M. El Hadj Gley, ministre des Technologies de la communication, qui présidait les travaux de la commission, a souligné l'importance des acquis réalisés durant les premières années du XIe Plan de développement, rappelant que le secteur des TIC (technologies de l'information et de la communication) a contribué à hauteur de 10% au PIB en 2008 et que ce taux sera porté à 13,5% à la fin du quinquennat.
Il a évoqué l'amélioration des indicateurs relatifs aux domaines de la communication (accès au réseau Internet, couverture par les réseaux téléphonique et de la poste, investissement dans le domaine des TIC...), et ce, en parallèle avec le développement des cadres réglementaires et institutionnels et la révision du Code des communications.
Le ministre a passé en revue les programmes et mesures présidentiels visant à renforcer la dynamique que connaît le secteur et améliorer sa compétitivité et son taux d'employabilité, notamment, dans les créneaux porteurs et innovants.
Il a évoqué, à ce sujet, les efforts déployés pour promouvoir la Tunisie en tant que destination technologique, l'objectif étant d'attirer davantage d'entreprises étrangères et promouvoir la recherche, l'innovation et la création dans le domaine des TIC.
L'accent sera mis au cours de la prochaine période, a-t-il dit, sur le renforcement de l'infrastructure des communications, à travers la mise en place d'un programme ambitieux visant à introduire davantage l'ADSL (Internet à haut débit) au profit des entreprises économiques et des administrations, l'installation d'un nouveau câble sous-marin pour garantir une meilleure connexion de la Tunisie au réseau mondial d'Internet, l'extension du pôle El Ghazala, la création de technopôles dans toutes les régions et l'incitation à l'innovation dans le domaine des technologies de l'information.
M. Gley a souligné la nécessité de développer les services électroniques à travers le renforcement des projets nationaux et sectoriels, appelant à assurer une meilleure adhésion du citoyen, de l'entreprise et de l'administration aux efforts d'édification de la société du savoir.
Lettre ouverte au peuple américain
dans laquelle 65 prix Nobel appellent à voter pour Barak Obama
(tiré d'une traduction présentée par "Le Nouvel Observateur").
Signé :
Alexei Arikosov Physics 2003, Roger Guillemin Medicine 1977, Peter Agre Chemistry 2003, John L. Hall Physics 2005, Sidney Altman Chemistry 1989, Leland H. Hartwell Medicine 2001, Philip W. Anderson Physics 1977, Dudley Herschbach Chemistry 1986, Richard Axel Medicine 2004, Roald Hoffmann Chemistry 1981, David Baltimore Medicine 1975, H. Robert Horvitz Medicine 2002, Baruj Benacerraf Medicine 1980, Louis Ignarro Medicine 1998, Paul Berg Chemistry 1980, Eric R. Kandel Medicine 2000, J. Michael Bishop Medicine 1989, Walter Kohn Chemistry 1998, N. Bloembergen Physics 1981, Roger Kornberg Chemistry 2006, Michael S. Brown Medicine 1985, Leon M. Lederman Physics 1988, Linda B. Buck Medicine 2004, Craig C. Mello Medicine 2006, Mario R. Capecchi Medicine 2007, Yoichiro Nambu Physics 2008, Martin Chalfie Chemistry 2008, Marshall Nirenberg Medicine 1968, Stanley Cohen Medicine 1986, Douglas D. Osheroff Physics 1996, Leon Cooper Physics 1972, Stanley B. Prusiner Medicine 1997, James W. Cronin Physics 1980, Norman F. Ramsey Physics 1989, Robert F. Curl Chemistry 1996, Robert Richardson Physics 1996, Johann Diesenhofer Chemistry 1988, Burton Richter Physics 1976, John B. Fenn Chemistry 2002, Sherwood Rowland Chemistry 1995, Edmond H. Fischer Medicine 1992, Oliver Smithies Medicine 2007, Val Fitch Physics 1980, Richard R Schrock Chemistry 2005, Jerome I. Friedman Physics 1990, Joseph H. Taylor Jr. Physics 1993, Murray Gell-Man Physics 1969, E. Donnall Thomas Medicine 1990, Riccardo Giacconi Physics 2002, Charles H. Townes Physics 1964, Walter Gilbert Chemistry 1980, Roger Tsien Chemistry 2008, Alfred G. Gilman Medicine 1994, Daniel C.Tsui Physics 1998, Donald A. Glaser Physics 1960, Harold Varmus Medicine 1989, Sheldon L. Glashow Physics 1979, James D. Watson Medicine 1962, Joseph Goldstein Medicine 1985, Eric Wieschaus Medicine 1995, Paul Greengard Medicine 2000, Frank Wilczek Physics 2004, David Gross Physics 2004, Robert W. Wilson Physics 1978, Robert H. Grubbs Chemistry 2005,
En ce début du troisième millénaire, la télématique et l’Internet font circuler les données au sein des collectivités, mais aussi entre les continents.
