Nouvelles

http://www.letempsdz.com/content/view/114354/1/

31-01-2014

Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Mohamed Mebarki, a affirmé jeudi à Alger que le programme d’action du secteur à court et moyen termes visait à garantir de meilleures conditions pour l’accueil du nombre attendu d’étudiants, estimé à 1,7 million, à l’horizon 2016. Exposant le programme d’action sectoriel à court et moyen termes devant les membres de la commission de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique et des affaires religieuses de l’Assemblée populaire nationale (APN), M. Mebarki a dit que ce programme visait à renforcer les capacités du système de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, dans ses aspects structurels et ceux liés à l’organisation, à la gestion et à la gouvernance en vue d’assurer les meilleures conditions pour l’accueil du nombre attendu d’étudiants, soit 1,7 million, à l’horizon 2016.

Il vise également à engager le système de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique dans une nouvelle ère qualitative "qui réponde aux exigences d’une formation de qualité aux normes internationales", a-t-il dit.

Ce programme concerne le développement et la réforme du secteur ainsi que des mesures de soutien en général, a affirmé le ministre, soulignant que le processus de développement tendait à soutenir et à étendre le réseau universitaire, conformément au plan d’orientation sectoriel pour l’élaboration d’une carte universitaire à l’horizon 2025.

Cette démarche englobe le développement des infrastructures pédagogiques et de recherches ainsi que des infrastructures des œuvres sociales inscrites dans le programme quinquennal de soutien à la croissance 2010-2014, qui englobe l’étude et la réalisation de 322.000 places pédagogiques, 161.500 lits et 13 centres de recherches.

Concernant le soutien de l’encadrement pédagogique et scientifique, "une attention particulière est accordée à la formation des formateurs, à travers la relance de la formation en doctorat, la poursuite de la mise en œuvre du programme de formation à l’étranger au profit des enseignants qui sont en voie de finaliser leur thèse de doctorat et au profit des étudiants lauréats, outre l’implication des compétences scientifiques algériennes établies à l’étranger dans l’effort national de formation et de recherche et la prise en charge de l’équivalence des diplômes pour ceux qui désirent revenir en Algérie", a-t-il expliqué.

Quant au développement de la recherche scientifique et technologique, il s’agit de l’élaboration d’une loi d’orientation et d’un cadre régissant les programmes et les activités de recherches, de façon à permettre au secteur d’"élaborer, de mettre en place et d’actualiser les programmes nationaux de recherche, à travers l’organisation", a indiqué le ministre.

Le programme d’action du secteur englobe également la réforme de l’enseignement supérieur. A cet effet, M. Mebarki a précisé que son ministère entamera la deuxième phase du processus de réforme qui sera consacrée à la finalisation de la mise en place d’un système de garantie de la qualité dans le domaine de la recherche scientifique, à travers l’amélioration continue de la qualité de l’enseignement, l’approfondissement de la culture de l’évaluation et la consécration de l’ouverture de l’université sur son environnement national et international.

Le secteur continuera sur sa lancée pour l’amélioration de la lisibilité des diplômes universitaires et la mise en place d’une base commune des références et des connaissances selon chaque domaine de formation, en vue d’imprégner davantage de cohésion aux offres de formation analogues et de faciliter les mouvements des étudiants entre les filières de formation et les établissements universitaires, a-t-il dit.

La stratégie de réforme comprend également la relance du système de formation de l’élite et le développement du caractère professionnel de l’enseignement supérieur, a-t-il ajouté.

Par ailleurs, le secteur de l’enseignement supérieur poursuit le processus de réforme des œuvres sociales afin de "rationaliser la gestion, d’améliorer la qualité des prestations prodiguées aux étudiants, de renforcer les activités scientifiques, culturelles et sportives, en vue d’assurer un meilleur cadre d’instruction et de vie pour l’étudiant", a-t-il souligné.

Le ministre a évoqué le soutien de la gouvernance visant à améliorer le service public de l’enseignement supérieur, les compétences de gestion, l’activation des instances consultatives et des instances de permanence aux différents niveaux de l’organisation universitaire, insistant sur la "nécessité de réviser les cadres légaux régissant l’enseignement supérieur et la recherche scientifique, notamment en ce qui concerne l’amendement de la loi 11-98 portant loi programme sur la recherche scientifique et le développement technologique et l’amendement de la loi 05-99 portant loi d’orientation de l’enseignement supérieur".

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Nous vous informons que la 1ère session 2014 du CSP aura lieu le 7 et 8 avril 2014 à Ghardaia.

Ordre du jour de la 1er session ordinaire 2014 :
 

  • Proposition d’amendement du statut-type des laboratoires de recherche ;
  • Proposition de catégorisation et labellisation des laboratoires de recherche ;
  • Proposition d’une nouvelle grille d’évaluation des activités scientifiques des entités de recherche ;
  • Présentation d’un modèle d’évaluation des activités de recherche à l’Agence d’Evaluation de la Recherche et de l’enseignement supérieur (AERES) ;
  • Examen des conditions d’admissibilité des nouvelles propositions de création d’entités de recherche ;
  • Divers

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Le Comité Sectoriel Permanent (CSP) se réunira le 16 et 17 Février 2014 au Centre de Recherche en Anthropologie Sociale et Culturelle (CRASC), Oran, pour examiner les points figurant à l’Ordre du jour de la 2eme session ordinaire 2013...

Le Comité Sectoriel Permanent (CSP) se réunira le 16 et 17 Février 2014 au Centre de Recherche en Anthropologie Sociale et Culturelle (CRASC), Oran, pour examiner les points figurant à l’Ordre du jour de la 2eme session ordinaire 2013.

Ordre du jour de la 2eme session ordinaire 2013 :

  • Proposition d’amendement de la loi 98/11 relative à la recherche scientifique;
  • Examen et approbation des résultats d’évaluation définitifs des projets de recherche PNR;
  • Examen et approbation des résultats d’évaluation des bilans triennaux des activités scientifiques 2010 – 2011 – 2012 des laboratoires agréés en 2001 – 2006 – 2009 – 2010 - 2011;
  • Divers.

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COMMISSION NATIONALE D’IMPLEMENTATION D’UN SYSTEME D’ASSURANCE QUALITE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

CIAQES

 

APPEL A CONTRIBUTION

Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (MESRS) organise, en partenariat avec le Bureau Canadien de l’Education internationale, un colloque sur la coopération interuniversitaire, du 24 au 26 Février 2014 à l’Université de Tlemcen.

Le premier axe de ce colloque sera consacré à l’assurance qualité et l’évaluation et aura pour thème : « L’Analyse comparative des démarches d’amélioration continue de la qualité dans l’enseignement supérieur »

Le second axe sera consacré aux possibilités de partenariat entre les instituions universitaires et de recherche Canadiennes et Algériennes, à concrétiser par des conventions interuniversitaires dans divers domaines d’intérêt mutuel : la recherche scientifique, l’école doctorale, l’enseignement des langues, la mobilité des universitaires, l’organisation des enseignements en sciences de la santé etc.

Problématique relative au 1er axe

L’intégration progressive de l’économie à l’échelle mondiale a des répercussions directes sur l’enseignement supérieur et la recherche scientifique dont le rôle dans l’édification d’une société fondée sur le savoir, garant du développement, s’est affirmé. La qualité et la reconnaissance des formations et des produits de recherche sont devenues un enjeu essentiel pour les systèmes d’enseignement supérieur qui ont, en grande majorité, adopté des démarches d’assurance qualité avec des degrés différents dans le processus d’implémentation.

Qu’ils répondent à des objectifs d’intégration régionale (Union Européenne avec le processus de Bologne, Alena, Mercosur, ...), de mobilité internationale des universitaires, ou tout simplement de mise à niveau des secteurs d’enseignement supérieur et de recherche, les systèmes d’assurance qualité se sont heurtés dans leur mise en oeuvre à des obstacles qui grèvent fortement leur implémentation. Dans un projet qui exige l’adhésion de tous les acteurs universitaires, le premier obstacle peut être dressé par l’élément humain. La phase d’information, de sensibilisation, de formation et d’implication des acteurs est donc essentielle pour le lancement du processus.

Cet axe proposé par la commission nationale d’implémentation d’un système d’assurance qualité dans l’enseignement supérieur (CIAQES), sous l’égide du MESRS, s’inscrit dans la continuité du travail amorcé à l’issue du premier colloque de juin 2008. Les travaux menés alors ont permis de dégager une feuille de route et de charger la CIAQES à mettre en oeuvre la stratégie d’implémentation dégagée.

Pour cela, la CIAQES s’est appuyée sur les lignes directrices édictées par le processus de Bologne et, donc, sur les expériences menées en Europe en matière de mise en place de systèmes d’assurance qualité de l’enseignement supérieur.

La CIAQES s’est également intéressée à la riche expérience Nord-américaine dans le domaine de l’évaluation de l’enseignement supérieur et de la recherche qui confère une place de choix au plan international au système Canadien qui est cité en exemple en la matière. La commission a saisi l’occasion d’organisation d’un colloque sur la coopération universitaire algéro-canadienne pour inscrire la qualité et l’évaluation comme thème central de cette rencontre.

Il s’agit de présenter les exemples les plus pertinents dans ces deux continents et d’en tirer des enseignements utiles pour notre propre processus en voie d’implémentation.

 

Objectifs du Colloque

Les objectifs de cet évènement scientifique sont essentiellement orientés vers le renforcement des compétences sur les approches d’implémentation de l’assurance qualité dans les institutions universitaires ainsi que les procédures et outils d’évaluation des formations et des institutions de l’enseignement supérieur. La mise en réseau des experts internationaux dans le domaine de l’assurance qualité avec leurs homologues Algériens permettrait un échange fructueux des expériences vécues, du savoir-faire acquis et des bonnes pratiques à disséminer en vue de consolider la démarche qualité en matière d’amélioration continue des formations académiques, des institutions et des standards pour l’accréditation.

 

Résultats attendus

Pour cet axe, le colloque se fixe comme résultats :

1- L’identification des obstacles susceptibles d’entraver le développement de l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur et la capitalisation des expériences à travers le monde, les bonnes pratiques utilisées;

2- L’approfondissement des méthodes et des techniques d’évaluation utilisées dans l’enseignement supérieur afin d’améliorer la qualité des enseignements et les compétences des diplômés ;

3- La revue des référentiels de compétences des formations académiques et professionnelles et des mécanismes utilisés pour l’élaboration des standards d’accréditation;

4- La mise en réseau des établissements et de la communauté universitaires (Responsables d’institutions, Enseignants, Chercheurs, Etudiants) afin de construire un partenariat sur : le renforcement des capacités d’enseignement dans certaines filières, notamment les langues, la codiplômation, la mobilité des étudiants et enseignants, la recherche scientifique, l’école doctorale, l’élaboration de référentiels de formation et de standards d’accréditation et autres.

 

Ateliers

Deux ateliers sont programmés autour des thèmes suivants :

de Bologne/Exposé et débat sur l’expérience Algérienne »

-américaine en matière d’évaluation »

 

Formats des communications

Les propositions de communications (communication orale ou poster) seront adressées au plus tard le 31 Décembre 2013 à minuit. La proposition de communications (un résumé d’une page maximum) est à adresser aux deux courriels suivants :

Courriel 1 : n.mezache@mesrs.dz

Courriel 2 : s.bakouche@mesrs.dz

Le résumé peut être fait en langue arabe, française ou anglaise. Toute proposition de communication/ou poster doit être accompagnée par un résumé dans une autre langue. Veuillez voir plus bas, le modèle de proposition de communication. Les informations indiquées dans le modèle doivent figurer dans la proposition. Après évaluation de la proposition de communication par le comité scientifique du colloque, ce dernier adressera par courriel une notification d’acceptation de communication au plus tard le 31/01/2014.

Le texte final de la communication sera adressé au plus tard le 15/02/2014., de taille 16.

 

Une présentation Power Point est requise par le comité d’organisation au plus tard 5 jours avant la tenue du colloque.

 

Calendrier et date importantes

Dernier délai d’envoi de la proposition de communication

 

 

3 1/12/ 2013

Réponse du comité scientifique

31/01/ 2014

Envoi du texte final de la communication/poster

15/02/2014

Envoi de la présentation Power Point

20/02/2014

Début des travaux du colloque

25/02/2014

 

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Candidature spontanée : comment écrire une lettre de motivation efficace ? - par djoudi
Vous cherchez un emploi mais vous ne savez pas trop comment postuler ? Et surtout comment rédiger cette fameuse lettre de motivation qui mettra si bien en avant vos envies et vos compétences lors de votre candidature spontanée ? Terrafemina vous donne quelques conseils pour préparer le courrier parfait qui accompagnera votre CV.

Définir vos motivations

Avant de vous lancer, il est important de savoir pourquoi vous souhaitez décrocher ce job. Pour cela, posez-vous les bonnes questions. Qu’est-ce qui vous plaît dans le poste ou dans la fonction ? En quoi le secteur d’activité est fait pour vous ? Ces motivations devront apparaître en début de lettre, pour faire comprendre d’entrée au recruteur qu’il ne pourra pas se passer de vous.
 

Se vendre avec ses qualités

C’est le moment de vous mettre en avant. Qu’avez-vous à apporter à cette entreprise pour laquelle vous aimeriez tant travailler ? Dans ce passage de la lettre de motivation, vous pourrez indiquer quelles sont vos expériences et en quoi ces dernières, couplées à vos qualités et à vos compétences, sont en adéquation avec ce que l’entreprise recherche.
 

S’adresser à un interlocuteur précis

Avant de rédiger votre lettre de motivation, prenez le temps de rechercher à qui adresser votre candidature. Trouver la personne en charge du recrutement démontrera votre bonne volonté. Et puis, il est toujours mieux de savoir à qui l’on s’adresse… Imaginez cette responsable des ressources humaines un peu fâchée de se faire appeler monsieur en lisant votre courrier… Un mauvais point d’entrée de jeu.
 

S’intéresser à l’entreprise

Selon les candidatures et les entreprises dans lesquelles vous souhaitez postuler, il est bon de montrer à travers la lettre de motivation, que vous êtes bien au courant du fonctionnement, des activités et du développement de ces dernières. Savoir ce que l’entreprise prévoit pour demain vous permet de rebondir sur le fait que vous aimeriez, vous aussi, contribuer à sa future expansion.
 

Personnaliser le discours de votre lettre de motivation

Dans le cadre d’une recherche d’emploi, il est primordial d’éviter le courrier type. En effet, selon que vous répondez à une offre ou que votre démarche est spontanée, il est impératif de personnaliser votre lettre de motivation, tout comme vous devez le faire en fonction de l’entreprise et du poste proposé. Vos compétences varient d’un emploi à un autre, vos expériences aussi, il faut qu’il en soit de même pour votre lettre.

Camille Coutant

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Portail dédié aux compétences nationales basées à l’étranger. - par djoudi
Coïncidant avec la première journée de Algeria 2.0 qui se déroule jusqu'au 20 avril au Cyberparc de Sidi Abdallah, le Ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, Moussa Benhamadi, a lancé officiellement un portail dédié aux compétences nationales basées à l’étranger.

Moussa Benhamadi était accompagné du Secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, Belkacem Sahli, pour ce lancement officiel. Ce site a pour objectif l'implication des compétences nationales à l’étranger dans les projets de recherche et de développement du pays et la réalisation d’une synergie entre les secteurs nationaux qui requièrent des potentialités humaines de haut niveau et des compétences algériennes à l’étranger ".

À ce sujet M. Benhamadi a déclaré. « Nous reconnaissons qu'il y a un énorme déficit de communication et d'information entre les compétences algériennes établies à l'étranger, mais le lancement de ce portail est venu pour rapprocher les valeurs du pays dans tous les domaines ».

Le Ministre affirmé en outre avoir apporté sa contribution pour l'acquisition des équipements et programmes indispensables au lancement de ce portail et à la maintenance outre la sécurisation des différentes applications et données pour une durée de trois ans et la formation de ses utilisateurs.
il est à noter que ce lancement marque la mise en œuvre effective de la convention conclue en décembre 2011 entre les deux parties avec pour objectif d’assurer une relation durable avec les compétences nationales à l’étranger à travers un système d’informations efficace.

De son côté, Belkacem Sahli, se félicitant de la création de ce portail, a vanté les compétences algériennes établies à l'étranger en les qualifiant de " ressource renouvelable.

Il a enchainé en affirmant ’’ La communauté algérienne établie à l’étranger a prouvé à maintes occasions son attachement aux questions nationales. Elle est disposée à contribuer avec l’élite algérienne à la recherche scientifique.

A l'instar de toutes les communautés des autres pays, toutes les compétences algériennes sont disponibles et n'attendent que la mise en place d'un environnement propice afin d'apporter une valeur ajoutée au pays natal ".

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Appel à projets AUF : numérique éducatif - par djoudi

APPEL A PROJETS

Appui à la définition ou à la mise en application de la politique numérique d’un établissement

Date limite du dépôt des dossiers : 30 juin 2013

Mots clés : IFIC, numérique éducatif
Sommaire :
  • Le contexte
  • Nature de l’appui
  • Qui peut répondre à l’appel ?
  • Types de projets attendus
  • Quelle forme et quel format pour les réponses au présent appel ?
  • Procédure de sélection
  • Calendrier

Le contexte

Parmi les cinq conditions de réussite pour l’implantation du numérique dans un grand établissement d’enseignement et de recherche, le rapport « L’université numérique : éclairages internationaux » publié en France en 2010 par la Caisse des Dépôts en partenariat avec l’OCDE et la Conférence des Présidents d’Université, cite en premier le fait que « les universités doivent développer une stratégie numérique globale en appui de la stratégie générale de l’institution ». La seconde précise que cette stratégie numérique doit être « portée par la direction de l’établissement et toujours considérée et menée comme un véritable projet de l’ensemble de l’institution ».

Or la plupart des initiatives au niveau des Technologies de l’Information et de la Communication au service de l’Éducation (TICE) ou de la formation à distance dans les établissements universitaires proviennent d’individus, au mieux de départements, mais trop rarement des rectorats et des présidences. Autant ces initiatives personnelles sont louables, autant elles peuvent entraîner des problèmes comme la multiplicité des plates-formes et des modèles pédagogiques, la difficulté de réutilisabilité des modules, le partage d’expérience réduit sinon inexistant avec les autres composantes de l’université, l’absence de suivi-qualité, la complexification de la maintenance technique…. La mise en place d’un cadre formel et d’un référentiel au niveau d’une université ou d’une faculté, sinon d’un plan de développement bien structuré, permet d’éviter certains de ces écueils et favorise le dialogue entre les différents initiateurs de projet travaillant au sein de la même institution.

Afin d’encourager cette approche structurante, l’Institut de la Francophonie pour l’Ingénierie de la Connaissance et la formation à distance (IFIC) nouvellement créé par l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) entend supporter les universités francophones du bassin méditerranéen et de l’Afrique sub-saharienne qui souhaitent s’engager de manière rationnelle dans un projet à grande échelle d’insertion du numérique dans le système d’enseignement, de recherche ou de gouvernance de leur établissement ou d’une composante majeure de leur établissement (faculté, institut,…).

Les plans stratégiques envisagés et proposés par les universités devront répondre à l’un des objectifs suivants :

  • définir, adapter ou rénover un plan stratégique global d’insertion du numérique dans la formation et/ou la recherche à l’échelle de l’établissement,
  • définir, adapter ou rénover un plan stratégique global d’implantation d’un dispositif de formation à distance à l’échelle de l’établissement,
  • structurer l’introduction du numérique dans la vie de l’établissement.

Nature de l’appui

L’appui de l’AUF consistera en la mise à disposition d’un expert TICE pour accompagner les établissements retenus dans la définition de leur projet stratégique, ou dans sa mise à niveau, ou dans sa refonte, ou encore dans la rédaction du cahier des charges ou du plan d’action. Il pourra également consister en la mobilisation d’experts pour la formation aux TICE des ressources humaines associées à un plan stratégique déjà engagé.

Qui peut répondre à l’appel ?

Tout établissement membre de l’AUF du pourtour méditerranéen et de l’Afrique sub-saharienne.

Types de projets attendus

Les plans stratégiques attendus pourront concerner :

  • l’introduction à grande échelle d’un volet numérique dans l’enseignement,
  • l’introduction du numérique dans le système de gouvernance
  • la création d’un dispositif de formation ouverte et à distance (FOAD) à grande échelle,
  • le renforcement à grande échelle des compétences TICE du corps professoral,
  • la création d’un dispositif de cours en ligne ouvert à tous (MOOC) à l’échelle d’un établissement,
  • la création d’un système de laboratoires en ligne ouvert à tous (MOOL) à l’échelle d’un établissement.

L’IFIC privilégiera les demandes faisant l’objet d’un appui collectif et/ou d’un partenariat régional.

L’engagement des universités bénéficiaires dans le financement de l’action prévue (par l’inscription du projet dans le projet d’établissement par exemple, ou par un début d’investissement à la date de dépôt du dossier) est une condition nécessaire à l’appui.

Quelle forme et quel format pour les réponses au présent appel ?

En réponse à cet appel, le responsable d’établissement est invité à transmettre au plus tard le 30 juin 2013 à l’adresse suivante :

IFIC / CNF de Tunis
INSAT - BP 519
1080 Tunis Cedex (Tunisie)

Le dossier devra comprendre les éléments suivants :
1) Le formulaire de candidature officiel à télécharger ici, à remplir, à faire signer et tamponner par le Président ou le Recteur de l’université porteuse du projet,
2) Le document descriptif du projet présenté selon les normes définies dans le formulaire,
3) Le CV du porteur de projet,
4) Les CV du personnel de l’établissement impliqué dans le projet,
5) Tous documents attestant le partenariat établi autour du projet signés par les autorités compétentes.

Une version scannée du dossier sera envoyée à l’adresse courriel suivante : ific@auf.org avec la référence « POLNUM13 » pour prendre date.

Procédure de sélection

Les dossiers sont déposés auprès de l’IFIC qui en examine la recevabilité administrative. Ne sont considérés que les dossiers présentés et argumentés par la plus haute autorité de l’établissement, membre de l’Agence universitaire (AUF).

Les dossiers sont instruits par une commission d’experts réunie et animée par l’IFIC. Les dossiers sont retenus en considération de l’enveloppe budgétaire dédiée par l’IFIC à cet appui. La sélection est ensuite présentée à la Commission Régionale d’Experts (CRE) dont dépend l’université porteuse de projet. Les résultats définitifs sont portés à la connaissance des établissements par courrier sur l’initiative de l’IFIC.

La mise en œuvre du soutien de l’AUF est assurée par l’IFIC et le bureau régional concerné. Une fois l’appui terminé, l’expert désigné doit remettre à l’établissement, à l’IFIC et au bureau régional de l’AUF un rapport final répondant aux attentes exprimées dans le projet soumis par l’établissement.

Calendrier

07 Mai 2013 - Lancement de l’appel à manifestation d’intérêt
30 Juin 2013 - Date limite de réception par l’IFIC des réponses à l’appel

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Un jeune chercheur algérien invente les tests à domicile pour diagnostiquer des maladies - par djoudi

A 33 ans, Abdenour Abbas, originaire de Makouda dans la wilaya de Tizi-Ouzou, vient de révolutionner la recherche mondiale. En effet, ce jeune chercheur algérien de l'université de Washington à Saint Louis aux Etats-Unis d'Amérique, a inventé des biocapteurs ultrasensibles à base d’anticorps artificiels pour le diagnostic médical.

 

Le chercheur algérien a créé une nouvelle technologie qui permet aux patients de faire des tests à domicile pour diagnostiquer des maladies comme la grippe, le cancer, le sida en utilisant de la sueur, de l’urine ou du sang, rapporte à ce sujet la publication scientifique américaine Technology review. Selon cette source, grâce à cette invention, "les malades n’auront plus besoin de se déplacer dans des cabinets médicaux et les hôpitaux pour diagnostiquer ce genre de maladies", explique sur son site internet cette prestigieuse publication scientifique. Le travail remarquable accompli par ce jeune chercheur algérien établi aux Etats-Unis lui a permis d'être classé dans le top 10 des chercheurs les plus innovants et âgés de moins de 35 ans !

 

Abdenour Abbas figure ainsi "dans le Top 10 des lauréats de la première édition française du concours conduit par la Technology review, pour l’Institut américain de technologie de Massachusetts (MIT)", explique à ce sujet le quotidien électronique Tout sur l'Algérie (TSA) qui ne manque de précise que "ce concours, dont les résultats ont été publiés le 21 mars dernier, permet de distinguer chaque année de jeunes talents de moins de 35 ans, dans les nouvelles technologies. Il est à l’origine de la célébrité de plusieurs génies comme : Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, Serguei Brin, co‑fondateur de Google, Max Levchin, co‑fondateur de Paypal, Linus Torvalds, développeur de Linux, Jack Dorsey, co‑fondateur de Twitter".

 

"Dans 10 ans, on aura moins besoin de médecins pour le diagnostic, mais on aura toujours besoin de leur suivi quand c’est nécessaire. Ces tests vont également permettre aux individus de connaître les risques qu’ils ont pour certaines maladies afin de se pendre en charge avant même que la maladie ne se déclenche", a confié à ce sujet ce jeune chercheur qui ne cache pas sa fierté d'avoir été sélectionné parmi les meilleurs chercheurs dans le domaine des nouvelles technologies. Diplômé de l'université de Tizi-Ouzou en 2003, Abdenour a été contraint de quitter l'Algérie à cause des horizons bouchés auxquels il était confronté . Pis encore, ce génie n'a jamais été considéré dans son propre pays et évoluait dans des conditions plus que défavorables. Au lieu de développer son ingéniosité et de faire de la recherche, en Algérie, ce jeune talent passait de longues heures dans de très longues files d’attente "au restaurant universitaire de Hasnaoua à Tizi Ouzou, avec une cuillère dans la poche, il y a à peine 10 ans". "J’ai un frère qui me dit que c’est toujours le cas aujourd’hui", a-t-il déploré dans son témoignage recueilli par TSA. Un témoignage au cours duquel il n'a pas hésité à faire savoir qu'il "n’y a pas plus triste qu’un talent gâché". Mais cette vérité amère, nos dirigeants n'arrivent toujours pas à la comprendre ou la saisir...

 

La Rédaction de NessNews

 

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Le meilleur lycée de France est un lycée privé… Musulman - par djoudi
Averroès, un lycée privé musulman situé à Lille, au nord de l’Hexagone, vient d’être classé meilleur lycée en France. Ce lycée caracole, effectivement,  en tête du classement établi par le quotidien « Le Parisien » qui a repris, mercredi, les informations du Ministère de l’Education Nationale en France « afin d’établir comme chaque année le classement des meilleurs lycées de France », a-t-on expliqué jeudi.
 
Ainsi, le lycée Averroès de Lille est arrivé premier au classement régional et on le retrouve aussi dans le trio de tête au niveau national selon les critères arrêtés par  le ministère français de l’éducation. Ce lycée musulman devance, dés lors, de prestigieux lycées comme Henri IV, ou encore le célèbre Louis Le Grand.   »Cette reconnaissance de notre établissement, par ce classement, consacre l’engagement d’une équipe pédagogique, éducative et administrative, le travail de nos élèves comme le soutien des familles autour de l’association Averroès porteuse de notre projet propre », s’est réjoui dans ce sens, le président du Lycée Averroès, Ali Lasfar.   »Cette reconnaissance nous impose aussi pour l’avenir modestie et persévérance, qu’ont toujours eu les fondateurs du lycée. Nous remercions tous ceux qui ont cru en cette aventure et qui l’ont toujours soutenue », a-t-il ajouté dans un communiqué rendu public mercredi.
 
Il est à souligner, en outre, que pour réaliser ce classement, « Le Parisien » s’est basé sur 4 critères qui sont le « taux de succès général du lycée, taux d’accès de la seconde au bac (probabilité qu’un élève de seconde obtienne son baccalauréat dans le même lycée), valeur ajoutée sur le taux de succès du lycée par sa différence du taux de succès par rapport au taux attendu calculé par le ministère, et valeur ajoutée du lycée sur son taux d’accès de la seconde au Bac « , a-t-on expliqué. D’autres quotidiens français, à l’image du Figaro, ont réalisé aussi leur propre classement où ils ont sélectionné d’autres critères tels que la capacité à faire progresser les élèves en prenant en compte la différence entre le taux de réussite obtenu par le lycée en 2012 et celui que l’on pouvait attendre. Mais même dans ces classements, le lycée musulman de Lille arrive parmi les premiers sur l’ensemble du territoire français. Signalons enfin que le lycée Averroès affiche  le meilleur taux de réussite au baccalauréat français, à savoir un taux de  100% de réussite !

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Institut National de Formation Supérieure Paramédicale - par Hussein
Institut National de Formation Supérieure Paramédicale d'Alger Rue Boudjemaa Moghni 16008 Hussein Dey Alger, Algérie. L’Institut National de Formation Supérieure Paramédicale d’ALGER (INFSPM d’ALGER) est un établissement public à caractère administratif, placé sous la tutelle du Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. L’INFSPM d’ALGER est situé à Hussein dey à une dizaine de kilomètres à l’est d’ALGER, il occupe un terrain de 4.5 hectares. Il est dirigé par un Directeur assisté de : Un conseil d’administration. Un Directeur chargé de la formation continue. Un Directeur chargé de la formation initiale. Un Econome. Un responsable du personnel. Un conseil pédagogique. Objectifs et missions : Former des professeurs d’enseignement paramédical du 1er degré. Former des paramédicaux diplômés d’Etat. Former des aides soignants. Organiser des conférences, des séminaires et des sessions de formation continue. Capacité d’accueil : En place pédagogiques : 700 places. En places d’internat : 500 places. Les annexes rattachées à l’institut : Annexe du CHU de Bab-El-Oued. Annexe du CHU Mustapha Bacha. Annexe du CHU de Beni Messous. Locaux pédagogiques : Un bloc pédagogique daté de 1962. Un bloc pédagogique réalisé en 1976 composé de : Deux amphithéâtres. Vingt salles de cours. Une bibliothèque. Cinq laboratoires pour les travaux pratiques. Un laboratoire d’immuno-hématologie. Un laboratoire de bactériologie. Un laboratoire de préparation pharmaceutique. Un laboratoire d’assainissement. Un laboratoire d’informatique. Quatre salles pour les travaux pratiques. Une unité audiovisuelle. Un cyber santé. Une salle de conférences.

