise. Les TOEIC et TiF sont considérés comme étant les tests d’anglais les plus professionnels et les plus utilisés au monde, comme l’attestent les chiffres suivants : en 2005, environ 4 millions et demi de personnes ont passé ce test dans le monde, dont près de 120 000 en France.
L’invité du forum d’« El Moudjahid », le P-DG de l’Eepad, Nouar Harzallah a estimé hier, lors de son intervention dans une conférence-débat consacrée au développement des technologies nouvelles -dont l’Internet- que l’Algérie est très en retard, comparativement aux pays développés. Le conférencier a précisé que l’indice de connectivité n’est pas calculé sur le nombre d’abonnés ayant des portables ou le nombre d’abonnés à Internet en Algérie « mais on mesure l’indice de connectivité par rapport au taux de pénétration de l’Internet dans les écoles », a-t-il fait remarquer. Et le conférencier d’appeler les secteurs de l’éducation et de la formation de rattraper rapidement le retard. Le conférencier a déploré également le manque de créativité et de recherche chez nos informaticiens, notamment, les chercheurs universitaires.
Le conférencier a évoqué un problème de taille : la sécurité de l’information, affirmant que celle-ci est complètement bafouée. « Il est vrai qu’il y a eu une loi qui a été adoptée par le gouvernement algérien sur la cybercriminalité mais, on ne voit pas son application sur le terrain », a-t-il affirmé. Pour rappel, Boudjemâa Haichour avait, à plusieurs reprises, dans ses sorties médiatiques, indiqué que la sécurité des communications constitue pour l’Algérie une préoccupation majeure qui incite à se doter d’infrastructures de télécommunications modernes, fiables et sécurisées. Il avait également relevé, à chaque fois, l’importance de développer des réseaux stratégiques performants, mettant l’accent sur la nécessité d’assurer des niveaux optimums de « sécurité » et de « confidentialité » des données et des communications échangées sur les réseaux. Le P-DG de l’Eepad invite les universitaires à entrer en contact avec notre diaspora à l’Etranger pour essayer de développer des programmes locaux.
Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour, a réaffirmé mardi dernier à Genève, à l’ouverture de la réunion du Fonds de solidarité numérique (FSN), la volonté de l’Algérie, membre fondateur du FSN, de susciter une adhésion internationale à la lutte contre la fracture numérique.
Le ministre a rappelé, à cette occasion, la situation « encore préoccupante » en matière d’accès aux technologies de l’information et de la communication (TIC) dans le sud de la planète et, particulièrement, en Afrique, imputant le retard accusé, dans ce domaine, au fait que « les actions arrêtées n’ont pas permis de réunir les conditions permettant d’investir des fonds et des efforts afin de combler ce fossé ». Dans ce cadre, il a précisé que ce fossé qui ne cesse de s’élargir « se caractérise par le sous-équipement en ordinateurs, en téléphones fixes, la faiblesse du nombre d’utilisateurs d’internet et par des coûts d’accès élevés ». A cet effet, le ministre a jugé « plus que jamais d’actualité » la mise en œuvre d’une « dynamique plus soutenue » d’édification d’une société de l’information « véritablement inclusive et solidaire » sur la base du plan d’action du sommet mondial sur la société de l’information tenu à Tunis en novembre 2005. M. Haïchour a rappelé également les décisions et engagements pris en octobre dernier lors du sommet Connecter l’Afrique de Kigali (Rwanda) d’« accélérer » le développement de l’infrastructure des TIC, de « renforcer » la connectivité et de « créer un environnement favorable » aux investissements et à la mise en ligne de services administratifs. A cet effet, il fait part de la détermination de l’Algérie à « poursuivre » le chemin tracé pour « réduire les écarts et assurer le développement, le progrès et la prospérité auxquels aspirent tous les peuples ». A cette occasion, M. Haïchour a développé « la réforme profonde » du secteur des TIC engagée en Algérie qui s’est traduite, a-t-il dit, par « une croissance sans précédent du secteur, l’apparition de nouveaux services, l’adoption d’innovations technologiques, des gains de productivité et des baisses de tarifs ». Il a ajouté que la mise en œuvre de cette vision a permis à l’Algérie de disposer d’une infrastructure « vaste et robuste » constituée d’un réseau national de transmission de près de 28 200 km de câbles en fibre optique, de 44 000 km de faisceaux hertziens et de 2000 km de liaisons internationales de câbles sous-marins en fibre optique. Elle a permis également la réalisation d’un parc d’équipement numérique d’abonnés de près de 5 millions et d’un réseau national de téléphonie dont le nombre a atteint, au 30 septembre 2007, près de 3 200 000 dans le fixe et 25 000 000 dans le mobile, a-t-il fait savoir. M. Haïchour a précisé que grâce à ce « saut spectaculaire » enregistré dans les télédensités fixes et mobiles (9,6% et 75%), l’Algérie est classée parmi les pays ayant le meilleur taux de pénétration. Il a également cité la mise en place d’une e-commission chargée d’élaborer la stratégie e-Algérie, relevant que de nombreux projets e-administration ont ainsi été réalisés, notamment la construction de réseaux intranet gouvernemental et la mise en place de portails de différents ministères, la mise en ligne d’informations et de formulaires à travers les sites web des différentes institutions et de messageries électroniques. M. Haïchour a également fait part de l’initiative « Ousratic, un PC par famille » visant la généralisation de l’utilisation des TIC dans les foyers, ainsi que la réalisation d’un cyberparc à Alger. A rappeler que le Fonds de solidarité numérique est une initiative africaine adoptée à l’occasion du sommet mondial sur la société de l’information, qui a eu lieu à Tunis en nombre 2005.