La famille des médias de l’écrit (journaux, revues, livres
) et électroniques (télématique, télévision, radio
) s’élargit avec l’avènement de l’Internet, de la presse électronique, du CD- rom, du DVD, de la télévision hautedéfinition... Aujourd’hui, le mode analogique a cédé la place au numérique. L’homme moderne vivant dans «la société de l’information» est censé être un «homme numérique», qui peut maîtriser les moyens modernes de communication.
Mais est-ce que tous les êtres humains sont capables de suivre ces grandes mutations engendrées par l’apparition de ces nouveaux médias ? Est-ce que tout le monde pourra tirer profit de ces progrès ? Pour les spécialistes et les connaisseurs dans le domaine, la réponse est, bien sûr, négative. Au moment où les pays développés entrent dans l’ère de «la société de l’information» et du numérique, et au moment où le monde ressemble de plus en plus à un «village planétaire», concrétisant ainsi le concept cher au chercheur canadien Marshal McLuhan, le fossé entre les pays riches et les pays pauvres ne cesse de se creuser concernant l’accès aux nouvelles technologies de l’information et de la communication. Il est donc admis que la «société de l’information», qui est devenue une réalité dans les pays les plus avancés, tels que les USA, le Canada, certains pays de l’Asie et de l’Europe, reste une notion à définir pour les pays pauvres ou en voie de développement. La société de l’information est une société post-industrielle ou post-moderne qui a assimilé les changements technologiques. Elle est surtout une société caractérisée par une grande fluidité de l’information grâce aux développements des réseaux de communication, créant ainsi de véritables «autoroutes» de la communication. Dans cette société, comme l’expliquent les spécialistes, l’information est la pierre angulaire de toute activité humaine.
Actuellement, dans un monde où il est plus facile pour un pays de rester riche que de le devenir, surtout avec les crises qui secouent l’économie mondiale, le libre accès à l’information dans différents domaines de la vie pour tous n’est en réalité qu’un mythe. Il constitue un vrai enjeu pour les Etats et les nations et un défi pour les pays vivant en marge de ce processus de développement.
Certes, l’avènement des nouvelles technologies, l’Internet, la téléphonie fixe et mobile, les médias électroniques dits aussi «nomades» ou «baladeurs» dans le langage des spécialistes, ont permis au monde une évolution grandissante. Le développement des moyens de communication a permis à l’humanité d’évoluer, mais, en contrepartie, il a accentué les disparités entre les pays développés et ceux qui le sont moins.
Ce qui, par conséquent, a entraîné une certaine «fracture» entre les pays du Nord et ceux du Sud, appelée communément par les experts «la fracture numérique».
