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Special session: workshop/tutorial on e-Learning - par djoudi le 31/01/2016 11:16

Special session: workshop/tutorial on e-Learning

           

International Conférence on Communication, Management and 
            Information Technology“ (ICCMIT 2016)

Information Technology track

Title : Current and emerging Innovative uses  of IT's , social networks, Web 2.0 and Multimedia in digital learning and University Teaching Practices

Author : Prof BOUKELIF Aoued

ICT’s Research Team, Communication Networks, Architectures

and Multimedia laboratory , University of S.B.A

eMail:aboukelif@yahoo.fr

Tel. GSM: 0556937003

Abstract:

During the last decade, ICT has attracted and fascinated a large number of teachers and learners, but have they been a real benefit to teaching?.

This communication examines the innovative uses of Information and Communication Technologies (ICT) in education. To what extent ICTs are they really used?

To achieve what objectives? And get what results?

What parades did the teachers found to overcome the difficulties related to the physical isolation of learners?. And the new roles of these learners, what are they?

This communication deals with the innovative usages of IT’s in teaching and addresses the following issues: 

Important Dates

Paper submission deadline             

15 February 2016

Notification of acceptantes

28 February 2016

Camera ready and registration     

15 March 2016

Conférence Date                              

26-29 April 2016


CIIA 2015 : prolongation du deadline au 20 02 2015 - par Djoudi le 16/02/2015 16:46

L’université Saida et le laboratoire GECODE organisent du 
20 au 21 mai 2015, la 5eme édition de la Conférence 
Internationale sur l’Informatique et ses Application (CIIA’2015) .

Site web : http://ciia2015.ensma.fr

Suite au nombreuses demandes de prolonger la date limite de soumission, le comité de la 
conférence CIIA 2015 a le plaisir de vous annoncer qu'il continue à recevoir les soumissions 
d'articles jusqu'au 20 février 2015.
 
Dates importantes
Soumission via EasyChair : 
https://www.easychair.org/conferences/?conf=ciia2015

Article 12 pages max format LNCS : http://www.springer.com/series/6102

Engouement pour l’enseignement à distance - par Djoudi le 08/02/2015 00:46

La direction régionale de Tizi Ouzou du Centre national de l’enseignement professionnel à distance continue sur sa lancée et suscite un intérêt grandissant chez la population.

Plus de 900 stagiaires y sont inscrits contre 768 en 2013. «Le Cnepd assure un accompagnement sûr, durable et qualifié ainsi qu’une diversification de ressources génératrices d’emplois. Notre formation intègre les nouvelles formes et voies d’accès au savoir véhiculé par le numérique», nous dira le chef de service information communication et marketing, Hadjout Rachid.

Dans ce sens, le Cnepd poursuit son programme de mise en place du dispositif e-Learning (apprentissage via internet) mettant ainsi à la disposition des stagiaires intéressés l’accès en ligne aux contenus informatisés des formations, duplication de CD ROM, intégrant ainsi tous les outils issus des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Ce centre qui compte 911 inscrits a assuré durant l’année 2014 une formation diplômante au profit de 317 moniteurs d’auto-école, 438 chauffeurs de taxi (permis de place) et 15 détenus de la maison d’arrêt de Tizi Ouzou, qui ont eu à suivre un stage en photographie professionnelle. 

Massiva Amenouche

El Watan le 07/02/2015


Le cyberparc de Sidi-Abdallah abrite le Troisième Symposium international sur la cybercriminalité - par Djoudi le 26/09/2014 09:27

L’introduction des technologies de l’information et de la communication dans le quotidien des Algériens se fait lentement. Un grand pas a néanmoins été franchi, cette année, avec le lancement du réseau 3G. Pour autant, cette introduction se fait-elle sûrement ? Les opérateurs se chargent des avancées techniques, tandis que les utilisateurs profitent de l’offre technologique. L’État se positionne en gendarme sur le marché, mais il sous-estime son rôle de protecteur stricto sensu. La cybersécurité est pourtant primordiale si l’on veut intégrer davantage les Tic dans la vie quotidienne. 
À l’occasion du Symposium international sur la cybercriminalité organisé, hier, au Cyberparc de Sidi-Abdallah, les participants ont livré leurs expertises dans le domaine de “la cybersécurité dans l’entreprise”, le thème retenu pour cette troisième édition. Alors que l’économie du numérique aspire à se développer, notamment avec l’ouverture vers le paiement en ligne, les experts mettent en garde contre les dangers potentiels. “Sans des systèmes performants de protection des données, nous serons davantage exposés aux cyberattaques”, affirme Me Hind Benmiloud.  
 

