Formations aux TIC en Algérie

Accueil  Blog  Nouvelles  Télécharger  Liens  FAQ 
Nouvelles

- par webmaster le 11/12/2010 21:27


Spams : devenez millionnaires… ou pas. - par webmaster le 11/12/2010 18:31

Qui n'a jamais reçu un mail annonçant qu'il a gagné des millions, ou que l'on souhaite lui confier une fortune à la suite du décès du cher et tendre mari, d'un dictateur, etc. Où est l'arnaque ?

Ça commence toujours de la même façon. Un courrier à l’allure étrange vous arrive et vous annonce une nouvelle incroyable : vous avez été sélectionné entre tous pour une mission de confiance, ou pour une campagne de publicité prestigieuse ou tout simplement pour recevoir un énorme lot à la suite d’une loterie à laquelle vous n’aviez pourtant jamais participé. Cela semble trop bon, n’est-ce pas ? Bingo !

Le scénario type

Le cas le plus classique, c’est la veuve éplorée – africaine le plus souvent, mais elle est parfois asiatique, rarement européenne – qui vous demande de l’aide, en échange d’une généreuse rétribution.

Je suis la veuve d’un ancien ministre des Finances, nous explique par exemple l’une de nos correspondantes. Il dispose d’un compte bancaire auquel son épouse ne peut avoir accès qu’après un parcours chaotique. Son avocat, dont on vous donne les coordonnées, lui a recommandé un moyen « simple » pour retrouver ses biens : virer cette somme considérable, généralement chiffrée en millions (12 millions dans notre premier cas), sur votre compte bancaire, pour que vous la lui reviriez par la suite. Un pourcentage généreux, de l’ordre de 10% du montant de la transaction, vous serait laissé en guise de remerciement pour bons et loyaux services.

vous êtes supposé renvoyer 10 millions sur les 12 atterris sur votre compte. Et si vous gardiez tout ? Et si vous l’arnaquiez cette pauvre veuve ?

Vous vous en doutez, l’arnaqué, c’est vous, mais où est le loup ?

Ne mettez pas votre doigt dedans ! Contrairement à nous…

Première réponse de notre part, forcément naïve : chère madame, comment vous aider à récupérer les 12 millions évoqués ? Démarre alors un dialogue, quotidien. Vous aurez désormais tous les jours au moins un nouveau courrier afférant à cette histoire. Ça devient un peu le SOS Amitiés online du geek qui s’ennuie.

Les premiers courriers ne sont là que pour faire mousser. On y parle gros sous, avocats, banques. On vous produit des documents attestant de la bonne foi des interlocuteurs. Tous faux ! Et même très grossiers. Cartes d’identité, cartes de professions, mandats, usage du français digne de Google Translate : tout est bidon !

Puis vient l’arnaque dans le courrier 4 ou 5…

Pour être payé, payez d’abord

L’opération proposée comprend des frais pour initier la procédure. C’est selon les cas une banque à graisser, des frais d’avocat obligatoires, un notaire pour un acte indispensable ou un représentant qui vous remplace sur un évènement dans un pays lointain. Bref, il y a entre 50 et 1 000 euros à sortir suivant leur gourmandise, que notre bonne veuve est incapable de payer. C’est à vous que la facture est adressée et derrière, promis, les 12 millions tomberont.

Un compte Western Union vous est communiqué. C’est bien pratique : une fois l’argent récupéré, vous ne pourrez jamais le revoir. Aucune contestation n’est possible après coup.

C’en est presque décevant finalement. Cette histoire de 12 millions n’est qu’une arnaque à 100 balles et quelques… Quoique, en fait, à écouter ceux qui sont allés plus loin que nous, qui sont tombés dans le panneau, derrière les demandes de « petits » virements s’enchaînent, s’accélèrent, avec des montant qui grossissent. Et ça chiffre vite. Certains se sont ainsi fait délester de plusieurs dizaines de milliers d’euros !

Si vous arrêtez de communiquer au moment de ce paiement, vous serez relancé. Tous les jours, plusieurs fois. « Dans l’espoir de vous lire urgemment« , écrivent-ils et le rythme des échanges de s’accélérer encore. Viennent ensuite les menaces – nous en avons reçu des dizaines. Parfois ils viendront à vous pour vous refaire le portrait, d’autres fois ils s’en remettent à une justice divine censée abréger votre vie en raison de votre défection (« le Seigneur vous récompensera de sa manière et ne dite pas que je vous ai pas prévenu »).

Pour éviter d’être ennuyé, s’il vous prenait un jour la mauvaise idée de répondre à l’une de ces arnaques pour vérifier par vous-même : faites le depuis une adresse mail que vous sacrifierez ensuite ! Et ne vous inquiétez pas pour votre arnaqueur, il ne se rendra même pas compte qu’il ne vous avait jamais écrit avant. Le pauvre, il envoie tellement de courriers qu’il s’y perd…

Et vous, en avez-vous reçu ?

