Formations aux TIC en Algérie

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Rapport à mi-parcours des projets PNR acceptés en juin 2011 - par djoudi le 09/06/2012 19:38

Date limite : 30 juin 2012

Sur la base des diverses recommandations des experts réunis le 16 mai 2012 pour identifier les mécanismes de l’évaluation à mi-parcours des projets PNR et tenant compte des orientations des responsables en charge des programmes nationaux de recherche, la procédure suivante a été adoptée :

a) Les porteurs de projets doivent transmettre avant le 30 juin par email le formulaire « Rapport d’Etape de projet PNR » télécharger à http://www.nasr-dz.org/Etat_avancement_PNR_juin2012.doc

b)Des experts seront désignés pour auditionner sur site les porteurs de projet, et établir un diagnostique sur l’avancement des travaux en référence au cahier du projet PNR.

c) Les formulaires dûment renseignés doivent être envoyés par email à la boite « pnr@nasr-dz.org » avec une copie à l’organisme pilote (exclusivement sur le serveur nasr-dz.org)

Plus d'information sur

http://www.nasr-dz.org/ipnr2012.htm


Université d'Eté 2012 Khenchela du 07 au 12 07 2012 - par djoudi le 07/06/2012 11:27

Bonjour,


Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique et le Secrétaire d'État Chargé de la Communauté Nationale à l'Étranger organisent, en collaboration avec l’Association des Compétences Algériennes, l’université d’été de la recherche scientifique et technologique du 07 au 12 Juillet 2012 à l'université de Khenchela. Cette formation est une des actions engagées afin de renforcer le potentiel humain par la création d’un environnement dynamique pour les scientifiques, en synergie avec nos compétences établies à l’étranger.

Les thématiques retenues s’inscrivent dans le cadre de priorités dégagées par les autorités nationales pour dynamiser la recherche scientifique et technologique dans des secteurs présentant un grand intérêt pour le processus de développement du pays

Je vous invite à transmettre l'information aux doctorants et étudiants en Master en vue de la participation.
Plus d'information et inscription (avant le 14 juin) sur le site de la DGRSDT

http://www.nasr-dz.org/univ-ete.php

Cordialement


Mahieddine DJOUDI
Instructeur à l'université d'été


L’université de Sétif honore le Dr Lahcène Ouahab - par djoudi le 21/05/2012 10:04

dimanche 20 mai 2012 | Nabil Foudi, setif.info

 A l’occasion de la journée de l’étudiant, l’université de Sétif a honoré ce dimanche le docteur Lahcène Ouahab, chercheur au CNRS à Rennes en France pour ses activités de recherche dans le domaine de la chimie ainsi pour ses nombreuses collaborations scientifiques entre Sétif et Rennes.

C’est en présence du P-APC, P-APW, des Doyens des facultés, des enseignants et des journalistes que le recteur de l’université, Pr Baki, a remis au Dr Ouahab une attestation d’honneur ainsi que plusieurs cadeaux d’artisanat qui symbolisent la région de Sétif.

Lahcène Ouahab (59 ans) est né à El-Ouricia à quelques km au nord de Sétif où il a poursuivi ses classes primaires. Il a effectué ses études secondaires au Lycée Mohamed Kérouani de Sétif de 1965 à 1972 où Il a obtenu son Baccalauréat ainsi que le prix d’excellence des élèves en fin de cycle du secondaire. Ses études supérieures ont été accomplies à l’Université de Constantine avant de regagner l’Université de Rennes1 pour la préparation et l’obtention de sa Thèse de 3ème Cycle en 1977 puis sa Thèse de Doctorat d’Etat en chimie qu’il décrocha brillamment en 1985.

De retour au pays, il exerça à l’Université de Constantine en tant que Maître Assistant avant d’être nommé Maître de Conférences de 1978 à 1987. Il avait temporairement assuré des enseignements à l’Université naissante de Sétif en 1980 et 1981. Nommé Professeur associé à l’Université de Rennes1 de 1988 à 1989, il intégra en octobre 1989 le CNRS, Centre National de la Recherche Scientifique Français comme Chargé de Recherche à la suite d’un concours national.

Le Docteur Lahcène Ouahab a obtenu le Prix de la Division de Chimie de Coordination de la Société Française de Chimie (1998), la Médaille de la Ville de Rennes (1999), la Prime d’Excellence Scientifique du CNRS (2010) et le Prix Mme Claude Berthault de l’Académie Française en 2011. Ll est aussi l’auteur de plus de 250 articles publies dans les journaux scientifiques.

 


L’Algérie au 59e rang selon Elsevier - par djoudi le 01/05/2012 18:39

 

Actualités : PRODUCTIVITÉ SCIENTIFIQUE
L’Algérie au 59e rang selon Elsevier

Le Soir d'Algérie. Samedi 28 avril 2012

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/04/28/2-133481.php

Onze chercheurs algériens ont été récompensés par les prestigieux «Scopus Awards» que discerne l’éditeur néerlandais d’information scientifique Elsevier qui contrôle 25% des publications mondiales en science et technique. Une belle performance pour la recherche scientifique en Algérie qui a vu sa productivité doublée en six ans, la hissant au 59e rang suivant le classement se référant aux bases de données de cet éditeur.


Lyas Hallas - Alger (Le Soir) - C’est la première fois que ce prix est mis en place en Algérie pour identifier l’excellence. Les lauréats ont été classés par rapport à leur «indice h», un outil d’évaluation suggéré en 2005 par Jorge Hirsch. L’indice quantifie la productivité scientifique et l’impact d’un scientifique en fonction du niveau de citation de ses publications dans des revues à comité de lecture. «Un chercheur avec un indice h a publié h articles qui ont été cités h fois. Dès lors, l’indice h reflète à la fois le nombre de publications et le nombre de citations par publication.

Les chercheurs ont été évalués sur la période s’étendant de 2007 à 2011», précise-t-on. Elsevier a ainsi classé l’ensemble des chercheurs algériens en science et technologie dans dix disciplines différentes, à savoir sciences des matériaux, physique, sciences de la terre, sciences de la vie, environnement, chimie, mathématiques, médecine, électronique et énergie.

Les lauréats ont été choisis parmi les profils extraits de Scopus, base de données bibliographique et bibliométrique référençant 18 000 revues validées par les pairs et publiées par plus de 5 000 éditeurs internationaux.
 

Le ratio budgétaire par habitant consacré à la recherche scientifique est faible
Les lauréats par discipline sont : Abdelouahed Tounsi (Laboratoire des matériaux et hydrologie de l’Université de Sidi Bel-Abbès), Bachir Bouiadjra Belabbes (Laboratoire de mécanique physique des matériaux de l’Université de Bel-Abbès), Nadjib Badache (Laboratoire des systèmes informatiques de l’Université des sciences et de la technologie Houari- Boumediène), Saïd Djadoun du laboratoire des matériaux polymères, faculté de chimie de l’Université des sciences et de la technologie Houari- Boumediène), Noureddine Soltani (département de biologie, Université d’Annaba), Oualid Hamdaoui (Département de génie des procédés, faculté des sciences de l’ingénieur, Université d’Annaba), Abdelmadjid Bouhemadou (département de physique de l’Université de Sétif), Zoubir Harrat (service d’éco-épidémiologie parasitaire et génétique des populations, Institut Pasteur d’Algérie) et Sofiane Bouacida (département des sciences de la matière de l’Université d’Oum El Bouaghi).

Un prix spécial, toutes disciplines confondues, est attribué au Pr Maïouf Belhamel, 62 ans, directeur du Centre de développement des énergies renouvelables. Ce diplômé de l’Ecole nationale polytechnique d’El Harrach et pas moins thésard de l’Ecole nationale supérieure de mécanique et d’aérotechnique de Poitiers (France) a eu le plus haut indice h (19).

Dans sa communication donnée jeudi dernier à l’hôtel Mercure d’Alger, à l’occasion de la cérémonie organisée à l’honneur des lauréats, Olivier du Dumon, directeur de marketing chez Elsevier a précisé que : «Elsevier publie 520 000 articles par an et les téléchargements sur ses bases de données sont à hauteur de 37/seconde.

Les Algériens ont publié 3 200 articles en 2011, une production qui représente le double comparativement à 2006. Les publications des Algériens chez Elsevier représentent 52 % de l’ensemble de leurs publications. Des publications qui leur ont valu 20 000 citations entre 2007 et 2010.

L’Algérie vient au 59e rang suivant le classement d’ Elsevier, soit parmi les meilleurs des pays d’Afrique. Elle compte entre 20 000 et 25 000 chercheurs et dépense 1% de PIB dans la recherche scientifique, soit environ 1,5 milliard USD et un ratio budgétaire par habitant équivalant à 10 % de celui de l’Angleterre.»

Et de conclure par offrir les services d’Elsevier à l’Algérie : «Le président Bouteflika a invité les Algériens de la diaspora à contribuer au développement de leur pays. A Elsevier, à travers nos bases de données, nous pouvons repérer pour vous les meilleurs cerveaux ayant fui le pays et vous établir un fichier référençant y compris leurs similaires des autres pays.»

Il convient enfin de signaler qu’étaient présents à cette cérémonie le DG de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Hafid Aourag, une représentante de l’ambassadeur néerlandais. Aussi, l’indice h s’applique également aux universités et centres de recherches, aux universités de Constantine et l’USTHB qui ont été également distingués par des prix honorifiques.
L. H.

 


Conférence ICACIS 2012 à Batna - CFP - par djoudi le 18/04/2012 23:54

Premier appel à communication ICACIS 2012 à Batna

Le Laboratoire des Sciences et Technologies de l'Information et de la Communication (LaSTIC) &
Le Département d'Informatique de l'Université de Batna

En partenariat avec le Réseau de Recherche FORMATIC


Organisent à Batna (Algérie) la conférence internationale

ICACIS2012

International Conference on Advanced
Communication and Information Systems


du 12 au 13 Décembre 2012

Dates importantes

 


International Conference on Model & Data Engineering - par djoudi le 13/04/2012 00:55

2nd International Conference on Model & Data Engineering (MEDI’2012)

October 3 - 5 2012

Poitiers, Futuroscope - France

http://medi2012.ensma.fr

 

Authors are invited to submit research and application papers representing original, previously unpublished work. Papers should be submitted in PDF or Word format. Submissions must conform to Springer's LNCS format and should not exceed 12 pages (including all text, figures, references and appendices). Authors who want to buy extra pages may submit a paper up to 15 pages with the indication that the authors will purchase extra pages if the paper is accepted.

 

Submissions which do not conform to the LNCS format and/or which do exceed 12 pages (or up to 15 pages with the extra page purchase commitment) will be rejected without reviews. Submitted papers will be carefully evaluated based on originality, significance, technical soundness, and clarity of exposition.

 

All accepted papers will be published in Lecture Notes in Computer Science (LNCS) by Springer-Verlag. Duplicate submissions are not allowed. A submission is considered to be a duplicate submission if it is submitted to other conferences/workshops/journals or it has been already accepted to be published in other conferences/workshops/journals. Duplicate submissions thus will be automatically rejected without reviews. Submissions require explicit consent from all listed authors.
 

The submission site is open at:

https://www.easychair.org/conferences/?conf=medi2012
 

Important Dates


De l'effet abrutissant du travail en groupe - par djoudi le 28/03/2012 00:27

Par Annie Kahn | LeMonde.fr – lun. 26 mars 2012


Abruti" : "qui est inapte à réfléchir", dit le dictionnaire. Et traiter une bande d'"abrutis" serait un pléonasme, selon une récente étude du Virginia Tech Carilion Research Institute, un centre médical de recherche américain.Le seul fait de travailler en groupe affecterait en effet le quotient intellectuel (QI) des participants. A la baisse, pour ceux ayant un statut social inférieur aux autres, ou se percevant comme tels. Car ils ont alors peur de mal faire, perdent confiance dans un environnement compétitif qui les inhibe. Les femmes se retrouveraient particulièrement dans ce cas de figure, souligne l'étude. On s'en serait douté ! L'âge n'aurait, en revanche, aucune incidence.

"Vous pouvez vous moquer des réunions qui vous semblent débiles. Mais nos travaux suggèrent que ces réunions pourraient bien vous rendre débiles, vous aussi", explique ainsi Read Montague, directeur du laboratoire d'imagerie cérébrale de Virginia Tech, responsable de cette étude.

Celle-ci est s'appuie bien sûr sur des preuves scientifiques. Des individus de QI équivalents, mais d'une moyenne supérieure à celle de la population américaine, ont été mis en situation de travail en groupe. La façon dont leur cerveau fonctionnait a été suivie par un équipement d'imagerie par résonance magnétique (IRM).

Les clichés ont confirmé la moindre activation des zones cérébrales nécessaires à la résolution de problèmes chez ceux ayant le sentiment d'avoir un statut social inférieur.

Elémentaire, peut-on penser : un être plongé dans un groupe aux participants impressionnants - à tort ou à raison - peut avoir tendance à se replier sur lui-même, voire à bloquer sa réflexion.

Une mère, ou un père, sait ainsi qu'il faut parfois se battre pour laisser les plus discrets de la fratrie s'exprimer, et éviter ainsi de les voir se renfermer ou perdre confiance.

Néanmoins, les chercheurs en neurosciences s'interrogent : "En accentuant la concurrence au sein des équipes, ne perdons-nous pas le potentiel d'une grande partie des personnes de talent ?"

A l'heure où le travail en groupe est valorisé, il est en effet urgent de se poser la question. Et d'avoir l'audace de fournir la réponse. A savoir : oui et non. Oui, les groupes de travail entre semblables en concurrence sont contre-productifs. Non, car selon d'autres études, les groupes diversifiés sont au contraire plus performants, la complémentarité des compétences étant source de progrès. De vraies bandes de cracks !


Par Annie Kahn | LeMonde.fr – lun. 26 mars 2012

 


Des Algériens travaillant pour Apple, Google et Intel attendus à Alger Une expertise à capitaliser - par djoudi le 23/03/2012 00:17

Halim Benatallah, secrétaire d’Etat en charge de la Communauté nationale à l’étranger, était, il y a quelques mois, en visite au Canada. Il y a tenté de prendre contact avec des Algériens exerçant dans le secteur des technologies de l’information et de la communication et de les rassurer quant à la volonté de l’Etat de faire participer les compétences installées à l’étranger à l’effort de développement national.

Le secrétaire d’Etat leur a présenté les projets contenus dans la stratégie e-Algérie.
Une convention, sous-tendant une banque de données, portant sur la mise en place d’un portail Web destiné à rendre moins complexe l’intégration des compétences nationales à l’étranger dans différents programmes sectoriels de recherche a été signée fin 2011.

Elle l’a été entre le secrétariat d’Etat chargé de la Communauté nationale et le ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Ce portail web sera mis en service en juin prochain. Il se donne pour objectif de diffuser l’information entre les compétences nationales à l’étranger autour de projets socioéconomiques en Algérie. De même, il permettra de créer une synergie entre ces compétences et les secteurs nationaux demandeurs de hauts potentiels humains.

S’agit-il là d’une nouvelle politique à objectif à long terme ? Va-t-elle réellement attirer nos valeureux chercheurs établis à l’étranger ? Halim Benatallah, secrétaire d’Etat en charge de la Communauté nationale à l’étranger, était, il y a quelques mois, en visite au Canada. Il y a tenté de prendre contact avec des Algériens exerçant dans le secteur des technologies de l’information et de la communication et de les rassurer quant à la volonté de l’Etat de faire participer les compétences installées à l’étranger à l’effort de développement national.

Le secrétaire d’Etat leur a présenté les projets contenus dans la stratégie e-Algérie. Il a souhaité encadrer cette stratégie par des professionnels natifs du pays, craignant d’être floué par de grandes sociétés internationales peu scrupuleuses. De la sorte, l’Algérie veut récupérer l’investissement qu’elle a consenti pour la formation initiale de cette diaspora. Halim Benatallah se pose ainsi en facilitateur, pas plus. Il ne lui appartient pas d’apporter des garanties sur la politique gouvernementale relative à l’implication des compétences algériennes établies à l’étranger dans le processus de développement, ce n’est pas son rôle.

Le secrétaire d’Etat a d’ailleurs affirmé, dans une déclaration récente, que la nature des projets à mettre en place dans le domaine des TIC « ne relève pas de mes compétences, mais de celles du ministère la Poste et des Technologies de l’information et de la communication ». Le partage des rôles a été ainsi opéré ? Justement, les difficultés auxquelles sont confrontées les compétences algériennes résident dans le fait qu’il n’y a pas d’interlocuteur habilité à les écouter, à les orienter et à prendre en charge leurs doléances.

Souvent, nos compétences sont ballotées entre plusieurs administrations dont le rôle reste diffus. Et souvent, elles s’en lassent, abandonnant la partie. Toutefois, dans le tableau, il n’y a pas que des zones grises ; des compétences algériennes à la pugnacité avérée ont réussi à monter des projets en Algérie, à s’y installer même. Elles se sont mises à contribution dans un processus de transfert de savoir-faire. La diaspora algérienne, issue de la technopole de Californie en est l’exemple. Elle s’attelle à la mise en place d’un projet d’accompagnement des entreprises innovantes algériennes, ce n’est pas rien. L’initiative est louable ; elle est fortement saluée par les jeunes promoteurs algériens.

Des représentants de cette diaspora feront le déplacement à Alger pour discuter affaires avec des jeunes promoteurs et autres chefs d’entreprises. Ce sera un important forum regroupant une trentaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de Silicon Valley avec les représentants des ministères de l’Industrie de la PME et de l’investissement, de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, de la PTIC et du Travail ainsi que des associations patronales et des entreprises. Cette diaspora, attendue donc à Alger, sera composée de spécialistes exerçant, pour la plupart, dans les grandes entreprises technologiques américaines telles que Apple, Google ou encore Intel, ainsi que d’Algériens, patrons de leurs propres sociétés technologiques.

Ce forum devra ainsi mettre au point une « feuille de route » à moyen et long termes avec pour finalité de promouvoir, en Algérie, les jeunes entreprises en activité ou à créer, spécialisées essentiellement dans les nouvelles technologies. Les technologues algériens de Silicon Valley ont à cœur de travailler avec leur pays d’origine ainsi qu’avec les jeunes entrepreneurs algériens en ramenant avec eux l’expertise liée au savoir-faire nécessaire.


- par djoudi le 06/03/2012 11:47


- par djoudi le 06/03/2012 11:45


- par djoudi le 06/03/2012 11:43


- par djoudi le 06/03/2012 11:42


Chapitre de Livre : eLearning in Algeria - par djoudi le 02/03/2012 00:58

Cliquez ici pTélécharger le chapitre de livre

Cliquer sur l'image pour télécharger gratuitement le chapitre du livre

Mahieddine Djoudi, "eLearning in Algeria: Experiences On E-Learning in Algerian Universities", Demiray (Eds), e-LEARNING Practices, Cases on Challenges Facing E-Learning and National Development, Vol. 1, Anadolu University, Eskisehir, 2010, pp. 1-31.
 

Le livre complet est disponible en deux volumes :

VOLUME I - Click for download.../İndirmek için tıklayın...

VOLUME II - Click for download.../İndirmek için tıklayın...

Depuis l’indépendance, seulement 150 brevets déposés - par djoudi le 25/02/2012 11:55

Lors d’une conférence de presse sur l’état actuel de la recherche scientifique en Algérie, le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, Hafid Aourag a indiqué que « L’Algérie a produit seulement 150 brevets depuis l’indépendance à cause du manque d’infrastructures de recherche et de moyens financiers ». Toutefois, M. Aouad a attribué ce nombre réduit de brevets au manque de moyens financiers des chercheurs.

Pour remédier à cette situation, M. Aourag a annoncé que « Les laboratoires de recherche scientifique vont désormais financer les brevets au profit des chercheurs » et ce, dans le cadre de la nouvelle procédure mise en place par le ministère de la Recherche scientifique et du développement technologique, estimant que le nombre de ces brevets va augmenter dans un roche avenir.

samedi 25 février 2012 | Khalil.Hedna@setif.info
http://www.setif.info/article6268.html

L’augmentation du nombre de chercheurs en Algérie est une «nécessité» - par djoudi le 25/02/2012 11:52

22-02-2012


La nécessité d’augmenter le nombre de chercheurs en vue de redynamiser la recherche scientifique en Algérie a été soulignée, hier à Alger, par le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le professeur Hafid Aourag.

Estimant que le nombre de 30 000 chercheurs que compte l’Algérie est insuffisant, il a affirmé que l’Algérie «est très loin de la moyenne internationale en termes de chercheurs». «Nous avons un déficit de 20 000 chercheurs à combler en 3 ans, c’est à dire à l’horizon 2014, pour pouvoir atteindre la moyenne internationale», a ajouté le professeur, lors d’une conférence de presse sur la situation actuelle de la recherche scientifique en Algérie.

Il a expliqué dans ce cadre que la moyenne dans le monde en nombre de chercheurs est de 1 063 chercheurs par million d’habitants. «L’Algérie qui compte plus de 35 millions d’habitants ne compte que 700 chercheurs pour un million d’habitants ce qui est très loin de la moyenne mondiale», a-t-il poursuivi.

Le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique a indiqué que l’Algérie compte plusieurs catégories de personnel engagées dans la recherche scientifique dont les chercheurs universitaires, les chercheurs permanents et le personnel de soutien à la recherche (ingénieurs).

Il a déploré, dans ce cadre, un «déficit» dans le nombre de chercheurs permanents que compte l’Algérie (2066 seulement). Qualifiant les chercheurs permanents de «cheville ouvrière» de la recherche scientifique, le responsable a appelé à plus de recrutement

de cette catégorie de chercheurs. Pour ce qui est des chercheurs universitaires, il a dénombré 23 819 chercheurs, répartis entre 1 116 laboratoires agréés, ajoutant qu’il faudrait encourager un nombre plus important d’enseignants universitaires à faire de la recherche.

S’agissant de la catégorie du personnel de soutien à la recherche (ingénieurs), M. Aourag l’a qualifiée de «talon d’Achille du développement technologique», car, explique-t-il, elle est confinée dans des fonctions administratives au lieu de pratiquer sa fonction essentielle qui est celle de la recherche et du développement technologique. «L’ingénieur algérien doit être appelé de plus en plus à être engagé dans des activités d’innovation», a-t-il ajouté.

http://www.latribune-online.com/evenement/64130.html


Un déficit de 20 000 chercheurs - par djoudi le 25/02/2012 11:50

Un déficit de 20 000 chercheurs a été recensé par la direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (RSDT).


Le chiffre a été communiqué, hier à Alger, par Hafid Aourag, directeur général de cette institution lors d’une conférence de presse sur l’état des lieux de la recherche scientifique en Algérie. A l’occasion, le directeur général de la RSDT a déploré le déficit enregistré dans le nombre de chercheurs permanents estimé à 2066 chercheurs. Bien que la recherche scientifique soit la pierre angulaire de toute démarche visant le développement en Algérie, le budget alloué à ce secteur ne représente que 0,63% du Produit intérieur brut (PIB). Pas seulement, «il faut additionner les budgets de fonctionnement et d’équipement à celui du Fonds national de la recherche scientifique et du développement technologique (FNRSDT) pour parvenir à un PIB de 0,63%», a déclaré M. Aourag.

L’objectif est d’atteindre 1% du PIB, qui restera tout de même loin de la moyenne de certains pays émergents. Faut-il rappeler que dans ces pays, le budget de la recherche avoisine 1,5%. Pour ce qui relève de structures destinées à la recherche, 846 laboratoires de recherche scientifique seront opérationnels en Algérie en 2014. Ainsi, M. Aourag a précisé que «sur 846 laboratoires de recherche, 266 sont déjà opérationnels». Dans la même perspective, plus de 60 centres de recherche sont en cours d’instruction en Algérie. Ces centres sont destinés à accueillir les chercheurs permanents.

Le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique a mis l’accent sur la nécessité de construire ces structures destinées à la recherche dans l’enceinte de l’université ou dans le périmètre du campus universitaire. Cette mesure vise surtout l’augmentation de la mobilité des chercheurs permanents et universitaires. Evoquant la mise en place d’un campus universitaire technopole, M. Aourag a appelé à l’installation des entreprises autour du campus universitaire de sorte à permettre aux chercheurs de travailler avec ces entreprises sur des projets de développement tout en utilisant les moyens et les équipements de l’université.

le 23.02.12
http://www.elwatan.com/actualite/un-deficit-de-20-000-chercheurs-23-02-2012-160205_109.php

Le budget alloué à la recherche scientifique ne dépasse pas 0,63% du PIB - par djoudi le 25/02/2012 11:49

Le budget alloué à la recherche scientifique en Algérie représente à peine 0,63% du Produit intérieur brut (PIB) du pays, a indiqué mercredi à Alger, le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, le professeur Hafid Aourag, lors d'une conférence.

«Il faut additionner les budgets de fonctionnement et d'équipement à celui du Fonds national de la recherche scientifique et du développement technologique (Fnrsdt) pour parvenir à un PIB de 0,63% », a déclaré M. Aourag.

L'objectif sera d'atteindre 1% du PIB, qui «restera encore loin » de la moyenne de certains pays émergeants, qui tourne autour de 1,5%, a souligné le directeur général.

Le financement de la recherche scientifique sur le FNRSDT 2011 avoisine les 30 milliards de dinars. Une enveloppe qui permettra, M. Aourag, de mener à terme les projets de construction de 846 laboratoires que nécessite le plan de développement allant à 2014.

Et, pour pérenniser cette dynamique, il faudra «garantir la durabilité des financements par une loi » ce qui permettra de fournir au pays la matière grise nécessaire à son essor.