Si ce sont les gros détournements de fonds, les piratages d’institutions, telles que la Maison-Blanche ou le FBI qui font la une des journaux à travers le monde, il ne s’agit là que de l’arbre qui cache la forêt. En réalité, “les principales cibles des cyberattaques sont les PME et la plupart de ces attaques impliquent les employés de façon volontaire ou involontaire”, explique Me Benmiloud. Si les grandes entreprises se prémunissent plutôt bien contre les cyberattaques, les PME, souvent par manque de moyens, sont des cibles faciles : leurs employés utilisent leurs terminaux personnels et leurs mots de passe ne sont pas régulièrement modifiés, et cela constitue autant de failles possibles pour les cyberattaques, explique-t-elle en substance. 
Cette juriste plaide pour une réglementation plus détaillée en matière de cybercriminalité et pour une prise de conscience des entrepreneurs quant à la sécurisation de leurs données informatiques. Elle les appelle, également, à dénoncer ces attaques et les encourage à intenter une action en justice car, rappelle-t-elle, “les textes existent”

.
Me Benmiloud regrette l’absence de statistiques nationales en la matière, mais cite, néanmoins, quelques chiffres de la cybercriminalité dans le monde. “80% des pc sont infectés, et dans 66% des cas, il s’agit de virus alors qu’on estime à 15 millions le nombre de téléphones mobiles également infectés.” Me Benmiloud estime que “la 3G est un accélérateur du phénomène de la cybercriminalité”. 
Elle cite l’AAFSI qui estime le nombre de smartphones en Algérie à 9 millions. Raisons pour lesquelles elle incite les chefs d’entreprise à mettre en place des politiques internes de cybersécurité. “Peu importe la taille de l’entreprise, elle doit se doter d’un système de sécurité pour protéger son patrimoine informationnel”, indique-t-elle. 
 
De plus, elle préconise l’utilisation d’une charte informatique à valeur légale, “un modus operandi sur la façon d’utiliser Internet sur son lieu de travail, qui est une protection pour l’employé comme pour l’employeur”.        

 


Dirassatic, la plateforme algérienne qui vous "rapprochera de l'école" - par Djoudi le 26/09/2014 09:22

"La plateforme Dirassatic est un outil pédagogique d'éducation en ligne qui permet de suivre le cursus éducatif des élèves et étudiants à partir d'un ordinateur ou téléphone", résume Hichem Mebarki, fondateur de la start-up algérienne Dynamic Web Solutions qui a créé Dirassatic.

Après des études dans le domaine du web et mobile en France et au Portugal, Hichem décide de retourner en Algérie et lancer son entreprise: "J'ai eu l'idée de lancer un concept pédagogique, alors je me suis dis pourquoi pas le faire en Algérie", explique le jeune entrepreneur oranais au Huffington Post Algérie.

"Je suis revenu dans mon pays afin d'apporter ma valeur ajoutée, l'idée étant de généraliser le concept en Algérie. En attendant on a commencé par les écoles privées", poursuit Hichem Mebarki qui a réalisé son projet il y a trois ans, à l'âge de 21 ans seulement.

À partir de là, Dynamic Web Solutions a décidé de lancer Dirassatic.

HuffPost Algérie: Comment présentez la plateforme Dirassatic pour ceux qui ne la connaissent pas encore? Quand a-t-elle été lancée?

Hichem Mebarki: Dirassatic est une plateforme algérienne de gestion d’écoles en ligne lancée en avril 2014 en version bêta et qui existe officiellement depuis le début du mois de septembre en cours. Elle permet aux établissements scolaires (primaire, collège, lycée, université, centre de formation professionnelle...) de donner un accès aux parents et aux étudiants pour consulter, télécharger et imprimer les relevés de notes, cours et sujets, l'emploi du temps quotidien et ceux des examens (devoirs et compositions), le menu de la cantine, les absences et retards, etc. Elle permet aussi de demander des papiers administratifs tel que le certificat de scolarité. En plus elle est dotée d'un service de messagerie.

Avec un suivi pluriannuel, l'élève peut consulter les archives des dernières années de scolarité dans l’établissement. Ainsi pour les établissements du primaire, moyen et secondaire les parents sont notifiés par SMS en temps réel des absences, retards et des convocations.

Les enseignants ont la possibilité d'y ajouter leurs cours et leurs sujets, de remplir le cahier de texte électronique et de contacter les parents et les étudiants.

Dirassatic offre aussi un accès à l'infirmerie qui informe les parents de l'état de santé de leur enfant en temps réel.

Tous ces services sont bilingues (arabe et français) et seront prochainement disponibles en tamazight.

Est-ce que vous avez eu un soutien de l’État pour la création de votre entreprise et le lancement de votre projet?

On n'a reçu aucune aide de l’État, le projet à été entièrement autofinancé. La création de l’entreprise est sans doute l'étape la plus difficile surtout à 21 ans, mais avec la détermination et l’ambition tout à été possible. J’ai commencé tout seul dans l’entreprise et voilà que trois ans après on est une équipe de six personnes permanentes et plusieurs free-lancers.

La plateforme est-elle disponible sur tous les stores (Apple Store, Google Play et BlackBerry World)?

Une application mobile est prévue sous Android, iOS, Windows pour ce mois de septembre et sera sur les terminaux Androïd début 2015 ainsi que sur les autres platefomes.

L’application mobile fera partie de la plateforme web elle sera disponible pour les établissements qui ont souscrit à la formule web et mobile.

Dirassatic est destinée pour les élèves/étudiants, parents et enseignants et veut toucher tous les secteurs éducatifs (enseignement primaire, enseignement supérieur et formation professionnelle). Cela nécessite des partenariats avec les trois ministères de tutelle. Où est-ce que vous en êtes avec ces partenariats?