N’hésitez pas à coller en commentaire vos plus beaux spams et promesses de gains tombées du ciel. En plus d’amuser tout le monde, vous en aiderez beaucoup. Il en est qui reçoivent de tels courriers et qui cherchent, on l’espère, à se renseigner sur sa réalité. Avec un peu de chance, leur recherche sur internet les mènera ici, sur votre message, et ils découvriront qu’il ne s’agit que d’une arnaque.


Rétribution de l’activité de la recherche : Elle sera effective à partir du 1er janvier 2011” - par elabweb le 04/10/2010 17:49

Invité de la rédaction de la Chaîne III de la Radio nationale, le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT), le professeur Hafid Aourag, a annoncé , hier , que la rétribution de l’activité de recherche adoptée avant-hier par le Conseil des ministres sera effective dès la signature des contrats par les chercheurs inscrits aux programmes nationaux de recherche (PNR) et ce, à partir du 1er janvier 2011.  
« Tout chercheur disposant d’un projet PNR agréé percevra cette rétribution qui, en fonction de ses activités, pourra être reconduite ou arrêtée », a-t-il annoncé.  Ainsi, tout chercheur hospitalo-universitaire ou enseignant chercheur participant aux programmes nationaux de recherche et dont les travaux ont été publiés peut bénéficier de la prime mensuelle allant de 45.000 DA pour le professeur à 20.000 DA pour le maître-assistant de classe B. Pour les responsables d’unités de recherche régulièrement nommés, la prime est fixée à 20.000 DA pour le directeur de l’unité et à 10.000 DA pour le chef d’équipe. Cette fourchette varie selon les diplômes, l’expérience et la compétence de chaque  chercheur. M. Aourag voit en cette rétribution une reconnaissance de l’Etat pour l’élite du pays, ses compétences et  son excellence et elle, vient, de son avis, distinguer l’excellence de la médiocrité au moment où les programmes nationaux de  recherche, mis en place par les  comités sectoriels permanents et les commissions intersectorielles, ont été adaptés aux besoins socio-économiques du pays. D’où l’importance, précise-t-il encore, de l’évaluation des travaux qui sera faite par les experts des comités sectoriels de manière individuelle et non pas par programme de recherche. Et dans cette perspective d’améliorer l’environnement de la recherche nationale,  un système national de documentation on line a été également lancé depuis le 15 septembre avec 60.000 accès déjà ouverts aux enseignants, étudiants en master et doctorants inscrits dans les laboratoires de recherche. Le système permet aux chercheurs, grâce à un mot de passe attribué,  d’accéder à toutes les bases de données à travers le monde pour pouvoir télécharger toute la documentation nécessaire à leurs travaux de recherche. S’agissant du statut de doctorant ou les étudiant inscrits pour un diplôme de doctorat, le directeur général de la recherche s’est déclaré très satisfait des décisions prises par le dernier Conseil des ministres. En plus de 12.000 dinars de bourse mensuelle, le doctorant peut désormais concourir à temps partiel à l’enseignement supérieur contre rémunération, ce qui confirme aussi son statut de chercheur permanent au niveau des laboratoires. Cette série de mesures permettra aux bénéficiaires, explique M. Aourag, de parfaire leurs  aptitudes pédagogique et de renforcer la communauté des chercheurs au niveau national.
De manière générale, le professeur juge les dernières décisions du Conseil des ministres dans le domaine de la recherche scientifique de très importantes. « C’est une étape très importante que nous voulons d’accomplir, cette distinction de la compétence va créer la compétitivité qui contribuera fortement au développement socio-économique du pays », a-t-il indiqué en invitant toutes les compétences algériennes établies à l’étranger à participer aux PNR et au développement socio-économique.   
Interrogé sur le mauvais classement des universités algériennes à l’échelle mondiale, le directeur général de la recherche scientifique, tout en reconnaissant le manque de visibilité des établissements universitaires algériens à l’international, a remis en cause également la fiabilité de ses classements qui obéissent à des critères pas toujours objectifs.  Cela dit, il promet un bien meilleur classement des universités algériennes d’ici deux, une fois que ses dernières auraient amélioré leur visibilité à l’extérieur, notamment concernant la publication des travaux de recherches, un élément déterminant dans le classement.
Il s’est avéré, note-il, que certaines universités publient sur différentes adresses, ce qui ne reflète pas le total réel des publications de chaque établissement. Concernant, par ailleurs, le statut de l’ingénieur- chercheur en phase d’élaboration, il dira que ce projet qui donnera à cette catégorie la possibilité d’exercice pleinement l’activité de soutien à la recherche sera bientôt finalisé.
Hamida B.

NOUVEAU DISPOSITIF POUR LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE - par Elabweb le 04/10/2010 16:51

Une rétribution de 20.000 à 45.000 dinars pour les chercheurs

Une rétribution des activités de recherche variant entre 20.000 et 45.000 dinars sera donnée aux chercheurs à partir de janvier 2011. La mesure vient d’être adoptée par le Conseil des ministres. « C’est une rétribution qui ne s’adresse pas à l’ensemble des chercheurs mais à ceux qui participent aux programmes nationaux de recherche. Des programmes liés au développement économique du pays. Elle sera accordée pendant une année sur la base de contrats et de projets. Elle pourra être reconduite ou arrêtée », a annoncé Hafid Aouragh, directeur général de la recherche scientifique, invité mercredi par la chaîne III de la radio nationale.