Selon une récente étude, la plus grande proportion d’internautes se trouve dans la région Asie, avec 41% de parts de marché alors que l’Europe se hisse à la deuxième place avec 28% de parts de marché, suivie de l’Amérique du Nord (18%) et de l’Amérique du Sud (7%). Fracture numérique oblige, l’Afrique et le Moyen-Orient se hissent à la dernière place, avec seulement un taux de 5% d’internautes. Et si l’Amérique du Nord n'atteint que la troisième place dans le classement par région, les ةtats-Unis conservent néanmoins la deuxième place au classement par pays, avec un total de 16,2% des internautes, battus de peu par la Chine (17,8%). Au total, 1 milliard d’internautes surfent sur le Web chaque année.
En Algérie, la lutte contre la cybercriminalité a pris, depuis quelques années, une forme concrète à travers la traque des groupes terroristes, qui utilisent la Toile pour propager leur idéologie. Bien plus, une police de l’Internet, auquel l’Algérie n’est pas contre, est en mesure de lutter plus efficacement autant contre le terrorisme, le crime organisé que le trafic en tout genre. Mais, comme toute lutte, celle contre la cybercriminalité « doit être régie par une législation nationale et une coopération internationale efficaces », selon les experts présents à ce séminaire. Elle doit être combattue « à partir d’un système législatif adapté et une coopération internationale efficace », précisent-ils. Attaques virales contre des systèmes bancaires, de gestion de fichiers sensibles d’administrations, ou de virements bancaires, ainsi que la pénétration, le contrôle et la détérioration de systèmes informatiques hyperprotégés, de falsification de documents administratifs ou de données sensibles, sont autant de délits répertoriés comme crimes « virtuels » commis à travers l’Internet ou les NTIC. Encaisser d’importantes sommes d’argent en déroutant le système de défense d’une banque, ou obtenir des informations importantes sur des brevets d’invention ou des informations classées secret défense sont également un des sports favoris des cybercriminels. Falsifier une carte à puce pour dévaliser une banque ou entrer « gratis » dans un concert de musique ne sont pas le moindre des crimes de ce genre de banditisme.
Car le terrorisme a pris des proportions importantes sur le Net, obligeant les polices du monde entier à investir cette dimension virtuelle pour les traquer et prévenir leurs crimes. L’Algérie est, quant à elle, obligée de s’adapter à ce type de lutte et d’adapter, surtout, sa législation à ce genre de crime. Selon M. Hocine Mabrouk, directeur de l’Ecole supérieure de la Magistrature, plusieurs pays, dont les Etats-Unis, le Canada, le Japon, la Corée et l’Afrique du Sud, ont adhéré à la convention du Conseil de l’Europe dont ils se sont inspirés pour leur législation interne. L’Algérie, de son côté, va se doter d’une législation en la matière à travers le projet de loi, qui a été examiné dernièrement par le Conseil des ministres.
Ce projet va être présenté au Parlement. Mais, pour M. Mabrouk, les affaires liées à la cybercriminalité sont « minimes » en Algérie, mais il n’a pas écarté leur prolifération dans le futur, du fait de la métamorphose du banditisme dans le monde, qui utilise de plus en plus les nouvelles technologies de l’information pour planifier ses crimes, communiquer et surveiller ses cibles potentielles. En clair, l’Algérie n’est plus à l’abri des cybercrimes, notamment le piratage informatique, les attaques virales, ou le cyberterrorisme. Mettre en place une cyberpolice algérienne n’est pas, dans cette configuration, une hérésie, ni un caprice judiciaire. Bien au contraire.