Pour le secteur public une offre a été transmise à Mme la ministre de l’Éducation nationale, Nouria Benghebrit, mais on n'a toujours pas eu de retour. Concernant les autres ministères, une demande sera envoyée très bientôt. Notre souhait est de généralisé l’utilisation des TIC (Technologie de l'Information et de la Communication) dans le secteur de l’éducation comme le font d'autres pays comme le Maroc, la Tunisie, la France, le Canada, l'Allemagne, le Royaume-Uni… C'est une méthode pédagogique qui a fait ses preuves.

En ce moment, nous collaborons avec une dizaine d'écoles privées.

L’Algérie est un pays très en retard en matière de connectivité, comment espérez-vous initier les concernés (parents, élèves et enseignants, à utiliser la plateforme alors que la "technologie" ne fait pas encore partie intégrante de la vie quotidienne de nombreux Algériens?

Avec l’arrivée de la 3G et la banalisation des smartphones accompagnées par des offres alléchantes des opérateurs mobiles, ça sera plus facile à utiliser. En partant de ce présupposé nous avons conçu une interface intuitive et ergonomique qui nécessite aucune connaissance. Même un petit enfant du primaire peut la manipuler. Il suffit de cliquer sur l’information voulue pour avoir les détails. On va continuer à la simplifier et la rendre plus complète au fur et à mesure.

Notre objectif est d’inculquer cette culture, celle d’utiliser les TIC au profit de l’éducation. L’application web et mobile est disponible pour tout le territoire algérien et à moyen terme, on a pour objectif de la commercialiser en offshore.


L'Algérie dispose de tous les moyens pour faire sa révolution numérique - par Djoudi le 26/09/2014 09:12

06-09-2014
YOUNÈS GRAR, EXPERT ET CONSULTANT EN TIC :
«L'Algérie dispose de tous les moyens pour faire sa révolution numérique»

L'Algérie dispose de tous les moyens humains et matériels pour «faire sa révolution numérique» et se «classer parmi les grandes puissances mondiales», en matière de technologie de l'information et de la communication (TIC), a indiqué, hier à Alger, Younès Grar, expert et consultant en TIC.

«L'Algérie regorge de compétences dans le domaine des technologies de l'information ainsi que d'importants moyens technologiques, pour se hisser parmi les grandes puissances mondiales en TIC et faire ainsi sa propre révolution numérique», a précisé M. Grar, lors d'une conférence-débat, sur le thème de «l’utilisation de la connexion Internet en Algérie», organisée au forum du quotidien DK-News.

L'Algérie était à l'avant-garde des pays utilisateurs des nouvelles technologies dans les années 1970, a ajouté M. Grar, rappelant que l'Institut national d'informatique (INI) avait formé de nombreux responsables africains et arabes, dans le secteur de l'informatique et de l'électronique.

Pour l'intervenant, le domaine de l'Internet s'est imposé de lui-même dans le monde et l'Algérie a suivi les étapes de développement des moyens technologiques et informatiques en se dotant des nouvelles techniques et formules. M. Grar a aussi fait remarquer l'engouement que manifestent les Algériens pour les nouvelles offres technologiques, précisant que «plus de deux millions d'Algériens» se sont abonnés à la 3G depuis son lancement.

Il a rappelé dans ce sens que l'utilisation de l'Internet réduit les distances de communication et facilite la tache aux citoyens dans de nombreux domaines, comme l'enseignement, la formation, les démarches administratives, le commerce et la santé.
Selon le même conférencier, l'avènement du e-commerce, e-banquing, e-paiement et e-santé, permettra aux Algériens de réduire les temps d'attentes dans les administrations et d'éviter les «contraintes bureaucratiques».

Au sujet du e-learning, Khaled Kaïd, expert et consultant en e-enseignement a expliqué l'intérêt de l'enseignement et de la formation à distance et via internet. Pour le consultant, le service de formation par Internet permet de réduire les difficultés relatives aux déplacements, aux coûts, aux temps et durées et aux démarches administratives. Il a souligné, à cet effet, que les apprenants peuvent s'inscrire sans avoir à fournir un nombre important de documents administratifs et bénéficier des enseignements souhaités aux moments voulus, sans avoir à s'absenter de leurs emplois, durant la période de formation.

Le e-learning met aussi à la disposition des étudiants des plates-formes en ligne avec des tuteurs et encadreurs avec lesquels ils peuvent communiquer en direct, tout en s'évaluant à l'aide d'exercices et questionnaires.

Pour les deux intervenants, la numérisation et informatisation des administrations nationales nécessitent «des systèmes Internet à haut débit, sans coupures intempestives», d'où la nécessité d'opter pour la fibre optique, plus fiable et efficace.
Ils ont aussi appelé à «la mise en place d'une haute institution chargée des TIC et rattachée à la Présidence ou au Premier ministère», pour la gestion des Télécommunications.                    