La variation de la rétribution est liée, selon lui, aux grades des chercheurs, des diplômes et des expériences. Les chercheurs sont tenus de publier leurs recherches pour bénéficier de ce supplément financier. « Ils seront évalués par les experts des comités sectoriels permanents du ministère de l’Enseignement supérieur. Chaque chercheur sera évalué individuellement par rapport à sa productivité », a-t-il indiqué. Un bonus pouvant atteindre les 20.000 dinars sera également donné aux responsables d’unités de recherche ou de laboratoires dans le cas de bons résultats et après évaluation.

Le nouveau statut de doctorant donne, d’après lui, des droits aux chercheurs. « Avec ce statut, il est considéré comme un chercheur permanent au niveau d’un laboratoire. Il a le droit de faire trois heures supplémentaires à l’université pour lesquelles il est rétribué. Nous voulons créer la compétitivité au niveau de la recherche », a expliqué Hafid Aouaragh.

Par ailleurs, un système national de documentation a été mis en ligne depuis le 15 septembre avec 60.000 accès. « Ce système permet à chaque chercheur d’accéder à toutes les bases de données mondiales. Il pourra télécharger n’importe quel article ou document à travers un pass word. Les étudiants inscrits en master et qui sont dans des laboratoires auront également accès à ce système », a-t-il souligné.
TSA

Programmes Nationaux de Recherche - par Elabweb le 06/09/2010 15:52

Programmes Nationaux de Recherche
Pour tout problème de téléchargement, prière nous contacter sur: dprep@nasr-dz.org
Télécharger les dernières versions au format pdf
[Campagne d'information du 18 mai au 03 juillet 2010]
[date de dépôt des propositions au format électronique du 05 au 23 septembre 2010]
Pour toute information sur les PNR écrire à: pnr@nasr-dz.org

N° PNR
Intitulé PNR
PNR1
PNR2
PNR3
PNR4
PNR5
PNR6
PNR7
PNR8
PNR9
PNR10
PNR11
PNR12
PNR13
PNR14
PNR15
PNR16
PNR17
PNR18
PNR19
PNR20
PNR21
PNR22
PNR23
PNR24
PNR25
PNR26
PNR27
PNR28
Histoire de la résistance populaire, du mouvement national et de la guerre de libération nationale
PNR29
PNR30
PNR31
PNR32
PNR33
PNR34

Programmes nationaux de recherche : 5000 projets prévus - par Elabweb le 06/09/2010 15:47

Quelque 5000 projets relatifs aux programmes nationaux de recherche (PNR) seront lancés à partir de janvier 2011, a annoncé lundi le professeur Mokhtar Sellami, directeur de la programmation de la recherche, de l’évaluation et de la prospective du ministère de l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique (MERS). « La relation entre l’université et son environnement ne doit pas être un vain mot. Notre souci est de sensibiliser nos chercheurs, où qu’ils soient, à adhérer à ces projets », a indiqué le Pr Sellami, précisant que les PNR sont des programmes avec des impacts socio-économiques ciblés.

APS


Le développement de l'administration électronique, axe majeur de la stratégie e-Algérie 2013 - par elabweb le 23/12/2009 14:20

ALGER - Le développement de l'administration électronique constitue le premier axe majeur de la stratégie e-Algérie 2013, ont souligné, dimanche à Alger, des experts à l'occasion du premier forum sur l'administration électronique "e-daratic 2009". Cet axe porte sur l'accélération de l'usage des Technologies de l'information et de la communication (TIC) dans l'administration publique par l'introduction de ces nouvelles technologies et le renforcement de leur usage au sein de l'administration publique. La mise en œuvre de cet axe engendrera "une transformation importante des modes d'organisation et de travail de l'administration publique et l'amènera à simplifier son mode de fonctionnement et à servir le citoyen de manière plus appropriée, notamment à travers la mise en ligne de ses différents services", a-t-on relevé.  

Source APS

La meilleure université algérienne à la 4 116e place ! - par Elabweb le 03/11/2009 18:30

Grâce à sa première université, Djillali-Liabès de Sidi Bel-Abbès, l’Algérie s’est classée à la 4 116e place dans le fameux classement de Shanghai qui compte  6 000 universités dans le monde. Une autre université, celle de Tlemcen, se situe à la 4 143e place. Le classement 2009, qui a été établi le 31 octobre, fait la part belle aux État-Unis. Ainsi, à titre d’exemple, les 3 meilleures universités de la planète sont américaines (Harvard, Stanford et Berkeley). Sur les 10 premières, 8 sont américaines et sur les 50 premières, 40 sont des États-Unis. Le classement africain est entièrement dominé par l’Afrique du Sud, puisque pas moins de 12 universités de ce pays sont classées sur les 15 premières. En termes de présence, l’Algérie se tire plutôt bien avec 11 universités retenues dans le top 100 africain.