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EFTG - par MohamedNassim

Agir sur l’intention entrepreneuriale nécessite de développer des compétences spécifiques et des attitudes adéquates associées à « l’art » d’entreprendre.

L’accompagnement des jeunes promoteurs, développé par l’Eftg dans le cadre du projet PME Conform mis en place par la Coopération Technique Allemande GTZ, est le résultat des nouveautés mondiales dans le domaine de  la recherche en matière d’enseignement de l’entrepreneuriat.

 

Que vous soyez :

 

  • Promoteur motivé et convaincu de créer sa propre entreprise ;
  • Entrepreneurs gérant d’une PME et désireux de la développer ;
  • Entreprise, ONG ou association voulant soutenir le développement durable et assister des talents  défavorisés.

 

 

L’Eftg  met à votre disposition un pool de consultants internationaux ayant accompagné des centaines de créateurs d’entreprises à travers le monde, y compris en Algérie.

 

Nous vous invitons à découvrir une pédagogie active ayant fait ses preuves dans plus de 130 pays de par le monde.

http://www.eftg-dz.com

 

Auteur Bouhedli Mohamed Nassim

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elkhedma - par MohamedNassim

elkhedma.com Emploi et Formation

Auteur Bouhedli Mohamed Nassim

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Répertoire des Entreprises Algériennes - par MohamedNassim

A l'ère de la globalisation, parler de soi est devenu vital pour toute entreprise voulant se maintenir dans la sphère économique. Pour vous servir et répondre à cette demande sans cesse mouvante, nous avons conçu le Répertoire des  Entreprises  Algériennes,  R.E.A

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Auteur Bouhedli Mohamed Nassim

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Pigier Algerie - par NassimMohamed

L’Algérie est en phase active de développement.

L’objectif de plein emploi signifie la poursuite d’une politique ininterrompue dans la création des emplois et dans la formation des travailleurs.

L’objectif de Pigier est d’apporter une réponse concrète aux problèmes que pose ce besoin de formation

www.pigier-algerie.com

Auteur Bouhedli Mohamed Nassim

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CIIA 2013 de Saida dans Maghreb Emergent - par djoudi

Écrit par Hafidh Abdelsalam    Mercredi, 16 Janvier 2013 03:00
http://www.maghrebemergent.info/high-tech/83-it/20046-linformatique-et-ses-applications-luniversite-de-saida-en-pole-dexcellence.html 
  


L’Informatique et ses applications : L’Université de Saida en pôle d’excellence

 

Université saida

L'ambition de jeunes chercheurs de hisser l’université de Saida au rang des grands établissements dans les TIC.

 

L’Université Dr Tahar Moulay de Saïda accueillera, en mai 2013, la 4e Conférence internationale sur l’informatique et ses applications. Si l’établissement a capitalisé de l’expérience dans le domaine, en organisant les trois précédentes éditions et en disposant d’un "potentiel de jeunes chercheurs", il reste que les produits de recherche ne sont "pratiquement jamais exploités", explique un membre du comité d’organisation.

La 4ème édition de la Conférence internationale sur l’informatique et ses applications (CIIA 2013) sera organisée les 4 et 5 mai prochain à l’université Dr Tahar Moulay de Saida avec, à l’ordre du jour, des thèmes d’actualité qui constituent les grandes tendances de la recherche dans le domaine de l’informatique.

Organisée par le département d’informatique de l’Université de Saïda, avec le soutien du Réseau de recherche en formation et TIC en Algérie, la CIIA 2013 est, désormais, une tradition qui revient tous les deux ans. L’objectif de ce rendez-vous scientifique, lancé par des chercheurs algériens avec la participation de leurs homologues étrangers, est de promouvoir la recherche en Afrique, avec la création de réseaux, de développer des projets dans le domaine informatique et de faciliter l’échange d’étudiants.

La rencontre permettra également de donner une plus grande visibilité aux chercheurs algériens, puisque les meilleurs articles sélectionnés pour cette conférence seront publiés dans des revues de renommée mondiale. Quatre thèmes ont été retenus pour cette 4e édition: "Computational Intelligence", "Security & Network Technologies", "Information Technology", "Computer Systems and Applications". Ces thèmes sont tous liés à l’actualité informatique mondiale. Il sera donc question, expliquent le comité d’organisation de la CIIA 2013, du génie logiciel, des systèmes distribués, de la conception d’infrastructures (comme le cloud computing), d'e-Learning, d’"Energy-aware software" et autres technologies qui "peuvent être développés en Algérie et en Afrique", notamment dans les domaines de "l'approvisionnement et de la distribution d'énergie".

Selon Mahieddine Djoudi, enseignant-chercheur en TIC à l'université de Poitiers et membre du comité de programme et du comité d'organisation, les sujets ont été choisis "pour permettre aux participants de mesurer leurs avancées dans la recherche informatique par rapport à ce qui se fait dans le monde". "Pour la première fois en Algérie et dans le Maghreb, les articles retenus pour cette conférence seront indexés par les meilleurs index de recherche dans le monde technologique comme Elsevier, SCOPUS, et DPLP. On permettra aussi aux meilleurs communicants de voir leurs travaux publiés dans des revues internationales de renom. Six revues internationales ont déjà donné leur accord pour publier les meilleurs articles de la conférence dans des numéros spéciaux", ajoute M. Djoudi.

Les six revues, éditées par "InderScience Publishers", sont International Journal of Computational Science and Engineering, International Journal of Data Mining, Modelling and Management, International Journal of Knowledge and Web Intelligence, International Journal of Computational Intelligence Studies, International Journal of Reasoning-based Intelligent Systems et International Journal of Web Science.

Un potentiel de jeunes chercheurs très dynamiques

Le comité de pilotage de la 4e édition du CIIA est composé de chercheurs nationaux et étrangers dont Abdelmalek Amine (Université de Saïda), Otmane Ait Mohamed (Concordia University – Canada), Ladjel Bellatreche (ISAE-ENSMA, France), Mahieddine Djoudi (Université de Poitier) et Carlos Ordonez (Houston University – USA). Si la participation est "ouverte à tout le monde", l’anglais "est la seule langue de travail" de cette rencontre scientifique consacrée aux applications de l’informatique. Sont partenaires de la CIIA 2013 les éditions Springer, l’Ecole nationale supérieure de mécanique et d’aéronautique (ENSMA – France), le Laboratoire d'informatique et d'automatique pour les systèmes (LIAS - France), le laboratoire Signal, Image, Communications (SIC – CNRS, France), Concordia University (Canada), et le Réseau national de recherche "Formation et TIC" (Algérie).

Sur le choix de l’Université de Saïda, M. Djoudi explique : « Nous sommes déjà à la 4e édition de la conférence CIIA, après celles organisées en 2006, 2009 et 2011 toujours à Saïda. Depuis le début, nous avons pris le pari d’organiser chaque deux ans une conférence internationale d’envergure au sein de cette université qui dispose d’un capital d’expérience et détient un potentiel de jeunes chercheurs très dynamiques. Un petit noyau de chercheurs confirmés qui ont une ambition de hisser l’université de Saïda au rang des grands établissements dans le domaine des technologies de l’information et de la communication », ajoute Mahieddine Djoudi.

Invité à commenter le développement de l’informatique en Algérie estime que "comparativement aux autres disciplines de recherche, l’informatique est bien positionnée dans le classement des universités algériennes". Par contre, "nous sommes encore très loin des pays développés et émergents du fait, notamment, que les produits de la recherche ne sont pratiquement jamais exploités dans l’environnement socio-économique".

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CIIA 2013 de Saida dans le quotidien d'Oran - par djoudi
L'informatique et ses applications : l'université de Saïda en pôle d'excellence

par Hafidh Abdelsalam
Quotidein d'Oran, le 16 01 2013
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5178011

L'université Dr Tahar Moulay de Saïda accueillera, en mai 2013, la 4e Conférence internationale sur l'informatique et ses applications. Si l'établissement a capitalisé de l'expérience dans le domaine, en organisant les trois précédentes éditions et en disposant d'un «potentiel de jeunes chercheurs», il reste que les produits de recherche ne sont «pratiquement jamais exploités», explique un membre du comité d'organisation.

La 4ème édition de la Conférence Internationale sur l'Informatique et ses Applications (CIIA 2013) sera organisée le 4 et 5 mai prochain à l'université Dr Tahar Moulay de Saïda avec à l'ordre du jour des thèmes d'actualité qui constituent les grandes tendances de la recherche dans le domaine de l'informatique. Organisée par le Département d'Informatique de l'Université de Saida, avec le soutien du réseau de Recherche en Formation et TIC en Algérie, la CIIA 2013 est, désormais, une tradition qui revient tous les deux ans. L'objectif de ce rendez-vous scientifique, lancé par des chercheurs algériens, avec la participation de leurs homologues étrangers, est de promouvoir la recherche en Afrique, avec la création de réseaux, et de développer des projets dans le domaine informatique et faciliter l'échange d'étudiants. La rencontre permettra également de donner une plus grande visibilité aux chercheurs algériens, puisque les meilleurs articles sélectionnés pour cette conférence seront publiés dans des revues de renommées mondiales.

Quatre thèmes (http://ciia2013.lewebpro.net) ont été retenus pour cette 4e édition : «Computational Intelligence», «Security & Network Technologies», «Information Technology», «Computer Systems and Applications». Ces thèmes sont tous liés à l'actualité informatique mondiale. Il sera donc question du génie logiciel, des systèmes distribués, de la conception d'infrastructures (comme le cloud computing), de e-Learning, d'»Energy-aware software» et autres technologies qui «peuvent êtres développés en Algérie et en Afrique», notamment dans les domaines de «l'approvisionnement et la distribution d'énergie», expliquent le comité d'organisation de la CIIA 2013.

Selon Mahieddine Djoudi, enseignant-chercheur en TIC à l'université de Poitiers et membre du comité de programme et du comité d'organisation, les sujets ont été choisi «pour permettre aux participants de mesurer leurs avancées dans la recherche informatique par rapport à ce qui se fait dans le monde». «Pour la première fois en Algérie et dans le Maghreb, les articles retenus pour cette conférence seront indexés par les meilleurs index de recherche dans le monde technologique comme Elsevier, SCOPUS, et DPLP. On permettra aussi aux meilleurs communicants de voir leurs travaux publiés dans des revues internationales de renom. Six revues internationales ont déjà données leur accord pour publier les meilleurs articles de la conférence dans des numéros spéciaux», ajoute M. Djoudi. Les six revues, éditées par «InderScience Publishers», sont : «International Journal of Computational Science and Engineering», «International Journal of Data Mining, Modelling and Management», «International Journal of Knowledge and Web Intelligence», «International Journal of Computational Intelligence Studies», International Journal of Reasoning-based Intelligent Systems» et «International Journal of Web Science».

Un potentiel de jeunes chercheurs très dynamiques

Le comité de pilotage de la 4e édition du CIIA est composé de chercheurs nationaux et étrangers dont Abdelmalek Amine (Université de Saida), Otmane Ait Mohamed (Concordia University – Canada), Ladjel Bellatreche (ISAE-ENSMA, France), Mahieddine Djoudi (Université de Poitier), et Carlos Ordonez (Houston University – USA). Si la participation est «ouverte à tout le monde», l'Anglais «est la seule langue de travail» de cette rencontre scientifique consacrée aux applications de l'informatique. Sont partenaires de la CIIA 2013 les éditions «Springer», l'école nationale supérieure de mécanique et d'aéronautique (ENSMA – France), le Laboratoire d'Informatique et d'Automatique pour les Systèmes (LIAS - France), le laboratoire Signal, Image, Communications (SIC – CNRS, France), Concordia University (Canada), et le Réseau national de recherche «Formation et TIC» (Algérie).

Sur le choix de l'université de Saida, M. Djoudi explique : «Nous sommes déjà à la 4e édition de la conférence CIIA, après celles organisées en 2006, 2009 et 2011 toujours à Saida. Depuis le début, nous avons pris le pari d'organiser chaque deux ans une conférence internationale d'envergure au sein de cette université qui dispose d'un capital d'expérience et détient un potentiel de jeunes chercheurs très dynamiques. Un petit noyau de chercheurs confirmés qui ont une ambition de hisser l'université de Saïda au rang des grands établissements dans le domaine des technologies de l'information et de la communication», ajoute Mahieddine Djoudi. Invité à commenter le développement de l'informatique en Algérie estime que «comparativement aux autres disciplines de recherche, l'informatique est bien positionnée dans le classement des universités algériennes». Par contre «nous sommes encore très loin des pays développés et émergents du fait, notamment, que les produits de la recherche ne sont pratiquement jamais exploités dans l'environnement socio-économique».
 

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Conférence CIIA2013 à Saida - par djoudi
Le Département de Mathématiques et d'Informatique
de l'Université de Saida
 

Organise à Saida (Algérie)
 

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Algérie- Une base de données des recherches scientifiques disponible en ligne - par djoudi

 Algérie- Une base de données des recherches scientifiques disponible en ligne

La recherche scientifique et universitaire en Algérie subit un manque d’accès à l’information, malgré quelques initiatives d’instituts et d’établissements universitaires, qui archivent les travaux de leurs étudiants et doctorants au fil des ans.
Pour remédier à cet état de fait, un projet nommé Algerian Scientific Abstracts (ASA) a été initié en 1994 par le CERIST, suite à l’introduction d’internet dans le pays.

ASA est une base de données qui réunit les publications scientifiques et techniques et ce, au niveau du territoire national.

Parmi les disciplines prises en compte par l’ASA, citons les sciences exactes et techniques, les sciences sociales et humaines ainsi que les sciences naturelles.

Les travaux publiés dans des magazines ou revues scientifiques par des Algériens et ce, au niveau local, sont également répertoriés par l’établissement.

Dans le même ordre d’idées, le Système National de Documentation en Ligne (SNDL), mis en place l’an passé, permet l’accès à une large palette de thèses de recherches en cours, de mémoires et autres supports sur la toile.

La base de données ASA compte actuellement plus de 4000 ouvrages et publications.

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Elsevier Announces the Winners of the Algerian Senior and Early Career Researcher Awards in Chemistry - par djoudi

PR Newswire

AMSTERDAM, November 15, 2012 /PRNewswire/ --

Elsevier, a world-leading provider of scientific, technical, and medical information products and services, announces the winners of the Algerian Senior and Early Career Researcher Awards in Chemistry. The award ceremony was held on November 8 at the Sofitel in Algiers, Algeria.

The awards, sponsored by Reaxys®, are designed to highlight and reward two generations of chemists in Algeria. The criteria used to assess candidates included: recent publication history, publications in impactful journals, citations, and H-index. Award winners were selected by members of the General Directorate for Scientific Research and Technological Development from the Algerian Ministry of Higher Education & Research.

The Algerian Senior Researcher Award in Chemistry was awarded to Prof. Zahia Kabouche from the Université Mentouri Constantine. Prof. Kabouche has published extensively in the field of natural products chemistry. Her career began in 1987 at the University of Constantine. She is currently professor of Organic Chemistry and director of the Therapeutic Substances Laboratory at the Université Mentouri Constantine. Prof. Zahia was presented with a trophy and one of Elsevier's major reference-works.

The Algerian Early Career Researcher Award was awarded to Mr. Dr. Khaldoun Bachari from the Centre de Recherche Scientifique et Technique en Analyses Physico-chimiques CRAPC. Dr. Bachari's research is in the field of mesoporous materials. His career began in 2000 at the Université of Sciences and Technology Houari Boumediene (USTHB). He is currently a research director and the President of the scientific board of the Centre de Recherche Scientifique et Technique en Analyses Physico-chimiques CRAPC. In recognition of his award, Dr. Khaldoun Bachari will be provided with funding to enable his attendance at a leading European chemistry conference in 2013.

"In science it is a sacred duty for us to discover the truth and it is a researcher's duty to protect science," said Professor Hafid Aourag, Director General of Scientific Research of the Ministry of Higher Education, Algeria in his congratulatory speech at the award ceremony. "I am very pleased we are meeting tonight to honour two of our nation's most distinguished researchers."

"For Reaxys, our goal is to enable researchers to do what they do best: make new discoveries", said Dr. David Evans, Scientific Affairs Director, Reed Elsevier Properties SA. "To help them do this, we strive to deliver the right information to them at the right time in the right context. Initiatives like these awards help motivate the scientific community to drive new discovery and ultimately bring exciting results and innovations."

About the Algerian Ministry of Higher Education & Research
The Ministry of Higher Education and Scientific Research is the department responsible for the development and the progress of the academic sector and scientific research in Algeria. To achieve these objectives, the ministry has created two institutions: The Research Centre on Scientific and Technical Information (CERIST) was founded in 1985 with the primary objective to implement programs of scientific research and technological development in the field of information science and technology. The General Directorate for Scientific Research and Technological Development (DG-RSDT) came into being in September 2009, and was set up by law # 08-05 of February 23, 2008, which defines the five-year scientific national research plan (2008-2012), expected to move the Algerian research system to excellency for a sustainable development. By this law, the DG-RSDT is the principal enabler of national scientific research and development.

About Reaxys
Reaxys® is a workflow solution for research chemists. Offering a wealth of experimentally validated information, Reaxys® combines reaction and substance data in organic, organometallic, inorganic and physical chemistry with synthesis planning. Researchers can get the information they need in a single overview, from source publications carefully selected for their importance and relevance to research chemists. Elsevier continues to engage with the chemistry community to ensure that Reaxys® continues to reflect how chemists think and work. https://www.reaxys.com/info/

Reaxys® and the Reaxys® trademark are owned and protected by Reed Elsevier Properties SA. All rights reserved

About Elsevier
Elsevier is a world-leading provider of scientific, technical and medical information products and services. The company works in partnership with the global science and health communities to publish more than 2,000 journals, including The Lancet and Cell, and close to 20,000 book titles, including major reference works from Mosby and Saunders. Elsevier's online solutions include ScienceDirect, Scopus, Reaxys, ClinicalKey and Mosby's Nursing Suite, which enhance the productivity of science and health professionals, and the SciVal suite and MEDai's Pinpoint Review, which help research and health care institutions deliver better outcomes more cost-effectively.

A global business headquartered in Amsterdam, Elsevier employs 7,000 people worldwide. The company is part of Reed Elsevier Group PLC, a world-leading publisher and information provider, which is jointly owned by Reed Elsevier PLC and Reed Elsevier NV. The ticker symbols are REN (Euronext Amsterdam), REL (London Stock Exchange), RUK and ENL (New York Stock Exchange).

Media contact
Harald Boersma
Senior Manager Corporate Relations Elsevier
+31-20-485-27-36
h.boersma@elsevier.com

 

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Dernier Appel à la mise en ligne des projets PNR - par djoudi

Dernier Appel à la mise en ligne
des projets PNR et des rapports d'étape sur la plateforme "pnr.nasr.dz"

Date limite 15 novembre 2012


 

 

Il nous a été signalé d’importants retards dans le versement de la première tranche (25%) des rétributions des enseignants-chercheurs impliqués dans les PNR, ainsi que des difficultés rencontrées par des chefs de projets dans l’utilisation de leurs budgets de fonctionnement. Le Directeur Général a donné instruction afin que ces dysfonctionnements soient inventoriés et discutés avec les principaux responsables des établissements de domiciliation des projets. Il nous est très difficile de changer les domiciliations des projets d’un établissement à un autre, mais peut être qu’il y a lieu d’envisager une gestion centralisée au niveau du Vice-Rectorat de la Recherche, pour les projets en souffrance, où des conflits d’intérêts persévèrent.

Par ailleurs, Il est impératif que l’ensemble des porteurs de projets, ainsi que les chercheurs impliqués dans les PNR intègrent les données de leur projet sur la plateforme CERIST (pnr.nasr.dz). Seuls les projets mis en ligne sur la plateforme seront éligibles au financement de la deuxième année (rétribution et fonctionnement). Les chefs de projets PNR sont invités à compléter la saisie des données sur la plateforme, avant le 15 novembre 2012, délais de rigueur.

Les experts des projets PNR devront valider entre le 15 et le 20 novembre 2012 leur rapport d’étape sur la base des données intégrées dans la plateforme. Les projets non saisis ne seront pas reconduits de fait.

Mise en ligne le 24 Octobre 2012
Pr M. Sellami, DPREP

 

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la diaspora algérienne dans l’attente de signaux forts du gouvernement - par djoudi

 

Le colloque sur la contribution de la diaspora algérienne à l’investissement en Algérie organisé, par les associations REAGE et AIDA le 11 octobre 2012 à Paris, a attiré selon les estimations d’un des organisateurs environ 250 personnes en provenance de France et d’Angleterre.

De notre

envoyé à Paris

Ils étaient pour la plupart en quête d’informations susceptibles de les conforter sur la volonté du gouvernement algérien de solliciter sincèrement leur contribution en leur facilitant notamment le travail d’approche. Ils ne trouveront malheureusement rien de nouveau dans les informations qu’ils ont pu glaner au niveau des institutions publiques et associations algériennes présentes à ce forum. Rien également au niveau des exposés qui se sont contentés de dresser un état des lieux déjà connu au moment où les élites expatriées présentes attendaient surtout de saisir, à travers le discours de notre ambassadeur en France, des signaux forts du gouvernement algérien.

Des signaux forts, il n’y en aura point et notre diaspora qui a déjà fort à faire dans le pays d’accueil continuera légitimement à attendre que quelque chose de nouveau, mais surtout de positif se passe en Algérie pour éventuellement prendre une décision en matière d’investissement. Evoquée périodiquement à coups de slogans plutôt que d’objectifs concrets et de moyens pour y parvenir, la question de la contribution de notre diaspora n’a de ce fait pas connu d’avancée notable. La question revient en effet de façon récurrente depuis la fin des années 1970, période à laquelle les autorités du pays avaient nourri l’espoir de la faire participer au développement du pays en offrant notamment aux élites les mieux formées des carrières dans nos universités et centres de recherche.

En faisant valoir des considérations d’ordre patriotique et sentimental plutôt que des garanties d’utilisations rationnelles bénéfiques, aussi bien pour le pays que pour les concernés, les appels des autorités politiques algériennes se sont constamment avérés  infructueux. Peu d’élites expatriées ont en effet tenté l’aventure de s’installer dans leur pays d’origine et pour ceux qui ont pris le risque de le faire, la déception suivie d’un retour à la case départ a souvent couronné l’initiative. Il faut dire qu’il a toujours existé dans notre pays un net décalage entre le discours politique favorable à un  recours intensif à notre diaspora et la réalité du terrain faite, comme on le sait, de réticences au recours aux élites expatriées que d’aucuns, parmi les responsables en poste, considèrent comme des concurrents potentiels.

La machine bureaucratique est alors actionnée pour les dissuader de se mettre au service de leur pays. Mais, pire encore, les machinations destinées à dissuader ces élites à revenir dans leur pays affecteront également les diplômés locaux qui sortent des universités algériennes et qu’on encouragera par toutes sortes de moyens pernicieux à quitter l’Algérie pour se mettre au service de pays étrangers. C’est ainsi qu’en moins de trente années, la diaspora algérienne à l’étranger aurait atteint le chiffre astronomique de 300 000 personnes, selon les estimations du REAGE.

Que de promesses non tenues !

Les données économiques et sociales plaidant aujourd’hui pour un appel à ces élites qui disposent, il est vrai, d’un très fort potentiel de contribution à l’effort de développement, il est dans la logique des choses de solliciter leurs apports et contributions multiformes, notamment en matière d’investissement et de création d’entreprises. Mais l’efficacité de la communication en direction de ces élites requiert que l’on change de méthode et qu’on abandonne l’approche sentimentale qui a montré son inefficacité, au profit d’une méthode plus pragmatique consistant à considérer les élites expatriées non pas comme des personnes tenues de remplir un devoir patriotique, mais comme des acteurs économiques autorisés à bénéficier des retombées positives de leurs actions. Il faut dire que ces dernières offrent la particularité d’être bien intégrées dans leur pays d’accueil, où elles ont, selon le cas, créé des entreprises, lancé des affaires qui marchent ou recrutées à de bons postes d’enseignants et chercheurs dans les universités et centres de recherche.

Elles n’envisagent une relation avec leur pays d’origine que dans la mesure où elles ont quelque chose à y gagner et qu’elles y partent avec un maximum de chances de réussite. On ne peut évidemment que comprendre ce souci de garantie quand on connaît l’instabilité juridique et le manque de visibilité économique qui prévalent dans notre pays, au point d’avoir valu de sérieux déboires aux élites expatriées qui s’y sont aventurées imprudemment sans prendre le soin de mesurer les risques financiers et managériaux qui les attendaient. Ce souci est d’autant plus compréhensible que les possibilités d’emploi et d’investissement sont énormes à travers le monde, où de nombreux pays sont en concurrence pour les attirer en rivalisant sur les avantages incitatifs.

L’Algérie ne semble malheureusement pas s’inscrire dans cette logique et en dépit des discours d’intention, force est de constater que rien de sérieux n’est malheureusement fait pour rendre le pays attractif aux investisseurs, en général, et à notre diaspora en particulier, qui pourrait, à l’évidence, jouer un rôle considérable en matière de promotion de l’investissement, de création d’entreprises, d’accompagnement des exportations hors hydrocarbures et de recherche-développement. Les appréciations malheureusement négatives des institutions internationales (Banque mondiale, FMI, etc.) que ces élites ne manquent pas de lire ne sont à l’évidence pas faites pour les inciter à engager de sitôt une aventure économique en Algérie. N’étant pas dans le besoin, il est bien évident que nos élites expatriées n’agiront en faveur du développement de leur pays que lorsque les gouvernants algériens auront enfin consenti à opérer les changements structurels souhaités. Ce que ces derniers ne sont, sommes nous forcés de constater, pas du tout pressés de faire.
 

 

Nordine Grim, El watan
 

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Conférence ICACIS 2012 à Batna - par djoudi
Le Laboratoire LaSTIC &
Le Département d'Informatique de l'Université de Batna

En partenariat avec le Réseau FORMATIC

Organisent à Batna (Algérie)

ICACIS2012

International Conference on Advanced
Communication and Information Systems


du 12 au 13 Décembre 2012
ICACIS 2012

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CARI'2012 à Alger - par djoudi

Des chercheurs de plusieurs pays africains sont présents à la 11e édition du colloque sur la recherche en informatique et en mathématiques.

Les chercheurs en informatique «sont les plus prolifiques» en Algérie avec trois publications par an. C’est Abdelhafid Aourag, directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT) au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, qui l’a confirmé, hier, lors du colloque africain sur la recherche en informatique et en mathématiques appliquées qui tient sa 11e édition à Alger.

M. Aourag a souligné à cette occasion que l’Etat algérien «a investi dans 19 universités pour créer des centres de calcul intensif dans le but de développer des supercalculatrices». Ce qui permettra, d’après ses dires, de figurer dans le top 100 de l’informatique.
L’un des grand défis à relever dans le domaine de la recherche scientifique est d’«établir la présence et la place de l’Algérie dans le domaine du calcul intensif», a estimé M. Aourag, rappelant que notre pays était, dans les années 1980, «parmi les leaders» en la matière. Et d’ajouter : «Des moyens sont mobilisés dans le but de relever les défis en matière de soutien et de consolidation du développement des TIC par la concrétisation des projets lancés et en cours, notamment dans le domaine spatial et en calcul de haute performance.» L’informatique est «un domaine d’excellence» pour la recherche. Elle constitue par conséquent une priorité pour l’Etat algérien, a indiqué M. Aourag à l’ouverture de ce colloque.

Il a souligné, en outre, la nécessité de créer une «synergie» entre les pays africains en matière de TIC, affirmant que l’Algérie «peut être la locomotive de ce développement» à condition que les Africains manifestent leur volonté de coopérer. Un programme «riche et diversifié» est au menu de ce colloque de quatre jours, au quel participent des chercheurs de plusieurs pays africains spécialisés notamment dans la bio-informatique, le calcul scientifique, les méthodes numériques et les systèmes d’information décisionnels.
Il convient de préciser que le programme comporte 62 communications scientifiques sélectionnées parmi 166 articles soumis et des conférences animées par des spécialistes de renommée internationale.

 

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Microsoft intègre tamazight dans le Windows 8 - par djoudi

La société Microsoft a décidé d’intégrer la langue amazighe dans son logiciel Windows 8. L'alphabet choisi est le tifinagh.


Curieusement, un milliardaire saoudien, Walid Ibn Talal, s'est opposé farouchement à ce projet. En quoi l'introduction de tifinagh dans le monde des TIC et de la communication moderne pose-t-il problème à cet étranger à la langue et culture berbères ?


La cérémonie de lancement de cette innovation a, malgré tout, eu lieu, hier, à 10h, à Rabat. Le Maroc étant le premier pays maghrébin où tamazight est langue officielle.
 

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Convention de partenariat entre l’université de Constantine et Algérie Télécom - par djoudi

Une convention cadre de partenariat dans les domaines de la recherche, de la formation, du perfectionnement et des études entre l’université Mentouri de Constantine et Algérie Télécom a été signée mardi au cours d’une cérémonie organisée en présence du recteur, Abdelhamid Djekoun, et le président-directeur général d’Algérie Télécom, Azouaou Mehmel.

Cet accord prévoit d’assurer un encadrement et une formation pour les ressources humaines en adéquation avec l’évolution des technologies de l’information et de la communication, et l’instauration d’un dialogue en profondeur sur le long terme dans un esprit d’ouverture et de réciprocité.

Cette convention prévoit une formation professionnalisée des étudiants à la faveur des stages, d’encadrements et de définition des projets, le développement, en collaboration, des travaux de recherche en tenant compte des préoccupations de l’entreprise dans le domaine des TIC, la participation à l’élaboration de programmes de formation des systèmes de communication et l’organisation de rencontres scientifiques.

En outre, d’anciens équipements en cours de remplacement par Algérie Télécom seront cédés à l’université pour constituer un support pédagogique à même d’apporter un "plus" à la qualité de la formation dispensée dans le domaine des TIC.

Le recteur de l’université a fait part, au cours de cette cérémonie, de la détermination de l’université Mentouri de "s’ouvrir davantage sur son environnement et d’améliorer la qualité de la formation dispensée tout en enrichissant en permanence ses programmes".