R. N.
http://www.letempsdz.com/content/view/130508/1/

 


- par Djoudi le 04/05/2014 09:29

 

 


- par Djoudi le 04/05/2014 09:26


Candidature spontanée : comment écrire une lettre de motivation efficace ? - par djoudi le 27/05/2013 00:16

Vous cherchez un emploi mais vous ne savez pas trop comment postuler ? Et surtout comment rédiger cette fameuse lettre de motivation qui mettra si bien en avant vos envies et vos compétences lors de votre candidature spontanée ? Terrafemina vous donne quelques conseils pour préparer le courrier parfait qui accompagnera votre CV.

Définir vos motivations

Avant de vous lancer, il est important de savoir pourquoi vous souhaitez décrocher ce job. Pour cela, posez-vous les bonnes questions. Qu’est-ce qui vous plaît dans le poste ou dans la fonction ? En quoi le secteur d’activité est fait pour vous ? Ces motivations devront apparaître en début de lettre, pour faire comprendre d’entrée au recruteur qu’il ne pourra pas se passer de vous.
 

Se vendre avec ses qualités

C’est le moment de vous mettre en avant. Qu’avez-vous à apporter à cette entreprise pour laquelle vous aimeriez tant travailler ? Dans ce passage de la lettre de motivation, vous pourrez indiquer quelles sont vos expériences et en quoi ces dernières, couplées à vos qualités et à vos compétences, sont en adéquation avec ce que l’entreprise recherche.
 

S’adresser à un interlocuteur précis

Avant de rédiger votre lettre de motivation, prenez le temps de rechercher à qui adresser votre candidature. Trouver la personne en charge du recrutement démontrera votre bonne volonté. Et puis, il est toujours mieux de savoir à qui l’on s’adresse… Imaginez cette responsable des ressources humaines un peu fâchée de se faire appeler monsieur en lisant votre courrier… Un mauvais point d’entrée de jeu.
 

S’intéresser à l’entreprise

Selon les candidatures et les entreprises dans lesquelles vous souhaitez postuler, il est bon de montrer à travers la lettre de motivation, que vous êtes bien au courant du fonctionnement, des activités et du développement de ces dernières. Savoir ce que l’entreprise prévoit pour demain vous permet de rebondir sur le fait que vous aimeriez, vous aussi, contribuer à sa future expansion.
 

Personnaliser le discours de votre lettre de motivation

Dans le cadre d’une recherche d’emploi, il est primordial d’éviter le courrier type. En effet, selon que vous répondez à une offre ou que votre démarche est spontanée, il est impératif de personnaliser votre lettre de motivation, tout comme vous devez le faire en fonction de l’entreprise et du poste proposé. Vos compétences varient d’un emploi à un autre, vos expériences aussi, il faut qu’il en soit de même pour votre lettre.

Camille Coutant


Portail dédié aux compétences nationales basées à l’étranger. - par djoudi le 21/05/2013 15:52

Coïncidant avec la première journée de Algeria 2.0 qui se déroule jusqu'au 20 avril au Cyberparc de Sidi Abdallah, le Ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication, Moussa Benhamadi, a lancé officiellement un portail dédié aux compétences nationales basées à l’étranger.

Moussa Benhamadi était accompagné du Secrétaire d'Etat chargé de la Communauté nationale à l'étranger, Belkacem Sahli, pour ce lancement officiel. Ce site a pour objectif l'implication des compétences nationales à l’étranger dans les projets de recherche et de développement du pays et la réalisation d’une synergie entre les secteurs nationaux qui requièrent des potentialités humaines de haut niveau et des compétences algériennes à l’étranger ".

À ce sujet M. Benhamadi a déclaré. « Nous reconnaissons qu'il y a un énorme déficit de communication et d'information entre les compétences algériennes établies à l'étranger, mais le lancement de ce portail est venu pour rapprocher les valeurs du pays dans tous les domaines ».

Le Ministre affirmé en outre avoir apporté sa contribution pour l'acquisition des équipements et programmes indispensables au lancement de ce portail et à la maintenance outre la sécurisation des différentes applications et données pour une durée de trois ans et la formation de ses utilisateurs.
il est à noter que ce lancement marque la mise en œuvre effective de la convention conclue en décembre 2011 entre les deux parties avec pour objectif d’assurer une relation durable avec les compétences nationales à l’étranger à travers un système d’informations efficace.

De son côté, Belkacem Sahli, se félicitant de la création de ce portail, a vanté les compétences algériennes établies à l'étranger en les qualifiant de " ressource renouvelable.

Il a enchainé en affirmant ’’ La communauté algérienne établie à l’étranger a prouvé à maintes occasions son attachement aux questions nationales. Elle est disposée à contribuer avec l’élite algérienne à la recherche scientifique.

A l'instar de toutes les communautés des autres pays, toutes les compétences algériennes sont disponibles et n'attendent que la mise en place d'un environnement propice afin d'apporter une valeur ajoutée au pays natal ".