par Ali Babès - Le Quotidien d’Oran
ALGER - Une commission spécialisée chargée d'examiner le programme "E-Algérie 2013" a été installée dimanche au niveau du Conseil national économique et social (CNES), indique cette institution dans un communiqué. L'installation de cette commission intervient suite à la saisine récente du CNES par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, relativement à ce programme élaboré par un groupe de travail placé sous l'autorité du ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, rappelle-t-on de même source. |
[Aps 25/1/09] |
LE CAIRE - Les participants à la réunion sur le projet "Mémoire du monde arabe" ont souligné vendredi la nécessité d'accélérer l'opération de documentation du patrimoine culturel et naturel arabe préconisant pour ce faire la mise en place de systèmes d'informations intégrés. Les participants au projet de mémoire du monde arabe ont recommandé au terme de leur réunion au Caire d'enrichir le contenu électronique du patrimoine arabe sur le réseau internet. |
[Aps 24/1/09] |
TRIPOLI - La Libye s'est dotée jeudi d'un réseau commercial WiMAX mobile (internet haut débit sans-fil) d'une capacité de 300.000 utilisateurs et qui couvre 18 villes libyennes. Installé par l'équipementier français Alcatel-Lucent pour la bagatelle de 60 millions de dollars, ce réseau, permettra d'établir des liaisons sans fil à haut débit, dans un rayon de 50 km y compris en situation de mobilité, selon le directeur du projet, Mahmoud Ettir. L'opérateur public Libya Telecom & Technology (LTT) commencera la commercialisation de cette technologie à partir de la semaine prochaine pour les entreprises dans une première étape puis pour les particuliers, a-t-il précisé. Les équipementiers chinois ZTE et Huawei figurent parmi les compagnies ayant participé au projet lancé en janvier 2008. |
[Aps 23/1/09] |
[Aps 20/1/09] ALGER - Le groupe Algérie Télécom (AT) mettra en place prochainement un nouveau service de numéros virtuels ou DID (Direct Inward Dialing) offrant la possibilité d'effectuer des appels à l'étranger à partir de l'Algérie, au prix d'une communication interurbaine locale, a-t-on appris lundi auprès de ce groupe. L'offre de ce service fait suite à un accord de partenariat exclusif conclu par le groupe AT, principal fournisseur de service en Algérie, et le réseau "Iristel Inc", principal fournisseur VoIP au Canada, pour commercialiser en dehors de l'Algérie des numéros de téléphones algériens "DID" appelés plus communément numéros virtuels.
Les appels à destination de ces numéros virtuels (DID) seront acheminés vers les lignes téléphoniques fixes ou mobiles existantes dans le pays d'accueil concerné grâce à la mise en place d'une interconnexion entre le réseau TDM d'Algérie Télécom et le réseau IP d'Iristel. Tous les appels passant à travers Algérie Télécom sont acheminés à travers la passerelle d'Iristel. La solution DID proposée par les deux partenaires vient combler "efficacement le vide enregistré entre le PSTN (le réseau de téléphonie publique) et les réseaux VoIP à l'effet de maintenir la qualité du signal numérique", a-t-on souligné. La clientèle d'Iristel s'attend à ce que le groupe AT offre une quantité illimitée d'appels entrants simultanés, ce qui aura pour effet de réduire les coûts mensuels, a-t-on ajouté. Iristel Algérie a reçu en 2003 sa licence de fournisseur de service Internet par l'Autorité de régulation de la Poste et des télécommunications (ARPT). Algérie Télécom, active dans les domaines du fixe, du mobile, de la VoIP et des télécommunications satellites, prospecte d'autres segments de marché tels que la promotion des services de centres d'appels, de services 2G des réseaux mobiles en attendant l'attribution des licences 3G et 4G. |
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[Aps 20/1/09] |
