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Nouvelles

L'état civil sera informatisé fin 2009 - par elabweb le 07/04/2008 11:20

Fini les erreurs contenues dans les documents administratifs. L'informatisation des actes et registres de l'état civil sera généralisée avant la fin 2009. C'est ce qu'a annoncé le ministre délégué chargé des Collectivités locales, Dahou Ould Kablia, en marge de la séance des questions orales tenue, jeudi dernier, au Sénat.

«Nous allons vers la généralisation de l'utilisation de la numérisation des actes et registres de l'état civil, avant la fin 2009», a-t-il dit.

Le département de l'Intérieur est décidé à moderniser son administration. «Nous avons engagé, au titre du programme financé par l'Union européenne (UE), trois opérations pilotes à Alger (Hydra et Bab El Oued) et Oran qui ont donné de bons résultats», a affirmé M.Ould Kablia. Cependant, il reconnaît que ce processus est «complexe» parce qu'il s'agira, à travers cette opération d'informatisation, de photographier chaque page du registre et la transcrire sur ordinateur à partir d'un logiciel. Pour alléger la pression sur l'état civil, il a fait savoir que l'acte de naissance n°12 ne sera exigé dorénavant que pour les élèves qui s'inscrivent pour la première fois à l'école. «Nous avons obtenu un accord du ministère de l'Education nationale pour que cet acte ne soit désormais exigé que pour ceux qui s'inscrivent pour la première fois à l'école, soit 300.000 à 350.000 enfants inscrits chaque année en première année primaire», a-t-il ajouté. Par la suite, l'établissement se contente de reconduire les dossiers des élèves dans leurs établissements scolaires respectifs.

A noter qu'à chaque rentrée scolaire, 8 millions d'élèves inscrits dans les établissements d'enseignement sont tenus de fournir l'acte de naissance n°12 (extrait du registre). Au cas où l'élève est transféré vers un autre établissement, son dossier le suit automatiquement. Interrogé sur le renouvellement des registres de l'état civil, le ministre a précisé que sur 39.185 registres où émargent 7149.833 actes d'état civil détériorés, 23.360 registres d'entre eux avec 5543.351 actes d'état civil ont été renouvelés. De nombreux registres ont été également «brûlés ou détruits lors d'attaques visant les sièges des communes et des archives» durant la tragédie nationale. Concernant la prorogation du délai de validité du document d'état civil, il pense que ce délai «est réglementaire et convenable», estimant que sa modification «ôterait toute crédibilité à ces actes». Au sujet de l'introduction d'un droit de timbre sur les imprimés d'état civil, M.Ould Kablia a écarté cette éventualité indiquant que ce projet a été rejeté par l'APN en 1998.

Par: Nadia BENAKLI - L'Expression
Sortie d'une nouvelle publication d'Algérie Télécom : El-Djazair.com, le magazine des TIC - par elabweb le 07/04/2008 11:14

Algérie Télécom a publié le numéro 1 de sa revue mensuelle El-Djazair.com consacrée à l'actualité des télécoms en Algérie. Dans cette première livraison, l'équipe rédactionnelle a fait parler les premiers acteurs du secteur, à leur tête le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, M. Boudjemaâ Haïchour, qui a présenté les objectifs de son département. Ont été interviewés également dans cette première édition le président de l'ARPT et les PDG d'Algérie Télécom, de Djaweb et de l'EEPAD, lesquels chacun de son côté ont aussi présenté leurs stratégies et visions du marché national.
Bill Gates envisage une nouvelle version de Windows courant 2009 - par elabweb le 07/04/2008 11:13

Microsoft prévoit de lancer la prochaine version de son système d’exploitation Windows, Windows 7, « dans le courant de l’année prochaine à peu près », annonce Bill Gates.

« Nous aurons une nouvelle version dans le courant de l’année prochaine à peu près », a répondu le président et co-fondateur du groupe à une question posée lors d’un séminaire sur la philanthropie d’entreprise à l’occasion de la conférence annuelle de la Banque de développement interaméricaine à Miami. Le géant des logiciels a l’intention de sortir plus fréquemment de nouvelles versions de son système d’exploitation, qui fonctionne sur la majorité des ordinateurs personnels dans le monde. Mais les commentaires de Bill Gates suggèrent qu’un successeur à Vista sera commercialisé plus tôt qu’attendu. Microsoft avait dit prévoir de lancer une nouvelle version de Windows environ trois ans après la sortie de Vista, en janvier 2007. Un porte-parole du groupe a déclaré que les déclarations de Bill Gates étaient conformes au cycle de développement puisque des versions tests du logiciel sont généralement publiées avant son lancement officiel. « Je suis très emballé par ce qu’il (le nouveau système) sera capable de faire », a dit Bill Gates, qui devrait cesser en juin de s’occuper des affaires courantes de Microsoft pour se consacrer à sa fondation. Il a annoncé que les nouvelles versions de Windows permettraient de révolutionner les téléphones mobiles et de proposer le « bureau » du futur. L’écran devrait notamment être tactile pour permettre d’appeler les objets avec la main.

Sur un autre registre, Microsoft a annoncé vendredi dernier qu’un jury américain avait accordé à Alcatel-Lucent 367,4 millions de dollars de dommages et intérêts après avoir établi que l’entreprise avait violé deux brevets liés à l’interface usager de son système d’exploitation Windows. Microsoft, qui compte faire appel du verdict, a dit qu’Alcatel-Lucent avait demandé 1,5 milliard de dollars en relation avec quatre brevets cités dans le dossier. Le géant de l’informatique a ajouté que le jury avait jugé que Microsoft n’avait pas violé un brevet d’Alcatel portant sur une technologie de décodage vidéo. Le quatrième brevet concerné par la plainte était cité pour une violation présumée par Dell, dont le jury a jugé qu’il n’était pas coupable, selon Microsoft.
Le premier appel à partir d'un téléphone mobile, a été effectué le 3 avril 1973 - par elabweb le 31/03/2008 15:37

35 ans de téléphonie mobile

Lorsque Martin Cooper inventa le téléphone « cellulaire » il y a 35 ans, il avait la vision d’un monde dans lequel l’homme épouserait la technologie mobile au point que les appareils sans fil seraient implantés dans le corps.

La téléphonie mobile a parcouru énormément de chemin depuis ce jour d’avril 1973 où l’ancien chercheur de Motorola a passé le premier appel au monde, sans fil, depuis un coin de rue à New York, mais Cooper, aujourd’hui âgé de 79 ans, est bien forcé de convenir que l’industrie des télécoms n’a pas répondu à ses espoirs. « Notre rêve était qu’un jour plus personne ne passe d’appels avec un téléphone filaire », a expliqué à Reuters l’ingénieur en électronique retraité. Son premier appel sans fil l’avait rendu si enthousiaste qu’à l’époque il aimait imaginer qu’un jour les numéros de téléphone deviendraient incontournables et que, raconte-t-il, « on vous attribuerait un numéro de téléphone à votre naissance et le jour où vous ne répondriez pas à un appel, vous en mourriez ». « L’idée était que le téléphone devienne une part de vous », souligne Cooper, qui attend toujours le jour où il pourra passer un appel automatiquement, simplement en pensant à la personne qu’il souhaite contacter.Aujourd’hui, plus de 3 milliards de personnes possèdent un téléphone portable contre seulement 300 000 en 1984. « Trente-cinq ans plus tard, l’idée de voir les gens communiquer librement lorsqu’ils se déplacent s’est finalement imposée, malheureusement nous n’en sommes qu’à peine au stade de maîtriser cela pour les communications vocales », a souligné Cooper lors d’entretiens téléphoniques depuis la Californie et New York. D’ici 15 à 20 ans, l’ingénieur retraité prédit que le corps humain abritera des appareils sans fil qui aideront à diagnostiquer des maladies et à les soigner. L’implantation physique d’appareils électroniques sans fil pourrait également apporter une solution à la consommation d’énergie des téléphones qui a néanmoins fait d’énormes progrès au cours des trois dernières décennies mais reste une source de frustration, alors que les appareils deviennent de plus en plus complexes et donc gourmands en énergie. Il reste cependant un certain nombre d’obstacles à l’accomplissement de sa vision d’être humain aux fonctions sans fil intégrées, ce qu’il concède. Si l’idée que l’homme utilise son corps pour recharger son téléphone semble être tirée d’un roman de science fiction, Cooper évoque une incrédulité similaire des passants à le voir téléphoner avec un appareil sans fil au coin de la 56e rue et de Lexington Avenue le 3 avril 1973. Il se souvient que le prototype de combiné pesait presque un kilo, avait une autonomie d’à peine vingt minutes et qu’il avait fallu près de trois mois pour l’assembler. Si la compagnie AT&T fut la première à concevoir un téléphone pour voiture dans les années 1940, il a fallu attendre 1978 pour que l’opérateur mette en place un réseau cellulaire commercial. Cinq années encore passèrent avant que Motorola ne mette en vente le premier téléphone portable, surnommé « la brique ». Cooper convient de ce que les appels sans fil sont beaucoup plus fiables aujourd’hui que la technologie et la couverture des réseaux est meilleure. Présent à Las Vegas en avril dernier, pour le Salon mondial du secteur, il n’en a pas moins appelé les industriels américains des télécoms sans fil à simplifier l’utilisation des combinés, qui sont parfois si complexes que les manuels d’utilisation sont plus lourds que l’appareil lui-même.

Samir Ben
- par elabweb le 29/03/2008 18:53


La télévision par Internet à partir du mois de MAI - par elabweb le 26/03/2008 15:03

Le PDG d’Eepad, Nouar Harzallah, invité d’El Khabar

Il a révélé le lancement d’un nouveau service au mois de mai prochain, en partenariat avec Algérie Télécom, il s’agit de la télévision par internet, qui permettra de suivre les programmes de toutes les chaînes étrangères et arabes, en plus des chaines nationales.

M. Harzallah, invité hier d’El Khabar, a indiqué que les deux compagnies ont signé plusieurs contrats avec différents propriétaires de chaînes étrangères et arabes, pour qu’ils puissent présenter leurs programmes au citoyen algérien, directement à travers internet. Ce service va présenter notamment les chaînes étrangères très demandées par les Algériens, et qui n’ont cessé de changer leur code, pour empêcher le piratage. L’opération s’effectuera de manière réglementaire et sans interruption ou difficulté, après la signature des contrats de droits de diffusion avec différentes entreprises.

Le programme Ousratic a rencontré de nombreuses difficultés mais il reste d’actualité « Nous avons contribué à baisser le prix du micro-ordinateur portable à 45 000 D.A »

M. Nouar Harzallah, directeur général de Eepad, a considéré que le programme Ousratic est toujours d’actualité, bien qu’il ait rencontré plusieurs obstacles, au vu des réserves des banques et des compagnies d’assurance, ainsi que la concurrence déloyale de certaines compagnies qui ont adopté le programme par imitation et non par conviction, indiquant que la compagnie a réalisé 40 % de ses objectifs, et a contribué à baisser le prix du micro-ordinateur portable de 140 000 D.A à 45 000 D.A. Le même responsable a précisé que l’expérience Ousratic est en elle-même très positive, vu que le modèle a été demandé par de nombreux pays et opérateurs, mais le programme a manqué d’opérations de sensibilisation de l’ensemble des parties, ajoutant que l’objectif premier était de construire la maison digitale, mais come l’opération est commerciale, les banques et les compagnies d’assurance ont émis des réserves, car elles ont besoin que toutes les conditions soient remplies pour une telle opération.

Un partenariat « vitale » avec les Français et les Canadiens au profit de la communauté algérienne

M. Harzallah a révélé la conclusion d’un partenariat « vitale » avec plusieurs opérateurs, qui ont profité à la communauté algérienne, indiquant que le premier accord a été conclu avec le groupe Neuf Cegetel, et c’est un partenariat bénéfique aux deux parties qui a permis, à travers le produit Assilabox, de garantir le contact entre la communauté algérienne et les clients résidant en France, qui peuvent désormais avoir accès gratuit à Internet. Un partenariat a été également conclu avec les Canadiens, qui permet de bénéficier en particulier de l’expérience algérienne résidant au Canada.

3 000 attaques par mois contre les sites électroniques en Algérie

Le P-DG de la compagnie Eepad, Nouar Harzallah, a indiqué que les sites électroniques des institutions de l’Etat sont ciblés à chaque instant par les pirates du net, précisant que le nombre des attaques quotidiennes sur les différents sites électroniques en Algérie a atteint 3000 attaques par mois. Concernant la source des attaques contre les sites électroniques des institutions de souveraineté comme le site de la présidence de la République et la Chefferie du gouvernement, il a précisé que leur provenance n’était pas stable, « mais qu’on peut la situer avec précision, grâce à des investigations qui ont lieu généralement en cas d’attaque ».

Le président-directeur général de l’entreprise Eepad, Nouar Harzallah, a indiqué que les sites électroniques des institutions de l’Etat sont ciblés à chaque instant par les pirates du net, précisant que le nombre d’attaques quotidiennes sur les différents sites électroniques en Algérie atteint 3000 attaques par mois.

Source : El Khabar
Des coffres-forts virtuels pour stocker des documents - par elabweb le 25/03/2008 08:55

Une banque américaine compte proposer à ses clients des coffres-forts virtuels pour stocker des copies de testaments, de passeports, de déclarations d’impôts ou d’autres documents précieux et confidentiels. Ce service de coffres-forts en ligne (vSafe) sera lancé au cours de cette année et serait le premier de ce type pour conserver des copies numérisées de documents importants.

La banque pense que ce service séduira ses clients qui cherchent à protéger leurs documents du vol et des catastrophes naturelles et, à la différence des vrais coffres-forts, y accéder de partout via l’internet.
Le Web algérien à la recherche de contenu - par elabweb le 24/03/2008 10:48

Avec les connexions Internet à haut débit, le concept d’autoroute de l’information est de plus en plus concret. Elles changent de façon considérable la vie des internautes. Les pages s’affichent instantanément et les téléchargements de fichiers volumineux (photographies, vidéos, logiciels) s’effectuent dans des temps records. La patience n’est plus une qualité indispensable pour s’adonner aux joies du surf.

Pour des raisons de coût, les vitesses de connexion haut débit étaient, il n’y a pas si longtemps, réservées aux seules entreprises. Mais le développement des offres ADSL a apporté un confort jusqu’à l’ordinateur domestique des particuliers (Fawri, Easy, Anis, Assila). Le débit d’un modem ADSL est en moyenne 10 fois plus élevé que celui d’un modem classique (512 kilobits par seconde).

De nombreux rapports et études certifient que la démocratisation de l’internet ne pourra être réalisée que lorsque le haut débit sera généralisé, prenant exemple sur le marché de la téléphonie mobile. Ils mettent en évidence que si une partie des internautes est assez motivée pour se contenter des accès à bas débit, la grande majorité n’est pas prête à « galérer » pour se connecter. Les entreprises voient dans les connexions à grande vitesse des gains de productivité potentiels.

En Algérie, l’ADSL progresse, mais force est de constater que le succès de l’internet à haut débit ne se bâtira pas sur une technologie, mais sur des contenus. Les TIC se présentent dans le discours politique comme vecteurs de modernisation de l’Etat (éducation, administration, santé) et de la société.

Elles sont censées créer des opportunités pour les entreprises, améliorer l’accès au savoir et la compétitivité des sociétés et même assurer un « raccourci technologique » permettant à l’Algérie de rattraper son retard sur les nations avancées. La stratégie gouvernementale en matière de TIC est d’ailleurs une thématique essentielle des discours sur la modernisation de l’Etat et de la société en général.

La « fracture numérique » réduit la problématique à des aspects techniques liés à l’accès, à l’équipement et à l’infrastructure. « C’est vrai que sur Internet il y a plein d’informations. Il suffit de taper Google et un flot de réponses nous est fourni. Mais est-ce que ces réponses sont celles qu’on veut ? Nous sommes algériens, nous avons nos spécificités, nous sommes musulmans, arabes et amazighs. Est-ce que lorsque je veux comprendre d’où je viens, Google me donnera la réponse », s’est interrogé, lors d’un entretien, Ali Kahlane, DG de Satlinker. L’internet doit répondre à des besoins : rapidité d’accès à l’information pertinente, réduction des déplacements physique et transversalité des approches dues aux références croisées, à l’indexation automatique et aux hyperliens. Internet représente un lieu de découverte où l’espace et le temps sont condensés. C’est une possibilité offerte de consulter des milliers de pages en ligne.

Les responsables de l’Eepad se disent en faveur du lancement d’une opération pour la production du contenu. Tous les professionnels des TIC en Algérie, réunis en septembre 2007 autour d’une table ronde au forum d’El Moudjahid, se sont, en septembre 2007, accordés à dire que le développement de l’internet dans notre pays reste tributaire de la production de l’information.

Kamel Benelkadi


Une solution de téléconférence et de collaboration pour les PME - par elabweb le 20/03/2008 08:59

Alcatel-Lucent lance en Algérie «My Teamwork Office Edition» : Une solution de téléconférence et de collaboration pour les PME

Paris, (AAI)- «My Teamwork Office Edition» est le nouveau kit de solutions de communication de bureau que vient de lancer en Algérie Alcatel-Lucent (Euronext Paris et NYSE : ALU), leader des réseaux haut débit fixes, mobiles et convergés.
«Solution logiciel de téléconférence multi-canal et de collaboration adaptée aux petites et moyennes entreprises, cette édition de bureau offre également à l'entreprise la téléphonie, des applications et la technologie de voix sur IP, de LAN et du WiFi», rapportent les médias.
Disponible sous la forme d'un serveur logiciel, hébergé sur une vaste gamme de matériel standard informatique, My Teamwork Office Edition présente, en effet, «des capacités évoluées d'audioconférence et de conférence web, un client par navigateur accessible de n'importe quel lieu ou un navigateur web pour assister n'importe quel dispositif téléphonique et une facilité d'accès à la messagerie instantanée».
Appliquée en combinaison avec le serveur d'appel OmniPCX d'Alcatel-Lucent, la solution s'adapte à toutes les tailles d'entreprises et offre des communications rationalisées en procurant des gains substantiels grâce à la réduction des fréquences de voyages, indique-t-on.
Selon Matthieu Destot, directeur des solutions de PME à Alcatel-Lucent, ce nouveau kit de solutions de communication de bureau est «Une application de collaboration et de téléconférence facile à utiliser, à connecter et à mettre en service, permettant au chef d'entreprise de réaliser de substantielles économies instantanées en complément d'un apport important en termes de productivité des employés».


18-03-2008
Facebook disponible en français - par elabweb le 17/03/2008 09:12

Réseaux sociaux

Facebook disponible en français

Après l’espagnol et l’allemand, le site américain Facebook se met au français pour attirer toujours plus d’internautes et profiter de son audience pour engranger des revenus publicitaires.

Véritable phénomène de l’Internet, ce site de socialisation, créé en février 2004 et destiné à l’origine aux étudiants, a vu son audience plus que doubler en moins d’un an. Aujourd’hui, il revendique au niveau mondial quelque 67 millions d’utilisateurs actifs, contre 20 millions en avril 2007. Les inscriptions y sont gratuites. Cet essor considérable lui a valu l’intérêt de Microsoft qui a payé la somme astronomique de 240 millions de dollars pour une participation de 1,6%, valorisant ainsi le site à 15 milliards de dollars.

Ce succès lui permet de grignoter l’avance que détient l’autre grand site communautaire, son principal concurrent, MySpace. Créé en 2003 et racheté deux ans plus tard par le groupe Murdoch, MySpace comptabilise quelque 110 millions utilisateurs. Plus de la majorité des membres de Facebook se trouve hors des Etats-Unis et un tiers en Europe. Le français est la troisième version à paraître après l’espagnol, le 11 février, et l’allemand, le 3 mars.

Les Français représentent la 6e communauté avec 1,4 million d’internautes, derrière les Etats-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, la Turquie et l’Australie, selon le classement du groupe. L’enjeu est désormais de rentabiliser ce succès, notamment par la publicité. Le site a recruté récemment une grosse pointure : Sheryl Sandberg qui depuis six ans était l’une des responsables des ventes de publicité du géant américain Google. Elle sera la prochaine directrice générale de Facebook avec pour objectif de doper un chiffre d’affaires qui avait atteint 150 millions de dollars en 2007.

Pour assurer sa traduction, Facebook a mis à contribution quelque 4000 internautes français, choisis en raison de leur grande utilisation du site, le parti pris étant que les utilisateurs seraient les mieux à même de traduire les fonctionnalités qu’ils emploient. « J’ai reçu début janvier un logiciel pour faire la traduction, que j’étais libre d’accepter ou non », explique à l’AFP Alban Marin qui a fait partie de l’équipe des traducteurs. « Déjà à l’époque, il y avait 2000 personnes qui travaillaient sur la version française, le recrutement se faisant par vague pour arriver à quelque 4000 personnes », a ajouté cet « accro » de Facebook de 28 ans qui publie en avril un guide pour utiliser au mieux le site et éviter ses pièges.

Les internautes traducteurs étaient invités à se prononcer sur les milliers de traductions proposées, du simple mot aux phrases complexes. Pour passer à la version française, les internautes disposant déjà d’un profil dans la version anglaise, doivent cliquer à partir de leur page d’accueil sur « account » puis, une fois arrivés sur la nouvelle page, dans « language » et choisir le français. Cette manipulation n’est à faire qu’une seule fois. En revanche, tous les nouveaux inscrits bénéficieront directement de la nouvelle version française.

Agences


Cybercriminalité : Les enfants face aux dangers d’Internet - par elabweb le 17/03/2008 09:10

ELWATAN Edition du 17 mars 2008 > Epoque

Cybercriminalité

Les enfants face aux dangers d’Internet

Internet et plus généralement les nouvelles technologies constituent un progrès considérable en termes de communication et d’information : c’est indiscutable.

Mais ils constituent aussi le terrain de nouvelles formes de criminalité dont les enfants et les adolescents sont la cible facile. Parmi les plus graves dérives de ces nouveaux outils figurent la cyberpédocriminalité, les phénomènes d’addiction aux « chats », aux jeux en ligne, la manipulation ou encore la confrontation à des images ou à des propos violents et les problèmes de socialisation qui peuvent en résulter. Dans un article paru dans la revue de la Gendarmerie nationale (février 2008), le constat est fait : l’augmentation du nombre d’auteurs et de victimes de la pédophilie via Internet depuis quelques années est indiscutable. Certains criminels considérés avant comme des pédophiles passifs ont fait le pas vers la pédophilie active. Certaines jeunes filles en quête d’admiration et de reconnaissance n’hésitent pas à offrir, de leur plein gré, des photos d’elles-mêmes particulièrement dévêtues. Ces photos se retrouveront dans des banques de données mondiales d’images pédophiles. Les criminels de l’Internet sont généralement animés par un sentiment d’impunité, car ils se croient à l’abri des lois. Il y a une chance sur trois d’être confronté à des images choquantes sur le Net, que ce soit à partir d’un ordinateur ou d’un téléphone portable, en cherchant un site sur un moteur de recherche, en cliquant sur un lien ou en téléchargeant films et musiques. Le Centre for media freedom in the Middle East and North Africa (CMF MENA), un centre de recherche indépendant sur les médias, situé à Casablanca et à Londres, a publié un rapport sur les crimes via Internet en relation avec l’enfance marocaine, intitulé Les crimes de l’Internet et l’enfance au Maroc : un manuel pour la sensibilisation des enfants, parents et éducateurs. Basé sur une enquête auprès de plus de cent enfants de la ville de Casablanca, âgés de 10 à 17 ans, et des interviews avec des responsables dans le gouvernement et des ONG marocaines, le rapport révèle plusieurs faits. Plus des deux tiers des enfants interviewés déclarent avoir reçu des offres de voyages, de cadeaux ou de mariages par internet (Chat) de la part d’inconnus. Plus du quart des enfants utilisent les Internet cafés malgré l’interdiction des parents. Plus des deux tiers des enfants n’ont jamais entendu parler des crimes de l’Internet. Aucune ONG marocaine n’existe pour travailler sur la sensibilisation des jeunes et des parents sur les dangers de l’Internet à l’instar des centaines qui existent dans plusieurs pays. Le gouvernement marocain ne traite cette question que de manière timide et se concentre plutôt sur l’aspect sécuritaire de l’Internet. Des solutions de protection des enfants des cybercriminels deviennent urgentes. Afin de lutter efficacement contre la cyberpédophilie, il existe des mesures simples : l’activation du contrôle parental, positionner l’ordinateur familial dans une pièce commune de la maison et non dans une chambre et ne jamais laisser les accès internet ouverts.