Pour sa part, le P-DG d’Algérie Télécom a précisé à l’APS que son entreprise "aspire à se rapprocher du monde universitaire" car, a-t-il considéré, "nous avons constaté qu’il existe à l’entreprise un problème de formation qui doit être impérativement réglé étant donné qu’il y a un écart entre les programmes dispensés à l’université et les besoins réels de l’entreprise".

C’est pourquoi, a-t-il ajouté, "nous avons décidé d’intervenir en amont en concluant cet accord de manière à gagner du temps et permettre aux étudiants et aux enseignants d’être à jour par rapport aux technologies nouvelles".

De la sorte, a encore soutenu Azouaou Mehmel, "nous disposerons d’une ressource immédiatement opérationnelle sur le terrain, de même que nos cadres ne seront pas déconnectés de la réalité du monde de la recherche et de l’université".

Le P-DG d’Algérie Télécom a également affirmé que l’expérience sera généralisée à d’autres universités du pays, dans tous les domaines d’activité.

Rappelant que des conventions de partenariat ont déjà été établies avec les universités de Bab Ezzouar et de Mostaganem, le même responsable a précisé qu’Algérie Télécom, en tant qu’opérateur de réseaux ayant des objectifs de performance, a besoin de ressources humaines spécialisées pour espérer s’ouvrir à l’avenir aux marchés à l’étranger".

De son côté, un des initiateurs de l’accord, le Pr. Zoheir Hamoudi, du laboratoire SISCOM (Signaux et systèmes de communication) relevant du département d’électronique de l’université de Constantine, a estimé que l’idée est venue d’un constat.

"Ayant constaté un manque au niveau de ses équipements, le laboratoire a sollicité l’entreprise Algérie Télécom qui procédait au renouvellement de son parc afin qu’elle nous cède l’ancien matériel pour qu’il serve à la formation des étudiants".

Pour sa part, le Pr. Tarek Chellali, du même laboratoire, a indiqué à ce propos que c’est sur la base d’un accord win-win (gagnant-gagnant) que le laboratoire a argumenté pour "vendre cette idée".

APS


 

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L’échec du FAUDTIC ou l’illustration du retard pris dans le programme e-Algérie - par djoudi

L’objectif de l’appropriation des Technologies de l’information et de la communication (TIC) et du développement d’une économie numérique, par la création des conditions adéquates permettant le développement intensif de l’industrie des TIC, assigné dans le programme e-Algérie, n’a pas été atteint, près de 4 années après son élaboration. L’échec du FAUDTIC reflète de la production marginale du contenu numérique en Algérie.

  

 

L’Algérie occupe toujours le peloton de derrière en matière de l’apport des TIC dans l’économie d’un pays. Elle est classée, selon le rapport mondial sur les technologies de l’information et de la communication, « The global information technology report 2012 », du Forum économique mondial, à la 118ème place sur 142 pays. Selon ce même rapport, l’Algérie « est à la traîne et ne bénéficie pas des impacts de transformation des TIC, en particulier dans son économie». « Le faible niveau de développement des infrastructures TIC, conjugué à l’insuffisance des compétences disponibles, traduit la faiblesse du taux d’absorption des technologies notamment par les entreprises et les particuliers». Le rapport explique ce mauvais classement par un climat des affaires « très défavorable, agissant comme un frein à l’innovation et limite la capacité des efforts, déjà rares, visant à accélérer l’impact de l’innovation sur le plan économique ». Le volume des investissements dans le secteur des technologies de l’information et de la communication ne compte que 4% du PIB, reconnait le ministre de la Poste et des TIC, Moussa Benhamadi. Le rapport conclut à un manque de volonté politique, en dépit de la disponibilité des ressources. Ainsi, la production du contenu numérique reste marginale, malgré les différentes mesures d’incitation fiscale pour la généralisation de l’utilisation des TIC et le développement de contenus numériques. Les pouvoirs publics ont mis en place différents mécanismes pour encourager la production nationale de contenus numérique. Le Fonds d'Appropriation des Usages et du Développement des Technologies de l'Information et de la Communication (FAUDTIC) est l’un des mécanismes de financement phare du programme e-Algérie, notamment dans son volet relatif au contenu. Il est aussi, en revanche, l’illustration de l’échec des initiatives voulant promouvoir une industrie nationale du contenu.

 

Diffuser à large échelle l'information sur le FAUDTIC

 

Cette initiative n’a pas atteint les objectifs escomptés. Ces initiateurs ont péché par le manque de travail de marketing qui devait se faire pour vulgariser les objectifs de la création de ce Fonds. « Le FAUDTIC a été proposé dans le cadre du programme e-Algérie, dans le but d’aider au développement et à l’utilisation des TIC, comme cela se fait à travers le monde. Malheureusement, en Algérie le Fonds a été créé, sans que certaines procédures ne soient suffisamment réfléchies », estime l’expert et consultant en TIC, Younès Grar. Selon lui, des textes juridiques permettant sa mise en en œuvre immédiate n’ont pas été promulgués d’où le retard pris pour qu’il soit opérationnel. « Il y a eu un certain déphasage, ce qui n’a pas permis l’exploitation du fonds convenablement », regrette-t-il. Le FAUDTIC a été mise en place par la loi n°08-21 du 30 décembre 2008. Ce fonds de 7 milliards de DA compte sur les subventions de l'Etat, le reversement par l'Autorité de régulation des postes et télécommunications (ARPT) de la contribution à la recherche, à la formation et à la normalisation en matière de télécommunications et autres financements, dons et legs ainsi que les dépenses liées à toutes les actions en liaison avec le programme stratégique e-Algérie. Le fonds a financé des projets limités. Par manque de diffusion de l’information, ils ne sont pas nombreux à avoir profité de ce fonds. Disposant d’un site internet, le fonds suscite accroche très peu. Un appel à manifestation d’intérêt en faveur des porteurs de projet dans le domaine des TIC a été lancé par le ministère de la Poste et des TIC le 20 novembre 2011 pour bénéficier des prestations du Fonds. Aucun résultat. « Les gens ne font pas forcément confiance à ce genre d’initiatives, redoutant un énième fait d’annonce. Il faut qu’il y ait un travail de vulgarisation à travers les journées portes ouvertes, des conférences et des séminaires. Il faut également présenter les expériences réussies », recommande notre interlocuteur.

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300.000 cadres dirigeants et chefs d’entreprises algériens établis à l’étranger (AIDA) - par djoudi

Quelque 300.000 cadres dirigeants et chefs d’entreprises algériens sont établis à l’étranger, a estimé mercredi à Alger M. Abdelouaheb Rahim, président de l’Association internationale de la diaspora algérienne (AIDA).

La majorité de ces cadres dirigeants et chefs d’entreprises (environ 80%) vivent actuellement en France, a précisé M. Rahim lors d’une conférence de presse annonçant la tenue le 11 octobre prochain à Paris d’un colloque sur le thème "Algérie : potentiel croissance et opportunités d’investissement".

Concernant la règle 51/49 % appliquée aux investissements étrangers en Algérie, il a indiqué que c’est une règle qui existe dans plusieurs pays du monde et "n’a jamais constitué un frein pour l’investissement, notamment pour les PME et PMI".

S’agissant du colloque à Paris, il a expliqué que cette rencontre, organisée à l’occasion du 50ème anniversaire de l’indépendance, en partenariat avec le réseau des Algériens diplômés des grandes écoles et universités françaises (REAGE), s’adresse en particulier aux investisseurs, cadres et entrepreneurs algériens établis à l’étranger.

La rencontre intéresse aussi tous les investisseurs internationaux désireux de s’informer sur l’Algérie et les opportunités offertes par l’évolution de son économie, a-t-il expliqué.

Elle a comme objectifs de présenter la nouvelle dynamique économique (hors hydrocarbures) de l’Algérie et de faire découvrir les opportunités d’affaires offertes par le développement des filières et écosystèmes en émergence dans certains secteurs porteurs tels que l’agroalimentaire, les services, la distribution et les TIC.

AIDA, dont le siège est à Genève et qui a été lancée en mai dernier à Londres, se présente comme une association à but non lucratif sans appartenance politique qui a pour objectif de regrouper toute la diaspora algérienne de par le monde afin de promouvoir, de faciliter son intégration et la faire contribuer au développement et à l’émergence de l’économie algérienne.

APS

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Le projet de télémédecine devrait aboutir en 2013 - par djoudi

Annoncé en juillet 2011, lors de la signature d’une convention entre les ministères de la Santé et des PTIC, le projet de télémédecine avance lentement. Il est toujours au stade de la simulation. Son lancement effectif est prévu « probablement en début de l’année prochaine », selon Mohamed Lakroum, directeur de Marketing au sein de l’ANPT.

 

 

 

L’agence nationale de promotion de parc technologique (ANPT) a été chargée, par la tutelle (Ministère de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication - MPTIC), de la mise en place du volet technique, à savoir un réseau de pilotage de télémédecine en Algérie. Le projet consiste à relier les centres hospitalo-universitaires (CHU) du Nord du pays à des établissements hospitaliers du sud. Il s’agit de trois CHU d’Alger (Mustapha Bacha, Bab-El Oued, Beni Messous), de Constantine et d’Oran, lesquels prendront en charge douze établissement du sud (Adrar, Tamanrasset, Tindouf, Illizi, El Bayadh, Ouargla, Ghardaïa, Naama, Laghouat, Bechar, Biskra et El Oued). Un site central a été désigné au sein de l’Agence en tant plateforme technique de pilotage du réseau.

Selon M. Lakroum, afin d’assurer une réussite certaine de ce projet, « il a fallu, dans un premier temps, lancer l’expérience d’un réseau type de télémédecine constitué de deux EPH du Sud en l’occurrence ceux de Laghouat et Bechar, et le CHU de Bab El Oued ». Il fallait « une simulation pour voir ce que ça allait donner » avant de poursuivre la seconde étape de généralisation aux établissements concernés. L’ANPT va s’atteler à développer le reste du réseau. Le projet est conçu pour offrir d’importants services, notamment en faveur des zones enclavées qui souffrent du problème du transfert des malades et de manque de médecins spécialistes. Il permettra d’assurer l’accessibilité aux soins de santé à distance, allant des transferts des données à l’action directe du praticien sur le malade. Il assurera également, les applications de téléconsultations, de téléassistance, de télédiagnostic, de télé-expertise et de formation continue à distance.

Pour ce qui est du financement, selon M. Lakroum, la partie réseau du projet de télémédecine sera financée entièrement par le Fonds d’appropriations des usages et du développement des technologies de l’information et de la communication (FAUDTIC), créé par le MPTIC, et alimenté à hauteur de 7 milliards de dinars. Créé dans le cadre du programme e-Algérie, ce Fonds est destiné au financement des projets des administrations publiques, entreprises, associations professionnelles TIC et usagers des TIC. Quel est la part consacrée à ce réseau de télémédecine ? Selon notre interlocuteur, l’enveloppe totale n’est pas connue, car le projet avance toujours, et l’achat du matériel dépendra du choix du fournisseur et des prix qui évoluent sur le marché international. Rappelons que le ministre des PTIC, Moussa Benhamadi, avait déjà annoncé, précisément lors de la signature de la convention, que le lancement du projet pilote entre son département et celui de la Santé devrait couter entre 40 à 50 millions de dollars. Et de préciser que les équipements de vidéo-conférence coûtent environ 20.000 dollars pour chacun des 12 établissements publics hospitaliers retenus pour ce projet.

 

Des expériences concluantes par le passé

 

Le choix et l’achat des équipements est du ressort du ministère de la Santé et d’Algérie Télécom qui sera maillon technologique essentiel du projet, c'est-à-dire, le propriétaire de l’infrastructure réseau de Télémédecine. Selon le directeur de la communication du MPTIC, Meziane Zoheir, la concrétisation de ce projet n’est pas une chose aisée et nécessite un financement important et des ressources humaines hautement qualifiées. Il poursuit en affirmant que le projet nécessite des équipements de pointe et un réseau performant de très haut débit de type VSAT. Pour Meziane Zoheir, « on ne peut pas engager des actions pour qu’elle soit interrompue à n’importe quel moment, car il s’agit de la santé et de la vie humaine ». Pour lui, le projet avance dans les délais, « il est actuellement en stade de la simulation, une façon de s’assurer de la fiabilité du réseau et des données.

A noter que, selon des experts du Centre de développement des technologies avancées (CDTA – Baba Hassan, Alger), le projet de télémédecine date de 2007. Plusieurs expérimentations ont été menées depuis novembre 2007, avec l’utilisation de la plateforme de télémédecine entre les hôpitaux Birtraria d’Alger et celui de Ouargla situé à plus de 800 km au sud du pays. Il s’agissait, selon la même source, d’un cours donné par le Professeur Moussa Achir de l’hôpital de Birtraria en faveur de médecins de l’hôpital d’Ouargla. Cette expérience avait été renouvelée durant la même année avec des séances de télédiagnostic, de présentation de cas de maladies graves, puis une intervention chirurgicale au niveau de l’hôpital de Ouargla assistée par le Professeur Achir depuis le CDTA.

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L’Algérie déterminée à promouvoir une industrie nationale du contenu - par djoudi

L’Algérie est déterminée à promouvoir une industrie nationale du contenu devant accompagner l’effort de généralisation des technologies de l’information et de la communication (TIC), a affirmé hier à Alger le ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, M. Moussa Benhamadi. «Cette volonté s’est déjà traduite par les mesures incitatives précédemment adoptées par l’Etat et portant notamment sur l’abaissement de la TVA sur les kits servant à l’assemblage d’ordinateurs», a indiqué M. Benhamadi à l’ouverture de la 9e édition du Salon international des technologies de l’information (Med-IT 2012).

Le ministre a mis également en exergue les nouvelles mesures incitatives portant sur l’exonération des droits et taxes de toute production numérique, ainsi que l’hébergement de sites web et l’accès à Internet. «Nous nous employons aujourd’hui davantage à ce que ces mesures fiscales d’encouragement de la création numérique (...) puissent permettre l’accélération du processus de développement de contenus locaux et l’émergence de start-up innovantes», a-t-il dit. Il a appelé, à cet effet, à la mobilisation de «nos ressources humaines à même de permettre un développement endogène, générateur de richesses, de croissance et d’emploi».

Concernant le salon Med-IT, M. Benhamadi a indiqué que cette manifestation économique constitue une opportunité pour les échanges non seulement entre les professionnels mais aussi pour le grand public algérien constitué essentiellement de jeunes en quête de nouveautés dans le domaine des TIC.

De son côté, le secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargé de la Prospective et des Statistiques, M. Bachir Messaitfa, qui a pris part à l’inauguration du salon, a exprimé la «volonté politique» du gouvernement algérien de «booster» le secteur des TIC, de réhabiliter et de mobiliser tous les services publics pour répondre aux attentes des citoyens. Il a affirmé, d’autre part, que le gouvernement ne permettra jamais à l’Algérie d’être un «souk» où les entreprises étrangères activant dans les TIC viendraient écouler leurs produits. L’Algérie opte, ainsi, pour des partenariats, l’investissement et le transfert technologique, a-t-il souligné.

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L’Algérie peut générer 2% de croissance supplémentaire grâce aux TIC - par djoudi

Dans cet entretien, l’expert du bureau d’audit Ernst and Young présente les innovations technologiques qui vont bouleverser le marché mondial des TIC d’ici à 2015. Il expose de manière didactique les gains que procurent les TIC à l’économie et souligne que le potentiel de croissance de ce secteur est plus important en Algérie qu’en France.

Liberté : Quelles sont de manière succincte les grandes tendances en matière d’innovations technologiques sur le marché mondial des TIC à l’horizon 2015 ?

Philippe Ausseur : Permettez-moi tout d’abord de fixer l’importance de ce marché en illustrant par un chiffre : les industries des TIC et leurs marchés représenteront à l’échelle mondiale plus de 2 500 milliards d’euros à l’horizon 2015. Il s’agit donc d’un marché considérable, moteur de changements profonds.
À l’horizon 2015, le marché des TIC s’inscrira probablement dans un contexte de nouvelles infrastructures plus performantes et l’accélération du développement et du déploiement de nouvelles technologies. Concernant les infrastructures, on peut notamment citer :
- des composants électroniques de petite taille supportant des capacités de calcul plus importantes ;
- une connectivité internet très haut débit continue et nomade, bénéficiant des développements des technologies électroniques de base (nano, opto, etc.) ;
- des réseaux tout IP permettant de réduire les coûts et offrant des performances accrues ;
- une plus grande efficacité énergétique des composants, systèmes et réseaux, permettant un développement optimisant les consommations de ressources ;
- une informatique de plus en plus ouverte et de plus en plus en cloud. L’avènement du mode “nuage” constitue d’ailleurs la principale “révolution” depuis le développement d’Internet ;
- une proximité très forte avec les métiers à mesure que les TIC deviennent de plus en plus critiques dans leur fonctionnement.
L’innovation s’inscrira dans un contexte de convergence numérique et d’explosion des usages des contenus et des services numériques via des accès internet et des terminaux multiples. En matière de simulation, de formation, d’e-business, la réalité augmentée va amener un essor considérable de ces services et de nouvelles façons de concevoir, produire, vendre et diffuser.

Comment voyez-vous les stratégies et les systèmes d’information qui seront développés d’ici à cette échéance sur le marché des technologies de l’information et de la communication ?
On peut esquisser quelques grandes tendances à l’horizon 2015. Tout d’abord, il semble clair que ce secteur se focalisera sur des efforts d’industrialisation et de standardisation pour répondre à la pression des clients. Il est important que ces technologies soient les plus standardisées et modulaires possibles, à l’instar de ce qui se fait dans les autres industries. Cette intégration de systèmes sophistiqués et de plus en plus complexes nécessitera aussi d’importantes capacités à modéliser cette complexité et à la gérer.
Mais ceci ne suffira pas. En effet, tous ces terminaux, machines et objets devront se connecter à internet pour aller chercher ou échanger des informations. Il faut donc pouvoir s’appuyer sur des infrastructures télécom/IT dans le réseau internet et/ou des opérateurs. L’intégration des nouvelles technologies dans les produits et services n’est donc possible que si cette infrastructure est utilisable à des coûts non prohibitifs. Elle requiert aussi d’être déployable à grande échelle, ce qui suppose une bonne gestion des masses de données considérables récoltées dans les systèmes d’information et une prise en compte des données dans les processus de décision. Ceci aura bien entendu un impact sur les profils et les compétences des concepteurs et développeurs qui seront demain autant des architectes/bâtisseurs que des urbanistes des systèmes d’information. C’est pourquoi la formation est critique pour le développement des TIC.
Enfin, l’utilisateur doit être au cœur de cette innovation. Il doit être capable d’utiliser les nouveaux produits et services, sans forcément maîtriser l’ensemble des technologies. Les innovations devront donc amener des solutions intuitives centrées sur les usages plus que sur les technologies.

Que suggérez-vous pour que l’Algérie introduise de façon rapide les innovations en matière de technologies de l'information et de la communication ?
Rappelons tout d’abord que les TIC jouent un rôle majeur dans le développement des économies en assurant une plus grande disponibilité de l’information et en favorisant les échanges. L’impact des TIC va donc bien au-delà du secteur informatique et technologique lui-même avec une contribution forte à la productivité de tous les autres secteurs, en offrant des outils d’échange, de simulation et de stockage de l’information. Les bénéfices des TIC se retrouvent ainsi dans tous les pans de l’économie, du transport (gestion des trajets et des itinéraires), à l’architecture (conception et simulation en 3D) en passant par le commerce (gestion des stocks en temps réel), l’énergie (réseau électrique intelligent) ou la santé (suivi des patients, télémédecine). Pour l’État lui-même et les services publics, les gains sont également très importants grâce à la dématérialisation et la mise en réseau (internet). Pour un pays, les TIC sont donc une priorité et elles doivent être soutenues et promues. Elles ont un impact direct sur la croissance. Il est démontré que l’utilisation efficace des produits et services TIC est un véritable accélérateur de compétitivité. De nombreux rapports (FIEEC, Syntec Informatique, AFDEL…) convergent pour démontrer qu’une économie comme la France bien irriguée par les TIC peut générer 1% au moins de croissance supplémentaire du PIB et plus de 500 000 emplois créés ou sauvegardés. Pour une économie comme l’Algérie, on peut raisonnablement penser que ces chiffres peuvent être doublés. C’est donc un véritable investissement capable de générer des retours importants et rapides. Il me semble donc indispensable que l’Algérie favorise les innovations en matière de TIC. Elle doit pour cela engager une politique globale et incitative en jouant sur l’ensemble des leviers à sa disposition : formation, incitations fiscales et économiques, soutien et animation de la filière.
Mais soyons clairs : ceci ne peut pas se faire en autarcie sans acceptation d’investissements et d’échanges avec les leaders étrangers.
C’est en permettant et simplifiant l’accès à ces produits et technologies mondialement reconnus et déployés qu’une fertilisation de l’écosystème algérien se réalisera. En la matière et peut-être plus qu’ailleurs, le repli sur soi est contre-productif. Seule l’ouverture, la coopération et l’esprit d’entreprendre permettront l’émergence de TIC fortes en Algérie y compris à terme d’une filière nationale. Car le pays peut s’appuyer sur des talents et un marché prometteurs qui permettent l’émergence d’une génération “d’e-entrepreneurs” algériens.

 

El Watan

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Nouveau siège de la DG-RSDT - par djoudi

Le nouveau siège de la DG-RSDT

est à EL-MADANIA

Adresse:

123 Chemin Mohamed Guassem, El-Madania

Nouveaux contacts:

  • Secrétariat Directeur Général: 021 27 86 20
  • Secrétariat Directeur d'Etudes: 021 27 88 18
  • Les autres numéros bientôt disponibles

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Conférence Cybercriminalité - par djoudi

 

Sous le Haut Patronage de

l'Institut National de la Poste et des Technologies

de l'Information et de la Communication

 

Association Algérienne

de la Sécurité des Systèmes d'Information

vous invite

 

Conférence Cybercriminalité
& AG Constitutive AASSI

Lundi 25 juin 2012
de 13h30 à 17h

 

 

 

 

Invitation Gratuite (Places limitées)

 

L'utilisation de l'internet fait désormais partie du quotidien du XXIe siècle, mais

elle s'accompagne en même temps de dangers et de risques innombrables,

qui augmentent dans la même proportion.

La prise en compte de la Sécurité de nos Systèmes d'Information, que ce soit pour

nos entreprises & organismes ou pour nos enfants n'est plus un luxe mais une

obligation que tout un chacun se doit de prendre en considération.

L'Institut Nationale de la Poste et des technologies de l'information et de la Communication

& l'Association Algérienne de la Sécurité des Systèmes d'Information

ont le plaisir de vous inviter à la conférence Cybercriminalité qui au lieu

le 25 juin 2012 à 13h30.

Au programme

- 13h30 : Ouverture de la conférence (Rachid OUTEMZABET, Directeur Général INPTIC)

- 13h45 : Conférence Cybercriminalité
(Mehdi ZAKARIA, Directeur Général UNIDEES)
- Stuxnet, Duku, Flame : l'ère de la cyberguerre & nouvelle arme d'état ?
- Les réseaux sociaux, véritable terrain favorable pour les cybercriminels
- Hacktivisme, du militantisme à la criminalité

- Mobile, évolution exponentielle des attaques
- Botnet, infrastructure privilégiée des cybercriminels
- Tendance des menaces 2012 & 2013

- 15h30 : Pause café

- 15h45 : Assemblée Générale Constitutive de l'Association Algérienne de la Sécurité

des Systèmes d'Information (Reda TOUATI, RSSI Air Algérie)
- Présentation de l'association (Sid Ahmed BOUALEM, Consultant PSI, PCA)
- Examen et validation des statuts (Reda TOUATI)
- Election du bureau (Redouane KAFI, Responsable CRI, Université OUARAGLA)
- Programme 2012 & 2013 de l'AASSI (Sid Ahmed BOUALEM)

- 17h00 : Tambola - Cadeaux pour les participants
Nous avons décidé de récompenser nos participants en leur proposant de remporter

quelques cadeaux par tirage au sort. Pour y participer, il vous suffit de vous inscrire

et participer à la conférence.

Inscription
Inscription obligatoire pour toute participation
- Pour vous inscrire,
cliquer ici
- ou copier coller le lien suivant dans votre navigateur internet

https://docs.google.com/spreadsheet/viewform?formkey=dGl3ZGtQd0ZYaHVicWk2Z1ZOX2tVUHc6MQ

(*) Attention : les inscriptions sont clôturées le 20/06/2012 à 16h.

Lieu de la conférence :
Institut National de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Comminication 

Route de l'arbaa BP 156 Eucalyptus Alger 16220

 

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Loi sur la recherche 2013-2017 - par djoudi

Réunion de la première session 2012 du Comité Sectoriel Permanent (C.S.P.)

prévus les 26 au 28 juin 2012 à Bousmail (UDES).

L’ordre du jour de la session portera sur les points suivants :

  • Présentation de la synthèse des bilans des diverses assises sur les préparatifs de la loi complémentaire sur la recherche 2013-2017
  • Appréciation sur les résultats d’évaluation à mi-parcours des projets PNR;
  • Evaluation des 360 bilans d’activités scientifiques 2009-2010-2011 des laboratoires de recherche en activités;
  • Bilan des audits réalisés durant le 1er semestre 2012 des laboratoires en difficulté;
  • Examen des propositions de budgets triennaux 2012-2013-2014 des 254 laboratoires de recherche agréés le 14 mars 2012;
  • Etude des propositions de création d'UNITES DE RECHERCHE.

Par ce message, je  vous lance un débat ici sur le web pour discuter  avec vous

tous sur les propositions de chacun d'entre vous  dans le cadre de la nouvelle loi d'orientation de la recherche 2013-2017. Ces propositions concerneront entre autre :

  • Organisation de la recherche scientifique
  • Priorités nationales en thèmes de recherche
  • Axes de recherche dans le domaines des TIC
  • Couplage formation - recherche
  • Autres thèmes

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Rapport à mi-parcours des projets PNR acceptés en juin 2011 - par djoudi

Date limite : 30 juin 2012

Sur la base des diverses recommandations des experts réunis le 16 mai 2012 pour identifier les mécanismes de l’évaluation à mi-parcours des projets PNR et tenant compte des orientations des responsables en charge des programmes nationaux de recherche, la procédure suivante a été adoptée :

a) Les porteurs de projets doivent transmettre avant le 30 juin par email le formulaire « Rapport d’Etape de projet PNR » télécharger à http://www.nasr-dz.org/Etat_avancement_PNR_juin2012.doc

b)Des experts seront désignés pour auditionner sur site les porteurs de projet, et établir un diagnostique sur l’avancement des travaux en référence au cahier du projet PNR.

c) Les formulaires dûment renseignés doivent être envoyés par email à la boite « pnr@nasr-dz.org » avec une copie à l’organisme pilote (exclusivement sur le serveur nasr-dz.org)

Plus d'information sur

http://www.nasr-dz.org/ipnr2012.htm

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Université d'Eté 2012 Khenchela du 07 au 12 07 2012 - par djoudi

Bonjour,


Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et le Secrétaire d'État Chargé de la Communauté Nationale à l'Étranger organisent, en collaboration avec l’Association des Compétences Algériennes, l’université d’été de la recherche scientifique et technologique du 07 au 12 Juillet 2012 à l'université de Khenchela. Cette formation est une des actions engagées afin de renforcer le potentiel humain par la création d’un environnement dynamique pour les scientifiques, en synergie avec nos compétences établies à l’étranger.

Les thématiques retenues s’inscrivent dans le cadre de priorités dégagées par les autorités nationales pour dynamiser la recherche scientifique et technologique dans des secteurs présentant un grand intérêt pour le processus de développement du pays

Je vous invite à transmettre l'information aux doctorants et étudiants en Master en vue de la participation.
Plus d'information et inscription (avant le 14 juin) sur le site de la DGRSDT

http://www.nasr-dz.org/univ-ete.php

Cordialement


Mahieddine DJOUDI
Instructeur à l'université d'été

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L’université de Sétif honore le Dr Lahcène Ouahab - par djoudi

dimanche 20 mai 2012 | Nabil Foudi, setif.info

 A l’occasion de la journée de l’étudiant, l’université de Sétif a honoré ce dimanche le docteur Lahcène Ouahab, chercheur au CNRS à Rennes en France pour ses activités de recherche dans le domaine de la chimie ainsi pour ses nombreuses collaborations scientifiques entre Sétif et Rennes.

C’est en présence du P-APC, P-APW, des Doyens des facultés, des enseignants et des journalistes que le recteur de l’université, Pr Baki, a remis au Dr Ouahab une attestation d’honneur ainsi que plusieurs cadeaux d’artisanat qui symbolisent la région de Sétif.

Lahcène Ouahab (59 ans) est né à El-Ouricia à quelques km au nord de Sétif où il a poursuivi ses classes primaires. Il a effectué ses études secondaires au Lycée Mohamed Kérouani de Sétif de 1965 à 1972 où Il a obtenu son Baccalauréat ainsi que le prix d’excellence des élèves en fin de cycle du secondaire. Ses études supérieures ont été accomplies à l’Université de Constantine avant de regagner l’Université de Rennes1 pour la préparation et l’obtention de sa Thèse de 3ème Cycle en 1977 puis sa Thèse de Doctorat d’Etat en chimie qu’il décrocha brillamment en 1985.

De retour au pays, il exerça à l’Université de Constantine en tant que Maître Assistant avant d’être nommé Maître de Conférences de 1978 à 1987. Il avait temporairement assuré des enseignements à l’Université naissante de Sétif en 1980 et 1981. Nommé Professeur associé à l’Université de Rennes1 de 1988 à 1989, il intégra en octobre 1989 le CNRS, Centre National de la Recherche Scientifique Français comme Chargé de Recherche à la suite d’un concours national.

Le Docteur Lahcène Ouahab a obtenu le Prix de la Division de Chimie de Coordination de la Société Française de Chimie (1998), la Médaille de la Ville de Rennes (1999), la Prime d’Excellence Scientifique du CNRS (2010) et le Prix Mme Claude Berthault de l’Académie Française en 2011. Ll est aussi l’auteur de plus de 250 articles publies dans les journaux scientifiques.