La conférence, suivie par un parterre de techniciens, a été l'occasion de faire «un bilan certes mitigé de la recherche scientifique dans le pays après 50 ans d'indépendance, mais au demeurant positif de par les acquis et les expériences », a affirmé l'orateur.

Pour preuve, la stratégie élaborée par son département pour relancer le secteur de la recherche scientifique reste, en grande partie, inspirée de celle engagée au début des années 70 par l'Office National de la Recherche Scientifique (Onrs) qui, en 1973, a établi un plan quadriennal basé sur une «trinité » qui s'illustre par la recherche fondamentale, la recherche appliquée et enfin la recherche et développement, a expliqué le Professeur-chercheur.

Quant au «classements internationaux » des universités algériennes, M. Aourag a relativisé leur importance voire leur impact en arguant que l'université algérienne, la plus jeune à l'échelle continentale voire mondiale, de par l'indépendance du pays, ne compte que sur elle même, en fonction des moyens dont elle dispose, faisant ainsi allusion aux «scandales répétitifs » provoqués par les agissements de certains pays du Golf qui «achèteraient, question de prestige, à coups de subventions les travaux de recherches de scientifiques américains ».

Par ailleurs, «la décennie noire ajouté à l'instabilité institutionnelle des années 90 jumelée au manque d'argent ont été pour beaucoup dans la fuite des cerveaux algériens et des conséquences qui ont suivies en terme de retards accusés dans l'ensemble des domaines en général et celui de la recherche scientifique en particulier », a conclu M. Aourag
.

http://www.lexpressiondz.com/linformation_en_continue/148788-le-budget-alloue-a-la-recherche-scientifique-ne-depasse-pas-0-63-du-pib.html
Mercredi 22 Fevrier 2012

Près de 850 laboratoires de recherche opérationnels en 2014 en Algérie - par djoudi le 25/02/2012 11:47

Mercredi 22 février 2012.


Un total de 846 laboratoires de recherches scientifiques seront opérationnels en Algérie en 2014, a annoncé mercredi à Alger le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique, M. Hafid Aourag. M. Aourag qui s’exprimait lors d’une conférence de presse sur la situation de la recherche scientifique en Algérie, a précisé que “266 des 846 laboratoires de recherches scientifiques sont déjà opérationnels". Il a relevé dans le même cadre l’"importance" de l’investissent dans la construction de ces infrastructures pour le développement de la recherchescientifique en Algérie.

S’agissant des centres de recherche, M. Aourag a dénombré “plus de 60 centres de recherches en cours de construction en Algérie", ajoutant que ces structures sont destinées à accueillir les chercheurs permanents. "Des structures de recherches scientifiques doivent être construites à l’université ou dans le périmètre du campus universitaire pour augmenter la mobilité des chercheurs permanents et universitaires", a estimé le responsable..

Evoquant la mise en place d’un campus universitaire technopole, M. Aourag a expliqué qu’il est important que des entreprises s’installent autour du campus universitaire pour que les chercheurs puissent travailler avec ces entreprises sur des projets de développement en utilisant les moyens et les équipements de l’université.

http://portail.cder.dz/spip.php?article2012

 


Journées Nationales sur l'Informatique à Khenchela - par djoudi le 18/01/2012 13:47

Le Centre Universitaire 'Abbes LAGHROUR', Khenchela
et l'Institut des Sciences et Technologie,
organisent :
les 1ères Journées Nationales sur l'Informatique et ses Applications,
les 29 et 30 Avril 2012
.
 

Procédure de soumission :
Les auteurs sont invités à soumettre des communications, en français ou en anglais. Les textes complets des communications sont soumis exclusivement via l’e-mail jniak2012@yahoo.fr.
 

Les articles devront être présentés dans le format de Microsoft Word huit pages maximum avec les caractéristiques suivantes : Une seule colonne, Times New Roman (12 pts), interligne simple, double saut de ligne entre paragraphes, marges (gauche 2,5cm, autres 2cm), titre (14 pts, gras, centré).
 

Les articles acceptés seront présentés oralement (20 mn) et publiés dans les actes de JNIAK’2012.

Dates importantes :
 

Pour toute autre information :


développement industriel communauté universitaire nationale 2012 - par djoudi le 18/01/2012 00:24

Le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, M. Mohamed Benmeradi, a mis l’accent lundi sur la nécessité de la mobilisation de la communauté universitaire nationale pour contribuer à la réussite de la politique publique de développement du secteur industriel.


M. Benmeradi a affirmé, lors d’une conférence débat organisée à l’Ecole des hautes études commerciales (EHEC) d’Alger, que la réussite de la nouvelle stratégie nationale de développement industriel nécessite « un consensus national économique et social » et la communauté universitaire nationale avec toutes ses composantes (chercheurs, professeurs et étudiants) doit être « pleinement impliquée » dans ce consensus.


Selon le ministre, la mise en oeuvre de cette stratégie est confrontée à plusieurs défis, notamment la généralisation de l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC), le développement de la veille stratégique et de l’économie de la connaissance.
De ce fait, l’université est, de part sa conscience de la portée de ces défis, « la mieux placée pour contribuer à les relever », a-t-il souligné.


Le ministre a, en outre, reconnu que le manque de performance des différents programmes et politiques économiques engagés par les pouvoirs publics depuis l’indépendance « résulte justement de l’absence d’un consensus économique et social autour de ces actions ».
« Tous les changements et transitions politiques et économiques opérés par les autorités se déroulaient dans l’opacité, ce qui s’est traduit par une faible adhésion de la population et une productivité très limitée de l’économie », a encore admis le ministre de l’industrie.
« A titre d’exemple, la croissance économique a atteint, pour la première et la seule fois en 50 ans, deux chiffres en 1979 pour s’établir à 17% car, à l’époque, l’Algérie consacrait jusqu’à 40% de son PIB à l’investissement », précise M. Benmeradi. « Mais le changement politique entraîné par l’arrivée au pouvoir de Chadli Benjedid au lendemain du décès de Houari Boumediene a entraîné un autre changement économique qui s’est traduit à partir de 1980 par une chute du PIB à 4% », a-t-il ajouté.
Mais, dans les années 1980, le changement de politique économique a fait que le PIB chute de 4%, a-t-il précisé.


De même, les investissements publics cumulés depuis plus d’une décennie ont totalisé 450 milliards de dollars, alors que la croissance économique n’a pu réaliser les performances escomptées, a dit le ministre à l’adresse des étudiants de l’EHEC, ajoutant que le programme national des réformes politiques entamé l’année dernière devrait « amorcer une nouvelle ère dans la perception, la conception et la mise en oeuvre de la politique publique de développement industriel ».
« L’Algérie ambitionne de devenir la première économie de la rive sud de la Méditerranée et elle dispose de tous les atouts nécessaires pour concrétiser cette ambition, il reste seulement de les mettre en synergie », a souligné M. Benmeradi.APS

http://algerquartiermarine.blogspot.com/

patrick le berrigaud
radio web europe


200 chercheurs algériens sont revenus au pays en 2011 - par djoudi le 15/01/2012 15:55

Deux cents chercheurs algériens vivant à l’étranger sont retournés au pays en 2011. L’annonce a été faite dimanche par Abdelhafid Aourag, directeur de la recherche scientifique au ministère de l’Enseignement supérieur, invité de la chaîne III de la radio nationale.

Pour illustrer son propos, il a évoqué le recrutement cette semaine par l’université de Chlef et de Saïda de deux chercheurs en génomique et en biologie moléculaire. « Ces deux chercheurs publient leurs travaux dans la revue de référence Nature. Cela veut dire que des chercheurs de haut niveau reviennent parce que leur situation socio‑économique dans le pays a été nettement améliorée. Nous essayons, dans la mesure du possible, de garantir au chercheur le même environnement qu’il a déjà à l’étranger. Il est vrai qu’il y a une année, la situation de l’enseignant n’était pas reluisante. Personne n’était tenté de revenir. Aujourd’hui, le niveau social a été relevé. Un statut  a été donné à l’enseignant. Les conditions ont donc changé. Je suis sûr que dans les années qui viennent, ce processus de mobilité va se renverser. Nous aurons plus de chercheurs qui reviennent que ceux qui repartent », a‑t‑il expliqué.



Pourtant, 50 % des étudiants qui partent à l’étranger ne retournent pas au pays. Entre 1994 et 2006, 71 000 chercheurs et cadres ont quitté l’Algérie. « Il faut positiver la fuite des cerveaux. Avoir autant de chercheurs algériens à l’étranger, c’est avoir autant de capacités potentielles qui pourront être mises au service de l’Algérie. Nous avons mis en place des mécanismes pour permettre à ces chercheurs d’interagir avec leurs collègues en Algérie. Les textes sont encourageants du point de vue rémunération. Leur voyage et hébergement sont pris en charge par l’État pourvu qu’ils nous apportent un plus avec un projet structurant », a souligné Abdelhafid Aourag. Il a plaidé pour le rapprochement de l’université du monde socio‑économique en encourageant la mobilité des compétences dans les deux sens et a insisté sur  la durabilité de la recherche. Il est important, selon lui, de dépasser les programmes nationaux de recherche et les opérations ponctuelles.



Trente‑quatre programmes nationaux ont été retenus lors du précédent plan quinquennal qui s’achève en 2012. Un plan doté de 100 milliards de dinars. « Aujourd’hui, nous sommes à peu près 600 chercheurs pour un million d’habitants alors que la norme universelle est de 1 080 chercheurs pour un million d’habitants. La carence est donc liée à la mobilisation de ressources humaines, pas aux infrastructures. Il faut qu’on redonne confiance aux chercheurs à travers un processus de formation continue. La clef de la réussite du système national de recherche est de garantir une mobilité totale des chercheurs. Grâce à cela nous pouvons créer la compétitivité », a‑t‑il relevé.


Majda Nafissa Rahal, fondatrice d’edudz.net - par djoudi le 15/01/2012 15:55

«Le e-learning en est à ses balbutiements en Algérie»

EduDz, physique48, etudiantdz, et bien d’autres. Ils sont de plus en plus nombreux, avec du contenu riche. Leur point commun ? Ils ont investi le filon de l’apprentissage en ligne ou ce qu’on appelle plus communément le e-learning.


Pour rappel, le e-learning et la e-education sont deux priorités du programme e-Algérie 2013. Parmi les objectifs fixés, citons l’amélioration de la qualité de l’enseignement dans les différents paliers qui devra passer, entre autres, par l’usage des TIC dans l’enseignement (e-éducation) sans oublier la mise en ligne de contenus éducatifs et de programmes scolaires.

Pour nous parler un peu plus de ce secteur, Majda Nafissa Rahal, co-fondatrice et gérante du site de e-learning EduDz.net nous a accordé un entretien dans lequel elle revient sur les défis auxquels fait face le secteur.

Présentez-nous EduDz, pourquoi l’avoir créé ?

EduDz est un site de e-learning pour lycéens algériens. Nous l’avons créé alors que nous étions nous-mêmes lycéens et avions constaté le manque de ressources en ligne pour les élèves de notre niveau. On s’est alors dit : pourquoi ne pas créer cela nous-mêmes ! C’est ainsi qu’on a commencé à rassembler des cours, exercices, sujets et à les mettre à disposition des élèves, en complément des enseignements au lycée, et petit à petit nous avons constitué une solide base de données de plus de 300 documents, et plus de 9 000 membres inscrits sur le site.

Quels sont les projets autour du site ?

Hormis la section études où sont disponibles les cours et autres sujets, nous avons un blog de conseil où nous partageons des techniques et astuces pour réussir mais aussi un forum pour que les élèves puissent échanger entre eux. Et vu le relatif succès de eduDz pour lycéens,

nous avons pour projet de lancer cela également pour la fac, mais ceci reste un sacré défi !

Le e-learning en Algérie, quel bilan en faites-vous ?

Je crois ne pas me tromper en disant que le e-learning en Algérie n’en est encore qu’à ses balbutiements, tout reste à faire dans ce domaine-là ou presque. C’est bien dans le sens où l’on peut encore tout créer et le faire bien, c’est mauvais car on accuse un sacré retard !

Les sites déjà existant souffrent de leur format forum, qui n’est pas idéal pour ce type de sites qui doivent être mieux structurés (et c’est ce que nous essayons d’apporter, entre autres, avec eduDz). Par ailleurs, nous entendons parler ces derniers temps d’une initiative du ministère de l’Education pour offrir un portail de ressources en ligne, on attend de voir pour juger mais, à mon humble avis, il faudrait que cela se fasse en concertation avec les lycéens eux-mêmes (pour mieux cerner leurs besoins et ainsi ne pas construire un site en déphasage total avec la réalité).

Comment voyez-vous le web algérien dans 10 ans ?

Il est extrêmement difficile de se projeter sur 10 ans dans un domaine qui évolue aussi vite ! Mais j’imagine que l’on peut dire que 10 ans seront largement suffisants. D‘abord pour que l’internaute algérien acquière une culture du Web, ensuite pour qu’il s’inscrive dans une optique de production de contenu au lieu d’en consommer uniquement.

Ces derniers mois me laissent en tous cas très optimiste quant à l’avenir du Web algérien, tant on a vu d’évènements, d’initiatives... cela ne peut qu’évoluer dans le bon sens avec une jeunesse qui en veut vraiment.

Enfin quelques années, c’est aussi éventuellement le temps qu’il faudra pour rattraper notre retard en matière de technologies, ou du moins, je l’espère !


Sonelgaz se modernise - par djoudi le 15/01/2012 15:54

Noureddine Bouterfa, le président-directeur général de la Société nationale de l’électricité et du gaz (Sonelgaz), a évoqué hier mercredi 11 janvier 2012 un élément particulier du réseau intelligent « smart grid » lancé en 2009. Il s’agit du compteur intelligent dont 7 millions d’exemplaires devraient être mis en service d’ici 10 à 15 ans.
 

Le nouveau compteur électronique permettra, en plus du comptage, des coupures à distance, des paiements électroniques, des détections d’anomalies, ainsi que la mise en place de systèmes antifraudes et de surveillance automatique, de tarification flexible et de communication évoluée. Le prototype de ce compteur doit être finalisé et mis en service la même année, en 2013 ; Sa commercialisation devrait démarrer l’année suivante.

D’un coût d’environ 3.3 millions de dollars US, le projet de développement des compteurs électroniques devrait permettre à la Sonelgaz d’accroître sa maîtrise de la consommation électrique ainsi que celle de l’offre et de la demande avec l’avantage de pouvoir réaliser des coupures à distance. Les factures seront également plus personnalisées.


Le réseau « smart-grid » élaboré en collaboration avec l’Université de Boumerdès illustre très bien la volonté de la Sonelgaz d’investir dans la recherche et la formation.
 

Son PDG reconnait volontiers que les 3.4 millions de  dollars US prévus à cet effet, dont 650 000 pour la formation interne de la société, ne sont pas suffisants. La signature de conventions avec les universités de l’USTHB, Boumerdès, Annaba ,Batna et Chlef a pour objectif la mise en chantier de projets supplémentaires.


Sonelgaz signe un accord avec l’université de Chlef - par djoudi le 15/01/2012 15:53

Conception d’un compteur de gaz intelligent

Une convention-cadre pour la fabrication d’un compteur de gaz intelligent a été signée, hier, au siège de l’institut de formation de l’électricité et du gaz de Ben Aknoun, à Alger, entre la Sonelgaz et l’université Hassiba-Ben-Bouali de Chlef. Ce partenariat est axé sur la conception d’“un compteur de gaz intelligent, qui vient en complément au système de comptage électrique qui est en cours de réalisation”, a expliqué le P-DG du Groupe Sonelgaz, Nouredine Bouterfa, en marge de la cérémonie de signature.


Le premier prototype de cet équipement sera réalisé en 2013, alors que sa commercialisation est prévue pour 2014. Le groupe ambitionne dans un premier temps la réalisation du compteur, son développement, sa maîtrise puis son intégration dans tout le système de gestion afin de se libérer de ceux fabriqués sous licence.


“Outre sa fonction principale de comptage, cet équipement électronique permettra de procéder aux coupures de gaz à distance, et l’émission de factures personnalisées pouvant même être mensuelles”, a encore précisé M. Bouterfa.
 

Le compteur sera également relié au système Internet permettant ainsi aux abonnés d’imprimer leurs factures et de les payer au moyen du système de paiement électronique. Sonelgaz va commencer à appliquer un nouveau système électrique, dès le deuxième trimestre de 2012 en reliant la clientèle alimentée en moyenne tension, puis les grands consommateurs, avec un compteur qui sera fabriqué au niveau de l'usine d'El-Eulma.


M. Bouterfa a souligné que l’opération qui concernera 7 millions de compteurs se fera “progressivement et s'étalera sur une durée approximative de 15 ans”. Il a estimé, par ailleurs, que le Groupe Sonelgaz qui réalise un chiffre d'affaires annuel d'environ 250 milliards de dinars, devrait consacrer 1 milliard de dinars pour développer la recherche.


Ce partenariat vise “à pérenniser l’avenir des entreprises en leur donnant l’opportunité de produire localement ce que nous importons aujourd'hui”, a affirmé le P-DG de Sonelgaz.
Pour sa part, le recteur de l’université de Chlef, Mostefa Bessidik, a souligné que “dans le but de développer ce partenariat, l’université devrait mettre à niveau ses infrastructures de recherche, améliorer sa performance d'expertise et développer la formation continue au profit des acteurs des deux entités”.


USA : Programme de 5 semaines dans une université pour des étudiants algériens - par djoudi le 10/01/2012 22:58

L’ambassade des Etats-Unis à Alger organise le Programme MEPI (Middle East Partnership Initiative) pour Jeunes Leaders pendant l’été de 2012. C’est un programme intensif aux Etats-Unis pour les étudiants (universitaires).


Les participants auront l’occasion de développer leurs compétences en leadership et en traitement de problèmes de groupe, et pourront explorer l’histoire et la culture des Etats-Unis afin d’élargir leur connaissances et leurs compétences en leadership. Le programme débutera le 26 Juin au 7 Août 2012 et comportera une résidence académique de cinq semaines au sein d’une université américaine, une semaine de tour d’études dans la région où se trouve l’université d’accueil et se terminera à Washington D.C.

Les participants auront l’occasion d’assister à une conférence des Alumni qui aura lieu au Moyen Orient ou en Afrique du Nord début 2013. Le programme est totalement pris en charge, y compris le transport international, le transport aux Etats-Unis, l’hébergement, la nourriture et autres frais relatifs au programme.

L’on peut  postuler à ce programme si vous l’on est citoyen algérien, vivant en Algérie, et poursuivant vos études en Algérie, être âgé  entre 18 et 24 ans (le 1 juin 2012), être actuellement en 1ère, 2ème, 3ème et 4ème année universitaire (sans compter le tronc commun) et vous vous engagez à retourner en Algérie pour terminer vos études.

Il faut avoir une bonne maîtrise de la langue anglaise, avoir un brillant cursus universitaire comme l’indique vos relevés de notes et les recommandations de vos professeurs, être responsable, indépendant, ouvert d’esprit, tolérant et pensif et ayant un esprit curieux, apprendre davantage sur les Etats-Unis vous intéresse, être à l’aise avec la vie dans un campus universitaire et la vie en communauté et apte à vous adapter aux différences sociales et culturelles existant entre les Etats Unis et l’Algérie, êtres prêt à passer une partie du mois de Ramadan aux Etats-Unis.

La demande du formulaire(http//algiers.usembassy.gov/academic_echanges.html) à remplir et à faire parvenir  avant 17h le 26 janvier 2012 ou peut être soumis par e-mail à AlgiersPAS-MEPI@state.gov


66 000 Algériens «très diplômés» en France - par djoudi le 10/01/2012 22:56

Les compétences algériennes s’exportent bien. Etudes à l’étranger ou installation définitive, ils sont des milliers de «cerveaux» à quitter l’Algérie chaque année.


Et la destination de prédilection de cette diaspora «hautement qualifiée» est la France. Ainsi, l’Hexagone compte environ
66 000 Algériens «très diplômés» inscrits en maîtrise, dans une grande école ou en doctorat, selon une étude du secrétariat général français de l’immigration.

De même, certaines estimations font état de quelque 20 000 étudiants algériens inscrits en premier cycle dans une université française. Et ce, sans oublier les dizaines de milliers de diplômés formés dans les universités algériennes à avoir quitté le pays en quête de meilleures perspectives et de conditions d’exercice et de vie plus clémentes. Ils sont d’ailleurs plus de 10 000 médecins, toutes spécialités confondues, à s’être installés en France.
En dépit des restrictions et des freins mis par le gouvernement Sarkozy aux flux migratoires «choisis», la qualité de l’enseignement dans les établissements français attire toujours autant d’étrangers. Et en pleine polémique autour de la «circulaire Guéant», c’est un pavé dans la mare que jette cette étude du Secrétariat général de l’immigration, publiée en novembre dernier.

Ce rapport, qui évalue l’application d’un système de suivi des étudiants étrangers, s’est penché sur la contribution «notable» des étrangers à la population estudiantine. Mais pas n’importe laquelle. Il s’agit des «très diplômés», des personnes qui ont étudié ou étudient encore en maîtrise (mastères), dans une grande école et en doctorat, médecine compris. Ainsi, sur les 6,24 millions de «très diplômés» en France, 710 000 sont étrangers, et ce, en sus des 70 000 nés non français mais naturalisés. Pour les doctorants, 41,3% d’entre eux sont issus d’un «pays tiers». La part des «très diplômés» est ainsi légèrement supérieure parmi les immigrés que dans la population totale, précisent les auteurs de l’étude. Et le pays le plus représenté parmi cette «élite» est l’Algérie, ex aequo avec le Maroc. Suivent le Royaume-Uni avec 40 000 personnes et l’Allemagne avec 30 000 étudiants. Pour ce qui est de la Tunisie, elle n’arrive qu’en 5e position des pays «fournisseurs» avec 26 000 «très diplômés».

«60% des étudiants quittent la France»
 

Par ailleurs, est-il mentionné dans l’étude, «certains pays bien représentés dans la population immigrée le sont moins parmi les très diplômés. C’est le cas de l’Italie, l’Espagne, le Portugal ou encore la Pologne (78 000 pour les 4 pays)». L’Afrique hors Maghreb et l’Amérique du Sud ou centrale sont très peu représentées dans cette «super-population», tandis que certains pays sont au contraire «sur-représentés». C’est ainsi le cas du Liban avec 16 000 étudiants, de la Roumanie et du Vietnam, avec 15 000 «très diplômés» chacun. Cette étude ne prend pas en compte les étudiants issus de l’immigration, nés français mais de parents étrangers.
Toutefois, contrairement aux idées reçues, ils ne sont pas nombreux à rester en France une fois leur diplôme en poche, puisque seul un étudiant sur trois  restera pour y travailler ou se marier. Ainsi, 60% des étudiants entrés en 2002 sur le territoire français ne sont plus détenteurs, fin 2009, d’un titre de séjour. «Environ un tiers est toujours présent. Ces derniers semblent s’installer durablement en France, soit qu’ils se sont mariés, soit qu’ils ont trouvé un emploi, soit qu’ils détiennent encore, pour 10% d’entre eux, un titre de séjour ‘étudiant’», détaillent les auteurs du rapport.

Ces étudiants «hautement qualifiés», de par la «circulaire Guéant» qui restreignait l’embauche des diplômés étrangers, étaient menacés d’expulsion au terme de leurs études. Suite à une forte mobilisation au sein du corps universitaire et du patronat, le gouvernement français escompte réviser cette décision et assouplir la délivrance de permis de travail à certains «très diplômés» étrangers. Cette étude aurait-elle joué un rôle dans ce revirement ?

Ghania Lassal


Regroupement national des informaticiens de la formation professionnelle - par djoudi le 10/01/2012 22:54

Une rencontre regroupant touts les informaticiens du secteur de la formation et de l’enseignement professionnels a été organisée hier à l’IFEP de Bir Khadem à Alger, en présence du ministre du secteur, en l’occurrence M. El Hadi Khaldi.
 

Cette rencontre, qui s’étalera sur 3 jours et répartie en cinq ateliers, constitue, selon les organisateurs, un véritable espace de partage, d’élargissement et d’enrichissement du débat autour des questions liées au degré de pénétration et de développement des TIC dans le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels. 
Intervenant à l’ouverture de cette rencontre,

M. El Hadi Khaldi a appelé les compétences informatiques du secteur présentes “à mutualiser les efforts pour une réelle appropriation des TIC à tous les niveaux, afin, dira-t-il, d’assurer une réelle modernisation de l’administration”. Dans ce sens, le ministre a rappelé que plusieurs actions ont été initiées pour moderniser la plate-forme technologique du secteur. “Ces actions seront élargies à la certification des informaticiens du secteur, et ce dans le but de constituer des compétences nationales réelles à même de prendre en charge la mise en œuvre du programme TIC du secteur”, a-t-il ajouté.


Les thèmes débattus durant cette rencontre sont essentiellement liés à la modernisation de l’Administration. “Il est inconcevable de continuer à occulter les ressources disponibles, du moment que des dépenses considérables continuent à être engendrées par la consommation, du téléphone, fax, papier et autres, nonobstant une faible performance de l’administration en générale”, a estimé le ministre. 