Kamel Benelkadi


Microsoft Algérie présente la toute dernière innovation technologique - par elabweb le 16/03/2008 01:35

Alger, (AAI)- Microsoft, leader mondial du logiciel, a réuni, lundi à Alger les professionnels algériens des NTIC pour leur présenter les nouvelles solutions Windows Server 2008, SQL Server 2008 et Visual Studio 2008, en présence du Directeur général de Micosoft Algérie, Samir Said.
A cette occasion, l’accent a été mis sur les importantes avancées proposées par ces produits, et a aussi permis aux participants de discuter avec des experts Microsoft, Kevin McCuistion, Group Product Manager, ainsi que de rencontrer les partenaires de Microsoft sur cette opération : HP, IT Algeria et Oasys.
Ibrahim Youssry, Directeur Marketing Régional Serveurs, pour la région Moyen-Orient et Afrique a affirmé que : «Nous mettons à la disposition des entreprises algériennes nos grandes innovations : une plate-forme de virtualisation, une sécurité renforcée, une infrastructure Web très performante, ainsi que la dernière génération de base de donnée intelligente, extrêmement puissante et interopérable, de même que la plate-forme de développement Visual Studio.
Selon lui, « l’ensemble de nos dernières générations Servers va permettre à toutes les entreprises algériennes un fonctionnement optimisé, une réduction notable des coûts et une prise de décision plus rapide».
Au cours de cette rencontre, les professionnels des NTIC ont eu l’occasion d’en apprendre plus sur les innovations apportées par ces solutions en visitant le stand Microsoft, de même que ceux des partenaires HP, IT Algeria et Oasys. L’implication de ces sociétés témoigne d’ailleurs de la force de l’écosystème d’entreprises qui se développe en symbiose avec Microsoft Algérie.
De son coté Abdelouaheb Gaoua, General Manager, IT Algeria a précisé que : «Comme à son habitude, je suis sûr qu’avec la version 2008 de SQL server, Microsoft apportera un lot appréciable d’innovations et de nouveautés en terme de Business Intelligence, pour le grand bonheur des managers et décideurs algériens».
Riadh El Mansali, Directeur général de HP El Djazaïr a indiqué que : « HP, en sa qualité de leader des solutions technologiques destinées aux particuliers, aux entreprises et aux administrations, est fier du partenariat durable qui le lie avec Microsoft à travers le monde» et que «C’est ainsi que nous nous sommes alliés pour la mise en place et le déploiement de Windows Server 2008, solution d’entreprise qui va de pair avec notre nouvelle génération de serveurs Blade, optimisés pour tous les types d'environnements, les centres informatiques automatisés et virtualisés. Nous sommes convaincus du bienfondé de l’existence de ce partenariat et de ses lendemains fructueux et déterminant pour les entreprises algériennes», a-t-il ajouté.
A noter que l’événement a également donné un coup de projecteur sur l’importance du rôle joué par les « Héros » de l’ombre que sont souvent les responsables informatique au sein des entreprises et institutions.
Microsoft est le leader mondial développe et commercialise une large gamme de logiciels, accessoires et services à usage professionnel et domestique. La mission de Microsoft est de mettre son expertise, sa capacité d’innovation et la passion qui l’anime au service des projets, des ambitions et de la créativité de ses clients et partenaires, afin de faire de la technologie leur meilleure alliée dans l’expression de leur potentiel, rappelle-t-on.
Cette multinationale américaine, fondée par Bill Gates et Paul Allen en 1975, emploie environ 76 000 personnes dans 102 pays différents. La société est dirigée depuis le 14 janvier 2000 par Steve Ballmer.
En Europe et dans la zone Moyen Orient et Afrique, Microsoft est présent dans 61 pays et emploie plus de 13 000 personnes.
Parallèlement, Microsoft Algérie investit concrètement dans de nombreuses actions, tels que la formation de 132 ingénieurs en 2006 à travers sa Partner Academy (le même nombre est prévu pour 2007), une participation active au programme OusraTIC, une attention toute spéciale apportée aux étudiants à travers le concours Imagine Cup, un soutien au Gouvernement dans le cadre de la modernisation de ses structures IT, et une aide aux PME innovantes qui utilisent les TIC pour développer leurs affaires.


11-03-2008
Alger,(AAI)- Un séminaire national sur les nouvelles technologies du numérique portant sur le thème - par elabweb le 16/03/2008 01:34

Alger,(AAI)- Un séminaire national sur les nouvelles technologies du numérique portant sur le thème de « L’entreprise algérienne face au défi numérique : état et perspectives » se tiendra parallèlement au Salon international de la technologie du numérique d’Alger du 12 au 16 mars à Alger.
80 à 100 participants, essentiellement des personnels d’encadrement spécialisés d’entreprises, de banques, des cadres centraux, des informaticiens et des utilisateurs des technologies de l’information et de la communication, prennent part à ce rendez-vous, selon la presse.
D’autres thèmes portant sur « la numérisation des documents dans l’entreprise : éléments de définition d’un projet » et de la certification des documents numériques en tant que signature électronique, figurent au menu de cette manifestation.
La question pertinente d’archivage des documents fera également l’objet d’une communication. Il en est de même pour les aspects juridiques de la protection des systèmes d’information dans les sociétés.
Enfin, les thèmes relatifs notamment à « l’Univers Open Sources et l’Entreprise » et le GEIDE (gestion électronique de l’information et de la documentation de l’entreprise), seront également débattus.
- par elabweb le 15/03/2008 11:00


Internet en Algérie - par elabweb le 12/03/2008 11:47

Internet en Algérie : Révolution au pays du bidon d'huile à 1.000 dinars
Écrit par Ali Babès (Quotidien d'Oran) 11-03-2008

Le marché de l'Internet et celui des Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication (NTIC) est en plein essor en Algérie. Jamais auparavant «la toile» n'a suscité autant d'intérêt des pouvoirs publics, alors que le pays était leader dans les années 70-80 dans les nouvelles technologies. Comparativement au Maroc et à la Tunisie, les universités algériennes étaient déjà, dans les années 80, raccordées aux réseaux américains et européens. Le secteur connaîtra un brusque déclin à la fin des années 80 et jusque vers la fin des années 90. C'était la politique de l'époque.

L'Internet reprendra ses droits vers la fin du siècle dernier, mais avec un fossé énorme face à nos voisins, mais surtout aux Européens et Américains. A titre d'illustration, l'Internet Haut débit, ou l'ADSL n'a fait son entrée en Algérie qu'au cours de ces trois dernières années, alors qu'au Maroc, la TV par ADSL a été introduite en 2006 avec la coupe du Monde au profit des internautes marocains. En Algérie, le réseau «Anis» devrait être prolongé par la TV par ADSL mais, le retard dans ce projet ne peut être que constaté, une fois de plus.

L'introduction de l'ADSL en Algérie a, cependant, eu des effets positifs sur la demande et la configuration d'un nouveau marché des TIC. Le terme ADSL signifie Asymmetric Digital Subscriber Line, alors que dans les pays francophones ce terme est parfois remplacé par LNPA qui signifie Ligne Numérique à Paire Asymétrique. Ce système permet de faire coexister sur une même ligne un canal descendant (downstream) de haut débit, un canal montant (upstream) moyen débit ainsi qu'un canal de téléphonie (appelé POTS en télécommunication qui signifie : Plain Old Telephone Service).

La généralisation de l'ADSL2 en Algérie à partir de l'été 2007 - en fait le service «Anis» de Djaweb - va redonner plus de tonus à l'Internet qui va encore renforcer sa présence dans les foyers algériens. Bien sûr, l'ADSL va introduire de nouvelles fonctionnalités et surtout, de nouveaux produits qui vont changer la configuration des télécommunications domestiques. Outre l'aspect didactique, scientifique ou tout simplement culturel de l'Internet, il y a également, et cela a pesé sur le choix des ménages, la voix sur IP (VOIP), qui permet aux Algériens de se parler d'un bout à l'autre de leur ville ou de la planète, sans débourser un «rond», tout en ayant le confort de se regarder via une Webcam.

A n'en pas douter, les efforts techniques et les énormes investissements mis en oeuvre par Algérie Télécom ont indéniablement apporté un plus à la généralisation des TIC et plus particulièrement l'adoption de l'Internet par les ménages algériens. C'est, en soi, une petite révolution dans un pays où le bidon de 5 litres d'huile végétale coûte dorénavant le prix d'un abonnement à l'Internet avec un débit de 128 MégaBytes.

Selon M. Boudjemaa Haïchour, ministre de la Poste et des TIC, l'Algérie a consacré plus de 24 milliards de DA, dans le cadre du Plan de soutien à la relance économique, au développement du secteur des télécommunications. Plus de 16 milliards de DA ont été dégagés pour le développement des infrastructures et 50 milliards de DA pour couvrir l'ensemble des activités du secteur», a précisé dans une de ses sorties sur le terrain le ministre.

En Algérie, le nombre d'abonnés au réseau téléphonique mobile dépasse les 7 millions et celui des internautes est estimé à 1,5 million. Selon le Dr Haïchour, il y a 11.148 établissements scolaires connectés à Internet. En outre, près de 4.045 cybercafés, sur l'ensemble du territoire national, dont 1 700 sont connectés, selon M. Nouar Harzallah P-DG de l'Eepad, à l'Adsl ou l'Internet à haut débit. Selon l'Union internationale des Télécommunications (UIT), il y a près de 11,2 millions d'utilisateurs de l'Internet dans les pays arabes, soit un taux de pénétration de 3,7 %. Cette communauté d'internautes est desservie, selon les spécialistes de l'UIT, par plus de 36 opérateurs de réseaux de communication de données et près de 300 fournisseurs de services internet.

Comparativement aux pays européens, l'Internet dans les pays arabes en général, et en Algérie en particulier, reste encore «balbutiant» dans la mesure où il se limite actuellement à la consultation et, sporadiquement, à des téléconférences scientifiques. Les nouveaux produits de l'Internet, comme le commerce électronique, l'assistance et le téléenseignement, par exemple, restent encore inexplorés, alors que la TV par ADSL reste, comme c'est le cas en Algérie, encore inconnue. Un fait doit être reconnu : même si le Web a fait sa révolution en Algérie, il lui reste encore à remporter des batailles décisives, comme sa généralisation à travers des prix d'abonnement plus attractifs et à la portée de toutes les bourses, et non un produit plus ou moins élitiste comme c'est le cas actuellement. Car le Très haut débit, qui permet des téléchargements importants, particulièrement les ouvrages ou les gros fichiers, reste encore inaccessible pour les familles modestes qui ont fait le choix d'introduire la Toile dans leurs foyers.

Un sacrifice financier important par ces temps de hausses vertigineuses, car sur les 6 millions d'ordinateurs promis dans le cadre de l'opération Ousratic, seulement 200.000 ont été financés par les banques. L'opération marque le pas, au moment où les NTIC «cassent» pratiquement tous les tabous en Algérie. Le nouveau groupement de Providers (fournisseurs d'accès Internet, FAI) est-il en mesure de faire avancer encore plus la révolution du Worldwideweb ?

Source : Quotidien d'Oran.
Touiza Telecom - par elabweb le 12/03/2008 11:16

TOUIZA TELECOM, dont la naissance a été officiellement annoncée hier par un notaire, se propose de « mettre en commun son savoir-faire et ses moyens humains et matériels en vue de la création d’un pôle d’excellence technique et économique, en mesure d’entreprendre par ses membres des actions conséquentes dans le domaine du déploiement de l’Internet et de ses applications en Algérie ».

Composé pour l’heure de 11 ISP, le groupement TOUIZA a mis sur pied un plan d’action qui comporte plusieurs volets à savoir, notamment « la participation active à l’introduction massive de l’ADSL de la fibre optique et du haut débit en général », « la promotion de la création de contenu et d’application Internet », « la valorisation des métiers liés à l’informatique et à l’Internet », « le développement du commerce électronique sous ses diverses formes » ainsi que « la contribution à l’effort national de modernisation multisectoriel par l’utilisation des TIC ».

Le groupement, qui est appelé à s’élargir dans l’avenir, se dit disposé à joindre ses efforts à ceux des autorités, afin de reprendre sa place au secteur dans notre pays qui était leader dans le monde arabe dans les années 1970, et était même en concurrence avec les pays européens, notamment l’Espagne durant cette période.

quotidien d’oran
Apple lance l'iPhone à l'assaut de l'entreprise pour défier RIM - par elabweb le 07/03/2008 23:45

Par Scott Hillis Reuters - Vendredi 7 mars, 19h44

CUPERTINO, Californie (Reuters) - Apple va prochainement rendre son combiné multimédia iPhone compatible avec les messageries électroniques utilisées en entreprise, signant ainsi son entrée sur un marché largement dominé par le canadien Research In Motion, dont les terminaux Blackberry sont très prisés par les professionnels.

La firme à la pomme a également présenté cette semaine des outils de développement qui permettront aux éditeurs de créer des applications pour l'iPhone, ainsi que la mise en place par la société Kleiner Perkins Caufield Byers d'un fonds de 100 millions de dollars, nommé iFund, destiné à soutenir le développement logiciel sur son combiné.

"Ceci fait passer l'iPhone, qui n'était pas vraiment un produit pour l'entreprise, à un stade professionnel capable de concurrencer sérieusement RIM", a déclaré Van Baker, analyste pour le cabinet d'études Gartner.

Alors que certains analystes commençaient à douter de la capacité d'Apple d'atteindre son objectif de dix millions d'iPhone écoulés d'ici la fin de l'année, en raison du ralentissement économique aux Etats-Unis, ce changement stratégique devrait aider le fabricant de l'iPod à y parvenir plus facilement.

"Apple a apporté une réponse à la majorité des objections soulevées par la plupart des responsables informatiques sur l'utilisation de son combiné en entreprise", a estimé Baker.

Selon Apple, l'iPhone fonctionnera avec les serveurs utilisant le logiciel Exchange de Microsoft, qui gèrent notamment en entreprise la messagerie électronique, les contacts et les calendriers pour synchroniser les données avec les appareils portables.

AMPLIFIER L'INTERET

"Nous rendrons tout cela possible avec la prochaine mise à jour de l'iPhone", a déclaré Phil Schiller, vice-président du marketing mondial d'Apple, au cours d'une conférence au siège de la société. "Je pense que les utilisateurs professionnels vont adorer", a-t-il ajouté.

Le nouveau "kit" de développement logiciel, qui permettra d'exploiter à fond les fonctionnalités de l'iPhone comme l'écran tactile et les capteurs de mouvement, est également perçu comme un bon moyen d'amplifier l'intérêt suscité par l'appareil, qui ne pouvait jusqu'ici accueillir des programmes que par l'intermédiaire du navigateur web.

"A partir d'aujourd'hui, nous ouvrons aux développeurs les interfaces et les outils que nous utilisons pour créer des applications sur l'iPhone, a déclaré Scott Forstall, vice-président en charge du développement logiciel de l'iPhone.

Les applications pour l'iPhone seront uniquement accessibles via le combiné à partir d'un nouveau kiosque en ligne baptisé "Apps store" et sur ordinateur via le logiciel iTunes qui sert permet déjà de télécharger musique et films. Apple percevra 30% des revenus générés par les logiciels mis en ligne par les éditeurs.

Steve Jobs, le directeur général d'Apple, a rejeté les critiques sur le contrôle trop étroit du groupe dans la distribution des logiciels pour l'iPhone.

"En tant que développeur, votre rêve est de voir votre application en tête de chaque iPhone et espérer que l'utilisateur l'adore et l'achète. Cela n'est pas possible aujourd'hui. Même les gros développeurs auraient du mal à s'imposer", a déclaré Jobs.

"Allons-nous apporter des restrictions? Bien entendu. Il y a des applications que nous l'allons pas distribuer comme la pornographie et les programmes malveillants", a-t-il ajouté.

Version française Claude Chendjou
1er Salon du numérique du 11 au 15 mars à Alger : Un nouveau carrefour pour les innovations technolo - par elabweb le 06/03/2008 09:05

Le Palais des expositions des Pins Maritimes abritera au niveau du pavillon C le premier Salon de la technologie du numérique SIN@2008.
Carrefour par excellence des dernières innovations et solutions technologiques, cette manifestation de cinq jours se tiendra du 11 au 15 mars. Sur une superficie de 5.000 m2, une douzaine d'exposants, ayant déjà confirmé leur participation, viendront vulgariser leurs produits et services. Il s'agit notamment d'opérateurs de la téléphonie mobile, d'opérateurs de satellite, de chaînes de télévision et de radio, de la presse écrite, de fournisseurs de matériels et équipements numériques, de banques, d'assurances, de providers et de fournisseurs d'accès internet.
La partie exposition du Salon sera ainsi dédiée aux équipements des télécommunications, équipements audiovisuels, la téléphonie mobile et ses accessoires, les équipements informatiques et logiciels, l'équipement de protection et sécurité, de réception et de diffusion et de la télésurveillance, l'imagerie numérique, les nouvelles générations d'écran, la TV-hifi-vidéo, l'impression numérique et les supports de publicité, les caméscopes et appareils photos.
En marge de l'exposition, un séminaire, ayant pour thème principal «La révolution du numérique, nouvel enjeu économique international», traitera du développement des technologies de l'information et de la communication et leur utilisation par les PME/PMI, de la gestion numérique des centres de documentation, des bibliothèques et des centres d'archives et de l'alphabétisation numérique en Algérie.
A noter que l'accès à l'exposition est réservé de 11h à 14h aux professionnels et élargi au grand public de 14h à 18h.
Sony va proposer Skype sur la PSP au Japon - par elabweb le 05/03/2008 23:36

Sony va proposer le service de téléphonie par internet Skype, qui appartient à eBay, sur sa PlayStation Portable (PSP) dans le courant du mois de mars au Japon.

L'unité des jeux de la firme japonaise, qui souhaite rendre plus attractive sa console distancée par la DS de Nintendo, va proposer à partir du 19 mars à ses clients japonais un microphone, vendu 2.500 yen (15,93 euros), qui leur permettra de communiquer grâce au réseau Skype avec d'autres utilisateurs de PSP dotée de cette fonctionnalité ou avec des internautes équipés du logiciel.

Sony avait annoncé le lancement de ce service en janvier sur l'ensemble de ses marchés internationaux.

Reuters.
Facebook discuterait avec de grandes maisons de disques - par elabweb le 05/03/2008 23:35

Le site internet communautaire Facebook a approché plusieurs grandes maisons de disques pour un projet de service de musique en ligne, rapporte le Financial Times, citant des sources proches du dossier.

Ces discussions, qualifiées de "préliminaires", interviennent après que des sources proches du dossier ont déclaré à Reuters la semaine dernière que les grandes maisons de disques avaient eu des discussions semblables avec MySpace, le premier site communautaire mondial, détenu par le groupe de médias News Corp de Rupert Murdoch.

Facebook, qui n'est pas coté en Bourse, et les quatre "majors" du disque Universal Music Group, Sony BMG Music Entertainment, Warner Music Group et EMI n'étaient pas disponibles dans l'immédiat.

Reuters.
Yahoo rendra ses comptes utilisateurs compatibles OpenID - par elabweb le 05/03/2008 23:23

Yahoo a annoncé qu’un changement important allait avoir lieu prochainement dans son infrastructure. La firme a en effet décidé qu’elle allait adopter le système d’identification OpenID, dans sa version 2.0, et ce dès le 30 janvier

Il s’agit réellement d’un certain bond en avant pour l’identification des utilisateurs qui ont un compte Yahoo. Dans la pratique, tous ceux qui possèdent un tel compte pourront l’utiliser pour se connecter sur les sites prenant en charge cette infrastructure.

Prenons un exemple. Si PC INpact choisissait un système d’authentification OpenID, il suffirait que les utilisateurs de Yahoo s’identifient avec une adresse spécifique. Voici comment se déroulent les opérations :

- L’utilisateur crée un compte chez Yahoo

- Il lui sera communiqué une adresse qui aura probablement pour forme, par exemple, xxx.yahoo.com

- Il indique cette adresse sur les sites où il souhaite être connecté

- Le site ciblé interroge alors Yahoo de manière sécurisée

- Pour valider la demande, l’utilisateur est invité à entrer son mot de passe

- Le site accepte l’identification, l’utilisateur est connecté

Il ne s’agit pas d’un système du type « une identification, puis identification automatique » comme les comptes LiveID de Microsoft. La prise en charge de l’OpenID est surtout destinée à simplifier la vie des utilisateurs pour qu’ils n’aient pas à créer de multiples comptes et profils.

Dans le cas de Yahoo, la base de données des utilisateurs servira donc de dépositaire central des informations, qui seront alors exploitées par les sites compatibles. Dans une optique utilisateur, on évite ainsi notamment de fournir les mêmes renseignements à chaque fois, au risque parfois d’avoir des différences entre chaque site.

Peu de sites ont encore adopté ce système d’identification, mais plusieurs poids lourds fournissent déjà des comptes OpenID, comme VeriSign et Orange.
Plus d'internautes en Chine qu'aux États-Unis dès 2008 - par elabweb le 05/03/2008 23:22

La Chine compte désormais 210 millions d'internautes, selon le dernier recensement du China Internet Network Information Center (CNNIC). Un chiffre en hausse de 53 % par rapport aux 137 millions d'internautes chinois du début de l'année 2007.

« Actuellement, la population Internet chinoise est inférieure à celle des États-Unis d'environ 5 millions d'internautes, elle est la seconde plus grande de monde » explique le CNNIC. La dernière étude de l'agence annonce que les États-Unis passeront en seconde position dès cette année 2008, alors qu'elle prévoyait jusqu'ici cet événement pour 2009.

Selon les autorités américaines, les États-Unis possèdent 218 millions d'internautes (soit huit millions supplémentaires et non cinq), et garde encore pour un bon moment le taux de connectés sur leur territoire, avec une population totale de 310 millions de personnes.

Le CNNIC observe la plus grande croissance d'internaute chez les moins de 18 ans et les plus de 30 ans, et particulièrement dans les zones rurales qui se connectent de plus en plus. En ligne, les Chinois écoutent surtout de la musique (pour 86,6 % d'entre eux), discutent par messagerie instantanée (81 %), lisent les actualités (72,4 %), tandis que 56,5 % exploitent les emails.

Malgré ces très gros chiffres, la plupart des internautes chinois se connectent dans des cybercafés. Les connexions domestiques sont en pleine croissance, mais sont encore loin d'égaler celles des États-Unis. Le CNNIC précise aussi que les Chinois sont considérés comme internautes dès lors qu'ils se connectent une fois par mois au moins.
- par elabweb le 04/03/2008 12:49


31,5 millions d’internautes en France - par elabweb le 03/03/2008 18:39

Site Libération  par Sébastien Delahaye

En janvier, la France comptait 31,5 millions d’internautes, selon la dernière étude de l’institut Médiamétrie. L’enquête, réalisée sur un ensemble de 1000 Français âgés de 11 ans et plus, indique que ce joli chiffre correspond à 60% de la population française. 49,4% des foyers (soit 12,7 millions de foyers, selon une étude qui portait cette fois sur 6000 personnes) ont un accès à Internet à domicile. Un accès qui semble très majoritairement en haut débit (câble, ADSL, WiFi ou autre), puisque Médiamétrie a dénombré 24,4 millions d’internautes (soit 94,1% des internautes français connectés à domicile) connectés à grande vitesse.

Des chiffres que l’on pourra s’amuser à croiser avec ceux de l’ARCEP (l’Autorité de régulation des Communications électroniques et des Postes, ancienne ART), qui indiquait en fin de semaine dernière que la France comptait 15,55 millions de connexions au haut débit (dont 14,8 millions d’abonnements ADSL) au 31 décembre 2007. Près du tiers (un peu plus de 5 millions) de ces abonnements seraient en dégroupage (partiel ou total). Et environ 2,2 millions d’accès correspondent à des accès « bitstream », c’est-à-dire à des lignes louées en gros par France Télécom à d’autres fournisseurs d’accès à Internet. L’ARCEP, qui précise que ses chiffres sont encore provisoires, indique également une hausse de 22% des abonnements par rapport à la toute fin 2006. De même, Médiamétrie indique une hausse de 25% des internautes connectés en haut débit. Conséquence : l’accès classique bas débit par ligne téléphonique, le RTC, ne représente plus qu’environ 1,5 million d’internautes.

Malgré cette progression écrasante du haut débit, les sites les plus consommateurs de bande-passante, comme les sites de partage de vidéos Youtube et Dailymotion, restent aux portes du top 10 des sites les plus visités par les internautes français en janvier dernier. Youtube est onzième, Dailymotion quatorzième. Le top 10, lui ne se renouvelle guère : on y trouve sans surprise Google, MSN, Orange, Yahoo, Free.fr, Pages Jaunes, le webzine L’Internaute, Ebay, Wikipédia et enfin le site de Microsoft.


une clé USB pour retrouver les SMS effacés sur sa carte SIM - par elabweb le 03/03/2008 10:03

Le "Cell Phone Sim Card Spy" ou espion de carte SIM permet de retrouver les messages sauvegardés puis effacés sur SIM.
Via un adaptateur USB qu’il suffit de le glisser dans son ordinateur, on lance les logiciels de récupération Recovery PRO software et SIM Recovery Pro Reader pour retrouver la prose éradiquée.
Evidemment, le fabricant, brickhousesecurity, ne rougit pas et met uniquement l’accent sur les facultés indiscrètes de son produit. Espionnage de l’épouse, du mari, des enfants, ou de l’employé, sont certains des scénarios mis en avant pour vendre le pack. Cette petite clef peut également servir à transférer des données d’une carte SIM à une autre, ou de sauvegarder ses numéros et SMS sur son PC.
Microsoft: l'UE impose une nouvelle amende record de 899 millions d'euros - par elabweb le 27/02/2008 14:03

BRUXELLES (AFP) - La Commission européenne a imposé mercredi au géant américain des logiciels Microsoft une nouvelle amende record de 899 millions d'euros, pour ne pas avoir rendu assez vite ses logiciels plus ouverts.

Ce montant, qui correspond à des astreintes journalières pour la période du 21 juin 2006 au 21 octobre 2007, est le plus élevé jamais réclamé à une seule entreprise par les services européens de la concurrence, toutes infractions confondues (abus de position dominante, participation à un cartel, etc...).

Il s'ajoute à une amende initiale de 497 millions d'euros infligée en mars 2004 lorsque la Commission avait condamné une première fois Microsoft pour abus de position dominante. Ce qui porte le montant total de la facture à quelque 1,4 milliard d'euros pour le groupe américain.

Bruxelles avait exigé entre autres à l'époque que le groupe rende ses logiciels plus ouverts en communiquant à ses concurrents les informations techniques nécessaires pour permettre à leurs produits d'interagir avec les siens.

Devant le manque de coopération de Microsoft, Bruxelles avait par la suite ajouté des astreintes journalières.

Après plus de trois ans de bras de fer, la justice européenne a donné raison à la Commission le 17 septembre et Microsoft a fini par plier en annonçant le 22 octobre qu'il acceptait les exigences de Bruxelles.

La Commission avait indiqué à l'époque n'avoir plus de raison d'appliquer des astreintes journalières à partir de cette date, mais toujours pas chiffré jusqu'ici le montant définitif dû par Microsoft.

Dans un document communiqué fin janvier au régulateur boursier américain, la SEC, Microsoft indiquait s'attendre à payer jusqu'à 1,5 milliard d'euros dans le cadre de ce dossier.

"C'est la première fois en 50 ans de politique de concurrence dans l'UE que la Commission a dû infliger une amende pour non-respect d'une décision antitrust", a commenté la commissaire à la Concurrence, Neelie Kroes, dans un communiqué.

"J'espère que la décision d'aujourd'hui clôt un chapitre sombre du dossier de Microsoft relatif au non-respect de la décision de la Commission de mars 2004 et que les principes confirmés par l'arrêt du tribunal de première instance de septembre 2007 dicteront la conduite future de Microsoft", a-t-elle ajouté.