Appel à projets AUF : numérique éducatif - par djoudi le 14/05/2013 20:25

APPEL A PROJETS

Appui à la définition ou à la mise en application de la politique numérique d’un établissement

Date limite du dépôt des dossiers : 30 juin 2013

Mots clés : IFIC, numérique éducatif
Sommaire :
  • Le contexte
  • Nature de l’appui
  • Qui peut répondre à l’appel ?
  • Types de projets attendus
  • Quelle forme et quel format pour les réponses au présent appel ?
  • Procédure de sélection
  • Calendrier

Le contexte

Parmi les cinq conditions de réussite pour l’implantation du numérique dans un grand établissement d’enseignement et de recherche, le rapport « L’université numérique : éclairages internationaux » publié en France en 2010 par la Caisse des Dépôts en partenariat avec l’OCDE et la Conférence des Présidents d’Université, cite en premier le fait que « les universités doivent développer une stratégie numérique globale en appui de la stratégie générale de l’institution ». La seconde précise que cette stratégie numérique doit être « portée par la direction de l’établissement et toujours considérée et menée comme un véritable projet de l’ensemble de l’institution ».

Or la plupart des initiatives au niveau des Technologies de l’Information et de la Communication au service de l’Éducation (TICE) ou de la formation à distance dans les établissements universitaires proviennent d’individus, au mieux de départements, mais trop rarement des rectorats et des présidences. Autant ces initiatives personnelles sont louables, autant elles peuvent entraîner des problèmes comme la multiplicité des plates-formes et des modèles pédagogiques, la difficulté de réutilisabilité des modules, le partage d’expérience réduit sinon inexistant avec les autres composantes de l’université, l’absence de suivi-qualité, la complexification de la maintenance technique…. La mise en place d’un cadre formel et d’un référentiel au niveau d’une université ou d’une faculté, sinon d’un plan de développement bien structuré, permet d’éviter certains de ces écueils et favorise le dialogue entre les différents initiateurs de projet travaillant au sein de la même institution.

Afin d’encourager cette approche structurante, l’Institut de la Francophonie pour l’Ingénierie de la Connaissance et la formation à distance (IFIC) nouvellement créé par l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) entend supporter les universités francophones du bassin méditerranéen et de l’Afrique sub-saharienne qui souhaitent s’engager de manière rationnelle dans un projet à grande échelle d’insertion du numérique dans le système d’enseignement, de recherche ou de gouvernance de leur établissement ou d’une composante majeure de leur établissement (faculté, institut,…).

Les plans stratégiques envisagés et proposés par les universités devront répondre à l’un des objectifs suivants :

Nature de l’appui

L’appui de l’AUF consistera en la mise à disposition d’un expert TICE pour accompagner les établissements retenus dans la définition de leur projet stratégique, ou dans sa mise à niveau, ou dans sa refonte, ou encore dans la rédaction du cahier des charges ou du plan d’action. Il pourra également consister en la mobilisation d’experts pour la formation aux TICE des ressources humaines associées à un plan stratégique déjà engagé.

Qui peut répondre à l’appel ?

Tout établissement membre de l’AUF du pourtour méditerranéen et de l’Afrique sub-saharienne.

Types de projets attendus

Les plans stratégiques attendus pourront concerner :

L’IFIC privilégiera les demandes faisant l’objet d’un appui collectif et/ou d’un partenariat régional.

L’engagement des universités bénéficiaires dans le financement de l’action prévue (par l’inscription du projet dans le projet d’établissement par exemple, ou par un début d’investissement à la date de dépôt du dossier) est une condition nécessaire à l’appui.

Quelle forme et quel format pour les réponses au présent appel ?

En réponse à cet appel, le responsable d’établissement est invité à transmettre au plus tard le 30 juin 2013 à l’adresse suivante :

IFIC / CNF de Tunis
INSAT - BP 519
1080 Tunis Cedex (Tunisie)

Le dossier devra comprendre les éléments suivants :
1) Le formulaire de candidature officiel à télécharger ici, à remplir, à faire signer et tamponner par le Président ou le Recteur de l’université porteuse du projet,
2) Le document descriptif du projet présenté selon les normes définies dans le formulaire,
3) Le CV du porteur de projet,
4) Les CV du personnel de l’établissement impliqué dans le projet,
5) Tous documents attestant le partenariat établi autour du projet signés par les autorités compétentes.

Une version scannée du dossier sera envoyée à l’adresse courriel suivante : ific@auf.org avec la référence « POLNUM13 » pour prendre date.

Procédure de sélection

Les dossiers sont déposés auprès de l’IFIC qui en examine la recevabilité administrative. Ne sont considérés que les dossiers présentés et argumentés par la plus haute autorité de l’établissement, membre de l’Agence universitaire (AUF).

Les dossiers sont instruits par une commission d’experts réunie et animée par l’IFIC. Les dossiers sont retenus en considération de l’enveloppe budgétaire dédiée par l’IFIC à cet appui. La sélection est ensuite présentée à la Commission Régionale d’Experts (CRE) dont dépend l’université porteuse de projet. Les résultats définitifs sont portés à la connaissance des établissements par courrier sur l’initiative de l’IFIC.

La mise en œuvre du soutien de l’AUF est assurée par l’IFIC et le bureau régional concerné. Une fois l’appui terminé, l’expert désigné doit remettre à l’établissement, à l’IFIC et au bureau régional de l’AUF un rapport final répondant aux attentes exprimées dans le projet soumis par l’établissement.