D’autres thèmes liés à la restructuration des académies Cisco, l’introduction de nouvelles spécialités à l’économie du savoir, la mise à niveau des ressources humaines, ainsi que la mise en place d’un dispositif national de formation à distance seront également soumis au débat.  Concernant la formation à distance, le ministre à évoqué le rôle du Centre national de l’enseignement professionnel à distance dans la promotion de la stratégie nationale du e-learning. L

e ministre a annoncé  que ce centre va être promu durant les prochains jours à l’Office national de l’enseignement professionnel à distance, afin qu’il soit présent au niveau des 48 wilayas.  Il convient de noter que cette rencontre va permettre de donner une nouvelle dynamique à l’activité de la formation et lui assurer une plus grande cohérence avec la politique nationale du développement économique et social, et les attentes sont grandes quant aux résultats de ces ateliers pour définir les dispositifs et les relais à mettre en place pour une amorce réelle des réformes engagées.
Salima Ettouahria


Mémorandum d’entente entre le MESRS et World Learning - par djoudi le 10/01/2012 22:44

Le programme de coopération entre les universités algériennes et le World Learning dont le coût est estimé à 2 millions de dollars, prend en charge la maîtrise de la langue anglaise qui croît depuis plusieurs décennies du fait de la mondialisation des échanges commerciaux et technologiques entre les pays.

Le développement et la maîtrise des  langues étrangères, notamment l’anglais, en Algérie est l’un des objectifs fixés par la réforme universitaire. Un mémorandum d’entente entre le Ministère de l’Enseignement supé- rieur et de la Recherche scientifique et World Learning a été signé hier matin entre M. Mohamed Gharas, secrétaire général du MESRS, et Son Excellence M. Henry Ensher, ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique en Algérie, afin de prendre en charge cette  langue  qui croît depuis plusieurs décennies du fait de la mondialisation des échanges commerciaux et technologiques.

La cérémonie de signature de la convention a eu lieu en présence du recteur de l’université de Bouzaréah et des cadres des deux parties. Il s’agit d’accompagner le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique dans cette opération avec d’autres perspectives qui sont en jeu.


Il s’agit de la formation des futurs formateurs d’université, le développement et l’évaluation des cursus de formation de la langue anglaise pour les adapter et les réactualiser afin qu’ils puissent répondre au marché du travail.
 

Cette opération d’envergure  sera effectuée au niveau de trois écoles doctorales d’anglais au niveau des wilayas d’Oran, d’Alger II et d’Annaba, avec la mise en place d’un centre de carrière au niveau de l’université d’Ouargla.


A cette occasion, M. Gharas s’est félicité du rôle important joué par les autorités américaines et leur soutien indéfectible et leur accompagnement dans plusieurs domaines. «Ce mémorandum qui est le couronnement d’une série de discussions fructueuses vient à point nommé enrichir le cadre juridique de la coopération bilatérale qui traduit l’engagement des deux parties de réussir le partenariat dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique», a-t-il notamment indiqué.
Il n’a pas manqué d’insister sur l’importance de l’événement qui intervient au moment où les relations entre les deux pays connaissent un développement important dans divers domaines. «Ces relations se traduisent par des échanges bilatéraux, qui ont connu un accroissement considérable en 2006 avec la signature d’un protocole de coopération scientifique et technologique entre les deux parties», précise-t-il. 


Qualifiant les relations bilatérales d’«excellentes» et d’«exemplaires», le SG du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a indiqué que le secteur place la coopération avec les Etats-Unis parmi ses priorités. Il n’a pas omis de relever la disponibilité des USA dans la mise en place d’une institution non lucrative qui aidera les instances concernées dans le perfectionnement et  la maîtrise des langues afin de répondre à des défis et à des enjeux que l’Algérie doit relever en matière d’enseignement de la langue anglaise. Il faut dire que les besoins sont énormes en la matière. Ils se traduisent par la crise que connaît le secteur de l’éducation nationale dans le domaine de l’encadrement de l’enseignement des langues étrangères. Pour le SG du mministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, «la maîtrise de la langue, c’est également la maîtrise d’un espace anglo-saxon».


Pour sa part Son Excellence M. Henry Ensher a mis en exergue l’importance de cet événement qui englobe «l’investissement dans le champ académique» qui vise l’avenir de la jeunesse algérienne. «Les Etats-Unis s’engagent avec l’Algérie pour promouvoir les relations existant entre les institutions des deux pays»,  a-t-il affirmé.


Pour ce qui est du programme de coopération entre les universités algériennes et le World Learning dont le coût est estimé à 2 millions de dollars, le représentant des USA a insisté sur la priorité accordée à l’enseignement de la langue anglaise, le renforcement du leadership, la promotion du service public et l’engagement à tous les niveaux. Il a rappelé dans ce contexte que ce mémorandum est le deuxième du genre, après celui signé entre  l’université Mentouri de Constantine et l’Institut William-Davidson de l’Université du Michigan.
 

Ces programmes d'éducation, d'échange et de développement cultivent l'innovation sociale nécessaire dans un monde qui rétrécit.
Sarah SOFI


Colloque national sur l'intégration des TIC dans l'enseignement des mathématiques - par djoudi le 08/01/2012 00:53

Les différentes interventions ont répondu aux questions que se posaient les séminaristes au sujet des difficultés que rencontrent les élèves dans l'apprentissage de cet enseignement allant jusqu'à fuir les mathématiques.

L'Association algérienne pour le développement de l'enseignement des mathématiques et des technologies de l'information (Aademti) en collaboration avec l'Association scientifique d'information et aide à la décision (Asid) a organisé, dernièrement, son premier colloque national sur l'intégration des TIC dans l'enseignement des mathématiques à l'auditorium du campus Hasnaoua de l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou.
Au total, il a y eu 80 participants venus des quatre coins de l’Algérie : Ghardaia, Bouira, Aïn Defla, Boumerdès, Alger, Tiaret, Tizi Ouzou, pour ne citer que ces régions. Ce grand rendez-vous a été rehaussé par la présence d'imminents chercheurs dans ce domaine dont trois français. De nombreux conférenciers invités à l'occasion de cette rencontre ont été appelés à la tribune afin de développer chacun dans sa spécialité des points retenus au programme.

Les communications, faudra-t-il le souligner, qui ont été de haut niveau ont tourné autour de six points très importants, à savoir les TIC dans les programmes algériens, l'utilisation de l'ordinateur dans l'enseignement de cette matière (outil indispensable pour l'enseignant et l'enseigné), l'usage du tableau numérique interactif en cours de mathématiques, logiciels libres et gratuits pour apprendre les mathématiques, le problème ouvert dans l'enseignement de cette matière et l'utilisation des TIC dans l'enseignement des statistiques...

Les différentes interventions didactiques ont répondu de façon pertinente aux questions que se posaient les séminaristes au sujet des difficultés que rencontrent les élèves dans l'apprentissage de cet enseignement allant jusqu'à fuir les mathématiques. Au terme des deux jours, un débat a été ouvert aux présents qui ont donné leur avis sur ce colloque. “Je crois que ce n'est pas encore fini et qu'on reviendrait demain”, a dit cette dame, professeur de mathématiques. “Pourquoi pas un colloque chaque mois ?” s'est interrogé cet autre participant. En marge de ce conclave de deux jours, nous nous sommes rapprochés de la présidente de l' Aademti. “Tout le monde a apprécié cette première initiative.

C'est une grande réussite car nous avons pu réunir autour de la même table des enseignants, des inspecteurs et des administratifs pour parler du développement de l'enseignement des mathématiques en particulier pour les enfants d'Algérie. Nous remercions tous ceux qui ont contribué à la réalisation de ce projet d'une part, et si à l'avenir, nous aurons un budget conséquent, nous pensons déjà à la tenue d'un colloque international au mois de mars, d'autre part”, nous a déclaré Mme Samia Mehaddène.


DZD 100 billion allocated to scientific research in the 2010-2014 five-year program - par djoudi le 05/01/2012 21:35

ALGIERS - The state has allocated DZD100 billion for scientific and technology research at the rate of DA 20 billion per year under the five-year plan for scientific research from 2010 to 2014, Minister of Higher Education and scientific Research, Rachid Harraoubia said Thursday.


Loi de la recherche 2013-2017 : états généraux - par djoudi le 03/01/2012 13:01

Nous lançons cet appel aux experts et compétences qui par leur savoir, leur savoir-faire, leur expérience dans l'animation des ateliers et la rédaction de rapports de synthèse, peuvent contribuer à définir et à construire ce que sera la recherche scientifique et l'innovation  en Algérie dans les années à venir.  A cet effet, des regroupements thématiques seront organisés à travers le territoire national dans les grandes disciplines suivantes:
1)           Calcul Scientifique,
2)           Énergies Renouvelables et Eau,
3)           Sciences des Matériaux et Nanotechnologies,
4)           Chimie,
5)           Sciences Sociales et Humaines;
6)           Physique et Sciences de la Terre,
7)           Biologie et Sciences de la Vie,
8)           Agriculture et Agro-alimentaire,
9)           Engineering & Sciences de l'Ingénieur,
10)       Mathématiques et Informatique,
11)       Santé et Sciences Médicales,
12)       Environnement & Changement climatique
13)       Economie & Management
Pour chaque grand domaine, la première journée sera consacrée aux travaux en ateliers sur les problématiques suivantes:
      Atelier 1 : État des Lieux, Bilan en termes de production scientifique, de formation doctorale, de brevets et d'innovation ;
      Atelier 2. Prospective : Quels Axes faut-il développer pour les 10 années à venir ?
      Atelier 3. Comment adapter la formation aux compétences exigées par le marché de l'emploi (Licence, Master, Doctorat) ;
      Atelier 4. Difficultés, Entraves et Dysfonctionnements rencontrées dans la gestion de la recherche et propositions de solutions ;
      Atelier 5. Identification des besoins en ressources humaines, en équipements et en infrastructures.
Pour chaque grand domaine, la deuxième journée sera consacrée aux travaux par sous domaines, en analysant et en définissant les axes de recherche prioritaires. Votre demande de participation à ces travaux sera évaluée sur la base  de votre engagement à contribuer activement à cet effort national.
Les regroupements s'effectueront les samedi dimanche et s'étaleront du 20 janvier au  8 avril 2012. Le programme type des travaux est ainsi structuré:
-          Vendredi après-midi: arrivée des participants, réunion en soirée des animateurs & rapporteurs des travaux des ateliers
-          Samedi 9h-16h: Séance d'ouverture, organisation des ateliers, et suivie des travaux en ateliers à partir de 10h30
-          Samedi 16h30 - 19h: Compte rendu des travaux des 5 ateliers + remise des rapports de synthèses
-          Dimanche 9h-16h00: Travaux en ateliers sur l'identification des contenus des diverses sous disciplines identifiés prioritaires
-          Dimanche 16h30-19h: Compte rendu des travaux des différents ateliers + remise des rapports de synthèses
-          Lundi matin: départ des participants
Pour des raisons d'efficacité et afin de permettre à un grand nombre de chercheurs de participer à ces regroupements, une personne ne peut pas contribuer à plus d'un regroupement, sauf exception justifiée par une visibilité internationale (auteur d'ouvrage, expert dans les organisations internationales ..).
Discipline
Organisateur
Date événement
Lieu de
déroulement*
CERIST
21-22 Janvier 2012
Alger
CDER
28-29 Janvier 2012
Alger
CSC
4-5 Février 2012
Tlemcen
CRAPC
11-12 Février 2012
Bejaia
CRASC
18-19 Février 2012
Oran
CDTA
25-26 Février 2012
Alger
CRBt
3-4 Mars 2012
Guelma
CRSTRA
10-11 Mars 2012
Biskra
ANDRS
17-18 Mars 2012
Oran
Mostaganem
24-25 Mars 2012
Mostaganem
Sétif
31 Mars - 1er Avril
Sétif
Annaba
5 - 6 Avril 2012
Annaba
Biskra
12 - 13 Avril 2012
Biskra
Réunion de synthèse des coordinateurs
DGRSDT
26-27 Mai 2012
Alger
* Non contractuel
 

Lancement prochain du Technoparc d’Oran - par djoudi le 01/01/2012 17:31

ORAN - Le projet de Technoparc d’Oran sera lancé "prochainement", a annoncé, samedi, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication (P-TIC), Moussa Benhamadi.


"Les avis d’appel d’offres de ce futur parc technologique, qui sera édifié sur une assiette de 30 hectares à Belgaïd (Bir Djir), à l’est d’Oran, seront lancés dans les tout prochains jours", a précisé le ministre lors d’une visite de travail à la capitale de l’Oranie.

"Ce projet est appelé à développer la création de start-up de la région, et à créer un certain nombre d’activités dédiées aux sociétés de technologies de l’information et de communication (TIC)", a-t-il ajouté.

Le futur Technoparc d’Oran sera doté d’un incubateur de recherche et d’un multi-locateur pour start-up. Il servira également de catalyseur en assurant des prestations de services (TIC) au profit d’entreprises économiques et industrielles de la région ouest, a-t-on précisé auprès de la délégation ministérielle.

Cette infrastructure sera connectée par fibre optique à la ville de Valence (Espagne) et aura pour particularité de disposer d’une liaison autonome au réseau international pour servir de liaison de secours, a-t-on expliqué.

Au centre MSAN (multi-service access node) du pôle universitaire de Belgaïd, M. Benhamadi a annoncé la création prochaine d’une deuxième direction opérationnelle de télécommunications destinée à desservir les usagers d’Oran-Est. Elle sera dotée de tous les services. La wilaya d’Oran disposera également d’un nouveau centre MSAN de 2.000 accès destiné aux nouvelles cités d’habitation implantées à l’est d’Oran.

Il a également instruit les responsables locaux à inscrire une nouvelle agence postale au niveau de la partie est de la ville, regroupant plus de 25.000 habitants.

Par ailleurs, le ministre s’est enquis de l’état d’avancement du projet de réalisation réseau MSAN au niveau du centre "Haddadine", au centre-ville d’Oran, qui devra fournir 100.000 accès aux usagers.


Seulement 15% des PME utilisent les TIC en Algérie - par djoudi le 01/01/2012 17:29

ALGER - Seulement 15% des PME algériennes sur les 321.000 recensées utilisent les technologies de l’information et la communication (TIC) dans leurs activités, a indiqué, mardi à Alger, le directeur général de l’Agence nationale de développement des PME (ANDPME), Rachid Moussaoui.


S’exprimant à l’ouverture d’une rencontre sur la responsabilité sociétale des entreprises dans le développement durable, M. Moussaoui a reconnu qu’il s’agit d’une importante carence, ajoutant que le programme national de mise à niveau piloté par l’ANDPME comprend un volet lié à l’accompagnement des entreprises algériennes pour les encourager à utiliser davantage les TIC dans leurs domaines d’activités.

Ce volet porte, entre autres, sur le financement à hauteur de 40% des opérations d’acquisition de l’outil informatique des équipements et solutions impliquant l’utilisation des TIC, précise M. Moussaoui.

Le programme national de mise à niveau, doté d’une enveloppe de 386 milliards de dinars, prévoit aussi la mise à la disposition des PME d’experts chargés d’évaluer et diagnostiquer les besoins de ces entreprises en matière d’utilisation des TIC, ajoute le responsable de l’ANDPME. Il a, en outre, rappelé que le nombre exact de PME algériennes en activité est de 321.000 entités, alors que 117.000 très petites entreprises (TPE) sont éligibles au dispositif de l’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes (ANSEJ).


Formation professionnelle : nouvelles spécialités dans le domaine des TIC - par djoudi le 18/12/2011 21:52

ALGER - De nouvelles spécialités dans le domaine des technologies de l’information et de la communication (TIC) seront incluses dans le programme pédagogique de la formation professionnelle à la faveur de l’élaboration d’un répertoire de ces spécialités, a-t-on appris auprès de la tutelle.


"Un répertoire dans le domaine des TIC, incluant de nouvelles spécialités, a été élaboré afin d’enrichir la nomenclature de la formation et de l’enseignement professionnels", a indiqué la directrice de l’informatisation et des systèmes d’information au ministère, Mme Ayouni Zineb, lors d’un regroupement des informaticiens du secteur. Ce répertoire, élaboré en coordination avec le ministère de la Poste et des TIC, est destiné à des formations de courte durée allant de six mois à une année.

Mme Ayouni a rappelé que la stratégie du secteur dans le domaine des TIC repose sur deux objectifs majeurs, à savoir la généralisation de l’usage des TIC à tous les niveaux et la mise en adéquation qualitative des programmes de formation avec l’évolution des technologies et des métiers du savoir.

Elle a relevé, dans ce cadre, que plus de 17.000 jeunes demandeurs de formation se sont inscrits, à l’occasion de la rentrée de la formation professionnelle session d’octobre 2011-2012, en utilisant l’Internet et que plus de 600 conseillers d’orientation du secteur ont été formés dans cet objectif.

La même responsable a ajouté que les bureaux d’accueil relevant du secteur ouverts pour les inscriptions ont été dotés d’outils informatique nécessaires pour garantir la réussite de cette opération. Mme Ayouni a souligné que plusieurs actions et programmes ont été initiés pour moderniser la plate-forme technologique du secteur et la modernisation de l’administration.

Le ministère de la Formation et l’Enseignement professionnels a organisé cette rencontre qui regroupe des spécialistes en informatique, afin de "rassembler toutes les compétences et de partager les connaissances dans le but de débattre de l’application des projets en matière de TIC".

"Le secteur est doté d’un ensemble d’outils en matière des TIC qui doivent être utilisés et rentabilisés et qui nécessitent la mise à niveau de la ressource humaine", a-t-elle dit.

Une bibliothèque virtuelle qui permet de disposer de programmes accessibles à travers l’intranet du secteur, une messagerie interne d’une capacité de plus de 3000 utilisateurs, un portail web et un système d’information géographique (SIG) figurent parmi les outils du secteur en matière des TIC, a-t-elle précisé.

Les participants à cette rencontre débattront durant trois jours au niveau de cinq ateliers de travail de plusieurs thèmes portant notamment sur les mécanismes relatif à la modernisation de l’administration.

La mise à niveau des ressources humaines par la formation à la maîtrise des différents outils informatiques sera examinée aussi dans le cadre de ces ateliers.


L’industrie des TIC représente 4% du PIB - par djoudi le 18/12/2011 21:49

ALGER- L’industrie des technologies de l’information et de la communication (TIC) en Algérie représente 4% du produit intérieur brut (PIB), a indiqué dimanche à Alger un représentant du ministère de la Poste et des TIC.


Dans une communication lors d’un symposium international sur l’apport des TIC au développement de l’éducation, Cherif Benmahrez, a rappelé que l’Algérie était un pays "pionnier" dans la région dans le domaine de l’informatique.

A titre comparatif, il a relevé que les TIC représentent 6% du PIB en Tunisie, soulignant que ce secteur est "très rentable" pour l’économie, notamment avec l’évolution rapide de la technologie.

M. Benmahrez a indiqué, en outre, que le nombre de personnes formées dans le secteur des TIC en Algérie avoisine les 10.000, un chiffre insuffisant, a-t-il dit, par rapport à la demande du marché, estimée à quelque 20.000 personnes.

De son coté, le représentant d’Algérie Télécom (AT), Chafik Chikh, a déclaré à l’APS que la mise en œuvre de la convention signée entre le ministère de l’Education nationale et celui de la Poste et des TIC, prévoyant de doter 18.000 établissements scolaires de l’internet d’ici au 16 avril prochain, se déroule de manière "satisfaisante". Il a expliqué que la partie la plus difficile du projet, à savoir l’installation des liaisons en fibre optique et des équipements, est déjà achevée.


Recherche scientifique : fédérer les compétences nationales - par djoudi le 10/12/2011 22:43

ALGER - Les participants à la 2ème rencontre organisée par le Ministère de la Défense Nationale (MDN) avec les chercheurs algériens établis à l’étranger ont convenu, à l’issue de leurs travaux, de la nécessité de fédérer les compétences nationales autour d’axes porteurs de progrès technique et ayant un impact direct sur le développement socio-économique du pays en général et sur le secteur de la défense nationale en particulier.


Cette manifestation, organisée par le ministère de la Défense nationale en collaboration avec le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, sous le haut patronage du président de la République, a permis aux chercheurs, trois jours durant, de se pencher sur des thèmes liés aux technologies avancées et à développer des segments en rapport avec les sciences à applications durables.

Les débats se sont axés autour de la problématique du développement d’une recherche stratégique en Algérie, sur le plan des actions à mener depuis la première rencontre tenue en novembre 2009, ainsi que sur les opportunités de travail collaboratif et les activités à promouvoir et à consolider.

Pour ce faire, les participants ont convenu de la nécessité de mettre en place des cellules de veille stratégiques au niveau des institutions publiques et des ambassades d’Algérie à l’étranger à même de valoriser le travail de la recherche et créer des interfaces entre la recherche scientifique et l’industrie civile et militaire.

Ils ont également plaidé pour la création de réseaux thématiques et de conseils scientifiques appelés à conduire des programmes et des plans de recherche.

L’accent a été mis, en outre, sur la nécessité de mettre en place un comité directeur composé de chercheurs et experts représentant le ministère de la Défense nationale et celui de l’Enseignement supérieur avec pour mission de "conseiller les décideurs en termes d’orientation stratégique dans les domaines scientifique et technique, élaborer un plan d’action annuel et fixer les thématiques des rencontres avec les chercheurs et experts établis à l’étranger".

Les participants ont suggéré, par la même occasion, la création d’un organe permanent chargé d’identifier l’expertise algérienne à l’étranger pour centraliser et traiter les besoins spécifiques en matière de recherche et de développement technologique.

Intervenant à la clôture des travaux de cette rencontre, la ministre déléguée à la Recherche scientifique, Souad Bendjaballah, a réitéré son engagement à œuvrer pour le perfectionnement des propositions et recommandations qui ont été faites par les chercheurs, soulignant que l’Algérie s’est déjà dotée, depuis 1998, d’une politique de recherche "clairement définie".

Elle a, dans ce sens, appuyé l’idée de créer des pôles de compétence à travers des réseaux de chercheurs, assurant qu’il s’agit de "trouver la meilleure manière de transférer les résultats de la recherche vers les entreprises".

Pour sa part, le représentant du ministère de la Défense nationale a affirmé que le défi à relever était de faire de cette seconde rencontre un "jalon supplémentaire" pour une "collaboration soutenue et pérenne avec notre communauté de recherche établie à l’étranger sans pour autant occulter celle évoluant au niveau national et qui recèle également un potentiel de haut niveau scientifique et technique qui ne demande qu’à être sollicité".


A propos du SNDL - par Behaz le 09/12/2011 08:37

Le SNDL vous permet l’accès à une documentation électronique nationale et internationale très riche et très variée,  couvrant tous les domaines de l’enseignement et de la recherche scientifique.   Documentation internationale (acquises via des abonnements)     En termes d’accès, cette documentation est classée en deux catégories :
La première catégorie est accessible sans restriction à l’ensemble des étudiants, enseignants-chercheurs et chercheurs permanents au sein des campus universitaires et centres de recherche.
 L’autre catégorie,  par contre,  concerne l’aspect recherche.Elle est dédiée aux  enseignants-chercheurs, aux chercheurs permanents, aux étudiants en post-graduation (Doctorants et Magisters),aux étudiants ingénieurs en fin de cycle et Master2.
L’accès à cette deuxième catégorie de documentation se fait sans restriction de lieu de connexion mais exige l’obtention  d’un compte individuel. La procédure d’obtention du compte est simple.Elle est prise en charge par :  

  1. Le directeur de laboratoire (directeur pour les centres et unités de recherche)  pour les  enseignants-chercheurs affiliés à un laboratoire (respectivement  centres et unités de recherche) de recherche et les étudiants en post-graduation (Doctorants, Magisters).
  2. Le responsable de la bibliothèque centrale,  pour les enseignants-chercheurs non encore affiliés à un laboratoire de recherche, les Masters 2 et les étudiants ingénieurs en fin de cycle.

Dans le cas où vous ne disposez pas encore de compte, adressez vous au directeur de laboratoire dans le premier cas et au responsable de la bibliothèque universitaire de votre établissement de rattachement dans le deuxième cas. Liste et classification des produits disponibles Pour toute information sur cette documentation cliquez sur l’icône "RESSOURCES" au niveau de la page d’accueil du site SNDL. Les produits de différents éditeurs sont mis à votre disposition. Ces produits sont classés en quatre grands domaines pour vous faciliter la recherche. Procédure d’accès aux différents produits et téléchargements de documents ou de données Pour la recherche et le téléchargement de documents :

  1. Après avoir accédé au portail SNDL: www.sndl.cerist.dz
  2. Cliquez sur l’icône connexion
  3. Entrez votre identifiant et mot de passe .

Documentation produite au niveau national Le CERIST mène également un projet d’identification, de traitement, et de signalement de la production scientifique nationale ainsi que sa mise en ligne. Des ressources sont donc déjà mises à votre disposition à travers ce portail.
Vous trouverez plus de détails sur les produits disponibles en cliquant sur l’icône « PORTAILS » se trouvant sur la barre de navigation de la page d’accueil du site SNDL. Il s’agit du portail des revues algériennes (WebReviews), du Catalogue Collectif Algérien (CCDZ), du Portail National de Signalement des Thèses (PNST), des bases de données bibliographiques (ALGERIANA et ASA).
Les nouveautés et les mises à jour sont signalées sur le site périodiquement.
Le responsable de la bibliothèque de votre établissement ainsi que l’ équipe SNDL du CERIST resteront à votre disposition pour répondre à vos questions et prendre en charge les problèmes rencontrés éventuellement.
Pour toute information  écrire un mail à sndl@cerist.dz ou appeler au 021912187


19ème Ecole de Linux et des Logiciels Libres - par Behaz le 09/12/2011 08:31

ENS, Kouba, du 19 au 22 décembre 2011
La 19ème Ecole de Linux et des Logiciels Libres se tiendra du 19 au 22 décembre 2011 à l'école normale supérieure de Kouba et fait suite à celles organisées aux centre universitaire de Bordj bouarrériridj, universités de Médéa, Jijel, Sétif, M'sila, Sidi Bel-Abbès, Ouargla, Tizi-Ouzou, Annaba, Mascara, Béchar, Laghouat, Tiaret, Batna et Guelma. Elle s'adresse aux enseignants chercheurs, étudiants en post graduation et aux utilisateurs du secteur économique. Durant quatre jours, des présentations seront données les matinées et des ateliers pratiques seront organisés l'après midi. l'objectif est de promouvoir le système d'exploitation Linux et le concept des logiciels libres dans la vie scientifique et économique. Thèmes de l'école
http://elibrahimi.ens-kouba.dz/linux/
- par djoudi le 03/12/2011 22:25


Un portail web pour faciliter l’intégration des compétences nationales à l’étranger - par djoudi le 03/12/2011 22:22

ALGER- Une convention portant sur la mise en place d’un portail web destiné à faciliter l’intégration des compétences nationales à l’étranger dans les différents programmes sectoriels de recherche a été signée jeudi à Alger.