Pour sa part, Microsoft a préféré se tourner vers l'avenir. "Nous examinons la décision de la Commission", a dit le groupe dans un communiqué. "Ces amendes portent sur des problèmes du passé qui ont été résolus" entre-temps, a-t-il ajouté, en soulignant qu'il venait d'annoncer une initiative "pour améliorer" l'interopérabilité de ses produits.

La semaine dernière, le groupe a annoncé une série de mesures destinées à rendre ses logiciels plus ouverts, renonçant au secret entourant depuis toujours ses produits vedettes.

La Commission européenne s'est toutefois montrée sceptique, jugeant que l'annonce ne répondait pas aux accusations sur des incorporations automatiques de logiciels dans son système d'exploitation Windows, qui équipe 90% des PC dans le monde.

Microsoft n'est pas au bout de ses démêlés avec la Commission européenne. Bruxelles a en effet ouvert en janvier deux nouvelles enquêtes sur le groupe, concernant notamment la suite Office (qui contient les logiciels Word, Powerpoint ou Excel) et le navigateur Internet Explorer.


Le e-ticket connaît un essor important chez Air Algérie - par elabweb le 27/02/2008 11:18

ALGER- Plus de 5.500 billets électroniques (e-tickets) ont été vendus par Air Algérie durant les trois premières semaines de février 2008 contre 1.500 billets en janvier dernier, a fait savoir, dimanche, le directeur général par intérim de la compagnie aérienne nationale, Abdenaceur Hadj Rabie. Le billet électronique a été introduit pour la première fois par la compagnie Air Algérie au mois de décembre 2007 durant lequel 750 e-tickets avaient été commercialisés, a indiqué le même responsable au cours d'une visite guidée organisée par l'entreprise à l'intention de la presse nationale.
Source APS
MED IT 2008 ET INTERNET EN ALGÉRIE - par elabweb le 27/02/2008 11:09

Les meilleurs sites Web seront récompensés
L'Expression :11 Février 2008 - Page : 24

Une cyberkheima sera installée au coeur du patio du Palais de la culture et animée par la société Orascom Telecom Algérie (Djezzy).

Le Med-It, ou Salon international d’affaires sur les technologies de l’information, en est déjà à la cinquième édition; il aura lieu, à Alger, les 22 et 23 avril prochain au Palais de la culture Moufdi-Zakaria.
L’événement a, en effet, été annoncé, hier, à la faveur d’une conférence de presse animée par les organisateurs, notamment Sylvie Riforzo et Christophe Stievenard, pour la partie française, et Yasmine Meknache, pour la partie algérienne. Ces derniers ont, à l’occasion, convié à cette rencontre-presse M.Saâd Laïb Mohamed, directeur général, un expert en informatique représentant Didactica de l’Ecole supérieure de management et des technologies de l’information.
Le thème retenu pour cette manifestation est désormais le mobile, le m.payement, la 3G et la convergence.
Et les trois opérateurs de téléphonie mobile sont déjà invités à étaler leurs produits propres en la matière. Mais la principale nouveauté charriée par le présent Med-It est, sans nul doute, le concours des meilleurs sites Internet culturels algériens.
Sous l’intitulé «Trophée Med-It 2008», le concours a pour objet de récompenser les créateurs des meilleurs sites Internet mettant en valeur le patrimoine culturel algérien.
Le but de ce concours est donc de valoriser et de promouvoir l’image de l’Algérie à l’étranger, grâce à la diffusion des contenus sur Internet et d’encourager la créativité technologique dans notre pays. Sylvie Riforzo a rappelé que l’opération est non lucrative et, de ce fait, la participation au concours est gratuite.
«Le concours est réservé aux créateurs de sites Internet culturels algériens et s’adresse à toutes les personnes physiques ou morales pouvant justifier de leur réalisation en la rendant directement accessible au jury par la communication d’une adresse URL. Seules les personnes morales ou les personnes physiques majeures (19 ans) peuvent y participer. Les réalisations proposées devant être exploitées et diffusées sur Internet, peu importe le lieu de création et d’hébergement des sites», est-il rappelé.
Pour participer au concours, il suffit de compléter le formulaire d’inscription en ligne, avant le 31 mars 2008. Le règlement et le formulaire d’inscription sont disponibles sur le site de l’organisateur: www.medit.eu.org/2008/algerie/ concours.htm. A ce titre, l’on prévoit les 1er, 2e et 3e prix pour les meilleurs sites Internet ainsi qu’un prix spécial jury.
Les lauréats bénéficieront d’un mix-prix culturel et technologique. Et le lauréat du 1er prix sera retenu dans la catégorie e-culture du grand concours mondial des World Award Summit dont la prochaine édition aura lieu au Mexique, en mai 2009.
Davantage d’informations sont disponibles sur le site www.wsis-award.org. La remise des prix aura lieu au cours d’une cérémonie officielle au Palais de la culture, le 23 avril à 17 h, en présence de la ministre de la Culture, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, les sponsors, membres du jury et la presse.
Notons qu’outre Mohamed Saâd Laïb, le jury sera présidé par Christine Maxwell, de la Silicon Valley, qui bénéficie d’une expérience de vingt ans dans le domaine du Net. Cette dernière a créé l’un des premiers moteurs de recherche, Magellan, qui référençait et classait les sites Internet en fonction de l’intérêt de leur contenu.
Elle est, aujourd’hui, à la tête d’une Start-Up dans le domaine du mobile. Signalons qu’une cyberkheïma sera installée au coeur du patio du Palais de la culture et animée par la société Orascom Telecom Algérie (Djezzy), qui mettra à la disposition des visiteurs un espace cybercafé avec plusieurs postes informatiques pour se connecter au Web et un espace privilégié de rencontres et de détente avec service de thé traditionnel.

Salim BENALIA
L’ARPT HOMOLOGUE UN NOUVEAU SERVICE - par elabweb le 27/02/2008 11:06

Quand l’inspecteur Tahar inspire les télécommunications
L'Expression :27 Janvier 2008 - Page : 15


Le nouveau service baptisé StakSpak est directement inspiré de la fameuse communication entre l’inspecteur Tahar et son «apprenti».

L’autorité de régulation des postes et télécommunications (Arpt) vient d’accorder à la société Bivision, une homologation lui permettant de proposer son tout nouveau service baptisé StakSpak. Il s’agit d’un service de téléphonie mobile destiné essentiellement aux PME et qui donne la possibilité d’établir des communications à la fois à travers le réseau GSM et en mode walkie-talkie.
Le StakSpak qui exploite l’ensemble des réseaux radio GSM/ Gprs, à l’échelle nationale et internationale, utilise également le réseau IP data sans fil comme support aux communications en mode walkie-talkie. Ce nouveau service offre l’avantage d’être peu coûteux et représente la solution idéale pour les PME.
Bivision est une société spécialisée dans le domaine des systèmes d’information et les nouvelles technologies, de manière générale. Elle est basée aux Etats-Unis et dispose d’une filiale en Algérie. En homologuant le service StakSpak, l’Arpt établi les bases d’une nouvelle ère technologique en Algérie. Désormais, les PME n’auront plus à effectuer des démarches difficiles et fastidieuses pour obtenir des fréquences radio pour leurs communications (agences de taxis, entreprises de transport, etc). Avec la technologie StakSpak, les PME ont la possibilité de disposer des mêmes moyens utilisés par les grandes entreprises à des coûts très réduits.
Grâce à l’homologation dont elle vient de bénéficier, la société Bivision se positionne sur le marché algérien comme le premier opérateur virtuel de téléphonie mobile. La société utilise le réseau Gprs, longtemps non exploité en Algérie, et le réseau Internet, ce qui permet aux utilisateurs d’effectuer des communications téléphoniques à des tarifs invariables quelle que soit la durée des appels ou les distances séparant les correspondants. Bivision qui propose le service StakSpak, en valeur ajoutée, assure la gestion des communications walkie-talkie de groupes privés à travers son réseau global Push-To-talk (gestion des groupes, carnet d’adresse, communication et présence). L’accès des abonnés au système est rendu possible grâce aux cartes SIM existant sur le marché algérien (Mobilis, Djezzy, Nedjma).
Le service Push-To-Talk de Bivision est l’unique service en Algérie permettant d’effectuer des communications entre membres d’un groupe privé, quel que soit l’opérateur téléphonique auquel sont abonnés les membres de ce même groupe. Les personnes formant les groupes privés peuvent choisir l’opérateur téléphonique qui leur convient le mieux, sans avoir à changer de cartes SIM pour les besoins des communications internes. L’identité de l’utilisateur est désormais dans le mobile lui-même, ce qui fait que ce sont les cartes SIM qui deviennent interchangeables. Par ailleurs, les groupes privés peuvent être connectés à un poste de commande centrale grâce à un logiciel dit PC dispach donnant la possibilité d’établir des communications type skype entre des employés activant sur le terrain.
D’autre part, la société Bivision entend s’inscrire dans la durée, sur le marché algérien, en matière d’exploitation des réseaux data, en introduisant d’autres catégories de mobiles spécialisés tels que les mobiles caisse pour les points de vente, les mobiles livres, etc. Il s’agit, globalement, de mobiles liés à un système d’information exploitant le réseau data sans fil disponible tels que le Gprs, 1 Evdo, Wifi, Wimax ou Umts.

Salim BENALIA
Microsoft : Lancement de Windows Server 2008 en Algérie début mars - par elabweb le 27/02/2008 10:58

El MOUDJAHID

L'arrivée en Suisse du gardien de but égyptien Essam El-Hadary pour un transfert au FC Sion (1re div), s'est accompagné d'un flot de messages d'insultes sur le site du club ce qui a mis en panne son serveur, a annoncé lundi dernier le club suisse.
"Suite à l'arrivée d'Essam El-Hadary et à l'immense tapage médiatique que celui-ci a provoqué en Egypte, le site officiel du FC Sion a fait tomber à plusieurs reprises (en panne) le serveur sur lequel il était hébergé" a précisé la même source.
Le club cairote d'Al-Ahly a dénoncé samedi passé la "fuite" de son gardien, considéré comme le meilleur du continent africain. La presse égyptienne a réagi avec virulence au départ du portier de 35 ans, récent vainqueur de la CAN-2008 avec l'Egypte.
Le gardien des Pharaons, qui s'est à nouveau entraîné lundi après-midi au FC Sion (8e du championnat suisse sur 10 équipes après 22 journée), doit être engagé mais il reste à trouver un terrain d'entente financier pour la résiliation de son contrat.
Le taux de pénétration des TIC dans les PME est plus de 44 % - par elabweb le 23/02/2008 17:00

ALGER-

Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Boudjemâa Haichour, a affirmé que le taux de pénétration pondéré des TIC au sein des Petites et moyennes entreprises (PME) algériennes est de 44,66 %. Dans une intervention au Club excellence management, le ministre a indiqué que ce chiffre est le résultat d'une étude non encore achevée par le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD). M. Haïchour a souligné que l'étude a englobé l'utilisation du téléphone fixe et portable, du micro-ordinateur, de l'Internet, de l'accès ADSL, des réseaux intranet et extranet, des sites web et des portails.

Source: aps.dz
Mobilis, passage à la numérotation à 10 chiffres - par elabweb le 23/02/2008 16:59

Mobilis, premier opérateur de téléphonie mobile en Algérie, annonce que la procédure de changement de numérotation s'est déroulée avec succès durant la nuit du 21 au 22 Février 2008.

Conformément au planning des travaux, Mobilis a ainsi procédé aux opérations de basculement des commutateurs et des différentes plate-formes de services.

Les équipes techniques ont travaillé sans relâche depuis une semaine pour préparer et procéder au basculement.

Mobilis précise que les plate-formes et tous les services (Voix SMS, GPRS, USSD,…) ont été testés avec succès.

Pour rappel, les abonnés Mobilis devront ajouter à leurs numéros un 6 après le 0 et cela comme indiqué sur le tableau suivant :


Offres Postpayée :

• Ancienne numérotation : 061 XX XX XX
• Nouvelle numérotation : 0661 XX XX XX

Offres Mixtes :

• Ancienne numérotation : 060 XX XX XX
• Nouvelle numérotation : 0660 XX XX XX

Offres Prépayée :

•Ancienne numérotation : 062 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0662 XX XX XX
•Ancienne numérotation : 097 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0697 XX XX XX
•Ancienne numérotation : 098 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0698 XX XX XX
•Ancienne numérotation : 099 XX XX XX -Nouvelle numérotation : 0699 XX XX XX

Mobilis informe que durant les 15 prochains jours, les deux numérotations sont acceptées par le réseau.

Mobilis invite tout de même ses clients à utiliser la nouvelle numérotation.

Source: Communiqué de presse d'ATM Mobilis

Internet dans les pays arabes - par elabweb le 23/02/2008 16:52

Internet dans les pays arabes : Le taux d'utilisateurs est inférieur à 1,8%

La production Internet on line et le contenu Internet algérien sont de plus en plus encouragés. Aussi, la rencontre de lundi, à Alger, entre spécialistes du monde arabe dans le domaine vient-elle confirmer cette option. Les différents conférenciers s'accordent à dire que l'édition électronique en tant que partie de la révolution des télécommunications modernes, sera de plus en plus consacrée à l'avenir.

Elle le sera, d'autant plus que les sociétés modernes se dirigent résolument vers ce qui est communément appelé «sociétés électroniques», ont souligné les spécialistes en information et communication.

Ainsi, le professeur Rabah Bellatrach, expert en informatique et consultant auprès de la société El-Rachidia, spécialisée dans la conception de sites Internet, a souligné, lors de son intervention sur «l'édition électronique et l'état des lieux dans la région arabe», que la révolution des télécoms a créé des opportunités nouvelles pour les écrivains, journalistes et spécialistes. Il a rappelé le lancement, en 1997, de l'université électronique arabe, la première du genre, destinée aux arabophones via Internet. Celle-ci est venue compléter la bibliothèque électronique arabe qui a édité des livres on line pour les mettre gracieusement à la disposition des internautes et contribuer à la diffusion des sciences. Dans son approche, ce spécialiste a estimé que l'édition électronique a créé une marge de liberté appréciable et a grandement contribué à la levée des contraintes et des facteurs de pression, notamment sur les journalistes et les intellectuels arabes. Abordant la situation socioéconomique dans cette région, il a précisé que la révolution informatique a permis une interconnectivité brillante des services des entreprises et collectivités, donnant naissance au système de commercialisation via Internet.

Le monde arabe n'a pas été en reste des progrès internationaux, ce qui a favorisé l'émergence de nouvelles attitudes sociales, voire une nouvelle «génération Internet». Un autre conférencier, le professeur Hassan Khelifa, web-designer de son état, a indiqué que l'édition électronique offre des avantages en termes de coût, de rapidité, de flexibilité et de facilitation de la recherche. Il a relevé l'existence d'un grand fossé numérique, intellectuel et scientifique entre le monde arabe et l'Occident, un fossé qui ne peut être éliminé que par la généralisation de l'Internet dans nos sociétés. Il a regretté que le nombre d'utilisateurs d'Internet dans le monde arabe ne dépasse pas 1,8%, déplorant l'absence d'une véritable politique de sensibilisation et d'incitation au recours à cette technologie.

Pour rappel, et pour souligner la volonté politique de l'Algérie d'accéder à ces technologies d'avenir, un grand concours sur les meilleurs sites Internet culturels algériens est organisé en 2008. Sous l'intitulé «Trophée Med-It 2008», il récompensera les créateurs des meilleurs sites Internet mettant en valeur le patrimoine culturel algérien.

Par: Abdelkrim AMARNI - L'Expression
L’EEPAD lance la TV sur IP - par elabweb le 19/02/2008 15:40

En marge du séminaire sur la cybercriminalité organisé hier à l’hôtel El-Aurassi, M. Nouar Harzallah a annoncé que l’EEPAD lance la télévision sur IP à partir du mois de mai prochain. Dans un premier temps, le contenu sera alimenté par les trois chaînes locales.
Les experts en cybercriminalité dressent le constat - par elabweb le 19/02/2008 15:20

Le séminaire sur la cybercriminalité, organisé hier à l’hôtel El-Aurassi par le fournisseur de services à Internet Eepad, a ouvert un débat quelque peu prématuré dans notre pays, en ce sens que les Algériens sont davantage consommateurs du réseau qu’opérateurs. Selon des statistiques fournies par l’Eepad, 2,5 millions de concitoyens se connectent régulièrement ou occasionnellement à Internet soit de chez eux, soit dans l’un des 5 900 cybercafés ouverts à travers le territoire national.

Il n’en demeure pas moins que le pays ne connaît pas jusqu’alors d’attaques spectaculaires des systèmes informatiques, de l’aveu du ministre de la Poste, et des Technologies de l’information et de la Communication, Boudjemâa Haïchour. 3 000 incidents ont été recensés, en Algérie, par l’Eepad. Le directeur général de cet organisme a expliqué que ce sont des attaques commises par des amateurs. “80% des pannes techniques que nous avons enregistrées sont dues à de la négligence”, a-t-il précisé. Il est d’autant plus difficile de parler de grande menace sur la sécurité informatique puisque l’Algérie n’est pas encore outillée pour l’utilisation, à grande échelle, des cartes d’accès aux comptes bancaires, la cible privilégiée des hackers. Jusqu’à présent, les délits spécifiques, inhérents à la transmission frauduleuse des données, accès indu à un système de traitement d’informations ou suppression de données, n’ont pas réellement le vent en poupe chez nous. Le danger provient plutôt des délits “dits traditionnels”, qui consistent en la propagation des idées extrémistes, qu’elles soient de nature xénophobe, terroriste ou portent atteinte aux bonnes mœurs.

La nuisance de la nébuleuse Al-Qaïda est accrue par sa capacité à faire l’apologie de son idéologie et de ses attentats et aussi à enrôler de nouvelles recrues via le Net. Les autorités algériennes sont, aujourd’hui, dans l’incapacité de contrer cette menace. M. Henni, directeur de la modernisation de la justice au ministère de tutelle, a affirmé, en marge de la conférence, qu’il est très difficile de bloquer ou simplement de contrôler l’accès aux sites web subversifs à cause de la multiplication des providers. Quelque 71 fournisseurs de services Internet sont agréés en Algérie, même si, dans le fait, uniquement quatre sont actifs. Chacun opère en cavalier seul. “Si les providers se mettent d’accord pour bloquer ces sites, ça sera fait”, a-t-il ajouté. Il a précisé, néanmoins, que la majorité des sites web de groupes terroristes sont hébergés à l’étranger. Notre interlocuteur a souligné que les groupes terroristes créent des sites juste pour quelques heures, le temps de mener à bien leur propagande, puis ils les annulent. Il devient donc ardu de les identifier ou de les localiser. Le cas échéant, l’Algérie a la possibilité d’introduire une requête auprès des autorités du pays qui héberge ledit site, en vue de le bloquer. Le principal responsable de l’Eepad a recommandé la sensibilisation des internautes sur les risques de la cybercriminalité, en attendant une législation coercitive contre ces crimes d’un genre nouveau.

Le ministre de la Poste, et des Technologies de l’information et de la Communication a soutenu que l’objectif assigné à son secteur est d’instaurer “un dispositif juridique visant à renforcer, sur la base d’une synergie intersectorielle, le cadre légal de lutte contre les crimes et délits liés aux systèmes informatiques et aux TIC”. Il a rappelé que l’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications a engagé, de concert avec les trois opérateurs de la téléphonie mobile, “une opération d’assainissement quant au respect des procédures d’identification des acquéreurs de puces, condition exigée par les dispositions des cahiers des charges”. Dans la réalité, aucun contrôle n’est procédé systématiquement, puisque des puces se vendent librement, sans aucune contrainte pour l’acheteur, au niveau des marchés informels ou dans les taxiphones. Il en est de même pour l’utilisation de l’Internet, qui n’est point protégée par des garde-fous. Les responsables du secteur des télécommunications souhaitent, à tout prix, réussir le challenge de mettre l’Algérie au diapason des pays investis pleinement dans les nouvelles technologies de l’information et de la communication, pour un meilleur essor de l’économie. Pour cette raison, l’on est, à chaque fois, prompt à livrer des chiffres prouvant le bon fonctionnement du projet Ousratic, c’est-à-dire un PC pour chacune des 6 millions de familles.

L’objectif est loin d’être atteint eu égard aux 3 millions d’ordinateurs fonctionnels en 2006, en y incluant les postes utilisés sur les lieux de travail. 700 000 accès à l’ADSL sont enregistrés en juillet de la même année. Le ministre a pourtant affirmé, hier, que 1 351 communes, sur les 1 541, sont connectées au haut débit.

Souhila H.
La mort annoncée du HD-DVD - par elabweb le 19/02/2008 00:45

La fin du HD-DVD, le format de disque haute définition qui devait remplacer le DVD, semble inéluctable, tant les ennuis semblent s’accumuler. Début janvier, le format créé par Toshiba perdait le soutien de la plupart des majors du cinéma hollywoodien, qui se sont tournées en masse vers le Blu-Ray, format concurrent soutenu par Sony. Et les ennuis se sont accumulés : suite à cette défection, Toshiba a bien tenté de baisser le prix de ses platines HD-DVD, mais sans succès : sa part de marché a fondu face au Blu-Ray, qui domine désormais largement le marché des disques HD... tout en restant bien loin derrière le vieillissant DVD.

Mais c’est la semaine dernière que le sort du HD-DVD semble avoir été définitivement réglé : coup sur coup, le loueur de vidéo Netflix et les chaînes de grande distribution BestBuy et surtout Wal-Mart ont annoncé l’abandon de la distribution de HD-DVD au profit du Blu-Ray. Ce qui, dans les faits, rend pratiquement indisponibles les films au format HD-DVD. Et même Toshiba semble désormais s’interroger sur la pérennité de son format. « Nous avons commencé à préparer notre sortie du marché de la nouvelle génération de DVD », déclarait samedi à Reuters une source interne à Toshiba, ajoutant que la décision officielle arriverait sous peu. Officiellement, toutefois, l’entreprise précise qu’« aucune décision n’a été prise pour le moment, même si Toshiba passe actuellement en revue les stratégies possibles. ». Un conseil d’administration prévu demain chez Toshiba pourrait être l’occasion d’enterrer le HD-DVD.

Un retrait du HD-DVD permettrait à Sony d’officialiser sa victoire, déjà réelle, avec le Blu-Ray. Mais la base de platines Blu-Ray installées et le nombre de films vendus restent encore très faibles par rapport au DVD, qui pourrait continuer à dominer le marché vidéo jusqu’en 2012 au moins, selon une étude de décembre dernier. Sans oublier le téléchargement de films en haute définition (avec des offres de vidéo à la demande qui se multiplient depuis quelques mois sur PC et même sur consoles), qui pourrait également se poser en rival surprise sur la route du Blu-Ray.
Bientôt un portail Internet sur le tourisme - par elabweb le 16/02/2008 10:38

Un portail Internet englobant une multitude d’informations sur la destination Algérie sera lancé prochainement à Alger par le Touring voyages Algérie (TVA), a-t-on appris hier auprès de TVA.
Ce site Internet comporte des informations, notamment sur les infrastructures d’accueil à travers le pays, à l’instar de ce qui se fait dans ce domaine de par le monde, a-t-on indiqué auprès du TVA, filiale du Touring club Algérie (TCA). Ce portail devra renseigner également sur les différents sites touristiques, culturels historiques et archéologiques pour faire connaître la destination Algérie. Il proposera de plus, des activités liées au tourisme de santé et de plein air, ainsi que différents sites de camping et randonnées pédestres, a-t-on précisé, soulignant que ce portail informera, en outre, sur les différentes formules proposées pour la Omra et le Hadj. Des liens vers les différents partenaires de TVA sont affichés sur le site tels que ceux des compagnies aériennes, ferroviaires et maritimes ainsi que les tour-opérateurs et les agences de voyages. L’achat de la billetterie ou la réservation des chambres d’hôtels devra se faire à travers ce site, qui sera opérationnel le 22 mars prochain, a-t-on ajouté.
Yahoo! rejette l'offre de Microsoft, le dénouement reste ouvert - par elabweb le 12/02/2008 10:44

e groupe internet Yahoo! a rejeté lundi l'offre de rachat lancée par le leader mondial des logiciels Microsoft, jugeant celle-ci, avec un prix proposé de 44,6 milliards de dollars, "nettement sous-évaluée" par rapport à la valeur que s'attribue ce pionnier du web. Yahoo! a confirmé une position éventée par voie de presse pendant le week-end: "après une évaluation minutieuse, le conseil d'administration a jugé que l'offre de Microsoft sous-évalue nettement Yahoo!, qu'il s'agisse de notre marque, de notre audience mondiale, de nos investissement massifs récemment faits dans des plates-formes publicitaires et dans la croissance future".

La direction de Yahoo! "a conclu de manière unanime que cette proposition n'est pas dans le meilleur intérêt du groupe ni de celui de nos actionnaires", a affirmé le groupe dans un communiqué. L'offre de Microsoft serait la plus grosse opération de fusion-acquisition jamais réalisée dans le secteur. Et avec un prix de 31 dollars par action, le leader mondial du logiciel offre une prime de 62% par rapport au cours de Bourse de Yahoo! la veille de l'annonce de Microsoft, le 1er février. Le projet aurait marqué l'union historique entre l'icône mondiale de l'informatique et un pilier du web, né en 1994 et resté longtemps le site internet plus populaire du monde, avant d'être dépassé par Google.

A New York, l'action Yahoo! prenait 0,89% à 29,45 dollars et celle de Microsoft perdait 1,93% à 28,00 dollars à 15H35 GMT, tandis que les analystes étudiaient les suites possibles: une offre réévaluée côté Microsoft ou une alliance défensive nouée in extremis entre Yahoo! avec un tiers. Elément penchant en faveur de rebondissements sur ce dossier: le côté évasif de la déclaration de Yahoo!. Le groupe a indiqué "examiner continuellement toutes les options stratégiques dans un contexte de changement rapide de l'environnement de notre industrie".

"Si Yahoo! devait accepter une offre de rachat de la part de Microsoft, cela semble assez improbable que le groupe accepte une offre initiale", relève Jordan Rohan, de RBC Capital, qui parie sur la volonté de Yahoo! de faire monter les prix. Yahoo! refuserait de considérer toute offre inférieure à 40 dollars par action, d'après la presse. Concernant une éventuelle offre améliorée chez Microsoft, rien n'était clair lundi quant à la position de ce dernier. Jusqu'ici, la direction de Microsoft s'est bornée à déclarer que son offre est "généreuse", et a exprimé sa volonté de boucler rapidement un accord avec Yahoo! pour former une entité qui rivaliserait avec le leader mondial de l'internet, Google.