ALGER- Le ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication a présenté des propositions pour la réduction des prix des ordinateurs dans le cadre de la nouvelle version de l'opération "Ousratic", a annoncé, dimanche à Alger, le ministre du secteur, Hamid Bessalah. "Après évaluation de l'opération, nous avons constaté la nécessité de lancer une nouvelle version", a indiqué le ministre dans une déclaration à la presse en marge d'une rencontre avec les cadres de son secteur. "Cette opération demeurera prioritaire dans le cadre du plan stratégique "e Algérie 2013", a-t-il ajouté. Il a également indiqué que même si cette opération n'a pas "atteint les objectifs tracés dans le cadre de sa première version", elle restera toutefois "un noble objectif à maintenir", rappelant que prés de 50.000 ordinateurs ont été commercialisés dans le cadre de la première version de l'opération. |
[Aps 18/1/09] |
ALGER- Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, M. Hamid Bessalah, a présidé dimanche à Alger une réunion des cadres de son secteur pour débattre des programmes retenus pour l'année 2009 par les différents entreprises et agences relevant du secteur. Intervenant à l'ouverture de cette réunion, le ministre a indiqué que le secteur connaît depuis 2000 une "réforme profonde" consacrant la construction de la société de l'information et de l'économie fondée sur le savoir en tant que "priorité nationale". La mise en oeuvre de cette politique de réforme a permis d'améliorer l'accès aux services de communication, notamment en matière de télédensité mobile, de construction du réseau de télécommunications et d'informatisation du réseau de la poste, s'est félicité M. Bessalah. |
[Aps 18/1/09] |
ALGER- Le projet de programme e-Algérie 2013 est depuis jeudi dernier disponible sur le site web du ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication (PTIC), a indiqué lundi le ministère dans un communiqué. A ce titre, le ministère informe tous les citoyens intéressés par le développement des technologies de l'information et de la communication que ce projet de programme est désormais disponible sur le site web du ministère (www.mptic.dz) depuis jeudi dernier. |
[Aps 12/1/09] |
Le cap d'un milliard d'internautes à travers le monde a été dépassé le mois de décembre 2008, indique le cabinet spécialisé comScore qui précise que ces statistiques ne concernent que les personnes se connectant à partir de leurs bureaux ou domiciles.
La population des internautes, dont le plus grand nombre est concentré en Chine avec 180 millions, devrait ainsi dépasser le milliard dans la mesure où ce chiffre ne concerne que ceux dépassant l'âge de 15 ans, sachant que les enfants se connectent de plus en plus. Ce chiffre ne prend pas en compte les internautes surfant dans les cybercafés ou sur les téléphones portables ou autres supports.
Les férus d'Internet sont concentrés dans l'Est de l'Asie avec un taux de 41%, suivis de l'Europe (28%), l'Amérique du Nord (18%), l'Amérique du Sud (7%) et la région Moyen-Orient et Afrique (5%), selon la même source. Par pays, c'est la Chine qui est en tête, suivie des Etats-unis d'Amérique (163 millions), le Japon (60), l'Allemagne et la Grande-Bretagne (37).
Le lancement d’une version arabe du site tsa-algerie.com. s’explique, selon le journaliste algérien, par le fait que bien que Tout sur l’Algérie soit lu, entre autres, par des francophones en Algérie « l’arabe reste une langue très utilisée, beaucoup d’Algériens, notamment les jeunes, sont plus à l’aise en arabe ». Cette évolution vise aussi un lectorat potentiel au Moyen-Orient. « Nous voulons donner l’occasion à nos lecteurs sur internet d’accéder à nos informations dans la langue qu’ils maîtrisent. » Cette version ne sera pas une traduction directe de la version française, explique-t-il. Les journalistes écriront leurs articles en arabe ou en français. « Bien sûr, la même information se trouvera sur le tsa-algerie.com. dans les deux langues », assure-t-il. « Par exemple, si on obtient une information sur la candidature du président Bouteflika, les deux rédacteurs auront l’information qui sera traitée dans les deux langues », explique Lounès Guemache. La nouvelle version arabe aura sa propre identité, car elle traitera aussi de sujets qui ne se trouvent pas nécessairement sur la version en français. Autre particularité de cette nouvelle version, c’est le fait que sur la page d’accueil en arabe se trouvent quelques titres qui renvoient à la version en français et vice-versa.