 

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L’Algérie au 59e rang selon Elsevier - par djoudi

 

Actualités : PRODUCTIVITÉ SCIENTIFIQUE
L’Algérie au 59e rang selon Elsevier

Le Soir d'Algérie. Samedi 28 avril 2012

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/04/28/2-133481.php

Onze chercheurs algériens ont été récompensés par les prestigieux «Scopus Awards» que discerne l’éditeur néerlandais d’information scientifique Elsevier qui contrôle 25% des publications mondiales en science et technique. Une belle performance pour la recherche scientifique en Algérie qui a vu sa productivité doublée en six ans, la hissant au 59e rang suivant le classement se référant aux bases de données de cet éditeur.


Lyas Hallas - Alger (Le Soir) - C’est la première fois que ce prix est mis en place en Algérie pour identifier l’excellence. Les lauréats ont été classés par rapport à leur «indice h», un outil d’évaluation suggéré en 2005 par Jorge Hirsch. L’indice quantifie la productivité scientifique et l’impact d’un scientifique en fonction du niveau de citation de ses publications dans des revues à comité de lecture. «Un chercheur avec un indice h a publié h articles qui ont été cités h fois. Dès lors, l’indice h reflète à la fois le nombre de publications et le nombre de citations par publication.

Les chercheurs ont été évalués sur la période s’étendant de 2007 à 2011», précise-t-on. Elsevier a ainsi classé l’ensemble des chercheurs algériens en science et technologie dans dix disciplines différentes, à savoir sciences des matériaux, physique, sciences de la terre, sciences de la vie, environnement, chimie, mathématiques, médecine, électronique et énergie.

Les lauréats ont été choisis parmi les profils extraits de Scopus, base de données bibliographique et bibliométrique référençant 18 000 revues validées par les pairs et publiées par plus de 5 000 éditeurs internationaux.
 

Le ratio budgétaire par habitant consacré à la recherche scientifique est faible
Les lauréats par discipline sont : Abdelouahed Tounsi (Laboratoire des matériaux et hydrologie de l’Université de Sidi Bel-Abbès), Bachir Bouiadjra Belabbes (Laboratoire de mécanique physique des matériaux de l’Université de Bel-Abbès), Nadjib Badache (Laboratoire des systèmes informatiques de l’Université des sciences et de la technologie Houari- Boumediène), Saïd Djadoun du laboratoire des matériaux polymères, faculté de chimie de l’Université des sciences et de la technologie Houari- Boumediène), Noureddine Soltani (département de biologie, Université d’Annaba), Oualid Hamdaoui (Département de génie des procédés, faculté des sciences de l’ingénieur, Université d’Annaba), Abdelmadjid Bouhemadou (département de physique de l’Université de Sétif), Zoubir Harrat (service d’éco-épidémiologie parasitaire et génétique des populations, Institut Pasteur d’Algérie) et Sofiane Bouacida (département des sciences de la matière de l’Université d’Oum El Bouaghi).

Un prix spécial, toutes disciplines confondues, est attribué au Pr Maïouf Belhamel, 62 ans, directeur du Centre de développement des énergies renouvelables. Ce diplômé de l’Ecole nationale polytechnique d’El Harrach et pas moins thésard de l’Ecole nationale supérieure de mécanique et d’aérotechnique de Poitiers (France) a eu le plus haut indice h (19).

Dans sa communication donnée jeudi dernier à l’hôtel Mercure d’Alger, à l’occasion de la cérémonie organisée à l’honneur des lauréats, Olivier du Dumon, directeur de marketing chez Elsevier a précisé que : «Elsevier publie 520 000 articles par an et les téléchargements sur ses bases de données sont à hauteur de 37/seconde.

Les Algériens ont publié 3 200 articles en 2011, une production qui représente le double comparativement à 2006. Les publications des Algériens chez Elsevier représentent 52 % de l’ensemble de leurs publications. Des publications qui leur ont valu 20 000 citations entre 2007 et 2010.

L’Algérie vient au 59e rang suivant le classement d’ Elsevier, soit parmi les meilleurs des pays d’Afrique. Elle compte entre 20 000 et 25 000 chercheurs et dépense 1% de PIB dans la recherche scientifique, soit environ 1,5 milliard USD et un ratio budgétaire par habitant équivalant à 10 % de celui de l’Angleterre.»

Et de conclure par offrir les services d’Elsevier à l’Algérie : «Le président Bouteflika a invité les Algériens de la diaspora à contribuer au développement de leur pays. A Elsevier, à travers nos bases de données, nous pouvons repérer pour vous les meilleurs cerveaux ayant fui le pays et vous établir un fichier référençant y compris leurs similaires des autres pays.»

Il convient enfin de signaler qu’étaient présents à cette cérémonie le DG de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Hafid Aourag, une représentante de l’ambassadeur néerlandais. Aussi, l’indice h s’applique également aux universités et centres de recherches, aux universités de Constantine et l’USTHB qui ont été également distingués par des prix honorifiques.
L. H.

 

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Conférence ICACIS 2012 à Batna - CFP - par djoudi

Premier appel à communication ICACIS 2012 à Batna

Le Laboratoire des Sciences et Technologies de l'Information et de la Communication (LaSTIC) &
Le Département d'Informatique de l'Université de Batna

En partenariat avec le Réseau de Recherche FORMATIC


Organisent à Batna (Algérie) la conférence internationale

ICACIS2012

International Conference on Advanced
Communication and Information Systems


du 12 au 13 Décembre 2012

Dates importantes

  • Intention de Soumission: 15 juillet, 2012
  • Soumission d'articles: 15 Septembre 2012
  • Notification : 1er Novembre 2012
  • Réception de la version finale : 20 Novembre 2012
  • Conférence ICACIS12 : 12-13 Décembre 2012
  • Information : http://icacis2012.dzportal.net

 

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International Conference on Model & Data Engineering - par djoudi

2nd International Conference on Model & Data Engineering (MEDI’2012)

October 3 - 5 2012

Poitiers, Futuroscope - France

http://medi2012.ensma.fr

 

Authors are invited to submit research and application papers representing original, previously unpublished work. Papers should be submitted in PDF or Word format. Submissions must conform to Springer's LNCS format and should not exceed 12 pages (including all text, figures, references and appendices). Authors who want to buy extra pages may submit a paper up to 15 pages with the indication that the authors will purchase extra pages if the paper is accepted.

 

Submissions which do not conform to the LNCS format and/or which do exceed 12 pages (or up to 15 pages with the extra page purchase commitment) will be rejected without reviews. Submitted papers will be carefully evaluated based on originality, significance, technical soundness, and clarity of exposition.

 

All accepted papers will be published in Lecture Notes in Computer Science (LNCS) by Springer-Verlag. Duplicate submissions are not allowed. A submission is considered to be a duplicate submission if it is submitted to other conferences/workshops/journals or it has been already accepted to be published in other conferences/workshops/journals. Duplicate submissions thus will be automatically rejected without reviews. Submissions require explicit consent from all listed authors.
 

The submission site is open at:

https://www.easychair.org/conferences/?conf=medi2012
 

Important Dates

  • Abstract submission: April 13th, 2012
  • Full-paper submission: April 20th, 2012
  • Acceptance notification: June 24th, 2012
  • Camera Ready: July 16th, 2012

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De l'effet abrutissant du travail en groupe - par djoudi

Par Annie Kahn | LeMonde.fr – lun. 26 mars 2012


Abruti" : "qui est inapte à réfléchir", dit le dictionnaire. Et traiter une bande d'"abrutis" serait un pléonasme, selon une récente étude du Virginia Tech Carilion Research Institute, un centre médical de recherche américain.Le seul fait de travailler en groupe affecterait en effet le quotient intellectuel (QI) des participants. A la baisse, pour ceux ayant un statut social inférieur aux autres, ou se percevant comme tels. Car ils ont alors peur de mal faire, perdent confiance dans un environnement compétitif qui les inhibe. Les femmes se retrouveraient particulièrement dans ce cas de figure, souligne l'étude. On s'en serait douté ! L'âge n'aurait, en revanche, aucune incidence.

"Vous pouvez vous moquer des réunions qui vous semblent débiles. Mais nos travaux suggèrent que ces réunions pourraient bien vous rendre débiles, vous aussi", explique ainsi Read Montague, directeur du laboratoire d'imagerie cérébrale de Virginia Tech, responsable de cette étude.

Celle-ci est s'appuie bien sûr sur des preuves scientifiques. Des individus de QI équivalents, mais d'une moyenne supérieure à celle de la population américaine, ont été mis en situation de travail en groupe. La façon dont leur cerveau fonctionnait a été suivie par un équipement d'imagerie par résonance magnétique (IRM).

Les clichés ont confirmé la moindre activation des zones cérébrales nécessaires à la résolution de problèmes chez ceux ayant le sentiment d'avoir un statut social inférieur.

Elémentaire, peut-on penser : un être plongé dans un groupe aux participants impressionnants - à tort ou à raison - peut avoir tendance à se replier sur lui-même, voire à bloquer sa réflexion.

Une mère, ou un père, sait ainsi qu'il faut parfois se battre pour laisser les plus discrets de la fratrie s'exprimer, et éviter ainsi de les voir se renfermer ou perdre confiance.

Néanmoins, les chercheurs en neurosciences s'interrogent : "En accentuant la concurrence au sein des équipes, ne perdons-nous pas le potentiel d'une grande partie des personnes de talent ?"

A l'heure où le travail en groupe est valorisé, il est en effet urgent de se poser la question. Et d'avoir l'audace de fournir la réponse. A savoir : oui et non. Oui, les groupes de travail entre semblables en concurrence sont contre-productifs. Non, car selon d'autres études, les groupes diversifiés sont au contraire plus performants, la complémentarité des compétences étant source de progrès. De vraies bandes de cracks !


Par Annie Kahn | LeMonde.fr – lun. 26 mars 2012

 

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Des Algériens travaillant pour Apple, Google et Intel attendus à Alger Une expertise à capitaliser - par djoudi

Halim Benatallah, secrétaire d’Etat en charge de la Communauté nationale à l’étranger, était, il y a quelques mois, en visite au Canada. Il y a tenté de prendre contact avec des Algériens exerçant dans le secteur des technologies de l’information et de la communication et de les rassurer quant à la volonté de l’Etat de faire participer les compétences installées à l’étranger à l’effort de développement national.

Le secrétaire d’Etat leur a présenté les projets contenus dans la stratégie e-Algérie.
Une convention, sous-tendant une banque de données, portant sur la mise en place d’un portail Web destiné à rendre moins complexe l’intégration des compétences nationales à l’étranger dans différents programmes sectoriels de recherche a été signée fin 2011.

Elle l’a été entre le secrétariat d’Etat chargé de la Communauté nationale et le ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Ce portail web sera mis en service en juin prochain. Il se donne pour objectif de diffuser l’information entre les compétences nationales à l’étranger autour de projets socioéconomiques en Algérie. De même, il permettra de créer une synergie entre ces compétences et les secteurs nationaux demandeurs de hauts potentiels humains.

S’agit-il là d’une nouvelle politique à objectif à long terme ? Va-t-elle réellement attirer nos valeureux chercheurs établis à l’étranger ? Halim Benatallah, secrétaire d’Etat en charge de la Communauté nationale à l’étranger, était, il y a quelques mois, en visite au Canada. Il y a tenté de prendre contact avec des Algériens exerçant dans le secteur des technologies de l’information et de la communication et de les rassurer quant à la volonté de l’Etat de faire participer les compétences installées à l’étranger à l’effort de développement national.

Le secrétaire d’Etat leur a présenté les projets contenus dans la stratégie e-Algérie. Il a souhaité encadrer cette stratégie par des professionnels natifs du pays, craignant d’être floué par de grandes sociétés internationales peu scrupuleuses. De la sorte, l’Algérie veut récupérer l’investissement qu’elle a consenti pour la formation initiale de cette diaspora. Halim Benatallah se pose ainsi en facilitateur, pas plus. Il ne lui appartient pas d’apporter des garanties sur la politique gouvernementale relative à l’implication des compétences algériennes établies à l’étranger dans le processus de développement, ce n’est pas son rôle.

Le secrétaire d’Etat a d’ailleurs affirmé, dans une déclaration récente, que la nature des projets à mettre en place dans le domaine des TIC « ne relève pas de mes compétences, mais de celles du ministère la Poste et des Technologies de l’information et de la communication ». Le partage des rôles a été ainsi opéré ? Justement, les difficultés auxquelles sont confrontées les compétences algériennes résident dans le fait qu’il n’y a pas d’interlocuteur habilité à les écouter, à les orienter et à prendre en charge leurs doléances.

Souvent, nos compétences sont ballotées entre plusieurs administrations dont le rôle reste diffus. Et souvent, elles s’en lassent, abandonnant la partie. Toutefois, dans le tableau, il n’y a pas que des zones grises ; des compétences algériennes à la pugnacité avérée ont réussi à monter des projets en Algérie, à s’y installer même. Elles se sont mises à contribution dans un processus de transfert de savoir-faire. La diaspora algérienne, issue de la technopole de Californie en est l’exemple. Elle s’attelle à la mise en place d’un projet d’accompagnement des entreprises innovantes algériennes, ce n’est pas rien. L’initiative est louable ; elle est fortement saluée par les jeunes promoteurs algériens.

Des représentants de cette diaspora feront le déplacement à Alger pour discuter affaires avec des jeunes promoteurs et autres chefs d’entreprises. Ce sera un important forum regroupant une trentaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de Silicon Valley avec les représentants des ministères de l’Industrie de la PME et de l’investissement, de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, de la PTIC et du Travail ainsi que des associations patronales et des entreprises. Cette diaspora, attendue donc à Alger, sera composée de spécialistes exerçant, pour la plupart, dans les grandes entreprises technologiques américaines telles que Apple, Google ou encore Intel, ainsi que d’Algériens, patrons de leurs propres sociétés technologiques.

Ce forum devra ainsi mettre au point une « feuille de route » à moyen et long termes avec pour finalité de promouvoir, en Algérie, les jeunes entreprises en activité ou à créer, spécialisées essentiellement dans les nouvelles technologies. Les technologues algériens de Silicon Valley ont à cœur de travailler avec leur pays d’origine ainsi qu’avec les jeunes entrepreneurs algériens en ramenant avec eux l’expertise liée au savoir-faire nécessaire.

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Chapitre de Livre : eLearning in Algeria - par djoudi
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Mahieddine Djoudi, "eLearning in Algeria: Experiences On E-Learning in Algerian Universities", Demiray (Eds), e-LEARNING Practices, Cases on Challenges Facing E-Learning and National Development, Vol. 1, Anadolu University, Eskisehir, 2010, pp. 1-31.
 

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Depuis l’indépendance, seulement 150 brevets déposés - par djoudi

Lors d’une conférence de presse sur l’état actuel de la recherche scientifique en Algérie, le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, Hafid Aourag a indiqué que « L’Algérie a produit seulement 150 brevets depuis l’indépendance à cause du manque d’infrastructures de recherche et de moyens financiers ». Toutefois, M. Aouad a attribué ce nombre réduit de brevets au manque de moyens financiers des chercheurs.

Pour remédier à cette situation, M. Aourag a annoncé que « Les laboratoires de recherche scientifique vont désormais financer les brevets au profit des chercheurs » et ce, dans le cadre de la nouvelle procédure mise en place par le ministère de la Recherche scientifique et du développement technologique, estimant que le nombre de ces brevets va augmenter dans un roche avenir.

samedi 25 février 2012 | Khalil.Hedna@setif.info
http://www.setif.info/article6268.html

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L’augmentation du nombre de chercheurs en Algérie est une «nécessité» - par djoudi

22-02-2012


La nécessité d’augmenter le nombre de chercheurs en vue de redynamiser la recherche scientifique en Algérie a été soulignée, hier à Alger, par le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le professeur Hafid Aourag.

Estimant que le nombre de 30 000 chercheurs que compte l’Algérie est insuffisant, il a affirmé que l’Algérie «est très loin de la moyenne internationale en termes de chercheurs». «Nous avons un déficit de 20 000 chercheurs à combler en 3 ans, c’est à dire à l’horizon 2014, pour pouvoir atteindre la moyenne internationale», a ajouté le professeur, lors d’une conférence de presse sur la situation actuelle de la recherche scientifique en Algérie.

Il a expliqué dans ce cadre que la moyenne dans le monde en nombre de chercheurs est de 1 063 chercheurs par million d’habitants. «L’Algérie qui compte plus de 35 millions d’habitants ne compte que 700 chercheurs pour un million d’habitants ce qui est très loin de la moyenne mondiale», a-t-il poursuivi.

Le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique a indiqué que l’Algérie compte plusieurs catégories de personnel engagées dans la recherche scientifique dont les chercheurs universitaires, les chercheurs permanents et le personnel de soutien à la recherche (ingénieurs).

Il a déploré, dans ce cadre, un «déficit» dans le nombre de chercheurs permanents que compte l’Algérie (2066 seulement). Qualifiant les chercheurs permanents de «cheville ouvrière» de la recherche scientifique, le responsable a appelé à plus de recrutement

de cette catégorie de chercheurs. Pour ce qui est des chercheurs universitaires, il a dénombré 23 819 chercheurs, répartis entre 1 116 laboratoires agréés, ajoutant qu’il faudrait encourager un nombre plus important d’enseignants universitaires à faire de la recherche.

S’agissant de la catégorie du personnel de soutien à la recherche (ingénieurs), M. Aourag l’a qualifiée de «talon d’Achille du développement technologique», car, explique-t-il, elle est confinée dans des fonctions administratives au lieu de pratiquer sa fonction essentielle qui est celle de la recherche et du développement technologique. «L’ingénieur algérien doit être appelé de plus en plus à être engagé dans des activités d’innovation», a-t-il ajouté.

http://www.latribune-online.com/evenement/64130.html

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Un déficit de 20 000 chercheurs - par djoudi

Un déficit de 20 000 chercheurs a été recensé par la direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (RSDT).


Le chiffre a été communiqué, hier à Alger, par Hafid Aourag, directeur général de cette institution lors d’une conférence de presse sur l’état des lieux de la recherche scientifique en Algérie. A l’occasion, le directeur général de la RSDT a déploré le déficit enregistré dans le nombre de chercheurs permanents estimé à 2066 chercheurs. Bien que la recherche scientifique soit la pierre angulaire de toute démarche visant le développement en Algérie, le budget alloué à ce secteur ne représente que 0,63% du Produit intérieur brut (PIB). Pas seulement, «il faut additionner les budgets de fonctionnement et d’équipement à celui du Fonds national de la recherche scientifique et du développement technologique (FNRSDT) pour parvenir à un PIB de 0,63%», a déclaré M. Aourag.

L’objectif est d’atteindre 1% du PIB, qui restera tout de même loin de la moyenne de certains pays émergents. Faut-il rappeler que dans ces pays, le budget de la recherche avoisine 1,5%. Pour ce qui relève de structures destinées à la recherche, 846 laboratoires de recherche scientifique seront opérationnels en Algérie en 2014. Ainsi, M. Aourag a précisé que «sur 846 laboratoires de recherche, 266 sont déjà opérationnels». Dans la même perspective, plus de 60 centres de recherche sont en cours d’instruction en Algérie. Ces centres sont destinés à accueillir les chercheurs permanents.

Le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique a mis l’accent sur la nécessité de construire ces structures destinées à la recherche dans l’enceinte de l’université ou dans le périmètre du campus universitaire. Cette mesure vise surtout l’augmentation de la mobilité des chercheurs permanents et universitaires. Evoquant la mise en place d’un campus universitaire technopole, M. Aourag a appelé à l’installation des entreprises autour du campus universitaire de sorte à permettre aux chercheurs de travailler avec ces entreprises sur des projets de développement tout en utilisant les moyens et les équipements de l’université.

le 23.02.12
http://www.elwatan.com/actualite/un-deficit-de-20-000-chercheurs-23-02-2012-160205_109.php

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Le budget alloué à la recherche scientifique ne dépasse pas 0,63% du PIB - par djoudi

Le budget alloué à la recherche scientifique en Algérie représente à peine 0,63% du Produit intérieur brut (PIB) du pays, a indiqué mercredi à Alger, le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, le professeur Hafid Aourag, lors d'une conférence.

«Il faut additionner les budgets de fonctionnement et d'équipement à celui du Fonds national de la recherche scientifique et du développement technologique (Fnrsdt) pour parvenir à un PIB de 0,63% », a déclaré M. Aourag.

L'objectif sera d'atteindre 1% du PIB, qui «restera encore loin » de la moyenne de certains pays émergeants, qui tourne autour de 1,5%, a souligné le directeur général.

Le financement de la recherche scientifique sur le FNRSDT 2011 avoisine les 30 milliards de dinars. Une enveloppe qui permettra, M. Aourag, de mener à terme les projets de construction de 846 laboratoires que nécessite le plan de développement allant à 2014.

Et, pour pérenniser cette dynamique, il faudra «garantir la durabilité des financements par une loi » ce qui permettra de fournir au pays la matière grise nécessaire à son essor.

La conférence, suivie par un parterre de techniciens, a été l'occasion de faire «un bilan certes mitigé de la recherche scientifique dans le pays après 50 ans d'indépendance, mais au demeurant positif de par les acquis et les expériences », a affirmé l'orateur.

Pour preuve, la stratégie élaborée par son département pour relancer le secteur de la recherche scientifique reste, en grande partie, inspirée de celle engagée au début des années 70 par l'Office National de la Recherche Scientifique (Onrs) qui, en 1973, a établi un plan quadriennal basé sur une «trinité » qui s'illustre par la recherche fondamentale, la recherche appliquée et enfin la recherche et développement, a expliqué le Professeur-chercheur.

Quant au «classements internationaux » des universités algériennes, M. Aourag a relativisé leur importance voire leur impact en arguant que l'université algérienne, la plus jeune à l'échelle continentale voire mondiale, de par l'indépendance du pays, ne compte que sur elle même, en fonction des moyens dont elle dispose, faisant ainsi allusion aux «scandales répétitifs » provoqués par les agissements de certains pays du Golf qui «achèteraient, question de prestige, à coups de subventions les travaux de recherches de scientifiques américains ».

Par ailleurs, «la décennie noire ajouté à l'instabilité institutionnelle des années 90 jumelée au manque d'argent ont été pour beaucoup dans la fuite des cerveaux algériens et des conséquences qui ont suivies en terme de retards accusés dans l'ensemble des domaines en général et celui de la recherche scientifique en particulier », a conclu M. Aourag
.

http://www.lexpressiondz.com/linformation_en_continue/148788-le-budget-alloue-a-la-recherche-scientifique-ne-depasse-pas-0-63-du-pib.html
Mercredi 22 Fevrier 2012

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Près de 850 laboratoires de recherche opérationnels en 2014 en Algérie - par djoudi
Mercredi 22 février 2012.


Un total de 846 laboratoires de recherches scientifiques seront opérationnels en Algérie en 2014, a annoncé mercredi à Alger le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, M. Hafid Aourag. M. Aourag qui s’exprimait lors d’une conférence de presse sur la situation de la recherche scientifique en Algérie, a précisé que “266 des 846 laboratoires de recherches scientifiques sont déjà opérationnels". Il a relevé dans le même cadre l’"importance" de l’investissent dans la construction de ces infrastructures pour le développement de la recherchescientifique en Algérie.

S’agissant des centres de recherche, M. Aourag a dénombré “plus de 60 centres de recherches en cours de construction en Algérie", ajoutant que ces structures sont destinées à accueillir les chercheurs permanents. "Des structures de recherches scientifiques doivent être construites à l’université ou dans le périmètre du campus universitaire pour augmenter la mobilité des chercheurs permanents et universitaires", a estimé le responsable..

Evoquant la mise en place d’un campus universitaire technopole, M. Aourag a expliqué qu’il est important que des entreprises s’installent autour du campus universitaire pour que les chercheurs puissent travailler avec ces entreprises sur des projets de développement en utilisant les moyens et les équipements de l’université.

http://portail.cder.dz/spip.php?article2012

 

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Journées Nationales sur l'Informatique à Khenchela - par djoudi

Le Centre Universitaire 'Abbes LAGHROUR', Khenchela
et l'Institut des Sciences et Technologie,
organisent :
les 1ères Journées Nationales sur l'Informatique et ses Applications,
les 29 et 30 Avril 2012
.
 

Procédure de soumission :
Les auteurs sont invités à soumettre des communications, en français ou en anglais. Les textes complets des communications sont soumis exclusivement via l’e-mail jniak2012@yahoo.fr.
 

Les articles devront être présentés dans le format de Microsoft Word huit pages maximum avec les caractéristiques suivantes : Une seule colonne, Times New Roman (12 pts), interligne simple, double saut de ligne entre paragraphes, marges (gauche 2,5cm, autres 2cm), titre (14 pts, gras, centré).
 

Les articles acceptés seront présentés oralement (20 mn) et publiés dans les actes de JNIAK’2012.

Dates importantes :
 

  • 25 Février 2012 : Clôture des soumissions
  • 15 Mars 2012 : Notification aux auteurs
  • 1ier Avril 2012 : Réception des versions finales
  • 29-30 Avril 2012 : Conférence (Campus Route Oum-El-Bouaghi)
     

Pour toute autre information :

  • E-mail : jniak2012@yahoo.fr
  • Tél : 07 71 41 87 43

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développement industriel communauté universitaire nationale 2012 - par djoudi

Le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, M. Mohamed Benmeradi, a mis l’accent lundi sur la nécessité de la mobilisation de la communauté universitaire nationale pour contribuer à la réussite de la politique publique de développement du secteur industriel.


M. Benmeradi a affirmé, lors d’une conférence débat organisée à l’Ecole des hautes études commerciales (EHEC) d’Alger, que la réussite de la nouvelle stratégie nationale de développement industriel nécessite « un consensus national économique et social » et la communauté universitaire nationale avec toutes ses composantes (chercheurs, professeurs et étudiants) doit être « pleinement impliquée » dans ce consensus.


Selon le ministre, la mise en oeuvre de cette stratégie est confrontée à plusieurs défis, notamment la généralisation de l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC), le développement de la veille stratégique et de l’économie de la connaissance.
De ce fait, l’université est, de part sa conscience de la portée de ces défis, « la mieux placée pour contribuer à les relever », a-t-il souligné.


Le ministre a, en outre, reconnu que le manque de performance des différents programmes et politiques économiques engagés par les pouvoirs publics depuis l’indépendance « résulte justement de l’absence d’un consensus économique et social autour de ces actions ».
« Tous les changements et transitions politiques et économiques opérés par les autorités se déroulaient dans l’opacité, ce qui s’est traduit par une faible adhésion de la population et une productivité très limitée de l’économie », a encore admis le ministre de l’industrie.
« A titre d’exemple, la croissance économique a atteint, pour la première et la seule fois en 50 ans, deux chiffres en 1979 pour s’établir à 17% car, à l’époque, l’Algérie consacrait jusqu’à 40% de son PIB à l’investissement », précise M. Benmeradi. « Mais le changement politique entraîné par l’arrivée au pouvoir de Chadli Benjedid au lendemain du décès de Houari Boumediene a entraîné un autre changement économique qui s’est traduit à partir de 1980 par une chute du PIB à 4% », a-t-il ajouté.
Mais, dans les années 1980, le changement de politique économique a fait que le PIB chute de 4%, a-t-il précisé.


De même, les investissements publics cumulés depuis plus d’une décennie ont totalisé 450 milliards de dollars, alors que la croissance économique n’a pu réaliser les performances escomptées, a dit le ministre à l’adresse des étudiants de l’EHEC, ajoutant que le programme national des réformes politiques entamé l’année dernière devrait « amorcer une nouvelle ère dans la perception, la conception et la mise en oeuvre de la politique publique de développement industriel ».
« L’Algérie ambitionne de devenir la première économie de la rive sud de la Méditerranée et elle dispose de tous les atouts nécessaires pour concrétiser cette ambition, il reste seulement de les mettre en synergie », a souligné M. Benmeradi.APS

http://algerquartiermarine.blogspot.com/

patrick le berrigaud
radio web europe

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200 chercheurs algériens sont revenus au pays en 2011 - par djoudi

Deux cents chercheurs algériens vivant à l’étranger sont retournés au pays en 2011. L’annonce a été faite dimanche par Abdelhafid Aourag, directeur de la recherche scientifique au ministère de l’Enseignement supérieur, invité de la chaîne III de la radio nationale.

Pour illustrer son propos, il a évoqué le recrutement cette semaine par l’université de Chlef et de Saïda de deux chercheurs en génomique et en biologie moléculaire. « Ces deux chercheurs publient leurs travaux dans la revue de référence Nature. Cela veut dire que des chercheurs de haut niveau reviennent parce que leur situation socio‑économique dans le pays a été nettement améliorée. Nous essayons, dans la mesure du possible, de garantir au chercheur le même environnement qu’il a déjà à l’étranger. Il est vrai qu’il y a une année, la situation de l’enseignant n’était pas reluisante. Personne n’était tenté de revenir. Aujourd’hui, le niveau social a été relevé. Un statut  a été donné à l’enseignant. Les conditions ont donc changé. Je suis sûr que dans les années qui viennent, ce processus de mobilité va se renverser. Nous aurons plus de chercheurs qui reviennent que ceux qui repartent », a‑t‑il expliqué.



Pourtant, 50 % des étudiants qui partent à l’étranger ne retournent pas au pays. Entre 1994 et 2006, 71 000 chercheurs et cadres ont quitté l’Algérie. « Il faut positiver la fuite des cerveaux. Avoir autant de chercheurs algériens à l’étranger, c’est avoir autant de capacités potentielles qui pourront être mises au service de l’Algérie. Nous avons mis en place des mécanismes pour permettre à ces chercheurs d’interagir avec leurs collègues en Algérie. Les textes sont encourageants du point de vue rémunération. Leur voyage et hébergement sont pris en charge par l’État pourvu qu’ils nous apportent un plus avec un projet structurant », a souligné Abdelhafid Aourag. Il a plaidé pour le rapprochement de l’université du monde socio‑économique en encourageant la mobilité des compétences dans les deux sens et a insisté sur  la durabilité de la recherche. Il est important, selon lui, de dépasser les programmes nationaux de recherche et les opérations ponctuelles.