Pour Patrick O'Hare, analyste de Briefing.com, "personne n'imagine que Microsoft tourne les talons à ce stade", et "l'attente d'une offre améliorée est la raison pour laquelle l'action Yahoo! grimpe aujourd'hui". Quant au scénario d'un "chevalier blanc" venant bâtir une alliance défensive avec Yahoo!, le suspens reste entier. Selon le quotidien britannique Times, Yahoo! chercherait à reprendre les discussions avec le portail internet AOL (groupe Time Warner) en vue d'une possible fusion. Les deux groupes avaient dans le passé envisagé un rapprochement, mais les discussions, qui s'étaient tenues dans un tout autre contexte, avaient capoté. Le nom d'AOL vient s'ajouter à d'autres candidats potentiels, après celui du groupe de médias Disney et surtout celui de Google, pour un partenariat. Google s'est déjà insurgé contre l'offre de Microsoft, accusant ce dernier de vouloir étendre sa domination de l'informatique à internet.
Google se lance dans la sécurisation du courrier électronique des entreprises - par elabweb le 07/02/2008 00:56

Le moteur de recherche intègre les solutions de sécurisation de Postini (racheté en 2007), à sa plate-forme de service en ligne Google Apps. Des solutions pour filtrer les spams et logiciels malveillants et sécuriser les messageries en entreprises.

Google propose à ses utilisateurs professionnels de souscrire à des services de sécurisation des messageries électroniques. Le moteur de recherche s'appuie sur la technologie développée par Postini, une société qu'il a rachetée en juin 2007 pour 625 millions de dollars.

Ces nouveaux services sont intégrés à la plate-forme payante Google Apps, qui comprend entre autres une messagerie mail (Gmail), une messagerie instantanée (Google Talk), une application tableur et traitement de textes, et une page personnalisée. Ce package vise en priorité les entreprises et les organisations.

Mais Google souligne que les solutions technologiques de Postini peuvent être déployées, même si l'entreprise n'utilise pas Gmail comme client de messagerie.

Le moteur de recherche propose ainsi un service de filtrage de spams et de logiciels malveillants pour 3 dollars par an et par utilisateur ; une solution de filtrage de messages, avec une détection de virus améliorée, un système de gestion des contenus et du support pour empêcher les fuites par e-mail pour 12 dollars par an et par utilisateur.

Contrer les agissements illégaux de certains employés

Enfin, une dernière solution reprend toutes ces fonctionnalités, avec en plus un an d'archivage des données pour permettre aux sociétés de se mettre en conformité avec les législations sur la rétention des données. Une solution facturée 25 dollars par an et par utilisateur.

Cette dernière offre vise en particulier les directeurs informatiques qui s'inquiètent des activités illégales de leurs employés, comme le téléchargement de contenus sous copyright ou la fuite d'informations confidentielles via les e-mails, explique à CNET News.com Sundar Raghavan, directeur produit chez Google.

Selon lui, ces services permettent de retrouver des informations qui sont cachées dans les bases de données des sociétés et dans leurs systèmes d'e-mails, d'agir sur ces informations, et surtout d'en garantir la sécurité.

Contacté par ZDNet.fr, Google France n'a pas été en mesure de nous dire quand et à quel prix ces solutions seront disponibles en Europe.

Source: zdnet.fr
TIC: la fracture numérique reste 'importante', selon la CNUCED - par elabweb le 07/02/2008 00:55

PARIS (France)- Le représentant de la CNUCED, Angel Gonzalez-Sanz, a souligné, mardi à Paris, que la fracture numérique "reste importante, voire grave", en dépit du développement "notable" enregistré de la part des pays en développement. Présentant le rapport 2007-2008 de la CNUCED sur l'économie de l'information intitulé "Science et technologie pour le développement: le nouveau paradigme des TIC", M. Gonzalez-Sanz, chargé du développement des capacités dans le domaine des TIC, a longuement mis en exergue, au cours d'une conférence de presse, la nécessité d'une meilleure acquisition, circulation et partage des connaissances à travers le monde, partant, selon lui, du principe que "la connaissance est un facteur de croissance".

Source: aps.dz
2009 pour le téléphone fixe - par elabweb le 04/02/2008 08:33

Le ministère des postes et TIC vient de fixer la fin du premier semestre 2009 pour le passage à la numérotation à 10 chiffres dans la téléphonie fixe, indiquent des sources concordantes. A rappeler que le secteur de la téléphonie mobile passera à la nouvelle numérotation dès ce 22 février.
Microsoft veut mettre la main sur Yahoo ! - par elabweb le 04/02/2008 07:50

Microsoft veut mettre la main sur Yahoo !

Le groupe américain Microsoft a présenté une offre de 44,6 milliards de dollars pour racheter le spécialiste de l’internet Yahoo, ce qui leur permettrait de mieux concurrencer Google.

Un tel rapprochement constituerait la plus grosse opération dans le secteur depuis la fusion Time Warner-AOL en 2001, qui a depuis été un échec, notamment pour des raisons de différences de cultures d’entreprises.Yahoo a déclaré que son conseil d’administration allait étudier rapidement cette offre et agir au mieux pour ses actionnaires. Les spéculations allaient bon train depuis au moins un an sur un tel projet de rapprochement, nombre d’investisseurs jugeant logique une alliance Microsoft-Yahoo face à la montée en puissance ininterrompue de Google. Le cabinet spécialisé comScore estime que Google détient 77% du marché des moteurs de recherche sur Internet, contre 16% pour Yahoo et 3,7% pour Microsoft. Mais au-delà des moteurs de recherche, c’est évidemment le marché de la publicité qui motive les grandes manœuvres stratégiques dans le secteur. Microsoft estime lui-même que le chiffre d’affaires de la publicité en ligne devrait atteindre près de 80 milliards de dollars d’ici 2010, contre plus de 40 milliards en 2007. Mais le groupe souligne aussi que ce marché est « de plus en plus dominé par un seul acteur », une référence transparente à Google. Yahoo regroupe plus de 500 millions de visites par mois, avec notamment Yahoo Mail, premier service de courrier électronique grand public mondial. Mais le groupe perd des parts de marché face à Google. Le groupe a annoncé jeudi dernier que son président non-exécutif, Terry Semel, quittait le conseil d’administration, ce qui rompt les liens officiels de Yahoo avec son ancien PDG. Semel, à qui l’on fait crédit d’avoir donné un second souffle au groupe, avant de perdre la main, avait quitté son poste de PDG en juin. Yahoo s’est laissé distancer ces derniers temps dans la publicité par Google et par l’émergence de sites communautaires comme Facebook et MySpace. « Nous avons le plus grand respect pour Yahoo et, ensemble, nous pouvons offrir aux consommateurs, aux éditeurs et aux annonceurs une gamme de solutions encore plus attractive tout en renforçant notre position sur le marché des services en ligne », déclare dans un communiqué Steve Ballmer, le directeur général de Microsoft. Microsoft précise avoir identifié quatre domaines susceptibles de générer des synergies qu’il estime à un milliard de dollars par an au moins pour le nouvel ensemble. Le groupe fondé par Bill Gates se dit prêt à coopérer « étroitement » avec la direction et le conseil d’administration de Yahoo. Il assure que l’opération obtiendra toutes les autorisations réglementaires nécessaires. Paul Mendelsohn, stratège investissement chez Windham Financial Services, estime qu’une telle opération fait sens. « Yahoo a bien du mal à concurrencer Google », explique-t-il. « Pour ce qui est de savoir si le prix proposé est bon, je ne vois personne faire une offre supérieure à celle de Microsoft. » Tim Smalls, chez le courtier Execution LLC, est moins enthousiaste quant aux bénéfices d’un tel rachat : « C’est choquant ! La prime me semble exorbitante dans un secteur en baisse. Je ne vois pas comment les synergies entre Microsoft et Yahoo vont leur permettre de lutter contre Google. » Certains observateurs soulignent aussi les différences entre la culture d’entreprise de Yahoo et celle de Microsoft, et ils font valoir leurs nombreux doublons, notamment dans la messagerie instantanée ou la publicité. « Je ne serai par surpris si cette offre était relevée à l’avenir », estime de son côté Mark May, analyste chez Needham & Co. « Je pense qu’il y a des groupes comme Comcast ou Viacom et d’autres qui doivent encore se positionner face à l’émergence des médias en ligne et qui ne l’ont pas fait. Il y a donc clairement là d’autres sociétés stratégiques. »

Samir Ben Djafar


Sites web des banques - par elabweb le 22/01/2008 09:01

La BEA tisse son réseau

La Banque extérieure d’Algérie (BEA) a lancé un nouveau site Internet (www.bea.dz).

Dans un communiqué de presse, il est précisé : « La mise en ligne de ce site s’inscrit dans le cadre du renforcement et de la modernisation de nos outils d’information et de communication en faveur de notre clientèle et du grand public, notamment à travers la rubrique de contact avec la hiérarchie de la banque. » La même source explique qu’à travers ce lancement, la banque « entend s’inscrire pleinement dans la dynamique d’adoption des nouvelles technologies de l’information et de la communication mises au service du client ». Conçu pour être évolutif, le site intègre déjà une banque de données relative à l’ensemble des produits bancaires (destinées aux entreprises et aux particuliers) et aux conditions d’accès à ces derniers. Le site donne également la possibilité de prendre connaissance de l’actualité et des événements internes et externes. Il éclaire sur certaines orientations stratégiques de la BEA qui entend offrir à sa clientèle une qualité de service à la hauteur de ses attentes et demeurer ainsi « une banque de référence orientée au service du développement de l’économie nationale ».

Avec ce site web, la BEA veut proposer un vrai service et non une coquille vide. Nombre de sociétés algériennes foncent tête baissée sur la voie du Web. Pour faire comme les autres. Et n’en tirent parfois aucun bénéfice réel.Un site Web est un projet à part entière qu’il faut mener avec méthode : définir un besoin, estimer un budget, adopter des règles de rédaction du contenu, soigner la clarté des parcours de navigation et trouver un hébergement adapté pour les performances et la sécurité. Le site donne une image de modernité à l’opérateur bancaire. Il ne faut pas perdre de vue que le secteur évolue au rythme des NTIC.

De plus en plus de consommateurs dans le monde ont désormais le réflexe Internet avant de prendre une décision d’achat ou d’investissement. Et le caractère particulièrement impliquant du choix d’un produit bancaire ou financier justifie doublement que les banques soignent leurs informations en ligne. Les banques cherchent à faire d’Internet un canal de distribution à part entière et une source de croissance.

K. B.


La problématique de développement et ses relations avec l’information et la communication locales, n - par elabweb le 22/01/2008 08:41

Il est lancé par l’agence multimédia Djazia
“El-Manar”, le guide des 48 wilayas


Sous le thème “La problématique de développement et ses relations avec l’information et la communication locales, nationales et internationales”, le directeur général de l’agence Multimédia, Haarache Maâchou, et son assistante, Bourouis Halima, ont présenté le guide orange des 48 wilayas intitulé El-Manar. Dans sa conférence de présentation qui a eu lieu à l’hôtel Mercure, le directeur a expliqué que c’est par ambition de vulgariser l’information économique locale et la rendre accessible au plus grand nombre. Dans cette perspective El-Manar se présente comme une radioscopie et un instrument de promotion des activités tant économiques que commerciales. Dans un contexte de mondialisation, il participe de la volonté d’offrir à tous les intervenants dans la sphère économique un outil d’information à la mesure des défis imposés par l’économie de marché et la bonne gouvernance prônée par le président de la République.
Apple lance un ordinateur portable ultra-mince - par elabweb le 21/01/2008 09:04

Le MacBook Air, qui commencera à être commercialisé dans deux semaines, a une épaisseur de 0,4 cm sur le devant de l’appareil, et de 1,94 cm à l’arrière. D’un poids de 1,3 kg, sa batterie a une autonomie de 5 heures.

Dans le style théâtral qu’il affectionne, Steve Jobs a sorti l’ordinateur d’une enveloppe brune de courrier interne et lancé, lors du salon Macworld Expo à San Francisco qui s’est tenu du 14 au 18 janvier : « C’est le notebook (tout petit ordinateur portable) le plus mince du monde. » Il a assuré l’avoir comparé avec tous les portables de faible épaisseur existants. Pour parvenir à ce record de minceur, le numéro un mondial des semi-conducteurs, l’américain Intel a réduit de 60% la taille de son processeur à double noyau (dual core) le plus rapide. « Quand nous avons lancé ce projet, nous ne pensions pas que ce serait possible », a reconnu le PDG d’Intel, Paul Otellini. « Le MacBook Air pourrait doper le marché des ordinateurs ultra-portables », estime Tim Bajarin, analyste chez Creative Strategies, relevant que les portables représentent déjà la moitié des ventes d’ordinateurs Macintosh. « Il pourrait aussi attirer les utilisateurs de PC », selon lui. De son côté, l’association de défense de l’environnement Greenpeace a salué vendredi dernier « les premiers pas vers l’éco-conception » d’Apple, qui sort avec son MacBook Air un ordinateur sans arsenic ni mercure. Greenpeace, qui avait épinglé la marque à la pomme lors de la sortie de l’I-phone, relève qu’avec son dernier-né elle, va « au-delà des exigences de la réglementation européenne » sur les substances dangereuses et « place la barre très haut pour les industries concurrentes », selon un communiqué. L’ONG note également l’absence de retardateurs de flammes bromés et de plastique chloré de type PVC dans le câblage de la carte-mère, « ce qui constitue une grande avancée, même si la marque Sony l’a déjà réalisé sur plusieurs modèles de sa gamme d’ordinateurs portables », rappelle-t-elle. « Apple est sur la bonne voie », estime Yannick Vicaire, responsable des campagnes Toxiques de Greenpeace, cité dans le communiqué. A la suite d’une campagne de 50 000 « cyberactivistes », rappelle Greenpeace, Apple s’était engagé à éliminer de ses produits d’ici à fin 2008, les substances mentionnées nuisibles à l’environnement et à la santé.
Le projet de la e-gouvernance à plus de 80% de sa maturation - par elabweb le 21/01/2008 09:00

Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, M. Boudjemaâ Haïchour, a annoncé que le cabinet français chargé de l’étude sur l’introduction de la troisième génération du mobile sur le marché algérien rendra son expertise au début du mois de février prochain. Interrogé sur la possibilité d’ouvrir l’exploitation de cette technologie à d’autres opérateurs, en dehors des trois acteurs actuels de la téléphonie mobile, il affirmera que cette question sera tranchée une fois les résultats de l’expertise du bureau français seront prêts, tout comme la possibilité d’enjamber la 3G vers d’autres technologies plus innovantes.
Sur le projet de l’e-gouvernance, devant relier les différents départements ministériels et les institutions d’Etat, le ministre informera que l’opération que chapeaute l’e-commission, présidée par le chef du gouvernement, poursuit sa progression et a atteint un taux de maturation appréciable de 80%. L’ouverture du capital d’Algérie Télécom, qui constitue le dernier virage de la série des réformes du secteur engagées depuis l’an 2000, a été également longuement abordée par les journalistes qui se sont interrogés sur la nécessité de la démarche, d’autant que l’entreprise enregistre une embellie financière. Rappelant que le dossier a été relancé, il y a deux mois, sur instruction du chef du gouvernement et devra aboutir durant ce premier semestre 2008, il précisera aussi qu’il ne s’agit pas de privatiser l’entreprise mais de trouver plutôt un partenaire stratégique à même d’apporter au groupe une meilleure maîtrise des technologies et de le rendre plus compétitif. «Dans tous les cas, la majorité du capital d’Algérie Télécom restera en possession de l’Algérie», devra-t-il ajouter. Et c’est dans cette perspective de «booster» les entreprises publiques des TIC et de les rendre plus performantes sur le plan marketing et management que M. Haïchour inscrit le dernier mouvement «tout à fait ordinaire» qui a concerné les dirigeants du groupe et de ses filiales. L’accès haut débit au réseau internet et le déploiement des technologies Wifi et Wimax actuellement en phase d’organisation de la répartition des fréquences constituent l’autre défi du département de M. Haïchour qui aspire à offrir de l’ADSL aux 1.541 communes algériennes durant ce premier trimestre de 2008. A ce sujet, il notera qu’il a recommandé aux providers de faire un effort sur les tarifs d’accès au haut débit. A une question faisant état de l’échec de l’opération Ousratic visant à doter les familles algériennes en micro-ordinateur, le ministre fera savoir que l’opération poursuit normalement son cours et devrait donner de meilleurs résultats d’ici à 2010.
En matière de lutte contre la cybercriminalité, il indiquera qu’une législation est en cours d’élaboration et en parallèle l’Autorité de régulation a instruit les opérateurs de la téléphonie mobile pour procéder à l’identification de leurs clients, afin d’éviter les actes criminels commandés par des téléphone portables. Le Cyberparc de Sidi Abdellah, constituant le village algérien intelligent, devrait livrer, par ailleurs, une partie de ses bâtiments cette année, dont l’incubateur attendu en juin prochain.
Au volet de l’activité postale, le ministre a mis l’accent, hier, sur le renforcement des mesures de contrôle, avec notamment la multiplication du nombre des contrôleurs passé de 70 en 1999 à 400 actuellement, ce qui a réduit, de son avis, de 50% les détournements qui constituent 0,000013% de la totalité des fonds manipulés par la poste.
Plus lion, il ajoutera que grâce aux opérations de contrôle périodique et inopiné plus de 50% de l’argent détourné sont récupérés.
S’agissant du problème de manque de liquidité au niveau de certains bureaux postaux, notamment durant la saison estivale, il dira que la responsabilité n’incombe pas à la poste, mais plutôt à la Banque centrale qui ne fournissait pas les sommes exactes demandées.
L’autre problème lié à la rareté des carnets de chèques que le ministre explique par le souci de vulgariser le système de retrait automatique, il précisera pour les clients encore attachés au retrait traditionnel par chèque qu’un formulaire unique de retrait est disponible dans tous les bureaux de poste.
Les TIC dans l’entreprise algérienne - par elabweb le 10/01/2008 06:17

Pour quel objectif et quelle réalité ?

L’état global du marché mondial au début de ce siècle est marqué par une forte mutation d’une économie d’échelle vers une économie d’envergure caractérisée par une compétition intensive, un marché imprévisible turbulent et segmenté, des produits et des systèmes de production ayant un cycle de vie de plus en plus court et enfin, une valeur ajoutée générée plus par la connaissance que par la matière première.

Dans cet environnement mutant et changeant, la compétitivité de l’entreprise dépend de plus en plus de sa capacité d’anticipation et d’adaptation. L’intelligence économique est de fait une bouée de sauvetage indispensable pour se maintenir permettant à l’entreprise de détecter et d’interpréter des signes d’alerte précoces concernant les changements, les mutations ou tout simplement les ruptures pouvant se produire dans l’évolution de son environnement social, économique, culturel et technologique.

Pour s’insérer dans le marché, les entreprises de production et de services, privées ou publiques, sont appelées à entamer immédiatement, simultanément et en continu l’amélioration de la valeur de leurs produits, de leurs systèmes de production, de leurs services et de leur gestion en vue d’offrir le meilleur rapport qualité/prix dans les meilleurs délais. Les TIC (technologies de l’information et de la communication) sont soutenues par un discours très optimiste quant à leurs potentialités techniques et aux améliorations de gestion qu’elles peuvent procurer aux entreprises. Dans le cadre du développement des PME et l’ouverture du marché algérien à l’international, cette promesse technologique suscite un grand intérêt. Il semblerait en effet possible de combler certaines carences des PME algériennes : difficile connaissance des marchés intérieurs et extérieurs, collecte de l’information onéreuse, mauvaise connaissance en techniques de gestion, impossibilité de se déplacer de façon fréquente sur les marchés intérieurs et extérieurs par manque de moyens humains et financiers. Par ailleurs, les nouvelles technologies de l’information et de la communication de par, le monde ont permis aux entreprises d’entrevoir de nouvelles techniques de gestion et un gain de productivité.

Cependant, même si ce gain de productivité n’est toujours pas facile à mesurer, le paradoxe de Solow disant : « Les outils informatiques sont présents dans toutes les entreprises, mais pas dans les statistiques », comme toute nouvelle technologie, il lui faut un temps d’adaptation et de diffusion pour ensuite pouvoir mesurer son impact sur la productivité marginale de l’entreprise. Les « petites et moyennes entreprises » occupent une place de plus en plus importante au sein du tissu industriel algérien, notamment par le biais de l’élargissement du secteur industriel privé et l’arrivée en masse, ces dernières années, d’entreprises étrangères par le biais des IDE. Cette réalité impose à ces entreprises de se préoccuper davantage de l’utilisation des TIC dans son management quotidien, afin de bénéficier de leurs bienfaits, et surtout s’aligner sur la concurrence nationale et internationale pour une meilleure productivité et réactivité aux changements du marché.

Une avancée considérable menée par les autorités concernées ces dernières années pour la diffusion et la démocratisation des nouvelles technologies sur l’ensemble des activités économiques. A titre d’information, nous pouvons citer quelques exemples sur les projets lancés ces dernières années, 62% investis dans les NTIC (nouvelles technologies de l’information et de la communication), ce qui représente 6,451 milliards de dinars, 2 520 milliards de dinars dans les technologies, spatiales etc. Cependant, le secteur des TIC en Algérie reste insuffisant, et je dirais même dérisoire par rapport aux besoins du marché, il ne représente que 1% du PIB. Pour atteindre cet objectif, il s’agit, d’une part, d’entreprendre un ensemble d’actions multidimensionnelles relatives au parachèvement du processus de réforme et de restructuration industrielle, l’organisation du marché du libre-échange à la recherche des partenaires économiques étrangers, l’adaptation du cadre intervention des exportateurs aux règles et pratiques du commerce international, à la réhabilitation de l’outil de production et, d’autre part, en recours à des stratégies manufacturières qui assureraient plus de flexibilité, plus de rapidité d’exécution, une plus grande sensibilité aux besoins du marché mondial et plus d’indépendance à l’égard des économies d’échelle.

Ce deuxième aspect ne peut se concrétiser que par une réorganisation des activités de production, en tenant compte des contraintes de flexibilité, de rapidité, de qualité et de sécurité imposées par les conditions du marché. Quel serait l’impact de l’insertion des TIC sur le processus de modernisation et de redynamisation de nos entreprises ? Améliorer les performances : l’introduction des technologies de l’information et de la communication au sein des opérateurs économique, permettrait les échanges rapides d’information. Et, l’utilisation optimale de l’outil informatique dans la gestion de l’entreprise permet de réduire les coûts et les délais de production ou de logistique. Les TIC apporteront donc, un gain de temps et de productivité. Elles permettront d’augmenter la réactivité dans toutes les activités de l’entreprise : commerciale, achats, approvisionnements, services administratifs, fabrication, expédition, études ; s’aligner et rivaliser face à la concurrence ; elles permettent aussi de rivaliser grâce à la connaissance et de ne pas se laisser distancer par la concurrence.

En effet, les TIC, par l’échange rapide de gros volumes d’informations, permettent de rester toujours bien informées sur ce que fait la concurrence et même de la devancer, grâce, par exemple, à l’améliorations des échanges d’information avec les partenaires extérieurs : c’est le concept de l’entreprise communicante ou étendue. Se faire connaître : je commencerai bien ce point par cette belle expression : « N’attendez pas qu’on vous cherche, faites de telle sorte que l’on vous trouve. »

Les prodiges de ce merveilleux outil qu’est Internet ,en particulier et les TIC, en général, permettent à l’entreprise de se faire connaître et d’opérer même au-delà des frontières du pays. Son image de marque peut en être grandement améliorée. On peut communiquer en temps réel des informations avec le monde entier et, élément non négociable, on peut toucher des clients potentiels que l’on ne pourrait pas atteindre autrement : on augmente la part de marché de l’entreprise, on fidélise les clients et on leur offre de nouveaux services. Cette possibilité et cette capacité virtuelle à être présent sur les marchés mondiaux simultanément et d’une manière interactive ouvrent à l’entreprise algérienne d’autres horizons, une possibilité d’atteindre une clientèle plus importante de par le monde.

Cette vitrine est aussi une possibilité incontournable et inespérée de s’aligner aux côtés des entreprises étrangères de différentes nationalités. La question qui se pose maintenant est : « Sommes-nous en mesure de nous adapter à ces nouvelles réalités citées plus haut ? » Car aujourd’hui, la concurrence ne se fait pas seulement par le rapport qualité/prix, mais par la capacité à capter, analyser et transformer l’information en facteur déterminant dans la productivité. J’ouvre un autre débat pertinent et primordial, celui de l’intelligence économique ! Qu’en est-il en Algérie ?

L’auteur est Chercheur au CREAD, a_nafa2000@yahoo.fr

Aziz Nafa


Lutte contre la cybercriminalité - par elabweb le 08/01/2008 08:51

Les spécialistes d’internet souhaitent voir la mise en place d’un dispositif législatif pour faire face aux dangers de la cybercriminalité.