Tsa-algerie.com. qui est à une moyenne de 50 000 visiteurs par jour devrait passer à 100 000 avec cette nouvelle version. Son rédacteur en chef affirme que cela situe le nombre de pages vues sur le site à près de 2 millions par mois. Avis aux annonceurs ! Le site a bâti son succès sur la réactivité à l’actualité et son réseau de journalistes des deux côtés de la Méditerranée. Une formule d’abonnement a été mise en place il y a quelques mois. Elle permettait l’accès aux archives payantes du site ou à des documents exclusifs. Une autre clé du succès de ce site est la possibilité donnée aux internautes de laisser leurs commentaires sur le site grâce au web 2.0, une technologie qui permet plus d’interactivité. Le site web d’El Watan propose le même service depuis quelques mois. Lounès Guemache affirme que le forum n’est pas modéré. Tout le monde peut écrire. Mais tout dépassement est sanctionné par un bannissement du forum. Le succès de Tout sur l’Algérie a apporté aussi à ses créateurs son lot d’ennuis. Ainsi, le nom de domaine du site a été piraté par un hacker marocain hostile aux thèses algériennes sur le Sahara-Occidental. L’équipe de Tout sur l’Algérie a été contrainte de prendre un autre nom de domaine pour le site.Une plainte a été déposée à Paris auprès de la Brigade d’enquête sur les fraudes aux technologies de l’information (BEFTI), où une enquête a été ouverte en octobre dernier.
Par
Lu pour Vous.
Après avoir marqué, l'année écoulée, une nouvelle avancée dans ses performances commerciales et financières, la publicité sur le Net s'évalue différemment dans la perspective de l'année 2009 ; serait-ce la continuité de «l'Eldorado» ? La fin des temps de grâce?
Après avoir marqué, l'année écoulée, une nouvelle avancée dans ses performances commerciales et financières, la publicité sur le Net s'évalue différemment dans la perspective de l'année 2009 ; serait-ce la continuité de «l'Eldorado» ? La fin des temps de grâce?
L'outil Internet arrive à surclasser d'autres médias traditionnels, notamment la radio, dans le classement des investissements et des revenus publicitaires, confirmant tous les pronostics misés sur l'attrait de ce support multimédia dont les performances et les formats publicitaires restent pourtant à affiner.
Au premier semestre de l'année dernière, les investissements en publicité sur le web ont grimpé de 38 % par rapport à la même période en 2007, enregistrant avec 1,8 milliard d'euros, la plus forte progression des médias, selon le baromètre Interactive Advertising Bureau (TAB) France et Syndicat des régies internet (SRI).
Englobant à lui seul 65 % de la croissance plurimédia (contre 60 % au premier semestre 2007), le Net joue les acteurs clés du marché publicitaire. Sur ce premier semestre, celui-ci compte pour 14,70 % des investissements contre 10,8 % en 2007. Il se classe ainsi en troisième position, derrière la presse et la télévision, mais devant la radio. On constate ainsi que le nombre d'investisseurs à donc fortement augmenté (+32 %) cette année par rapport à la même époque l'an dernier. Autre bonus : sur les 3357 annonceurs, plus d'un tiers sont nouveaux.
"Cette étude consacre la tendance de fond qui caractérise le développement d'Internet au cœur des stratégies média des annonceurs tous secteurs confondus. Même dans un marché média très tendu, l'Internet est le seul média à tirer significativement son épingle du jeu en volume d'investissement et en nombre d'annonceurs", analyse Luc Tran-Thang, président du Syndicat des régies Internet.
Parmi les secteurs pourvoyeurs de publicité sur Internet, les Télécoms et Voyage -Tourisme, représentent près de 25 % de l'investissement sur le média Internet. L'étude relève aussi que l'énergie (+6 points), l'immobilier (+5,3 points), les organismes humanitaires (+5,6 points) et la santé (+4,9 points) séduisent de plus en plus les investisseurs.
Du coup, nous apprend l'étude, d'autres s'y mettent et misent sur le Net l'informatique "consacre 41 % de ses investissements pluri média à Internet, le voyage tourisme (33,7 %), les services (28 %) les télécommunications (23,6 %), les établissements financiers et assurances (21,8 %), et l'audiovisuel (21,7 %)", souligne encore l'étude.