Calendrier

07 Mai 2013 - Lancement de l’appel à manifestation d’intérêt
30 Juin 2013 - Date limite de réception par l’IFIC des réponses à l’appel


- par djoudi le 22/04/2013 13:25


Un jeune chercheur algérien invente les tests à domicile pour diagnostiquer des maladies - par djoudi le 31/03/2013 22:42

A 33 ans, Abdenour Abbas, originaire de Makouda dans la wilaya de Tizi-Ouzou, vient de révolutionner la recherche mondiale. En effet, ce jeune chercheur algérien de l'université de Washington à Saint Louis aux Etats-Unis d'Amérique, a inventé des biocapteurs ultrasensibles à base d’anticorps artificiels pour le diagnostic médical.

 

Le chercheur algérien a créé une nouvelle technologie qui permet aux patients de faire des tests à domicile pour diagnostiquer des maladies comme la grippe, le cancer, le sida en utilisant de la sueur, de l’urine ou du sang, rapporte à ce sujet la publication scientifique américaine Technology review. Selon cette source, grâce à cette invention, "les malades n’auront plus besoin de se déplacer dans des cabinets médicaux et les hôpitaux pour diagnostiquer ce genre de maladies", explique sur son site internet cette prestigieuse publication scientifique. Le travail remarquable accompli par ce jeune chercheur algérien établi aux Etats-Unis lui a permis d'être classé dans le top 10 des chercheurs les plus innovants et âgés de moins de 35 ans !

 

Abdenour Abbas figure ainsi "dans le Top 10 des lauréats de la première édition française du concours conduit par la Technology review, pour l’Institut américain de technologie de Massachusetts (MIT)", explique à ce sujet le quotidien électronique Tout sur l'Algérie (TSA) qui ne manque de précise que "ce concours, dont les résultats ont été publiés le 21 mars dernier, permet de distinguer chaque année de jeunes talents de moins de 35 ans, dans les nouvelles technologies. Il est à l’origine de la célébrité de plusieurs génies comme : Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, Serguei Brin, co‑fondateur de Google, Max Levchin, co‑fondateur de Paypal, Linus Torvalds, développeur de Linux, Jack Dorsey, co‑fondateur de Twitter".

 

"Dans 10 ans, on aura moins besoin de médecins pour le diagnostic, mais on aura toujours besoin de leur suivi quand c’est nécessaire. Ces tests vont également permettre aux individus de connaître les risques qu’ils ont pour certaines maladies afin de se pendre en charge avant même que la maladie ne se déclenche", a confié à ce sujet ce jeune chercheur qui ne cache pas sa fierté d'avoir été sélectionné parmi les meilleurs chercheurs dans le domaine des nouvelles technologies. Diplômé de l'université de Tizi-Ouzou en 2003, Abdenour a été contraint de quitter l'Algérie à cause des horizons bouchés auxquels il était confronté . Pis encore, ce génie n'a jamais été considéré dans son propre pays et évoluait dans des conditions plus que défavorables. Au lieu de développer son ingéniosité et de faire de la recherche, en Algérie, ce jeune talent passait de longues heures dans de très longues files d’attente "au restaurant universitaire de Hasnaoua à Tizi Ouzou, avec une cuillère dans la poche, il y a à peine 10 ans". "J’ai un frère qui me dit que c’est toujours le cas aujourd’hui", a-t-il déploré dans son témoignage recueilli par TSA. Un témoignage au cours duquel il n'a pas hésité à faire savoir qu'il "n’y a pas plus triste qu’un talent gâché". Mais cette vérité amère, nos dirigeants n'arrivent toujours pas à la comprendre ou la saisir...

 

La Rédaction de NessNews

 


Le meilleur lycée de France est un lycée privé… Musulman - par djoudi le 31/03/2013 22:40

Averroès, un lycée privé musulman situé à Lille, au nord de l’Hexagone, vient d’être classé meilleur lycée en France. Ce lycée caracole, effectivement,  en tête du classement établi par le quotidien « Le Parisien » qui a repris, mercredi, les informations du Ministère de l’Education Nationale en France « afin d’établir comme chaque année le classement des meilleurs lycées de France », a-t-on expliqué jeudi.
 
Ainsi, le lycée Averroès de Lille est arrivé premier au classement régional et on le retrouve aussi dans le trio de tête au niveau national selon les critères arrêtés par  le ministère français de l’éducation. Ce lycée musulman devance, dés lors, de prestigieux lycées comme Henri IV, ou encore le célèbre Louis Le Grand.   »Cette reconnaissance de notre établissement, par ce classement, consacre l’engagement d’une équipe pédagogique, éducative et administrative, le travail de nos élèves comme le soutien des familles autour de l’association Averroès porteuse de notre projet propre », s’est réjoui dans ce sens, le président du Lycée Averroès, Ali Lasfar.   »Cette reconnaissance nous impose aussi pour l’avenir modestie et persévérance, qu’ont toujours eu les fondateurs du lycée. Nous remercions tous ceux qui ont cru en cette aventure et qui l’ont toujours soutenue », a-t-il ajouté dans un communiqué rendu public mercredi.
 