S’il est vrai que c’est un outil de développement, il n’en demeure pas moins qu’internet est devenu aussi un territoire clé de toutes formes de risques. Des spécialistes de l’internet n’ont pas manqué de soulever, hier au cours d’une table ronde animée au forum d’El Moudjahid, les dangers de la cybercriminalité sur les internautes et l’absence de mesures de sécurité et de législation. D’emblée, ces professionnels de l’internet ont affirmé lors de cette conférence sous le thème « Avancée technologique ou instrument d’atteinte aux libertés ? » leur opposition à « toute sorte d’enfermement », préconisant « la position offensive ». Cela sans omettre de mettre l’accent sur l’amélioration du contenu. « Il y a nécessité d’aller vers la création d’un cadre organisationnel technique et juridique doté de moyens d’action et de réflexion pour assurer la sécurité des sites », préconise Mebarek Bouakba, ingénieur télécoms à Saadnet. Ce fournisseur internet souhaite la révision du dispositif législatif et la mise en place d’un encadrement organisationnel de réflexion permanent. Mais aussi former des juristes et des magistrats internet. A ses yeux, « l’Algérie doit disposer de ses spécialistes dans les domaines de sécurité transactionnelle commerciale ». Un souhait que partagent les autres spécialistes présents à cette table ronde qui n’ont pas manqué de relever la difficulté d’instaurer une supervision gouvernementale sur la gestion des noms de domaine. Le commissaire de police chargé des enquêtes économiques, Abdelkader Mostefaoui, n’ignore pas l’utilisation de l’internet par des réseaux terroristes, mais reconnaît que les enquêteurs sont toujours confrontés à des difficultés de contrôle de cette pratique. Cette difficulté se pose, selon lui, pour la recherche des indices et des traces de ces recruteurs, a-t-il indiqué, précisant que la majorité des sites à caractère terroriste sont hébergés à l’étranger. « Toutes les demandes faites à des pays étrangers concernant ces sites n’ont pas abouti car aucune réglementation ne contraint les hébergeurs à vérifier le contenu des sites », a-t-il affirmé. Pour contrer les dangers de l’internet sur l’individu, notamment sur les jeunes, M. Mostefaoui a souligné l’importance de susciter l’intérêt des parents et des enseignants, dans le cadre de l’école, pour les méthodes éprouvées de protection des mineurs sur internet. Les mêmes spécialistes ont souligné également l’absence de législation réglementant cette activité en Algérie, la méconnaissance de ses risques et l’absence de mesures de sécurité en la matière. « Il faut un cadre juridique auquel tous les acteurs doivent se soumettre », selon M. Mostefaoui. Pour sa part, le président de l’Association algérienne des fournisseurs de services internet, Younès Grar, PDG de General Computing Systems, a insisté sur l’importance de trouver un moyen de gérer les effets négatifs de l’internet en mettant en place le dispositif légal nécessaire. « Il faut penser sérieusement pour contrecarrer cette révolution électronique », a-t-il préconisé. Pour sa part, le PDG de l’Etablissement d’enseignement professionnel à distance (EEPAD), Nouari Harzellah, estime que l’internet en Algérie est mal exploité. Il estime à seulement près de 20% de son contenu qui est utilisé pour des recherches. Pour lui, « c’est le moment d’ouvrir un débat sérieux sur comment encourager l’internet et contrecarrer ses effets négatifs », regrettant que « les hébergements des sites web échappent à tout contrôle ». Mebarek Bouakba regrette par ailleurs la disparition de beaucoup de providers algériens « pour des raisons économiques car nous étions dans une situation de monopole absolu ».

Rabah Beldjenna
Micro-ordinateurs : Le chinois Lenovo veut vendre des PC - par elabweb le 07/01/2008 13:00

Le constructeur informatique chinois Lenovo a présenté ses premiers ordinateurs grand public aux Etats-Unis, poursuivant son développement dans un pays où il a fait son entrée en 2005 avec le rachat de l’activité PC d’IBM.

Ces portables destinés aux particuliers, présentés mercredi dernier aux Etats-Unis, sont commercialisés sous la marque IdeaPad, dérivée de la marque ThinkPad (gamme de portables issue du rachat d’IBM). Les trois modèles sont dotés de différentes fonctionnalités avancées. Ils peuvent reconnaître le visage de l’utilisateur, lui permettant ainsi d’ouvrir une session et d’utiliser différentes applications sans entrer de mot de passe. Ils sont également dotés d’applications multimédias permettant d’écouter de la musique, de visualiser les photos et les vidéos. Cette nouvelle gamme s’inscrit dans une vaste stratégie du fabricant chinois pour s’affirmer sur le marché des ordinateurs grand public, alors qu’il était jusqu’ici plutôt spécialisé dans les PC destinés aux entreprises. Les nouveaux portables seront aussi vendus en France, en Russie, en Afrique du Sud, en Inde, en Australie, à Singapour et en Malaisie. Lenovo doit faire face à la concurrence du taïwanais Acer qui commercialise des ordinateurs grand public aux Etats-Unis, en Asie et en Europe.Le constructeur taïwanais a notamment racheté l’américain Gateway en octobre de façon à déloger Lenovo de la 3e place mondiale des fabricants de PC. Lenovo, dont le chiffre d’affaires s’est élevé à 4,43 milliards de dollars (3,01 milliard d’euros) au troisième trimestre, commercialise déjà des ordinateurs grand public en Chine, en Inde et à Singapour mais reste cantonné sur le marché des entreprises aux Etats-Unis. Il compte donc, grâce à ces nouveaux produits, conquérir des parts de marché et améliorer la reconnaissance de sa marque. En effet, les portables sont généralement plus chers que des ordinateurs de bureau dotés des mêmes fonctionnalités et leur marge bénéficiaire est supérieure. Ils représentent également le segment du marché qui connaît la plus forte croissance, avec une progression des ventes en volume estimée à 21% en 2007 contre un déclin de 3% des ventes d’ordinateurs de bureau prévu pour la même période, selon le cabinet d’études IDC. Alors que le Consumer Electronics Show (CES) s’ouvrira la semaine prochaine à Las Vegas, Lenovo n’est pas le seul fabricant à lancer de nouveaux portables. Les taïwanais Acer et Asustek Computer présenteront aussi de nouveaux modèles lors de ce salon. Les trois fabricants asiatiques tentent tous d’améliorer la reconnaissance de leur marque face à la suprématie des fabricants de PC américains Hewlett-Packard, Dell et Apple. Asus Computer International, filiale américaine du taïwanais Asustek, présentera à cette occasion un portable grand public doté d’une capacité de stockage de 1 teraoctet, soit 1000 gigaoctets, décrit comme une première par son fabricant. Hewlett-Packard, le premier fabricant mondial de PC, compte lui aussi présenter de nouveaux modèles destinés aux particuliers lors du CES. Figurent notamment sur la liste des nouveautés que HP compte dévoiler lors de ce salon un portable léger doté d’un écran rotatif et un ordinateur de bureau très puissant fonctionnant également comme une télévision.
Knol : la future encyclopédie communautaire selon Google - par elabweb le 01/01/2008 22:58

dimanche 16 décembre 2007.

Google teste actuellement Knol, un nouveau service Internet gratuit, destiné à permettre à quiconque s’estimant expert sur un sujet d’écrire un article de référence dessus. C’est en fait un outil de création de page assez semblable à ce que l’on peut trouver sur Wikipedia avec quelques différences significatives cependant.

L’auteur d’un article, identifié clairement, sera mis en valeur par son article et restera responsable de ses écrits. Il pourra exprimer son opinion sans risque de la voir dénaturée par d’autres comme cela peut exister sur Wikipedia. Les internautes auront la possibilité de commenter l’article et même d’y contribuer sous réserve d’en recevoir l’autorisation de l’auteur. Le modèle économique sera également très différent puisque, contrairement à Wikipedia qui se refuse à introduire toute publicité sur ses pages, Knol permettra aux auteurs qui le désirent d’intégrer des modules Adsense et d’en partager ainsi les revenus avec Google.

Selon Udi Manber, vice-président de Google Engineering, "il existe des millions de personnes possédant des connaissances particulières et qui désirent les partager et des milliards de gens qui pourraient en bénéficier, tâche qu’il est actuellement très difficile de réaliser ». Google pense que les meilleurs articles parviendront rapidement en tête des listes de résultats des moteurs de recherche et qu’à court terme une vaste encyclopédie communautaire de qualité rivalisant avec Wikipedia se mettra en place.

Source : Techno-Science
Les PDF ont leur signature électronique - par ZIDAT le 12/12/2007 21:01

Les PDF ont leur signature électronique s
Certifier et horodater un PDF est désormais possible. Un des quatre prestataires certifiés par Adobe est le français Keynetics, qui vient de présenter son service, du nom de K.Signer.

, 01net., le 12/12/2007 à 17h05 Difficilement modifiable, plutôt léger et lisible par tous les ordinateurs sans installation coûteuse, le PDF pourrait être le format de choix pour les entreprises dématérialisant complètement leurs échanges numériques. S'il ne manquait pas quelques paramètres pour que ces fichiers aient valeur de preuve légale, comme par exemple une authentification de l'organisme émetteur.  C'est ce point que vient corriger le programme « Certified Document Services », tout juste lancé par Adobe. Avec celui-ci, l'éditeur - propriétaire du format PDF - a passé un accord avec quatre autorités de certification : Verisign/Geotrust, GlobalSign, ChosenSecurity et le français Keynetics.  Ce dernier a présenté, lors du salon Dématérialiser (les 11 et 12 décembre à Paris-La Défense), sa solution « K.Signer for PDF ». Destinée aux entreprises, elle se présente sous la forme d'un serveur à accoler à son serveur de messagerie. Celui-ci contient les certificats numériques de l'entreprise et ajoute aux documents PDF (propositions commerciales, factures, etc.) une signature ainsi qu'un horodatage électroniques (pour prouver que l'envoi a bien été fait à l'heure et au jour indiqué). Le tout obtenant alors une valeur légale. Un logiciel gratuit pour la lecture Du côté du destinataire, il suffit de télécharger gratuitement la dernière version d'Adobe Reader 8. A l'ouverture du document, une bande bleue apparaît en haut avec toutes les informations permettant d'identifier l'émetteur. Disponible dès ce 12 décembre, le K.Signer for PDF s'intègre dans des environnements hétérogènes Linux et Windows, et coûte entre 30 000 et 80 000 euros pour une plate-forme complète. Pour les petites entreprises, ou celles voulant limiter l'envoi de PDF sécurisés à quelques documents, Keynetics proposera prochainement une version plus légère sous forme d'une clé USB à brancher sur le poste de travail d'où les PDF seront envoyés. Aucun tarif n'a été annoncé, mais le prix moyen d'une telle clé - déjà utilisée dans le cadre de la téléTVA  - varie entre 50 et 200 euros, avec des certificats valables de un à trois ans.  Lu pour vous parZIDAT Samir
Quarante ans d'innovations high-tech à l'Inria - par ZIDAT le 10/12/2007 20:15

L'institut fête son anniversaire en organisant un forum à Lille. Retour en images sur 40 ans de projets avortés ou aboutis, entre précurseur d'Internet et première machine Unix française.

Gilbert Kallenborn , 01net., le 10/12/2007 à 17h33

Un volontarisme politique et scientifique Créé le 3 janvier 1967, l’Institut de recherche en informatique et en automatique (Iria), l’organisme précurseur de l’Inria, a pour objectif de rattraper le retard que les Français ont pris dans l’informatique face aux Américains. Organisme de recherche d’un genre nouveau, cet institut public pourra collaborer étroitement avec le secteur privé. Durant ses premières années d’existence, il aura du mal à trouver ses marques. Le projet Cyclades, précurseur d’Internet Un des premiers grands succès de l’Iria était le projet de réseaux informatiques Cyclades, mené par le polytechnicien Louis Pouzin (à gauche sur la photo). Basé sur la commutation de paquets de données - les datagrammes - ce réseau ressemblait à l’Arpanet américain précurseur d'Internet et fonctionnait dès 1973. Malheureusement, le projet est enterré en 1977 par le gouvernement qui privilégie le circuit virtuel du réseau Transpac des PTT, à la facturation plus aisée. Mauvaise pioche. L’Inria prendra sa revanche en 1995, en devenant le pilier européen du World Wide Web Consortium.         Au service de la santé, avec Spartacus  En 1975, l’Iria gagne en visibilité auprès du grand public avec le projet Spartacus, qui permettait aux tétraplégiques de commander un robot manipulateur. Grâce à un certain nombre de capteurs, le sujet pouvait réaliser des gestes précis comme celui de remplir un verre d’eau. L’impact médiatique est considérable. Et même si les résultats effectifs restent très limités pour des raisons de coût, le projet a permis de réaliser des avancées techniques importantes. La communication unifiée, avant l’heure Au début des années 80, l’institut de recherche, devenu entre-temps l’Inria, propose d’automatiser les tâches bureautiques au travers d’une solution novatrice et toute intégrée entre-temps: le buroviseur. Ce terminal disposait d’un écran à plusieurs fenêtres, d’une souris à trois touches et d’une connexion au réseau local par modem. Il permettait de recevoir et d’envoyer du courrier électronique, de réaliser du traitement de texte ou des graphiques et de gérer un agenda ainsi que des contacts. Un simple clic sur un numéro enregistré permettait de passer un coup de fil.    La première machine Unix française Contraint d’acheter « français », l’Inria a toujours été handicapé au niveau de ses moyens de calcul, faute de pouvoir se procurer les meilleurs matériels américains. En 1983, l’institut participe donc à la réalisation du SM 90, une machine Unix - la première d’origine française - conçue autour d’un processeur Motorola 68000. L’Inria se charge du système d’exploitation et du compilateur. Cet équipement fait maison va équiper bon nombre de ses projets. Bull en fera une version commerciale, le DXP 1000. Cycab, le Vélib’ à quatre roues En 1997, l’Inria présente le Cycab, un petit véhicule électrique pour deux personnes, destiné à une utilisation en libre-service. L’objectif est de proposer un moyen de transport alternatif, non-polluant et économe pour les trajets citadins de courte distance. Le public visé est large : les hommes d’affaire, les personnes chargées de gros colis, les personnes à mobilité réduite, etc. La conduite peut se faire de manière manuelle ou automatique sur des parcours prédéfinis.        Le XXIIe siècle en ligne de mire Devenu un acteur majeur de la recherche européenne, l’Inria est en pleine expansion. L’institut compte aujourd’hui 3 600 personnes réparties sur six centres de recherche. Le dernier centre baptisé Futurs a été créé en 2002. Il regroupe trois sites - Bordeaux, Lille et Saclay - qui devraient devenir des centres indépendants en 2008. Un des résultats de Futurs est le Cat (Control Action Table), représenté ci-dessus dans ses différentes étapes de conception. Il s’agit d’une souris futuriste avec six degrés de liberté, pour faciliter l’interaction dans les environnements 3D.


 

 
Algérie poste et sécurité des systèmes informatiques centraux - par AbdelmalekAMINE le 10/12/2007 18:34

Algérie poste opte pour Bull pour moderniser et sécuriser ses systèmes informatiques centraux.

Dans le sillage des réformes entreprises, Algérie Poste (AP) vient de retenir le groupe Bull (l’architecte européen des systèmes d’information) pour l’accompagner dans l’évolution de son système d’information et réussir à conforter sa politique d’innovation au service de ses clients dont les exigences sont en perpétuelle évolution.


Le piratage ne recule pas en Algérie - par AbdelmalekAMINE le 10/12/2007 18:31

Le gouvernement semble impuissant face au piratage en Algérie puisque l’utilisation des logiciels piratés n’a baissé que de 1 % entre 2003 et 2006.C’est ce qu’a affirmé d’ailleurs, le directeur général de la Protection de la propriété intellectuelle et le droit d’auteur, Hakim Taousar, lors de la tenue d’un atelier de travail sur la contrefaçon en Algérie, organisé hier à l’hôtel Sofitel par l’institut Supentreprise. Le directeur général de l’ONDA a affirmé que l’utilisation des logiciels piratés ne se limite pas aux particuliers, à des jeunes qui n’ont pas les moyens d’acquérir des logiciels originaux et qui se rabattent sur des logiciels piratés cédés à 100 et 120 DA. Le problème est beaucoup plus complexe, selon Taousar, puisque même les entreprises publiques et privées utilisent des logiciels piratés, pourtant elles ont les moyens pour l’achat des programmes informatiques d’origine. Le conférencier a cité l’exemple de l’opération Ousratic (un micro pour chaque foyer). Il a précisé que les initiateurs de cette opération proposent aux clients des micro-ordinateurs avec des logiciels d’origine avec des prix élevés et des micros avec des logiciels sans licence du producteur d’origine à bas prix.Pourtant, précise le directeur de l’ONDA, une circulaire du chef du gouvernement a été adressée à l’ensemble des établissements publics et privés, en janvier 2006, les obligeant à utiliser des logiciels avec licence émise de l’entreprise mère. Ce qui semble irriter le plus le directeur de l’ONDA est le fait que les grands utilisateurs des logiciels (les entreprises publiques et privées) utilisent le plus souvent des logiciels piratés. Il a expliqué que l’utilisation des logiciels piratés en Algérie a baissé de 1 % seulement entre 2003 et 2006. Elle est passée, selon les statistiques fournies par la BSA, de 84 % en 2003 avec des pertes financières de 67 millions de dollars à 83%, en 2005, avec des pertes estimées à 59 millions de dollars.
nouveau virus, attention - par merzougui le 07/12/2007 23:01

Après vérification avec Microsoft. Ce virus existe! Faites attention.
> > >
> > > S.V.P. ENVOYEZ CE MESSAGE A TOUTE VOTRE LISTE DE CONTACTS LE PLUS MAUVAIS VIRUS JAMAIS ANNONCÉ.
> > >
> > > Un nouveau virus a été découvert. Il a été classé par Microsoft comme le plus destructeur à ce jour. Ce virus a été découvert hier après-midi par McAffee et aucun vaccin n'a encore été développé. Il détruit simplement le Zéro de Secteur du disque dur où les informations essentielles de son fonctionnement sont stockées.
> > >
> > > Ce virus agit de la façon suivante: Il s'envoie automatiquement à tous les contacts de ta liste avec le titre: 'UNE-CARTE-POUR-VOUS' < B> . Aussitôt ouvert la carte gèle l'ordinateur. Quand les clefs 'Ctrl Alt Suppr' et la commande de redémarrage sont activées, le virus détruit le Zéro du Secteur détruisant ainsi de manière permanente le disque dur.
> > >
> > > Ne pas accepter le contact: 'pti_bout_de_chou@hotmail. Com C'EST UN VIRUS!!!!
> > >
> > > Si tu ne le fais pas passer et que 1 de tes amis le rajoute à ses contacts tu seras toi aussi atteint!
> > >
> > > Envoie ce message à tes contacts. Tes amis préféreraient le recevoir 25 fois que ne pas en avoir été averti.
> > >
> > > S.V.P. Fais suivre !!! ET VITE
Sujet : Alerte virus

Objet : FW: attention mise en > > > >

ATTENTION TRÈS IMPORTANT, je crois que cette fois, il faut vraiment être vigilant, effectivement on m'a coupé ce matin pour me demander d'installer la nouvelle version MSN alors lisez le message qui suit c'est urgent ! Et faites circuler rapidement s'il-vous-plaît.
> > > > > > > > > > > > Si vous recevez un mail qui propose d'actualiser ton MSN en version 8.0 N'ACCEPTES PAS, car c'est UN VIRUS. Si tu reçois un avis comme quoi , il veut additionner ton adresse à son carnet d'adresse MSN, N'ACCEPTES PAS NON PLUS.

C'est un virus qui efface en trois minutes toutes les données de ton disque dur.

Informe tous tes amis qui ont MSN car si tu fais partie de leur liste de contact, et qu'ils ont le virus, ils peuvent te l'envoyer également.

Transfère ce mail à tous ceux qui ont MSN et Hotmail.

C'est URGENT que tous le sachent au plus vite. Soyez attentifs dans les jours à venir ! N'ouvrez aucun message avec une pièce jointe s'intitulant INVITATION', indépendamment de qui vous l'a envoyé.

C'est un virus qui ouvre une flamme olympique et qui 'brûle' tout le disque dur de ton ordinateur.

Ce message risque de te parvenir d'une personne que tu connais, car tu fais partie de ses contacts...

C'est pour cela que tu dois transférer ce mail. Il vaut mieux que tu reçoives cet avis 25 fois que de recevoir le virus sur ton ordi et l'ouvrir.

Si tu reçois le mail avec la pièce jointe'INVITATION' supprimes-le tout de suite.!!!!!

C'est le pire virus annoncé par La CNN et il a été classifié par Microsoft comme le plus destructeur de tous les virus. Il a été découvert par McKafee et il n'y a pas d'anti-virus.

Le virus détruit le disque dur là où toutes les informations vitales de fonctionnement de ton ordi se trouvent.
> > > > > > > > > > > > *TRANSFÈRE CE MAIL A TOUS TES AMIS*
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Les tendances des internautes en 2007. - par Herrouz le 07/12/2007 16:04

 Yahoo vient de dévoiler les mots clés les plus recherchés par les internautes qui ont utilisé son moteur de recherche. Ils ont été classés dans des catégories différentes.En ce qui concerne l'actualité, le terme «Saddam Hussein» aurait été le plus recherché. Viennent ensuite les mots «Iran», «Irak» et «President George W. Bush». Le mot «Afghanistan» arrive en neuvième position.«Britney Spears» serait la célébrité qui a fait l'objet du plus grand nombre de recherches. «Paris Hilton» atteint le deuxième rang. Le terme «NASCAR» est le plus populaire dans la section sport. «Maria Sharapova» est en seconde place. «Boston Red Sox» arrive au troisième rang et le «Super Bowl» arrive en huitième position.Pour ce qui est des gadgets et de la technologie, le mot «YouTube» domine le classement. Suivent ensuite les mots «Wikipedia», «Facebook», «iTunes», «iPod», «iPhone», «Nintendo Wii», «Xbox», «Sony PlayStation 3» et «Guitar Hero». Dans la catégorie environnement, le terme «Recycling» est le plus populaire. «Global Warming» et «Freecycle » sont respectivement deuxième et troisième. À noter que le mot «Al Gore» arrive en sixième position.Notons que Yahoo n'a pas compilé les noms de compagnies, les termes généraux comme «downloads» et le contenu pornographique.Rappelons que Yahoo est le numéro deux mondial de la recherche Internet derrière Google.In BRANCHEZ-VOUS.com (04/12/2007). 
Google proposera un service de stockage en ligne. - par Herrouz le 06/12/2007 01:32

 Google compte-t-il investir le marché du stockage en ligne ? Pour le Wall Street Journal, ce n'est qu'une question de temps. Selon le journal économique, Google ne voudrait se faire distancer par ses concurrents, notamment Microsoft et son Skydrive, qui proposent pour la plupart des offres gratuites jusqu'à 1 Go, l'espace supplémentaire étant payant.
 Ce marché en devenir est cependant déjà capté indirectement par Google, via son compte Gmail et le logiciel Gmail Drive, qui offre aux internautes plusieurs Go d'espace. Mais il ne s'agit que d'un moyen détourné de stocker des fichiers, et peu apprécié par Google. 

 Le géant Google devrait donc proposer un réel service de stockage de données, d'ici quelques mois selon le WSJ, sans plus de précision. Le quotidien américain n'a pas non plus pu obtenir plus de détails sur les capacités qui seront proposées par Google, ni par les futurs prix pratiqués par le moteur de recherche pour les très grandes capacités.

 Le service de stockage de Google permettra d'entreposer vos documents, vos photos, vos vidéos, etc. Vous pourrez y accéder via un mot de passe, et il vous sera possible de partager vos fichiers avec vos amis. Tout ce qu'il y a de plus classique en somme.

 Restera à vérifier le modèle économique qui sera utilisé par Google. Les documents des utilisateurs de Google Drive ou GDrive (nom "non officiel") seront-ils scrutés par Google afin de permettre de la publicité ciblée ? La publicité sera-t-elle intégrée aux documents ? Google osera-t-il proposer une offre gratuite alléchante ?
  Source : PcInpact (28/11/2007).
Le câble plus rapide que la fibre optique ? - par Herrouz le 05/12/2007 16:42

 Le câble va-t-il dépasser la fibre optique ? La norme DOCSIS 3.0, qui devrait arriver en 2008, permet des débits très élevés sur le câble : 160 mégabits/s en réception et 120 mégabits/s en émission.Est-ce plus rapide que la fibre optique ? Par rapport aux implémentations actuelles, oui. Par rapport au potentiel de la fibre optique, non, pas réellement : la limite physique de cette dernière est considérée comme pratiquement sans limites. Mais la majorité des offres commerciales actuelles sont limitées à 100 mégabits. La norme DOCSIS est utilisée par une grosse partie des fournisseurs d’accès à Internet avec des câbles, et son implémentation est possible sur la majorité des réseaux. DOCSIS 3.0 supporte L’IPv6, ce qui est aussi un avantage, même si la technologie n’est pas encore nécessaire.Il va sans dire que  c’est une technologie courante dans certains pays, et le choix des technologies n’est jamais un mal.In PresencePc du 26/11/2007.
PGS Internet pour le Développement de l'enseignement à distance en Algérie - par avunet le 04/12/2007 18:03

Nous avons le plaisir de vous informer que l'appel à candidatures à la

PGS IDE@ "Post-graduation spécialisée : Internet pour le Développement
de l'enseignement à distance en Algérie" est ouvert jusqu'au 30
Novembre 2007 à l'adresse suivante : http://pgs-idea.u-strasbg.fr (ou
direcetement à cette adresse
Cette PGS est une formation à distance par Internet, elle s'inspire du
Master Professionnel (UTICEF) : Utilisation des Technologies de
l'Information et de la Communication, délivré par l'Université Louis
Pasteur de Strasbourg (ULP). La formation est sanctionnée par
l'obtention du diplôme de Post-Graduation Spécialisée Ide@ - Internet
pour le Développement de l'Enseignement à distance en Algérie, délivré
par l'un des établissements algériens habilités. Bi-diplômation
possible avec le Master Uticef de l'Université Louis Pasteur de
Strasbourg - France - sous réserve de validation par les instances de tutelle.

La PGS Idea est destinée aux enseignants et gestionnaires du supérieur
de toute spécialité. Elle ne nécessite qu'une maîtrise minimale des
outils bureautiques et du Web. L'objectif est de donner aux
enseignants du supérieur la capacité d'intégrer les Technologies
information et de Communication (TIC) dans leurs pédagogie.

Pour vous inscrire et en savoir plus, nous vous invitons à vous rendre
à l'adresse suivante : http://pgs-idea.u-strasbg.fr. Vous trouverez
aussi, ci-joint, l'appel à candidature pour diffusion.