Trente‑quatre programmes nationaux ont été retenus lors du précédent plan quinquennal qui s’achève en 2012. Un plan doté de 100 milliards de dinars. « Aujourd’hui, nous sommes à peu près 600 chercheurs pour un million d’habitants alors que la norme universelle est de 1 080 chercheurs pour un million d’habitants. La carence est donc liée à la mobilisation de ressources humaines, pas aux infrastructures. Il faut qu’on redonne confiance aux chercheurs à travers un processus de formation continue. La clef de la réussite du système national de recherche est de garantir une mobilité totale des chercheurs. Grâce à cela nous pouvons créer la compétitivité », a‑t‑il relevé.

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Majda Nafissa Rahal, fondatrice d’edudz.net - par djoudi

«Le e-learning en est à ses balbutiements en Algérie»

EduDz, physique48, etudiantdz, et bien d’autres. Ils sont de plus en plus nombreux, avec du contenu riche. Leur point commun ? Ils ont investi le filon de l’apprentissage en ligne ou ce qu’on appelle plus communément le e-learning.


Pour rappel, le e-learning et la e-education sont deux priorités du programme e-Algérie 2013. Parmi les objectifs fixés, citons l’amélioration de la qualité de l’enseignement dans les différents paliers qui devra passer, entre autres, par l’usage des TIC dans l’enseignement (e-éducation) sans oublier la mise en ligne de contenus éducatifs et de programmes scolaires.

Pour nous parler un peu plus de ce secteur, Majda Nafissa Rahal, co-fondatrice et gérante du site de e-learning EduDz.net nous a accordé un entretien dans lequel elle revient sur les défis auxquels fait face le secteur.

Présentez-nous EduDz, pourquoi l’avoir créé ?

EduDz est un site de e-learning pour lycéens algériens. Nous l’avons créé alors que nous étions nous-mêmes lycéens et avions constaté le manque de ressources en ligne pour les élèves de notre niveau. On s’est alors dit : pourquoi ne pas créer cela nous-mêmes ! C’est ainsi qu’on a commencé à rassembler des cours, exercices, sujets et à les mettre à disposition des élèves, en complément des enseignements au lycée, et petit à petit nous avons constitué une solide base de données de plus de 300 documents, et plus de 9 000 membres inscrits sur le site.

Quels sont les projets autour du site ?

Hormis la section études où sont disponibles les cours et autres sujets, nous avons un blog de conseil où nous partageons des techniques et astuces pour réussir mais aussi un forum pour que les élèves puissent échanger entre eux. Et vu le relatif succès de eduDz pour lycéens,

nous avons pour projet de lancer cela également pour la fac, mais ceci reste un sacré défi !

Le e-learning en Algérie, quel bilan en faites-vous ?

Je crois ne pas me tromper en disant que le e-learning en Algérie n’en est encore qu’à ses balbutiements, tout reste à faire dans ce domaine-là ou presque. C’est bien dans le sens où l’on peut encore tout créer et le faire bien, c’est mauvais car on accuse un sacré retard !

Les sites déjà existant souffrent de leur format forum, qui n’est pas idéal pour ce type de sites qui doivent être mieux structurés (et c’est ce que nous essayons d’apporter, entre autres, avec eduDz). Par ailleurs, nous entendons parler ces derniers temps d’une initiative du ministère de l’Education pour offrir un portail de ressources en ligne, on attend de voir pour juger mais, à mon humble avis, il faudrait que cela se fasse en concertation avec les lycéens eux-mêmes (pour mieux cerner leurs besoins et ainsi ne pas construire un site en déphasage total avec la réalité).

Comment voyez-vous le web algérien dans 10 ans ?

Il est extrêmement difficile de se projeter sur 10 ans dans un domaine qui évolue aussi vite ! Mais j’imagine que l’on peut dire que 10 ans seront largement suffisants. D‘abord pour que l’internaute algérien acquière une culture du Web, ensuite pour qu’il s’inscrive dans une optique de production de contenu au lieu d’en consommer uniquement.

Ces derniers mois me laissent en tous cas très optimiste quant à l’avenir du Web algérien, tant on a vu d’évènements, d’initiatives... cela ne peut qu’évoluer dans le bon sens avec une jeunesse qui en veut vraiment.

Enfin quelques années, c’est aussi éventuellement le temps qu’il faudra pour rattraper notre retard en matière de technologies, ou du moins, je l’espère !

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Sonelgaz se modernise - par djoudi

Noureddine Bouterfa, le président-directeur général de la Société nationale de l’électricité et du gaz (Sonelgaz), a évoqué hier mercredi 11 janvier 2012 un élément particulier du réseau intelligent « smart grid » lancé en 2009. Il s’agit du compteur intelligent dont 7 millions d’exemplaires devraient être mis en service d’ici 10 à 15 ans.
 

Le nouveau compteur électronique permettra, en plus du comptage, des coupures à distance, des paiements électroniques, des détections d’anomalies, ainsi que la mise en place de systèmes antifraudes et de surveillance automatique, de tarification flexible et de communication évoluée. Le prototype de ce compteur doit être finalisé et mis en service la même année, en 2013 ; Sa commercialisation devrait démarrer l’année suivante.

D’un coût d’environ 3.3 millions de dollars US, le projet de développement des compteurs électroniques devrait permettre à la Sonelgaz d’accroître sa maîtrise de la consommation électrique ainsi que celle de l’offre et de la demande avec l’avantage de pouvoir réaliser des coupures à distance. Les factures seront également plus personnalisées.


Le réseau « smart-grid » élaboré en collaboration avec l’Université de Boumerdès illustre très bien la volonté de la Sonelgaz d’investir dans la recherche et la formation.
 

Son PDG reconnait volontiers que les 3.4 millions de  dollars US prévus à cet effet, dont 650 000 pour la formation interne de la société, ne sont pas suffisants. La signature de conventions avec les universités de l’USTHB, Boumerdès, Annaba ,Batna et Chlef a pour objectif la mise en chantier de projets supplémentaires.

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Sonelgaz signe un accord avec l’université de Chlef - par djoudi

Conception d’un compteur de gaz intelligent

Une convention-cadre pour la fabrication d’un compteur de gaz intelligent a été signée, hier, au siège de l’institut de formation de l’électricité et du gaz de Ben Aknoun, à Alger, entre la Sonelgaz et l’université Hassiba-Ben-Bouali de Chlef. Ce partenariat est axé sur la conception d’“un compteur de gaz intelligent, qui vient en complément au système de comptage électrique qui est en cours de réalisation”, a expliqué le P-DG du Groupe Sonelgaz, Nouredine Bouterfa, en marge de la cérémonie de signature.


Le premier prototype de cet équipement sera réalisé en 2013, alors que sa commercialisation est prévue pour 2014. Le groupe ambitionne dans un premier temps la réalisation du compteur, son développement, sa maîtrise puis son intégration dans tout le système de gestion afin de se libérer de ceux fabriqués sous licence.


“Outre sa fonction principale de comptage, cet équipement électronique permettra de procéder aux coupures de gaz à distance, et l’émission de factures personnalisées pouvant même être mensuelles”, a encore précisé M. Bouterfa.
 

Le compteur sera également relié au système Internet permettant ainsi aux abonnés d’imprimer leurs factures et de les payer au moyen du système de paiement électronique. Sonelgaz va commencer à appliquer un nouveau système électrique, dès le deuxième trimestre de 2012 en reliant la clientèle alimentée en moyenne tension, puis les grands consommateurs, avec un compteur qui sera fabriqué au niveau de l'usine d'El-Eulma.


M. Bouterfa a souligné que l’opération qui concernera 7 millions de compteurs se fera “progressivement et s'étalera sur une durée approximative de 15 ans”. Il a estimé, par ailleurs, que le Groupe Sonelgaz qui réalise un chiffre d'affaires annuel d'environ 250 milliards de dinars, devrait consacrer 1 milliard de dinars pour développer la recherche.


Ce partenariat vise “à pérenniser l’avenir des entreprises en leur donnant l’opportunité de produire localement ce que nous importons aujourd'hui”, a affirmé le P-DG de Sonelgaz.
Pour sa part, le recteur de l’université de Chlef, Mostefa Bessidik, a souligné que “dans le but de développer ce partenariat, l’université devrait mettre à niveau ses infrastructures de recherche, améliorer sa performance d'expertise et développer la formation continue au profit des acteurs des deux entités”.

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USA : Programme de 5 semaines dans une université pour des étudiants algériens - par djoudi

L’ambassade des Etats-Unis à Alger organise le Programme MEPI (Middle East Partnership Initiative) pour Jeunes Leaders pendant l’été de 2012. C’est un programme intensif aux Etats-Unis pour les étudiants (universitaires).


Les participants auront l’occasion de développer leurs compétences en leadership et en traitement de problèmes de groupe, et pourront explorer l’histoire et la culture des Etats-Unis afin d’élargir leur connaissances et leurs compétences en leadership. Le programme débutera le 26 Juin au 7 Août 2012 et comportera une résidence académique de cinq semaines au sein d’une université américaine, une semaine de tour d’études dans la région où se trouve l’université d’accueil et se terminera à Washington D.C.

Les participants auront l’occasion d’assister à une conférence des Alumni qui aura lieu au Moyen Orient ou en Afrique du Nord début 2013. Le programme est totalement pris en charge, y compris le transport international, le transport aux Etats-Unis, l’hébergement, la nourriture et autres frais relatifs au programme.

L’on peut  postuler à ce programme si vous l’on est citoyen algérien, vivant en Algérie, et poursuivant vos études en Algérie, être âgé  entre 18 et 24 ans (le 1 juin 2012), être actuellement en 1ère, 2ème, 3ème et 4ème année universitaire (sans compter le tronc commun) et vous vous engagez à retourner en Algérie pour terminer vos études.

Il faut avoir une bonne maîtrise de la langue anglaise, avoir un brillant cursus universitaire comme l’indique vos relevés de notes et les recommandations de vos professeurs, être responsable, indépendant, ouvert d’esprit, tolérant et pensif et ayant un esprit curieux, apprendre davantage sur les Etats-Unis vous intéresse, être à l’aise avec la vie dans un campus universitaire et la vie en communauté et apte à vous adapter aux différences sociales et culturelles existant entre les Etats Unis et l’Algérie, êtres prêt à passer une partie du mois de Ramadan aux Etats-Unis.

La demande du formulaire(http//algiers.usembassy.gov/academic_echanges.html) à remplir et à faire parvenir  avant 17h le 26 janvier 2012 ou peut être soumis par e-mail à AlgiersPAS-MEPI@state.gov

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66 000 Algériens «très diplômés» en France - par djoudi

Les compétences algériennes s’exportent bien. Etudes à l’étranger ou installation définitive, ils sont des milliers de «cerveaux» à quitter l’Algérie chaque année.


Et la destination de prédilection de cette diaspora «hautement qualifiée» est la France. Ainsi, l’Hexagone compte environ
66 000 Algériens «très diplômés» inscrits en maîtrise, dans une grande école ou en doctorat, selon une étude du secrétariat général français de l’immigration.

De même, certaines estimations font état de quelque 20 000 étudiants algériens inscrits en premier cycle dans une université française. Et ce, sans oublier les dizaines de milliers de diplômés formés dans les universités algériennes à avoir quitté le pays en quête de meilleures perspectives et de conditions d’exercice et de vie plus clémentes. Ils sont d’ailleurs plus de 10 000 médecins, toutes spécialités confondues, à s’être installés en France.
En dépit des restrictions et des freins mis par le gouvernement Sarkozy aux flux migratoires «choisis», la qualité de l’enseignement dans les établissements français attire toujours autant d’étrangers. Et en pleine polémique autour de la «circulaire Guéant», c’est un pavé dans la mare que jette cette étude du Secrétariat général de l’immigration, publiée en novembre dernier.

Ce rapport, qui évalue l’application d’un système de suivi des étudiants étrangers, s’est penché sur la contribution «notable» des étrangers à la population estudiantine. Mais pas n’importe laquelle. Il s’agit des «très diplômés», des personnes qui ont étudié ou étudient encore en maîtrise (mastères), dans une grande école et en doctorat, médecine compris. Ainsi, sur les 6,24 millions de «très diplômés» en France, 710 000 sont étrangers, et ce, en sus des 70 000 nés non français mais naturalisés. Pour les doctorants, 41,3% d’entre eux sont issus d’un «pays tiers». La part des «très diplômés» est ainsi légèrement supérieure parmi les immigrés que dans la population totale, précisent les auteurs de l’étude. Et le pays le plus représenté parmi cette «élite» est l’Algérie, ex aequo avec le Maroc. Suivent le Royaume-Uni avec 40 000 personnes et l’Allemagne avec 30 000 étudiants. Pour ce qui est de la Tunisie, elle n’arrive qu’en 5e position des pays «fournisseurs» avec 26 000 «très diplômés».

«60% des étudiants quittent la France»
 

Par ailleurs, est-il mentionné dans l’étude, «certains pays bien représentés dans la population immigrée le sont moins parmi les très diplômés. C’est le cas de l’Italie, l’Espagne, le Portugal ou encore la Pologne (78 000 pour les 4 pays)». L’Afrique hors Maghreb et l’Amérique du Sud ou centrale sont très peu représentées dans cette «super-population», tandis que certains pays sont au contraire «sur-représentés». C’est ainsi le cas du Liban avec 16 000 étudiants, de la Roumanie et du Vietnam, avec 15 000 «très diplômés» chacun. Cette étude ne prend pas en compte les étudiants issus de l’immigration, nés français mais de parents étrangers.
Toutefois, contrairement aux idées reçues, ils ne sont pas nombreux à rester en France une fois leur diplôme en poche, puisque seul un étudiant sur trois  restera pour y travailler ou se marier. Ainsi, 60% des étudiants entrés en 2002 sur le territoire français ne sont plus détenteurs, fin 2009, d’un titre de séjour. «Environ un tiers est toujours présent. Ces derniers semblent s’installer durablement en France, soit qu’ils se sont mariés, soit qu’ils ont trouvé un emploi, soit qu’ils détiennent encore, pour 10% d’entre eux, un titre de séjour ‘étudiant’», détaillent les auteurs du rapport.

Ces étudiants «hautement qualifiés», de par la «circulaire Guéant» qui restreignait l’embauche des diplômés étrangers, étaient menacés d’expulsion au terme de leurs études. Suite à une forte mobilisation au sein du corps universitaire et du patronat, le gouvernement français escompte réviser cette décision et assouplir la délivrance de permis de travail à certains «très diplômés» étrangers. Cette étude aurait-elle joué un rôle dans ce revirement ?

Ghania Lassal

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Regroupement national des informaticiens de la formation professionnelle - par djoudi

Une rencontre regroupant touts les informaticiens du secteur de la formation et de l’enseignement professionnels a été organisée hier à l’IFEP de Bir Khadem à Alger, en présence du ministre du secteur, en l’occurrence M. El Hadi Khaldi.
 

Cette rencontre, qui s’étalera sur 3 jours et répartie en cinq ateliers, constitue, selon les organisateurs, un véritable espace de partage, d’élargissement et d’enrichissement du débat autour des questions liées au degré de pénétration et de développement des TIC dans le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels. 
Intervenant à l’ouverture de cette rencontre,

M. El Hadi Khaldi a appelé les compétences informatiques du secteur présentes “à mutualiser les efforts pour une réelle appropriation des TIC à tous les niveaux, afin, dira-t-il, d’assurer une réelle modernisation de l’administration”. Dans ce sens, le ministre a rappelé que plusieurs actions ont été initiées pour moderniser la plate-forme technologique du secteur. “Ces actions seront élargies à la certification des informaticiens du secteur, et ce dans le but de constituer des compétences nationales réelles à même de prendre en charge la mise en œuvre du programme TIC du secteur”, a-t-il ajouté.


Les thèmes débattus durant cette rencontre sont essentiellement liés à la modernisation de l’Administration. “Il est inconcevable de continuer à occulter les ressources disponibles, du moment que des dépenses considérables continuent à être engendrées par la consommation, du téléphone, fax, papier et autres, nonobstant une faible performance de l’administration en générale”, a estimé le ministre. 

D’autres thèmes liés à la restructuration des académies Cisco, l’introduction de nouvelles spécialités à l’économie du savoir, la mise à niveau des ressources humaines, ainsi que la mise en place d’un dispositif national de formation à distance seront également soumis au débat.  Concernant la formation à distance, le ministre à évoqué le rôle du Centre national de l’enseignement professionnel à distance dans la promotion de la stratégie nationale du e-learning. L

e ministre a annoncé  que ce centre va être promu durant les prochains jours à l’Office national de l’enseignement professionnel à distance, afin qu’il soit présent au niveau des 48 wilayas.  Il convient de noter que cette rencontre va permettre de donner une nouvelle dynamique à l’activité de la formation et lui assurer une plus grande cohérence avec la politique nationale du développement économique et social, et les attentes sont grandes quant aux résultats de ces ateliers pour définir les dispositifs et les relais à mettre en place pour une amorce réelle des réformes engagées.
Salima Ettouahria

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Mémorandum d’entente entre le MESRS et World Learning - par djoudi

Le programme de coopération entre les universités algériennes et le World Learning dont le coût est estimé à 2 millions de dollars, prend en charge la maîtrise de la langue anglaise qui croît depuis plusieurs décennies du fait de la mondialisation des échanges commerciaux et technologiques entre les pays.

Le développement et la maîtrise des  langues étrangères, notamment l’anglais, en Algérie est l’un des objectifs fixés par la réforme universitaire. Un mémorandum d’entente entre le Ministère de l’Enseignement supé- rieur et de la Recherche scientifique et World Learning a été signé hier matin entre M. Mohamed Gharas, secrétaire général du MESRS, et Son Excellence M. Henry Ensher, ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique en Algérie, afin de prendre en charge cette  langue  qui croît depuis plusieurs décennies du fait de la mondialisation des échanges commerciaux et technologiques.

La cérémonie de signature de la convention a eu lieu en présence du recteur de l’université de Bouzaréah et des cadres des deux parties. Il s’agit d’accompagner le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique dans cette opération avec d’autres perspectives qui sont en jeu.


Il s’agit de la formation des futurs formateurs d’université, le développement et l’évaluation des cursus de formation de la langue anglaise pour les adapter et les réactualiser afin qu’ils puissent répondre au marché du travail.
 

Cette opération d’envergure  sera effectuée au niveau de trois écoles doctorales d’anglais au niveau des wilayas d’Oran, d’Alger II et d’Annaba, avec la mise en place d’un centre de carrière au niveau de l’université d’Ouargla.


A cette occasion, M. Gharas s’est félicité du rôle important joué par les autorités américaines et leur soutien indéfectible et leur accompagnement dans plusieurs domaines. «Ce mémorandum qui est le couronnement d’une série de discussions fructueuses vient à point nommé enrichir le cadre juridique de la coopération bilatérale qui traduit l’engagement des deux parties de réussir le partenariat dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique», a-t-il notamment indiqué.
Il n’a pas manqué d’insister sur l’importance de l’événement qui intervient au moment où les relations entre les deux pays connaissent un développement important dans divers domaines. «Ces relations se traduisent par des échanges bilatéraux, qui ont connu un accroissement considérable en 2006 avec la signature d’un protocole de coopération scientifique et technologique entre les deux parties», précise-t-il. 


Qualifiant les relations bilatérales d’«excellentes» et d’«exemplaires», le SG du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a indiqué que le secteur place la coopération avec les Etats-Unis parmi ses priorités. Il n’a pas omis de relever la disponibilité des USA dans la mise en place d’une institution non lucrative qui aidera les instances concernées dans le perfectionnement et  la maîtrise des langues afin de répondre à des défis et à des enjeux que l’Algérie doit relever en matière d’enseignement de la langue anglaise. Il faut dire que les besoins sont énormes en la matière. Ils se traduisent par la crise que connaît le secteur de l’éducation nationale dans le domaine de l’encadrement de l’enseignement des langues étrangères. Pour le SG du mministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, «la maîtrise de la langue, c’est également la maîtrise d’un espace anglo-saxon».


Pour sa part Son Excellence M. Henry Ensher a mis en exergue l’importance de cet événement qui englobe «l’investissement dans le champ académique» qui vise l’avenir de la jeunesse algérienne. «Les Etats-Unis s’engagent avec l’Algérie pour promouvoir les relations existant entre les institutions des deux pays»,  a-t-il affirmé.


Pour ce qui est du programme de coopération entre les universités algériennes et le World Learning dont le coût est estimé à 2 millions de dollars, le représentant des USA a insisté sur la priorité accordée à l’enseignement de la langue anglaise, le renforcement du leadership, la promotion du service public et l’engagement à tous les niveaux. Il a rappelé dans ce contexte que ce mémorandum est le deuxième du genre, après celui signé entre  l’université Mentouri de Constantine et l’Institut William-Davidson de l’Université du Michigan.
 

Ces programmes d'éducation, d'échange et de développement cultivent l'innovation sociale nécessaire dans un monde qui rétrécit.
Sarah SOFI

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Colloque national sur l'intégration des TIC dans l'enseignement des mathématiques - par djoudi

Les différentes interventions ont répondu aux questions que se posaient les séminaristes au sujet des difficultés que rencontrent les élèves dans l'apprentissage de cet enseignement allant jusqu'à fuir les mathématiques.

L'Association algérienne pour le développement de l'enseignement des mathématiques et des technologies de l'information (Aademti) en collaboration avec l'Association scientifique d'information et aide à la décision (Asid) a organisé, dernièrement, son premier colloque national sur l'intégration des TIC dans l'enseignement des mathématiques à l'auditorium du campus Hasnaoua de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou.
Au total, il a y eu 80 participants venus des quatre coins de l’Algérie : Ghardaia, Bouira, Aïn Defla, Boumerdès, Alger, Tiaret, Tizi Ouzou, pour ne citer que ces régions. Ce grand rendez-vous a été rehaussé par la présence d'imminents chercheurs dans ce domaine dont trois français. De nombreux conférenciers invités à l'occasion de cette rencontre ont été appelés à la tribune afin de développer chacun dans sa spécialité des points retenus au programme.

Les communications, faudra-t-il le souligner, qui ont été de haut niveau ont tourné autour de six points très importants, à savoir les TIC dans les programmes algériens, l'utilisation de l'ordinateur dans l'enseignement de cette matière (outil indispensable pour l'enseignant et l'enseigné), l'usage du tableau numérique interactif en cours de mathématiques, logiciels libres et gratuits pour apprendre les mathématiques, le problème ouvert dans l'enseignement de cette matière et l'utilisation des TIC dans l'enseignement des statistiques...

Les différentes interventions didactiques ont répondu de façon pertinente aux questions que se posaient les séminaristes au sujet des difficultés que rencontrent les élèves dans l'apprentissage de cet enseignement allant jusqu'à fuir les mathématiques. Au terme des deux jours, un débat a été ouvert aux présents qui ont donné leur avis sur ce colloque. “Je crois que ce n'est pas encore fini et qu'on reviendrait demain”, a dit cette dame, professeur de mathématiques. “Pourquoi pas un colloque chaque mois ?” s'est interrogé cet autre participant. En marge de ce conclave de deux jours, nous nous sommes rapprochés de la présidente de l' Aademti. “Tout le monde a apprécié cette première initiative.

C'est une grande réussite car nous avons pu réunir autour de la même table des enseignants, des inspecteurs et des administratifs pour parler du développement de l'enseignement des mathématiques en particulier pour les enfants d'Algérie. Nous remercions tous ceux qui ont contribué à la réalisation de ce projet d'une part, et si à l'avenir, nous aurons un budget conséquent, nous pensons déjà à la tenue d'un colloque international au mois de mars, d'autre part”, nous a déclaré Mme Samia Mehaddène.

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DZD 100 billion allocated to scientific research in the 2010-2014 five-year program - par djoudi

ALGIERS - The state has allocated DZD100 billion for scientific and technology research at the rate of DA 20 billion per year under the five-year plan for scientific research from 2010 to 2014, Minister of Higher Education and scientific Research, Rachid Harraoubia said Thursday.

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Loi de la recherche 2013-2017 : états généraux - par djoudi
Nous lançons cet appel aux experts et compétences qui par leur savoir, leur savoir-faire, leur expérience dans l'animation des ateliers et la rédaction de rapports de synthèse, peuvent contribuer à définir et à construire ce que sera la recherche scientifique et l'innovation  en Algérie dans les années à venir.  A cet effet, des regroupements thématiques seront organisés à travers le territoire national dans les grandes disciplines suivantes:
1)           Calcul Scientifique,
2)           Énergies Renouvelables et Eau,
3)           Sciences des Matériaux et Nanotechnologies,
4)           Chimie,
5)           Sciences Sociales et Humaines;
6)           Physique et Sciences de la Terre,
7)           Biologie et Sciences de la Vie,
8)           Agriculture et Agro-alimentaire,
9)           Engineering & Sciences de l'Ingénieur,
10)       Mathématiques et Informatique,
11)       Santé et Sciences Médicales,
12)       Environnement & Changement climatique
13)       Economie & Management
Pour chaque grand domaine, la première journée sera consacrée aux travaux en ateliers sur les problématiques suivantes:
      Atelier 1 : État des Lieux, Bilan en termes de production scientifique, de formation doctorale, de brevets et d'innovation ;
      Atelier 2. Prospective : Quels Axes faut-il développer pour les 10 années à venir ?
      Atelier 3. Comment adapter la formation aux compétences exigées par le marché de l'emploi (Licence, Master, Doctorat) ;
      Atelier 4. Difficultés, Entraves et Dysfonctionnements rencontrées dans la gestion de la recherche et propositions de solutions ;
      Atelier 5. Identification des besoins en ressources humaines, en équipements et en infrastructures.
Pour chaque grand domaine, la deuxième journée sera consacrée aux travaux par sous domaines, en analysant et en définissant les axes de recherche prioritaires. Votre demande de participation à ces travaux sera évaluée sur la base  de votre engagement à contribuer activement à cet effort national.
Les regroupements s'effectueront les samedi dimanche et s'étaleront du 20 janvier au  8 avril 2012. Le programme type des travaux est ainsi structuré:
-          Vendredi après-midi: arrivée des participants, réunion en soirée des animateurs & rapporteurs des travaux des ateliers
-          Samedi 9h-16h: Séance d'ouverture, organisation des ateliers, et suivie des travaux en ateliers à partir de 10h30
-          Samedi 16h30 - 19h: Compte rendu des travaux des 5 ateliers + remise des rapports de synthèses
-          Dimanche 9h-16h00: Travaux en ateliers sur l'identification des contenus des diverses sous disciplines identifiés prioritaires
-          Dimanche 16h30-19h: Compte rendu des travaux des différents ateliers + remise des rapports de synthèses
-          Lundi matin: départ des participants
Pour des raisons d'efficacité et afin de permettre à un grand nombre de chercheurs de participer à ces regroupements, une personne ne peut pas contribuer à plus d'un regroupement, sauf exception justifiée par une visibilité internationale (auteur d'ouvrage, expert dans les organisations internationales ..).
Discipline
Organisateur
Date événement
Lieu de
déroulement*
CERIST
21-22 Janvier 2012
Alger
CDER
28-29 Janvier 2012
Alger
CSC
4-5 Février 2012
Tlemcen
CRAPC
11-12 Février 2012
Bejaia
CRASC
18-19 Février 2012
Oran
CDTA
25-26 Février 2012
Alger
CRBt
3-4 Mars 2012
Guelma
CRSTRA
10-11 Mars 2012
Biskra
ANDRS
17-18 Mars 2012
Oran
Mostaganem
24-25 Mars 2012
Mostaganem
Sétif
31 Mars - 1er Avril
Sétif
Annaba
5 - 6 Avril 2012
Annaba
Biskra
12 - 13 Avril 2012
Biskra
Réunion de synthèse des coordinateurs
DGRSDT
26-27 Mai 2012
Alger
* Non contractuel
 

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Lancement prochain du Technoparc d’Oran - par djoudi

ORAN - Le projet de Technoparc d’Oran sera lancé "prochainement", a annoncé, samedi, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (P-TIC), Moussa Benhamadi.


"Les avis d’appel d’offres de ce futur parc technologique, qui sera édifié sur une assiette de 30 hectares à Belgaïd (Bir Djir), à l’est d’Oran, seront lancés dans les tout prochains jours", a précisé le ministre lors d’une visite de travail à la capitale de l’Oranie.

"Ce projet est appelé à développer la création de start-up de la région, et à créer un certain nombre d’activités dédiées aux sociétés de technologies de l’information et de communication (TIC)", a-t-il ajouté.

Le futur Technoparc d’Oran sera doté d’un incubateur de recherche et d’un multi-locateur pour start-up. Il servira également de catalyseur en assurant des prestations de services (TIC) au profit d’entreprises économiques et industrielles de la région ouest, a-t-on précisé auprès de la délégation ministérielle.

Cette infrastructure sera connectée par fibre optique à la ville de Valence (Espagne) et aura pour particularité de disposer d’une liaison autonome au réseau international pour servir de liaison de secours, a-t-on expliqué.

Au centre MSAN (multi-service access node) du pôle universitaire de Belgaïd, M. Benhamadi a annoncé la création prochaine d’une deuxième direction opérationnelle de télécommunications destinée à desservir les usagers d’Oran-Est. Elle sera dotée de tous les services. La wilaya d’Oran disposera également d’un nouveau centre MSAN de 2.000 accès destiné aux nouvelles cités d’habitation implantées à l’est d’Oran.

Il a également instruit les responsables locaux à inscrire une nouvelle agence postale au niveau de la partie est de la ville, regroupant plus de 25.000 habitants.

Par ailleurs, le ministre s’est enquis de l’état d’avancement du projet de réalisation réseau MSAN au niveau du centre "Haddadine", au centre-ville d’Oran, qui devra fournir 100.000 accès aux usagers.

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Seulement 15% des PME utilisent les TIC en Algérie - par djoudi

ALGER - Seulement 15% des PME algériennes sur les 321.000 recensées utilisent les technologies de l’information et la communication (TIC) dans leurs activités, a indiqué, mardi à Alger, le directeur général de l’Agence nationale de développement des PME (ANDPME), Rachid Moussaoui.