La convention, qui s’appuie sur une banque de données, a été signée par M. Moussa Benhamadi, ministre de la Poste et des technologies de l’information et de la communication (TIC), et M. Halim Benatallah, secrétaire d’Etat chargé de la Communauté nationale à l’étranger. Dans son intervention, le ministre de la Poste et des TIC a indiqué que la mise en exploitation de ce portail web interviendra à la fin du mois de juin de l’année 2012.

M. Benhamadi a fait savoir qu’en vertu de cette convention, son département s’engage à prendre en charge l’hébergement, la maintenance technique du portail ainsi que la sécurisation des applications et des données pour une période de 3 ans. Le même responsable a ajouté qu’une fois opérationnel, le portail permettra l’intégration des compétences nationales établies à l’étranger dans les projets de recherche.

Il a émis le souhait que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique s’associe à cette initiative car, a-t-il expliqué, il compte de nombreux chercheurs ayant des relations avec leurs homologues exerçant à l’étranger.

L’intervenant a précisé que le portail web doit permettre la diffusion et le partage de l’information entre les compétences nationales établies à l’étranger autour de projets ayant un intérêt socioéconomique pour l’Algérie.

M. Benhamadi s’est dit persuadé que ce portail web favorisera la mobilisation des compétences algériennes établies à l’étranger au service du développement socio-économique du pays. Il a exprimé l’entière disposition de son ministère à faciliter les échanges entre les chercheurs en Algérie et les compétences nationales à l’étranger.

Le secrétaire d’Etat chargé de la communauté nationale à l’étranger, M. Halim Benatallah a, pour sa part, indiqué que l’idée de la création de ce portail web est venue suite aux discussions entamées avec la communauté nationale établie à l’étranger.

M. Benatallah a souligné que la mise en place de ce portail vient combler un vide en matière "légal", assurant que cet aspect est très important dans la mesure où il renforce la confiance entre les différents partenaires.

Il a rappelé que des initiatives ont été lancées par le passé, mais n’ont pas été couronnées de succès à cause de "l’absence d’un cadre légal". Le secrétaire d’Etat a estimé que ce portail web est susceptible de créer une "synergie" entre les secteurs nationaux demandeurs de haut potentiel humain et les compétences algériennes établies à l’étranger, qu’ils a invitées à participer à l’effort de développement du pays.

Un comité mixte de pilotage, chargé du suivi et de l’évaluation de la mise en oeuvre de la présente convention, sera mis en place,


La diaspora algérienne de Silicon Valley prochainement à Alger pour promouvoir les start-up - par djoudi le 03/12/2011 22:20

WASHINGTON - Une quarantaine de chercheurs et d’ingénieurs algériens de la célèbre technopole de San Francisco, Silicon Valley, se rendront en février prochain à Alger pour la mise en place d’un projet d’accompagnement des start-up (entreprises innovantes) algériennes.


Dans ce cadre, un forum devrait regrouper notamment les ministères respectivement de l’Industrie et de la Poste et des TIC, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (Ansej), des banques et la délégation des technologues algériens de Silicon Valley, a indiqué à l’APS l’ambassadeur d’Algérie à Washington, Abdallah Baali.

La diaspora algérienne qui prendra part à cette rencontre sera composée de spécialistes exerçant, pour la plupart, dans les grandes entreprises technologiques américaines telles que Apple, Google, Cisco, Oracle, Intel, Hewlett-Packard, ainsi que d’Algériens qui sont patrons de leur propre société technologique tel Belgacem Haba, surnommé "l’homme aux 200 brevets d’invention" dans la microélectronique.

Selon le président du Conseil d’affaires algéro-américain, Smail Chikhoune, durant les deux jours de ce forum, il s’agira d’élaborer une "feuille de route" à moyen et long termes avec un programme bien défini pour promouvoir en Algérie les jeunes entreprises, en activité ou à créer, spécialisées essentiellement dans les nouvelles technologies.

En effet, explique-t-il, pour aider les jeunes Algériens détenteurs d’idées dans le domaine des technologies à créer leur start-up et doter celle-ci d’un potentiel de croissance, "il ne suffit pas de leur accorder une aide financière uniquement et de les lâcher dans la nature sans aucun accompagnement ni suivi".

Les conditions de réussite et d’expansion de ces entreprises de nouvelles technologies, poursuit-il, dépendent aussi, fondamentalement, d’une aide en matière d’expertise en management et d’un accompagnement professionnel multidimensionnel à travers, notamment, le "coaching", qui permet à la personne "coachée" d’approfondir ses connaissances et d’améliorer ses performances pour la croissance de son entreprise.

Et c’est à ce niveau que l’expertise des spécialistes algériens de la principale technopole américaine devra intervenir.

Pour la mise sur pied de ce projet, il sera proposé, entre autres, au cours du forum d’Alger, la création d’un fonds d’investissements dont le rôle consiste à financer à la fois les start-up et le coaching des experts.

Les ressources financières de ce fonds pourraient provenir de financements de l’Etat, des banques ainsi que des entreprises de tout secteur, lesquelles pourraient prendre des participations dans le capital de la start-up laquelle, finalement, est une potentielle future PME en cours de gestation.

Qui plus est, a observé M. Chikhoune, l’Algérie dispose de solides jeunes compétences en matière des nouvelles technologies, qui doivent être encouragées par une politique qui favorise les idées innovantes.

A ce propos, il ne manque pas de relever que lors d’une visite effectuée en octobre dernier à Alger par une délégation du département d’Etat et de jeunes entrepreneurs américains sur le partenariat en matière d’incubation d’entreprises, il a été question de choisir, à l’issue de cette rencontre, une start-up algérienne sur les 15 participantes, pour suivre un stage au niveau d’un incubateur d’entreprises et d’une université à Detroit (Michigan).

Selon M. Chikhoune, sur les projets exposés par les 15 jeunes candidats algériens spécialisés dans les TIC, cinq (5) start-up ont présenté des projets innovants qui étaient d’une telle excellence, notamment dans le domaine du software, qu’il avait été extrêmement difficile de les départager et dont le candidat de Djelfa a été finalement retenu par la partie américaine.

Outre l’élite algérienne de la Californie, qui concentre le plus gros des entreprises de technologies de pointe américaines, il est également prévu, dans les prochaines étapes, d’associer les technologues algériens des autres parties des Etats-Unis pour développer les entreprises des nouvelles technologies en Algérie.

Pour le président de l’USABC (US-Algeria business council), il faudrait s’inspirer de la méthode adoptée depuis bien longtemps par l’Inde et la Chine dont les gouvernements demandent à leur élite scientifique vivant à l’étranger de parrainer les "jeunes pousses" technologiques locales et, aussi, de créer des entreprises dans leur pays d’origine.


Etats généraux sur la recherche scientifique en 2012 - par djoudi le 03/12/2011 22:13

Des états généraux sur la recherche scientifique en Algérie seront organisés en 2012, a annoncé jeudi à Bou Ismail, M. Hafidh Aourag, directeur général de la Recherche scientifique et du Développement technologique (DGRSDT) au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.

M. Aourag, qui a fait part de cet événement lors des travaux de la session ordinaire du conseil national du Syndicat national des chercheurs permanents (SNCP) qui se tient à l’Unité de développement des équipements solaires (UDES) de Bou Ismail, a précisé que celui-ci servira à «faire le point sur la situation en matière de recherche scientifique en Algérie». Il a estimé, en ce sens, que le problème auquel fait notamment face actuellement la recherche scien- tifique réside dans «la faiblesse de la qualification des chercheurs et des gestionnaires des centres et divisions de recher-che, dont 80% ne possèdent pas de doctorats".
 

M. Aourag a souligné qu'il sera remédié à cette situation à partir de 2012, par «la mise en place de critères de compétitivité élevés (avoir un doctorat au minimum) et par le développement de formations maison, c'est-à-dire non diplômantes pour empêcher la fuite des cerveaux. Selon lui, une réflexion est, par ailleurs, en cours pour trouver des solutions à tous les problèmes recensés, dont le plus urgent est de «veiller à axer les efforts sur le développement technologique qui reste le point faible de notre système et le handicap principal», a-t-il dit. Illustrant ses propos,        M. Aourag a souligné que l'Algérie ne possède que 480 chercheurs pour un million d'habitants alors que la moyen-ne mondiale est de 1 080 chercheurs pour un million.
«L’Algérie qui se targue d’avoir 20.000 chercheurs (enseignants et permanents) est très loin des standards internationaux, même si elle occupe d’excellentes positions en Afrique dans certains domaines, dont la 3e place en physique- chimie, la 2e en sciences des matériaux et la 4e en sciences de la terre, en mathématiques, en informatique et engineering», a-t-il observé. «Le défi que notre pays doit relever est celui de la ressource humaine qui peut transformer l’idée en innovation», a-t-il ajouté, expliquant que le système LMD et la création de grandes écoles spécialisées ont été programmés dans cet esprit de qualification et de préparation de la ressource humaine pour travailler et gérer les 100 centres de recherche qui seront réalisés d’ici à 2014».


La recherche scientifique ouverte aux jeunes - par djoudi le 02/12/2011 12:04

Recherche scientifique en Algérie – Selon le directeur de la recherche M.Abdalhafid Aourag, des laboratoires seront ouverts prochainement pour les jeunes chercheurs afin de leur permettre d’« exploser ».

Des jeunes dont les potentialités sont énormes et qui pourront, enfin mettre en œuvre leurs non négligeables valeurs ajoutées. Pour ce faire, un concours de jeunes talents a été lancé dernièrement, pour identifier les meilleurs diplômés et les enrôler. M.Aourag a révélé à ce sujet que ces terreaux de recherches que seront les futurs laboratoires seront mixtes.

Ils accueilleront non seulement des chercheurs dans le domaine scientifique mais également des acteurs de la sphère socio-économique. Ils seront ainsi multisectoriels pour mieux répondre aux vrais besoins du pays en recherche, et ne pas être en déphasage avec la réalité du terrain. Tout ceci en juste ligne avec le vœu du président de la république toujours à ce sujet.

Un conseil d’évaluation de la recherche

A l’image du célèbre conseil économique et social, drivé par le docteur Babes et dont la principale activité est d’évaluer en temps réel la situation socio-économique du pays, M Aourag a dévoilé hier sur la chaîne 3 la création d’un conseil d’évaluation de la recherche scientifique. Un œil neutre et objectif dira-t-il, qui pourra analyser et évaluer la situation de la recherche scientifique et l’apprécier notamment dans les universités.

Ce conseil pourra le cas échéant fournir des propositions comme le fait le CNES et conseiller les principaux concernés (universités, instituts, pôles de recherches etc.).  En parallèle, une évaluation est déjà en cours pour faire le bilan du passif de notre pays dans le domaine de la recherche scientifique dont nous n’avons aucun indicateur.

Selon le responsable, cette évaluation permettra d’identifier les lacunes, et les ratages,  mais servira surtout à cibler les prochaines priorités du secteur et donc des dépenses à y engager. « Il n’est plus question de diviser des enveloppes sur tous les secteurs de la même manière » a-t-il indiqué. Dorénavant les dépenses seront choisies soigneusement et répondront à une logique bien précise d’objectifs de performances.

Les expatriés veulent revenir

Sur toutes lèvres dès que le sujet de la recherche est abordé, la question de la fuite des cerveaux a également été au menu de l’exposé de M.Aourag sur les ondes de la chaîne 3.

Fuite des cerveaux qui fait débat chez nous, même au cœur de la sphère scientifique, puisque certains l’encourage en l’absence de moyens réels mis a la disposition des protagonistes en Algérie, et que d’autres la décrient, l’Algérie dépensant des milliards pour former ces scientifiques dont d’autres pays profitent allégrement sans y avoir mis le moindre copeck.

Le directeur de la recherche pour sa part relativise, en expliquant que non seulement les moyens vont être mis a disposition de ces derniers, mais surtout  selon lui, ils sont très nombreux à demander a revenir au pays, pour peu que les moyens y soient. D’ailleurs M.Aourag clora le sujet en révélant le chiffre de 200 chercheurs établis à l’étrangers  et dont les requêtes pour un retour au pays sont sur son bureau…

source: Le financier


300 nouveaux laboratoires et 100 unités de recherche en 2012 - par djoudi le 02/12/2011 12:03

L’Algérie comptera pour la prochaine année universitaire près de 100  unités de recherche et 300 nouveaux laboratoires de recherche. Elle prendra en charge la formation de quelque 3.000 jeunes chercheurs sur le territoire national qui bénéficieront d’une formation doctorale, afin de les orienter vers les centres de recherche. Cette opération, lancée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, vise, à moyen terme, à atteindre 4.500 chercheurs permanents.


Les actions menées par le secteur, dans le cadre de la politique nationale de recrutement, prévoient la formation, d’ici à 2020, de 60 000 enseignants-chercheurs. Avec seulement 22 000 chercheurs, l’Algérie compte 600 scientifiques pour un million d’habitants, soit la moitié du ratio mondial moyen.


La recherche scientifique, qui a bénéficié de 100 milliards de dinars dans le plan quinquennal 2010-2014, est inscrite au nombre des grandes priorités nationales, exigeant la mobilisation, dans un cadre coordonné, de l'ensemble des potentialités.
Parmi les mesures prises dans le domaine de l’organisation de cette discipline, on cite le renforcement de l’édifice institutionnel et organisationnel prévu par la loi d’orientation, et ce à travers, notamment, l’installation de dix commissions intersectorielles de promotion, de programmation et d’évaluation de la recherche scientifique et technique, le renouvellement et la redynamisation des comités sectoriels permanents, la mise en place de réseaux en charge des thématiques de recherche prioritaires, le démarrage effectif du centre national de recherche en biotechnologie, la création de nouveaux laboratoires de recherche au sein des établissements d’enseignement supérieur et la mise en place du Conseil national d’évaluation.

 

Par ailleurs, une enveloppe de 6 milliards de DA a été consacrée en mai dernier par le gouvernement à l’exécution des programmes nationaux de recherche au nombre de 2.577 sur les 4.023 évalués. Il s’agit du lancement des actions de concrétisation des différents projets scientifiques et de recherche qui ont obtenu l’accord de plus de 850 experts nationaux.


Le contrat signé entre la direction générale de la recherche scientifique et certaines entreprises économiques, qui géreront ces pro- grammes de recherche, répond à la loi d’orientation de la recher-che scientifique qui porte sur les 34 programmes nationaux de recherche. Cette opération fait suite à la réunion tenue il y a près d’une année au cours de laquelle les dix commissions intersectorielles ont été installées, réunion qui a permis le lancement de l’opération de sensibilisation en direction des chercheurs et des entreprises sur la nécessité de concrétiser des projets de recher-che dont les groupes seront constitués de différents secteurs.


Les responsables du secteur insistent sur « la diversité » des projets de recherche agréés. Il y a lieu d’associer la recherche scientifique au développement économique, en recommandant aux centres de recherche de participer au développement socioéconomique du pays, à travers des recherches porteuses de projets de développement.
Sarah S.


L’Algérie table sur 60.000 chercheurs en 2020 - par djoudi le 02/12/2011 12:01

Le système national de documentation en ligne a ouvert plus de 60.000 accès aux universitaires.

L’Algérie, qui a été classé au premier trimestre 2010 par l’UNESCO à  la troisième place africaine en matière de recherche scientifique,  après l’Afrique du Sud et  l’Egypte, accorde un intérêt certain à ce domaine qui bénéficie d’un important budget de 100 milliards de dinars mobilisé pour la période allant 2008 - 2013.
Certes,  les capacités nationales en matière de recherche restent encore en deçà des normes internationales qui exigent 2000 chercheurs pour un million d’habitants alors que l’Algérie ne dispose encore que de 600 chercheurs par million d’habitants, contre 4300 en France ou encore 5600 au Japon, mais faut-il souligner que le nombre de publications scientifiques ont sensiblement augmenté en 2009, l’année durant laquelle elles ont atteint les 20.000 publications.
Concernant le  nombre des chercheurs algériens, le ministère de la tutelle indique que les  enseignants-chercheurs  ont atteint  17000 dont 1900 permanents. L’objectif est d’arriver à l’horizon 2020 à quelque 60.000 chercheurs, d’où le lancement de 34 programmes de recherche scientifique touchant divers secteurs d’activités (santé, ressources en eau, énergies renouvelables, agriculture, technologies de l’information et de la communication), conçus de manière à répondre à certaines préoccupations socioéconomiques.


Et les grandes orientations de la politique scientifique pour les prochaines années, sont clairement identifiées dans la loi programme 2008-2012 sur la recherche scientifique et le développement technologique.
Une enveloppe de 5 milliards de dinars a été dégagée pour les 34 programmes dont le financement moyen varie entre 3 et 10 millions de dinars, selon le programme  avec pour objectif de réaliser 3000 projets de recherche en deux ans.
Par ailleurs, dans la série de mesures prises en vue de relancer le secteur de la recherche,  l’Etat  a également décidé  de  rétribuer l’activité de recherche depuis la signature  en janvier dernier des contrats par les chercheurs inscrits aux Programmes nationaux de recherche (PNR). 
«Tout chercheur disposant d’un projet PNR agréé percevra cette rétribution qui, en fonction de ses activités, pourra être reconduite ou arrêtée», a indiqué le directeur de la recherche scientifique, M. Hafid Aoureg lors de l’annonce de la signature des contrats.

 
Ainsi, tout chercheur hospitalo-universitaire ou enseignant chercheur participant aux programmes nationaux de recherche et dont les travaux ont été publiés peut bénéficier de la prime mensuelle allant de 45.000 DA pour le professeur à 20.000 DA pour le maître-assistant de classe B. Pour les responsables d’unités de recherche régulièrement nommés, la prime est fixée à 20.000 DA pour le directeur de l’unité et à 10.000 DA pour le chef d’équipe. Cette fourchette varie selon les diplômes, l’expérience et la compétence de chaque chercheur.  Cette rétribution qui se veut «une reconnaissance de l’Etat pour l’élite du pays, ses compétences et  son excellence», vient aussi «distinguer l’excellence de la médiocrité», d’où l’importance, de l’évaluation des travaux qui sera faite par les experts des comités sectoriels de manière individuelle et non pas par programme de recherche.
Et dans cette perspective d’améliorer l’environnement de la recherche nationale, un système national de documentation on line a été aussi lancé  avec plus de 60.000 accès déjà ouverts aux enseignants, étudiants en master et doctorants inscrits dans les laboratoires de recherche. Le système permet aux chercheurs, grâce à un mot de passe attribué,  d’accéder à toutes les bases de données à travers le monde pour pouvoir télécharger toute la documentation nécessaire à leurs travaux de recherche.
Tant d’efforts déployés en vue aussi d’améliorer  le mauvais classement des universités algériennes et d’améliorer leur visibilité à l’international puisque la publication des travaux de recherches demeure un élément déterminant dans le classement des établissements universitaires.
Hamida B.


recherche scientifique : 100 centres opérationnels d’ici à 2014 - par djoudi le 02/12/2011 11:57

Dans une déclaration, à El Moudjahid, en marge de l’ouverture des travaux de la session ordinaire du Conseil national du syndicat national des chercheurs permanents, le directeur général de la recherche scientifique, M. Abdelhafid Aoureg, a affirmé, hier, que tous les ingénieurs qui sont dans le processus de recherche ont eu la possibilité de se former. Ceci, nonobstant le fait que « tous les chargés d’études sont inscrits dans des formations de master et par la suite dans des formations diplômantes de doctorat », a-t-il dit.
Il précise que la première phase va bientôt se terminer, « ceux qui sont dans leur première formation de master continueront leur formation sur le doctorat », expliquant que l’objectif est d’arriver à n’avoir, à l’horizon de 2014, « que des docteurs dans les centres de recherches ».
Le directeur de la recherche scientifique a déclaré qu’à l’échéance 2014, les 100 centres de recherches vont être opérationnels « à ce moment-là nous augmenterons le nombre de nos institutions » explique-t-il.
Il souligne que « si on fait un minimum de 50 chercheurs ça nous fait 5.000 nouveaux chercheurs sur 100 centres en 2014 ».
Par ailleurs, le « doctorat » sera le diplôme de base de recrutement en 2014, selon M. Aoureg, qui a mis en évidence le fait que le ministère de l’Enseignement supérieur s’est lancé dans une réforme qui est le (Licence - master - doctorat). Le LMD dont le diplôme phare de cette réforme est le « doctorat ».
Il explique que « sur le marché de l’emploi nous aurons beaucoup de docteurs en 2014, alors qu’aujourd’hui nous avons davantage de magisters, et il faut leur trouver de l’emploi dans les centres de recherche ».
Sihem Oubraham


Réunion du Comité Sectoriel Permanent - par djoudi le 30/11/2011 22:48

"Réunion du Comité Sectoriel Permanent"
du Ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
Bousmail (UDES) les 12 et 13 décembre 2011

 

Le Comité Sectoriel Permanent (C.S.P.) du MESRS tiendra sa deuxième session pour l'année 2011, les 12 et 13 décembre à l'UDES. .

L'ordre du jour de la session portera sur les points suivants :

1) Elaboration de la nouvelle loi sur la recherche (2013-2017) et mise en place des groupes de travail ;
2) Projets PNR: mise en  place d'une cellule de réflexion sur l'évaluation ;        
3) Finalisation des évaluations des 320 nouvelles propositions de création d'entités de recherche et validation des résultats de l'opération ;
4) Examen des modalités d'évaluation des bilans triennaux 2009-2010-2011 de 400 laboratoires de recherche      concernés;·       
5) Bilan des audits des 63 laboratoires de recherche ;
6) Examen des propositions de budgets triennaux des laboratoires de recherche pour la période 2012-2013-2014;

Les membres du CSP sont priés de communiquer la confirmation de leur participation par email :
labo@nasr-dz.org,
par téléphone ou par fax au : (00.213).21.63.81.01.


Développement des Technologies Avancées - par djoudi le 30/11/2011 22:47

MDN/MESRS

Deuxième rencontre des chercheurs algériens résidents
à l’étranger sur le thème du

"Développement des Technologies Avancées"
Alger,  6-7-8 décembre 2011

 

Programme de la rencontre en cours de finalisation

Le Ministère de la Défense Nationale en Collaboration avec la Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique organise la seconde rencontre des chercheurs algériens résidents à l’étranger, sur le thème des Technologies Avancées & Technologies de Défense.

Cette rencontre se tiendra du 6 au 8 décembre 2011, au niveau du Cercle National de l’Armée. Elle traitera du déploiement et de la mise en œuvre d’une recherche stratégique au service du développement socio-économique du pays, en ciblant particulièrement le secteur de la recherche de défense et celui de la recherche duale.

A ce titre, la rencontre visera essentiellement à approfondir la réflexion, définir et proposer les options susceptibles de développer une stratégie « recherche de défense - recherche civile » en conjuguant les synergies des chercheurs nationaux activant à l’étranger et ceux résidents dans le pays pour le déploiement d’une industrie de défense. La rencontre comportera des conférences plénières portant sur des thèmes d’actualité en matière de technologies avancées et débattra, au sein d’ateliers spécialisés, des problématiques du développement technologique et industriel de défense.

OBJECTIFS ET THEMATIQUES DU SEMINAIRE :
Sous le thème générique des technologies avancées, cette rencontre avec les chercheurs algériens résidents à l’étranger abordera, sous forme de conférences plénières, les domaines d’intérêt suivants :
- matériaux et énergétique,
- nanotechnologie,
- électronique et optoélectronique,
- informatique et Intelligence artificielle,
- technologies de l’information et de la communication,
- systèmes robotisés.

La rencontre comportera également des ateliers qui débattront des problématiques du développement de la recherche stratégique en Algérie à partir des réussites et des performances de cette recherche au niveau des pays où ils se trouvent et des potentialités, tant humaines qu’industrielles, existant en Algérie. Les ateliers spécialisés seront organisés autour des thèmes directeurs suivants:

- Atelier n°1 : Stratégies et concepts du travail collaboratif: point de situation et propositions;
- Atelier n°2 : Réseaux d'experts: modes d'organisation et de fonctionnement, approches opérationnelles;
- Atelier n°3 : Recherche stratégique et veille technologique de défense: repères actuels et projections futures;
- Atelier n°4 : Les mécanismes financiers de la recherche collaborative transfrontalière;
- Atelier n°5 : Etudes prospectives et anticipation technologique en matière de RD et d'industrie;
- Atelier n°6 : Réflexion sur les objectifs du plan stratégique de la recherche de défense pour le moyen et le long terme.

Ces thématiques restent non exhaustives et peuvent être complétées par d'autres sujets de réflexion.

A cette rencontre organisée avec la participation active de la Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, participeront des responsables de structures de recherche nationales ainsi que des chercheurs nationaux et des cadres du système national de recherche, dont les activités sont en relation avec les thématiques et les objectifs de ladite rencontre.