Cordialement,


Samy Bouchaib

Conférence "La mondialisation des droits de l’Homme" à Sétif - par avunet le 02/12/2007 11:44

L’universitéFerhat Abbas de Sétif accueille, depuis samedi et pour trois jours, la2e édition du colloque international sur « La mondialisation des droitsde l’Homme et la restructuration de la logique du droit dans le cadredes transformations internationales ».Ce conclave, organisé par la faculté de droit del’université de Sétif, réunit des juristes, experts en matière dedroits de l’Homme, nationaux (universités d’Alger, Oran, Annaba, Blida,Batna, Sétif, Constantine, Jijel et Boumerdès), et internationaux(Afrique du Sud, France, Royaume-Uni, Qatar et Tunisie). Lesconférences, qui se dérouleront au niveau de l’auditorium Salah Karmi,traiteront de sujets variés, à savoir « Les droits de l’Homme dans lamouvance de mondialisation », « Souveraineté des Etats, droits del’Homme et mondialisation », « Paradigmes des droits de l’Homme et dudroit positif », « Understanding terrorism in Africa : a human securityperspective », « Les effets de la mondialisation sur les relations detravail », etc. La problématique posée est : « Les transformationsstructurelles, basiques et organisationnelles pour le mondecontemporain ont donné naissance à des mouvements imbriqués, liés à lamondialisation des droits de l’Homme, la redéfinition de la philosophieet la mise à niveau de la logique législative, ce qui a influé sur leslogiques judiciaires, de sûreté, d’évolution et de l’Etat même ».Des débats ont été ouverts, touchant à la philosophiedu droit et ses limites, mais aussi sur les sources et les bases deslois au niveau national, territorial et international, et ce colloquetend à répondre à ces questions cruciales, posées par les organisateursde la manifestation, et qui sont les suivantes : Quelles sont lesnouvelles portées des droits de l’Homme instituées pour une réflexionnouvelle sur le légal, le pénal, l’évolution et la sécurité del’individu ? Quels sont les défis lancés par ces nouvelles perspectivespour ceux qui étudient la loi, les sciences politiques, l’économie etles sciences sociales et humaines ? Les participants à ce colloqueessaieront d’apporter des éclaircissements et des réponses auxnombreuses interrogations que se posent les spécialistes du droit.Encourager la recherche dans les domaines des droits de l’Homme etleurs influences sur les sociétés et les Etats, et débattre des défisdu futur des Etats du sud dans la situation de transformation mondialecontemporaine, sont les pierres angulaires de cette seconde édition ducolloque.
Vitesse de connexion : Un encombrement sur Internet en 2010 - par BELLAOUAR le 25/11/2007 22:56

Le Quotidien El Watan, Edition du 26 novembre 2007, rubrique Multimédia.

Depuis qu’Internet est accessible à tout le monde, les services et la vitesse n’ont jamais cessé de s’améliorer. Mais pour la première fois, les spécialistes nord-américains annoncent que d’ici deux ou 3 ans, la vitesse va diminuer sur le web, si rien n’est fait.

Cette constatation a été faite par la firme de recherche Nemertes qui conclut que les réseaux des câblodistributeurs et des compagnies de téléphone ne seront plus en mesure de transporter les énormes quantités d’informations requises par les usagers, en raison d’une hausse sans cesse croissante des services offerts et de l’utilisation que les gens en font. L’étude en question estime que les investissements nécessaires s’élèvent à environ 135 milliards de dollars. Or, les investissements prévus ne sont que de l’ordre que de 72 milliards, une différence appréciable. Le problème, c’est que l’utilisation que les gens font d’Internet est beaucoup plus grande que prévu. Par exemple, en mai dernier, 75% des internautes américains ont regardé des extraits vidéo pendant une moyenne de 158 mn et plus de 8 milliards de documents vidéo ont été vus. Les services Internet destinés à l’industrie du sans-fil ne cessent de se développer et certains sites web, qui n’étaient pas connus il y a moins de 3 ans, sont en train carrément de révolutionner la manière dont on utilise Internet. « Il y a 2 ans, personne ne connaissait Youtube. Aujourd’hui, ce site génère 27 millions de gigaoctets de données par mois », explique le président Nemertes, Johna Till Johnson. Les usagers risquent donc de se retrouver avec des services plus lents ou déficients. Il faudra peut-être deux essais pour confirmer une transaction en ligne. Mais le plus grave, c’est qu’Internet deviendra peu à peu une structure inadéquate et engorgée, réduisant ainsi les initiatives en matière d’innovation. A quoi bon lancer un nouveau service, en sachant d’avance que les infrastructures pour le recevoir sont inadéquates.

S. B.
Google construit son propre matériel réseau. - par Herrouz le 24/11/2007 02:44

Google, la célèbre société qui devient un véritable touche-à-tout, utilise énormément de ressources  informatiques.  Et  il  semble  que  récemment,   avec  le  débauchage d’ingénieurs de chez Cisco (notamment), la société développe et fabrique son propre matériel réseau.

Alors qu’il est de notoriété publique que Google fabrique et conçoit ses propres serveurs, la société semble se lancer dans la conception de commutateurs. La raison est simple : il semble que les modèles commerciaux disponibles ne soient pas adaptés aux exigences de la société, et donc Google a embauché des ingénieurs spécialisés dans les réseaux. Ce sont des commutateurs capables de travailler à 10 gigabits par seconde qui seraient utilisés, pour relier les différents centres de données.Cette nouvelle, même si elle a peu d’impact sur les consommateurs classiques, est problématique pour certains constructeurs. Avec un nombre de serveurs estimés à 500 000, si Google fabrique ses propres commutateurs, c’est un manque à gagner énorme pour les constructeurs de commutateurs. De plus, il faut bien comprendre que Google est une société qui devient de plus en plus menaçante pour certains : elle serait par exemple la plus grosse productrice de serveurs dans le monde, même si la production est destinée entièrement à la société et donc non comptabilisée dans les chiffres de ventes (ils ne sont pas vendus en pratique). La société s’étend dans beaucoup de domaines, et sort vraiment de son activité la plus connue, la recherche sur Internet.Source : Presence PC - Publié le 23/11/2007 -
Rumeur : Microsoft va-t-il racheter Yahoo ? - par Herrouz le 23/11/2007 11:32

Lors d'une récente conférence de presse, le géant Microsoft, par la voix de son président de la division plates-formes et services Kevin Johnson, a déclaré avoir l'intention de détenir 30% du marché de la recherche en ligne.

Cette annonce peut paraître pour le moins étrange pour ne pas dire totalement fantaisiste lorsque l'on sait que Microsoft ne détient actuellement que 9,2% de ce marché et que sa division Internet enregistre une perte annuelle de 1 milliard de dollars.Un objectif fantaisiste ? Peut-être pas après tout. En effet, le seul moyen pour Microsoft d'atteindre cet objectif serait de racheter un concurrent.

Justement, des rumeurs récurrentes parlent d'un possible rachat de Yahoo qui "comme par hasard" détient 19% environ de ce marché.C'est  d'ailleurs  l'idée  que  développe  Henry Blodget, ancien analyste de Wall Street, sur le blog The Huffington Post. Cet hypothétique rachat permettrait alors à Microsoft de détenir ces fameux 30% du marché, bien loin toutefois derrière Google et ses 67% de parts.

Alors : rumeurs infondées ou possibilité d'un rachat prochain ? Bien entendu, ni Microsoft, ni Yahoo n'ont souhaité confirmer (ou infirmer) ces rumeurs...Source : Presence PC - Publié le 20/11/2007 -
Les chasseurs de diplômés algériens à Londres - par Behaz le 19/11/2007 08:14

De grandes compagnies comme Cevital, British Petrolum, Wataniya Telecom et HSBC ont pris part à cet événement inédit dans la capitale britannique.

Les universités occidentales sont un vivier de compétences algériennes. Les grands groupes économiques et financiers, nationaux et étrangers ayant des investissements dans notre pays en ont conscience. Sans doute, l’immersion des étudiants algériens à l’étranger très tôt dans l’univers des entreprises est un atout qui les distingue de leurs camarades sur le territoire national. Les étudiants au Royaume-Uni ont un avantage supplémentaire qui consiste dans la maîtrise parfaite de la langue de Shakespeare. “Le seul problème peut-être auquel nous sommes confrontés en Algérie est que très peu de gens maîtrisent l’anglais”, avoue Philipe Barbe, directeur commercial de la filiale algérienne de la banque britannique HSBC. Samedi dernier, il prenait part à Londres, avec d’autres groupes économiques d’envergure, au premier forum dédié au recrutement de cadres formés en Grande-Bretagne. L’organisation de cette rencontre inédite revient à Interprofils, un cabinet-conseil en ressources humaines. Son représentant en Algérie, M. Khelifi, dit avoir adressé des invitations à beaucoup d’entreprises qui ont accueilli l’initiative très favorablement. “Certaines n’ont pas pu envoyer des représentants pour des problèmes de visa. Mais nous allons rééditer cette expérience l’année prochaine et nous ferons en sorte qu’il y ait plus de compagnies”, promet le responsable de Interprofils. Un des salons de l’hôtel Marriott où s’est tenue la rencontre s’est avéré très exigu pour contenir les étudiants, les universitaires et de jeunes cadres très nombreux, venus s’enquérir des offres d’emploi. “Pour nous, l’idéal est de pouvoir retourner travailler en Algérie, mais au préalable, nous devons connaître quelles sont les perspectives qui nous sont offertes”, expliquent trois jeunes cadres dans les secteurs de l’informatique, des finances et du pétrole. Certains des présents sont venus de France. “Il y a des profils très intéressants, très pointus”, constate Akli Brihi, directeur général de British Petrolum en Algérie. Pendant toute la journée, des CV se sont amassés sur le stand de la compagnie. BP Algérie recherche surtout des personnels techniques, des ingénieurs spécialisés dans les domaines de l’exploration et l’exploitation. Son but étant d’abord économique et vise à remplacer petit à petit la centaine de travailleurs britanniques expatriés. “Il n’y a pas mieux que les Algériens pour comprendre la mentalité de leurs compatriotes”, ajoute M. Brihi. En outre, il estime qu’il est important d’offrir des opportunités aux jeunes qui veulent apporter quelque chose à leur pays. La directrice des ressources humaines de la filiale Samha, du groupe Cevital, est du même avis. Elle considère qu’il faut aller à la rencontre de la compétence algérienne à l’étranger où elle se trouve. L’occasion était aussi pour Cevital de faire connaître l’ensemble de ses filiales et les opportunités d’emploi qu’elles procurent. “Les gens restent concentrés sur la filiale agroalimentaire, alors que le groupe dispose de beaucoup d’autres activités”, explique la DRH. À La HSBC, la stratégie de recrutement se base sur l’emploi de personnels locaux. “Partout dans le monde, 99% de nos effectifs sont des travailleurs locaux”, révèle M. Barbe et de renchérir : “Ce n’est pas une gestion décentralisée, mais d’intégration au pays.”
Le directeur commercial de la banque britannique a eu à prendre part à un forum similaire à Paris récemment. Outre sa présence au stand, il a animé une des conférences programmées. La dernière était tenue par le Dr Chahid Fourali, du Chartered Institute of Marketing. Ce spécialiste dans l’identification des besoins des entreprises en matière de marketing affirme que cette notion fait souvent défaut aux compagnies algériennes, alors qu’elle est la clé de leur réussite.

LIBERTE Actualité : Lundi 19 Novembre 2007
Algérie Télécom prévoit d’inaugurer plusieurs centres d’appel à travers le pays en 2008 en partenari - par Behaz le 19/11/2007 07:56

dimanche 18 novembre 2007.
Cette solution que sont les centres d’appels (Call center), qui existe déjà depuis quelques années dans trois wilayas à savoir, Alger, Constantine et Oran sera disponibles dans les 48 wilayas en 2008, indique le PDG d’Algérie Télécom, Slimane Kheireddine, en précisant que chaque wilaya aura au moins un centre d’appel. Il a ajouté que la convention concernant ce projet devra être signée, en partenariat entre Algérie Télécom et Vorax Technologie demain au Salon des centres d’appel qui aura lieu demain et après-demain. En outre, il a fait savoir que ce projet prévoit 4 000 postes d’emploi pour les jeunes universitaires et spécialistes qui sortent des universités et des grandes écoles algériennes.

Pour plus de détails, M. Kheireddine a précisé que ces centres d’appel permettront aux citoyens d’avoir des informations dans tous les domaines et pourront même bénéficier de conseils psychologiques et juridiques et autres. Il est à savoir qu’il y a des prestations de services gratuites d’utilité publique et d’autres payantes tels les services juridiques, précise le même responsable. Interrogé sur la concrétisation du projet en question, Slimane Kheireddine affirme que la structuration d’Algérie Télécom et la plate forme de Vorax Technologie sont prêtes pour la mise en œuvre de ce projet, premier du genre en Algérie.
Education De nouvelles formations pour les enseignants - par avunet le 18/11/2007 14:20

par Salah-Eddine K. Leministre de l'Education nationale a estimé qu'en dépit des difficultés,la formation continue de l'enseignant, commence à apporter desrésultats. En juin prochain sortira une promotion de 4.000 enseignantsdu primaire qui auront suivi une formation.

Devant desenseignants et cadres de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid aannoncé que de nouvelles formations seront dispensées au profit desenseignants de tous les paliers de l'enseignement. Il évoquera laformation en informatique appelée «AICDI» ou «permis de conduireinformatique» qui consiste en la maîtrise de l'outil informatique etson utilisation dans le cadre de la formation continue.

Le ministre indiquera que l'aval du gouvernement lui est donné pour lancer prochainement cette formation.

L'autre formation dont a parlé le ministre, concerne le «diplômed'agrégation» qui touchera, dans un premier temps, 500 enseignants dusecondaire qui seront choisis par voie de concours. Cette formation estprévue pour décembre prochain.

Ces deux formations viennent«compléter et porter appui» au cycle de formation continue qui acommencé il y a maintenant 3 années et dont les résultats ont été,selon le ministre de l'Education nationale, «satisfaisants».

On annonce la sortie de la première promotion de 4.000 enseignants duprimaire (tous bacheliers) dont le ministère de l'Education nationalebénéficiera en juin 2008. Cette formation permettra, en outre, auxenseignants exerçant dans le primaire d'obtenir des qualifications«valorisantes et ou diplômantes» a affirmé M. Chami, directeur centralde formation à l'Education.

Les doubles objectifs visés parla formation continue, résident dans la formation «académique» desenseignants dans le but d'élever leur niveau dans les matièresenseignées, a affirmé le ministre. «Le problème de l'enseignement, cheznous, est beaucoup plus académique qu'autre», indiquera-t-il. Etd'ajouter «la seule bonne expérience ne suffit pas».

Lesecond objectif de la formation continue, réitéra le ministre, est liéà la promotion de l'enseignant. Elle ne peut se faire que sur la basede la formation et du diplôme obtenus.

Dans le même ordred'idées, le premier responsable de l'Education rappellera que depuis1999 pas moins de 50.000 enseignants licenciés ont rejointl'enseignement dans tous les cycles. Pendant cette même année, 85% desenseignants n'avaient pas le bac alors qu'au Moyen, ils étaient 65% denon bacheliers. Mais la situation a changé et depuis 2001, lerecrutement se fait sur la base de la licence ou d'un diplôme deformation dispensée par des instituts spécialisés.

Parailleurs, il est signalé que dans les 10 années à venir, il est prévula formation de 214.000 enseignants soit 136.000 MEF (maîtred'enseignement fondamental) et de 78.000 PEF (professeursd'enseignement fondamental).
Gare aux gigas - par avunet le 16/11/2007 13:14


Vousl’avez peut-être remarqué, lorsque vous achetez un disque dur il y atoujours une nette différence entre la capacité promise et celle quevous pouvez réellement utiliser. Un disque dur qui annonce 160 Gb(gigabytes (1) d’espace de stockage n’offre en réalité que 149 Gb pourranger vos fichiers. Dommage, car ces 11 Gb auraient évidemment puservir. Ce différentiel entre la promesse faite par la fiche techniqueet la réalité se ressent d’autant plus lourdement lors de l’achat d’undisque dur de haute capacité : avec un modèleestampillé 750 Gb, ce sont près de 50 Gb qui manquent à l’appel. Celaest dû à la confusion sur les unités utilisées pour mesurer lescapacités. Sur un disque dur, elles s’expriment en gigabytes (Gb) ou engigaoctets (Go) (pour les disques durs, 1 byte équivaut à 1 octet). Or,pour le commun des mortels, un giga correspond à mille mégas. Cetterègle est valable dans le système décimal que nous utilisonsquotidiennement mais, dans le monde informatique, le calcul s’effectueen binaire et non pas en décimal. Un gigabyte vaut donc 1 024 mégabytes(1 Gb = 2 puissance 10 Mb). par Erwan Lecomte,  site web de Libération
Algerian Learning Center (ALC) lance le TOEIC et le TIF - par avunet le 15/11/2007 07:03

Lors d’une rencontre professionnelle tenue à l’hôtel Hilton, les responsables de Algerian Learning Center (ALC), centre d’apprentissage de la langue de Shakespeare, ont annoncé le lancement officiel des tests d’évaluation linguistique du “Test of English for International Communication” (TOEIC) et “Test International de Français” (TIF) et ce, en partenariat avec Educational Testing Serving (ETS).

“Il est question d’un riche programme en perspective opérant dans le domaine des formations linguistiques à l’étranger à destination des entreprises”, précise-t-on lors de cette rencontre durant laquelle une présentation exhaustive a permis à l’assistance d’avoir une large vue sur la qualité de l’enseignement que propose ce centre de formation en langue anglaise. Les TOEIC et TiF sont considérés comme étant les tests d’anglais les plus professionnels et les plus utilisés au monde, comme l’attestent les chiffres suivants : en 2005, environ 4 millions et demi de personnes ont passé ce test dans le monde, dont près de  120 000 en France.
Le PDG d’Eepad qui s’exprimait sur le secteur de l’Internet en Algérie a estimé que le pays reste en - par Behaz le 13/11/2007 18:46

lundi 12 novembre 2007.
L’invité du forum d’« El Moudjahid », le P-DG de l’Eepad, Nouar Harzallah a estimé hier, lors de son intervention dans une conférence-débat consacrée au développement des technologies nouvelles -dont l’Internet- que l’Algérie est très en retard, comparativement aux pays développés. Le conférencier a précisé que l’indice de connectivité n’est pas calculé sur le nombre d’abonnés ayant des portables ou le nombre d’abonnés à Internet en Algérie « mais on mesure l’indice de connectivité par rapport au taux de pénétration de l’Internet dans les écoles », a-t-il fait remarquer. Et le conférencier d’appeler les secteurs de l’éducation et de la formation de rattraper rapidement le retard. Le conférencier a déploré également le manque de créativité et de recherche chez nos informaticiens, notamment, les chercheurs universitaires.
Le conférencier a évoqué un problème de taille : la sécurité de l’information, affirmant que celle-ci est complètement bafouée. « Il est vrai qu’il y a eu une loi qui a été adoptée par le gouvernement algérien sur la cybercriminalité mais, on ne voit pas son application sur le terrain », a-t-il affirmé. Pour rappel, Boudjemâa Haichour avait, à plusieurs reprises, dans ses sorties médiatiques, indiqué que la sécurité des communications constitue pour l’Algérie une préoccupation majeure qui incite à se doter d’infrastructures de télécommunications modernes, fiables et sécurisées. Il avait également relevé, à chaque fois, l’importance de développer des réseaux stratégiques performants, mettant l’accent sur la nécessité d’assurer des niveaux optimums de « sécurité » et de « confidentialité » des données et des communications échangées sur les réseaux. Le P-DG de l’Eepad invite les universitaires à entrer en contact avec notre diaspora à l’Etranger pour essayer de développer des programmes locaux.
Réunion du Fonds de solidarité numérique à Genève, La bataille de réduction de la fracture numérique - par bellaouar le 12/11/2007 22:16

Le quotidien El Watan, edition du 12 novembre 2007, rubrique multimédia :

Le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour, a réaffirmé mardi dernier à Genève, à l’ouverture de la réunion du Fonds de solidarité numérique (FSN), la volonté de l’Algérie, membre fondateur du FSN, de susciter une adhésion internationale à la lutte contre la fracture numérique.

Le ministre a rappelé, à cette occasion, la situation « encore préoccupante » en matière d’accès aux technologies de l’information et de la communication (TIC) dans le sud de la planète et, particulièrement, en Afrique, imputant le retard accusé, dans ce domaine, au fait que « les actions arrêtées n’ont pas permis de réunir les conditions permettant d’investir des fonds et des efforts afin de combler ce fossé ». Dans ce cadre, il a précisé que ce fossé qui ne cesse de s’élargir « se caractérise par le sous-équipement en ordinateurs, en téléphones fixes, la faiblesse du nombre d’utilisateurs d’internet et par des coûts d’accès élevés ». A cet effet, le ministre a jugé « plus que jamais d’actualité » la mise en œuvre d’une « dynamique plus soutenue » d’édification d’une société de l’information « véritablement inclusive et solidaire » sur la base du plan d’action du sommet mondial sur la société de l’information tenu à Tunis en novembre 2005. M. Haïchour a rappelé également les décisions et engagements pris en octobre dernier lors du sommet Connecter l’Afrique de Kigali (Rwanda) d’« accélérer » le développement de l’infrastructure des TIC, de « renforcer » la connectivité et de « créer un environnement favorable » aux investissements et à la mise en ligne de services administratifs. A cet effet, il fait part de la détermination de l’Algérie à « poursuivre » le chemin tracé pour « réduire les écarts et assurer le développement, le progrès et la prospérité auxquels aspirent tous les peuples ». A cette occasion, M. Haïchour a développé « la réforme profonde » du secteur des TIC engagée en Algérie qui s’est traduite, a-t-il dit, par « une croissance sans précédent du secteur, l’apparition de nouveaux services, l’adoption d’innovations technologiques, des gains de productivité et des baisses de tarifs ». Il a ajouté que la mise en œuvre de cette vision a permis à l’Algérie de disposer d’une infrastructure « vaste et robuste » constituée d’un réseau national de transmission de près de 28 200 km de câbles en fibre optique, de 44 000 km de faisceaux hertziens et de 2000 km de liaisons internationales de câbles sous-marins en fibre optique. Elle a permis également la réalisation d’un parc d’équipement numérique d’abonnés de près de 5 millions et d’un réseau national de téléphonie dont le nombre a atteint, au 30 septembre 2007, près de 3 200 000 dans le fixe et 25 000 000 dans le mobile, a-t-il fait savoir. M. Haïchour a précisé que grâce à ce « saut spectaculaire » enregistré dans les télédensités fixes et mobiles (9,6% et 75%), l’Algérie est classée parmi les pays ayant le meilleur taux de pénétration. Il a également cité la mise en place d’une e-commission chargée d’élaborer la stratégie e-Algérie, relevant que de nombreux projets e-administration ont ainsi été réalisés, notamment la construction de réseaux intranet gouvernemental et la mise en place de portails de différents ministères, la mise en ligne d’informations et de formulaires à travers les sites web des différentes institutions et de messageries électroniques. M. Haïchour a également fait part de l’initiative « Ousratic, un PC par famille » visant la généralisation de l’utilisation des TIC dans les foyers, ainsi que la réalisation d’un cyberparc à Alger. A rappeler que le Fonds de solidarité numérique est une initiative africaine adoptée à l’occasion du sommet mondial sur la société de l’information, qui a eu lieu à Tunis en nombre 2005.

APS
Internet Tout reste à faire en Algérie - par AbdelmalekAMINE le 12/11/2007 18:28

Le P-DG de l'Eepad, Nouar Harzallah, a déclaré, hier, que l'Algérie estclassée par l'Union internationale de Telecom au 97è rang, avec unindice de connectivité le plus faible au nord de l'Afrique.

L'invité du forum d'«El Moudjahid», Nouar Harzallah a estimé hier, lorsde son intervention dans une conférence-débat consacrée audéveloppement des technologies nouvelles que l'Algérie est très enretard, comparativement aux pays développés. Le conférencier a préciséque l'indice de connectivité n'est pas calculé sur le nombre d'abonnésayant des portables ou le nombre d'abonnés à Internet «mais on mesurel'indice de connectivité par rapport au taux de pénétration del'Internet dans les écoles», a-t-il fait remarquer. Et le conférencierd'appeler les secteurs de l'éducation et de la formation de rattraperrapidement le retard. Le constat fait hier est très sévère. Leconférencier indiquera que les connections se font à 80% pour le «Chat»et 20% seulement pour aller vers des sites de recherche. Leconférencier a déploré également le manque de créativité et derecherche chez nos informaticiens, notamment, les chercheursuniversitaires. «Qu'est ce qui empêche nos universitaires et nosprofesseurs de développer des contenus et des programmes locaux?»,s'est-il interrogé. «Il faut savoir qu'on est sur la mauvaise voie. Labataille, aujourd'hui, dans le domaine de la technologie del'information est concentrée sur le développement des programmes alorsqu'en Algérie la bataille est limitée à l'accès aux sites étrangersseulement», dira-t-il.

Le conférencier a évoqué un problèmede taille: la sécurité de l'information, affirmant que celle-ci estcomplètement bafouée. «Il est vrai qu'il y a eu une loi qui a étéadoptée par le gouvernement algérien sur la cybercriminalité mais, onne voit pas son application sur le terrain», a-t-il affirmé. Pourrappel, Boudjemâa Haichour avait, à plusieurs reprises, dans sessorties médiatiques, indiqué que la sécurité des communicationsconstitue pour l'Algérie une préoccupation majeure qui incite à sedoter d'infrastructures de télécommunications modernes, fiables etsécurisées. Il avait également relevé, à chaque fois, l'importance dedévelopper des réseaux stratégiques performants, mettant l'accent surla nécessité d'assurer des niveaux optimums de «sécurité» et de«confidentialité» des données et des communications échangées sur lesréseaux. Le P-DG de l'Eepad invite les universitaires à entrer encontact avec notre diaspora à l'Etranger pour essayer de développer desprogrammes locaux. Le conférencier prédit la création «de 50.000 postesd'emplois pour les informaticiens, dans des entreprises qui sespécialisent dans le développement du contenu».

En fait, leP-DG de l'Eepad plaide pour une stratégie de développement des TIC etpour une stratégie qui favorise le développement des programmes et descontenus.