S’exprimant à l’ouverture d’une rencontre sur la responsabilité sociétale des entreprises dans le développement durable, M. Moussaoui a reconnu qu’il s’agit d’une importante carence, ajoutant que le programme national de mise à niveau piloté par l’ANDPME comprend un volet lié à l’accompagnement des entreprises algériennes pour les encourager à utiliser davantage les TIC dans leurs domaines d’activités.

Ce volet porte, entre autres, sur le financement à hauteur de 40% des opérations d’acquisition de l’outil informatique des équipements et solutions impliquant l’utilisation des TIC, précise M. Moussaoui.

Le programme national de mise à niveau, doté d’une enveloppe de 386 milliards de dinars, prévoit aussi la mise à la disposition des PME d’experts chargés d’évaluer et diagnostiquer les besoins de ces entreprises en matière d’utilisation des TIC, ajoute le responsable de l’ANDPME. Il a, en outre, rappelé que le nombre exact de PME algériennes en activité est de 321.000 entités, alors que 117.000 très petites entreprises (TPE) sont éligibles au dispositif de l’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes (ANSEJ).

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Formation professionnelle : nouvelles spécialités dans le domaine des TIC - par djoudi

ALGER - De nouvelles spécialités dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC) seront incluses dans le programme pédagogique de la formation professionnelle à la faveur de l’élaboration d’un répertoire de ces spécialités, a-t-on appris auprès de la tutelle.


"Un répertoire dans le domaine des TIC, incluant de nouvelles spécialités, a été élaboré afin d’enrichir la nomenclature de la formation et de l’enseignement professionnels", a indiqué la directrice de l’informatisation et des systèmes d’information au ministère, Mme Ayouni Zineb, lors d’un regroupement des informaticiens du secteur. Ce répertoire, élaboré en coordination avec le ministère de la Poste et des TIC, est destiné à des formations de courte durée allant de six mois à une année.

Mme Ayouni a rappelé que la stratégie du secteur dans le domaine des TIC repose sur deux objectifs majeurs, à savoir la généralisation de l’usage des TIC à tous les niveaux et la mise en adéquation qualitative des programmes de formation avec l’évolution des technologies et des métiers du savoir.

Elle a relevé, dans ce cadre, que plus de 17.000 jeunes demandeurs de formation se sont inscrits, à l’occasion de la rentrée de la formation professionnelle session d’octobre 2011-2012, en utilisant l’Internet et que plus de 600 conseillers d’orientation du secteur ont été formés dans cet objectif.

La même responsable a ajouté que les bureaux d’accueil relevant du secteur ouverts pour les inscriptions ont été dotés d’outils informatique nécessaires pour garantir la réussite de cette opération. Mme Ayouni a souligné que plusieurs actions et programmes ont été initiés pour moderniser la plate-forme technologique du secteur et la modernisation de l’administration.

Le ministère de la Formation et l’Enseignement professionnels a organisé cette rencontre qui regroupe des spécialistes en informatique, afin de "rassembler toutes les compétences et de partager les connaissances dans le but de débattre de l’application des projets en matière de TIC".

"Le secteur est doté d’un ensemble d’outils en matière des TIC qui doivent être utilisés et rentabilisés et qui nécessitent la mise à niveau de la ressource humaine", a-t-elle dit.

Une bibliothèque virtuelle qui permet de disposer de programmes accessibles à travers l’intranet du secteur, une messagerie interne d’une capacité de plus de 3000 utilisateurs, un portail web et un système d’information géographique (SIG) figurent parmi les outils du secteur en matière des TIC, a-t-elle précisé.

Les participants à cette rencontre débattront durant trois jours au niveau de cinq ateliers de travail de plusieurs thèmes portant notamment sur les mécanismes relatif à la modernisation de l’administration.

La mise à niveau des ressources humaines par la formation à la maîtrise des différents outils informatiques sera examinée aussi dans le cadre de ces ateliers.

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L’industrie des TIC représente 4% du PIB - par djoudi

ALGER- L’industrie des technologies de l’information et de la communication (TIC) en Algérie représente 4% du produit intérieur brut (PIB), a indiqué dimanche à Alger un représentant du ministère de la Poste et des TIC.


Dans une communication lors d’un symposium international sur l’apport des TIC au développement de l’éducation, Cherif Benmahrez, a rappelé que l’Algérie était un pays "pionnier" dans la région dans le domaine de l’informatique.

A titre comparatif, il a relevé que les TIC représentent 6% du PIB en Tunisie, soulignant que ce secteur est "très rentable" pour l’économie, notamment avec l’évolution rapide de la technologie.

M. Benmahrez a indiqué, en outre, que le nombre de personnes formées dans le secteur des TIC en Algérie avoisine les 10.000, un chiffre insuffisant, a-t-il dit, par rapport à la demande du marché, estimée à quelque 20.000 personnes.

De son coté, le représentant d’Algérie Télécom (AT), Chafik Chikh, a déclaré à l’APS que la mise en œuvre de la convention signée entre le ministère de l’Education nationale et celui de la Poste et des TIC, prévoyant de doter 18.000 établissements scolaires de l’internet d’ici au 16 avril prochain, se déroule de manière "satisfaisante". Il a expliqué que la partie la plus difficile du projet, à savoir l’installation des liaisons en fibre optique et des équipements, est déjà achevée.

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Recherche scientifique : fédérer les compétences nationales - par djoudi

ALGER - Les participants à la 2ème rencontre organisée par le Ministère de la Défense Nationale (MDN) avec les chercheurs algériens établis à l’étranger ont convenu, à l’issue de leurs travaux, de la nécessité de fédérer les compétences nationales autour d’axes porteurs de progrès technique et ayant un impact direct sur le développement socio-économique du pays en général et sur le secteur de la défense nationale en particulier.


Cette manifestation, organisée par le ministère de la Défense nationale en collaboration avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, sous le haut patronage du président de la République, a permis aux chercheurs, trois jours durant, de se pencher sur des thèmes liés aux technologies avancées et à développer des segments en rapport avec les sciences à applications durables.

Les débats se sont axés autour de la problématique du développement d’une recherche stratégique en Algérie, sur le plan des actions à mener depuis la première rencontre tenue en novembre 2009, ainsi que sur les opportunités de travail collaboratif et les activités à promouvoir et à consolider.

Pour ce faire, les participants ont convenu de la nécessité de mettre en place des cellules de veille stratégiques au niveau des institutions publiques et des ambassades d’Algérie à l’étranger à même de valoriser le travail de la recherche et créer des interfaces entre la recherche scientifique et l’industrie civile et militaire.

Ils ont également plaidé pour la création de réseaux thématiques et de conseils scientifiques appelés à conduire des programmes et des plans de recherche.

L’accent a été mis, en outre, sur la nécessité de mettre en place un comité directeur composé de chercheurs et experts représentant le ministère de la Défense nationale et celui de l’Enseignement supérieur avec pour mission de "conseiller les décideurs en termes d’orientation stratégique dans les domaines scientifique et technique, élaborer un plan d’action annuel et fixer les thématiques des rencontres avec les chercheurs et experts établis à l’étranger".

Les participants ont suggéré, par la même occasion, la création d’un organe permanent chargé d’identifier l’expertise algérienne à l’étranger pour centraliser et traiter les besoins spécifiques en matière de recherche et de développement technologique.

Intervenant à la clôture des travaux de cette rencontre, la ministre déléguée à la Recherche scientifique, Souad Bendjaballah, a réitéré son engagement à œuvrer pour le perfectionnement des propositions et recommandations qui ont été faites par les chercheurs, soulignant que l’Algérie s’est déjà dotée, depuis 1998, d’une politique de recherche "clairement définie".

Elle a, dans ce sens, appuyé l’idée de créer des pôles de compétence à travers des réseaux de chercheurs, assurant qu’il s’agit de "trouver la meilleure manière de transférer les résultats de la recherche vers les entreprises".

Pour sa part, le représentant du ministère de la Défense nationale a affirmé que le défi à relever était de faire de cette seconde rencontre un "jalon supplémentaire" pour une "collaboration soutenue et pérenne avec notre communauté de recherche établie à l’étranger sans pour autant occulter celle évoluant au niveau national et qui recèle également un potentiel de haut niveau scientifique et technique qui ne demande qu’à être sollicité".

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A propos du SNDL - par Behaz

Le SNDL vous permet l’accès à une documentation électronique nationale et internationale très riche et très variée,  couvrant tous les domaines de l’enseignement et de la recherche scientifique.   Documentation internationale (acquises via des abonnements)     En termes d’accès, cette documentation est classée en deux catégories :
La première catégorie est accessible sans restriction à l’ensemble des étudiants, enseignants-chercheurs et chercheurs permanents au sein des campus universitaires et centres de recherche.
 L’autre catégorie,  par contre,  concerne l’aspect recherche.Elle est dédiée aux  enseignants-chercheurs, aux chercheurs permanents, aux étudiants en post-graduation (Doctorants et Magisters),aux étudiants ingénieurs en fin de cycle et Master2.
L’accès à cette deuxième catégorie de documentation se fait sans restriction de lieu de connexion mais exige l’obtention  d’un compte individuel. La procédure d’obtention du compte est simple.Elle est prise en charge par :  

  1. Le directeur de laboratoire (directeur pour les centres et unités de recherche)  pour les  enseignants-chercheurs affiliés à un laboratoire (respectivement  centres et unités de recherche) de recherche et les étudiants en post-graduation (Doctorants, Magisters).
  2. Le responsable de la bibliothèque centrale,  pour les enseignants-chercheurs non encore affiliés à un laboratoire de recherche, les Masters 2 et les étudiants ingénieurs en fin de cycle.

Dans le cas où vous ne disposez pas encore de compte, adressez vous au directeur de laboratoire dans le premier cas et au responsable de la bibliothèque universitaire de votre établissement de rattachement dans le deuxième cas. Liste et classification des produits disponibles Pour toute information sur cette documentation cliquez sur l’icône "RESSOURCES" au niveau de la page d’accueil du site SNDL. Les produits de différents éditeurs sont mis à votre disposition. Ces produits sont classés en quatre grands domaines pour vous faciliter la recherche. Procédure d’accès aux différents produits et téléchargements de documents ou de données Pour la recherche et le téléchargement de documents :

  1. Après avoir accédé au portail SNDL: www.sndl.cerist.dz
  2. Cliquez sur l’icône connexion
  3. Entrez votre identifiant et mot de passe .

Documentation produite au niveau national Le CERIST mène également un projet d’identification, de traitement, et de signalement de la production scientifique nationale ainsi que sa mise en ligne. Des ressources sont donc déjà mises à votre disposition à travers ce portail.
Vous trouverez plus de détails sur les produits disponibles en cliquant sur l’icône « PORTAILS » se trouvant sur la barre de navigation de la page d’accueil du site SNDL. Il s’agit du portail des revues algériennes (WebReviews), du Catalogue Collectif Algérien (CCDZ), du Portail National de Signalement des Thèses (PNST), des bases de données bibliographiques (ALGERIANA et ASA).
Les nouveautés et les mises à jour sont signalées sur le site périodiquement.
Le responsable de la bibliothèque de votre établissement ainsi que l’ équipe SNDL du CERIST resteront à votre disposition pour répondre à vos questions et prendre en charge les problèmes rencontrés éventuellement.
Pour toute information  écrire un mail à sndl@cerist.dz ou appeler au 021912187

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ENS, Kouba, du 19 au 22 décembre 2011
La 19ème Ecole de Linux et des Logiciels Libres se tiendra du 19 au 22 décembre 2011 à l'école normale supérieure de Kouba et fait suite à celles organisées aux centre universitaire de Bordj bouarrériridj, universités de Médéa, Jijel, Sétif, M'sila, Sidi Bel-Abbès, Ouargla, Tizi-Ouzou, Annaba, Mascara, Béchar, Laghouat, Tiaret, Batna et Guelma. Elle s'adresse aux enseignants chercheurs, étudiants en post graduation et aux utilisateurs du secteur économique. Durant quatre jours, des présentations seront données les matinées et des ateliers pratiques seront organisés l'après midi. l'objectif est de promouvoir le système d'exploitation Linux et le concept des logiciels libres dans la vie scientifique et économique. Thèmes de l'école
  • Installation et configuration d'une station de travail
  • Applications bureautiques et scientifiques
  • Administration des systèmes et réseaux
http://elibrahimi.ens-kouba.dz/linux/

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Un portail web pour faciliter l’intégration des compétences nationales à l’étranger - par djoudi

ALGER- Une convention portant sur la mise en place d’un portail web destiné à faciliter l’intégration des compétences nationales à l’étranger dans les différents programmes sectoriels de recherche a été signée jeudi à Alger.


La convention, qui s’appuie sur une banque de données, a été signée par M. Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des technologies de l’information et de la communication (TIC), et M. Halim Benatallah, secrétaire d’Etat chargé de la Communauté nationale à l’étranger. Dans son intervention, le ministre de la Poste et des TIC a indiqué que la mise en exploitation de ce portail web interviendra à la fin du mois de juin de l’année 2012.

M. Benhamadi a fait savoir qu’en vertu de cette convention, son département s’engage à prendre en charge l’hébergement, la maintenance technique du portail ainsi que la sécurisation des applications et des données pour une période de 3 ans. Le même responsable a ajouté qu’une fois opérationnel, le portail permettra l’intégration des compétences nationales établies à l’étranger dans les projets de recherche.

Il a émis le souhait que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique s’associe à cette initiative car, a-t-il expliqué, il compte de nombreux chercheurs ayant des relations avec leurs homologues exerçant à l’étranger.

L’intervenant a précisé que le portail web doit permettre la diffusion et le partage de l’information entre les compétences nationales établies à l’étranger autour de projets ayant un intérêt socioéconomique pour l’Algérie.

M. Benhamadi s’est dit persuadé que ce portail web favorisera la mobilisation des compétences algériennes établies à l’étranger au service du développement socio-économique du pays. Il a exprimé l’entière disposition de son ministère à faciliter les échanges entre les chercheurs en Algérie et les compétences nationales à l’étranger.

Le secrétaire d’Etat chargé de la communauté nationale à l’étranger, M. Halim Benatallah a, pour sa part, indiqué que l’idée de la création de ce portail web est venue suite aux discussions entamées avec la communauté nationale établie à l’étranger.

M. Benatallah a souligné que la mise en place de ce portail vient combler un vide en matière "légal", assurant que cet aspect est très important dans la mesure où il renforce la confiance entre les différents partenaires.

Il a rappelé que des initiatives ont été lancées par le passé, mais n’ont pas été couronnées de succès à cause de "l’absence d’un cadre légal". Le secrétaire d’Etat a estimé que ce portail web est susceptible de créer une "synergie" entre les secteurs nationaux demandeurs de haut potentiel humain et les compétences algériennes établies à l’étranger, qu’ils a invitées à participer à l’effort de développement du pays.

Un comité mixte de pilotage, chargé du suivi et de l’évaluation de la mise en oeuvre de la présente convention, sera mis en place,

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La diaspora algérienne de Silicon Valley prochainement à Alger pour promouvoir les start-up - par djoudi

WASHINGTON - Une quarantaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de la célèbre technopole de San Francisco, Silicon Valley, se rendront en février prochain à Alger pour la mise en place d’un projet d’accompagnement des start-up (entreprises innovantes) algériennes.


Dans ce cadre, un forum devrait regrouper notamment les ministères respectivement de l’Industrie et de la Poste et des TIC, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (Ansej), des banques et la délégation des technologues algériens de Silicon Valley, a indiqué à l’APS l’ambassadeur d’Algérie à Washington, Abdallah Baali.

La diaspora algérienne qui prendra part à cette rencontre sera composée de spécialistes exerçant, pour la plupart, dans les grandes entreprises technologiques américaines telles que Apple, Google, Cisco, Oracle, Intel, Hewlett-Packard, ainsi que d’Algériens qui sont patrons de leur propre société technologique tel Belgacem Haba, surnommé "l’homme aux 200 brevets d’invention" dans la microélectronique.

Selon le président du Conseil d’affaires algéro-américain, Smail Chikhoune, durant les deux jours de ce forum, il s’agira d’élaborer une "feuille de route" à moyen et long termes avec un programme bien défini pour promouvoir en Algérie les jeunes entreprises, en activité ou à créer, spécialisées essentiellement dans les nouvelles technologies.

En effet, explique-t-il, pour aider les jeunes Algériens détenteurs d’idées dans le domaine des technologies à créer leur start-up et doter celle-ci d’un potentiel de croissance, "il ne suffit pas de leur accorder une aide financière uniquement et de les lâcher dans la nature sans aucun accompagnement ni suivi".

Les conditions de réussite et d’expansion de ces entreprises de nouvelles technologies, poursuit-il, dépendent aussi, fondamentalement, d’une aide en matière d’expertise en management et d’un accompagnement professionnel multidimensionnel à travers, notamment, le "coaching", qui permet à la personne "coachée" d’approfondir ses connaissances et d’améliorer ses performances pour la croissance de son entreprise.

Et c’est à ce niveau que l’expertise des spécialistes algériens de la principale technopole américaine devra intervenir.

Pour la mise sur pied de ce projet, il sera proposé, entre autres, au cours du forum d’Alger, la création d’un fonds d’investissements dont le rôle consiste à financer à la fois les start-up et le coaching des experts.

Les ressources financières de ce fonds pourraient provenir de financements de l’Etat, des banques ainsi que des entreprises de tout secteur, lesquelles pourraient prendre des participations dans le capital de la start-up laquelle, finalement, est une potentielle future PME en cours de gestation.

Qui plus est, a observé M. Chikhoune, l’Algérie dispose de solides jeunes compétences en matière des nouvelles technologies, qui doivent être encouragées par une politique qui favorise les idées innovantes.

A ce propos, il ne manque pas de relever que lors d’une visite effectuée en octobre dernier à Alger par une délégation du département d’Etat et de jeunes entrepreneurs américains sur le partenariat en matière d’incubation d’entreprises, il a été question de choisir, à l’issue de cette rencontre, une start-up algérienne sur les 15 participantes, pour suivre un stage au niveau d’un incubateur d’entreprises et d’une université à Detroit (Michigan).

Selon M. Chikhoune, sur les projets exposés par les 15 jeunes candidats algériens spécialisés dans les TIC, cinq (5) start-up ont présenté des projets innovants qui étaient d’une telle excellence, notamment dans le domaine du software, qu’il avait été extrêmement difficile de les départager et dont le candidat de Djelfa a été finalement retenu par la partie américaine.

Outre l’élite algérienne de la Californie, qui concentre le plus gros des entreprises de technologies de pointe américaines, il est également prévu, dans les prochaines étapes, d’associer les technologues algériens des autres parties des Etats-Unis pour développer les entreprises des nouvelles technologies en Algérie.

Pour le président de l’USABC (US-Algeria business council), il faudrait s’inspirer de la méthode adoptée depuis bien longtemps par l’Inde et la Chine dont les gouvernements demandent à leur élite scientifique vivant à l’étranger de parrainer les "jeunes pousses" technologiques locales et, aussi, de créer des entreprises dans leur pays d’origine.

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Etats généraux sur la recherche scientifique en 2012 - par djoudi

Des états généraux sur la recherche scientifique en Algérie seront organisés en 2012, a annoncé jeudi à Bou Ismail, M. Hafidh Aourag, directeur général de la Recherche scientifique et du Développement technologique (DGRSDT) au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

M. Aourag, qui a fait part de cet événement lors des travaux de la session ordinaire du conseil national du Syndicat national des chercheurs permanents (SNCP) qui se tient à l’Unité de développement des équipements solaires (UDES) de Bou Ismail, a précisé que celui-ci servira à «faire le point sur la situation en matière de recherche scientifique en Algérie». Il a estimé, en ce sens, que le problème auquel fait notamment face actuellement la recherche scien- tifique réside dans «la faiblesse de la qualification des chercheurs et des gestionnaires des centres et divisions de recher-che, dont 80% ne possèdent pas de doctorats".
 

M. Aourag a souligné qu'il sera remédié à cette situation à partir de 2012, par «la mise en place de critères de compétitivité élevés (avoir un doctorat au minimum) et par le développement de formations maison, c'est-à-dire non diplômantes pour empêcher la fuite des cerveaux. Selon lui, une réflexion est, par ailleurs, en cours pour trouver des solutions à tous les problèmes recensés, dont le plus urgent est de «veiller à axer les efforts sur le développement technologique qui reste le point faible de notre système et le handicap principal», a-t-il dit. Illustrant ses propos,        M. Aourag a souligné que l'Algérie ne possède que 480 chercheurs pour un million d'habitants alors que la moyen-ne mondiale est de 1 080 chercheurs pour un million.
«L’Algérie qui se targue d’avoir 20.000 chercheurs (enseignants et permanents) est très loin des standards internationaux, même si elle occupe d’excellentes positions en Afrique dans certains domaines, dont la 3e place en physique- chimie, la 2e en sciences des matériaux et la 4e en sciences de la terre, en mathématiques, en informatique et engineering», a-t-il observé. «Le défi que notre pays doit relever est celui de la ressource humaine qui peut transformer l’idée en innovation», a-t-il ajouté, expliquant que le système LMD et la création de grandes écoles spécialisées ont été programmés dans cet esprit de qualification et de préparation de la ressource humaine pour travailler et gérer les 100 centres de recherche qui seront réalisés d’ici à 2014».

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La recherche scientifique ouverte aux jeunes - par djoudi

Recherche scientifique en Algérie – Selon le directeur de la recherche M.Abdalhafid Aourag, des laboratoires seront ouverts prochainement pour les jeunes chercheurs afin de leur permettre d’« exploser ».

Des jeunes dont les potentialités sont énormes et qui pourront, enfin mettre en œuvre leurs non négligeables valeurs ajoutées. Pour ce faire, un concours de jeunes talents a été lancé dernièrement, pour identifier les meilleurs diplômés et les enrôler. M.Aourag a révélé à ce sujet que ces terreaux de recherches que seront les futurs laboratoires seront mixtes.

Ils accueilleront non seulement des chercheurs dans le domaine scientifique mais également des acteurs de la sphère socio-économique. Ils seront ainsi multisectoriels pour mieux répondre aux vrais besoins du pays en recherche, et ne pas être en déphasage avec la réalité du terrain. Tout ceci en juste ligne avec le vœu du président de la république toujours à ce sujet.

Un conseil d’évaluation de la recherche

A l’image du célèbre conseil économique et social, drivé par le docteur Babes et dont la principale activité est d’évaluer en temps réel la situation socio-économique du pays, M Aourag a dévoilé hier sur la chaîne 3 la création d’un conseil d’évaluation de la recherche scientifique. Un œil neutre et objectif dira-t-il, qui pourra analyser et évaluer la situation de la recherche scientifique et l’apprécier notamment dans les universités.

Ce conseil pourra le cas échéant fournir des propositions comme le fait le CNES et conseiller les principaux concernés (universités, instituts, pôles de recherches etc.).  En parallèle, une évaluation est déjà en cours pour faire le bilan du passif de notre pays dans le domaine de la recherche scientifique dont nous n’avons aucun indicateur.

Selon le responsable, cette évaluation permettra d’identifier les lacunes, et les ratages,  mais servira surtout à cibler les prochaines priorités du secteur et donc des dépenses à y engager. « Il n’est plus question de diviser des enveloppes sur tous les secteurs de la même manière » a-t-il indiqué. Dorénavant les dépenses seront choisies soigneusement et répondront à une logique bien précise d’objectifs de performances.

Les expatriés veulent revenir

Sur toutes lèvres dès que le sujet de la recherche est abordé, la question de la fuite des cerveaux a également été au menu de l’exposé de M.Aourag sur les ondes de la chaîne 3.

Fuite des cerveaux qui fait débat chez nous, même au cœur de la sphère scientifique, puisque certains l’encourage en l’absence de moyens réels mis a la disposition des protagonistes en Algérie, et que d’autres la décrient, l’Algérie dépensant des milliards pour former ces scientifiques dont d’autres pays profitent allégrement sans y avoir mis le moindre copeck.

Le directeur de la recherche pour sa part relativise, en expliquant que non seulement les moyens vont être mis a disposition de ces derniers, mais surtout  selon lui, ils sont très nombreux à demander a revenir au pays, pour peu que les moyens y soient. D’ailleurs M.Aourag clora le sujet en révélant le chiffre de 200 chercheurs établis à l’étrangers  et dont les requêtes pour un retour au pays sont sur son bureau…

source: Le financier

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300 nouveaux laboratoires et 100 unités de recherche en 2012 - par djoudi

L’Algérie comptera pour la prochaine année universitaire près de 100  unités de recherche et 300 nouveaux laboratoires de recherche. Elle prendra en charge la formation de quelque 3.000 jeunes chercheurs sur le territoire national qui bénéficieront d’une formation doctorale, afin de les orienter vers les centres de recherche. Cette opération, lancée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, vise, à moyen terme, à atteindre 4.500 chercheurs permanents.


Les actions menées par le secteur, dans le cadre de la politique nationale de recrutement, prévoient la formation, d’ici à 2020, de 60 000 enseignants-chercheurs. Avec seulement 22 000 chercheurs, l’Algérie compte 600 scientifiques pour un million d’habitants, soit la moitié du ratio mondial moyen.


La recherche scientifique, qui a bénéficié de 100 milliards de dinars dans le plan quinquennal 2010-2014, est inscrite au nombre des grandes priorités nationales, exigeant la mobilisation, dans un cadre coordonné, de l'ensemble des potentialités.
Parmi les mesures prises dans le domaine de l’organisation de cette discipline, on cite le renforcement de l’édifice institutionnel et organisationnel prévu par la loi d’orientation, et ce à travers, notamment, l’installation de dix commissions intersectorielles de promotion, de programmation et d’évaluation de la recherche scientifique et technique, le renouvellement et la redynamisation des comités sectoriels permanents, la mise en place de réseaux en charge des thématiques de recherche prioritaires, le démarrage effectif du centre national de recherche en biotechnologie, la création de nouveaux laboratoires de recherche au sein des établissements d’enseignement supérieur et la mise en place du Conseil national d’évaluation.

 

Par ailleurs, une enveloppe de 6 milliards de DA a été consacrée en mai dernier par le gouvernement à l’exécution des programmes nationaux de recherche au nombre de 2.577 sur les 4.023 évalués. Il s’agit du lancement des actions de concrétisation des différents projets scientifiques et de recherche qui ont obtenu l’accord de plus de 850 experts nationaux.


Le contrat signé entre la direction générale de la recherche scientifique et certaines entreprises économiques, qui géreront ces pro- grammes de recherche, répond à la loi d’orientation de la recher-che scientifique qui porte sur les 34 programmes nationaux de recherche. Cette opération fait suite à la réunion tenue il y a près d’une année au cours de laquelle les dix commissions intersectorielles ont été installées, réunion qui a permis le lancement de l’opération de sensibilisation en direction des chercheurs et des entreprises sur la nécessité de concrétiser des projets de recher-che dont les groupes seront constitués de différents secteurs.


Les responsables du secteur insistent sur « la diversité » des projets de recherche agréés. Il y a lieu d’associer la recherche scientifique au développement économique, en recommandant aux centres de recherche de participer au développement socioéconomique du pays, à travers des recherches porteuses de projets de développement.
Sarah S.

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L’Algérie table sur 60.000 chercheurs en 2020 - par djoudi

Le système national de documentation en ligne a ouvert plus de 60.000 accès aux universitaires.

L’Algérie, qui a été classé au premier trimestre 2010 par l’UNESCO à  la troisième place africaine en matière de recherche scientifique,  après l’Afrique du Sud et  l’Egypte, accorde un intérêt certain à ce domaine qui bénéficie d’un important budget de 100 milliards de dinars mobilisé pour la période allant 2008 - 2013.
Certes,  les capacités nationales en matière de recherche restent encore en deçà des normes internationales qui exigent 2000 chercheurs pour un million d’habitants alors que l’Algérie ne dispose encore que de 600 chercheurs par million d’habitants, contre 4300 en France ou encore 5600 au Japon, mais faut-il souligner que le nombre de publications scientifiques ont sensiblement augmenté en 2009, l’année durant laquelle elles ont atteint les 20.000 publications.
Concernant le  nombre des chercheurs algériens, le ministère de la tutelle indique que les  enseignants-chercheurs  ont atteint  17000 dont 1900 permanents. L’objectif est d’arriver à l’horizon 2020 à quelque 60.000 chercheurs, d’où le lancement de 34 programmes de recherche scientifique touchant divers secteurs d’activités (santé, ressources en eau, énergies renouvelables, agriculture, technologies de l’information et de la communication), conçus de manière à répondre à certaines préoccupations socioéconomiques.


Et les grandes orientations de la politique scientifique pour les prochaines années, sont clairement identifiées dans la loi programme 2008-2012 sur la recherche scientifique et le développement technologique.
Une enveloppe de 5 milliards de dinars a été dégagée pour les 34 programmes dont le financement moyen varie entre 3 et 10 millions de dinars, selon le programme  avec pour objectif de réaliser 3000 projets de recherche en deux ans.
Par ailleurs, dans la série de mesures prises en vue de relancer le secteur de la recherche,  l’Etat  a également décidé  de  rétribuer l’activité de recherche depuis la signature  en janvier dernier des contrats par les chercheurs inscrits aux Programmes nationaux de recherche (PNR). 
«Tout chercheur disposant d’un projet PNR agréé percevra cette rétribution qui, en fonction de ses activités, pourra être reconduite ou arrêtée», a indiqué le directeur de la recherche scientifique, M. Hafid Aoureg lors de l’annonce de la signature des contrats.