Faible usage des TIC en Algérie - par Belkherfi le 23/07/2009 20:29

cryDans son 7e rapport sur les technologies de l’information (TIC), le forum économique mondial donne les classements des pays selon leurs usages des technologies d’information en se basant sur 68 critères différents, dont l’accès à Internet dans les écoles et l’importance qu’ accorde le gouvernement à long terme aux TIC.


La position des pays du Maghreb dans le classement est la suivante : Tunisie (35e), Maroc (74e), Algérie (88e), Mauritanie (97e) et Libye (105e . Cela montre le faible usage des technologies de l’information et de la communication dans cette région et la nécessité de définir une stratégie pour augmenter l’usage des TIC et d’encourager les investissements dans ce secteur prometteur. En Algérie, Hamid Bessalah, le récent ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, a pour mission principale de réfléchir sur les besoins de l’Algérie et les actions à entreprendre dans le cadre du développement de « la société de l’information » dans notre pays.
Il a été décidé d’impliquer l’ensemble des acteurs du secteur (publics/privés) lors du premier congrès international sur la stratégie des TIC, organisé par l’Union nationale des scientifiques et technologues algériens. Au niveau de l’AAFSI et de Touiza, on estime le nombre d’utilisateurs de l’Internet à moins de 3,5 millions et les sites web en dz à moins de 2000, dont moins de 500 réellement opérationnels et en .com ou .net à moins de 10 000. Les résultats de Ousratic sont décevants : moins de 4% sur les 6 millions ciblés par l’ex-ministre (5 millions annoncés lors du SMSI de Tunis en 2005 pour 2010).
Cette situation est expliquée principalement par l’absence d’une stratégie nationale claire en termes de développement des TIC avec des objectifs bien précis et à l’inexistence d’une « industrie de contenu ». Il faut mettre en place un observatoire des TIC, un plan de développement du haut débit et des projets plus ciblés pour accompagner les entreprises du secteur.


Par K. B
Algérie : La première plate-forme d’enseignement à distance - par Belkherfi le 20/07/2009 19:03

tongueL’Algérie se dote, enfin, de sa propre plate-forme d’enseignement à distance. Ce n’est pas une blague.
C’est une réalité qui sera confirmée mardi prochain, à l’occasion de la tenue d’une Journée d’information sur le e-learning, au siège de la Bibliothèque nationale d’Algérie (Hamma).

Organisée conjointement par Comform Communication (une entreprise algérienne spécialisée dans les études, la recherche, la formation, l’expertise et le conseil en communication) et Action Technologique (une start-up Internet spécialisée dans la communication multimédia), cette manifestation permettra au grand public de découvrir ce formidable outil de formation à distance. Une nouvelle technique d’enseignement, alternative à celle pratiquée actuellement, qui représente, aujourd’hui, une véritable aubaine pour tous les organismes désirant de s’inscrire dans une stratégie de croissance durable. Car, elle leur permet de mobiliser, de fédérer, et de capitaliser le savoir et le savoir-faire de leurs collaborateurs.

Tous ces avantages, entre autres, sont garantis avec des réductions de coûts sensibles et des possibilités de formation intéressantes et permanentes des ressources humaines. Après tant d’années d’attente, le moment est, donc, venu pour que les Algériens apprennent à tirer profit des prouesses de la technologie et à s’inscrire pleinement dans l’ère de la société du savoir et de l’entreprise intelligente.

Ainsi, le lancement, par Action Technologique et Comform Communication, de la première plate-forme informatique de e-learning bilingue, en Algérie, dont l’appellation commerciale est "DZCampus" et de la première formation à distance via Internet pour les chargés de la communication des entreprises et des institutions algériennes sera, à coup sûr, une étape décisive vers l’édification d’une véritable société de l’information en Algérie.

Toufik B. — La Maghreb
Introducing the Google Chrome OS - par Belkherfi le 12/07/2009 07:28

javascript:AddSmiley('%3Cimg=eek%3E','rapporter','ptxt');
It's been an exciting nine months since we launched the Google Chrome browser. Already, over 30 million people use it regularly. We designed Google Chrome for people who live on the web — searching for information, checking email, catching up on the news, shopping or just staying in touch with friends. However, the operating systems that browsers run on were designed in an era where there was no web. So today, we're announcing a new project that's a natural extension of Google Chrome — the Google Chrome Operating System. It's our attempt to re-think what operating systems should be.