Il est à souligner, en outre, que pour réaliser ce classement, « Le Parisien » s’est basé sur 4 critères qui sont le « taux de succès général du lycée, taux d’accès de la seconde au bac (probabilité qu’un élève de seconde obtienne son baccalauréat dans le même lycée), valeur ajoutée sur le taux de succès du lycée par sa différence du taux de succès par rapport au taux attendu calculé par le ministère, et valeur ajoutée du lycée sur son taux d’accès de la seconde au Bac « , a-t-on expliqué. D’autres quotidiens français, à l’image du Figaro, ont réalisé aussi leur propre classement où ils ont sélectionné d’autres critères tels que la capacité à faire progresser les élèves en prenant en compte la différence entre le taux de réussite obtenu par le lycée en 2012 et celui que l’on pouvait attendre. Mais même dans ces classements, le lycée musulman de Lille arrive parmi les premiers sur l’ensemble du territoire français. Signalons enfin que le lycée Averroès affiche  le meilleur taux de réussite au baccalauréat français, à savoir un taux de  100% de réussite !

Institut National de Formation Supérieure Paramédicale - par Hussein le 05/02/2013 16:51

Institut National de Formation Supérieure Paramédicale d'Alger Rue Boudjemaa Moghni 16008 Hussein Dey Alger, Algérie. L’Institut National de Formation Supérieure Paramédicale d’ALGER (INFSPM d’ALGER) est un établissement public à caractère administratif, placé sous la tutelle du Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. L’INFSPM d’ALGER est situé à Hussein dey à une dizaine de kilomètres à l’est d’ALGER, il occupe un terrain de 4.5 hectares. Il est dirigé par un Directeur assisté de : Un conseil d’administration. Un Directeur chargé de la formation continue. Un Directeur chargé de la formation initiale. Un Econome. Un responsable du personnel. Un conseil pédagogique. Objectifs et missions : Former des professeurs d’enseignement paramédical du 1er degré. Former des paramédicaux diplômés d’Etat. Former des aides soignants. Organiser des conférences, des séminaires et des sessions de formation continue. Capacité d’accueil : En place pédagogiques : 700 places. En places d’internat : 500 places. Les annexes rattachées à l’institut : Annexe du CHU de Bab-El-Oued. Annexe du CHU Mustapha Bacha. Annexe du CHU de Beni Messous. Locaux pédagogiques : Un bloc pédagogique daté de 1962. Un bloc pédagogique réalisé en 1976 composé de : Deux amphithéâtres. Vingt salles de cours. Une bibliothèque. Cinq laboratoires pour les travaux pratiques. Un laboratoire d’immuno-hématologie. Un laboratoire de bactériologie. Un laboratoire de préparation pharmaceutique. Un laboratoire d’assainissement. Un laboratoire d’informatique. Quatre salles pour les travaux pratiques. Une unité audiovisuelle. Un cyber santé. Une salle de conférences.
EFTG - par MohamedNassim le 30/01/2013 21:33

Agir sur l’intention entrepreneuriale nécessite de développer des compétences spécifiques et des attitudes adéquates associées à « l’art » d’entreprendre.

L’accompagnement des jeunes promoteurs, développé par l’Eftg dans le cadre du projet PME Conform mis en place par la Coopération Technique Allemande GTZ, est le résultat des nouveautés mondiales dans le domaine de  la recherche en matière d’enseignement de l’entrepreneuriat.

 

Que vous soyez :

 

 

 

L’Eftg  met à votre disposition un pool de consultants internationaux ayant accompagné des centaines de créateurs d’entreprises à travers le monde, y compris en Algérie.

 

Nous vous invitons à découvrir une pédagogie active ayant fait ses preuves dans plus de 130 pays de par le monde.

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Auteur Bouhedli Mohamed Nassim


elkhedma - par MohamedNassim le 30/01/2013 21:29

elkhedma.com Emploi et Formation

Auteur Bouhedli Mohamed Nassim


Répertoire des Entreprises Algériennes - par MohamedNassim le 30/01/2013 21:23

A l'ère de la globalisation, parler de soi est devenu vital pour toute entreprise voulant se maintenir dans la sphère économique. Pour vous servir et répondre à cette demande sans cesse mouvante, nous avons conçu le Répertoire des  Entreprises  Algériennes,  R.E.A

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Auteur Bouhedli Mohamed Nassim


Pigier Algerie - par NassimMohamed le 30/01/2013 21:09

L’Algérie est en phase active de développement.

L’objectif de plein emploi signifie la poursuite d’une politique ininterrompue dans la création des emplois et dans la formation des travailleurs.

L’objectif de Pigier est d’apporter une réponse concrète aux problèmes que pose ce besoin de formation

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Auteur Bouhedli Mohamed Nassim


CIIA 2013 de Saida dans Maghreb Emergent - par djoudi le 16/01/2013 10:30

Écrit par Hafidh Abdelsalam    Mercredi, 16 Janvier 2013 03:00
http://www.maghrebemergent.info/high-tech/83-it/20046-linformatique-et-ses-applications-luniversite-de-saida-en-pole-dexcellence.html 
  


L’Informatique et ses applications : L’Université de Saida en pôle d’excellence

 

Université saida

L'ambition de jeunes chercheurs de hisser l’université de Saida au rang des grands établissements dans les TIC.