 
Ainsi, tout chercheur hospitalo-universitaire ou enseignant chercheur participant aux programmes nationaux de recherche et dont les travaux ont été publiés peut bénéficier de la prime mensuelle allant de 45.000 DA pour le professeur à 20.000 DA pour le maître-assistant de classe B. Pour les responsables d’unités de recherche régulièrement nommés, la prime est fixée à 20.000 DA pour le directeur de l’unité et à 10.000 DA pour le chef d’équipe. Cette fourchette varie selon les diplômes, l’expérience et la compétence de chaque chercheur.  Cette rétribution qui se veut «une reconnaissance de l’Etat pour l’élite du pays, ses compétences et  son excellence», vient aussi «distinguer l’excellence de la médiocrité», d’où l’importance, de l’évaluation des travaux qui sera faite par les experts des comités sectoriels de manière individuelle et non pas par programme de recherche.
Et dans cette perspective d’améliorer l’environnement de la recherche nationale, un système national de documentation on line a été aussi lancé  avec plus de 60.000 accès déjà ouverts aux enseignants, étudiants en master et doctorants inscrits dans les laboratoires de recherche. Le système permet aux chercheurs, grâce à un mot de passe attribué,  d’accéder à toutes les bases de données à travers le monde pour pouvoir télécharger toute la documentation nécessaire à leurs travaux de recherche.
Tant d’efforts déployés en vue aussi d’améliorer  le mauvais classement des universités algériennes et d’améliorer leur visibilité à l’international puisque la publication des travaux de recherches demeure un élément déterminant dans le classement des établissements universitaires.
Hamida B.

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recherche scientifique : 100 centres opérationnels d’ici à 2014 - par djoudi

Dans une déclaration, à El Moudjahid, en marge de l’ouverture des travaux de la session ordinaire du Conseil national du syndicat national des chercheurs permanents, le directeur général de la recherche scientifique, M. Abdelhafid Aoureg, a affirmé, hier, que tous les ingénieurs qui sont dans le processus de recherche ont eu la possibilité de se former. Ceci, nonobstant le fait que « tous les chargés d’études sont inscrits dans des formations de master et par la suite dans des formations diplômantes de doctorat », a-t-il dit.
Il précise que la première phase va bientôt se terminer, « ceux qui sont dans leur première formation de master continueront leur formation sur le doctorat », expliquant que l’objectif est d’arriver à n’avoir, à l’horizon de 2014, « que des docteurs dans les centres de recherches ».
Le directeur de la recherche scientifique a déclaré qu’à l’échéance 2014, les 100 centres de recherches vont être opérationnels « à ce moment-là nous augmenterons le nombre de nos institutions » explique-t-il.
Il souligne que « si on fait un minimum de 50 chercheurs ça nous fait 5.000 nouveaux chercheurs sur 100 centres en 2014 ».
Par ailleurs, le « doctorat » sera le diplôme de base de recrutement en 2014, selon M. Aoureg, qui a mis en évidence le fait que le ministère de l’Enseignement supérieur s’est lancé dans une réforme qui est le (Licence - master - doctorat). Le LMD dont le diplôme phare de cette réforme est le « doctorat ».
Il explique que « sur le marché de l’emploi nous aurons beaucoup de docteurs en 2014, alors qu’aujourd’hui nous avons davantage de magisters, et il faut leur trouver de l’emploi dans les centres de recherche ».
Sihem Oubraham

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Réunion du Comité Sectoriel Permanent - par djoudi

"Réunion du Comité Sectoriel Permanent"
du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Bousmail (UDES) les 12 et 13 décembre 2011

 

Le Comité Sectoriel Permanent (C.S.P.) du MESRS tiendra sa deuxième session pour l'année 2011, les 12 et 13 décembre à l'UDES. .

L'ordre du jour de la session portera sur les points suivants :

1) Elaboration de la nouvelle loi sur la recherche (2013-2017) et mise en place des groupes de travail ;
2) Projets PNR: mise en  place d'une cellule de réflexion sur l'évaluation ;        
3) Finalisation des évaluations des 320 nouvelles propositions de création d'entités de recherche et validation des résultats de l'opération ;
4) Examen des modalités d'évaluation des bilans triennaux 2009-2010-2011 de 400 laboratoires de recherche      concernés;·       
5) Bilan des audits des 63 laboratoires de recherche ;
6) Examen des propositions de budgets triennaux des laboratoires de recherche pour la période 2012-2013-2014;

Les membres du CSP sont priés de communiquer la confirmation de leur participation par email :
labo@nasr-dz.org,
par téléphone ou par fax au : (00.213).21.63.81.01.

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Développement des Technologies Avancées - par djoudi

MDN/MESRS

Deuxième rencontre des chercheurs algériens résidents
à l’étranger sur le thème du

"Développement des Technologies Avancées"
Alger,  6-7-8 décembre 2011

 

Programme de la rencontre en cours de finalisation

Le Ministère de la Défense Nationale en Collaboration avec la Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique organise la seconde rencontre des chercheurs algériens résidents à l’étranger, sur le thème des Technologies Avancées & Technologies de Défense.

Cette rencontre se tiendra du 6 au 8 décembre 2011, au niveau du Cercle National de l’Armée. Elle traitera du déploiement et de la mise en œuvre d’une recherche stratégique au service du développement socio-économique du pays, en ciblant particulièrement le secteur de la recherche de défense et celui de la recherche duale.

A ce titre, la rencontre visera essentiellement à approfondir la réflexion, définir et proposer les options susceptibles de développer une stratégie « recherche de défense - recherche civile » en conjuguant les synergies des chercheurs nationaux activant à l’étranger et ceux résidents dans le pays pour le déploiement d’une industrie de défense. La rencontre comportera des conférences plénières portant sur des thèmes d’actualité en matière de technologies avancées et débattra, au sein d’ateliers spécialisés, des problématiques du développement technologique et industriel de défense.

OBJECTIFS ET THEMATIQUES DU SEMINAIRE :
Sous le thème générique des technologies avancées, cette rencontre avec les chercheurs algériens résidents à l’étranger abordera, sous forme de conférences plénières, les domaines d’intérêt suivants :
- matériaux et énergétique,
- nanotechnologie,
- électronique et optoélectronique,
- informatique et Intelligence artificielle,
- technologies de l’information et de la communication,
- systèmes robotisés.

La rencontre comportera également des ateliers qui débattront des problématiques du développement de la recherche stratégique en Algérie à partir des réussites et des performances de cette recherche au niveau des pays où ils se trouvent et des potentialités, tant humaines qu’industrielles, existant en Algérie. Les ateliers spécialisés seront organisés autour des thèmes directeurs suivants:

- Atelier n°1 : Stratégies et concepts du travail collaboratif: point de situation et propositions;
- Atelier n°2 : Réseaux d'experts: modes d'organisation et de fonctionnement, approches opérationnelles;
- Atelier n°3 : Recherche stratégique et veille technologique de défense: repères actuels et projections futures;
- Atelier n°4 : Les mécanismes financiers de la recherche collaborative transfrontalière;
- Atelier n°5 : Etudes prospectives et anticipation technologique en matière de RD et d'industrie;
- Atelier n°6 : Réflexion sur les objectifs du plan stratégique de la recherche de défense pour le moyen et le long terme.

Ces thématiques restent non exhaustives et peuvent être complétées par d'autres sujets de réflexion.

A cette rencontre organisée avec la participation active de la Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, participeront des responsables de structures de recherche nationales ainsi que des chercheurs nationaux et des cadres du système national de recherche, dont les activités sont en relation avec les thématiques et les objectifs de ladite rencontre.

DATE ET LIEU DE DEROULEMENT DE LA CONFERENCE:
Cette rencontre se déroulera du 06 au 08 décembre 2011 au niveau du Cercle National de l'Armée, Béni-Messous.


INFORMATION:
Pour tout renseignement ou information complémentaire,  Email : "competences@nasr-dz.org"

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1200 postes de recrutement ouverts pour l'année 2012 - par djoudi

Optez pour une carrière dans la recherche:
1200 postes de recrutement ouverts pour l'année 2012

 

Dossier à envoyer par email avant le 31/01/2012

Dans l'optique de renforcer les centres et unités de recherche en personnel chercheurs et de soutien, La DGRSDT annonce le recrutement pour l'année 2012 de:

Nombre de poste Catégorie Diplôme exigé
400 Chercheurs permanents Magister, Doctorat
300 Ingénieurs de recherche Magister, Doctorat
300 Ingénieurs Ingénieur, MasterII
200 Techniciens supérieurs TS, DEUA ou equivallent

Dans les spécialités suivantes:
- Mécanique,
- Electronique,
- Informatique,
- Sciences des Matériaux,
- Biotechnologie,
- Biologie,
- Agriculture,
- Génie Electronique,
- Génie des Procédés,
- Génie Industriel,
- Avionique,
- Physique,
- Chimie

Les personnes intéressées peuvent télécharger et envoyer leur dossier complet (formulaire renseigné + copie de diplôme) à l'adresse électronique suivante: recrut@nasr-dz.org

télécharger le formulaire de candidature

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Les NTIC en Algérie, un marché très porteur (DG Viadeo) - par djoudi

PARIS- Le marché des nouvelles technologies de l’information et de la communication en Algérie où l’introduction de la téléphonie 3G est attendue pour 2012, est jugé « très porteur » par le directeur général Afrique du réseau social professionnel Viadeo, Chams Diagne, dont l’entité, basée à Paris, a pris part au Salon Med-IT organisé fin septembre à Alger.


"Cette année, nous avons été partenaires du 1er évènement dédié au web +la semaine du web à Alger+ et du Salon Med-IT. Ces évènements nous ont permis de rencontrer tous les grands acteurs de ce marché très porteur", a-t-il indiqué à l’APS.

Pour le responsable de Viadeo Afrique, l’intérêt porté à l’Algérie s’explique par les ½grandes avancées » accomplies dernièrement par le pays en matière de TIC avec l’arrivée prochaine de la 3G.

"Cela va avoir un impact fort sur l’économie, comme c’est déjà le cas dans d’autres économies africaines qui l’ont déjà déployée. L’adoption de l’outil internet évolue également assez vite", a-t-il soutenu, affirmant que la "valeur ajoutée" d’un partenariat avec l’Algérie serait surtout de "permettre à tout professionnel algérien de pouvoir gérer sa réputation professionnelle en ligne".

Permettre aux recruteurs d’approcher à la fois, les algériens résidant en Algérie et les algériens résidant à l’étranger, et permettre aux entreprises de communiquer de façon très ciblées auprès des algériens d’Algérie, et des algériens vivant à l’étranger sont les autres paramètres que viaduc compte développer avec l’Algérie, selon son représentant pour l’Afrique.

"A l’échelle mondiale, le potentiel de professionnels actifs est de l’ordre de 500 millions, versus 40 millions de professionnels membres de Viadeo dans le monde entier aujourd’hui. Si nous ramenons cette projection uniquement sur le marché algérien, nous-y comptons à date, 220 000 membres, versus une population active en Algérie de près de 11 millions : la marge est plutôt très importante", a-t-il indiqué.

A la question de savoir pourquoi un tel intérêt pour l’Algérie, M. Diagne a expliqué que Viadeo, par fidélité à sa stratégie de développement multi-locale dans les pays émergents, s’est rapproché du marché à haut potentiel que représentent les pays africains et a ouvert un premier bureau sur le continent en mars 2011, à Dakar au Sénégal pour la zone Afrique de l’ouest et centrale francophone, en attendant l’ouverture prochaine dans un pays du Maghreb un autre bureau pour la zone MENA.

Sur l’expérience "pilote" du bureau de Dakar, il s’est félicité des témoignages "très positifs" de membres africains quant à cette présence locale.

"A ma connaissance, Viadeo est à ce jour, le seul réseau social présent en Afrique. Cela veut dire beaucoup de choses, car en effet non seulement nous sommes visibles, c’est-à-dire que nous pouvons aller à la rencontre de nos membres lors d’évènements locaux, mais en plus nous sommes vraiment à l’écoute de ces derniers", a indiqué M.Diang.

Ainsi afin de mieux répondre aux attentes de ces membres, il a annoncé la mise en place prochaine de solutions de paiement en ligne spécifiques pour l’Afrique et l’ouverture d’une rubrique en ligne ½ formation continue » aux adresses IP africaines.

Réseau social professionnel en ligne, accessible en six langues, Viadeo s’adresse aux professionnels du monde entier. Basée à Paris (siège social), la société dispose également de bureaux et d’équipes locales aux Etats-Unis (San Francisco), en Angleterre (Londres), en Espagne (Madrid et Barcelone), en Italie (Milan), en Chine (Pékin), en Inde (New Delhi), au Mexique (Mexico City) et au Sénégal (Dakar).

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Université d'Hiver de Biskra 24-29 décembre - par djoudi

Le Ministère de l'Enseignement Supérieure et de la Recherche Scientifique et le Secrétariat d'Etat à la Communauté Algérienne à l'étranger, en collaboration avec l'Association des Compétences Algériennes (ACA), invitent les Compétences Algériennes à l'Etranger à soumettre des propositions de cours pour la prochaine Université d'Hiver qui se tiendra à l'Université de Mohamed Khider, Biskra, Algérie, 24 du 29 Décembre 2011.

Le programme de cette Université d'Hiver sera composé de cours intensifs et de séances pratiques de formation destinés aux directeurs de laboratoires, aux directeurs de centres et instituts de recherche, aux directeurs de recherche et au personnel de direction. La formation portera sur les concepts et les techniques de management et de leadership, la gestion des ressources humaines, stratégies de planification/établissement et fonctionnement des unités de recherches, l'innovation, la création d'incubateurs et de Spin Off, la publication d'articles scientifiques dans des revues internationales avec comité de lecture, ainsi que d’autres thématiques d’actualité et de grand intérêt. A cet effet, les Compétences Algériennes établies à l'Etranger, et qui ont une expérience dans le domaine de la gestion des laboratoires et des unités de recherche et entreprises, sont appelées à contribuer activement à ce type d’événement en assurant un haut niveau de qualité et d'expertise professionnelle pour le transfert du savoir.

Quels instructeurs peuvent contribuer? Pour cette deuxième édition de l'Université d'Hiver, les instructeurs devront être des Professionnels de haut niveau, des chercheurs et des experts spécialisés (Subject Matter Experts : SMEs) reconnus par la communauté scientifique internationale pour leurs talents d'innovation et pour leur expertise de haut niveau. Comme ce fut le cas pour les sessions précédentes, les instructeurs sont invités à participer sur une base volontaire, pour manifester leur reconnaissance et pour participer au développement des Sciences et du Savoir Faire en Algérie.

Pour les candidates retenues, nous couverons leurs frais de déplacements à Biskra (billet d’avion international et local) et leurs séjours dans un hôtel de haut standard.

Qualités requises :

Compétences Algériennes et Experts spécialisés (SMEs) à l'étranger, et possédant de solides antécédents professionnels dans le domaine des cours qu'ils/elles proposent d'enseigner. Titulaire au minimum d’un poste de Professeur Associé, de Consultant, de Directeur de Recherche ou d’un poste de Responsabilité dans le domaine scientifique. Un minimum de 10 ans d'expérience et/ou une grande expertise dans l'un des domaines: recherche et innovation, formation, Editeur de journaux scientifiques ou Reviewer Le nombre de sessions/cours sera limité en fonction du nombre d'instructeurs disponibles dans chaque thème. Le comité Scientifique de l'Université d'Hiver sera responsable de la sélection des cours et des instructeurs. Les frais de voyage et d'hébergement des instructeurs seront pris en charge. Les propositions de cours peuvent être soumises à tout moment, mais au plus tard le 30 Octobre 2011 à l'adresse suivante : Winter_University_2011@aca-dz.org Les propositions de cours doivent inclure:

Un CV et une courte biographie Le Titre et les objectives du cours, Le contenu du cours La Durée et le type du cours (théorique, aspects pratiques, groupes de travail, &tudes de cas…) Les Besoins en équipements et en software

Pour plus de détails, veuillez consulter le document ci-joint ou bien visiter www.aca-dz.org

Winter University 2011, 2nd Edition

Mohamed Khider University, Biskra, Algeria

24-29 December 2011

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Constantine : numérisation de 3000 manuscrits de valeur - par djoudi

ALGER - L’Université "Emir Abdelkader" des sciences islamiques de Constantine a numérisé récemment près de 3000 manuscrits de valeur dans le cadre d’une initiative collaborative avec les habitants de la ville, a annoncé lundi à Alger le directeur de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Hafid Aourag.


Lors du lancement officiel du système national de documentation en ligne, Aourag a précisé que la concrétisation de cette initiative avait été favorisée par la participation des habitants de la ville de Constantine qui "ont répondu favorablement à l’appel de l’Université et n’ont pas hésité à remettre à l’établissement différents manuscrits et livres de valeur en vue de leur numérisation". L’opération est toujours en cours, a-t-il ajouté.

Aourag a, dans ce contexte, appelé les recteurs des différents établissements universitaires du pays à reproduire l’initiative au niveau de leurs régions respectives et à créer un département de numérisation en vue de sauver ce patrimoine scientifique et littéraire inestimable. Une telle démarche, a-t-il dit, est à même d’enrichir les sites web de chaque université.

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Lancement officiel du système national de documentation en ligne destiné à la communauté universitaire - par djoudi

ALGER -Le système national de documentation en ligne SNDL a été lancé lundi à Alger, un portail qui se veut "un outil indispensable" à la recherche scientifique et à l’accès à l’information en temps réel par la communauté universitaire.


"Ce portail permettra à nos chercheurs et étudiants en post-graduation d’effectuer leurs travaux de recherche bibliographiques en ligne tout au long de la semaine" a expliqué le directeur de la recherche scientifique et du développement technologique Hafid Aourag lors du lancement officiel de ce système informatique et l’annonce de la création de la cité des sciences et des arts.

Le SNDL accessible à l’adresse www.sndl.cerist.dz, offre, ainsi, la possibilité de consulter "des dizaines de milliers d’articles, de livres et de revues spécialisés et de télécharger les documents jugés utiles aux travaux de recherche".

"Avec le portail SNDL l’université algérienne franchira un nouveau seuil et passera à une nouvelle ère, celle de la révolution des technologies de l’information en dématérialisant la documentation" a t-il indiqué incitant les chefs d’établissements universitaires à alimenter ce système par les différents produits de recherches réalisés à leurs niveaux notamment les thèses de magistère et de doctorat.

Dans le même sillage et dans la perspective de développer l’utilisation de la langue arabe et de faciliter la tâche aux chercheurs dans cette langue, "qui se trouvent souvent pénalisés par rapport à leurs homologues francophones ou anglophones", une unité spéciale a été mise en place ayant pour mission la traduction de toute la production nationale mise en ligne dans ce cadre, souligne le même responsable.

S’agissant de la cité des sciences et des arts dont l’annonce officielle de sa création a été faite par la même occasion, M. Aourag a souligné que ce projet qui se situera au parc Dounia (Alger ouest) constituera un moyen pour rendre ce domaine accessible aux simples citoyens notamment les enfants.

"Ce projet qui sera opérationnel fin 2014 va aider à consolider les bases indispensables à acquérir pour comprendre, expérimenter et interpréter" à travers la vulgarisation de la science.

Il a également ajouté que ce lieu de connaissances proposera des activités permanentes telles que les démonstrations scientifiques et d’autres temporaires parmi lesquelles des colloques, des rencontres et une grande variété d’ateliers qui seront animés par des "médiateurs scientifiques", des chercheurs qui ont bénéficié d’une formation spécifique dans le domaine.

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Concours à Oran de la meilleure invention 2011 - par djoudi

ORAN - Une vingtaine de jeunes de plusieurs régions du pays exposent leurs oeuvres et projets scientifiques, dans le cadre d’un concours lancé mercredi à Oran pour la sélection de la meilleure invention de l’année 2011.


Des inventions notamment dans l’informatique, les énergies renouvelables et la robotique sont exposées, dans cette rencontre de deux jours initiée par l’association scientifique locale "El Khawarizmi", par les participants venus de plusieurs wilayas dont Chlef, Sidi Bel-Abbes et Souk Ahras. Un jury spécialisé a été constitué pour évaluer les travaux exposés et des prix d’encouragement seront décernés aux auteurs des meilleurs inventions.

Parmi les oeuvres proposées figure un prototype d’ustensiles pour ablutions au profit de personnes âgées et de malades, conçu par un jeune architecte,Ryadh âgé de 25 ans.

Selon lui, son invention permettra d’économiser l’eau et son recyclage grâce à un système basé sur des rayons ultraviolets.

Fawzi, un technicien en informatique de Souk-Ahras, présente avec ses camarades plusieurs expériences scientifiques fondées sur l’électronique, notamment l’invention d’un système de fermeture et d’ouverture de portes par programmation informatique, en plus d’appareils de traitement du son.

L’exposition étale également un vélo ordinaire transformé par les idées du jeune Mohamed âgé de 18 ans de Chlef en une moto rapide utilisant du carburant et qui suscite la curiosité des visiteurs.

Parmi les autres inventions exposées l’on cite également un prototype d’un chauffe-eau écologique fonctionnant grâce à un moteur à vapeur et à l’énergie éolienne, plusieurs appareils de robotique multifonctionnels et des systèmes informatiques de traitement de données, comme celui inventé par Sakina (31 ans), ingénieur d’Etat en informatique.

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Des étudiants algériens patrons de start-up au Salon "ITU-World 2011" - par djoudi

GENEVE - Le sommet mondial des télécommunications ainsi que le Salon "ITU-World 2011" qui se tiennent à Genève et auquel participe l’Algérie, avec notamment de jeunes étudiants propriétaires de start-up, prendront fin jeudi.

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La ’’Dakhira arabe’’, un rôle moteur dans la formation et l’enseignement - par djoudi

(Hadj Salah)

 


ALGER - La Dakhira arabe (banque de données) joue un rôle moteur en matière de formation et d’enseignement dans le monde arabe, a affirmé, dimanche à Alger, le président de l’Académie algérienne de langue arabe, Abderrahmane Hadj Salah.


Intervenant à l’ouverture des travaux de la conférence nationale constituante de la Dakhira arabe, M. Hadj Salah a précisé que "la Dakhira représentait un instrument efficace pour toute personne désirant obtenir davantage d’informations quel que soit son niveau d’instruction ou son âge".

La Dakhira arabe est "une banque de données accessible de partout et à tout un chacun à travers Internet", font également savoir les initiateurs du projet en Algérie. Selon Hadj Salah, la Dakhira per mettra au citoyen arabe, considéré comme véritable ressource pour tout développement, d’accéder rapidement à l’information grâce à Internet et aux millions de textes du patrimoine scientifique et technique sauvegardés dans cette banque de données.

La Dakhira arabe "n’est pas une bibliothèque électronique mais une banque de données scientifiques et culturelles interactive", précise l’intervenant.

Le projet de la Dakhira arabe, dont l’idée germe depuis 1983, est devenu aujourd’hui une réalité, a-t-il rappelé, soulignant que sa concrétisation nécessite davantage d’efforts de la part des 19 pays arabes qui y participent.

Un appel d’offres national et international sera lancé pour la mise en œuvre de ce projet, notamment dans son aspect technique qui regroupe la banque de données, le moteur de recherche et les programmes, a annoncé le président de la Commission nationale de la Dakhira arabe, Cherif Merribi.

Cette banque de données englobera les ouvrages édités depuis les premiers siècles ainsi que des livres de sciences et de langues étrangères traduits en langue arabe.

Proposé par l’Algérie, le projet de la banque arabe de données a été adopté en 2010 par la Ligue arabe. L’Organisation suprême de la Dakhira arabe, qui siège à Alger, a été créée à cet effet au moment où certains pays arabes ont entamé la mise en œuvre du projet, à l’instar de la Jordanie, du Liban, du Soudan et l’Algérie.

S’agissant de la conférence nationale constituante de la Dakhira arabe, les organisateurs ont indiqué qu’elle visait à organiser et à donner un aperçu exhaustif des travaux relatifs à la contribution de l’Algérie au projet.

Parmi les objectifs arrêtés pour cette conférence figure la présentation du projet et la commission nationale chargée de l’exécution et du suivi de la contribution de l’Algérie ainsi que la coordination avec les représentants des autres pays arabes.

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Dakhira arabe : une commission nationale chargée de la réalisation du projet en Algérie - par djoudi

ALGER - La commission nationale de la Dakhira arabe a été installée, dimanche à Alger, pour superviser la réalisation de la part de l’Algérie dans le projet de la Dakhira arabe. La Dakhira arabe est "une banque de données accessible de partout et à tout un chacun à travers Internet".


Le président de la commission nationale de la Dakhira arabe, Cherif Merribi, a qualifié d’"ambitieux" ce projet civilisationnel, scientifique et culturel, ajoutant qu’il "a été étudié au service de la langue arabe".

Composée de 12 membres, la commission nationale, dont la mission se limite à approuver les différents textes à mémoriser, après examen des propositions de chaque établissement, a affirmé Merribi, le représentant de l’Algérie à l’Assemblée générale de la Haute instance de la Dakhira arabe, relevant de la Ligue arabe.

La commission prend également en charge la traduction et le choix des travaux de recherche qui méritent d’être mémorisés et supervise les actions éducatives, en coopération avec le ministère de l’Education nationale (préparation des cours dans certaines matières), Dakhira "étant destinée en grande partie aux générations montantes", a-t-on souligné lors de cette conférence.

La commission se réunit au moins deux fois par an et soumet au terme de chaque réunion, un rapport à la haute instance de la Dakhira arabe.

Il s’agit de la cellule principale qui procède à la réalisation de la Dakhira, considérée comme une équipe spécialisée au sein de l’établissement scientifique qui participe à une ou plusieurs matières.

La commission algérienne de la Dakhira arabe compte des professeurs et des chercheurs relevant de l’institut supérieur de traduction, en qualité de membre principal et de la direction générale de la recherche scientifique relevant du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, ainsi que des différents établissements universitaires de l’enseignement supérieur (les trois conférences universitaires), du ministère de l’Education nationale et autres.

La commission assurera sa mission dans le cadre d’un programme défini financé par le budget du gouvernement, notant que le décret présidentiel N° 11-247 du 10 juillet 2011 avait adopté le statut de la Haute instance de la dakhira arabe, élaboré le 16 septembre 2010 au Caire.

L’apport de la Dakhira arabe dans la promotion de la langue arabe soulignée par des conférenciers

ALGER - Les participants à la conférence constituante de la Dakhira arabe (banque de données) ont été unanimes à souligner, dimanche à Alger, l’importance de ce projet qui contribuera grandement à la promotion de la Langue arabe.

"Cette journée constitue un véritable départ pour le projet de la Dakhira arabe qui est un véritable projet civilisationnel et décisif pour les pays arabes", a estimé la directrice générale de l’Institut supérieur arabe de la traduction, Inaam Bayoudh.

Grâce à ce projet, l’individu arabe pourra avoir accès à toutes les informations dont il a besoin notamment durant son cursus scolaire, a-t-elle ajouté, précisant que "la promotion de ce projet n’a pas été menée de manière à faire connaître ce projet au grand public".

De son coté, Mechri Benkhalifa, recteur de la Faculté des Lettres et des Langues à l’Université de Ouargla a précisé que "ce projet national civilisationnel "ne peut être mené sans la conjugaison des efforts de tous à travers la mobilisation de tous les moyens matériels et humains.

En proposant ce projet à la Ligue arabe, l’Algérie a franchi un pas positif vers la mondialisation, a-t-il ajouté.

De son coté, Touati Ben Touati, enseignant à l’Université de Laghouat a affirmé que ce projet profitera à la langue arabe à travers sa promotion en tant que langue de sciences par excellence.

L’intervenant a appelé tous les établissements de recherche ainsi que les universités algériennes à adhérer à cet important projet en vue de contribuer à son succès, notamment en ce qui concerne la part de l’Algérie.

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Soumission de projet de recherche en "Innovation" - par djoudi

Cet appel à projets, dans la continuité de celui lancé par la Direction générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique DGRS-DT en 2010 ayant permis de financer plus de 2600 projets de recherche, a pour objectif de sélectionner les projets porteurs dans le secteur socioéconomique, de permettre aux chercheurs, enseignants-chercheurs, doctorants et cadre nationaux de participer par leur créativité à l’effort national de transférer, pour en faire profiter, les connaissances scientifiques cumulées dans les établissements de recherche vers l’entreprise et la société.

  • Les propositions, inscrites dans la stratégie nationale de recherche, devront répondre à plusieurs critères qui seront appréciés par un jury compétant (voir critères et modalités de sélection).
  • La date limite pour la soumission est fixée au 15 novembre 2011 pour une publication de la liste des projets retenus à la fin de l’année 2011.
  • La sélection des projets jugés porteurs et qui bénéficierons de financement est organisée dans la transparence et les règles de la déontologie :
  • La grille tient compte de l’originalité et de la faisabilité du projet, mais surtout de son impact sur le secteur socioéconomique national. Vous êtes invités à examiner •attentivement la grille avant de renseigner votre soumission.
  • A l’issue se la période de soumission, les projets seront classés en fonction des notes attribuées par les experts et validées par la commission
  • Une troisième expertise est requise en cas d’écart conséquent sur la notation.
  • Le Comité Inter Sectoriel (CIS) décidera du nombre de projets retenus – les projets les mieux notés seront donc financés.
  • Chaque projet soumis par vos soins sera dirigé – sous anonymat réciproque – vers deux experts assermentés.
  • Chacun de ces experts établira un rapport d’expertise conforme à la grille établie par la commission de suivi des projets de recherche (voir ci-après).

http://www.andru.gov.dz/Innovation.htm

Soumettre votre projet : http://www.andru.gov.dz/soumission.htm

La brochure - Français : http://www.andru.gov.dz/Brochure_Francais.pdf

Canevas de soumission : http://www.andru.gov.dz/soumission.htm

Critères d'évaluation : http://www.andru.gov.dz/criteres.pdf

 

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Un algorithme perce les secrets d'une société secrète allemande - par djoudi

Lu sur http://www.slate.fr/lien/45585/algorithme-informatique-logiciel-code-copiale

Le code du Copiale est un mystérieux cryptogramme, contenant près de 75.000 caractères, qui avait été retrouvé dans une université de Berlin-Est à la fin de la Guerre froide et que l'on attribue à une société secrète allemande du XVIIIe siècle. Des scientifiques de l'université de Californie du sud et de l'université suédoise d'Uppsala ont réussi à en décrypter une partie

grâce à un algorithme informatique de détection et de traduction de langages, raconte le Los Angeles Times.

Les chercheurs ont tout d'abord isolé les caractères grecs et latins des symboles abstraits pour tenter de comprendre une partie du message mais ont réalisé que ces premiers étaient insignifiants. Le travail était rendu plus complexe par l'absence d'espace entre les caractères, comme le montre la présentation de leur recherche [PDF].