Google Chrome OS is an open source, lightweight operating system that will initially be targeted at netbooks. Later this year we will open-source its code, and netbooks running Google Chrome OS will be available for consumers in the second half of 2010. Because we're already talking to partners about the project, and we'll soon be working with the open source community, we wanted to share our vision now so everyone understands what we are trying to achieve.
javascript:AddSmiley('%3Cimg=eek%3E','rapporter','ptxt');
Speed, simplicity and security are the key aspects of Google Chrome OS. We're designing the OS to be fast and lightweight, to start up and get you onto the web in a few seconds. The user interface is minimal to stay out of your way, and most of the user experience takes place on the web. And as we did for the Google Chrome browser, we are going back to the basics and completely redesigning the underlying security architecture of the OS so that users don't have to deal with viruses, malware and security updates. It should just work.

Google Chrome OS will run on both x86 as well as ARM chips and we are working with multiple OEMs to bring a number of netbooks to market next year. The software architecture is simple — Google Chrome running within a new windowing system on top of a Linux kernel. For application developers, the web is the platform. All web-based applications will automatically work and new applications can be written using your favorite web technologies. And of course, these apps will run not only on Google Chrome OS, but on any standards-based browser on Windows, Mac and Linux thereby giving developers the largest user base of any platform.

Google Chrome OS is a new project, separate from Android. Android was designed from the beginning to work across a variety of devices from phones to set-top boxes to netbooks. Google Chrome OS is being created for people who spend most of their time on the web, and is being designed to power computers ranging from small netbooks to full-size desktop systems. While there are areas where Google Chrome OS and Android overlap, we believe choice will drive innovation for the benefit of everyone, including Google.

We hear a lot from our users and their message is clear — computers need to get better. People want to get to their email instantly, without wasting time waiting for their computers to boot and browsers to start up. They want their computers to always run as fast as when they first bought them. They want their data to be accessible to them wherever they are and not have to worry about losing their computer or forgetting to back up files. Even more importantly, they don't want to spend hours configuring their computers to work with every new piece of hardware, or have to worry about constant software updates. And any time our users have a better computing experience, Google benefits as well by having happier users who are more likely to spend time on the Internet.

We have a lot of work to do, and we're definitely going to need a lot of help from the open source community to accomplish this vision. We're excited for what's to come and we hope you are too. Stay tuned for more updates in the fall and have a great summer.
smiley perturbé
Chrome OS : Nouveau système d'exploitation de Google - par SEUSCHI le 10/07/2009 23:29

eGoogle annonce Chrome OS, un système d'exploitation Google Chrome OS est un projet de système d'exploitation open source annoncé par Google le 7 juillet 2009. Il sera fondé sur son navigateur internet Chrome et un noyau Linux. À destination des netbooks dans un premier temps, il serait capable, à terme, de faire tourner des ordinateurs de bureau traditionnels. Selon Google, ce système d'exploitation sera disponible durant le second semestre de 2010 et le code source fin 2009.
TIC : LA DIFFÉRENCE HOMMES-FEMMES - par Belkherfi le 09/07/2009 20:19

Dans un récent communiqué, le groupe Cisco, leader mondial des technologies réseaux, présente les résultats d’une étude qui démontrent que bien que les femmes aient les compétences informatiques requises, elles continuent à se détourner des études et carrières technologiques. Explications…


Selon l’étude menée dans 5 pays (dont la France), par EUN Schoolnet, pour le compte de Cisco, l’écart hommes/femmes dans les TIC perdure et les stéréotypes détournent plus que jamais les femmes des emplois technologiques
Les femmes seraient encore nombreuses, malgré leurs compétences équivalentes à celles des hommes, à renoncer à la poursuite de leurs études ou à occuper des emplois dans le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC).

L’étude montre que, dans le secteur des TIC, seulement 27,8% des responsables informatique et des responsables de systèmes d’information sont des femmes, et parmi les ingénieurs en matériels informatiques, on ne compte que 9,6% de femmes.

Dans les domaines des sciences de l’ingénieur et des technologies, seuls 5,8 % des postes de professeur de l’enseignement supérieur sont occupés par des femmes.

L’étude révèle également que, parmi les jeunes femmes interrogées qui étudient actuellement les TIC au niveau secondaire, la majorité est intéressée par ce domaine, mais la moitié d’entre elles renonceront à poursuivre leurs études et à faire carrière dans les TIC.

Enfin, l’analyse des résultats montre que le facteur le plus démotivant de tous est l’impressionque le secteur technologique est avant tout un domaine réservé aux hommes.

Ce constat alarmant représente une déperdition de talents pour cette industrie à une époque où, malgré la récession économique, les pénuries de compétences menacent de freiner la productivité.