Enfin, concernant l'opération «Ousratic» (un PCpour chaque foyer), lancée en 2005, le P-DG de L'Eepad a indiqué quepas moins de 56.412 packs ADSL ont été écoulés (PC portables avecconnexion ADSL). Son entreprise a tracé un objectif visant à satisfaireun million d'acquéreurs, dans le cadre de l'opération «Ousratic» àl'horizon 2010. L'Eepad envisage également de continuer à développer leréseau ADSL pour couvrir les 48 wilayas.
Multiplier par 100 les débits ADSL - par Herrouz le 11/11/2007 19:02

Un chercheur australien vient de défrayer la chronique en soumettant une thèse qui explique comment multiplier par 100 les vitesses des lignes ADSL. Selon lui, ses méthodes peuvent être implantées d’ici 2 à 3 ans.Dr John Papandriopoulos a mené ses recherches à l’Université de Melbourne en Australie où il a rédigé sa thèse qui l’a propulsé vers la gloire. Cet homme de 29 ans a tellement séduit que le Professeur John Cioffi, considéré comme le père du DSL et enseignant à l’Université de Standford aux États-Unis, lui a proposé de travailler pour lui. De son côté, l’Université australienne a récompensé son poulain avec le Chancellor’s Prize. Il faut dire que l’établissement devrait profiter en partie des deux technologies que Dr. Papandriopoulos est en train de breveter.Sa thèse porte sur l’accroissement des vitesses sur une ligne DSL grâce à des algorithmes réduisant les interférences électromagnétiques qui ralentissent ce type de connexion. Les recherches se sont portées sur la diaphonie (crosstalk en anglais) qui est une interférence d’un premier signal dont les traces vont être retrouvées dans un second signal. Dr Papandriopoulos donne l’exemple d’une conversation téléphonique où l’on entend un bruitComparable au grain en argentique, le bruit apparaît sous forme de pixels parasites de couleurs irrégulières. Il augmente notamment avec la chaleur, l... distant en plus du destinataire de l’appel.La diaphonie peut venir perturber un signal DSL et réduire la vitesse de connexion. L’algorithme réduit ces interférences et maximise la vitesse pour passer par exemple de 1 à 100 Mb/s. Le principe de réduction des diaphonies existe déjà, mais selon la thèse, cet algorithme dépasse largement toutes les autres technologies utilisées jusqu’à présent.Cette technologie nous paraît limitée néanmoins et ne semble pas répondre aux autres problèmes des lignes DSL, comme l’atténuation du signal lorsque la connexion est effectuée sur une longue distance.L’Université de Melbourne est déjà en contact avec certains vendeurs d’équipement DSL et l’auteur de la thèse estime que sa technologie est plus facilement utilisable que les autres recherches qui ont été faites sur le sujet. Il table sur une implémentation d’ici 2 à 3 ans.L’Université de Melbourne est déjà en contact avec certains vendeurs d’équipement DSL et l’auteur de la thèse estime que sa technologie est plus facilement utilisable que les autres recherches qui ont été faites sur le sujet. Il table sur une implémentation d’ici 2 à 3 ans. In PresencePc du 11/11/2007. 
Google étend son empire aux téléphones portables - par avunet le 10/11/2007 22:42

n événement dans le monde de la technologie : après Apple en juin, c'était au tour de Google d'annoncer, lundi 5 novembre, son arrivée sur le marché de la téléphonie mobile.

Le premier a réussi haut la main son examen d'entrée. L'iPhone, avec son large écran tactile et son design soigné, s'est vendu à presque 1,5 million d'exemplaires en trois mois aux Etats-Unis (il sera distribué en France par France Télécom à partir de fin novembre). Un succès qui oblige les constructeurs traditionnels de téléphones à reconsidérer l'ergonomie de leurs terminaux haut de gamme. Google, moteur de recherche le plus utilisé de l'Internet et première régie publicitaire en ligne, pourrait également changer la donne. Le géant de Mountain View (dans la Silicon Valley en Californie) a l'ambition de s'imposer sur les écrans des téléphones mobiles comme il a su le faire sur ceux des ordinateurs.

Pas avec un terminal (le "Google Phone") que la rumeur annonçait pourtant avec insistance depuis des mois. Mais avec un système d'exploitation (un logiciel permettant de faire fonctionner des applications) pour terminaux mobiles.

Android - c'est son nom - sera gratuit et construit sur une architecture ouverte et libre, sur le modèle des logiciels Linux. Tous les développeurs informatiques auront ainsi accès à ce programme, ce qui leur permettra d'y greffer facilement leurs applications. Pour les constructeurs et les opérateurs télécoms, Android sera aussi le moyen de lancer des téléphones rapidement et à moindre coût.


Google a-t-il inventé le modèle économique sans limite ? - par Herrouz le 08/11/2007 10:43

La société a développé d'innombrables applications connexes qui étendent sa mainmise à tous les recoins d'Internet. Avec Android, Google promet aujourd'hui de faire démarrer l'Internet mobile sous son ombrelle. Cotée à plus de 740 dollars, son action lui vaut une capitalisation de plus de 230 milliards de dollars, soit la cinquième des États-Unis. 

Si l'on avait envisagé dès les débuts d'Internet que la publicité serait le mode de financement de la gratuité, Google a trouvé le modèle économique le plus efficient en associant la publicité non à l'accès, mais à la recherche. Car la publicité n'est plus intrusive, mais devient un vrai service dès lors que l'on cherche quelque chose. On voit bien aux Etats-Unis que la publicité sur Internet a pris une part substantielle du marché. Ce modèle qui leur assure une croissance de leurs résultats exceptionnelle, associé à une cotation en Bourse qui leur fournit des moyens financiers considérables, leur donne les moyens de racheter toutes les entreprises de high-tech qui leur paraissent présenter un vrai potentiel de développement. Donc tous les outsiders potentiels. Au point qu'aujourd'hui, les start-up se créent avec l'idée d'être un jour rachetées par Google, comme hier déjà par Microsoft. Ce modèle fonctionne d'autant mieux que Google connaît précisément les centres d'intérêt de ses utilisateurs. Et que la direction de la société fait preuve d'une ouverture d'esprit tout à fait remarquable. En témoigne le lancement prochain d'un système d'exploitation de mobile ouvert, qui prend tout le monde par surprise et menace les systèmes propriétaires que sont Windows et Symbian. En créant cette alliance, Google parie que demain l'accès à Internet se fera par le téléphone mobile, amenant à Internet des milliards d'individus qui aujourd'hui n'ont ni ordinateur personnel ni ligne téléphonique fixe. Cette entrée dans un monde du mobile très contrôlé par les opérateurs est à la fois un aiguillon providentiel de la concurrence, et une étape majeure du développement de Google.

Gérard Pogorel in "La Tribune (Fr) du 08/11/2007".
Microsoft et Mozilla en désaccord sur le futur du JavaScript. - par Herrouz le 07/11/2007 21:45

Microsoft et Mozilla ne semblent absolument pas d’accord sur le développement du langage de script JavaScript. Les développeurs Brendan Eich, créateur du JavaScript et directeur technique de Mozilla, et Chris Wilson, architecte de la plateforme Internet Explorer, se sont livrés à un drôle de ping-pong par blogs interposés.

Le différent entre les deux hommes vient de l’évolution du JavaScript. Mozilla soutient la version 4 de l’ECMAScript, tandis que Microsoft met en avant son JScript. Tout allait plus ou moins bien jusque là, quand Chris Wilson a émis un avis qui a mis le feu aux poudres. Selon lui, la version 4 de l’ECMAScript représente trop de changements par rapport à l’actuel JavaScript, et devrait constituer un langage à part afin d'éviter la création de nouvelles fourches dans le code des pages web.

il ajoute : « Notre opinion est qu’une révolution dans l’ECMAScript serait plus facilement atteinte avec un langage entièrement nouveau. Nous pourrions ainsi supporter les utilisateurs actuels tout en libérant le nouveau langage de certaines contraintes (incluant la contrainte de supporter de manière performante les scripts de l’ancien langage dans le nouveau). »

Il regrette apparemment que les suggestions proposées par Microsoft n’aient pas été entendues par le Comité Technique de l’ECMAScript, ce que Brendan Eich réfute totalement. Selon le créateur du JavaScript, Wilson aura été mal informé sur le processus de développement de l’ECMAScript version 4, car le Comité était ouvert aux critiques, alors que Microsoft serait restée plutôt silencieuse.

« Au mieux, nous avons un conflit fondamental de visions et de valeurs techniques entre la majorité et la minorité » indique Eich. Il explique que Microsoft a travaillé durement sur les révisions 1 à 3 de l’ECMAScript mais n’a pratiquement plus rien fait une fois arrivée sur le trône des parts de marché des navigateurs. Aujourd’hui, la révision 4 de l’ECMAScript pointe le bout du nez, et Microsoft se sentirait menacée par une mise en conformité de son JScript laissé à l’abandon depuis huit ans.

Une histoire qui n’est certainement pas terminée.
                In "INpactitude : Mégazine Informatique en ligne", 05.11.2007.
La vitrine technologique Intel Skulltrail monte à 5 GHz - par Herrouz le 06/11/2007 09:53

Intel a montré aux journalistes une version de sa plateforme très haut de gamme, Skulltrail affirmant qu'elle montait jusqu'à 5 GHz. C'est une évolution par rapport à la machine montrée à l'IDF qui ne montait qu'à 4 GHz.LA vitrine technologique d'IntelOn vous prévient tout de suite, âme sensible s'abstenir. Intel veut vendre des Skulltrail aux plus riches et disposer ainsi d'une vitrine technologique. Malgré le fait que la carte mère ne soit pas totalement finie, et que l'on doute qu'il y ait réellement un nombre important de machines commercialisées, Intel parle de vendre son produit le mois prochain. Bref, il veut jouer à « qui a la plus grosse (configuration) ce Noël » et il y met les moyens.Des processeurs Xeon pour l'occasionLa machine intègre un chipset Seaburg gérant deux processeurs Xeon sur Socket 771. Selon Intel, le système a pu être overclocké jusqu'à 5 GHz tout en restant stable. La plateforme utilise néanmoins un système de refroidissement à vapeur.Puisque l'on est sur le domaine des processeurs, sachez que les Xeon utilisés sur cette plateforme ont été spécialement dessinés pour l'occasion. Ils sont conçus pour tirer parti de la carte mère. Par exemple, ils disposent d'un pre-fetcher agressif selon le fondeur et ils utilisent le FSB différemment des Xeon classiques. Ils ne sont pas non plus bloqués au niveau du coefficient multiplicateur.Une machine haut de gammeOn constate aussi un nombre impressionnant de régulateurs de tension autour des Sockets et permettant des réglages très précis. On trouve la même chose autour de la mémoire. À ce niveau, Intel venait de recevoir 4 modules de 2 Go FB-DIMM 800 MHz CL3 de Kingston. On parle ainsi d'une bande passante maximale de 24 Gbit/s.La plateforme intègre aussi le minimum syndical : ports SATA et eSATA, des ports FireWire, USB, Ethernet. La carte affiche aussi 4 slots PCI Express 16x. Il est intéressant de noter que l'on trouve aussi un chipset NVIDIA nForce 100. En charge de gérer les lignes PCI Express, on peut se demander si ce n'est pas la solution du fondeur pour autoriser un système Quad SLI.Ne pas nous parler prix et consommationBien entendu, Intel ne parle pas de prix ni de consommation, cette plateforme étant avant tout destinée aux performances. Mais comme l'a dit l'un des journalistes présents lors de la présentation : on n'achète pas une Ferrari pour se préoccuper de combien de litres elle consomme aux 100.                                                Source : Presence PC (Publié le 02/11/2007)
Connectivité : Des milliards investis en Afrique - par bellaouar le 05/11/2007 20:02

Dans le quotidien El Watan, edition du 5 novembre 2007, rubrique multimédia :

Plusieurs pays africains et des institutions internationales ont promis d’investir plus de 55 milliards de dollars pour accélérer l’accès à internet sur le continent.

Ces engagements ont été pris lors d’une conférence internationale sur le développement de l’internet en Afrique, intitulée « Connecter l’Afrique » et qui s’est déroulée les 29 et 30 octobre dernier à Kigali, indique un communiqué de l’UIT publié mercredi. Les participants à la conférence se sont engagés à connecter toutes les capitales africaines et les grandes villes grâce aux infrastructures des technologies de l’information (TIC) et à renforcer les connexions avec le reste du monde d’ici à 2012. « D’ici à 2015, les services des technologies de l’information seront étendus à tous les villages africains », affirme le communiqué. L’Afrique accuse un lourd retard dans le domaine du développement de l’internet. Moins de 4% des Africains ont aujourd’hui un accès à internet, souligne l’UIT. Parmi les donateurs figurent notamment la Commission européenne et la Banque mondiale (BM), qui s’est engagée à doubler son financement en faveur des TIC en Afrique pour atteindre 2 milliards de dollars d’ici à 2012. La Banque africaine de développement (BAD) a également promis de financer des projets dans ce secteur à hauteur de 65 millions de dollars. Outre le Rwanda, six pays africains ont participé à cette conférence : le Mali, le Malawi, le Burkina Faso, le Sénégal, Djibouti et le Burundi. « L’objectif de ce sommet a été de discuter de l’application des stratégies qui vont permettre au continent africain de mettre » les technologies de l’information (TIC) au service du développement, a expliqué à l’AFP le secrétaire général de l’Union internationale des télécommunications (UIT), Hamadoun Toure, partenaire dans l’organisation de cette rencontre. Outre le président rwandais Paul Kagame, six chefs d’état africains, Amadou Touré (Mali), Bingu Wa Mutharika (Malawi), Blaise Compaoré (Burkina Faso), Aboudoulaye Wade (Sénégal), Ismael Omar Guelleh (Djibouti) et Pierre Nkurunziza (Burundi) participent à la conférence « Connecter l’Afrique » qui s’achève mardi. Au moins 300 millions de dollars seront investis dans des projets visant la promotion des TIC dans l’ensemble du continent africain d’ici à l’an 2012, a expliqué M. Touré, en soulignant qu’une telle initiative a besoin de l’implication active du secteur privé.

Samir Ben Djafar
Peu d’étudiants sont connectés à l’Internet (Forem) - par TalhiSaid le 01/11/2007 23:18

Peu d’étudiants sont connectés à l’Internet (Forem 29 oct 2007)
Le deuxième salon du Hi Tec a été une occasion pour la Forem de livrer les résultats de la dernière recherche que ses représentants ont effectuée le mois dernier. L’étude a été rendue publique, notons-le, par le président de la Forem, M. Khiati, lors d’une conférence tenue en marge du Salon. La recherche en question porte sur l’utilisation d’Internet dans le milieu universitaire. Quelque trois mille étudiants inscrits dans plusieurs des universités essentiellement spécialisées dans le domaine des technologies de manière générale ont dû répondre à une série de questions liées à l’utilisation d’Internet, mais aussi de l’outil informatique. Globalement, l’étude a révélé que l’utilisation d’Internet n’est toujours pas à la hauteur des espérances, particulièrement si l’on prend en considération le fait que la plupart des étudiants interrogés suivent des études dans des domaines techniques. A en croire les résultats de l’étude, un tiers des étudiants se connecte à Internet à partir de leurs domiciles au moment où 17 % seulement consultent et naviguent sur Internet à partir de l’université, y compris les étudiants spécialisés dans des domaines tels que l’informatique, par exemple. Paradoxalement, 80 % de ces personnes ont touché l’outil informatique dès l’âge de 16 ans. 34 % d’entre eux possèdent des véhicules ainsi que des téléphones portables (62 %) et fixes (60 %). Il ressort également que les étudiants utilisant régulièrement des ordinateurs s’intéressent à Internet avec un taux de 42 %, au moment où 12 % d’entre eux utilisent l’outil informatique essentiellement pour des opérations de traitement de textes. L’on constate également que de plus en plus de jeunes utilisent l’ordinateur pour visionner des films ou pour écouter de la musique. Il y a lieu de signaler également que plus de 50 % des personnes interrogées ont subi des formations dans le domaine de l’informatique. Dans la plupart des cas, il s’agit de formations de courtes durées. Suivant les conclusions de l’étude, la raison principale à l’origine de l’utilisation très sommaire d’Internet par les étudiants objets de la recherche est le manque de moyens. Beaucoup de jeunes proposent d’ailleurs que les PC soient proposés à « des prix plus raisonnables » et demandent à ce que les connexions soient légèrement réduites. Le président de la Forem a tenu à signaler, en outre, « qu’une vingtaine d’universités ne possède pas, aujourd’hui, de site Internet » avant d’ajouter que « les universités disposant de sites Internet ne les actualisent pas de façon régulière ».
Le programme Ousratic loin des prévisions - par TalhiSaid le 01/11/2007 23:08

 
Le programme Ousratic loin des prévisions 

Lors d’une conférence organisée en parallèle du salon Hi Tec, qui s’est tenu du 17 au 20 octobre courant, le professeur Khiati, président de la Fondation pour la promotion de la recherche scientifique, a dressé un tableau peu reluisant sur le projet Ousratic, en particulier, et sur la vulgarisation des technologies en Algérie de manière générale. Le conférencier a indiqué que le programme Ousratic, qui vise à doter quelque six millions de foyers algériens en PC vers l’année 2009, n’aboutira jamais à ce chiffre. « Suivant les prévisions les plus optimistes, et en mettant toutes les chances de son côté, le programme Ousratic permettra d’équiper au maximum 2,8 millions de foyers vers l’année 2009, avec une cadence de 700 000 PC livrés chaque année », a-t-il déclaré en s’appuyant sur les déclarations d’un certain nombre d’experts. Il semblerait, à ce propos, que le niveau de vie encore bas d’une grande partie de la population soit l’un des principaux facteurs faisant que l’opération Ousratic n’évolue pas au rythme espéré. D’autre part, l’orateur mettra le doigt sur une autre question, celle du niveau d’instruction, mais aussi de la population. « 75 % de la population algérienne possèdent un niveau d’instruction considéré comme moyen, ce qui représente un élément plus ou moins handicapant pour le développement d’une opération telle que Ousratic », dira-t-il. D’un point de vue plus large, le professeur Khiati a attiré l’attention sur le fait que l’utilisation des nouvelles technologies reste encore un luxe en Algérie. « Aujourd’hui, 0,1% seulement des PME algériennes utilisent Internet, au moment où les PME des pays voisins utilisent cet outil de façon quasi systématique », a-t-il signalé, en précisant que « le taux de pénétration des équipements informatiques au niveau du marché algérien est de seulement 12 % ».
Apple lance le nouveau système pour Mac Leopard - par bellaouar le 29/10/2007 22:56

Dans le quotidien El Watan, edition du 29 octobre 2007, dans la rubrique multimédia est annoncé le lancement d'une nouvelle version du système d'exploitation Apple :

Apple a lancé, vendredi dernier, une nouvelle version de son système d’exploitation Macintosh.

La publication de la mise à jour, appelée Leopard, intervient quelques jours après l’annonce d’Apple selon laquelle ses ventes d’ordinateurs Mac auraient augmenté de 34%. Leopard sera pré-installée sur les nouveaux Mac tandis qu’une version en ligne, pour les clients ayant des ordinateurs plus anciens, sera payante. Annoncée à l’été 2006 pour le printemps 2007, cette nouvelle version de Mac OS X (le système d’exploitation des ordinateurs Apple) a vu son lancement différé en raison de la commercialisation de l’iPhone, qui a « mobilisé les équipes marketing » selon la compagnie. Leopard est le dernier produit d’une série de nouveautés lancées par Apple, dont la nouvelle ligne d’iPod lancée le mois dernier, les nouveaux ordinateurs de bureau Mac lancés cet été, et l’iPhone, le téléphone mobile d’Apple qui a été lancé en Juin. Leopard est la cinquième mise à jour du système d’exploitation d’Apple OS X pour Mac, depuis la version originale lancée en 2001. A l’inverse de Microsoft, qui licencie ses systèmes d’exploitation aux autres compagnies qui l’installent sur un grand nombre de PC, Apple a depuis longtemps favorisé un système fermé dans lequel ses ordinateurs Mac sont les seuls qui supportent son système d’exploitation. Cet arrangement a permis à Apple de garder un rythme soutenu d’innovation dans le secteur des logiciels, tout en évitant un certain nombre de problèmes de sécurité et d’interopérabilité qui ont considérablement nui à Windows Vista par exemple, d’après Van Baker, un analyste de Gartner. De prime abord, l’interface de la sixième version majeure de Mac OS X ressemble comme une goutte d’eau à celle de Tiger, la précédente édition du système d’exploitation de Mac. Mais Leopard présente plus de 300 améliorations. Parmi ces améliorations, on trouve d’abord une machine à remonter le temps baptisée « Time Machine », qui fait une sauvegarde automatique des données contenues dans un ordinateur. Ce programme permet presque instantanément de retrouver une ancienne version d’un document ou de réinstaller l’ensemble du contenu d’un ordinateur. Par ailleurs, les fichiers se feuillettent désormais d’un seul clic. Il est donc possible de faire défiler d’un simple clic les documents, dont les contenus apparaissent grâce au logiciel « Quick Look », sans les ouvrir ni même disposer de l’application ayant été utilisée pour les créer. D’une manière générale, l’ergonomie du bureau de l’ordinateur est augmentée. Avec « Stacks », les documents peuvent être rangés sous forme de piles, qui s’ouvrent en éventail lorsqu’on les appelle. Cette fonction permet également aux utilisateurs un nouveau moyen de classer leurs travaux en créant des espaces personnalisés sur le bureau, ne contenant que les applications ou les documents nécessaires à chaque projet.

Samir Ben Djafar
Le New York Times libère ses applications web - par avunet le 29/10/2007 22:20

Le New York Times change de monde. Le quotidien américain, qui a décidé récemmentde passer au modèle « tout gratuit » pour son site web, a égalementchoisi d’adopter complètement l’open source et les logiciels libres. Lesite du quotidien est ainsi basé sur des solutions « libres » commeApache, PHP ou MySQL. Mieux : des employés du Times ont décidé participer pleinement au mouvement du logiciel libre, en libérant également leurs propres applications.Ainsi, fin juillet, les développeurs Jacob Harris et Derek Gottfrid ont ouvert un blog consacré à l’open-source au New York Times. Parallèlement, ils ont rendu public deux applications, DBSlayer (sous licence Apache 2.0) et XSL:Cache (sous licence PHP). Les deux logiciels libres ont été conçus en interne au Times,afin d’optimiser et d’accélérer l’accès des internautes au site web duquotidien, tout en réduisant le travail à effectuer par la machine. Surleur blog, les deux ingénieurs décrivent le fonctionnement desapplications et encouragent les bonnes volontés à participer audéveloppement. Jacob Harris et Derek Gottfrid parlent également de leurutilisation des technologies du web pour diffuser les informations du Times.
Firefox marque son territoire en Europe - par avunet le 29/10/2007 22:17

L’institut Xiti Monitor, qui analyse les données de connexion des internautes, vient de publier son nouveau « baromètre des navigateurs ». L’étude, qui indique les parts d’utilisation des différents web browserspar les internautes, concerne le mois de septembre. Et si InternetExplorer continue de régner sur le monde dans ce domaine, le navigateurlibre Firefoxassoit sa position de challenger. En septembre, en Europe, Firefoxétait ainsi utilisé par 27,7% des internautes. Une progression de plusde six points par rapport à septembre 2006, qui a surtout eu lieujusqu’en juin dernier, quand Firefox a atteint 27,6% des internautesEuropéens. Depuis, la courbe s’est un peu tassée, et a même accusé unebaisse de 0,3 point en août, avant de remonter à 27,7% en septembre.
Téléphonie mobile: Nedjma satisfait à ses engagements réglementaires de couverture réseau - par Behaz le 29/10/2007 08:08

ALGER- L'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) a affirmé samedi que le troisième opérateur de téléphonie mobile, Wataniya Telecom Algérie (WTA), "a satisfait à l'exécution de ses obligations réglementaires en matière de couverture et de qualité de services". L'ARPT a précisé, dans un communiqué, que l'évaluation de la couverture et de la qualité de service du réseau de la téléphonie mobile de type GSM de WTA au titre de la troisième année d'activité fait ressortir "un taux de couverture et de qualité de services de 99,1% au niveau des chefs-lieux des wilayas et de 96,1% au niveau des axes routiers".
Un nouvel accord pour la modernisation du réseau fixe. - par Behaz le 29/10/2007 08:07

Algérie Télécoms vient d'annoncer la signature d'un nouvel accord de coopération avec son partenaire Ericsson AB. La modernisation du réseau fixe d'Algérie Télécoms et l'appropriation de systèmes et de solutions multiservices avancées sont au centre de ce nouvel accord.

Pour Slimane Khireddine, PDG du Groupe, l'accord en question procède de la volonté de l'entreprise de poursuivre les projets de modernisation de son réseau, de mettre en place le Réseau National Multiservices, de consolider et d'élargir sa coopération avec Ericsson. Partenaire à la réputation mondiale bien établie, la firme suédoise est une habituée du secteur des télécommunications en Algérie. Elle est connue, en tant que leader mondial dans le domaine des TIC, pour ses connaissances et expertises pointues dans les domaines du planning, de la conception, de la fourniture et de la mise en œuvre d'une modernisation d'un réseau télécom et le support de systèmes et solutions multiservices avancées.

De l'avis de Slimane Khireddine et de la délégation de l'opérateur historique présente au moment de la signature, la coopération avec Ericsson procède de la stratégie du Groupe de moderniser son réseau, de capitaliser sur ses investissements existants et de développer de nouveaux services innovants intégrés pour ses clients, indépendamment du réseau d'accès qu'ils utilisent.
Ouverture mercredi du Salon international du livre - par AbdelmalekAMINE le 27/10/2007 18:27

Le Salon international du livre d'Alger (SILA) s'ouvrira mercredi prochain (31 octobre) au Palais des expositions SAFEX, pins maritimes d'Alger. Cette douzième édition du SILA ouverte au public jusqu'au 9 novembre, sera précédée par une conférence de presse qui sera animée demain à 11h, par le président du comité d'organisation et PDG de l'entreprise nationale de communication, d'édition et de publicité (ANEP), M. Ahmed Boucenna.
Portes ouvertes sur l'Internet - par AbdelmalekAMINE le 27/10/2007 18:26

Des portes ouvertes seront organisées, à partir d'aujourd'hui et jusqu'au 29 octobre prochain, sur l'Internet et l'ADSL au palais de la Culture d'Oran par la direction territoriale des télécommunications Oran d'Algérie Télécom. Sous le slogan : «pour une société de l'information, Algérie Télécom vous ouvre les portails de l'Internet», ces journées spécifiques à l'information vont permettre au large public de s'enquérir sur les dernières nouveautés en matière de communication, de connexion et d'information.
L’opérateur historique Algérie Télécom s’est distingué avec le titre du Meilleur stand du Salon Inte - par Behaz le 24/10/2007 09:15

Par son imposante présence et celle de ses filiales certes, mais aussi et surtout grâce à une somptueuse appropriation de l’espace où le stand d’Algérie Télécom de cette année a donné une belle dimension aux produits exposés. Des produits portés le plus souvent par un personnel en place particulièrement agréable à voir et réceptif à toutes les doléances. L’accueil des plus chaleureux réservé aux visiteurs n’est pas passé inaperçu. Ils étaient nombreux et nombreuses parmi les invités de cette manifestation à en avoir bénéficié. et à l’avoir bruyamment fait remarquer. Plébiscité "Meilleur stand du Salon International HI TEC 2007", l’espace investi par l’opérateur historique Algérie Télécom et ses filiales a été au diapason des innovations technologiques présentées aux visiteurs.