DATE ET LIEU DE DEROULEMENT DE LA CONFERENCE:
Cette rencontre se déroulera du 06 au 08 décembre 2011 au niveau du Cercle National de l'Armée, Béni-Messous.


INFORMATION:
Pour tout renseignement ou information complémentaire,  Email : "competences@nasr-dz.org"


1200 postes de recrutement ouverts pour l'année 2012 - par djoudi le 09/11/2011 00:17

Optez pour une carrière dans la recherche:
1200 postes de recrutement ouverts pour l'année 2012

 

Dossier à envoyer par email avant le 31/01/2012

Dans l'optique de renforcer les centres et unités de recherche en personnel chercheurs et de soutien, La DGRSDT annonce le recrutement pour l'année 2012 de:

Nombre de poste Catégorie Diplôme exigé
400 Chercheurs permanents Magister, Doctorat
300 Ingénieurs de recherche Magister, Doctorat
300 Ingénieurs Ingénieur, MasterII
200 Techniciens supérieurs TS, DEUA ou equivallent

Dans les spécialités suivantes:
- Mécanique,
- Electronique,
- Informatique,
- Sciences des Matériaux,
- Biotechnologie,
- Biologie,
- Agriculture,
- Génie Electronique,
- Génie des Procédés,
- Génie Industriel,
- Avionique,
- Physique,
- Chimie

Les personnes intéressées peuvent télécharger et envoyer leur dossier complet (formulaire renseigné + copie de diplôme) à l'adresse électronique suivante: recrut@nasr-dz.org

télécharger le formulaire de candidature


Les NTIC en Algérie, un marché très porteur (DG Viadeo) - par djoudi le 08/11/2011 22:34

PARIS- Le marché des nouvelles technologies de l’information et de la communication en Algérie où l’introduction de la téléphonie 3G est attendue pour 2012, est jugé « très porteur » par le directeur général Afrique du réseau social professionnel Viadeo, Chams Diagne, dont l’entité, basée à Paris, a pris part au Salon Med-IT organisé fin septembre à Alger.


"Cette année, nous avons été partenaires du 1er évènement dédié au web +la semaine du web à Alger+ et du Salon Med-IT. Ces évènements nous ont permis de rencontrer tous les grands acteurs de ce marché très porteur", a-t-il indiqué à l’APS.

Pour le responsable de Viadeo Afrique, l’intérêt porté à l’Algérie s’explique par les ½grandes avancées » accomplies dernièrement par le pays en matière de TIC avec l’arrivée prochaine de la 3G.

"Cela va avoir un impact fort sur l’économie, comme c’est déjà le cas dans d’autres économies africaines qui l’ont déjà déployée. L’adoption de l’outil internet évolue également assez vite", a-t-il soutenu, affirmant que la "valeur ajoutée" d’un partenariat avec l’Algérie serait surtout de "permettre à tout professionnel algérien de pouvoir gérer sa réputation professionnelle en ligne".

Permettre aux recruteurs d’approcher à la fois, les algériens résidant en Algérie et les algériens résidant à l’étranger, et permettre aux entreprises de communiquer de façon très ciblées auprès des algériens d’Algérie, et des algériens vivant à l’étranger sont les autres paramètres que viaduc compte développer avec l’Algérie, selon son représentant pour l’Afrique.

"A l’échelle mondiale, le potentiel de professionnels actifs est de l’ordre de 500 millions, versus 40 millions de professionnels membres de Viadeo dans le monde entier aujourd’hui. Si nous ramenons cette projection uniquement sur le marché algérien, nous-y comptons à date, 220 000 membres, versus une population active en Algérie de près de 11 millions : la marge est plutôt très importante", a-t-il indiqué.

A la question de savoir pourquoi un tel intérêt pour l’Algérie, M. Diagne a expliqué que Viadeo, par fidélité à sa stratégie de développement multi-locale dans les pays émergents, s’est rapproché du marché à haut potentiel que représentent les pays africains et a ouvert un premier bureau sur le continent en mars 2011, à Dakar au Sénégal pour la zone Afrique de l’ouest et centrale francophone, en attendant l’ouverture prochaine dans un pays du Maghreb un autre bureau pour la zone MENA.

Sur l’expérience "pilote" du bureau de Dakar, il s’est félicité des témoignages "très positifs" de membres africains quant à cette présence locale.

"A ma connaissance, Viadeo est à ce jour, le seul réseau social présent en Afrique. Cela veut dire beaucoup de choses, car en effet non seulement nous sommes visibles, c’est-à-dire que nous pouvons aller à la rencontre de nos membres lors d’évènements locaux, mais en plus nous sommes vraiment à l’écoute de ces derniers", a indiqué M.Diang.

Ainsi afin de mieux répondre aux attentes de ces membres, il a annoncé la mise en place prochaine de solutions de paiement en ligne spécifiques pour l’Afrique et l’ouverture d’une rubrique en ligne ½ formation continue » aux adresses IP africaines.

Réseau social professionnel en ligne, accessible en six langues, Viadeo s’adresse aux professionnels du monde entier. Basée à Paris (siège social), la société dispose également de bureaux et d’équipes locales aux Etats-Unis (San Francisco), en Angleterre (Londres), en Espagne (Madrid et Barcelone), en Italie (Milan), en Chine (Pékin), en Inde (New Delhi), au Mexique (Mexico City) et au Sénégal (Dakar).


Université d'Hiver de Biskra 24-29 décembre - par djoudi le 02/11/2011 15:16

Le Ministère de l'Enseignement Supérieure et de la Recherche Scientifique et le Secrétariat d'Etat à la Communauté Algérienne à l'étranger, en collaboration avec l'Association des Compétences Algériennes (ACA), invitent les Compétences Algériennes à l'Etranger à soumettre des propositions de cours pour la prochaine Université d'Hiver qui se tiendra à l'Université de Mohamed Khider, Biskra, Algérie, 24 du 29 Décembre 2011.

Le programme de cette Université d'Hiver sera composé de cours intensifs et de séances pratiques de formation destinés aux directeurs de laboratoires, aux directeurs de centres et instituts de recherche, aux directeurs de recherche et au personnel de direction. La formation portera sur les concepts et les techniques de management et de leadership, la gestion des ressources humaines, stratégies de planification/établissement et fonctionnement des unités de recherches, l'innovation, la création d'incubateurs et de Spin Off, la publication d'articles scientifiques dans des revues internationales avec comité de lecture, ainsi que d’autres thématiques d’actualité et de grand intérêt. A cet effet, les Compétences Algériennes établies à l'Etranger, et qui ont une expérience dans le domaine de la gestion des laboratoires et des unités de recherche et entreprises, sont appelées à contribuer activement à ce type d’événement en assurant un haut niveau de qualité et d'expertise professionnelle pour le transfert du savoir.

Quels instructeurs peuvent contribuer? Pour cette deuxième édition de l'Université d'Hiver, les instructeurs devront être des Professionnels de haut niveau, des chercheurs et des experts spécialisés (Subject Matter Experts : SMEs) reconnus par la communauté scientifique internationale pour leurs talents d'innovation et pour leur expertise de haut niveau. Comme ce fut le cas pour les sessions précédentes, les instructeurs sont invités à participer sur une base volontaire, pour manifester leur reconnaissance et pour participer au développement des Sciences et du Savoir Faire en Algérie.

Pour les candidates retenues, nous couverons leurs frais de déplacements à Biskra (billet d’avion international et local) et leurs séjours dans un hôtel de haut standard.

Qualités requises :

Compétences Algériennes et Experts spécialisés (SMEs) à l'étranger, et possédant de solides antécédents professionnels dans le domaine des cours qu'ils/elles proposent d'enseigner. Titulaire au minimum d’un poste de Professeur Associé, de Consultant, de Directeur de Recherche ou d’un poste de Responsabilité dans le domaine scientifique. Un minimum de 10 ans d'expérience et/ou une grande expertise dans l'un des domaines: recherche et innovation, formation, Editeur de journaux scientifiques ou Reviewer Le nombre de sessions/cours sera limité en fonction du nombre d'instructeurs disponibles dans chaque thème. Le comité Scientifique de l'Université d'Hiver sera responsable de la sélection des cours et des instructeurs. Les frais de voyage et d'hébergement des instructeurs seront pris en charge. Les propositions de cours peuvent être soumises à tout moment, mais au plus tard le 30 Octobre 2011 à l'adresse suivante : Winter_University_2011@aca-dz.org Les propositions de cours doivent inclure:

Un CV et une courte biographie Le Titre et les objectives du cours, Le contenu du cours La Durée et le type du cours (théorique, aspects pratiques, groupes de travail, &tudes de cas…) Les Besoins en équipements et en software

Pour plus de détails, veuillez consulter le document ci-joint ou bien visiter www.aca-dz.org

Winter University 2011, 2nd Edition

Mohamed Khider University, Biskra, Algeria

24-29 December 2011


Constantine : numérisation de 3000 manuscrits de valeur - par djoudi le 02/11/2011 00:58

ALGER - L’Université "Emir Abdelkader" des sciences islamiques de Constantine a numérisé récemment près de 3000 manuscrits de valeur dans le cadre d’une initiative collaborative avec les habitants de la ville, a annoncé lundi à Alger le directeur de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Hafid Aourag.


Lors du lancement officiel du système national de documentation en ligne, Aourag a précisé que la concrétisation de cette initiative avait été favorisée par la participation des habitants de la ville de Constantine qui "ont répondu favorablement à l’appel de l’Université et n’ont pas hésité à remettre à l’établissement différents manuscrits et livres de valeur en vue de leur numérisation". L’opération est toujours en cours, a-t-il ajouté.

Aourag a, dans ce contexte, appelé les recteurs des différents établissements universitaires du pays à reproduire l’initiative au niveau de leurs régions respectives et à créer un département de numérisation en vue de sauver ce patrimoine scientifique et littéraire inestimable. Une telle démarche, a-t-il dit, est à même d’enrichir les sites web de chaque université.


Lancement officiel du système national de documentation en ligne destiné à la communauté universitaire - par djoudi le 02/11/2011 00:57

ALGER -Le système national de documentation en ligne SNDL a été lancé lundi à Alger, un portail qui se veut "un outil indispensable" à la recherche scientifique et à l’accès à l’information en temps réel par la communauté universitaire.


"Ce portail permettra à nos chercheurs et étudiants en post-graduation d’effectuer leurs travaux de recherche bibliographiques en ligne tout au long de la semaine" a expliqué le directeur de la recherche scientifique et du développement technologique Hafid Aourag lors du lancement officiel de ce système informatique et l’annonce de la création de la cité des sciences et des arts.

Le SNDL accessible à l’adresse www.sndl.cerist.dz, offre, ainsi, la possibilité de consulter "des dizaines de milliers d’articles, de livres et de revues spécialisés et de télécharger les documents jugés utiles aux travaux de recherche".

"Avec le portail SNDL l’université algérienne franchira un nouveau seuil et passera à une nouvelle ère, celle de la révolution des technologies de l’information en dématérialisant la documentation" a t-il indiqué incitant les chefs d’établissements universitaires à alimenter ce système par les différents produits de recherches réalisés à leurs niveaux notamment les thèses de magistère et de doctorat.

Dans le même sillage et dans la perspective de développer l’utilisation de la langue arabe et de faciliter la tâche aux chercheurs dans cette langue, "qui se trouvent souvent pénalisés par rapport à leurs homologues francophones ou anglophones", une unité spéciale a été mise en place ayant pour mission la traduction de toute la production nationale mise en ligne dans ce cadre, souligne le même responsable.

S’agissant de la cité des sciences et des arts dont l’annonce officielle de sa création a été faite par la même occasion, M. Aourag a souligné que ce projet qui se situera au parc Dounia (Alger ouest) constituera un moyen pour rendre ce domaine accessible aux simples citoyens notamment les enfants.

"Ce projet qui sera opérationnel fin 2014 va aider à consolider les bases indispensables à acquérir pour comprendre, expérimenter et interpréter" à travers la vulgarisation de la science.

Il a également ajouté que ce lieu de connaissances proposera des activités permanentes telles que les démonstrations scientifiques et d’autres temporaires parmi lesquelles des colloques, des rencontres et une grande variété d’ateliers qui seront animés par des "médiateurs scientifiques", des chercheurs qui ont bénéficié d’une formation spécifique dans le domaine.


Concours à Oran de la meilleure invention 2011 - par djoudi le 02/11/2011 00:56

ORAN - Une vingtaine de jeunes de plusieurs régions du pays exposent leurs oeuvres et projets scientifiques, dans le cadre d’un concours lancé mercredi à Oran pour la sélection de la meilleure invention de l’année 2011.


Des inventions notamment dans l’informatique, les énergies renouvelables et la robotique sont exposées, dans cette rencontre de deux jours initiée par l’association scientifique locale "El Khawarizmi", par les participants venus de plusieurs wilayas dont Chlef, Sidi Bel-Abbes et Souk Ahras. Un jury spécialisé a été constitué pour évaluer les travaux exposés et des prix d’encouragement seront décernés aux auteurs des meilleurs inventions.

Parmi les oeuvres proposées figure un prototype d’ustensiles pour ablutions au profit de personnes âgées et de malades, conçu par un jeune architecte,Ryadh âgé de 25 ans.

Selon lui, son invention permettra d’économiser l’eau et son recyclage grâce à un système basé sur des rayons ultraviolets.

Fawzi, un technicien en informatique de Souk-Ahras, présente avec ses camarades plusieurs expériences scientifiques fondées sur l’électronique, notamment l’invention d’un système de fermeture et d’ouverture de portes par programmation informatique, en plus d’appareils de traitement du son.

L’exposition étale également un vélo ordinaire transformé par les idées du jeune Mohamed âgé de 18 ans de Chlef en une moto rapide utilisant du carburant et qui suscite la curiosité des visiteurs.

Parmi les autres inventions exposées l’on cite également un prototype d’un chauffe-eau écologique fonctionnant grâce à un moteur à vapeur et à l’énergie éolienne, plusieurs appareils de robotique multifonctionnels et des systèmes informatiques de traitement de données, comme celui inventé par Sakina (31 ans), ingénieur d’Etat en informatique.


Des étudiants algériens patrons de start-up au Salon "ITU-World 2011" - par djoudi le 02/11/2011 00:56

GENEVE - Le sommet mondial des télécommunications ainsi que le Salon "ITU-World 2011" qui se tiennent à Genève et auquel participe l’Algérie, avec notamment de jeunes étudiants propriétaires de start-up, prendront fin jeudi.


La ’’Dakhira arabe’’, un rôle moteur dans la formation et l’enseignement - par djoudi le 02/11/2011 00:51

(Hadj Salah)

 


ALGER - La Dakhira arabe (banque de données) joue un rôle moteur en matière de formation et d’enseignement dans le monde arabe, a affirmé, dimanche à Alger, le président de l’Académie algérienne de langue arabe, Abderrahmane Hadj Salah.


Intervenant à l’ouverture des travaux de la conférence nationale constituante de la Dakhira arabe, M. Hadj Salah a précisé que "la Dakhira représentait un instrument efficace pour toute personne désirant obtenir davantage d’informations quel que soit son niveau d’instruction ou son âge".

La Dakhira arabe est "une banque de données accessible de partout et à tout un chacun à travers Internet", font également savoir les initiateurs du projet en Algérie. Selon Hadj Salah, la Dakhira per mettra au citoyen arabe, considéré comme véritable ressource pour tout développement, d’accéder rapidement à l’information grâce à Internet et aux millions de textes du patrimoine scientifique et technique sauvegardés dans cette banque de données.

La Dakhira arabe "n’est pas une bibliothèque électronique mais une banque de données scientifiques et culturelles interactive", précise l’intervenant.

Le projet de la Dakhira arabe, dont l’idée germe depuis 1983, est devenu aujourd’hui une réalité, a-t-il rappelé, soulignant que sa concrétisation nécessite davantage d’efforts de la part des 19 pays arabes qui y participent.

Un appel d’offres national et international sera lancé pour la mise en œuvre de ce projet, notamment dans son aspect technique qui regroupe la banque de données, le moteur de recherche et les programmes, a annoncé le président de la Commission nationale de la Dakhira arabe, Cherif Merribi.

Cette banque de données englobera les ouvrages édités depuis les premiers siècles ainsi que des livres de sciences et de langues étrangères traduits en langue arabe.

Proposé par l’Algérie, le projet de la banque arabe de données a été adopté en 2010 par la Ligue arabe. L’Organisation suprême de la Dakhira arabe, qui siège à Alger, a été créée à cet effet au moment où certains pays arabes ont entamé la mise en œuvre du projet, à l’instar de la Jordanie, du Liban, du Soudan et l’Algérie.

S’agissant de la conférence nationale constituante de la Dakhira arabe, les organisateurs ont indiqué qu’elle visait à organiser et à donner un aperçu exhaustif des travaux relatifs à la contribution de l’Algérie au projet.

Parmi les objectifs arrêtés pour cette conférence figure la présentation du projet et la commission nationale chargée de l’exécution et du suivi de la contribution de l’Algérie ainsi que la coordination avec les représentants des autres pays arabes.


Dakhira arabe : une commission nationale chargée de la réalisation du projet en Algérie - par djoudi le 02/11/2011 00:50

ALGER - La commission nationale de la Dakhira arabe a été installée, dimanche à Alger, pour superviser la réalisation de la part de l’Algérie dans le projet de la Dakhira arabe. La Dakhira arabe est "une banque de données accessible de partout et à tout un chacun à travers Internet".


Le président de la commission nationale de la Dakhira arabe, Cherif Merribi, a qualifié d’"ambitieux" ce projet civilisationnel, scientifique et culturel, ajoutant qu’il "a été étudié au service de la langue arabe".

Composée de 12 membres, la commission nationale, dont la mission se limite à approuver les différents textes à mémoriser, après examen des propositions de chaque établissement, a affirmé Merribi, le représentant de l’Algérie à l’Assemblée générale de la Haute instance de la Dakhira arabe, relevant de la Ligue arabe.

La commission prend également en charge la traduction et le choix des travaux de recherche qui méritent d’être mémorisés et supervise les actions éducatives, en coopération avec le ministère de l’Education nationale (préparation des cours dans certaines matières), Dakhira "étant destinée en grande partie aux générations montantes", a-t-on souligné lors de cette conférence.

La commission se réunit au moins deux fois par an et soumet au terme de chaque réunion, un rapport à la haute instance de la Dakhira arabe.

Il s’agit de la cellule principale qui procède à la réalisation de la Dakhira, considérée comme une équipe spécialisée au sein de l’établissement scientifique qui participe à une ou plusieurs matières.

La commission algérienne de la Dakhira arabe compte des professeurs et des chercheurs relevant de l’institut supérieur de traduction, en qualité de membre principal et de la direction générale de la recherche scientifique relevant du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, ainsi que des différents établissements universitaires de l’enseignement supérieur (les trois conférences universitaires), du ministère de l’Education nationale et autres.

La commission assurera sa mission dans le cadre d’un programme défini financé par le budget du gouvernement, notant que le décret présidentiel N° 11-247 du 10 juillet 2011 avait adopté le statut de la Haute instance de la dakhira arabe, élaboré le 16 septembre 2010 au Caire.

L’apport de la Dakhira arabe dans la promotion de la langue arabe soulignée par des conférenciers

ALGER - Les participants à la conférence constituante de la Dakhira arabe (banque de données) ont été unanimes à souligner, dimanche à Alger, l’importance de ce projet qui contribuera grandement à la promotion de la Langue arabe.

"Cette journée constitue un véritable départ pour le projet de la Dakhira arabe qui est un véritable projet civilisationnel et décisif pour les pays arabes", a estimé la directrice générale de l’Institut supérieur arabe de la traduction, Inaam Bayoudh.

Grâce à ce projet, l’individu arabe pourra avoir accès à toutes les informations dont il a besoin notamment durant son cursus scolaire, a-t-elle ajouté, précisant que "la promotion de ce projet n’a pas été menée de manière à faire connaître ce projet au grand public".

De son coté, Mechri Benkhalifa, recteur de la Faculté des Lettres et des Langues à l’Université de Ouargla a précisé que "ce projet national civilisationnel "ne peut être mené sans la conjugaison des efforts de tous à travers la mobilisation de tous les moyens matériels et humains.

En proposant ce projet à la Ligue arabe, l’Algérie a franchi un pas positif vers la mondialisation, a-t-il ajouté.

De son coté, Touati Ben Touati, enseignant à l’Université de Laghouat a affirmé que ce projet profitera à la langue arabe à travers sa promotion en tant que langue de sciences par excellence.

L’intervenant a appelé tous les établissements de recherche ainsi que les universités algériennes à adhérer à cet important projet en vue de contribuer à son succès, notamment en ce qui concerne la part de l’Algérie.


Soumission de projet de recherche en "Innovation" - par djoudi le 29/10/2011 19:17

Cet appel à projets, dans la continuité de celui lancé par la Direction générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique DGRS-DT en 2010 ayant permis de financer plus de 2600 projets de recherche, a pour objectif de sélectionner les projets porteurs dans le secteur socioéconomique, de permettre aux chercheurs, enseignants-chercheurs, doctorants et cadre nationaux de participer par leur créativité à l’effort national de transférer, pour en faire profiter, les connaissances scientifiques cumulées dans les établissements de recherche vers l’entreprise et la société.

http://www.andru.gov.dz/Innovation.htm

Soumettre votre projet : http://www.andru.gov.dz/soumission.htm

La brochure - Français : http://www.andru.gov.dz/Brochure_Francais.pdf

Canevas de soumission : http://www.andru.gov.dz/soumission.htm

Critères d'évaluation : http://www.andru.gov.dz/criteres.pdf

 


Un algorithme perce les secrets d'une société secrète allemande - par djoudi le 27/10/2011 13:12

Lu sur http://www.slate.fr/lien/45585/algorithme-informatique-logiciel-code-copiale

Le code du Copiale est un mystérieux cryptogramme, contenant près de 75.000 caractères, qui avait été retrouvé dans une université de Berlin-Est à la fin de la Guerre froide et que l'on attribue à une société secrète allemande du XVIIIe siècle. Des scientifiques de l'université de Californie du sud et de l'université suédoise d'Uppsala ont réussi à en décrypter une partie

grâce à un algorithme informatique de détection et de traduction de langages, raconte le Los Angeles Times.

Les chercheurs ont tout d'abord isolé les caractères grecs et latins des symboles abstraits pour tenter de comprendre une partie du message mais ont réalisé que ces premiers étaient insignifiants. Le travail était rendu plus complexe par l'absence d'espace entre les caractères, comme le montre la présentation de leur recherche [PDF].

Sachant que le texte provenait d'Allemagne, ils sont partis de l'hypothèse selon laquelle les symboles abstraits pourraient être des approximations de caractères germaniques. «Je suis heureux de savoir que les logiciels de linguistique peuvent nous aider à décoder des des cryptogrammes historiques», a confié Kevin Knight à Annenberg TV News, chaîne télévisée de l'Université de Californie du Sud. «Maintenant, j'espère que les techniques de décodage peuvent aider à concevoir de meilleurs logiciels de traduction.»

Les premiers mots déchiffrés étaient «Cérémonies d'initiation» suivi de «Section secrète». Les chercheurs ont réussi à déchiffrer 16 pages du document, qui en compte 105, et ont découvert qu'il décrivait les rites d'une société secrète intéressée par l'ophtalmologie, comme celui de s'épiler les sourcils. Ou encore le mode de reconnaissance entre membres: si un membre veut savoir comment va Hans, par exemple, l'autre personne doit d'abord lui répondre en mentionnant un prénom qui commence par la seconde lettre du prénom déjà cité, Anton par exemple.

Selon le Guardian, l'équipe de Kevin Knight a avoué avoir d'autres projets de cryptographie en tête avec la technologie qu'elle a mise au point; la scuplture Kryptos qui se trouve dans l'enceinte du quartier général de la CIA, le cryptogramme du tueur de Zodiaque dans les années 1960 en Californie ou encore le manuscrit de Voynich du début du 15e siècle. Toutefois, Elonka Dunin, qui anime un site sur la cryptographie, se veut dubitative. «Généralement, cette technique de décryptage a déjà été utilisée pour ces cryptogrammes», estime-t-elle sur le site MSNBC.


Dennis Ritchie, l'autre génie mort en octobre 2011 - par djoudi le 17/10/2011 18:12

Il était l'un des plus grands informaticiens de l'histoire, sinon le plus grand. Dennis Ritchie aurait mérité les honneurs de la planète entière, mais il est décédé dans l'indifférence, au moment où tout le monde parlait de la disparition de Steve Jobs, qui avait succombé quelques jours plus tôt à un cancer. Pas une seule dépêche n'a évoqué son nom. Pourtant, la plupart des ordinateurs, mais aussi des smartphones, des tablettes, des GPS, des modems, des routeurs ou même certains Frigidaire lui doivent la vie. Créateur du langage de programmation C et cocréateur d'Unix (avec Kenneth Thompson), il est à l'origine de l'informatique moderne qui, sans lui, aurait un visage totalement différent.

Né en 1941 dans l'État de New York, Dennis Ritchie se consacre très vite à sa passion : l'informatique. Dans les années soixante, cela signifie passer des journées dans de gigantesques salles, où des ordinateurs pharaoniques tiennent à peine. On est loin de la miniaturisation et de l'ordinateur personnel. Suivant les pas de son père, Dennis Ritchie rejoint Bell Labs en 1967, un an avant de soutenir sa thèse à Harvard. Il ne quittera jamais ces laboratoires, malgré des changements profonds dans les structures : Bell est passé entre les mains de l'opérateur américain AT&T, puis a rejoint la nouvelle filiale Lucent, avant de fusionner avec Alcatel au sein d'Alcatel-Lucent.