Pour Laurent Blanchard, Vice-président Cisco Europe et Directeur Général Cisco France, l’industrie et les pouvoirs publics devraient collaborer afin de faire évoluer les perceptions qu’ont actuellement les jeunes femmes.
« Outre l’effet que l’écart entre les sexes peut avoir sur les pénuries de compétences prévues, le trop faible nombre de femmes entrant dans le secteur des TIC représente aujourd’hui une perte de talents pour l’industrie et une perte d’opportunités pour les jeunes femmes qui arrivent sur le marché du travail. La sous-représentation des femmes dans les TIC va nécessairement perdurer si l’on ne fait pas davantage pour éduquer, soutenir et encourager les jeunes femmes et celles qui leur servent d’exemple. La collaboration entre le public et le privé pourrait bien avoir un rôle stratégique à jouer afin d’ouvrir l’esprit des jeunes femmes aux technologies en mettant à leur disposition des informations plus réalistes sur les TIC et les emplois dans ce secteur.»
Pemier Serveur Sakai Opérationnel - par Belkherfi le 09/07/2009 10:14

Projet POLLES: Le premier serveur Sakai opérationnel à l'Université de Annaba:
Dans le cadre du projet Polles financé par le CRDI (Centre de Recherche pour le Développement International - Canada), le LRI-Annaba a réalisé la première installation du serveur Sakai en Afrique du Nord. Les efforts se poursuivent sur l'arabisation de Sakai et le développement de contenus, avec l'étroite collaboration des équipes du CRIM (Montreal), et de l'Université Hassan-II (Mohammadia-Casablanca) ainsi que d'autres équipes qui ont manifesté un intérêt pour le projet.
http://polles.univ-annaba.dz/portal)
Attaque informatique contre des sites gouvernementaux américains - par SEUSCHI le 08/07/2009 20:09

Attaque informatique contre des sites gouvernementaux américains Les sites Internet de plusieurs agences fédérales aux Etats-Unis, dont le département du Trésor et le Secret Service notamment chargé de la protection rapprochée des personnalités, ont été la cible au cours des derniers jours d'attaques informatiques entraînant des pannes, a-t-on appris mercredi de sources gouvernementales. Les sites des départements du Trésor, des Transports, de la Commission fédérale des Echanges (FTC) et du Secret Service ont été en panne à un moment ou à un autre au cours du week-end, selon plusieurs responsables gouvernementaux qui ont requis l'anonymat. Certains de ces sites connaissaient encore des problèmes mardi soir, à la suite des attaques lancées le 4 juillet, jour de la fête nationale aux Etats-Unis. Le ministère de la Sécurité intérieure, le Département d'Etat, le journal The Washington Post, le Nasdaq (marché des valeurs technologiques) ont également été visés, ont précisé à l'Associated Press des spécialistes en sécurité informatique. Selon les responsables qui n'ont pas fourni de plus amples précisions, il s'agissait d'attaques dites de "saturation", ou "déni de service". Elles consistent à envoyer des milliers de messages depuis des dizaines d'ordinateurs piratés, afin de submerger les serveurs d'une société ou d'une administration et paralyser son site Internet. Le ministère de la Sécurité intérieure a confirmé que différentes administrations fédérales ont reçu des informations sur les "mesures à prendre pour réduire les effets de telles attaques". De l'autre côté de la planète, en Corée du Sud, les sites de plusieurs grandes institutions et administrations nationales, dont la présidence, le ministère de la Défense, l'Assemblée ou la Banque du Commerce, ont pareillement été pris pour cible. D'après des responsables du renseignement sud-coréens, ces attaques liées à celles perpétrées aux même moment contre des serveurs et sites américains sont imputables à la Corée du Nord ou des forces pro-Pyongyang. Ces informations n'ont pas pu être confirmées. Ben Rushlo, le directeur pour les technologies Internet de Keynote Systems, une société spécialisée dans la surveillance de sites, a qualifié ces incidents de "panne massive", précisant que le site du ministère des Transports a connu des problèmes de samedi à lundi tandis que celui de la FTC est resté totalement bloqué dimanche et lundi. Selon M. Rushlo, le site des Transports a été "100% en panne pendant deux jours" sans aucune possibilité pour les internautes d'y accéder. Les attaques de "saturation" contre les sites Internet ne sont pas rares, et il est relativement facile de les lancer en utilisant des programmes de "hacking" ("piratage"), largement disponibles sur la Toile. Mais les choses prennent une toute autre ampleur quand des pirates utilisent des réseaux de milliers d'ordinateurs "zombies", infectés par des virus et/ou programmes malveillants. Ces ordinateurs peuvent être ainsi commandés et contrôlés à distance, à l'insu de leurs utilisateurs, et forment ainsi des réseaux ("botnets") de machines "zombies" exploités de manière malveillante. Durant les semaines qui ont précédé la guerre éclair entre la Russie et la Géorgie en août 2008, les entreprises et le gouvernement géorgiens ont commencé à subir des attaques par "saturation", pour lesquelles les autorités russes ont nié toute responsabilité. Mais plusieurs experts occidentaux ont pu remonter jusqu'à des noms de domaine et des numéros d'enregistrement qui permettent de conclure à l'implication de plusieurs agences de la sécurité et des renseignements militaires russes. Dans un rapport publié en juin, l'Office général des Comptes (GAO) qui dépend du Congrès américain, signalait plus de 16.000 menaces ou incidents en 2008, soit environ trois fois plus qu'en 2007. La majorité de ces incidents avaient trait à des accès non autorisés et à des violations des règles d'utilisation. De son côté, le ministère de la Sécurité intérieure a fait état pour 2008 de 5.499 intrusions recensées dans les ordinateurs du gouvernement américain, contre 3.928 e
droit à l’« hétéronymat », - par Belkherfi le 07/07/2009 20:53