Des sources proches du comité d’organisation estiment que pas moins de 5 000 visiteurs ont été agréablement surpris tant par la qualité de l’accueil et l’originalité du stand d’Algérie Télécom que par les présentations techniques des produits exposés. Des démonstrations portées par la compétence avérée des ingénieurs et des techniciens de l’entreprise qui, affables à souhaits, ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour présenter les produits exposés et aiguiser les curiosités des unes et des autres autour du Call Center, l’EVIDEO, l’ADSL, l’Internet haut débit sans fil, l’accès haut débit Anis, la téléphonie 3G, le double play ou le nouvel annuaire téléphonique mis récemment sur le marché après une décennie d’absence.
Université - Entreprises Mise en place d'un observatoire d'innovations - par AbdelmalekAMINE le 23/10/2007 13:31

Rapprocher la PME de l'Université pour faire face à l'enjeu de la compétitivité dans un contexte de plus en plus ouvert et concurrentiel est la nouvelle politique adoptée par le gouvernement. La relation de complémentarité qui existe entre les deux, incite, en effet, à mettre la science au service de l'entreprise et montrer l'évolution de la recherche à travers l'entreprise. Mais, ce jumelage est-il possible, si l'on sait que la recherche n'a pas toujours occupé la place qu'elle mérite et que les projets de recherche ont souvent fini leur parcours dans les terriroires ?

Pour relancer le débat sur cette relation étroite entre ces deux volets, un forum a été organisé, hier, à l'université de l'USTO sur le thème «L'appui à l'innovation technologique des PME». Une rencontre qui a vu la participation d'universitaires et une présence très timide d'opérateurs économiques, premiers concernés, pourtant, par ce rapprochement. Plusieurs communications ont été présentées lors de ce forum qui avait situé la PME dans son contexte scientifique et opérationnel. Pour le chercheur universitaire, M. Aït Habouche, il est important de situer les contours de la gestion d'innovation dans une économie en développement, sachant que l'innovation est devenue une nécessité. Pour définir l'innovation, le même conférencier souligne que des entreprises innovent entre 40 à 50 % dans des biens d'équipements, 25 % dans des biens intermédiaires et entre 20 et 25 % dans des biens de consommation. L'innovation peut donc intervenir dans l'amélioration du produit, la commercialisation la technologie et aussi la constitution de réseau. Intervenant lors de cette rencontre, le représentant du ministère de la PME/PMI a expliqué la manière d'intégrer le secteur dans l'environnement scientifique et technologique. Il a annoncé la création de comité sectoriel permanent de la recherche dans le secteur de la PME. Il a également souligné l'importance de la création de pépinières et la mise en place d'un observatoire d'innovations en plus de la création et confortement des centres techniques et d'un fond de soutien à l'innovation.

C'est la nouvelle stratégie mise en place pour créer cet espace d'échange et de communication entre l'Université et la PME.
Condoléances - par ZIDAT le 22/10/2007 21:55

Condoléances. Nous ne trouvons pas les mots pour dire notre douleur quand nous avons appris que Abdessemed Mourad nous a quittés aujourd’hui suite à un accident de voiture. Il était notre ami et notre collègue. Quelle souffrance de penser qu'il n'est plus là ... Que Dieu accueil le défunt en Son Vaste Paradis. « A Dieu nous appartenons et à Lui nous retournons »                  
Mourad, nous n'oublierons jamais ta bonté de cœur.
Un salon des NTIC en Algérie - par AbdelmalekAMINE le 21/10/2007 13:51

Pour promouvoir le secteur des NTIC en Algérie, le Salon international Hi-Tec 2007 a réuni les professionnels du secteur du 17 au 20 octobre à Alger.Organisé par le World Trade Center Algeria (WTC Alger) en partenariat avec la SAFEX au palais des expositions, l’édition 2007 du salon a était dédié aux nouvelles technologies en Algérie. Regroupant une vingtaine d’exposants, citant Djezzy, Mobilis, CBSxerox, et Divona Algérie, BEA, panasonic, etc.., et environ 3000 visiteurs, le Hi-Tec s’est affirmé auprès des Participants professionnels et des visiteurs comme le rendez-vous incontournable des nouvelles technologies ainsi que leurs applications. Le Salon international Hi-Tec 2007 a eu pour objectif cette année, de favoriser la diffusion et l’utilisation des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) en Algérie en soutenant les initiatives prises à cet effet, tant au niveau local qu’international.L’innovation de ce salon, c’est la création de l’allée de la découverte, qui est un coin consacré a montré l’évolution de chacun du train et du téléphone au cours des années. L’organisation de la nouvelle édition du salon Hi-Tec est destinée exclusivement aux nouvelles technologies ainsi que leur développement et application. En effet, l’Algérie dont l’économie aujourd’hui s’ouvre de plus en plus, offre des opportunités non négligeables notamment en matière d’absorption des nouvelles technologies, que ce soit dans les télécommunication, l’énergie, la sécurité, ou le médical etc. En cela le Hi-Tec se veut un partenaire des entreprises modernes et innovantes, car il est de notoriété que la technologie peut améliorer le quotidien de tous les humains en général.
Communication : Oran abritera le prochain CITIC en juin 2008 - par AbdelmalekAMINE le 21/10/2007 09:15

Après la précédente édition organisée à Oued Souf, Oran accueillera, au courant du mois de juin de l'année prochaine, le carrefour international des technologies de l'information et de la communication. A ce grand rendez-vous, prendront part, apprend-on auprès d'Algérie Télécom, les leaders mondiaux de l'information et de la communication. Au menu de cette manifestation, des conférences et des expositions sont programmées.
Concours de magister en économie à Batna - par avunet le 21/10/2007 00:49


L’école doctorale « économieappliquée et management des organisations » de la faculté des scienceséconomiques et gestion de l’université de Batna (Algérie), organise un concoursde magister le lundi 10 décembre 2007. Il est à noter que cette école doctoralepropose, entre autres, un parcours de formation en :« Economie etmanagement du savoir et des connaissances ».Les postes à pourvoir sont de 52 et sont répartis géographiquementpar structure universitaire comme suit :Condition d’accès et modalité de l’examen : Sujet d’examen : Pour davantage de détails, voir l’annonce sur le site del’université de Batna (www.univ-batna.dz)ou sur le site du directeur de l’école doctorale (http://fares.boubakour.free.fr)
Le PDG de Canon Algérie a dévoilé la nouvelle stratégie sur le marché algérien du représentant du gé - par Behaz le 20/10/2007 10:03

D’emblée, Abdelhamid Messaoudi, directeur général de Canon Algérie, a mis l’accent sur les possibilités présentées par les nouveaux produits de la firme japonaise Canon, laquelle a particulièrement amélioré la fiabilité de son nouvel appareil numérique qui intègre une fonction Internet. A propos de celle-ci, M.Messaoudi affirme que « la seule limite est celle du temps consacré à la saisie ou à la création des données. La possibilité d’effectuer des recherches dans le contenu de votre site donne à l’internaute la possibilité de trouver immédiatement, au coeur de votre documentation, l’information re-cherchée. Il est donc possible, par la mise en ligne des documents, de faciliter l’utilisation des produits par vos clients actuels. Internet crée une rupture avec les modèles économiques traditionnels. »

Sabisystems, représentant officiel de Canon en Algérie, veut ainsi profiter de ces nouvelles tendances pour dynamiser ses affaires et aller plus loin dans sa politique d’adaptation et de partage par des contacts de proximité avec le marché. Se rapprocher toujours plus de la clientèle, sur son propre lieu de vie et de travail est une « constance dans notre action commerciale et après-vente » indique, d’autre part, le directeur général de Canon Algérie. Il est certain que les clients que Canon Algérie souhaite toucher, utilisent ou utiliseront plus tard Internet. L’entreprise Canon s’inscrit ainsi dans un mouvement d’anticipation au lieu de réagir dans la précipitation à la concurrence ou subir la loi du marché. Internet est le moyen idéal dans la recherche de nouveaux clients pour un investissement modéré. Cette tendance est de plus en plus lourde dans le monde de l’informatique. L’entre-prise cible autant les produits mass market (grand public) que les solutions d’entreprise.
Le taux d’accès à Internet en Algérie est estimé à près de 6% loin derrière ceux constatés en Tunisi - par Behaz le 20/10/2007 10:01

En dépit de son potentiel inestimable ( population jeune à plus de 60%, aisance financière sans précédent avec près de 100 milliards de dollars de réserves de change...), l’Algérie s’accroche mal au train de la modernité et du développement notamment en terme d’accès à Internet. Les objectifs de l’accès aux nouvelles technologies de l’information et de la communication et la généralisation de leur utilisation dans les différents domaines de la vie économique sont aujourd’hui loin d’être réalisés, estiment les spécialistes. Ces derniers sont unanimes à déplorer la modicité du taux de pénétration de l’Internet et la sous-utilisation de l’outil informatique en dépit des tentatives prises dans le cadre des différents projets initiés par les pouvoirs publics.

Le faible taux d’accès à Internet en Algérie est dû, selon eux, à plusieurs facteurs, notamment l’absence d’une vision stratégique globale quant au développement des technologies de l’Internet avec la fixation d’objectifs clairs et le développement des sites Internet à contenu numérique localement accessible. La faible croissance du réseau de téléphonie fixe et le coût encore élevé comparativement au pouvoir d’achat, du matériel informatique constituent également des obstacles pour l’édification de la société de l’information. Les spécialistes insistent sur la nécessité de mettre en place un plan d’action stratégique en mobilisant les ressources humaines et financières nécessaires, si on veut réellement se mettre au diapason des défis imposées par la globalisation avant de rater définitivement le train de l’évolution.
Le site de l’association des compétences algériennes activé en atttendant sa version finale le 11 oc - par TalhiSaid le 19/10/2007 11:59

Le site de l’association des compétences algériennes activé en atttendant sa version finale le 11 octobre 2007
Le site de l’association des compétences algériennes (ACA) a été, tout récemment, activé. Il s’agit du : www.aca-dz.org/default.aspx. Le site en question devra être présenté en version finale très prochainement. Le visiteur de ce site censé être en trois langues (Arabe, Français et Anglais) a la possibilité de connaître la très récente association des compétences algériennes dont les fondements ont été établis à l’issue de la première conférence des compétences algériennes organisée en avril dernier. Une conférence à laquelle, rappelons-le, ont participé des chercheurs, universitaires et autres chefs d’entreprises établis à l’étranger ainsi qu’un certain nombre d’académiciens algériens vivant en Algérie. Le site très acceptable sur le plan technique et esthétique n’est pas encore riche en information en raison du fait que l’ACA ait été créé depuis peu et n’a donc pas beaucoup d’activités à son actif. Le site assure, en outre, des liens vers des institutions et des organisations algériennes et internationales. Le site évoque, dans la rubrique « conférence 2008 », la tenue de la deuxième conférence des compétences algériennes, prévue les 17, 18 et 19 avril à l’hôtel Aurassi à Alger. D’après un document exclusif que nous nous sommes procuré récemment, la deuxième conférence des compétences algériennes sera bien plus riche en terme de sujets et de participants que la première. Le nombre de sponsors a lui aussi augmenté, un certain nombre d’entreprises et d’institutions ayant manifestement pris conscience de l’importance que revêt désormais cet événement. En ce qui concerne la participation, outre les algériens d’Europe et d’Amérique du nord, des cadres vivant dans des pays telles que les Emirats Arabes unis, l’Arabie Saoudite ou encore l’Australie viendront enrichir cette rencontre. La conférence d’avril prochain portera sur six thèmes. Il s’agit de la santé, de l’agriculture et la biotechnologie, les nanotechnologies, l’énergie et l’environnement, le transport et le développement urbain et la sécurité. Il s’agira pour les participants venus de différents pays et horizons de livrer leurs expériences et celles de leurs pays d’accueil en ce qui concerne ces thèmes en vue d’aider les décideurs et autres cadres algériens à avoir une meilleure visibilité sur les avancées technologiques dans plusieurs domaines d’activité. Sur un autre plan, le site de l’ACA permettra de jeter des ponts permanents entre les algériens d’ici et d’ailleurs. Il fera également office de banque de données donnant la possibilité de mieux connaître ce que font les algériens vivant à l’étranger mais surtout ce qu’ils pourront faire pour l’Algérie. Les compétences vivant en Algérie auront quant à elles la possibilité de dialoguer avec d’autres algériens travaillant dans des domaines similaires mais dans des conditions différentes. Il y a lieu de signaler, à ce propos, que le site Internet dédié aux inventeurs algériens vivant à l’étranger et qui devra être lancé prochainement par un algérien vivant aux Etats-Unis, mais aussi le projet de mise au point d’un listing détaillé des cadres algériens par l’agence de valorisation de la recherche scientifique sont autant de pas dans le bon sens, celui du transfert de technologie vers l’Algérie.
Omar Seddiki, unalgerien qui voit loin - par TalhiSaid le 19/10/2007 11:46

Omar Seddiki, un Algérien qui voit… très loin
Omar Seddiki, doctorant dans le domaine de la physique résidant au Canada, est sorti tout récemment de l’anonymat en mettant au point une nouvelle combinaison de produits permettant la fabrication d’un télescope à miroir liquide. A travers cette réalisation, l’Algérien Omar Seddiki réussit où beaucoup d’autres chercheurs ont échoué. Le miroir liquide en question est très adapté aux conditions extrêmes caractérisant la surface de la lune. Les travaux menés par M. Seddiki et son équipe ont été subventionnés et suivis par la très célèbre Agence spatiale américaine NASA. L’ancien étudiant de l’USTHB, désormais célèbre pour cette prouesse scientifique, nous parle de son parcours et des conditions à réunir pour permettre à l’Algérie de tirer profit des compétences algériennes établies dans différents pays du monde.It Mag : Tout d’abord, pouvez-vous nous donner une idée sur votre parcours universitaire et que faites-vous exactement en ce moment ? Omar SedikiPhysicien a mis au point le fabrication d’un telescope à miroir liquideM. Omar Seddiki : J’ai obtenu un diplôme d’ingénieur en électronique en 1990 à l’université des sciences et technologies Houari Boumediene de Bab Ezzouar (USTHB). Après la fin de mes études universitaires, j’ai commencé ma carrière professionnelle dans le secteur industriel. J’ai travaillé pendant 12 ans dans l’industrie, dont 6 ans dans la société SMEI. Je me suis installé au Canada à partir de l’année 2003. Une année plus tard, j’intègre le groupe de recherche des miroirs liquides à l’université Laval. En 2006, j’ai obtenu une maîtrise en physique. Actuellement, je prépare un doctorat en physique dans la même université.Pouvez-vous nous parler de votre départ vers le Canada. Dans quelles circonstances avez-vous quitté l’Algérie et quelles étaient vos motivations ?A un moment donné, j’ai senti la nécessité d’enrichir ce que j’avais cumulé en matière d’expérience professionnelle, mais aussi sur le plan intellectuel. Suivant cette logique, il m’a semblé important de faire le nécessaire pour évoluer dans un milieu exigeant où je puisse acquérir une expérience répondant aux normes de travail internationales. C’est ainsi que j’ai quitté mon pays fin janvier 2003 pour le Canada.Vous avez réussi à trouver une combinaison de produits permettant la fabrication d’un télescope à miroir liquide. Pouvez-vous donner une idée plus précise sur cette trouvaille et surtout sur les avantages qu’elle présente ?Notre groupe de recherche a déjà développé des techniques de fabrication de télescope à miroir liquide pour les applications terrestres. Pour le projet de miroir liquide sur la lune, ces techniques ne peuvent pas être utilisées, car les conditions d’utilisation sur la Lune sont très différentes : très basse pression de vide due à l’absence d’atmosphère et très basse température d’utilisation. On a donc opté pour un procédé déjà utilisé pour la métallisation des miroirs de télescope en verre et qui consiste à l’évaporation d’un métal sous vide. La difficulté résidait dans le fait que ce procédé n’a jamais été essayé sur un liquide. Il fallait donc développer un savoir-faire et des techniques pour l’adapter et trouver le liquide qui pouvait convenir aux conditions extrêmes de l’environnement lunaire. Au départ, on procédait par essais et erreurs, et très vite on a pu franchir un premier palier lorsqu’on a pu déposer une couche d’aluminium sur un polymère liquide hydrophile. Puis une autre étape majeure a été franchie un an après nos premières expériences, et cela lorsqu’on a déposé une mince couche d’argent sur un liquide ionique. Ces liquides sont des solvants qui peuvent être conçus avec un ensemble particulier de propriétés. Ils ne s’évaporent quasiment pas et ils restent liquides à des températures très basses. Ce qui fait d’eux les « candidats » les plus sérieux pour le projet d’un miroir liquide sur la Lune.Comment vous êtes-vous retrouvé impliqué dans les travaux relatifs à ce projet ?L’Agence spatiale américaine (NASA), via son Institut pour les concepts innovants (NIAC), a décidé en 2004 de subventionner l’idée de télescope lunaire proposé par le professeur Borra. Ce dernier, qui était mon directeur de recherche, m’a chargé de reprendre des expériences de métallisation sous vide qui ont été abandonnées il y a quelques années faute de résultats probants. J’ai repris les expériences en variant les liquides. J’ai fini par obtenir un premier résultat positif qui a démontré la faisabilité du projet, ce qui nous a permis d’obtenir des financements pour continuer nos recherches.Est-ce que les chercheurs et étudiants algériens résidant au Canada sont en contact (sous forme d’association ou autre) ? Existe-t-il suffisamment d’échanges entre les membres de la communauté scientifique algérienne ?Sur le plan humain, les contacts ent
TIC : L’analphabétisme numérique en débat. - par Herrouz le 18/10/2007 03:14

Alors qu’il se développe à une vitesse effrénée dans les pays occidentaux, notamment aux Etats-Unis et au Canada, le système numérique est au stade des premiers balbutiements dans les pays sous-développés, particulièrement en Afrique, où le développement économique de la quasi-totalité des pays est encore dans les langes. Dans ce domaine névralgique, la fracture entre les pays du Nord et ceux du Sud est immense. En Algérie, quoique timidement, le développement des technologies de l’information et de la communication reprend avec, notamment, l’opération Ousratic, grâce à laquelle 6 millions d’Algériens ont pu acquérir un PC. Mais cela n’a pas évité à l’Algérie, 10e au niveau africain, d’occuper la dernière place derrière le Maroc et la Tunisie. En effet, notre pays, qui compte selon les dernières estimations 2 millions d’internautes, dont 200 000 foyers abonnés à l’ADSL, occupe la dernière place derrière la Maroc, avec 6 millions d’internautes, dont 460 000 abonnés à l’ADSL et la Tunisie, avec 3 million d’internautes. C’est ce qu’a indiqué le Pr Mentalechta lors d’une conférence animée, hier, à la salle des conférences de la Safex. Le conférencier affirmera, d’emblée, que la fracture numérique n’est pas un fait du hasard, mais la conséquence du fossé économique qui sépare les pays du Nord et ceux du Sud. L’utilisation du numérique, selon le même orateur, ne profite pas aux pays sous-développés, puisqu’il a été constaté un faible recours au numérique. Pour étayer ses propos, le conférencier, par ailleurs expert international auprès de l’Unesco, affirmera que sur un milliard d’internautes de par le monde, plus de la moitié, soit 55%, sont soit du Canada soit des Etats-Unis, alors qu’en Afrique, qui représente 10% de la population mondiale, le taux d’internautes ne dépasse pas 1%, et si l’on supprime les pays du nord de ce continent et l’Afrique du Sud, le taux sera réduit à 0,4%. D’où l’appel lancé par les participants au dernier salon mondial des technologies de l’information et de la communication pour une aide de la communauté internationale aux pays sous-développés. Le Pr Mentalechta a sérié les causes à l’origine desquelles sont survenues les fractures numériques. Il a cité, entre autres, l’insuffisance des infrastructures, l’analphabétisme, les coûts exorbitants ainsi que l’âge et le sexe. Sur ce dernier point, il dira que les femmes sont les moins informées que les hommes. Et pour réduire un tant soit peu les fractures numériques, la même voie a proposé un certain nombre de solutions. Il s’agit de recenser, autant que faire se peut, les raisons et les origines de ces fractures, pour réaliser les infrastructures nécessaires, mettre une culture d’apprentissage des technologies de l’information et de la communication et des contenus, réduire les coûts et, surtout, mettre en place une politique de promotion. Il est à signaler qu’une série de conférences traitant de l’analphabétisme numérique a été animée durant la journée d’hier.
Source : Horizons (18/10/2007).
Le portail e-gouvernement achevé à 80%. - par Herrouz le 18/10/2007 03:09

Dans ce cadre, 12 000 sites Intranet interconnectant différentes institutions de l’Etat pour l’échange électronique sécurisé de données et de documents sont déjà opérationnels. L’annonce a été faite, hier, par Boudjemaâ Haichour, ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, en marge du 11e salon Hi-Tech 2007 organisé au palais des Expositions.
Les spécialistes de la question se sont souvent interrogés sur l’aboutissement de ce grand projet numérique, initié, rappelle-t-on, dans le cadre de la mise en œuvre des recommandations de la e-commission depuis 2004.
Ce système permettra, explique le ministre, de développer les services publics, de moderniser les administrations et les entreprises. Il ne se limite pas seulement, selon lui, à l’introduction des outils informatiques dans les institutions mais aussi à l’amélioration de la gestion interne et des relations avec le citoyen. Ce portail gouvernemental, devant raccorder tous les portails ministériels, sera, de ce fait, à l’usage des citoyens et des entreprises. Il vise, d’après M. Haichour, à l’élimination totale du papier, de façon à mettre fin aux tracasseries bureaucratiques.
Après avoir procédé à l’inauguration de la conférence initiée par le World Trade Center dont le thème a été « l’analphabétisme numérique », le ministre s’est déplacé ensuite au pavillon G où s’est déroulé le salon Hi-Tech 2007. 25 exposants, où Djezzy, Algérie Télécom, Mobilis, Sitel, Sororcom sont présents en vue d’afficher les grandes nouveautés du monde numérique en Algérie.
« Le secteur de la télécommunication est en train d’aller graduellement vers la maîtrise des technologies de l’information et de la communication pour combler à jamais le fossé de l’illettrisme numérique existant entre les pays avancés et ceux en voie de développement », estime le ministre.
Des textes sont en préparation sur la cybercriminalité
M. Haichour indiquera, sur un autre registre, que des textes législatifs sont en préparation en collaboration avec le ministère de la Justice sur la cybercriminalité. Cette démarche s’inscrivant dans le cadre de la cyberlégislation vise, selon lui, à maîtriser au mieux les réseaux et les sites générant des situations de violence. S’agissant de l’opération Ousratic (un PC pour chaque famille), le ministre a déclaré qu’un grand travail est train de se faire à l’échelle nationale en vue de booster ce projet. Tout en se déclarant conscient que le développement économique et local est tributaire du développement des infrastructures numériques, le ministre fera savoir, par ailleurs, que 1600 localités vont bénéficier de réseaux de télécommunication.                    &n bsp;                        &n bsp;                        &n bsp;                        &n bsp;   Source : Horizons (18/10/2007).
‘Boune’ Question - par ZIDAT le 16/10/2007 05:47

‘Boune’ Questionn Les nouvelles technologies de l'information et de la communication peuvent-elles participer utilement aux changements pédagogiques dont l'université algérienne a tant besoin aujourd'hui?Dans quelles conditions les technologies de l’information peuvent effectivement faciliter l’apprentissage ? Est-ce les produits informatiques conçus et les activités pédagogiques proposées sont-ils vraiment efficaces pour l’acquisition de connaissances? Ces produits vérifient-ils un certain seuil de qualité psycho-ergonomique, ces activités pédagogiques sont-elles en adéquation aux besoins des apprenants?Que faut-il mettre dans l’ordinateur et  comment s’en servir pour obtenir de bons résultats pédagogiques? A défaut des études théoriques et expérimentales quels sont les principes méthodologiques permettant de construire une expertise nécessaire à une véritable ingénierie des médias éducatifs?Faut-il  faire la recherche sur la technologie ou plutôt sur l’apprenant, ses capacités cognitives et ses besoins éducatifs? Comment identifier pour chaque objet d’enseignement ce qui fait obstacle aux apprentissages, en particulier chez les apprenants les plus faibles? Une réflexion sur la psychologie de la compréhension, qui nous guide à déterminer les bons choix de conception et des usages, est-elle nécessaire?Les technologies de l’information soigneusement adaptées aux besoins des apprenants compte tenu des objectifs pédagogiques sont-elles porteuses de nouvelles opportunités d’apprentissages?Le corps enseignant est-il appelé à être impliqué dans la conception des technologies éducatives? N’appartient-il pas aux enseignants de décider quand et sous quelle forme la technologie peut contribuer utilement à la pédagogie?L’université algérienne n’a-t-elle pas besoin de mettre en place de véritables opérations de recherche afin d’évaluer scientifiquement l’impact de ces technologies sur les apprentissages? L’université ne devrait-elle pas procéder à des expériences et des méthodes d’observations  pourront donner naissance à une ingénierie  capable de concevoir des instruments de qualité et de les utiliser pour le plus grand profit des étudiants? Devrait-on se contenter  des sites Web publicitaires ? 
SAHA AIDKOUM - par AbdelmalekAMINE le 14/10/2007 12:27

A l’occasion de la fête de Aïd el-Fitr, je souhaite une heureuse et joyeuse fête à tous les musulmans d’Algérie, de France et de toute la planète.Saha aidkoum wa koulou aam wa antoum bi alf kheir. 
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