"Mes premières années d'étude m'ont convaincu que je n'étais pas assez intelligent pour être physicien, et que les ordinateurs étaient cool", écrivait-il sur sa page autobiographique. Humble, très discret et toujours attentif à associer ses collaborateurs à ses multiples réussites, il n'a jamais eu l'aura médiatique d'un Steve Jobs. Récompensé notamment par le prestigieux prix Turing (souvent qualifié de "Nobel" de l'informatique), son nom restera à jamais une référence pour tous ceux, développeurs et informaticiens, qui regardent "sous le capot" des appareils qu'ils créent, optimisent ou utilisent.
Par
Guerric Poncet

http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/dennis-ritchie-l-autre-genie-mort-en-octobre-2011-17-10-2011-1385493_47.php


CIIA 2011 : 3rd International Conference on Computer Science and its Applications - par CIIA11 le 09/09/2011 22:54

Call for Papers

CIIA’11

3rd International Conference on Computer Science and its Applications

13 – 15th December 2011, Saida , Algeria

http://www.univ-saida.dz/dept-Info/CIIA11/index.htm

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Conference Aims:

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The 3rd International Conference on Computer Science and its Applications
CIIA’11 will be focused on the various aspects of advances in computer
science and its applications and will feature world-renowned keynote speakers
and excellent technical program addressing the technology landscape and current
challenges in different topics including Software Engineering, Distributed
System, Artificial Intelligence and more, etc. This event is a great
opportunity for local and foreign attendees to exchanges knowledge and
experience in various fields of IT.

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Important Dates:

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All dates are final. There will be no delay or postponement granted.

Submission Deadline : 15th October 2011

Notification of Acceptance : 15th November 2011

Final camera ready paper : 25th November 2011

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Submissions:

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* Submissions (anonymous) via the EasyChair conference system.

http://www.easychair.org/conferences/?conf=ciia11

Complete 6-page papers (in standard IEEE double-column format), including
title, authors' names, affiliations and e-mail addresses, as well as a short
abstract are required. Papers must be submitted electronically in PDF format
through the website. Only electronic submissions will be accepted.

Authors of best papers will be invited to submit an extended version of their papers for publication in a journal.

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Committees:

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--Conference Chair

Abdelmalek AMINE, Taher Moulay University of Saida

--Program Chairs

- Otmane AIT MOHAMED  -   Boualem BENATALLAH,
     Monréal , Canada New          South wales, Australia

- Zakaria ELBERRICHI, Sidi Bel Abbes, Algeria


--Program Committee (to be completed)

M.K. ABDI - U.Oran, Algeria
E. ABDELWAHED - Marrakech, Morocco
R. ADJOUDJ - Sidi Bel Abbes, Algeria
Y. AIT AMEUR - Poitiers, France
D. AMAR BENSABER - Sidi Bel Abbes, Algeria
A. AMINE - Saida, Algeria
A. AMIRAT - Souk Ahras, Algeria
B. ATMANI - U.Oran, Algeria
M.C. BABAHENINI - Biskra, Algeria
L. BABA-HAMED, U.Oran, Algeria
A. BALLA - ESI-Alger, Algeria
G. BELALEM - U.Oran, Algeria
B. BELATAR - Batna, Algeria
H. BELBACHIR - USTOran, Algeria
B. BELDJILLALI - U.ORAN, Algeria
L. BELLATRECHE - Poitiers. France
K. BENATCHBA - ESI-Alger, Algeria
R. BENLAMRI - Lakehead University, Canada
y. BENMIMOUN - Mascara, Algeria
M. BENMOHAMED - Constantine, Algeria
D. BENSLIMANE - LIRIS, Lyon, France
S.M BENSLIMANE - Sidi Bel Abbes, Algeria
A. BILAMI - Batna, Algeria
K. BOUAMRANE - U.Oran, Algeria
M. BOUFAIDA - Constantine, Algeria
A. BOUKELIF - Sidi Bel Abbes, Algeria
R.CHALAL - ESI-Alger, Algeria
A. CHAOUI - Constantine, Algeria
M.A. CHIKH - Tlemcen, Algeria
S. CHIKHI - Constantine, Algeria
A. CHOUARFIA - USTOran, Algeria
M. DJOUDI - Poitiers, France
M.K FARAOUN - Sidi Bel Abbes, Algeria
A. GAFOUR - Sidi Bel Abbes, Algeria
F. GARGOURI - Sfax, Tunisia
N. GHOUALMI - Annaba, Algeria
F. GUILLET – Nantes, France
M.S. HACID - LIRIS, Lyon , France
A. HADID - Oul
Trois universités françaises dans le top 100 mondial - par djoudi le 16/08/2011 14:29

Le classement de Shanghai des universités, aussi attendu que décrié car centré sur la recherche et non l'enseignement, consacre la suprématie des américaines, la France gardant trois établissements dans le top 100 et continuant de perdre des places dans le top 500.

Comme en 2010, les universités américaines dominent, s'arrogeant 17 des vingt premières places, selon ce classement mondial de 500 universités mis en ligne dimanche soir par l'université des communications de Shanghai, Jiaotong (voir le site).

L'université américaine Harvard reste numéro un, Stanford reprenant la deuxième place cédée l'an dernier à Berkeley, qui est cette fois quatrième derrière le Massachusetts Institute of Technology (MIT).

Trois universités britanniques figurent dans le top ten, Cambridge (5e) et Oxford (10e) étant rejointes par le University College de Londres (20e).

L'université de Tokyo perd une place pour se classer 21e.

Trois françaises dans le top 100
 

Le premier établissement français n'apparait qu'au 40e rang, et seulement trois établissements français continuent de figurer dans le top 100: Paris-Sud Orsay à la 40e place (5 places gagnées), Pierre-et-Marie-Curie à la 41e place (deux rangs perdus) et l'Ecole normale supérieure (ENS-Ulm) à la 69e (deux places de mieux).

Dans le top 500, les Etats-Unis restent premiers avec 151 établissements, suivis de l'Allemagne (39) et du Royaume-Uni (37).

Avec 35 établissements contre 22 l'an dernier, la Chine gagne deux places à la 4e. Suivent le Japon (23 établissements), le Canada et l'Italie ex-aequo (22), tandis qu'avec 21 établissements, la France passe du 6e au 8e rang. Elle était 5e en 2009.

Trois universités se classent dans le Top 100 pour la première fois depuis la création du classement en 2003: celles de Genève (73e), Queensland (88e) et Francfort (100e).

Dix universités font leur entrée dans le classement des 500, comme celles de Malaya (Malaisie) et Zagreb (Croatie).

Ce classement est aussi attendu que critiqué, notamment en France, car les critères retenus en défavorisent les universités.

Critères polémiques
 

Ces critères retiennent essentiellement la performance en matière de recherche, au détriment d'enseignement: le nombre de prix Nobel, de médailles Fields (l'équivalent du Nobel en mathématiques) et d'articles publiés dans des revues uniquement anglo-saxonnes.

La France en pâtit d'autant plus que la recherche y dépend à la fois des universités et des organismes de recherche. Or la méthode de Shanghai partage les points obtenus entre l'université et les organismes associés.

Du 23 au 30 juillet, une délégation des chercheurs qui publient ce classement annuel s'était rendue en France, pour y étudier les regroupements en cours d'universités et de grandes écoles.

La délégation avait été reçue par les responsables de quatre pôles: l'Université de Lorraine, Aix-Marseille Université, "Paris Sciences et Lettres" (PSL) et l'Université de Bordeaux. Une seconde mission doit être organisée à l'automne.

(source AFP)


- par djoudi le 15/05/2011 11:51


Débat national sur le LMD à Sétif - par djoudi le 14/04/2011 19:36

mercredi 13 avril 2011 | Nabil Foudi | Setif.info

Un séminaire sur le thème "Promesses et défis de l’université algérienne après 5 ans de réforme LMD" a eu lieu ce lundi et mardi à l’université Ferhat-Abbas de Sétif.

La rencontre   a été animée par des enseignants universitaires issus de plusieurs wilayas du pays à savoir Dr Hamada et Pr Miliani. Plusieurs communications ont été présentées suivies de débat en vue de développer une base solide pour une bonne mise en œuvre de ce système dans nos universités et pour lever les incompréhensions qui l’entourent. Cette conférence animée en  anglais a été aussi une occasion pratique pour les étudiants inscrits en langues étrangères qui étaient présents en masse. 

Lors d’un point de presse, Pr Baki, recteur de l’université de Sétif a affirmé que le système classique reste en état jusqu’au dernier étudiant inscrit. La reforme LMD est une décision ministérielle qu’il faut appliquer pour l’intérêt de l’étudiant et pour sa formation.

 


L’université de Sétif organise un débat national sur les 5 ans de réforme LMD - par djoudi le 06/04/2011 16:29

mardi 5 avril 2011 | Nabil Foudi | Sétif Info
Le Département de Langue et Littérature anglaises, de l’Université Ferhat Abbas, Sétif organise les 11 et 12 avril prochains à la salle Nait Belkacem du pôle universitaire « EL BEZ » une conférence intitulée «  Promesses et défis de l’Université Algérienne après 5 ans de réforme LMD   » a t-on appris de la cellule de communication de l’université.

Selon la même source, cette conférence nationale est présidée par Dr. MAMI ABDELLATIF Naouel et dirigée par M. TORKI Saad, Chef du Département des Langues et Littérature anglaises. Elle a pour but de faire progresser les connaissances sur l’Enseignement Supérieur et la réforme LMD (Licence , Master , Doctorat) au bout de cinq ans à compter de sa mise en œuvre en 2004-2005. Ainsi pour développer une base solide pour une bonne mise en œuvre du système LMD dans nos universités.  


Aperçu de la recherche algérienne - par djoudi le 03/03/2011 20:47

par Ali Derbala *  in quotiend d'oran

Toute notre science exacte, en dépit de sa froideur, de son absence d'affect, reste encore soumise à la séduction du langage. La science a pour objet l'être réel, l'ensemble des essences ou idées. La connaissance éclaire les esprits et facilite l'effort vers le bien, tandis que l'ignorance paralyse cet effort.

Il est très difficile d'évaluer les points forts et les points faibles de la recherche en Algérie. Des opinions individuelles, on retiendra la prépondérance du génie civil, l'électronique, l'informatique, etc. Les mathématiques pures et appliquées sont décrites comme moyennes, la physique en revanche est faible et la chimie ne brasse plus les masses. Les spécialités de biologie, biochimie et celles qui donnent sur des métiers libéraux sont prises d'assaut.

Les objectifs de la recherche en Algérie

En sciences exactes, le niveau actuel des études est celui de l'alphabétisation. La querelle de préséance entre la recherche fondamentale et la recherche appliquée est loin d'être réglée. Les grands programmes qui font le prestige des nations développées (spatial, défense, solaire, nucléaire, etc.) sont presque inexistants. Quant aux opérations de vulgarisation ou d'histoire des sciences, elles sont réalisées par quelques experts médiatiques venus de l'étranger.

 Il existe une séparation institutionnelle entre les centres de recherche, les universités et les grandes écoles. La relation entre la recherche académique et l'industrie n'existe presque pas, puisque l'industrie est pétrolifère, dominée par des firmes étrangères, qui n'investissent pas dans la recherche scientifique ou peu. Une faible proportion des universitaires a collaboré avec les entreprises nationales, de même une méfiance réciproque de la part des directeurs d'entreprises est constatée. Les nouveaux projets de recherche PNR arriveront sûrement à établir des liens et des liaisons entre l'Université et les secteurs publics ou privés.

Position de la recherche algérienne

De plus en plus fréquemment, on voit la science théorique prêter main- forte à la science pratique, pour le plus grand bénéfice de l'une et de l'autre. Les mathématiques sont venues au secours de la médecine, même dans des cas critiques du cancer et d'autres maladies.

 La médecine a souvent recouru à la statistique. Schaeffer et Shapin [01] ont montré comment s'est décidée, quelque part en Angleterre, à la fin du XVIIe siècle, la séparation entre le monde politique et le monde de la connaissance scientifique. Pour mieux servir la société, la science et les scientifiques doivent s'en tenir à l'écart. Que les chercheurs cherchent, et cherchent bien, le reste, le politique s'en chargera.

 La recherche académique ne garantit la réussite économique qu'immergée dans l'industrie et les services. Les avancées scientifiques les plus évidentes ne deviennent des produits industriels que s'il existe un appareil de développement capable de les traduire en technologies. La science doit être à la fois en dehors et dans le système politique.

 Rien n'empêche de simples artisans ou des entreprises algériennes d'innover leurs produits fabriqués. Cette innovation s'appuie sur le savoir-faire technique, les apprentissages collectifs, la virtuosité des individus, des travailleurs ou simplement des ingénieurs pour concevoir et commercialiser des produits finis destinés à un large public. On peut même se dispenser des chercheurs hautement gradés. En l'absence d'un monopole ou de position de dominance, des entreprises doivent savoir investir massivement dans une recherche et un développement pour devancer leurs concurrents. Elles peuvent se doter de leurs propres laboratoires de recherche pour concevoir des produits dont les débouchés seront assurés par des marchés publics.

 A l'Université, il faut qu'on développe des conventions avec les entreprises de type Cifre, qui les conduisent à co-financer des thèses et mémoires, en amputant ce financement de leurs impôts annuels. La recherche académique doit être visible et présente. Il faut encourager les chercheurs à mettre leurs travaux de recherche en page Web personnelles ou de visibilité en page Web des laboratoires, quitte à les rémunérer selon leur visibilité. Beaucoup d'universités algériennes n'ont pas de laboratoires visibles.

Le laboratoire de recherche à l'Université

Le laboratoire de recherche, qu'il ne faut pas confondre avec le laboratoire de travaux pratiques, est régi par le Décret exécutif n° 99-244 du 31 octobre 1999. Il tire sa faculté d'invention de son isolement ; il tire sa pertinence et son efficacité des multiples influences qu'il brasse et combine. C'est une aptitude à se retrancher et à se connecter à la société.

La recherche doit être acceptée à la fois par les chercheurs et les décideurs, être intelligible pour les spécialistes et les non-spécialistes. La nature de la recherche et les résultats espérés ou escomptés sont de quatre ordres au moins : les activités de formation, la vulgarisation et l'expertise, la participation à la valorisation économique et la production de connaissances certifiées.

L'heure est, pour les universitaires, à l'indétermination, l'indécision la plus inquiétante. Pour inventer, contribuer au confort de la société, à la résolution de ses problèmes quotidiens, il faut qu'on soit sociable et courtois. Après, il faut apprendre à interpeller les gens par des questions intéressantes et savoir les formuler. Il faut se réunir hebdomadairement, mensuellement, etc. A chaque fois, laisser des écrits, des traces pour ceux qui vont venir, pas pour espionner les gens. Ils sauront ce qui a été tenté dans le laboratoire comme expériences, à ne pas renouveler les expériences inutiles et inutilement, etc. Il faut que des équipes de recherche se créent, dirigées par le plus scientifique, quitte à ce qu'il soit le plus jeune. Au début, ces équipes seront formées par des chercheurs qui ont les mêmes intérêts scientifiques.

Quand l'équipe aura acquis de l'expérience, on créera des équipes multidisciplinaires. Après, il faut un thème de recherche.

Les difficultés dans la recherche. La bureaucratie non huilée

La production scientifique d'un laboratoire de recherche peut être décrite par deux modèles. Le modèle linéaire, où les activités de recherche, de développement, de production, etc. se succèdent indépendamment et sans interactions. Dans le second modèle, un laboratoire universitaire produit des connaissances certifiées, participe à l'innovation, fait de l'expertise et de la vulgarisation, a des activités de formation et prend part à des programmes publics.

 Comment la recherche algérienne se situe-t-elle par rapport à ces deux modèles ? Il me semble que les Algériens se distinguent par une science académique dont le niveau est à déterminer, mais que la bureaucratisation à outrance, la pléthore d'organismes de tutelle rendent réfractaires aux idées scientifiques. En effet, les organismes dans l'orbite de la recherche sont : le Secrétariat d'Etat à la recherche, la Direction de la recherche scientifique et du développement technologique (Projet PNR, etc.), la direction des accords-programmes entre les universités algériennes et étrangères (projets de types CMEP, …), la Direction des projets rétribués CNEPRU et le ministère de la Solidarité, par son intérêt aux scientifiques algériens à l'étranger.

 Dans une université, qui commande la recherche, sous-entendu aussi la gestion des laboratoires de recherche ? Le recteur ou le directeur de la recherche scientifique et du développement technologique ou le directeur de laboratoire de recherche ou les chercheurs eux-mêmes ?

 Pour les achats de matériels, le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique n'a pas de mainmise sur les chefs d'établissements universitaires, il ne peut rien devant les recteurs, des ordonnateurs principaux. Il n'a aucune autorité sur eux ! Le directeur du laboratoire ne peut même pas signer un « bon de commande » de stylos. Pourquoi nomme-t-on un directeur de laboratoire, qui sera payé conséquemment, s'il n'est pas autonome, libre et indépendant de toute influence de gestion bureaucratique ? Cela constituera des charges inutiles pour le contribuable.

Il y a beaucoup d'intermédiaires qui font écran et un frein entre la direction de la recherche et les responsables des laboratoires. Ces intermédiaires sont les vice-doyens chargés de la PG des facultés, les doyens, les vice-rectorats chargés de la PG, de la recherche et les relations extérieures, le Secrétariat général de l'Université (géré par un administrateur) et le rectorat.

Ils ne sont nullement évoqués dans le décret exécutif sus-cité, texte qui régit les laboratoires dans les Universités. Si ces départements doivent être avisés, ou doivent faire leur comptabilité, ce n'est qu'a posteriori et non a priori.

La tricherie de certains chercheurs

Quand une mouche se pose sur le plus beau visage, c'est elle qu'on voit d'abord. La fraude est une maladie endémique du monde scientifique. A l'Université algérienne, des garde-fous peuvent être établis pour réduire la fraude, le plagiat ou les articles achetés des journaux payants qui s'avèrent une fraude beaucoup plus «pernicieuse». Il s'agit du jugement de pairs, la relecture systématique des manuscrits scientifiques par des experts algériens avant publication dans des revues, plus particulièrement douteuses, la reprise des expériences par d'autres scientifiques qui doit aboutir aux mêmes résultats et l'utilisation des données de type « benchmarks » pour confirmer ou infirmer les résultats.

Concernant la fraude et le plagiat, même l'Amérique n'est pas épargnée. Dans [02, p.34], j'ai retrouvé un écriteau du type : … C'est le hasard seul qui dénonça le Dr John Roland Darsee, jeune chercheur à la célèbre Harvard Medical School et qui, en deux ans, a publié près de deux cents articles et résumés, dont certains co-signés par son chef de service, le cardiologue Eugène Brauwald, directeur de deux laboratoires de recherche ayant reçu plus de trois millions de dollars de financement des National Institutes of Health (NIH), qui sélectionnent les projets de recherche d'intérêt national qui méritent d'être financés.

Conclusion

L'Etat est conduit à déléguer ses responsabilités en matière de recherche et de développement aux vrais chercheurs et directeurs de laboratoires. Les grandes administrations scientifiques sont devenues d'énormes machines qu'il convient d'alimenter en budget d'Etat faramineux pour la recherche que les « vrais chercheurs» leurs procurent par le biais des plans triennaux, et dont certains ne voient presque jamais la « couleur » de l'argent. Leurs responsables sont habitués à un certain train de vie.

La bonne représentation exige aussi de nombreux voyages à l'étranger, afin de visiter les scientifiques algériens qui y résident et pour entretenir leur engagement à servir la patrie et leur fibre patriotique. Tout cela coûte cher. La grandeur d'un progrès se mesure même d'après le sacrifice qu'il a fallu lui consentir. Les enseignants ne sont pas des hérauts du progrès, leur niveau scientifique y est pour quelque chose. Le problème de la valeur est : tout est relatif, tout est égal, tout se vaut.

*Universitaire

Références :

1. S. Schaeffer et S. Shapin. Leviathan et la pompe à air., La découverte, 1993.

2. Revue Science & Vie, les nouvelles théories de l'Univers, août 1983, mensuel, n°791.


http://www.lequotidien-oran.com/?news=5150030
 

Les TIC , un apport salutaire à l’enseignement et la formation en Algérie - par djoudi le 24/02/2011 23:56

L’introduction des nouvelles technologies dans L’enseignement et la formation a contribué d’une manière “très positive” à l’évolution de l’éducation en Algérie, ont indiqué jeudi à Oran des enseignants et directeurs d’établissements scolaires. Interrogés sur l’apport des nouvelles technologies dans l’éducation en Algérie, en marge du premier salon de la formation, des équipements scientifiques, didactiques et pédagogiques, ils ont été unanimes à dire que les TIC ont “bouleversé positivement” les écoles algériennes à travers notamment, l’utilisation de l’informatique et l’introduction de l’Internet.
 
De l’aveu de M. Salah Meradi, directeur d’un établissement d’enseignement moyen au centre-ville d’Oran, le recours des élèves à l’Internet dans les travaux de recherches a été très bénéfique sur le rendement scolaire, dans le sens où il approfondit leur culture générale, outre la maîtrise de l’outil informatique.
 
Il a souligné que dans son établissement, les jeunes écoliers demandent eux même des cours de soutien en informatique afin d’élever leur niveau. M. Sanhadji, directeur d’un lycée à Bir El Djir a relevé, pour sa part, que plusieurs établissements au niveau d’Oran ne disposent pas encore d’un laboratoire informatique, soulignant l’impératif de les doter de ce genre de laboratoires, de tableaux interactifs et de data-show pour la présentation des différents cours, dans le cadre du plan national d’informatisation des écoles.
 
Pour la réussite de ce plan d’informatisation, il faut également des instructeurs qualifiés et des enseignants pour maintenir l’opération en cours d’exécution, a-t-il ajouté. Il a indiqué, dans ce sens, que le ministère de l’Education nationale a instruit les directeurs d’écoles et les enseignants à suivre des programmes de formation en informatique. Pour ce faire, toutes les écoles devaient mettre en place des programmes de formation d’au moins 30 heures pour les directeurs, enseignants et personnel éducatif.
 
Pour Mme Karima, enseignante dans une école primaire à Bethioua, le remplacement du tableau de bois et de la craie blanche par des tableaux blancs et stylos a contribué, d’autre part, à baisser les cas d’allergies et de maladies des yeux chez les élèves, soulignant que l’utilisation prochaine d’écrans interactifs et data-show dans les cours sera bénéfique pour le cursus scolaire.
 
Le premier salon Didactico, clôturé jeudi, a été une occasion pour les acteurs du secteur de se rapprocher davantage des usagers afin de comprendre et analyser les besoins du marché pour une meilleure prestation et des produits sur mesure qui s’adaptent avec la structure socio-culturelle du pays.
 
A ce titre, environ 2.000 personnes entre enseignants, directeurs d’écoles, de centres de formation et d’établissements spécialisés ont visité le Salon, selon les organisateurs. De nouveaux produits ont été proposés aux visiteurs, tels que les tableaux numériques interactifs (TNI) alliant les avantages d’un écran tactile et de la vidéo projection, le data-show interactif ou système de commande par ordinateurs.
 
 17 Janvier 2011.

Appel à candidature pour formation Php/MySql - par djoudi le 01/02/2011 11:20

Appel à candidature pour formation Php/MySql

Les CNF d’Alger organise un atelier de formation sur la Création et la gestion de sites web dynamiques (Php/MySql):

Lieu : CNF Alger.
Date : 14-16 février 2011.

Les inscriptions se font exclusivement via Internet sur le site web :
http://www.transfer-tic.org/rubrique9.html


L'université de Sétif adhère à l'Espace numérique ouvert pour la Méditerranée - par djoudi le 01/02/2011 11:05

SETIF- L'université Ferhat-Abbas de Sétif vient d'adhérer à l'Espace numérique ouvert pour la Méditerranée (E-OMed), a annoncé dimanche, l'administration de cet établissement d'enseignement supérieur.Cette adhésion permet à l'université de Sétif d'intensifier la coopération internationale et d'ouvrir de nouvelles perspectives pour développer les moyens pédagogiques et les instruments numériques en vue de promouvoir le niveau de qualité, en encourageant les échanges dans ce domaine, selon la même source.   
Paiements électroniques: lancement d'une étude de faisabilité - par djoudi le 01/02/2011 11:04

ALGER - Le Centre national du registre du commerce (CNRC) et le ministère de la Poste et des technologies de l'information et de la communication (MPTIC) ont signé, mercredi à Alger, une convention pour la réalisation d'une étude de faisabilité sur le registre du commerce électronique et le paiement par téléphonie mobile. Cette convention de partenariat s'inscrit dans le cadre du programme de modernisation du registre du commerce en vue de "faciliter l'accès à l'information économique et commerciale, et de renforcer la transparence des transactions commerciales entre opérateurs", a souligné le ministre du Commerce M. Mustapha Benbada lors de la cérémonie de signature en présence du MPTIC M. Moussa Benhammadi. Le document a été paraphé par le directeur général du CNRC M. Mohamed Dhif et la directrice générale des TIC auprès du MPTIC Mme Radia Benberkani.   
les Etats-Unis veulent élargir leur coopération avec l'Algérie dans les domaines scientifiques - par djoudi le 01/02/2011 11:03

ALGER - L'ambassadeur des Etats-Unis à Alger, David Pearce, a fait part dimanche de la volonté de son pays d'élargir la coopération avec l'Algérie dans les domaines de la science et de la technologie. Il s'agit de concrétiser la volonté du président Barack Obama, qui a exprimé son "intention de renouer avec le monde arabe, à travers les domaines clés, liés à l'éducation, la science, la technologie et la santé", a indiqué M. Pearce dans une allocution à l'occasion du lancement de la Bibliothèquemaghrébine numérique. Le lancement de cette bibliothèque "est l'une des réalités de cette initiative", a-t-il souligné.   
Lancement de la bibliothèque algérienne numérique de la science - par djoudi le 01/02/2011 11:01

[Aps 20/1/11]  ALGER- Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique procédera, dimanche à Alger, au lancement de la

"Bibliothèque maghrébine numérique - Bibliothèque algérienne numérique de la science". Cette opération, entreprise en collaboration avec le centre américain US civilian & developpement foundation (CRDF), vise à améliorer l'accès aux ressources et à leur utilisation par la mise en place d'ateliers de formation. Elle tend également à faire de cette bibliothèque "un outil essentiel pour le développement professionnel de la communauté scientifique" indique un communiqué du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. La concrétisation de cette initiative découle du mémorandum d'entente conclu entre le ministère et le CRDF signé en 2006 par l'Algérie et les Etats-Unis.
Au cours de la cérémonie de lancement qui se déroulera au siège du Cerist, il sera procédé à la remise du prix "Thomson Reuters Scientific" aux lauréats ayant concouru dans les domaines du web en relation avec les sciences, les sciences sociales les sciences humaines et les arts.