Hier, dans le cadre du colloque Droits et libertés dans la société numérique, organisé par la secrétaire d’état en charge de l’économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, le sénateur Yves Détraigne a présenté son idée de droit à l’« hétéronymat », répértorié et géré par une autorité publique.
Idée d’un anonymat sur Internet répertorié et géré par une autorité publique - par elabweb le 27/06/2009 00:49

Hier, dans le cadre du colloque Droits et libertés dans la société numérique, organisé par la secrétaire d’état en charge de l’économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, le sénateur Yves Détraigne a présenté son idée de droit à l’« hétéronymat », répértorié et géré par une autorité publique.

Yves Détraigne est le co-auteur du rapport La vie privée à l’heure des mémoires numériques. Pour une confiance renforcée entre citoyens et société de l’information, fait au nom de la commission des lois, et présenté le 27 mai dernier. L’un des concepts défendus est la reconnaissance d’un droit à l’anonymat de ce qu’ils appellent « l’homo numéricus ». Il s’agit de pouvoir séparer son identité réelle de son identité numérique. Principalement dans le but de « préserver » l’identité publique d’un internaute d’informations qui pourraient, un jour, se retourner contre lui. Un droit à « être acteur d’Internet au travers d’un pseudo », a expliqué, hier, le sénateur. « Mais un pseudo qu’on s’attribuerait bien sûr pas librement comme ça, sans la moindre règle », a t-il précisé. Une autorité publique serait ainsi « l’interface, le gardien » de cette identité secrète.

La lecture du rapport complète ces déclarations. Dans le document, Yves Détraigne et Anne-Marie Escoffier expliquent l’importance, pour les internautes, de pouvoir « brouiller les pistes » à une époque « où les risques d’usurpation d’identité sont souvent pointés du doigt et où les Etats renforcent les moyens d’identification des personnes ». Ils proposent ainsi la mise en place d’un système où « chaque individu pourrait se forger de véritables personnalités alternatives, distinctes de la personnalité civile qui les exploite. Afin d’éviter que ce droit ne serve à commettre des infractions, ces identités alternatives pourraient être déposées auprès d’un organisme chargé de les gérer. En cas d’infractions par exemple, la justice pourrait demander l’identité civile de la personne. »

En clair, chaque internaute devrait déclarer sa ou ses identités anonyme(s) en ligne à une autorité. Au passage, on peut s’amuser à imaginer sur quels critères se ferait l’enregistrement de ces pseudos (quand on sait, par exemple, le nombre d’ados qui utilisent « darkvador666 »). Cette autorité serait en charge de gérer l’énorme base de données de pseudos de tous les internautes français, et de faire le lien avec la justice. On peut imaginer une Secrétaire d’Etat à la Famille qui voudrait poursuivre des internautes pour insulte — au hasard pour l’avoir traitée de « Hou, la menteuse » — en commentaire d’une vidéo en ligne sur Dailymotion. Elle n’aurait plus à demander au site de lui « fournir en urgence la date, l’heure et les adresses IP utilisées et tout élément d’identification », il lui suffirait alors de s’adresser à cette autorité pour avoir l’identité civique de l’internaute.

Mais allons au bout de la logique de ce droit à l’« hétéronymat ». Pour que cela fonctionne pleinement, cela voudrait dire que l’Etat obligerait chaque internaute à utiliser exclusivement son ou ses pseudos officiels sur tous les sites Internet de France et de Navarre... L’idée laisse perplexe.

A un intervenant du public qui soulevait l’absurdité d’un « pseudonymat » régulé par une telle autorité, le sénateur a répondu : « il est indispensable dans une société organisée que sous couvert d’anonymat, on ne mette pas n’importe quoi. Il faut que l’autorité publique mette de l’ordre. La liberté d’expression est une valeur importante, mais ça n’est pas pour autant qu’il faut pouvoir propager n’importe quoi. »
par Astrid Girardeau, Libération,
Décès Michael Jackson : halte aux spams - par SEUSCHI le 26/06/2009 16:27

Décès Michael Jackson : halte aux spams   (Paris - Relax news) - Les pirates informatiques, qui tirent régulièrement partie des événements planétaires, chercheraient à profiter de la mort de Michael Jackson pour lancer une nouvelle attaque via des emails déguisés. Dans un communiqué publié vendredi 26 juin, la société Websense, spécialisée dans la protection des courriels et des données, a constaté la diffusion de spam proposant un lien vers une vidéo YouTube de l'artiste décédé.

Dans son alerte, Websense explique qu'en cliquant sur ce lien, l'internaute est redirigé vers un site malveillant proposant de télécharger les dernières images prises de Michael Jackson. Les utilisateurs piégés court ainsi le risque de se faire pirater leur ordinateur.