 

L’Université Dr Tahar Moulay de Saïda accueillera, en mai 2013, la 4e Conférence internationale sur l’informatique et ses applications. Si l’établissement a capitalisé de l’expérience dans le domaine, en organisant les trois précédentes éditions et en disposant d’un "potentiel de jeunes chercheurs", il reste que les produits de recherche ne sont "pratiquement jamais exploités", explique un membre du comité d’organisation.

La 4ème édition de la Conférence internationale sur l’informatique et ses applications (CIIA 2013) sera organisée les 4 et 5 mai prochain à l’université Dr Tahar Moulay de Saida avec, à l’ordre du jour, des thèmes d’actualité qui constituent les grandes tendances de la recherche dans le domaine de l’informatique.

Organisée par le département d’informatique de l’Université de Saïda, avec le soutien du Réseau de recherche en formation et TIC en Algérie, la CIIA 2013 est, désormais, une tradition qui revient tous les deux ans. L’objectif de ce rendez-vous scientifique, lancé par des chercheurs algériens avec la participation de leurs homologues étrangers, est de promouvoir la recherche en Afrique, avec la création de réseaux, de développer des projets dans le domaine informatique et de faciliter l’échange d’étudiants.

La rencontre permettra également de donner une plus grande visibilité aux chercheurs algériens, puisque les meilleurs articles sélectionnés pour cette conférence seront publiés dans des revues de renommée mondiale. Quatre thèmes ont été retenus pour cette 4e édition: "Computational Intelligence", "Security & Network Technologies", "Information Technology", "Computer Systems and Applications". Ces thèmes sont tous liés à l’actualité informatique mondiale. Il sera donc question, expliquent le comité d’organisation de la CIIA 2013, du génie logiciel, des systèmes distribués, de la conception d’infrastructures (comme le cloud computing), d'e-Learning, d’"Energy-aware software" et autres technologies qui "peuvent être développés en Algérie et en Afrique", notamment dans les domaines de "l'approvisionnement et de la distribution d'énergie".

Selon Mahieddine Djoudi, enseignant-chercheur en TIC à l'université de Poitiers et membre du comité de programme et du comité d'organisation, les sujets ont été choisis "pour permettre aux participants de mesurer leurs avancées dans la recherche informatique par rapport à ce qui se fait dans le monde". "Pour la première fois en Algérie et dans le Maghreb, les articles retenus pour cette conférence seront indexés par les meilleurs index de recherche dans le monde technologique comme Elsevier, SCOPUS, et DPLP. On permettra aussi aux meilleurs communicants de voir leurs travaux publiés dans des revues internationales de renom. Six revues internationales ont déjà donné leur accord pour publier les meilleurs articles de la conférence dans des numéros spéciaux", ajoute M. Djoudi.

Les six revues, éditées par "InderScience Publishers", sont International Journal of Computational Science and Engineering, International Journal of Data Mining, Modelling and Management, International Journal of Knowledge and Web Intelligence, International Journal of Computational Intelligence Studies, International Journal of Reasoning-based Intelligent Systems et International Journal of Web Science.

Un potentiel de jeunes chercheurs très dynamiques

Le comité de pilotage de la 4e édition du CIIA est composé de chercheurs nationaux et étrangers dont Abdelmalek Amine (Université de Saïda), Otmane Ait Mohamed (Concordia University – Canada), Ladjel Bellatreche (ISAE-ENSMA, France), Mahieddine Djoudi (Université de Poitier) et Carlos Ordonez (Houston University – USA). Si la participation est "ouverte à tout le monde", l’anglais "est la seule langue de travail" de cette rencontre scientifique consacrée aux applications de l’informatique. Sont partenaires de la CIIA 2013 les éditions Springer, l’Ecole nationale supérieure de mécanique et d’aéronautique (ENSMA – France), le Laboratoire d'informatique et d'automatique pour les systèmes (LIAS - France), le laboratoire Signal, Image, Communications (SIC – CNRS, France), Concordia University (Canada), et le Réseau national de recherche "Formation et TIC" (Algérie).

Sur le choix de l’Université de Saïda, M. Djoudi explique : « Nous sommes déjà à la 4e édition de la conférence CIIA, après celles organisées en 2006, 2009 et 2011 toujours à Saïda. Depuis le début, nous avons pris le pari d’organiser chaque deux ans une conférence internationale d’envergure au sein de cette université qui dispose d’un capital d’expérience et détient un potentiel de jeunes chercheurs très dynamiques. Un petit noyau de chercheurs confirmés qui ont une ambition de hisser l’université de Saïda au rang des grands établissements dans le domaine des technologies de l’information et de la communication », ajoute Mahieddine Djoudi.

Invité à commenter le développement de l’informatique en Algérie estime que "comparativement aux autres disciplines de recherche, l’informatique est bien positionnée dans le classement des universités algériennes". Par contre, "nous sommes encore très loin des pays développés et émergents du fait, notamment, que les produits de la recherche ne sont pratiquement jamais exploités dans l’environnement socio-économique".


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