Sachant que le texte provenait d'Allemagne, ils sont partis de l'hypothèse selon laquelle les symboles abstraits pourraient être des approximations de caractères germaniques. «Je suis heureux de savoir que les logiciels de linguistique peuvent nous aider à décoder des des cryptogrammes historiques», a confié Kevin Knight à Annenberg TV News, chaîne télévisée de l'Université de Californie du Sud. «Maintenant, j'espère que les techniques de décodage peuvent aider à concevoir de meilleurs logiciels de traduction.»

Les premiers mots déchiffrés étaient «Cérémonies d'initiation» suivi de «Section secrète». Les chercheurs ont réussi à déchiffrer 16 pages du document, qui en compte 105, et ont découvert qu'il décrivait les rites d'une société secrète intéressée par l'ophtalmologie, comme celui de s'épiler les sourcils. Ou encore le mode de reconnaissance entre membres: si un membre veut savoir comment va Hans, par exemple, l'autre personne doit d'abord lui répondre en mentionnant un prénom qui commence par la seconde lettre du prénom déjà cité, Anton par exemple.

Selon le Guardian, l'équipe de Kevin Knight a avoué avoir d'autres projets de cryptographie en tête avec la technologie qu'elle a mise au point; la scuplture Kryptos qui se trouve dans l'enceinte du quartier général de la CIA, le cryptogramme du tueur de Zodiaque dans les années 1960 en Californie ou encore le manuscrit de Voynich du début du 15e siècle. Toutefois, Elonka Dunin, qui anime un site sur la cryptographie, se veut dubitative. «Généralement, cette technique de décryptage a déjà été utilisée pour ces cryptogrammes», estime-t-elle sur le site MSNBC.

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Dennis Ritchie, l'autre génie mort en octobre 2011 - par djoudi

Il était l'un des plus grands informaticiens de l'histoire, sinon le plus grand. Dennis Ritchie aurait mérité les honneurs de la planète entière, mais il est décédé dans l'indifférence, au moment où tout le monde parlait de la disparition de Steve Jobs, qui avait succombé quelques jours plus tôt à un cancer. Pas une seule dépêche n'a évoqué son nom. Pourtant, la plupart des ordinateurs, mais aussi des smartphones, des tablettes, des GPS, des modems, des routeurs ou même certains Frigidaire lui doivent la vie. Créateur du langage de programmation C et cocréateur d'Unix (avec Kenneth Thompson), il est à l'origine de l'informatique moderne qui, sans lui, aurait un visage totalement différent.

Né en 1941 dans l'État de New York, Dennis Ritchie se consacre très vite à sa passion : l'informatique. Dans les années soixante, cela signifie passer des journées dans de gigantesques salles, où des ordinateurs pharaoniques tiennent à peine. On est loin de la miniaturisation et de l'ordinateur personnel. Suivant les pas de son père, Dennis Ritchie rejoint Bell Labs en 1967, un an avant de soutenir sa thèse à Harvard. Il ne quittera jamais ces laboratoires, malgré des changements profonds dans les structures : Bell est passé entre les mains de l'opérateur américain AT&T, puis a rejoint la nouvelle filiale Lucent, avant de fusionner avec Alcatel au sein d'Alcatel-Lucent.

"Mes premières années d'étude m'ont convaincu que je n'étais pas assez intelligent pour être physicien, et que les ordinateurs étaient cool", écrivait-il sur sa page autobiographique. Humble, très discret et toujours attentif à associer ses collaborateurs à ses multiples réussites, il n'a jamais eu l'aura médiatique d'un Steve Jobs. Récompensé notamment par le prestigieux prix Turing (souvent qualifié de "Nobel" de l'informatique), son nom restera à jamais une référence pour tous ceux, développeurs et informaticiens, qui regardent "sous le capot" des appareils qu'ils créent, optimisent ou utilisent.
Par
Guerric Poncet

http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/dennis-ritchie-l-autre-genie-mort-en-octobre-2011-17-10-2011-1385493_47.php

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Call for Papers

CIIA’11

3rd International Conference on Computer Science and its Applications

13 – 15th December 2011, Saida , Algeria

http://www.univ-saida.dz/dept-Info/CIIA11/index.htm

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Conference Aims:

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The 3rd International Conference on Computer Science and its Applications
CIIA’11 will be focused on the various aspects of advances in computer
science and its applications and will feature world-renowned keynote speakers
and excellent technical program addressing the technology landscape and current
challenges in different topics including Software Engineering, Distributed
System, Artificial Intelligence and more, etc. This event is a great
opportunity for local and foreign attendees to exchanges knowledge and
experience in various fields of IT.

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Important Dates:

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All dates are final. There will be no delay or postponement granted.

Submission Deadline : 15th October 2011

Notification of Acceptance : 15th November 2011

Final camera ready paper : 25th November 2011

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Submissions:

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* Submissions (anonymous) via the EasyChair conference system.

http://www.easychair.org/conferences/?conf=ciia11

Complete 6-page papers (in standard IEEE double-column format), including
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Authors of best papers will be invited to submit an extended version of their papers for publication in a journal.

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Committees:

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--Conference Chair

Abdelmalek AMINE, Taher Moulay University of Saida

--Program Chairs

- Otmane AIT MOHAMED  -   Boualem BENATALLAH,
     Monréal , Canada New          South wales, Australia

- Zakaria ELBERRICHI, Sidi Bel Abbes, Algeria


--Program Committee (to be completed)

M.K. ABDI - U.Oran, Algeria
E. ABDELWAHED - Marrakech, Morocco
R. ADJOUDJ - Sidi Bel Abbes, Algeria
Y. AIT AMEUR - Poitiers, France
D. AMAR BENSABER - Sidi Bel Abbes, Algeria
A. AMINE - Saida, Algeria
A. AMIRAT - Souk Ahras, Algeria
B. ATMANI - U.Oran, Algeria
M.C. BABAHENINI - Biskra, Algeria
L. BABA-HAMED, U.Oran, Algeria
A. BALLA - ESI-Alger, Algeria
G. BELALEM - U.Oran, Algeria
B. BELATAR - Batna, Algeria
H. BELBACHIR - USTOran, Algeria
B. BELDJILLALI - U.ORAN, Algeria
L. BELLATRECHE - Poitiers. France
K. BENATCHBA - ESI-Alger, Algeria
R. BENLAMRI - Lakehead University, Canada
y. BENMIMOUN - Mascara, Algeria
M. BENMOHAMED - Constantine, Algeria
D. BENSLIMANE - LIRIS, Lyon, France
S.M BENSLIMANE - Sidi Bel Abbes, Algeria
A. BILAMI - Batna, Algeria
K. BOUAMRANE - U.Oran, Algeria
M. BOUFAIDA - Constantine, Algeria
A. BOUKELIF - Sidi Bel Abbes, Algeria
R.CHALAL - ESI-Alger, Algeria
A. CHAOUI - Constantine, Algeria
M.A. CHIKH - Tlemcen, Algeria
S. CHIKHI - Constantine, Algeria
A. CHOUARFIA - USTOran, Algeria
M. DJOUDI - Poitiers, France
M.K FARAOUN - Sidi Bel Abbes, Algeria
A. GAFOUR - Sidi Bel Abbes, Algeria
F. GARGOURI - Sfax, Tunisia
N. GHOUALMI - Annaba, Algeria
F. GUILLET – Nantes, France
M.S. HACID - LIRIS, Lyon , France
A. HADID - Oul

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Trois universités françaises dans le top 100 mondial - par djoudi

Le classement de Shanghai des universités, aussi attendu que décrié car centré sur la recherche et non l'enseignement, consacre la suprématie des américaines, la France gardant trois établissements dans le top 100 et continuant de perdre des places dans le top 500.

Comme en 2010, les universités américaines dominent, s'arrogeant 17 des vingt premières places, selon ce classement mondial de 500 universités mis en ligne dimanche soir par l'université des communications de Shanghai, Jiaotong (voir le site).

L'université américaine Harvard reste numéro un, Stanford reprenant la deuxième place cédée l'an dernier à Berkeley, qui est cette fois quatrième derrière le Massachusetts Institute of Technology (MIT).

Trois universités britanniques figurent dans le top ten, Cambridge (5e) et Oxford (10e) étant rejointes par le University College de Londres (20e).

L'université de Tokyo perd une place pour se classer 21e.

Trois françaises dans le top 100
 

Le premier établissement français n'apparait qu'au 40e rang, et seulement trois établissements français continuent de figurer dans le top 100: Paris-Sud Orsay à la 40e place (5 places gagnées), Pierre-et-Marie-Curie à la 41e place (deux rangs perdus) et l'Ecole normale supérieure (ENS-Ulm) à la 69e (deux places de mieux).

Dans le top 500, les Etats-Unis restent premiers avec 151 établissements, suivis de l'Allemagne (39) et du Royaume-Uni (37).

Avec 35 établissements contre 22 l'an dernier, la Chine gagne deux places à la 4e. Suivent le Japon (23 établissements), le Canada et l'Italie ex-aequo (22), tandis qu'avec 21 établissements, la France passe du 6e au 8e rang. Elle était 5e en 2009.

Trois universités se classent dans le Top 100 pour la première fois depuis la création du classement en 2003: celles de Genève (73e), Queensland (88e) et Francfort (100e).

Dix universités font leur entrée dans le classement des 500, comme celles de Malaya (Malaisie) et Zagreb (Croatie).

Ce classement est aussi attendu que critiqué, notamment en France, car les critères retenus en défavorisent les universités.

Critères polémiques
 

Ces critères retiennent essentiellement la performance en matière de recherche, au détriment d'enseignement: le nombre de prix Nobel, de médailles Fields (l'équivalent du Nobel en mathématiques) et d'articles publiés dans des revues uniquement anglo-saxonnes.

La France en pâtit d'autant plus que la recherche y dépend à la fois des universités et des organismes de recherche. Or la méthode de Shanghai partage les points obtenus entre l'université et les organismes associés.

Du 23 au 30 juillet, une délégation des chercheurs qui publient ce classement annuel s'était rendue en France, pour y étudier les regroupements en cours d'universités et de grandes écoles.

La délégation avait été reçue par les responsables de quatre pôles: l'Université de Lorraine, Aix-Marseille Université, "Paris Sciences et Lettres" (PSL) et l'Université de Bordeaux. Une seconde mission doit être organisée à l'automne.

(source AFP)

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Débat national sur le LMD à Sétif - par djoudi

mercredi 13 avril 2011 | Nabil Foudi | Setif.info

Un séminaire sur le thème "Promesses et défis de l’université algérienne après 5 ans de réforme LMD" a eu lieu ce lundi et mardi à l’université Ferhat-Abbas de Sétif.

La rencontre   a été animée par des enseignants universitaires issus de plusieurs wilayas du pays à savoir Dr Hamada et Pr Miliani. Plusieurs communications ont été présentées suivies de débat en vue de développer une base solide pour une bonne mise en œuvre de ce système dans nos universités et pour lever les incompréhensions qui l’entourent. Cette conférence animée en  anglais a été aussi une occasion pratique pour les étudiants inscrits en langues étrangères qui étaient présents en masse. 

Lors d’un point de presse, Pr Baki, recteur de l’université de Sétif a affirmé que le système classique reste en état jusqu’au dernier étudiant inscrit. La reforme LMD est une décision ministérielle qu’il faut appliquer pour l’intérêt de l’étudiant et pour sa formation.

 

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L’université de Sétif organise un débat national sur les 5 ans de réforme LMD - par djoudi

mardi 5 avril 2011 | Nabil Foudi | Sétif Info
Le Département de Langue et Littérature anglaises, de l’Université Ferhat Abbas, Sétif organise les 11 et 12 avril prochains à la salle Nait Belkacem du pôle universitaire « EL BEZ » une conférence intitulée «  Promesses et défis de l’Université Algérienne après 5 ans de réforme LMD   » a t-on appris de la cellule de communication de l’université.

Selon la même source, cette conférence nationale est présidée par Dr. MAMI ABDELLATIF Naouel et dirigée par M. TORKI Saad, Chef du Département des Langues et Littérature anglaises. Elle a pour but de faire progresser les connaissances sur l’Enseignement Supérieur et la réforme LMD (Licence , Master , Doctorat) au bout de cinq ans à compter de sa mise en œuvre en 2004-2005. Ainsi pour développer une base solide pour une bonne mise en œuvre du système LMD dans nos universités.  

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Aperçu de la recherche algérienne - par djoudi

par Ali Derbala *  in quotiend d'oran

Toute notre science exacte, en dépit de sa froideur, de son absence d'affect, reste encore soumise à la séduction du langage. La science a pour objet l'être réel, l'ensemble des essences ou idées. La connaissance éclaire les esprits et facilite l'effort vers le bien, tandis que l'ignorance paralyse cet effort.

Il est très difficile d'évaluer les points forts et les points faibles de la recherche en Algérie. Des opinions individuelles, on retiendra la prépondérance du génie civil, l'électronique, l'informatique, etc. Les mathématiques pures et appliquées sont décrites comme moyennes, la physique en revanche est faible et la chimie ne brasse plus les masses. Les spécialités de biologie, biochimie et celles qui donnent sur des métiers libéraux sont prises d'assaut.

Les objectifs de la recherche en Algérie

En sciences exactes, le niveau actuel des études est celui de l'alphabétisation. La querelle de préséance entre la recherche fondamentale et la recherche appliquée est loin d'être réglée. Les grands programmes qui font le prestige des nations développées (spatial, défense, solaire, nucléaire, etc.) sont presque inexistants. Quant aux opérations de vulgarisation ou d'histoire des sciences, elles sont réalisées par quelques experts médiatiques venus de l'étranger.

 Il existe une séparation institutionnelle entre les centres de recherche, les universités et les grandes écoles. La relation entre la recherche académique et l'industrie n'existe presque pas, puisque l'industrie est pétrolifère, dominée par des firmes étrangères, qui n'investissent pas dans la recherche scientifique ou peu. Une faible proportion des universitaires a collaboré avec les entreprises nationales, de même une méfiance réciproque de la part des directeurs d'entreprises est constatée. Les nouveaux projets de recherche PNR arriveront sûrement à établir des liens et des liaisons entre l'Université et les secteurs publics ou privés.

Position de la recherche algérienne

De plus en plus fréquemment, on voit la science théorique prêter main- forte à la science pratique, pour le plus grand bénéfice de l'une et de l'autre. Les mathématiques sont venues au secours de la médecine, même dans des cas critiques du cancer et d'autres maladies.

 La médecine a souvent recouru à la statistique. Schaeffer et Shapin [01] ont montré comment s'est décidée, quelque part en Angleterre, à la fin du XVIIe siècle, la séparation entre le monde politique et le monde de la connaissance scientifique. Pour mieux servir la société, la science et les scientifiques doivent s'en tenir à l'écart. Que les chercheurs cherchent, et cherchent bien, le reste, le politique s'en chargera.

 La recherche académique ne garantit la réussite économique qu'immergée dans l'industrie et les services. Les avancées scientifiques les plus évidentes ne deviennent des produits industriels que s'il existe un appareil de développement capable de les traduire en technologies. La science doit être à la fois en dehors et dans le système politique.

 Rien n'empêche de simples artisans ou des entreprises algériennes d'innover leurs produits fabriqués. Cette innovation s'appuie sur le savoir-faire technique, les apprentissages collectifs, la virtuosité des individus, des travailleurs ou simplement des ingénieurs pour concevoir et commercialiser des produits finis destinés à un large public. On peut même se dispenser des chercheurs hautement gradés. En l'absence d'un monopole ou de position de dominance, des entreprises doivent savoir investir massivement dans une recherche et un développement pour devancer leurs concurrents. Elles peuvent se doter de leurs propres laboratoires de recherche pour concevoir des produits dont les débouchés seront assurés par des marchés publics.

 A l'Université, il faut qu'on développe des conventions avec les entreprises de type Cifre, qui les conduisent à co-financer des thèses et mémoires, en amputant ce financement de leurs impôts annuels. La recherche académique doit être visible et présente. Il faut encourager les chercheurs à mettre leurs travaux de recherche en page Web personnelles ou de visibilité en page Web des laboratoires, quitte à les rémunérer selon leur visibilité. Beaucoup d'universités algériennes n'ont pas de laboratoires visibles.

Le laboratoire de recherche à l'Université

Le laboratoire de recherche, qu'il ne faut pas confondre avec le laboratoire de travaux pratiques, est régi par le Décret exécutif n° 99-244 du 31 octobre 1999. Il tire sa faculté d'invention de son isolement ; il tire sa pertinence et son efficacité des multiples influences qu'il brasse et combine. C'est une aptitude à se retrancher et à se connecter à la société.

La recherche doit être acceptée à la fois par les chercheurs et les décideurs, être intelligible pour les spécialistes et les non-spécialistes. La nature de la recherche et les résultats espérés ou escomptés sont de quatre ordres au moins : les activités de formation, la vulgarisation et l'expertise, la participation à la valorisation économique et la production de connaissances certifiées.

L'heure est, pour les universitaires, à l'indétermination, l'indécision la plus inquiétante. Pour inventer, contribuer au confort de la société, à la résolution de ses problèmes quotidiens, il faut qu'on soit sociable et courtois. Après, il faut apprendre à interpeller les gens par des questions intéressantes et savoir les formuler. Il faut se réunir hebdomadairement, mensuellement, etc. A chaque fois, laisser des écrits, des traces pour ceux qui vont venir, pas pour espionner les gens. Ils sauront ce qui a été tenté dans le laboratoire comme expériences, à ne pas renouveler les expériences inutiles et inutilement, etc. Il faut que des équipes de recherche se créent, dirigées par le plus scientifique, quitte à ce qu'il soit le plus jeune. Au début, ces équipes seront formées par des chercheurs qui ont les mêmes intérêts scientifiques.

Quand l'équipe aura acquis de l'expérience, on créera des équipes multidisciplinaires. Après, il faut un thème de recherche.

Les difficultés dans la recherche. La bureaucratie non huilée

La production scientifique d'un laboratoire de recherche peut être décrite par deux modèles. Le modèle linéaire, où les activités de recherche, de développement, de production, etc. se succèdent indépendamment et sans interactions. Dans le second modèle, un laboratoire universitaire produit des connaissances certifiées, participe à l'innovation, fait de l'expertise et de la vulgarisation, a des activités de formation et prend part à des programmes publics.

 Comment la recherche algérienne se situe-t-elle par rapport à ces deux modèles ? Il me semble que les Algériens se distinguent par une science académique dont le niveau est à déterminer, mais que la bureaucratisation à outrance, la pléthore d'organismes de tutelle rendent réfractaires aux idées scientifiques. En effet, les organismes dans l'orbite de la recherche sont : le Secrétariat d'Etat à la recherche, la Direction de la recherche scientifique et du développement technologique (Projet PNR, etc.), la direction des accords-programmes entre les universités algériennes et étrangères (projets de types CMEP, …), la Direction des projets rétribués CNEPRU et le ministère de la Solidarité, par son intérêt aux scientifiques algériens à l'étranger.

 Dans une université, qui commande la recherche, sous-entendu aussi la gestion des laboratoires de recherche ? Le recteur ou le directeur de la recherche scientifique et du développement technologique ou le directeur de laboratoire de recherche ou les chercheurs eux-mêmes ?

 Pour les achats de matériels, le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique n'a pas de mainmise sur les chefs d'établissements universitaires, il ne peut rien devant les recteurs, des ordonnateurs principaux. Il n'a aucune autorité sur eux ! Le directeur du laboratoire ne peut même pas signer un « bon de commande » de stylos. Pourquoi nomme-t-on un directeur de laboratoire, qui sera payé conséquemment, s'il n'est pas autonome, libre et indépendant de toute influence de gestion bureaucratique ? Cela constituera des charges inutiles pour le contribuable.

Il y a beaucoup d'intermédiaires qui font écran et un frein entre la direction de la recherche et les responsables des laboratoires. Ces intermédiaires sont les vice-doyens chargés de la PG des facultés, les doyens, les vice-rectorats chargés de la PG, de la recherche et les relations extérieures, le Secrétariat général de l'Université (géré par un administrateur) et le rectorat.

Ils ne sont nullement évoqués dans le décret exécutif sus-cité, texte qui régit les laboratoires dans les Universités. Si ces départements doivent être avisés, ou doivent faire leur comptabilité, ce n'est qu'a posteriori et non a priori.

La tricherie de certains chercheurs

Quand une mouche se pose sur le plus beau visage, c'est elle qu'on voit d'abord. La fraude est une maladie endémique du monde scientifique. A l'Université algérienne, des garde-fous peuvent être établis pour réduire la fraude, le plagiat ou les articles achetés des journaux payants qui s'avèrent une fraude beaucoup plus «pernicieuse». Il s'agit du jugement de pairs, la relecture systématique des manuscrits scientifiques par des experts algériens avant publication dans des revues, plus particulièrement douteuses, la reprise des expériences par d'autres scientifiques qui doit aboutir aux mêmes résultats et l'utilisation des données de type « benchmarks » pour confirmer ou infirmer les résultats.

Concernant la fraude et le plagiat, même l'Amérique n'est pas épargnée. Dans [02, p.34], j'ai retrouvé un écriteau du type : … C'est le hasard seul qui dénonça le Dr John Roland Darsee, jeune chercheur à la célèbre Harvard Medical School et qui, en deux ans, a publié près de deux cents articles et résumés, dont certains co-signés par son chef de service, le cardiologue Eugène Brauwald, directeur de deux laboratoires de recherche ayant reçu plus de trois millions de dollars de financement des National Institutes of Health (NIH), qui sélectionnent les projets de recherche d'intérêt national qui méritent d'être financés.

Conclusion

L'Etat est conduit à déléguer ses responsabilités en matière de recherche et de développement aux vrais chercheurs et directeurs de laboratoires. Les grandes administrations scientifiques sont devenues d'énormes machines qu'il convient d'alimenter en budget d'Etat faramineux pour la recherche que les « vrais chercheurs» leurs procurent par le biais des plans triennaux, et dont certains ne voient presque jamais la « couleur » de l'argent. Leurs responsables sont habitués à un certain train de vie.

La bonne représentation exige aussi de nombreux voyages à l'étranger, afin de visiter les scientifiques algériens qui y résident et pour entretenir leur engagement à servir la patrie et leur fibre patriotique. Tout cela coûte cher. La grandeur d'un progrès se mesure même d'après le sacrifice qu'il a fallu lui consentir. Les enseignants ne sont pas des hérauts du progrès, leur niveau scientifique y est pour quelque chose. Le problème de la valeur est : tout est relatif, tout est égal, tout se vaut.

*Universitaire

Références :

1. S. Schaeffer et S. Shapin. Leviathan et la pompe à air., La découverte, 1993.

2. Revue Science & Vie, les nouvelles théories de l'Univers, août 1983, mensuel, n°791.


http://www.lequotidien-oran.com/?news=5150030
 

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Les TIC , un apport salutaire à l’enseignement et la formation en Algérie - par djoudi
L’introduction des nouvelles technologies dans L’enseignement et la formation a contribué d’une manière “très positive” à l’évolution de l’éducation en Algérie, ont indiqué jeudi à Oran des enseignants et directeurs d’établissements scolaires. Interrogés sur l’apport des nouvelles technologies dans l’éducation en Algérie, en marge du premier salon de la formation, des équipements scientifiques, didactiques et pédagogiques, ils ont été unanimes à dire que les TIC ont “bouleversé positivement” les écoles algériennes à travers notamment, l’utilisation de l’informatique et l’introduction de l’Internet.
 
De l’aveu de M. Salah Meradi, directeur d’un établissement d’enseignement moyen au centre-ville d’Oran, le recours des élèves à l’Internet dans les travaux de recherches a été très bénéfique sur le rendement scolaire, dans le sens où il approfondit leur culture générale, outre la maîtrise de l’outil informatique.
 
Il a souligné que dans son établissement, les jeunes écoliers demandent eux même des cours de soutien en informatique afin d’élever leur niveau. M. Sanhadji, directeur d’un lycée à Bir El Djir a relevé, pour sa part, que plusieurs établissements au niveau d’Oran ne disposent pas encore d’un laboratoire informatique, soulignant l’impératif de les doter de ce genre de laboratoires, de tableaux interactifs et de data-show pour la présentation des différents cours, dans le cadre du plan national d’informatisation des écoles.
 
Pour la réussite de ce plan d’informatisation, il faut également des instructeurs qualifiés et des enseignants pour maintenir l’opération en cours d’exécution, a-t-il ajouté. Il a indiqué, dans ce sens, que le ministère de l’Education nationale a instruit les directeurs d’écoles et les enseignants à suivre des programmes de formation en informatique. Pour ce faire, toutes les écoles devaient mettre en place des programmes de formation d’au moins 30 heures pour les directeurs, enseignants et personnel éducatif.
 
Pour Mme Karima, enseignante dans une école primaire à Bethioua, le remplacement du tableau de bois et de la craie blanche par des tableaux blancs et stylos a contribué, d’autre part, à baisser les cas d’allergies et de maladies des yeux chez les élèves, soulignant que l’utilisation prochaine d’écrans interactifs et data-show dans les cours sera bénéfique pour le cursus scolaire.
 
Le premier salon Didactico, clôturé jeudi, a été une occasion pour les acteurs du secteur de se rapprocher davantage des usagers afin de comprendre et analyser les besoins du marché pour une meilleure prestation et des produits sur mesure qui s’adaptent avec la structure socio-culturelle du pays.
 
A ce titre, environ 2.000 personnes entre enseignants, directeurs d’écoles, de centres de formation et d’établissements spécialisés ont visité le Salon, selon les organisateurs. De nouveaux produits ont été proposés aux visiteurs, tels que les tableaux numériques interactifs (TNI) alliant les avantages d’un écran tactile et de la vidéo projection, le data-show interactif ou système de commande par ordinateurs.
 
 17 Janvier 2011.

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Appel à candidature pour formation Php/MySql - par djoudi

Appel à candidature pour formation Php/MySql

Les CNF d’Alger organise un atelier de formation sur la Création et la gestion de sites web dynamiques (Php/MySql):

Lieu : CNF Alger.
Date : 14-16 février 2011.

Les inscriptions se font exclusivement via Internet sur le site web :
http://www.transfer-tic.org/rubrique9.html

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L'université de Sétif adhère à l'Espace numérique ouvert pour la Méditerranée - par djoudi
SETIF- L'université Ferhat-Abbas de Sétif vient d'adhérer à l'Espace numérique ouvert pour la Méditerranée (E-OMed), a annoncé dimanche, l'administration de cet établissement d'enseignement supérieur.Cette adhésion permet à l'université de Sétif d'intensifier la coopération internationale et d'ouvrir de nouvelles perspectives pour développer les moyens pédagogiques et les instruments numériques en vue de promouvoir le niveau de qualité, en encourageant les échanges dans ce domaine, selon la même source.   

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Paiements électroniques: lancement d'une étude de faisabilité - par djoudi
ALGER - Le Centre national du registre du commerce (CNRC) et le ministère de la Poste et des technologies de l'information et de la communication (MPTIC) ont signé, mercredi à Alger, une convention pour la réalisation d'une étude de faisabilité sur le registre du commerce électronique et le paiement par téléphonie mobile. Cette convention de partenariat s'inscrit dans le cadre du programme de modernisation du registre du commerce en vue de "faciliter l'accès à l'information économique et commerciale, et de renforcer la transparence des transactions commerciales entre opérateurs", a souligné le ministre du Commerce M. Mustapha Benbada lors de la cérémonie de signature en présence du MPTIC M. Moussa Benhammadi. Le document a été paraphé par le directeur général du CNRC M. Mohamed Dhif et la directrice générale des TIC auprès du MPTIC Mme Radia Benberkani.   

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les Etats-Unis veulent élargir leur coopération avec l'Algérie dans les domaines scientifiques - par djoudi
ALGER - L'ambassadeur des Etats-Unis à Alger, David Pearce, a fait part dimanche de la volonté de son pays d'élargir la coopération avec l'Algérie dans les domaines de la science et de la technologie. Il s'agit de concrétiser la volonté du président Barack Obama, qui a exprimé son "intention de renouer avec le monde arabe, à travers les domaines clés, liés à l'éducation, la science, la technologie et la santé", a indiqué M. Pearce dans une allocution à l'occasion du lancement de la Bibliothèquemaghrébine numérique. Le lancement de cette bibliothèque "est l'une des réalités de cette initiative", a-t-il souligné.   

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Lancement de la bibliothèque algérienne numérique de la science - par djoudi

[Aps 20/1/11]  ALGER- Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique procédera, dimanche à Alger, au lancement de la

"Bibliothèque maghrébine numérique - Bibliothèque algérienne numérique de la science". Cette opération, entreprise en collaboration avec le centre américain US civilian & developpement foundation (CRDF), vise à améliorer l'accès aux ressources et à leur utilisation par la mise en place d'ateliers de formation. Elle tend également à faire de cette bibliothèque "un outil essentiel pour le développement professionnel de la communauté scientifique" indique un communiqué du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. La concrétisation de cette initiative découle du mémorandum d'entente conclu entre le ministère et le CRDF signé en 2006 par l'Algérie et les Etats-Unis.
Au cours de la cérémonie de lancement qui se déroulera au siège du Cerist, il sera procédé à la remise du prix "Thomson Reuters Scientific" aux lauréats ayant concouru dans les domaines du web en relation avec les sciences, les sciences sociales les sciences humaines et les arts.

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Le projet de Technoparc de Annaba lance "en juin prochain" (ANPT) - par djoudi
ANNABA-
Le projet de Technoparc de Annaba sera lancé au courant du mois de juin prochain, a-t-on appris jeudi d'un cadre de la direction de l'Agence nationale de promotion des technologies (ANPT). Une enveloppe de 575 millions de dinars est déjà disponible pour la réalisation de ce projet, en attendant la réception d'une autre de l'ordre de 200 millions de dinars, a précisé la même source, indiquant que diverses études relatives au projet ont été mises en oeuvre.
Avec une vocation de "parc technologique régional" en charge du lancement et du développement de grappes industrielles de la région, notamment celles rattachées aux filières de la sidérurgie et de la métallurgie, le Technoparc de Annaba, prévu dans les anciens locaux de l'entreprise Prosider, à Chaïba (commune de Sidi Amar), est appelé, en liaison avec le cyberparc d'Alger, à créer une "masse d'activités" des technologies de l'information et de communication (TIC), a-t-on expliqué.    

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