APS
L'invité du forum d'«El Moudjahid», Nouar Harzallah a estimé hier, lorsde son intervention dans une conférence-débat consacrée audéveloppement des technologies nouvelles que l'Algérie est très enretard, comparativement aux pays développés. Le conférencier a préciséque l'indice de connectivité n'est pas calculé sur le nombre d'abonnésayant des portables ou le nombre d'abonnés à Internet «mais on mesurel'indice de connectivité par rapport au taux de pénétration del'Internet dans les écoles», a-t-il fait remarquer. Et le conférencierd'appeler les secteurs de l'éducation et de la formation de rattraperrapidement le retard. Le constat fait hier est très sévère. Leconférencier indiquera que les connections se font à 80% pour le «Chat»et 20% seulement pour aller vers des sites de recherche. Leconférencier a déploré également le manque de créativité et derecherche chez nos informaticiens, notamment, les chercheursuniversitaires. «Qu'est ce qui empêche nos universitaires et nosprofesseurs de développer des contenus et des programmes locaux?»,s'est-il interrogé. «Il faut savoir qu'on est sur la mauvaise voie. Labataille, aujourd'hui, dans le domaine de la technologie del'information est concentrée sur le développement des programmes alorsqu'en Algérie la bataille est limitée à l'accès aux sites étrangersseulement», dira-t-il.
Le conférencier a évoqué un problèmede taille: la sécurité de l'information, affirmant que celle-ci estcomplètement bafouée. «Il est vrai qu'il y a eu une loi qui a étéadoptée par le gouvernement algérien sur la cybercriminalité mais, onne voit pas son application sur le terrain», a-t-il affirmé. Pourrappel, Boudjemâa Haichour avait, à plusieurs reprises, dans sessorties médiatiques, indiqué que la sécurité des communicationsconstitue pour l'Algérie une préoccupation majeure qui incite à sedoter d'infrastructures de télécommunications modernes, fiables etsécurisées. Il avait également relevé, à chaque fois, l'importance dedévelopper des réseaux stratégiques performants, mettant l'accent surla nécessité d'assurer des niveaux optimums de «sécurité» et de«confidentialité» des données et des communications échangées sur lesréseaux. Le P-DG de l'Eepad invite les universitaires à entrer encontact avec notre diaspora à l'Etranger pour essayer de développer desprogrammes locaux. Le conférencier prédit la création «de 50.000 postesd'emplois pour les informaticiens, dans des entreprises qui sespécialisent dans le développement du contenu».
En fait, leP-DG de l'Eepad plaide pour une stratégie de développement des TIC etpour une stratégie qui favorise le développement des programmes et descontenus.
Enfin, concernant l'opération «Ousratic» (un PCpour chaque foyer), lancée en 2005, le P-DG de L'Eepad a indiqué quepas moins de 56.412 packs ADSL ont été écoulés (PC portables avecconnexion ADSL). Son entreprise a tracé un objectif visant à satisfaireun million d'acquéreurs, dans le cadre de l'opération «Ousratic» àl'horizon 2010. L'Eepad envisage également de continuer à développer leréseau ADSL pour couvrir les 48 wilayas.