Le projet de Technoparc de Annaba lance "en juin prochain" (ANPT) - par djoudi le 01/02/2011 11:00

ANNABA-
Le projet de Technoparc de Annaba sera lancé au courant du mois de juin prochain, a-t-on appris jeudi d'un cadre de la direction de l'Agence nationale de promotion des technologies (ANPT). Une enveloppe de 575 millions de dinars est déjà disponible pour la réalisation de ce projet, en attendant la réception d'une autre de l'ordre de 200 millions de dinars, a précisé la même source, indiquant que diverses études relatives au projet ont été mises en oeuvre.
Avec une vocation de "parc technologique régional" en charge du lancement et du développement de grappes industrielles de la région, notamment celles rattachées aux filières de la sidérurgie et de la métallurgie, le Technoparc de Annaba, prévu dans les anciens locaux de l'entreprise Prosider, à Chaïba (commune de Sidi Amar), est appelé, en liaison avec le cyberparc d'Alger, à créer une "masse d'activités" des technologies de l'information et de communication (TIC), a-t-on expliqué.    

Lancement de la bibliothèque maghrébine numérique à Alger - par djoudi le 25/01/2011 11:51

[Aps 23/1/11]  ALGER- Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique a lancé dimanche à Alger la Bibliothèque maghrébine numérique en collaboration avec l'US Civilian Research & Development Foundation (CRDF). Cette action s'inscrit dans le cadre de la concrétisation du Mémorandum d'entente conclu entre le ministère et le CRDF, conformément à l'accord de coopération sur les sciences et la technologie signé en 2006 entre l'Algérie et les Etats-Unis.

La cérémonie de l'inauguration s'est déroulée en présence du ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Rachid Harraoubia et l'ambassadeur des Etats-Unis à Alger, David Pearce. Dans une allocution prononcée à l'occasion, M. Harraoubia a souligné que cette bibliothèque est le "fruit" de la coopération entre les deux pays dans le domaine de la recherche et la technologie, et s'inscrit dans le cadre du développement de centres fournissant la documentation à travers la technologie numérique.
Cette initiative reflète aussi l'"ouverture" de l'université algérienne sur le monde scientifique avec des partenariats divers, et exprime la "volonté" du secteur de se doter des moyens techniques à même de fournir avec facilité au chercheur les informations et la documentation nécessaires pour on travail, a-t-il ajouté.

Cette opération est en outre accompagnée par l'organisation d'ateliers de formation et d'apprentissage pour "appuyer les efforts consentis" dans ce sens en matière de documentation, et à leur tête le Système national de documentation en ligne (SNDL) qui permet l'accès à plus de 15.000 ouvrages, a précisé le ministre.

Malgré ces efforts, M. Harraoubia a appelé à davantage d'efforts notamment en ce qui concerne les mentalités des chercheurs qui sont appelés à s'adapter avec et les nouvelles donnes internationales et aller avec l'évolution du monde dans le domaine de la science et la technologie.

La Bibliothèque maghrébine numérique permet le renforcement de la coopération algéro-américaine dans le domaine de la recherche scientifique et la technologie à même d'élever la qualité de l'enseignement et la recherche, a-t-il relevé.

Pour sa part, l'ambassadeur américain, David Pearce a indiqué qu'il s'agit de "renouer avec le monde arabe, à travers les domaines clés, liés à l'éducation, la science, la technologie et la santé", soulignant que "le lancement de la bibliothèque numérique du Maghreb est l'une des réalités de cette initiative".

Il a salué à cet égard "la ténacité et le dévouement" des deux parties qui ont permis de lancer ce programme avant même les délais arrêtés. Par ailleurs, une cérémonie de remise des prix aux lauréats algériens du prix "Thomson Reuters Scientific", dans les domaines des sciences, sciences sociales et les arts, ainsi que les sciences humaines aura lieu dimanche après-midi. Il s'agit de Faouzi Ould Kaddour, de l'université de Tlemcen, Ben Ammour Djilali, de l'USTHB (Alger), et Karima Messaoudi, de l'université de Skikda.


1st International Conference on Model & Data Engineering - par webmaster le 13/01/2011 13:56

The First International Conference on Model & Data Engineering (MEDI) will be held from 28 to 30 September 2011

in Óbidos – Portugal. The main objective of our conference is to provide a forum for the dissemination of research
accomplishments and to promote the interaction and collaboration between the models and data research
communities. MEDI’2011 provides an international platform for the presentation of research on models and data
theory, development of advanced technologies related to models and data and their advanced applications. This
international scientific event, initiated by researchers from Euro‐Mediterranean countries, aims also at promoting
the creation of north‐south scientific networks, projects and faculty/student exchanges.
All accepted papers will be published in Lecture Notes in Computer Science (LNCS) by SpringerVerlag.
Topics of interests include but not limited to:
Models Engineering
Design of General‐purpose Modelling Languages and Related Standards
Model Driven Engineering, Modelling Languages, Meta‐modelling, Model Transformation, Model
Evolution,
Formal Modelling, Verification and Validation, Analysis, Testing
Ontology Based Modelling, Role of Ontologies in Modelling Activities
Model Manipulation
Data Engineering
Data Integration, Interoperability
Distributed, Parallel, Grid, Peer to Peer, Cloud Databases
Data Warehouses and OLAP, Data Mining
Database System Internals, Performance, Self‐tuning Benchmarking and Testing
Database Security, Personalization, Recommendation
Web Databases, Ontology Based Databases, PDMS
Modeling for Data Management
New Models and Architectures for Databases and Data Warehouses
Modeling and Quality of Data
Modeling for Enhancing Sharing Data
Models for Explicit and Implicit Semantics based Data Optimization
Model Reification, Model Repositories
Modeling Non Functional Properties of Systems
Urbanization of Database Applications
Applications and tooling
Industry transfer, case studies, experiences
Data and Model manipulation and tooling
IMPORTANT DATES
Abstract submission: April 10th
Full‐paper submission: April 20th
Acceptance notification: June 15th
Camera ready submission: June 30th
LOCATION
Óbidos is a Medieval walled town where time has passed it by. Within the extensive walls there are narrow cobbled
streets, houses painted white with blue or yellow trim, flower boxes and old lamp lights. There are many churches
and chapels among the houses. The castle is located at the highest point. Once the wedding present of a queen, the
preserved medieval town of Óbidos and the surrounding land was always the property of the queens of Portugal.
Encircled by a ring of medieval walls and crowned by the Moorish castle. Inside the walls, which at sunset take on a
golden coloring, one can sense a cheerful medieval ambience of winding streets, old whitewashed houses bordered
with blue or yellow, Manueline embrasures and windows. Óbidos is located about 80 km north of Lisbon.
Besides its material heritage of the past, Óbidos, a melting pot of historical tradition is still today one of the main
jewels of the country. More information about Óbidos, http://bit.ly/obidos_information. Welcome to Óbidos!
Selected conference hotels are located inside the old fort walls.
Conference sessions will be organized along different municipal buildings inside the medieval wall ring, allowing to
participants to enjoy the villa costumes.

Moussa Benhamadi inspecte les nouveaux sièges de Mobilis et d'Algérie Poste - par webmaster le 03/01/2011 22:31

ALGER- Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi, a effectué jeudi une visite d'inspection aux nouveaux sièges de Mobilis et d'Algérie Poste, situés au centre d'affaires de Bab Ezzouar et dont l'ouverture est prévue prochainement, a indiqué le ministère dans un communiqué. Algérie Poste sera dotée de ce nouveau siège pour "remplir pleinement ses missions, développer rapidement ses nouvelles activités et accélérer le processus de sa modernisation par rapport aux défis de l'heure, notamment, le passage à la numérisation des services rentrant dans le programme plus général de construction de la société de l'information", a-t-on précisé de même source. 


Facebook au 3e rang mondial des sites Internet - par webmaster le 03/01/2011 22:30

NEW YORK - Le site internet de socialisation Facebook s'est hissé en novembre au troisième rang mondial, derrière Google et Microsoft, dépassant nettement les sites du groupe Yahoo!. Facebook a obtenu 647,5 millions de visiteurs uniques en novembre, prenant le large devant Yahoo! (630,3 millions de visiteurs uniques), après la très légère avance enregistrée dès octobre (633,5 millions contre 633,0). Un an plus tôt, en novembre 2009, Yahoo! dépassait Facebook de presque 40% (601,5 millions contre 438,1), selon les chiffres de l'audience mondiale d'internet. Presque un internaute sur deux dans le monde (49,3%) fréquente Facebook, le site confirmant par ailleurs sa place de premier en termes de durée de fréquentation de ses pages (plus de quatre heures et demie en moyenne, contre trois heures pour Google).


La radio nationale, de la Voix de l'Algérie à la numérisation, thème d'une conférence à Mila - par webmaster le 03/01/2011 22:29

MILA - Une conférence intitulée "La radio nationale, de la Voix de l'Algérie indépendante à la numérisation" a été donnée, mardi à Mila, à l'occasion du 30e anniversaire du décès du Moudjahid Abdelhafid Boussouf. Cette conférence, organisée à l'initiative du club culturel de la maison de la culture de Mila, a été animée par Mohamed Chelouche, directeur général-adjoint de la radio nationale qui a mis en exergue le "rôle primordial de Boussouf dans la naissance de la Voix de l'Algérie combattante", à partir du 16 décembre 1956, lorsque des appareils sans fil ont commencé à émettre à partir d'un véhicule dans la région de Nador au Maroc, avec la participation de Abderrahmane Laghouati, Abdelmadjid Meziane et plus tard, Aissa Messaoudi.   


Algérie-Japon : "dynamiser" la coopération dans le domaine des TIC - par webmaster le 03/01/2011 22:28

ALGER - La coopération algéro-japonaise dans le domaine des technologies de l'information et de la communication (TIC) a été évoquée lors d'un entretien entre le ministre de la Poste et des technologies de l'information et de la communication, Moussa Benhamadi, et l'ambassadeur du Japon à Alger, Kamitani Takeshi, a indiqué mardi le ministère dans un communiqué. Au cours de l'entretien, il a été question de "dynamiser" la coopération entre l'Algérie et le Japon dans le domaine des TIC", a-t-on précisé de même source. M. Kamitani a indiqué à cette occasion que "le Japon est disposé à mettre en place les moyens nécessaires pour élever le niveau de cette coopération, en rapport avec l'importance du développement des relations d'amitié et de coopération entre nos deux pays". L'ambassadeur japonais a rappelé, à cet effet, "la portée de la visite de deux jours que vient d'effectuer, récemment (à Alger), le ministre japonais des Affaires étrangères, Seiji Maehara, et ce, pour la première fois depuis l'indépendance de l'Algérie"


Ligue arabe: un portail électronique (arabe et anglais) opérationnel en janvier 2011 - par webmaster le 03/01/2011 22:27

LE CAIRE - La Ligue arabe a lancé mardi son premier portail électronique en Arabe et en Anglais, opérationnel en janvier 2011. Le secrétaire général adjoint de la Ligue arabe chargé des affaires économiques, Mohamed Ben Brahim Etouidjri, a indiqué, dans une déclaration à la presse, que le portail constituait "une mémoire électronique" au service du citoyen arabe, notamment pour d'éventuelles recherches et études sur les questions arabes et l'histoire contemporaine de la Nation arabe. Le lancement de ce portail constitue "un saut qualitatif" pour la Ligue arabe, car il inclut toutes les décisions et lois promulguées par la Ligue, outre les décisions des conférences et des sommets arabes ordinaires, extraordinaires et urgents, les documents et les décisions de la Ligue au niveau ministériel et les programmes et activités du secrétariat général de la Ligue


- par webmaster le 11/12/2010 21:27


Spams : devenez millionnaires… ou pas. - par webmaster le 11/12/2010 18:31

Qui n'a jamais reçu un mail annonçant qu'il a gagné des millions, ou que l'on souhaite lui confier une fortune à la suite du décès du cher et tendre mari, d'un dictateur, etc. Où est l'arnaque ?

Ça commence toujours de la même façon. Un courrier à l’allure étrange vous arrive et vous annonce une nouvelle incroyable : vous avez été sélectionné entre tous pour une mission de confiance, ou pour une campagne de publicité prestigieuse ou tout simplement pour recevoir un énorme lot à la suite d’une loterie à laquelle vous n’aviez pourtant jamais participé. Cela semble trop bon, n’est-ce pas ? Bingo !

Le scénario type

Le cas le plus classique, c’est la veuve éplorée – africaine le plus souvent, mais elle est parfois asiatique, rarement européenne – qui vous demande de l’aide, en échange d’une généreuse rétribution.

Je suis la veuve d’un ancien ministre des Finances, nous explique par exemple l’une de nos correspondantes. Il dispose d’un compte bancaire auquel son épouse ne peut avoir accès qu’après un parcours chaotique. Son avocat, dont on vous donne les coordonnées, lui a recommandé un moyen « simple » pour retrouver ses biens : virer cette somme considérable, généralement chiffrée en millions (12 millions dans notre premier cas), sur votre compte bancaire, pour que vous la lui reviriez par la suite. Un pourcentage généreux, de l’ordre de 10% du montant de la transaction, vous serait laissé en guise de remerciement pour bons et loyaux services.

vous êtes supposé renvoyer 10 millions sur les 12 atterris sur votre compte. Et si vous gardiez tout ? Et si vous l’arnaquiez cette pauvre veuve ?

Vous vous en doutez, l’arnaqué, c’est vous, mais où est le loup ?

Ne mettez pas votre doigt dedans ! Contrairement à nous…

Première réponse de notre part, forcément naïve : chère madame, comment vous aider à récupérer les 12 millions évoqués ? Démarre alors un dialogue, quotidien. Vous aurez désormais tous les jours au moins un nouveau courrier afférant à cette histoire. Ça devient un peu le SOS Amitiés online du geek qui s’ennuie.

Les premiers courriers ne sont là que pour faire mousser. On y parle gros sous, avocats, banques. On vous produit des documents attestant de la bonne foi des interlocuteurs. Tous faux ! Et même très grossiers. Cartes d’identité, cartes de professions, mandats, usage du français digne de Google Translate : tout est bidon !

Puis vient l’arnaque dans le courrier 4 ou 5…

Pour être payé, payez d’abord

L’opération proposée comprend des frais pour initier la procédure. C’est selon les cas une banque à graisser, des frais d’avocat obligatoires, un notaire pour un acte indispensable ou un représentant qui vous remplace sur un évènement dans un pays lointain. Bref, il y a entre 50 et 1 000 euros à sortir suivant leur gourmandise, que notre bonne veuve est incapable de payer. C’est à vous que la facture est adressée et derrière, promis, les 12 millions tomberont.

Un compte Western Union vous est communiqué. C’est bien pratique : une fois l’argent récupéré, vous ne pourrez jamais le revoir. Aucune contestation n’est possible après coup.

C’en est presque décevant finalement. Cette histoire de 12 millions n’est qu’une arnaque à 100 balles et quelques… Quoique, en fait, à écouter ceux qui sont allés plus loin que nous, qui sont tombés dans le panneau, derrière les demandes de « petits » virements s’enchaînent, s’accélèrent, avec des montant qui grossissent. Et ça chiffre vite. Certains se sont ainsi fait délester de plusieurs dizaines de milliers d’euros !

Si vous arrêtez de communiquer au moment de ce paiement, vous serez relancé. Tous les jours, plusieurs fois. « Dans l’espoir de vous lire urgemment« , écrivent-ils et le rythme des échanges de s’accélérer encore. Viennent ensuite les menaces – nous en avons reçu des dizaines. Parfois ils viendront à vous pour vous refaire le portrait, d’autres fois ils s’en remettent à une justice divine censée abréger votre vie en raison de votre défection (« le Seigneur vous récompensera de sa manière et ne dite pas que je vous ai pas prévenu »).

Pour éviter d’être ennuyé, s’il vous prenait un jour la mauvaise idée de répondre à l’une de ces arnaques pour vérifier par vous-même : faites le depuis une adresse mail que vous sacrifierez ensuite ! Et ne vous inquiétez pas pour votre arnaqueur, il ne se rendra même pas compte qu’il ne vous avait jamais écrit avant. Le pauvre, il envoie tellement de courriers qu’il s’y perd…

Et vous, en avez-vous reçu ?

N’hésitez pas à coller en commentaire vos plus beaux spams et promesses de gains tombées du ciel. En plus d’amuser tout le monde, vous en aiderez beaucoup. Il en est qui reçoivent de tels courriers et qui cherchent, on l’espère, à se renseigner sur sa réalité. Avec un peu de chance, leur recherche sur internet les mènera ici, sur votre message, et ils découvriront qu’il ne s’agit que d’une arnaque.


Rétribution de l’activité de la recherche : Elle sera effective à partir du 1er janvier 2011” - par elabweb le 04/10/2010 17:49

Invité de la rédaction de la Chaîne III de la Radio nationale, le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT), le professeur Hafid Aourag, a annoncé , hier , que la rétribution de l’activité de recherche adoptée avant-hier par le Conseil des ministres sera effective dès la signature des contrats par les chercheurs inscrits aux programmes nationaux de recherche (PNR) et ce, à partir du 1er janvier 2011.  
« Tout chercheur disposant d’un projet PNR agréé percevra cette rétribution qui, en fonction de ses activités, pourra être reconduite ou arrêtée », a-t-il annoncé.  Ainsi, tout chercheur hospitalo-universitaire ou enseignant chercheur participant aux programmes nationaux de recherche et dont les travaux ont été publiés peut bénéficier de la prime mensuelle allant de 45.000 DA pour le professeur à 20.000 DA pour le maître-assistant de classe B. Pour les responsables d’unités de recherche régulièrement nommés, la prime est fixée à 20.000 DA pour le directeur de l’unité et à 10.000 DA pour le chef d’équipe. Cette fourchette varie selon les diplômes, l’expérience et la compétence de chaque  chercheur. M. Aourag voit en cette rétribution une reconnaissance de l’Etat pour l’élite du pays, ses compétences et  son excellence et elle, vient, de son avis, distinguer l’excellence de la médiocrité au moment où les programmes nationaux de  recherche, mis en place par les  comités sectoriels permanents et les commissions intersectorielles, ont été adaptés aux besoins socio-économiques du pays. D’où l’importance, précise-t-il encore, de l’évaluation des travaux qui sera faite par les experts des comités sectoriels de manière individuelle et non pas par programme de recherche. Et dans cette perspective d’améliorer l’environnement de la recherche nationale,  un système national de documentation on line a été également lancé depuis le 15 septembre avec 60.000 accès déjà ouverts aux enseignants, étudiants en master et doctorants inscrits dans les laboratoires de recherche. Le système permet aux chercheurs, grâce à un mot de passe attribué,  d’accéder à toutes les bases de données à travers le monde pour pouvoir télécharger toute la documentation nécessaire à leurs travaux de recherche. S’agissant du statut de doctorant ou les étudiant inscrits pour un diplôme de doctorat, le directeur général de la recherche s’est déclaré très satisfait des décisions prises par le dernier Conseil des ministres. En plus de 12.000 dinars de bourse mensuelle, le doctorant peut désormais concourir à temps partiel à l’enseignement supérieur contre rémunération, ce qui confirme aussi son statut de chercheur permanent au niveau des laboratoires. Cette série de mesures permettra aux bénéficiaires, explique M. Aourag, de parfaire leurs  aptitudes pédagogique et de renforcer la communauté des chercheurs au niveau national.
De manière générale, le professeur juge les dernières décisions du Conseil des ministres dans le domaine de la recherche scientifique de très importantes. « C’est une étape très importante que nous voulons d’accomplir, cette distinction de la compétence va créer la compétitivité qui contribuera fortement au développement socio-économique du pays », a-t-il indiqué en invitant toutes les compétences algériennes établies à l’étranger à participer aux PNR et au développement socio-économique.   
Interrogé sur le mauvais classement des universités algériennes à l’échelle mondiale, le directeur général de la recherche scientifique, tout en reconnaissant le manque de visibilité des établissements universitaires algériens à l’international, a remis en cause également la fiabilité de ses classements qui obéissent à des critères pas toujours objectifs.  Cela dit, il promet un bien meilleur classement des universités algériennes d’ici deux, une fois que ses dernières auraient amélioré leur visibilité à l’extérieur, notamment concernant la publication des travaux de recherches, un élément déterminant dans le classement.
Il s’est avéré, note-il, que certaines universités publient sur différentes adresses, ce qui ne reflète pas le total réel des publications de chaque établissement. Concernant, par ailleurs, le statut de l’ingénieur- chercheur en phase d’élaboration, il dira que ce projet qui donnera à cette catégorie la possibilité d’exercice pleinement l’activité de soutien à la recherche sera bientôt finalisé.
Hamida B.

NOUVEAU DISPOSITIF POUR LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE - par Elabweb le 04/10/2010 16:51

Une rétribution de 20.000 à 45.000 dinars pour les chercheurs

Une rétribution des activités de recherche variant entre 20.000 et 45.000 dinars sera donnée aux chercheurs à partir de janvier 2011. La mesure vient d’être adoptée par le Conseil des ministres. « C’est une rétribution qui ne s’adresse pas à l’ensemble des chercheurs mais à ceux qui participent aux programmes nationaux de recherche. Des programmes liés au développement économique du pays. Elle sera accordée pendant une année sur la base de contrats et de projets. Elle pourra être reconduite ou arrêtée », a annoncé Hafid Aouragh, directeur général de la recherche scientifique, invité mercredi par la chaîne III de la radio nationale.

La variation de la rétribution est liée, selon lui, aux grades des chercheurs, des diplômes et des expériences. Les chercheurs sont tenus de publier leurs recherches pour bénéficier de ce supplément financier. « Ils seront évalués par les experts des comités sectoriels permanents du ministère de l’Enseignement supérieur. Chaque chercheur sera évalué individuellement par rapport à sa productivité », a-t-il indiqué. Un bonus pouvant atteindre les 20.000 dinars sera également donné aux responsables d’unités de recherche ou de laboratoires dans le cas de bons résultats et après évaluation.

Le nouveau statut de doctorant donne, d’après lui, des droits aux chercheurs. « Avec ce statut, il est considéré comme un chercheur permanent au niveau d’un laboratoire. Il a le droit de faire trois heures supplémentaires à l’université pour lesquelles il est rétribué. Nous voulons créer la compétitivité au niveau de la recherche », a expliqué Hafid Aouaragh.

Par ailleurs, un système national de documentation a été mis en ligne depuis le 15 septembre avec 60.000 accès. « Ce système permet à chaque chercheur d’accéder à toutes les bases de données mondiales. Il pourra télécharger n’importe quel article ou document à travers un pass word. Les étudiants inscrits en master et qui sont dans des laboratoires auront également accès à ce système », a-t-il souligné.
TSA

Programmes Nationaux de Recherche - par Elabweb le 06/09/2010 15:52

Programmes Nationaux de Recherche
Pour tout problème de téléchargement, prière nous contacter sur: dprep@nasr-dz.org
Télécharger les dernières versions au format pdf
[Campagne d'information du 18 mai au 03 juillet 2010]
[date de dépôt des propositions au format électronique du 05 au 23 septembre 2010]
Pour toute information sur les PNR écrire à: pnr@nasr-dz.org

N° PNR
Intitulé PNR
PNR1
PNR2
PNR3
PNR4
PNR5
PNR6
PNR7
PNR8
PNR9
PNR10
PNR11
PNR12
PNR13
PNR14
PNR15
PNR16
PNR17
PNR18
PNR19
PNR20
PNR21
PNR22
PNR23
PNR24
PNR25
PNR26
PNR27
PNR28
Histoire de la résistance populaire, du mouvement national et de la guerre de libération nationale
PNR29
PNR30
PNR31
PNR32
PNR33
PNR34

Programmes nationaux de recherche : 5000 projets prévus - par Elabweb le 06/09/2010 15:47

Quelque 5000 projets relatifs aux programmes nationaux de recherche (PNR) seront lancés à partir de janvier 2011, a annoncé lundi le professeur Mokhtar Sellami, directeur de la programmation de la recherche, de l’évaluation et de la prospective du ministère de l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique (MERS). « La relation entre l’université et son environnement ne doit pas être un vain mot. Notre souci est de sensibiliser nos chercheurs, où qu’ils soient, à adhérer à ces projets », a indiqué le Pr Sellami, précisant que les PNR sont des programmes avec des impacts socio-économiques ciblés.