C'est presque la même tendance enregistrée sur le marché nord américain qui devait connaître, en 2008, un score notable en matière de publicité en ligne. Selon Robert Cohen, le vice-président de l'agence américaine de communication média Universal McCann, le marché publicitaire américain ne devrait croître que de 3,1 % cette année pour atteindre 290,3 milliards de dollars. Selon lui, les entreprises privilégieraient leurs bénéfices au détriment des investissements publicitaires. En outre, il estime que le développement du marché sur Internet et les investissements en search marketing pénalisent le développement des autres médias. Sur le premier trimestre de cette année, le marché de la publicité sur Internet a grimpé de 16,7 % et celui de 1' e-mail marketing de 4,5 %. Dans le même temps, les dépenses en télé, radio, et presse ont décrues. En 2008, Robert Cohen estime que le marché global devrait progresser de 5,8 % à 305 milliards de dollars.
Le marché de la publicité sur Internet se subdivise en segments de techniques et formats qui commencent à connaître à des évolutions différentes.
Le plus gros segment du marché de la publicité en ligne est représenté par les liens sponsorisés. Ils guident l'internaute vers le site de l'annonceur et en fait la fortune de Google, le principal acteur, bien loin devant Microsoft et Yahoo ! L'investissement des marques dans les liens sponsorisés a représenté 800 millions d'euros en 2008. La publicité par bannières est le deuxième grand segment de marché avec 5 1 0 millions d'euros. Puis viennent les annuaires avec 420 millions d'euros. Toutefois, ces différents formats publicitaires n'ont pas bénéficié de la même dynamique en 2008. Les liens sponsorisés affichent une croissance de 35 % quand la publicité par bannières a dû se contenter d'une progression de 1 0 %. "Dans un contexte de crise, des secteurs en phase avec des objectifs de communication à court terme, comme les liens sponsorisés, progressent plus fortement", affirme un responsable en charge de la régie publicitaire d'Orange.
Le succès des liens sponsorisés ne devrait toutefois pas se faire aux dépends d'autres formats. « Tous les segments du marché sont en croissance. Le marché de la communication en ligne dispose encore d'un très fort potentiel. Les internautes sont de plus en plus nombreux et les nouveaux usages comme la vidéo ou les réseaux sociaux se développent créant ainsi de nouveaux inventaires», a expliqué Jérôme Bourgeais, en charge de l'étude de ce marché chez Cap Gemini.
Le marché publicitaire est donc encore en croissance mais l'heure est sans doute déjà à sa rationalisation et à sa consolidation. Reste à savoir qui seront les gagnants et les perdants de cette immense partie qualifiée par les observateurs de «chaises musicales.
Selon toute vraisemblance, le secteur des nouvelles technologies est appelé à de nouvelles performances pour l'année en cours, sous réserve de quelques efforts d'adaptation.
Pour Frank Gens, analyste en chef du bureau d'études américain spécialisé en nouvelles technologies IDC, «une économie mondiale au ralenti va faire l'effet d'une cocotte minute sur le marché de l'informatique, accélérant le développement et l'adoption de nouveaux modèles d'entreprise» prédit-il. Et d'ajouter sous forme d'avertissement que «fournisseurs et clients se dirigeront vers les solutions nouvelles non parce qu'elles annoncent l'avenir, mais parce que dès aujourd'hui elles offrent des avantages pratiques à des clients se battants pour réduire leurs coûts. Les fournisseurs qui ralentiront leur transformation limiteront leur viabilité à long terme et passeront à côté de la croissance à court terme».
L'Internet n'est pas oublié dans les prévisions de FIDC, au contraire, puisqu'il fait partie des créneaux porteurs. Ainsi, "avec un nombre d'internautes croissant (1,5 milliard de personnes connectées d'ici un an), le commerce électronique et la publicité en ligne devraient afficher un bon niveau d'activité".
Et les "bonnes nouvelles' ' pour la Toile ne s'arrêtent pas, d'autant plus que IDC table sur « 8.000 milliards de dollars de chiffres d'affaires pour le commerce en ligne et une croissance de 9% pour la publicité en ligne ».