Les internautes sont invités à ne pas ouvrir les emails qui leur semblent suspects et encore moins de télécharger les fichiers joints ayant un rapport à des vidéos de Michael Jackson.

Site : www.websense.com
Softwar se met à l’arabe - par elabweb le 19/06/2009 11:48

Désormais, les sociétés travaillant en langue arabe n’auront plus de problème pour le traitement et la capture des données en langue arabe. En effet, la société Softwar a lancé, hier, une nouveauté dans ce cadre. Il s’agit de la nouvelle version de sa solution de capture «Kofax» V8 version arabe. «Cette nouveauté permettra la reconnaissance des données en langue arabe», ont déclaré, hier, les responsables du Groupe, SG Expert, Global document expert, lors d’une conférence de presse tenue à Alger.
Cette nouveauté permettra la reconnaissance des caractères arabes. Aussi, «Kofax Capture» compte des moteurs de reconnaissance de la plupart des caractères, ainsi qu’une application modulaire qui permet d’automatiser la chaîne d’acquisition documentaire, de la capture jusqu’à la diffusion des informations (documents et index) dans un système de gestion de contenu. S’agissant des raisons de développement de ce système, il y a lieu de préciser le grand potentiel du marché au Moyen-Orient, Maghreb et Afrique. A cela s’ajoutent la tendance forte et les exigences gouvernementales ainsi que la forte demande des partenaires et des clients finaux et la nécessité d’apporter une réponse plus efficace et plus satisfaisante. La fonction, reconnaissance optique des caractères, «OCR» sous «Kofax Capture», peut être effectuée par deux biais.
Concernant les bénéfices de «Kofax Capture», il utilise toutes les fonctionnalités avancées disponibles sous «Kofax Capture 8.0», compatible avec la quasi-totalité des systèmes de GED grâce aux scripts de communication et un outil collaborateur précis, puissant et rapide, une sécurité garantie par «Kofax Capture», vitesse de reconnaissance deux fois supérieure aux autres moteurs OCR du marché.

Smail DADI


Le domaine .dz peu exploité - par elabweb le 16/06/2009 09:22

Le Centre de recherche sur l’information scientifique et technique (Cerist) a organisé, hier, une journée d’information sur les noms de domaine internet « .dz », qui s’inscrit dans une action d’information et de vulgarisation pour promouvoir l’identité algérienne sur Internet et garantir la pérennité de l’infrastructure basée sur l’identification des noms de domaine.

Aouaouche El Maouhab, directrice de la division réseaux au Cerist, a affirmé dans un exposé que « le Centre a enregistré 2380 noms de domaine en Algérie en .dz. Depuis quelques mois, le mouvement s’accentue avec une moyenne de 300 noms de domaine par mois. La gestion des enregistrements des noms de domaine sous .dz est une activité initiée par le Cerist avec l’introduction d’internet en Algérie, en 1994. Toutes les entités établies dans le pays ou ayant une représentation légale en Algérie ou disposant d’un document justifiant les droits de propriété de nom dans le pays peuvent se faire attribuer ce nom de domaine ». Pour booster ce secteur, il a été décidé la suppression des frais d’enregistrement en mode délégation et la possibilité d’effectuer l’opération d’enregistrement en ligne. Il a été proposé la création d’un comité éthique du .dz pour « proposer les règles d’octroi de noms de domaine et les règles de règlement de litiges et participer à la promotion du .dz ». L’enregistrement effectif se fait à travers des entités d’enregistrement appelées « registrar » : AnwarNet, Djaweb, SLC, Caci, KDConcept, Webidees, Cetic, Satlinker et Wissal.

Cependant, plusieurs entraves ont été relevées par les opérateurs économiques. Réserver un nom de domaine en Algérie relève de toute une acrobatie bureaucratique. Sous d’autres cieux, il faut quelques secondes ou quelques clics pour disposer d’un domaine, juste le temps de vérifier qu’il n’a pas déjà été attribué. « Obtenir un nom de domaine en .dz ressemble à une demande de visa », ironise un internaute sur notre site web. Pourtant, le potentiel de croissance du nom de domaine algérien est énorme, sachant qu’il existe 519 526 entreprises (PME/PMI) dans le domaine commercial (source : site internet du ministère de la PME et de l’Artisanat). Des actions sont à mener en direction de tous les détenteurs de registres du commerce et des organismes gouvernementaux publics et privés. Kahlane Ali, P-DG de Satlinker, jette un véritable pavé dans... la toile en soulignant qu’il existe quelque 45 000 sites internet algériens hébergés à l’étranger (essentiellement en .com). A ses yeux, pour rattraper le retard, il faut « aller vers le développement du contenu ». Les pouvoirs publics doivent s’impliquer davantage. Le développement d’une économie numérique et de contenus locaux passe par une accessibilité accrue aux noms de domaine. La stratégie « e-Algérie 2013 » a consacré une bonne place à l’amélioration de la visibilité de l’Algérie sur internet à travers une gestion efficace du nom de domaine .dz.

Par Kamel Benelkadi


Haut

© 2004-2023