APS


Le développement de l'administration électronique, axe majeur de la stratégie e-Algérie 2013 - par elabweb le 23/12/2009 14:20

ALGER - Le développement de l'administration électronique constitue le premier axe majeur de la stratégie e-Algérie 2013, ont souligné, dimanche à Alger, des experts à l'occasion du premier forum sur l'administration électronique "e-daratic 2009". Cet axe porte sur l'accélération de l'usage des Technologies de l'information et de la communication (TIC) dans l'administration publique par l'introduction de ces nouvelles technologies et le renforcement de leur usage au sein de l'administration publique. La mise en œuvre de cet axe engendrera "une transformation importante des modes d'organisation et de travail de l'administration publique et l'amènera à simplifier son mode de fonctionnement et à servir le citoyen de manière plus appropriée, notamment à travers la mise en ligne de ses différents services", a-t-on relevé.  

Source APS

La meilleure université algérienne à la 4 116e place ! - par Elabweb le 03/11/2009 18:30

Grâce à sa première université, Djillali-Liabès de Sidi Bel-Abbès, l’Algérie s’est classée à la 4 116e place dans le fameux classement de Shanghai qui compte  6 000 universités dans le monde. Une autre université, celle de Tlemcen, se situe à la 4 143e place. Le classement 2009, qui a été établi le 31 octobre, fait la part belle aux État-Unis. Ainsi, à titre d’exemple, les 3 meilleures universités de la planète sont américaines (Harvard, Stanford et Berkeley). Sur les 10 premières, 8 sont américaines et sur les 50 premières, 40 sont des États-Unis. Le classement africain est entièrement dominé par l’Afrique du Sud, puisque pas moins de 12 universités de ce pays sont classées sur les 15 premières. En termes de présence, l’Algérie se tire plutôt bien avec 11 universités retenues dans le top 100 africain.


Faible usage des TIC en Algérie - par Belkherfi le 23/07/2009 20:29

cryDans son 7e rapport sur les technologies de l’information (TIC), le forum économique mondial donne les classements des pays selon leurs usages des technologies d’information en se basant sur 68 critères différents, dont l’accès à Internet dans les écoles et l’importance qu’ accorde le gouvernement à long terme aux TIC.


La position des pays du Maghreb dans le classement est la suivante : Tunisie (35e), Maroc (74e), Algérie (88e), Mauritanie (97e) et Libye (105e . Cela montre le faible usage des technologies de l’information et de la communication dans cette région et la nécessité de définir une stratégie pour augmenter l’usage des TIC et d’encourager les investissements dans ce secteur prometteur. En Algérie, Hamid Bessalah, le récent ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, a pour mission principale de réfléchir sur les besoins de l’Algérie et les actions à entreprendre dans le cadre du développement de « la société de l’information » dans notre pays.
Il a été décidé d’impliquer l’ensemble des acteurs du secteur (publics/privés) lors du premier congrès international sur la stratégie des TIC, organisé par l’Union nationale des scientifiques et technologues algériens. Au niveau de l’AAFSI et de Touiza, on estime le nombre d’utilisateurs de l’Internet à moins de 3,5 millions et les sites web en dz à moins de 2000, dont moins de 500 réellement opérationnels et en .com ou .net à moins de 10 000. Les résultats de Ousratic sont décevants : moins de 4% sur les 6 millions ciblés par l’ex-ministre (5 millions annoncés lors du SMSI de Tunis en 2005 pour 2010).
Cette situation est expliquée principalement par l’absence d’une stratégie nationale claire en termes de développement des TIC avec des objectifs bien précis et à l’inexistence d’une « industrie de contenu ». Il faut mettre en place un observatoire des TIC, un plan de développement du haut débit et des projets plus ciblés pour accompagner les entreprises du secteur.


Par K. B
Algérie : La première plate-forme d’enseignement à distance - par Belkherfi le 20/07/2009 19:03

tongueL’Algérie se dote, enfin, de sa propre plate-forme d’enseignement à distance. Ce n’est pas une blague.
C’est une réalité qui sera confirmée mardi prochain, à l’occasion de la tenue d’une Journée d’information sur le e-learning, au siège de la Bibliothèque nationale d’Algérie (Hamma).

Organisée conjointement par Comform Communication (une entreprise algérienne spécialisée dans les études, la recherche, la formation, l’expertise et le conseil en communication) et Action Technologique (une start-up Internet spécialisée dans la communication multimédia), cette manifestation permettra au grand public de découvrir ce formidable outil de formation à distance. Une nouvelle technique d’enseignement, alternative à celle pratiquée actuellement, qui représente, aujourd’hui, une véritable aubaine pour tous les organismes désirant de s’inscrire dans une stratégie de croissance durable. Car, elle leur permet de mobiliser, de fédérer, et de capitaliser le savoir et le savoir-faire de leurs collaborateurs.

Tous ces avantages, entre autres, sont garantis avec des réductions de coûts sensibles et des possibilités de formation intéressantes et permanentes des ressources humaines. Après tant d’années d’attente, le moment est, donc, venu pour que les Algériens apprennent à tirer profit des prouesses de la technologie et à s’inscrire pleinement dans l’ère de la société du savoir et de l’entreprise intelligente.

Ainsi, le lancement, par Action Technologique et Comform Communication, de la première plate-forme informatique de e-learning bilingue, en Algérie, dont l’appellation commerciale est "DZCampus" et de la première formation à distance via Internet pour les chargés de la communication des entreprises et des institutions algériennes sera, à coup sûr, une étape décisive vers l’édification d’une véritable société de l’information en Algérie.

Toufik B. — La Maghreb
Introducing the Google Chrome OS - par Belkherfi le 12/07/2009 07:28

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It's been an exciting nine months since we launched the Google Chrome browser. Already, over 30 million people use it regularly. We designed Google Chrome for people who live on the web — searching for information, checking email, catching up on the news, shopping or just staying in touch with friends. However, the operating systems that browsers run on were designed in an era where there was no web. So today, we're announcing a new project that's a natural extension of Google Chrome — the Google Chrome Operating System. It's our attempt to re-think what operating systems should be.

Google Chrome OS is an open source, lightweight operating system that will initially be targeted at netbooks. Later this year we will open-source its code, and netbooks running Google Chrome OS will be available for consumers in the second half of 2010. Because we're already talking to partners about the project, and we'll soon be working with the open source community, we wanted to share our vision now so everyone understands what we are trying to achieve.
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Speed, simplicity and security are the key aspects of Google Chrome OS. We're designing the OS to be fast and lightweight, to start up and get you onto the web in a few seconds. The user interface is minimal to stay out of your way, and most of the user experience takes place on the web. And as we did for the Google Chrome browser, we are going back to the basics and completely redesigning the underlying security architecture of the OS so that users don't have to deal with viruses, malware and security updates. It should just work.

Google Chrome OS will run on both x86 as well as ARM chips and we are working with multiple OEMs to bring a number of netbooks to market next year. The software architecture is simple — Google Chrome running within a new windowing system on top of a Linux kernel. For application developers, the web is the platform. All web-based applications will automatically work and new applications can be written using your favorite web technologies. And of course, these apps will run not only on Google Chrome OS, but on any standards-based browser on Windows, Mac and Linux thereby giving developers the largest user base of any platform.

Google Chrome OS is a new project, separate from Android. Android was designed from the beginning to work across a variety of devices from phones to set-top boxes to netbooks. Google Chrome OS is being created for people who spend most of their time on the web, and is being designed to power computers ranging from small netbooks to full-size desktop systems. While there are areas where Google Chrome OS and Android overlap, we believe choice will drive innovation for the benefit of everyone, including Google.

We hear a lot from our users and their message is clear — computers need to get better. People want to get to their email instantly, without wasting time waiting for their computers to boot and browsers to start up. They want their computers to always run as fast as when they first bought them. They want their data to be accessible to them wherever they are and not have to worry about losing their computer or forgetting to back up files. Even more importantly, they don't want to spend hours configuring their computers to work with every new piece of hardware, or have to worry about constant software updates. And any time our users have a better computing experience, Google benefits as well by having happier users who are more likely to spend time on the Internet.

We have a lot of work to do, and we're definitely going to need a lot of help from the open source community to accomplish this vision. We're excited for what's to come and we hope you are too. Stay tuned for more updates in the fall and have a great summer.
smiley perturbé
Chrome OS : Nouveau système d'exploitation de Google - par SEUSCHI le 10/07/2009 23:29

eGoogle annonce Chrome OS, un système d'exploitation Google Chrome OS est un projet de système d'exploitation open source annoncé par Google le 7 juillet 2009. Il sera fondé sur son navigateur internet Chrome et un noyau Linux. À destination des netbooks dans un premier temps, il serait capable, à terme, de faire tourner des ordinateurs de bureau traditionnels. Selon Google, ce système d'exploitation sera disponible durant le second semestre de 2010 et le code source fin 2009.
TIC : LA DIFFÉRENCE HOMMES-FEMMES - par Belkherfi le 09/07/2009 20:19

Dans un récent communiqué, le groupe Cisco, leader mondial des technologies réseaux, présente les résultats d’une étude qui démontrent que bien que les femmes aient les compétences informatiques requises, elles continuent à se détourner des études et carrières technologiques. Explications…


Selon l’étude menée dans 5 pays (dont la France), par EUN Schoolnet, pour le compte de Cisco, l’écart hommes/femmes dans les TIC perdure et les stéréotypes détournent plus que jamais les femmes des emplois technologiques
Les femmes seraient encore nombreuses, malgré leurs compétences équivalentes à celles des hommes, à renoncer à la poursuite de leurs études ou à occuper des emplois dans le secteur des technologies de l’information et de la communication (TIC).

L’étude montre que, dans le secteur des TIC, seulement 27,8% des responsables informatique et des responsables de systèmes d’information sont des femmes, et parmi les ingénieurs en matériels informatiques, on ne compte que 9,6% de femmes.

Dans les domaines des sciences de l’ingénieur et des technologies, seuls 5,8 % des postes de professeur de l’enseignement supérieur sont occupés par des femmes.

L’étude révèle également que, parmi les jeunes femmes interrogées qui étudient actuellement les TIC au niveau secondaire, la majorité est intéressée par ce domaine, mais la moitié d’entre elles renonceront à poursuivre leurs études et à faire carrière dans les TIC.

Enfin, l’analyse des résultats montre que le facteur le plus démotivant de tous est l’impressionque le secteur technologique est avant tout un domaine réservé aux hommes.

Ce constat alarmant représente une déperdition de talents pour cette industrie à une époque où, malgré la récession économique, les pénuries de compétences menacent de freiner la productivité.

Pour Laurent Blanchard, Vice-président Cisco Europe et Directeur Général Cisco France, l’industrie et les pouvoirs publics devraient collaborer afin de faire évoluer les perceptions qu’ont actuellement les jeunes femmes.
« Outre l’effet que l’écart entre les sexes peut avoir sur les pénuries de compétences prévues, le trop faible nombre de femmes entrant dans le secteur des TIC représente aujourd’hui une perte de talents pour l’industrie et une perte d’opportunités pour les jeunes femmes qui arrivent sur le marché du travail. La sous-représentation des femmes dans les TIC va nécessairement perdurer si l’on ne fait pas davantage pour éduquer, soutenir et encourager les jeunes femmes et celles qui leur servent d’exemple. La collaboration entre le public et le privé pourrait bien avoir un rôle stratégique à jouer afin d’ouvrir l’esprit des jeunes femmes aux technologies en mettant à leur disposition des informations plus réalistes sur les TIC et les emplois dans ce secteur.»
Pemier Serveur Sakai Opérationnel - par Belkherfi le 09/07/2009 10:14

Projet POLLES: Le premier serveur Sakai opérationnel à l'Université de Annaba:
Dans le cadre du projet Polles financé par le CRDI (Centre de Recherche pour le Développement International - Canada), le LRI-Annaba a réalisé la première installation du serveur Sakai en Afrique du Nord. Les efforts se poursuivent sur l'arabisation de Sakai et le développement de contenus, avec l'étroite collaboration des équipes du CRIM (Montreal), et de l'Université Hassan-II (Mohammadia-Casablanca) ainsi que d'autres équipes qui ont manifesté un intérêt pour le projet.
http://polles.univ-annaba.dz/portal)
Attaque informatique contre des sites gouvernementaux américains - par SEUSCHI le 08/07/2009 20:09

Attaque informatique contre des sites gouvernementaux américains Les sites Internet de plusieurs agences fédérales aux Etats-Unis, dont le département du Trésor et le Secret Service notamment chargé de la protection rapprochée des personnalités, ont été la cible au cours des derniers jours d'attaques informatiques entraînant des pannes, a-t-on appris mercredi de sources gouvernementales. Les sites des départements du Trésor, des Transports, de la Commission fédérale des Echanges (FTC) et du Secret Service ont été en panne à un moment ou à un autre au cours du week-end, selon plusieurs responsables gouvernementaux qui ont requis l'anonymat. Certains de ces sites connaissaient encore des problèmes mardi soir, à la suite des attaques lancées le 4 juillet, jour de la fête nationale aux Etats-Unis. Le ministère de la Sécurité intérieure, le Département d'Etat, le journal The Washington Post, le Nasdaq (marché des valeurs technologiques) ont également été visés, ont précisé à l'Associated Press des spécialistes en sécurité informatique. Selon les responsables qui n'ont pas fourni de plus amples précisions, il s'agissait d'attaques dites de "saturation", ou "déni de service". Elles consistent à envoyer des milliers de messages depuis des dizaines d'ordinateurs piratés, afin de submerger les serveurs d'une société ou d'une administration et paralyser son site Internet. Le ministère de la Sécurité intérieure a confirmé que différentes administrations fédérales ont reçu des informations sur les "mesures à prendre pour réduire les effets de telles attaques". De l'autre côté de la planète, en Corée du Sud, les sites de plusieurs grandes institutions et administrations nationales, dont la présidence, le ministère de la Défense, l'Assemblée ou la Banque du Commerce, ont pareillement été pris pour cible. D'après des responsables du renseignement sud-coréens, ces attaques liées à celles perpétrées aux même moment contre des serveurs et sites américains sont imputables à la Corée du Nord ou des forces pro-Pyongyang. Ces informations n'ont pas pu être confirmées. Ben Rushlo, le directeur pour les technologies Internet de Keynote Systems, une société spécialisée dans la surveillance de sites, a qualifié ces incidents de "panne massive", précisant que le site du ministère des Transports a connu des problèmes de samedi à lundi tandis que celui de la FTC est resté totalement bloqué dimanche et lundi. Selon M. Rushlo, le site des Transports a été "100% en panne pendant deux jours" sans aucune possibilité pour les internautes d'y accéder. Les attaques de "saturation" contre les sites Internet ne sont pas rares, et il est relativement facile de les lancer en utilisant des programmes de "hacking" ("piratage"), largement disponibles sur la Toile. Mais les choses prennent une toute autre ampleur quand des pirates utilisent des réseaux de milliers d'ordinateurs "zombies", infectés par des virus et/ou programmes malveillants. Ces ordinateurs peuvent être ainsi commandés et contrôlés à distance, à l'insu de leurs utilisateurs, et forment ainsi des réseaux ("botnets") de machines "zombies" exploités de manière malveillante. Durant les semaines qui ont précédé la guerre éclair entre la Russie et la Géorgie en août 2008, les entreprises et le gouvernement géorgiens ont commencé à subir des attaques par "saturation", pour lesquelles les autorités russes ont nié toute responsabilité. Mais plusieurs experts occidentaux ont pu remonter jusqu'à des noms de domaine et des numéros d'enregistrement qui permettent de conclure à l'implication de plusieurs agences de la sécurité et des renseignements militaires russes. Dans un rapport publié en juin, l'Office général des Comptes (GAO) qui dépend du Congrès américain, signalait plus de 16.000 menaces ou incidents en 2008, soit environ trois fois plus qu'en 2007. La majorité de ces incidents avaient trait à des accès non autorisés et à des violations des règles d'utilisation. De son côté, le ministère de la Sécurité intérieure a fait état pour 2008 de 5.499 intrusions recensées dans les ordinateurs du gouvernement américain, contre 3.928 e
droit à l’« hétéronymat », - par Belkherfi le 07/07/2009 20:53

Hier, dans le cadre du colloque Droits et libertés dans la société numérique, organisé par la secrétaire d’état en charge de l’économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, le sénateur Yves Détraigne a présenté son idée de droit à l’« hétéronymat », répértorié et géré par une autorité publique.
Idée d’un anonymat sur Internet répertorié et géré par une autorité publique - par elabweb le 27/06/2009 00:49

Hier, dans le cadre du colloque Droits et libertés dans la société numérique, organisé par la secrétaire d’état en charge de l’économie numérique, Nathalie Kosciusko-Morizet, le sénateur Yves Détraigne a présenté son idée de droit à l’« hétéronymat », répértorié et géré par une autorité publique.

Yves Détraigne est le co-auteur du rapport La vie privée à l’heure des mémoires numériques. Pour une confiance renforcée entre citoyens et société de l’information, fait au nom de la commission des lois, et présenté le 27 mai dernier. L’un des concepts défendus est la reconnaissance d’un droit à l’anonymat de ce qu’ils appellent « l’homo numéricus ». Il s’agit de pouvoir séparer son identité réelle de son identité numérique. Principalement dans le but de « préserver » l’identité publique d’un internaute d’informations qui pourraient, un jour, se retourner contre lui. Un droit à « être acteur d’Internet au travers d’un pseudo », a expliqué, hier, le sénateur. « Mais un pseudo qu’on s’attribuerait bien sûr pas librement comme ça, sans la moindre règle », a t-il précisé. Une autorité publique serait ainsi « l’interface, le gardien » de cette identité secrète.

La lecture du rapport complète ces déclarations. Dans le document, Yves Détraigne et Anne-Marie Escoffier expliquent l’importance, pour les internautes, de pouvoir « brouiller les pistes » à une époque « où les risques d’usurpation d’identité sont souvent pointés du doigt et où les Etats renforcent les moyens d’identification des personnes ». Ils proposent ainsi la mise en place d’un système où « chaque individu pourrait se forger de véritables personnalités alternatives, distinctes de la personnalité civile qui les exploite. Afin d’éviter que ce droit ne serve à commettre des infractions, ces identités alternatives pourraient être déposées auprès d’un organisme chargé de les gérer. En cas d’infractions par exemple, la justice pourrait demander l’identité civile de la personne. »

En clair, chaque internaute devrait déclarer sa ou ses identités anonyme(s) en ligne à une autorité. Au passage, on peut s’amuser à imaginer sur quels critères se ferait l’enregistrement de ces pseudos (quand on sait, par exemple, le nombre d’ados qui utilisent « darkvador666 »). Cette autorité serait en charge de gérer l’énorme base de données de pseudos de tous les internautes français, et de faire le lien avec la justice. On peut imaginer une Secrétaire d’Etat à la Famille qui voudrait poursuivre des internautes pour insulte — au hasard pour l’avoir traitée de « Hou, la menteuse » — en commentaire d’une vidéo en ligne sur Dailymotion. Elle n’aurait plus à demander au site de lui « fournir en urgence la date, l’heure et les adresses IP utilisées et tout élément d’identification », il lui suffirait alors de s’adresser à cette autorité pour avoir l’identité civique de l’internaute.

Mais allons au bout de la logique de ce droit à l’« hétéronymat ». Pour que cela fonctionne pleinement, cela voudrait dire que l’Etat obligerait chaque internaute à utiliser exclusivement son ou ses pseudos officiels sur tous les sites Internet de France et de Navarre... L’idée laisse perplexe.

A un intervenant du public qui soulevait l’absurdité d’un « pseudonymat » régulé par une telle autorité, le sénateur a répondu : « il est indispensable dans une société organisée que sous couvert d’anonymat, on ne mette pas n’importe quoi. Il faut que l’autorité publique mette de l’ordre. La liberté d’expression est une valeur importante, mais ça n’est pas pour autant qu’il faut pouvoir propager n’importe quoi. »
par Astrid Girardeau, Libération,
Décès Michael Jackson : halte aux spams - par SEUSCHI le 26/06/2009 16:27

Décès Michael Jackson : halte aux spams   (Paris - Relax news) - Les pirates informatiques, qui tirent régulièrement partie des événements planétaires, chercheraient à profiter de la mort de Michael Jackson pour lancer une nouvelle attaque via des emails déguisés. Dans un communiqué publié vendredi 26 juin, la société Websense, spécialisée dans la protection des courriels et des données, a constaté la diffusion de spam proposant un lien vers une vidéo YouTube de l'artiste décédé.

Dans son alerte, Websense explique qu'en cliquant sur ce lien, l'internaute est redirigé vers un site malveillant proposant de télécharger les dernières images prises de Michael Jackson. Les utilisateurs piégés court ainsi le risque de se faire pirater leur ordinateur.

Les internautes sont invités à ne pas ouvrir les emails qui leur semblent suspects et encore moins de télécharger les fichiers joints ayant un rapport à des vidéos de Michael Jackson.

Site : www.websense.com
Softwar se met à l’arabe - par elabweb le 19/06/2009 11:48

Désormais, les sociétés travaillant en langue arabe n’auront plus de problème pour le traitement et la capture des données en langue arabe. En effet, la société Softwar a lancé, hier, une nouveauté dans ce cadre. Il s’agit de la nouvelle version de sa solution de capture «Kofax» V8 version arabe. «Cette nouveauté permettra la reconnaissance des données en langue arabe», ont déclaré, hier, les responsables du Groupe, SG Expert, Global document expert, lors d’une conférence de presse tenue à Alger.
Cette nouveauté permettra la reconnaissance des caractères arabes. Aussi, «Kofax Capture» compte des moteurs de reconnaissance de la plupart des caractères, ainsi qu’une application modulaire qui permet d’automatiser la chaîne d’acquisition documentaire, de la capture jusqu’à la diffusion des informations (documents et index) dans un système de gestion de contenu. S’agissant des raisons de développement de ce système, il y a lieu de préciser le grand potentiel du marché au Moyen-Orient, Maghreb et Afrique. A cela s’ajoutent la tendance forte et les exigences gouvernementales ainsi que la forte demande des partenaires et des clients finaux et la nécessité d’apporter une réponse plus efficace et plus satisfaisante. La fonction, reconnaissance optique des caractères, «OCR» sous «Kofax Capture», peut être effectuée par deux biais.
Concernant les bénéfices de «Kofax Capture», il utilise toutes les fonctionnalités avancées disponibles sous «Kofax Capture 8.0», compatible avec la quasi-totalité des systèmes de GED grâce aux scripts de communication et un outil collaborateur précis, puissant et rapide, une sécurité garantie par «Kofax Capture», vitesse de reconnaissance deux fois supérieure aux autres moteurs OCR du marché.

Smail DADI


Le domaine .dz peu exploité - par elabweb le 16/06/2009 09:22

Le Centre de recherche sur l’information scientifique et technique (Cerist) a organisé, hier, une journée d’information sur les noms de domaine internet « .dz », qui s’inscrit dans une action d’information et de vulgarisation pour promouvoir l’identité algérienne sur Internet et garantir la pérennité de l’infrastructure basée sur l’identification des noms de domaine.

Aouaouche El Maouhab, directrice de la division réseaux au Cerist, a affirmé dans un exposé que « le Centre a enregistré 2380 noms de domaine en Algérie en .dz. Depuis quelques mois, le mouvement s’accentue avec une moyenne de 300 noms de domaine par mois. La gestion des enregistrements des noms de domaine sous .dz est une activité initiée par le Cerist avec l’introduction d’internet en Algérie, en 1994. Toutes les entités établies dans le pays ou ayant une représentation légale en Algérie ou disposant d’un document justifiant les droits de propriété de nom dans le pays peuvent se faire attribuer ce nom de domaine ». Pour booster ce secteur, il a été décidé la suppression des frais d’enregistrement en mode délégation et la possibilité d’effectuer l’opération d’enregistrement en ligne. Il a été proposé la création d’un comité éthique du .dz pour « proposer les règles d’octroi de noms de domaine et les règles de règlement de litiges et participer à la promotion du .dz ». L’enregistrement effectif se fait à travers des entités d’enregistrement appelées « registrar » : AnwarNet, Djaweb, SLC, Caci, KDConcept, Webidees, Cetic, Satlinker et Wissal.

Cependant, plusieurs entraves ont été relevées par les opérateurs économiques. Réserver un nom de domaine en Algérie relève de toute une acrobatie bureaucratique. Sous d’autres cieux, il faut quelques secondes ou quelques clics pour disposer d’un domaine, juste le temps de vérifier qu’il n’a pas déjà été attribué. « Obtenir un nom de domaine en .dz ressemble à une demande de visa », ironise un internaute sur notre site web. Pourtant, le potentiel de croissance du nom de domaine algérien est énorme, sachant qu’il existe 519 526 entreprises (PME/PMI) dans le domaine commercial (source : site internet du ministère de la PME et de l’Artisanat). Des actions sont à mener en direction de tous les détenteurs de registres du commerce et des organismes gouvernementaux publics et privés. Kahlane Ali, P-DG de Satlinker, jette un véritable pavé dans... la toile en soulignant qu’il existe quelque 45 000 sites internet algériens hébergés à l’étranger (essentiellement en .com). A ses yeux, pour rattraper le retard, il faut « aller vers le développement du contenu ». Les pouvoirs publics doivent s’impliquer davantage. Le développement d’une économie numérique et de contenus locaux passe par une accessibilité accrue aux noms de domaine. La stratégie « e-Algérie 2013 » a consacré une bonne place à l’amélioration de la visibilité de l’Algérie sur internet à travers une gestion efficace du nom de domaine .dz.

Par Kamel Benelkadi


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