Malgré les prévisions optimistes pour la publicité sur Internet pour l'année 2009, une année pourtant en pleine turbulence financière et économique à l'échelle mondiale, les objectifs seront difficiles à atteindre et demanderont beaucoup de travail d'adaptation et d'imagination faute, de l'avis de certains experts « de transparence sur son efficacité réelle et de formats plus innovants que les bannières et les liens promotionnels»
La bulle de la publicité en ligne commence à se dégonfler, après plusieurs années de croissance insolente. Selon ZenithOptimedia, spécialiste en achat d'espaces médias, « les dépenses publicitaires mondiales devraient reculer de 0,2% en 2009, mais Internet devrait encore afficher un rythme de croissance de 18% - à comparer au bond de 21% anticipé pour 2008 et au rythme de 32% enregistré en 2007.»
Les deux principaux moyens de faire de la publicité sur Internet sont actuellement les liens commerciaux sur les moteurs de recherche et les bannières.
"L'Internet est une baudruche publicitaire surévaluée et il y a eu un effet de leurre", a dit de son côté à Reuters François Lienart, analyste au sein de l'institut d'études Yacast. "La bulle spéculative de l'investissement publicitaire Internet doit exploser; on survend aux annonceurs un média Internet qui n'est pas toujours correctement mesuré".
"Le contexte économique de crise qui arrive va être de nature accélérer la volonté des grands acteurs à apporter plus de transparence et d'expertise sur le média Internet et il y aura de la casse", a-t-il ajouté. A voir dans quelques temps
Le département Informatique de l'université Tahar Moulay de Saida organise la deuxième
édition de la Conférence International sur l’Informatique et ses Applications CIIA'09
les 3-4 Mai 2009 .
CIIA'09 qui se veut un espace convivial d’échanges et une rencontre entre chercheurs
algériens résidant en Algérie et à l’étranger ainsi que des chercheurs étrangers.
Elle a pour objectif de regrouper des chercheurs sur des thématiques diverses telles
que les systèmes d’information, les systèmes distribués, l’intelligence artificielle,
,
et de promouvoir les travaux de jeunes chercheurs pour leur permettre de les présenter
à l'ensemble de la communauté.
(Les étudiants en thèse sont encouragés à soumettre leurs travaux en cours.)
Le site de la conférence est accessible à: http://www.univ-saida.dz/Dept-Info/index.htm
Thémes abordés (liste non limitative )
Ingénierie des connaissances et ses applications
Réseaux et systèmes distribués
Modélisation, simulation et outils d’aide à la décision
Internet et ses applications (e-commerce, e-business, e-learning, etc
)
Systèmes d’information décisionnels.
Fouilles de données (méthodes statistiques, réseaux de neurones, etc
).
Applications et systèmes d’information dédiés)
Dates importantes
soumission : 25 Mars
Notification : 15 avril
Version finale : 20 avril
Conférence : 3-4 mai
C'est ce que rapportent nos confrères de Fudzilla qui citent des sources au sein du fondeur. Intel aurait demandé la survie de Windows XP afin que le marché des netbook ne souffre pas de Vista, en attendant la démocratisation d'une version pour netbook de Windows 7. Il faut dire que l'on se trouve dans une situation particulière où les chiffres d'affaires sont tirés vers le haut pas des machines pas chères et peu puissantes.
Alors que Microsoft a encore allongé l'existence de Windows XP le 23 décembre dernier (cf. « Microsoft prolonge encore la vie de Windows XP OEM »), on peut s'interroger sur la situation dans laquelle Microsoft se trouve. En effet, si Windows 7 ne répond pas aux attentes des consommateurs et des fabricants, Microsoft pourrait se trouver dans une position très délicate devant encore compter sur un système d'exploitation dont la date officielle de sortie remonte au 25 octobre 2001, si le nouveau système d'exploitation ne correspond pas aux attentes. Neuf ans pour un système d'exploitation, c'est très long. Heureusement que les premières impressions de Windows 7 sont très positives.